Kamala Harris surpasse Donald Trump dans les paris après le débat présidentiel : les investisseurs réagissent

La cote de Donald Trump a chuté de manière significative mercredi parmi les parieurs, au lendemain d’un débat présidentiel télévisé qui l’a opposé à la vice-présidente Kamala Harris. De nombreux observateurs ont jugé que Harris en était sortie victorieuse, une opinion qui semble refléter la tendance sur les plateformes de paris et dans les marchés financiers.

Bien que les résultats des nouveaux sondages tardent à être publiés, les parieurs ont rapidement réagi. Selon les analystes de Brown Brothers Harriman, « la réaction initiale des parieurs suggère que la vice-présidente Harris a pris l’avantage lors du débat d’hier soir face à l’ancien président Trump. »

Jusqu’ici en retrait face à son adversaire républicain, Harris est passée en tête sur la plateforme de paris en ligne Smarkets. Mercredi, vers 14H30 GMT, sa probabilité de succès électoral atteignait 51,2%, contre 48,1% pour Donald Trump. Un renversement net, puisque mardi matin, Trump était encore crédité de 52,3% de chances de victoire contre 46,3% pour Kamala Harris.

Les autres plateformes de paris ont confirmé cette tendance, avec Harris devançant également Trump sur Bovada et Bet365. « Si cette tendance se poursuit, la candidate démocrate pourrait devenir favorite pour l’emporter lors du scrutin de novembre », a commenté Bet365.

Cette dynamique a eu des répercussions sur le marché boursier, où l’action du groupe de médias de Donald Trump, Trump Media and Technology Group (TMTG), a subi une chute spectaculaire de 12,27% à 15H50 GMT. Le titre est désormais à son plus bas niveau depuis la fusion de TMTG avec un véhicule coté en mars, ayant perdu près de 80% de sa valeur depuis son sommet de cette période.

Les investisseurs ont progressivement pris leurs distances avec TMTG, notamment après que Donald Trump a recommencé à publier sur la plateforme X (anciennement Twitter), concurrençant directement son propre réseau social Truth Social. De plus, le retrait de Joe Biden de la course à la Maison Blanche au profit de Kamala Harris et la montée en puissance de la vice-présidente dans les sondages n’ont fait qu’amplifier ce mouvement.

La situation pourrait encore évoluer avec l’approche de la fin de la période de « lock-up », qui empêche actuellement les investisseurs détenant des actions de TMTG avant son introduction en Bourse de les vendre. À partir de fin septembre, Donald Trump pourra lui-même vendre tout ou partie de ses actions, dont il détient actuellement environ 57%. Avec la dégringolade du titre, la valeur de sa participation a chuté de plus de sept milliards de dollars, réduite aujourd’hui à environ 1,9 milliard.

La prochaine période de campagne s’annonce donc cruciale pour Donald Trump, non seulement sur le plan politique, mais également financier, alors que Kamala Harris semble prendre l’ascendant dans cette course vers la Maison Blanche.

Élection Présidentielle Américaine : Kamala Harris contre Donald Trump

Le compte à rebours est lancé pour l’élection présidentielle américaine du 5 novembre prochain, où la vice-présidente démocrate Kamala Harris affrontera l’ex-président républicain Donald Trump. À 100 jours du scrutin, les sondages montrent une course serrée et pleine d’incertitudes.

Bien que Kamala Harris n’ait pas encore été officiellement désignée par son parti, tout indique qu’elle sera choisie lors de la convention nationale du 19 au 22 août. Depuis qu’elle a remplacé Joe Biden, sa popularité a considérablement augmenté, rendant peu probable l’émergence d’un autre candidat démocrate.

Cependant, l’avance accumulée par Donald Trump après le débat de Joe Biden en juin dernier exige une unité sans faille du camp démocrate pour espérer l’emporter. Toute autre candidature démocrate pourrait compromettre cette unité retrouvée avec Kamala Harris, qui, malgré sa position d’outsider, semble avoir une carte à jouer.

Les sondages montrent des résultats variés mais indiquent tous une course serrée. Le sondage New York Times/Siena College du 21 juillet montrait Joe Biden en retard de trois points sur Donald Trump (44 % contre 47 %). Depuis le retrait de Biden, Kamala Harris a réussi à réduire cet écart. Selon une enquête du 27 juillet, Harris n’est plus qu’à deux points derrière Trump (46 % contre 48 %).

Divers autres sondages confirment cette tendance. HarrisX/Forbes place Trump deux points devant Harris (46 % contre 48 %), tandis que CNN/SSRS estime cet écart à trois points (46 % contre 49 %). À l’inverse, Ipsos/Reuters voit Harris devancer Trump de deux points (44 % contre 42 %). Morning Consult donne également une légère avance à Harris, avec un point d’avance.

L’élection se jouera dans les États-clé tels que l’Arizona, la Pennsylvanie, le Wisconsin, le Michigan et la Géorgie. Selon une étude de l’Emmerson College pour le site The Hill, Trump mène dans presque tous ces États, sauf le Wisconsin où les candidats sont à égalité. L’Arizona montre un écart plus significatif, avec Trump en avance de quatre points.

Les électeurs indécis seront cruciaux, représentant 7 % des votants en Arizona, en Pennsylvanie et en Géorgie, et même 9 % dans le Michigan. Ces indécis pourraient basculer le résultat de l’élection à la dernière minute.

Avec encore 100 jours avant l’élection, de nombreux rebondissements peuvent survenir. Kamala Harris sera-t-elle officiellement désignée candidate démocrate ? Sa dynamique actuelle va-t-elle perdurer ? Un éventuel débat pourra-t-il changer la donne ? Le rôle de Robert F. Kennedy Jr., en tant que troisième candidat, pourrait-il influencer le résultat final ?

L’élection présidentielle de 2024 promet d’être l’une des plus disputées et imprévisibles de l’histoire récente des États-Unis. Restez attentifs aux développements à venir.

Barack Obama soutient Kamala Harris pour la Présidence en 2024

Ce vendredi, l’ancien président Barack Obama a officiellement annoncé son soutien à la candidature de la vice-présidente Kamala Harris pour l’élection présidentielle de 2024. Cette déclaration marque une étape importante pour le camp démocrate alors que la course à la Maison Blanche s’intensifie.

« En début de semaine, Michelle et moi avons appelé notre amie Kamala Harris. Nous lui avons dit que nous pensions qu’elle ferait une fantastique présidente des États-Unis et qu’elle avait tout notre soutien », a déclaré M. Obama sur le réseau social X. Cette annonce souligne la confiance et l’estime que l’ancien président et la première dame portent à la vice-présidente.

Kamala Harris, qui a été choisie par Joe Biden comme colistière lors de l’élection de 2020, a joué un rôle crucial au sein de l’administration actuelle. Son expérience en tant que sénatrice de Californie et procureure générale de l’État, ainsi que ses efforts pour promouvoir la justice sociale et l’égalité, ont été largement reconnus.

Le soutien d’Obama pourrait avoir un impact significatif sur la candidature de Harris. Barack Obama reste une figure influente et respectée au sein du Parti démocrate, et son endorsement pourrait rallier de nombreux partisans derrière la vice-présidente.

Pour Kamala Harris, cette annonce intervient à un moment stratégique. Alors que les primaires démocrates approchent, obtenir le soutien de l’un des anciens présidents les plus populaires pourrait renforcer sa position face à d’éventuels concurrents. Harris a déjà montré sa capacité à mobiliser une base diversifiée de soutien, et avec l’appui d’Obama, elle pourrait consolider davantage son influence.

Cette déclaration souligne également l’unité au sein du Parti démocrate. Alors que les tensions internes peuvent parfois surgir, le soutien d’Obama à Harris indique un effort concerté pour présenter un front uni contre le camp républicain en 2024.

En conclusion, le soutien de Barack Obama à la candidature de Kamala Harris pour la présidence est un développement majeur dans la politique américaine. Avec l’approbation de l’ancien président, Harris entre dans la course avec un avantage significatif, renforçant ses chances de devenir la prochaine présidente des États-Unis.

Kamala Harris condamne la profanation du drapeau Américain par des manifestants

La vice-présidente des États-Unis, Kamala Harris, a vivement dénoncé l’action « abjecte » et « antipatriotique » de manifestants qui ont brûlé un drapeau américain mercredi, en signe de protestation contre la visite du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à Washington.

Dans un communiqué publié jeudi, Kamala Harris, qui est également candidate démocrate à la prochaine élection présidentielle, a exprimé son indignation face à cet acte de profanation. « Nous avons assisté à des actes abjects de la part de manifestants antipatriotiques et à une rhétorique dangereuse alimentée par la haine », a-t-elle déclaré.

La vice-présidente a souligné l’importance du respect des symboles nationaux, en affirmant que le drapeau américain « ne devrait jamais être profané de cette manière ». Selon elle, brûler le drapeau national n’est pas seulement une attaque contre un symbole, mais aussi contre les valeurs et les idéaux que représente la nation.

Cet incident survient dans un contexte de tensions accrues autour de la visite de Benjamin Netanyahu, qui a suscité des réactions contrastées au sein de la population américaine. Certains groupes de manifestants ont exprimé leur mécontentement face à la politique du gouvernement israélien et son impact sur les relations internationales, tandis que d’autres ont montré leur soutien au Premier ministre.

Les réactions aux déclarations de Kamala Harris n’ont pas tardé à se faire entendre. Des partisans ont salué son engagement à défendre les symboles nationaux et à promouvoir l’unité, tandis que ses détracteurs ont critiqué ce qu’ils considèrent comme une tentative de détourner l’attention des préoccupations légitimes des manifestants.

La profanation du drapeau reste un sujet sensible et controversé aux États-Unis, où il est souvent perçu comme une atteinte à l’identité nationale et aux valeurs démocratiques. En tant que figure de proue du Parti démocrate, Kamala Harris cherche à naviguer ces eaux tumultueuses en affirmant fermement ses positions tout en appelant au dialogue et à la compréhension mutuelle.

Alors que la campagne présidentielle s’intensifie, il est probable que les questions de patriotisme, de respect des symboles nationaux et de liberté d’expression continueront à occuper une place centrale dans le débat public. Kamala Harris, par ses déclarations, a clairement indiqué qu’elle n’hésitera pas à prendre position sur ces questions cruciales pour l’avenir du pays.

Un espoir de changement dans la politique américaine vis-à-vis d’Israël ?

Les récentes déclarations de Kamala Harris concernant la guerre à Gaza laissent entrevoir un possible changement dans la politique américaine vis-à-vis d’Israël. En pleine campagne pour obtenir l’investiture du Parti démocrate après le retrait de Joe Biden, la vice-présidente des États-Unis tente de convaincre un électorat divisé sur la question israélo-palestinienne.

Le mercredi 24 juillet, Kamala Harris sera absente au Congrès lors de l’intervention du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Officiellement, son absence est due à des contraintes d’emploi du temps, mais certains voient cela comme un signe de sa volonté de se distancer de la politique actuelle des États-Unis envers Israël, notamment dans le contexte de la guerre à Gaza.

Kamala Harris a fait preuve de plus de nuances que son prédécesseur Joe Biden concernant le conflit israélo-palestinien. En mars, elle a appelé à un cessez-le-feu pour mettre fin à « l’immense souffrance » et a critiqué Israël pour l’insuffisance des livraisons d’aide humanitaire à Gaza. Ces commentaires, les plus fermes émis par un membre de l’administration Biden à l’époque, ont été perçus comme une tentative de répondre aux attentes des partisans de la cause palestinienne et des jeunes électeurs démocrates, souvent critiques de la politique américaine vis-à-vis d’Israël.

Avec une campagne ayant récolté plus de 80 millions de dollars depuis le retrait de Joe Biden, Kamala Harris bénéficie du soutien des grandes voix de son parti. Cet enthousiasme reflète l’espoir de nombreux démocrates de voir un changement de positionnement américain sur cette question épineuse.

L’équilibre fragile entre le soutien à Israël, un allié historique des États-Unis, et la dénonciation des horreurs en cours à Gaza est de plus en plus difficile à maintenir pour les démocrates. Joe Biden a soutenu fermement la guerre d’Israël contre le Hamas et a maintenu l’aide militaire, malgré les tensions avec Benjamin Netanyahu. En revanche, Kamala Harris semble prendre une direction plus modérée, ce qui pourrait attirer les électeurs déçus par la politique de Biden.

Kamala Harris se trouve à un carrefour délicat, où elle doit jongler entre les attentes de différents segments de l’électorat démocrate. Sa position sur la guerre à Gaza et sa relation avec Israël seront des éléments clés de sa campagne pour l’investiture du Parti démocrate et pourraient signaler un tournant dans la politique américaine vis-à-vis du conflit israélo-palestinien.

Kamala Harris lance sa campagne présidentielle à Wilmington après le retrait de Joe Biden

Le lundi 22 juillet marque une date clé dans la course à la Maison-Blanche. La vice-présidente Kamala Harris, propulsée sur le devant de la scène après l’annonce surprise du retrait de Joe Biden de la course présidentielle, a tenu son premier événement de campagne. Moins de 24 heures après ce coup de théâtre, Harris a déjà recueilli des soutiens significatifs, selon CNN, et serait bien placée pour être désignée candidate.

Kamala Harris n’a pas perdu de temps pour lancer des attaques frontales contre l’ancien président Donald Trump. Dans un discours vigoureux, elle a qualifié le candidat républicain de 78 ans de « prédateur » et d’« escroc ». « Nous allons gagner », a-t-elle promis avec détermination à ses partisans.

Reconnaissant le caractère tumultueux de la campagne, Harris a comparé les derniers jours à des « montagnes russes ». Elle a exprimé son admiration pour Joe Biden, déclarant : « Je sais que (…) nous sommes tous remplis de tant de sentiments mitigés à ce sujet. J’adore Joe Biden. »

Harris a également promis de placer le droit à l’avortement au centre de sa stratégie électorale. Elle a averti que si Donald Trump était réélu, il chercherait à interdire l’avortement dans tous les États. « Nous allons nous battre pour le droit à disposer de son corps », a-t-elle déclaré, soulignant l’importance de cette question dans la campagne à venir.

Avant le discours de Harris, Joe Biden, encore en convalescence après une infection au Covid-19, a pris la parole par téléphone depuis sa maison de vacances. Avec une voix encore enrouée, il a réitéré son soutien à Harris et affirmé que sa décision de se retirer était la « bonne ». Son médecin a indiqué lundi que Biden ne présentait presque plus de symptômes.

Kamala Harris a salué le bilan de Joe Biden, le qualifiant de « sans équivalent dans l’histoire moderne ». Tandis qu’elle se lance pleinement dans la campagne, les prochains mois promettent d’être cruciaux pour déterminer l’avenir politique des États-Unis.

Avec cette entrée en matière déterminée, Kamala Harris s’affirme comme une candidate de poids, prête à mener une campagne acharnée pour la présidentielle de novembre.

PRÉSIDENTIELLE AUX ÉTATS-UNIS : Joe Biden se retire de la présidentielle et soutient Kamala Harris

Le président des États-Unis, Joe Biden, a annoncé ce dimanche qu’il ne se représentera pas pour sa propre réélection en novembre prochain. Il a déclaré son soutien à sa vice-présidente, Kamala Harris, pour l’élection présidentielle à venir.

Dans un message publié sur le réseau social X (anciennement Twitter) quelques minutes après l’annonce de son retrait, Joe Biden a exprimé son soutien inconditionnel à Kamala Harris. « Ma toute première décision en tant que candidat du parti en 2020 a été de choisir Kamala Harris comme vice-présidente. Et c’est la meilleure décision que j’ai prise. Aujourd’hui, je souhaite offrir mon plein soutien et mon approbation à Kamala pour qu’elle soit la candidate de notre parti cette année », a écrit le président. Il a également exhorté les démocrates à « s’unir et battre Trump ».

Avec le retrait de Joe Biden, le Parti démocrate doit maintenant se rassembler autour de Kamala Harris, qui espère devenir la première femme présidente des États-Unis.

La campagne électorale de novembre s’annonce intense, avec un duel attendu contre le candidat républicain, probablement Donald Trump, qui a déjà fait connaître ses critiques acerbes contre l’administration Biden.

COP28 : les Etats-Unis annoncent 3 milliards de dollars de contribution au plus grand fonds climatique (Kamala Harris)

La vice-présidente des États-Unis, Kamala Harris, a annoncé samedi à la COP28 à Dubaï une contribution de trois milliards de dollars au Fonds vert pour le climat, rattrapant des années de non-contribution de la part du pays le plus riche du monde.

« Je suis fière d’annoncer un nouvel engagement de 3 milliards de dollars au Fonds vert pour le climat, qui aide les pays en développement à investir dans la résilience, les énergies propres et les solutions fondées sur la nature », a déclaré Kamala Harris, dépêchée à la 28e conférence de l’ONU sur le changement climatique à la place du président Joe Biden.

La dernière annonce de contribution de Washington, pour un montant de 3 milliards de dollars également, date de 2014 et émanait du président démocrate de l’époque, Barack Obama, alors que de nombreux autres pays ont renouvelé leur contribution entre temps.

« Nous sommes à un moment charnière. Notre action collective ou, pire, notre inaction, aura des conséquences pour des milliards de gens pendant des décennies », a déclaré la vice-présidente, arrivée le jour-même aux Émirats arabes unis pour la conférence.

Cette annonce, même si elle est conditionnée à l’approbation périlleuse du Congrès américain, était un signal très attendu pour espérer apaiser les tensions entre le Nord et le Sud sur la finance internationale, qui constituent un nœud majeur des négociations onusiennes sur la lutte contre le changement climatique.

Si la promesse est tenue, les États-Unis deviendraient le premier contributeur au fonds en valeur absolue avec 6 milliards de dollars. Mais le Royaume-Uni (5,1 milliards, selon l’ONG NRDC), l’Allemagne (4,9 milliards) et la France (4,6 milliards) contribuent bien davantage, proportionnellement à leur population.

Né en 2010, le Fonds vert pour le climat est le plus grand en fonctionnement aujourd’hui.

Il finance aussi bien des panneaux solaires au Pakistan que des projets agricoles aux Philippines ou toutes autres initiatives liées visant à aider les pays en développement à se passer des énergies fossiles, ou à s’adapter à un climat plus dangereux.

Selon le fonds, plus de quatre milliards de dollars ont été déboursés à ce jour et 13,5 milliards engagés. Mais ses ambitions sont plus grandes: il veut doper son capital, actuellement de 17 milliards de dollars, pour le porter à 50 milliards d’ici 2030.

Depuis l’accord de Paris en 2015, il joue un rôle clé pour réaliser une partie de l’engagement des pays développés de fournir 100 milliards de dollars par an d’aide climatique, une promesse qui n’a probablement été atteinte que l’an dernier, et devenue un chiffon rouge des négociations internationales.

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