« Certes le pays est à l’arrêt, mais Jamm ak Njarin, peut remettre les pendules à l’heure si… »
Ce 1er Novembre, jour de la Toussaint, le candidat de la coalition Jamm ak Njarin, Amadou Ba a rendu visite à la difficile cité mais oh combien riche en potentialités économiques de Kedougou. Le cœur de cette capitale régionale, la plus éloignée et la plus à l’Est du Sénégal, à l’image des autres contrées sillonnées par la caravane de l’espoir bat également au rythme d’un Jamm porteur de Njarin.
Elle a ainsi mis les petits plats dans les grands, pour dire bienvenue à Amadou Ba et sa délégation. L’ancien Premier ministre a, dans ce sens, profité de sa présence sur la terre d’Amath Dansokho, un autre digne fils du pays, patriote, engagé et désintéressé, de son vivant, pour magnifier la solennité de ce jour (Toussaint) qui honore tous les saints connus et inconnus.
Il a réitéré son respect et sa considération à la communauté chrétienne qui vit en parfaite harmonie avec les autres religions. Un legs qui, selon Amadou Ba, doit être entretenu pour préserver cette paix durable qui cimente nos relations.
Pour se faire, il demeure impérial de lutter contre les démons de la division et contre toute forme de stigmatisation, renchérit le porte étendard de la Nouvelle Responsabilité. Lui qui a souhaité et prié pour une longue vie des autorités de l’église au Sénégal, n’a pas manqué de rappeler l’importance de la paix sociale, la concorde et l’unité qui constituent des conditions sine qua non, pour le développement.
Pour couper court à l’argumentaire du camp d’en face consistant à dépeindre l’opposition politique sous les traits de gens animés par la ferme volonté de bloquer l’Executif, si elle devient majoritaire au Parlement, l’ancien Premier ministre déclare «certes Rewmi doxatul (le pays est à l’arrêt », mais avec une Assemblée nationale contrôlée par Jamm ak Njarin, toutes les pendules seront remises à l’heure. Car nous sommes des personnes responsables, dont la seule volonté est de bien faire pour tirer le pays vers le haut».
La veille à Bakel, dans le Gadiaga, où lui et sa caravane ont été reçus vers les coup de 1h du matin, avec l’hospitalité légendaire qui caractérise les populations locales, Amadou Ba a dit à qui veut l’entendre qu’il ne souhaiterait jamais politiser la misère. Même s’il est quand même vrai que cette terre d’ouverture et de progrès qu’est Bakel, a été particulièrement éprouvée, il y a de cela quelques jours. La tête de pont de Jamm ak Njarin, souhaite plutôt contribuer à apporter les solutions et le réconfort aux habitants de cette partie du pays.