THIÈS – APRÈS AVOIR POIGNARDÉ À MORT UN JAKARTAMAN : Un agresseur est lynché puis brûlé à mort

Ce jeudi matin, la cité Ousmane Ngom à Thiès a été le théâtre d’une tragédie qui a coûté la vie à deux personnes. L’incident, survenu près de la station Shell, non loin de la gare routière, a débuté par une agression suivie de représailles sanglantes.


Aux alentours de 6 heures du matin, les sapeurs-pompiers ont alerté les autorités sur le meurtre d’une personne, victime d’une attaque. Lorsque les policiers sont arrivés sur les lieux, ils ont trouvé le corps de la victime, sans signe de vie.


L’agresseur présumé, identifié comme P. S. Dieng, a tenté de se réfugier dans une maison. Cependant, il a été poursuivi par des jeunes du quartier, en furie, qui l’ont sévèrement battu. Alors que la police mobilisait des renforts pour calmer la situation, des membres de la famille de la victime, L. Sylva, sont intervenus. Ils ont extrait P. S. Dieng de la maison et l’ont brûlé vif.


Il a été révélé que P. S. Dieng portait un bracelet électronique, suggérant qu’il était en liberté conditionnelle après une condamnation antérieure. Dans le chaos, un policier a été blessé au bras en tentant d’intervenir.
Le procureur a ordonné une enquête approfondie pour identifier et traduire en justice les responsables de cette violence extrême.

Guédiawaye : Un Jakartaman percuté par un taxi clando

Un accident de la route s’est produit cet après-midi à Guédiawaye, plus précisément à Wakhinan Nimzatt, près du rond-point Serigne Assane. Un conducteur de taxi clando a violemment percuté un Jakartaman qui traversait la route.

La victime, un jeune homme d’une trentaine d’années, a été gravement blessée. Les sapeurs-pompiers sont rapidement intervenus sur les lieux et ont transporté le blessé à l’hôpital pour des soins urgents.

Les accidents de la route sont devenus fréquents sur cet axe. L’augmentation du nombre de véhicules et le non-respect des règles de circulation sont souvent cités comme les principales causes de ces incidents. La sécurité routière reste une préoccupation majeure pour les habitants de la région.

Cet énième accident rappelle l’importance de la prudence sur les routes. Les conducteurs de motos et de voitures sont appelés à respecter les règles de circulation pour éviter de tels drames. Il est essentiel de renforcer la sensibilisation et les mesures de sécurité pour réduire le nombre d’accidents dans cette zone.

La situation de la victime est actuellement sous observation à l’hôpital. Les autorités locales sont encouragées à prendre des mesures pour améliorer la sécurité routière et protéger les usagers de la route à Guédiawaye.

Mort d’un Jakartaman à l’hôpital de Tivaouane : Défense du personnel de santé mis en Cause

L’hôpital Abdoul Aziz Sy de Tivaouane se trouve au cœur d’une polémique après la mort tragique de Mame Abdou Kane Guèye, également connu sous le nom d' »Al Amide », un conducteur de moto-Jakarta âgé d’une trentaine d’années. Les allégations de négligence formulées à l’encontre du personnel de santé ont suscité une réaction vive, avec le personnel de l’hôpital se défendant vigoureusement contre ces accusations.

Selon les informations disponibles, la victime a été admise à l’hôpital après avoir été victime d’un accident de la circulation. Bien que ses blessures aient nécessité une opération chirurgicale, celle-ci a été réalisée seulement 15 jours plus tard, provoquant la colère des habitants du quartier Kogne Diaka et des conducteurs de Jakarta qui ont exprimé leur frustration et leur mécontentement.

Sidy Lamine Ndoye, représentant du personnel au Conseil d’administration de l’hôpital Abdoul Aziz Sy et secrétaire général de la section Sutsas à Tivaouane, a contesté les allégations de négligence. Il a souligné l’existence de fiches de traitement et de dossiers d’hospitalisation attestant des soins prodigués à la victime pendant son séjour à l’hôpital.

M. Ndoye a également souligné que la mort de la victime est survenue au bloc opératoire, et a appelé à entendre la version des personnes impliquées dans cette phase du traitement.

Quant aux difficultés rencontrées par l’hôpital Abdoul Aziz Sy, M. Ndoye a mis en avant le besoin d’une augmentation de la subvention afin de permettre à l’établissement de fonctionner à un niveau optimal.

La disparition tragique de Mame Abdou Kane Guèye a plongé la communauté de Tivaouane dans la consternation et la tristesse. Il était considéré comme un membre actif et dévoué de la société, incarnant les valeurs de travail et d’engagement.

Alors que l’enquête sur les circonstances de sa mort se poursuit, il est impératif que toutes les parties prenantes fassent preuve de prudence et de respect, afin de garantir que justice soit rendue et que des mesures appropriées soient prises pour éviter de telles tragédies à l’avenir.

Condamnation après la mort d’un « Jakartaman » à Matam : Le chauffeur écope de 5 mois de prison

Le chauffeur impliqué dans l’accident tragique ayant coûté la vie à un conducteur de moto-Jakarta à Matam le dimanche 17 mars dernier a été condamné à cinq mois de prison ferme par le tribunal d’instance de la ville, jeudi dernier. En plus de cette peine d’emprisonnement, le chauffeur devra également payer une amende et voir son permis de conduire suspendu pour une durée de cinq mois.

Cet accident avait déclenché des émeutes dans la commune de Matam, entraînant trois jours de violents affrontements entre des jeunes du quartier Soubalo et les forces de l’ordre. La nouvelle de la mort du jeune conducteur de moto-Jakarta, impliquant apparemment un indicateur de la douane, avait suscité la colère et le désarroi parmi les habitants de la région.

Les manifestations avaient rapidement dégénéré en actes de violence, avec des pneus brûlés et des bâtiments incendiés, dont le bureau de la douane situé à la frontière entre le Sénégal et la Mauritanie, ainsi qu’un véhicule de la police des frontières.

L’intervention des gendarmes de l’escadron du camp de Thiambé avait été nécessaire pour contenir les manifestants en colère et empêcher d’autres attaques contre les installations douanières.

Suite à ces événements, des responsables douaniers avaient nié toute implication de leur institution dans l’accident, soulignant qu’aucune opération officielle de la douane n’était en cours au moment des faits. Ils ont également précisé que le chauffeur impliqué dans l’accident n’était pas un agent des douanes, mais plutôt un « pisteur » effectuant des tâches personnelles dans un véhicule privé.

Le gouverneur, accompagné du chef des douanes de la zone nord, a exprimé ses condoléances à la famille du défunt lors de son inhumation au cimetière de Soubalo. Il a également clarifié que le conducteur impliqué dans l’accident ne travaillait pas pour les douanes et était simplement occupé à des affaires personnelles au moment de l’incident.

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