Retour de Jean Baptiste Diouf : les socialistes dans tous leurs états

Le retour du maire de Grand-Dakar, Jean Baptiste Diouf, semble avoir suscité des réactions mitigées au sein du Parti socialiste (PS), selon les informations rapportées par Les Échos. En effet, le quotidien indique que ce retour est loin de faire l’unanimité parmi les responsables du parti, certains exprimant même une colère palpable.

La source souligne que certains responsables du PS seraient particulièrement mécontents du retour de Jean Baptiste Diouf, estimant qu’il peut partir et revenir comme bon lui semble, sans subir les conséquences de ses actions.

Cette réaction peut s’expliquer par divers facteurs, notamment des divergences politiques ou des tensions internes au sein du parti. Cependant, il est également possible que ce retour soit perçu comme un ballon de sonde en vue de possibles retrouvailles avec d’autres figures politiques telles que Khalifa Sall et ses partisans.

Dans tous les cas, le retour de Jean Baptiste Diouf semble agiter les eaux au sein du PS et suscite des interrogations quant à ses motivations et à ses intentions politiques à l’avenir.

Jean Baptiste Diouf évincé de la course Présidentielle : Un coup dur pour le candidat du PDFP

Le Conseil constitutionnel du Sénégal, en collaboration avec une commission dédiée, poursuit le processus d’examen des dossiers de parrainage pour les candidatures à l’élection présidentielle prévue le 25 février. Après avoir évalué 20 candidatures jusqu’au 30 décembre, seulement 3 ont été validées, tandis que plusieurs autres ont été rejetées, principalement pour des raisons de doublons ou de parrainages ne figurant pas sur les listes électorales.

La commission a repris ses travaux le 2 janvier après une pause pour les fêtes de fin d’année. Parmi les candidats examinés ce jour-là, la candidature de Jean Baptiste Diouf, représentant le Parti du Dialogue Fraternel pour la Paix (PDFP), a été rejetée. Les raisons spécifiques de ce rejet n’ont pas été rendues publiques.

Pour Jean Baptiste Diouf, cette décision constitue un coup dur dans sa quête présidentielle, le privant de la possibilité de participer à l’élection présidentielle imminente. Ces événements soulignent l’importance cruciale du processus de vérification des parrainages et des critères établis par le Conseil constitutionnel dans le cadre des élections présidentielles au Sénégal.

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