Sécurité publique : la police nationale lance une opération coup de poing et interpelle 337 individus à travers le pays

Dans la nuit de jeudi à vendredi, la police nationale a mené une vaste opération de sécurité sur l’ensemble du territoire sénégalais, sous la supervision de la Direction de la Sécurité publique (DSP). Ce dispositif, visant à assurer la protection des personnes et des biens, s’est appuyé sur un maillage physique dense, la prévention et des actions de dissuasion.

337 interpellations, plusieurs infractions relevées

Au terme de cette opération d’envergure, 337 individus ont été interpellés par les forces de l’ordre. Les chefs d’accusation varient selon les cas, incluant :

  • Ivresse publique et manifeste : 28 personnes ont été appréhendées pour état d’ébriété sur la voie publique.
  • Enquêtes en cours : 18 personnes ont été retenues pour nécessités d’enquête.
  • Détention de drogue : 5 individus pour détention de chanvre indien et un pour possession de drogue dure.
  • Offre et cession de chanvre indien : 4 individus arrêtés.
  • Usage de produit cellulosique : 3 interpellations.
  • Rixes et violences : 8 individus ont été arrêtés pour des bagarres sur la voie publique, et un autre pour coups et blessures volontaires ayant entraîné une incapacité temporaire de travail (ITT) de 30 jours.
  • Vols et délits divers : Plusieurs arrestations ont été effectuées pour vol, tentative de vol et vol avec effraction.

Saisies et infractions routières

En plus des interpellations, la police a saisi un kilogramme et 18 cornets de chanvre indien ainsi que deux boules de haschisch. Ces produits stupéfiants étaient destinés à la vente illégale, représentant un succès notable pour les forces de l’ordre dans leur lutte contre le trafic de drogue.

Concernant la sécurité routière, des contrôles ont conduit à la mise en fourrière de 35 véhicules et l’immobilisation de 21 motos pour diverses infractions.

Une opération saluée par la population

Cette opération de grande envergure témoigne de l’engagement des forces de sécurité à renforcer la quiétude sur l’ensemble du territoire national. Sous l’égide de la Direction de la Sécurité publique, les éléments de la police nationale ont démontré leur efficacité et leur réactivité face aux divers défis sécuritaires.

Les autorités ont d’ores et déjà annoncé que d’autres opérations similaires seront menées dans les semaines à venir, afin de maintenir la pression sur les délinquants et garantir une meilleure sécurité pour tous les citoyens.

Ousmane Sonko lance sa campagne électorale à Thiès avec des promesses de transparence et de réformes

Dans un climat politique en pleine ébullition, le Premier ministre Ousmane Sonko a donné le coup d’envoi de la campagne nationale du parti Pastef depuis la région de Thiès, au Sénégal. C’est devant une foule nombreuse qu’il a révélé publiquement le montant de son salaire mensuel, soit 4 300 000 francs CFA. Un acte de transparence qui a suscité l’intérêt du public, rappelant la démarche similaire du président Diomaye Faye, qui avait révélé ses revenus de 4 800 000 francs CFA dans une déclaration de patrimoine.

Ce geste de transparence s’inscrit dans une stratégie de communication visant à asseoir la crédibilité et la proximité d’Ousmane Sonko avec les Sénégalais. Pendant cette caravane électorale, qui s’est déplacée de Keur Ndiaye Lo à Mékhé, en passant par Sangalkam, Tivaouane, et Darou Khoudoss, Sonko a multiplié les rencontres directes avec les populations locales pour écouter leurs préoccupations et réaffirmer ses engagements.

À Darou Khoudoss, l’une des étapes majeures de sa tournée, Sonko a abordé des enjeux cruciaux pour cette région minière, comme l’accès à l’eau et le développement de la production horticole. La question des contrats miniers, particulièrement ceux relatifs au secteur du phosphate, a été un point fort de son discours. Il a annoncé la mise en place d’une « Commission de relecture et de renégociation des contrats » chargée de réviser les accords existants et d’assurer une exploitation plus équitable des ressources naturelles du pays. « Nous avons des solutions concrètes pour cette région », a-t-il déclaré en réponse aux préoccupations des habitants sur ces questions fondamentales.

L’étape de Thiès a également été marquée par des attaques contre l’opposition, que Sonko accuse de privilégier les insultes et la diffamation au lieu du débat d’idées. « Certains ont choisi de faire de la politique par l’invective et la violence verbale, pensant que cela leur gagnera les cœurs des Sénégalais », a-t-il lancé, appelant ses adversaires à éviter la violence et à privilégier le calme dans les échanges politiques. Sonko a affiché une vision à long terme pour son parti, assurant que « Pastef est là pour plus de 50 ans », signifiant ainsi une ambition de stabilité durable pour son mouvement et son équipe.

Le Premier ministre a également évoqué son programme ambitieux, « Sénégal 2050 ». Distinct du Plan Sénégal Émergent (PSE) initié par ses prédécesseurs, ce programme est, selon Sonko, conçu pour anticiper les défis futurs du pays avec des réformes concrètes et de long terme. « Notre programme n’est pas une copie de ce qui a été fait auparavant ; il s’agit d’une vision stratégique pour le Sénégal de demain », a-t-il affirmé, promettant un développement axé sur des solutions pérennes, loin des approches à court terme.

Avec cette campagne, Sonko entend consolider sa place dans le paysage politique sénégalais en offrant une alternative politique axée sur la transparence, la réforme et la gestion responsable des ressources. Les prochaines étapes de la campagne donneront certainement plus de détails sur ses engagements spécifiques et sur la manière dont il compte redessiner l’avenir du Sénégal d’ici 2050.

Ousmane Sonko lance la préparation de la campagne législative avec une collecte de fonds

Le leader du parti Pastef-Les Patriotes, Ousmane Sonko, a annoncé une nouvelle étape dans la préparation de la campagne électorale en vue des élections législatives de novembre prochain. Lors d’un message adressé à ses militants, Sonko a encouragé ses partisans à se mobiliser activement pour ces échéances cruciales. Pour marquer cette mobilisation, il a annoncé le lancement officiel d’une collecte de fonds, qui aura lieu ce samedi 19 octobre à la Dakar Arena.

Cette collecte, cruciale pour soutenir la campagne du parti, sera organisée de manière inclusive, prenant en compte les différents niveaux de ressources des militants. Sonko a en effet précisé que toutes les couches sociales, des plus modestes aux plus fortunées, sont invitées à contribuer selon leurs moyens. Une catégorisation sera ainsi appliquée pour permettre à chacun de participer, quelle que soit sa situation économique.

L’objectif de cette campagne de financement est clair : renforcer la présence du Pastef sur le terrain à travers des actions concrètes et des outils adaptés pour sensibiliser la population sénégalaise sur les enjeux de ces élections législatives.

Cette stratégie financière participative vise à impliquer directement la base militante dans le processus électoral, en mettant en avant un effort collectif. Ousmane Sonko, figure centrale de l’opposition sénégalaise, espère ainsi rassembler autour de son parti un large soutien populaire, notamment à travers cette approche de financement participatif.

Avec l’échéance de novembre qui se rapproche, le Pastef semble vouloir jouer la carte de la mobilisation populaire et de la transparence pour marquer des points dans une campagne où les ressources financières seront un facteur déterminant. Le lancement de la collecte de fonds à la Dakar Arena promet d’être un moment fort dans la montée en puissance du parti à l’approche des élections législatives.

Le Gouvernement Lance un Plan National de Relance Économique pour la Casamance

Le Premier ministre Ousmane Sonko a annoncé lundi, lors d’une réunion interministérielle, la mise en place d’un ambitieux plan national visant à relancer l’économie des régions de Ziguinchor, Sédhiou et Kolda, dans le sud du Sénégal, à travers une initiative intitulée « Plan du Président de la République pour la Casamance ». Ce programme, d’une durée de deux ans (2024-2025), s’inscrit dans une dynamique de réhabilitation et de développement après plusieurs décennies de conflit dans cette région.

Le Premier ministre a souligné que cette relance économique est orchestrée sur « instructions du président de la République » et que son objectif est de « restaurer l’équilibre au niveau de cette région impactée par plusieurs années de conflit ». La Casamance, en proie à une rébellion indépendantiste depuis le début des années 1980, a vu de nombreux villages désertés par leurs habitants, fuyant l’insécurité.

Le plan de relance, doté d’un budget total de 53,6 milliards de francs CFA, sera piloté par l’Agence nationale de relance des activités économiques et sociales en Casamance (ANRAC). Il prévoit la construction d’infrastructures de base ainsi que le rétablissement des services déconcentrés de l’État dans les zones touchées. En outre, Ousmane Sonko a précisé que des comités de pilotage seront créés dans chaque région concernée, sous la supervision des gouverneurs locaux, afin d’assurer une meilleure coordination des efforts de développement.

Le Premier ministre a également mis en avant les progrès réalisés en matière de sécurité, notamment grâce à l’engagement de l’armée nationale, qui a permis le retour des populations dans 197 villages, représentant 5.655 ménages. Cependant, il reste encore 33 villages, soit 992 ménages, qui n’ont pas pu revenir à cause des séquelles du conflit. Le gouvernement a promis de tout mettre en œuvre pour assurer leur retour dans les meilleures conditions possibles.

Un autre volet crucial de ce plan est la déminage de la région, une opération essentielle pour garantir la sécurité des habitants. À cet effet, le gouvernement a alloué un budget spécial de 10 milliards de francs CFA pour mener à bien cette mission, qui permettra d’accélérer le retour à une vie normale pour les populations locales.

Ce plan de relance économique marque un tournant pour la Casamance, une région longtemps marginalisée en raison de son instabilité. Il symbolise l’engagement du gouvernement sénégalais à rétablir la paix et la prospérité dans cette partie du pays.

Dissolution imminente de l’Assemblée nationale : Le Président Bassirou Diomaye Faye lance le processus

Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a franchi une étape décisive vers la dissolution de la 14e Législature, en envoyant une demande d’avis au Président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop. Selon les informations obtenues par L’Observateur, cette correspondance référencée n°313/Pr, datée du 9 septembre, marque le début du processus légal visant à dissoudre le Parlement.

Dans sa lettre, le Président Faye rappelle les dispositions de l’article 87 de la Constitution, qui autorise le Chef de l’État à dissoudre l’Assemblée nationale, après consultation du Premier ministre et du Président de l’Assemblée nationale. Il mentionne également la décision n°2/C/2024 du Conseil constitutionnel, en date du 10 juillet 2024, qui stipule que cette dissolution est légalement possible à partir du 12 septembre 2024.

Le chef de l’État a ainsi sollicité l’avis du Président de l’Assemblée sur la dissolution à partir de cette date, en fixant un délai de réponse au 11 septembre 2024, soit la veille de la date limite indiquée par le Conseil constitutionnel. Le Président Faye semble vouloir respecter les délais pour initier cette démarche de manière rigoureuse.

Cette demande de dissolution de l’Assemblée place un voile d’incertitude sur la Déclaration de politique générale prévue le 13 septembre par le Premier ministre. Si la dissolution est actée, elle pourrait rendre caduc cet événement parlementaire majeur. Tout semble indiquer que la fin de la 14e Législature est désormais une question de jours, et que le Président Diomaye Faye est résolu à faire usage de ses prérogatives constitutionnelles.

Cette décision pourrait avoir des répercussions importantes sur la scène politique nationale, avec une possible recomposition du paysage parlementaire à l’horizon.

L’association BËT-SET/L’Aurore lance le projet « Vacances Numériques » au profit des jeunes diplômés du cycle moyen-secondaire et des professionnels, centré sur les outils numériques et digitaux.

La région du Sine-Saloum est reconnue pour la diversité de ses secteurs porteurs d’emplois et d’opportunités. On y observe aujourd’hui une croissance économique notable dans des secteurs tels que l’agriculture, l’élevage, l’aviculture et l’artisanat, entre autres. Selon l’association BËT-SET/L’Aurore, initiatrice de ces formations, cette transformation s’explique par la modernisation de ces secteurs et la création d’entreprises formelles.

« Malgré cette croissance, le potentiel économique n’a pas été pleinement exploité. L’une des causes de ce retard peut être attribuée à un manque de maîtrise et à une mauvaise utilisation des outils numériques. Dans les établissements du cycle moyen-secondaire, les programmes de soutien financier en informatique font défaut, » a expliqué Bouna Mané, président de ladite association. Les jeunes bacheliers orientés vers les Universités Virtuelles rencontrent de nombreuses difficultés, en particulier liées à leurs premiers contacts avec l’ordinateur. De plus, dans les services publics comme privés, en l’absence de formations pour renforcer les compétences du personnel, des lenteurs sont souvent observées dans le fonctionnement et l’efficacité du travail, a ajouté M. Mané.

Selon lui, la quasi-totalité des opportunités et informations sur les offres de formation et d’emploi passent désormais par des canaux numérisés ou digitalisés, et pour y répondre ou en bénéficier, il est nécessaire de maîtriser ces outils. « Nous constatons qu’en période de vacances scolaires, la plupart des élèves consacrent leur temps à des activités futiles, souvent durant la même période que les congés des travailleurs professionnels. C’est pour cette raison que l’association BËT-SET/L’Aurore et son partenaire Business Consulting Group (BC-Group) ont lancé le projet ‘Vacances Numériques' », a conclu Bouna Mané lors de sa conférence de presse ce lundi.

Sokhna Aida Saliou Thioune, la « mère des thiantacounes », se lance dans le monde des affaires avec une boutique de tissus de luxe

Connue comme la « mère des thiantacounes » et veuve de feu Cheikh Béthio Thioune, Sokhna Aida Saliou Thioune surprend en dévoilant une nouvelle facette d’elle-même en tant que femme d’affaires. Hier, elle a inauguré sa nouvelle boutique, entièrement dédiée à la vente de tissus de luxe.

Dans une déclaration, elle exprime son désir d’inspirer les jeunes à travers son travail en montrant l’exemple et en créant des opportunités d’emploi. Cette initiative témoigne de sa volonté de contribuer au développement économique et social en offrant des possibilités d’emploi dans son domaine d’expertise.

Passionnée de mode, Sokhna Aida Saliou Thioune a déjà fait ses premiers pas dans l’industrie textile en lançant sa propre maison de couture l’année dernière. Sa ligne de vêtements, en phase avec les tendances actuelles, a rencontré un franc succès auprès d’une clientèle avide de créations élégantes et raffinées.

Cette nouvelle entreprise montre la diversité des talents et des intérêts de Sokhna Aida Saliou Thioune, démontrant qu’elle est bien plus qu’une figure religieuse éminente. Son engagement envers l’autonomisation économique et la création d’emplois illustre sa vision de contribuer positivement à la société et d’inspirer les générations futures par son exemple.

Avec cette nouvelle boutique, Sokhna Aida Saliou Thioune ouvre un nouveau chapitre dans sa vie professionnelle, où elle combine sa passion pour la mode avec son désir de soutenir la jeunesse et de favoriser le développement économique local.

Le Maire de Dakar lance les travaux d’extension du Collège d’Enseignement Moyen de Cambérène Seydina Issa Laye

Le Maire de Dakar, M. Barthelemy Dias, a récemment inauguré les travaux d’extension du Collège d’Enseignement Moyen (CEM) de Cambérène Seydina Issa Laye. Ces travaux, représentant un investissement total de 341 millions de francs CFA, marquent une étape importante dans le renforcement du système éducatif de la région en offrant à la jeunesse un cadre propice à son développement académique.

L’extension prévue permettra d’accueillir un nombre accru d’élèves dans des conditions optimales, avec des salles de classe modernes et équipées des dernières technologies. Cette initiative reflète l’engagement de la municipalité envers l’éducation et l’avenir de la jeunesse, considérant l’éducation comme la clé de la prospérité de la ville de Dakar.

En investissant dans ces infrastructures éducatives, la municipalité de Dakar démontre sa volonté de garantir à chaque enfant l’accès à une éducation de qualité, favorisant ainsi l’égalité des chances et le développement socio-économique de la région. Ces travaux témoignent de la vision à long terme du Maire et de son administration pour faire de Dakar un pôle d’excellence éducative.

Cette initiative a été chaleureusement accueillie par la communauté éducative et les habitants de Cambérène Seydina Issa Laye, illustrant leur volonté collective de construire un avenir meilleur pour la jeunesse de Dakar. En unissant leurs efforts, les autorités locales, les enseignants, les élèves et les parents contribuent à faire de l’éducation une priorité absolue, garantissant ainsi un avenir prometteur pour la ville et ses habitants.

L’Iran lance une vaste attaque de drones contre Israël

L’Iran a orchestré une attaque majeure contre Israël en lançant une série de drones kamikazes depuis son territoire, selon les déclarations officielles des deux pays. L’armée israélienne a rapporté que 238 drones kamikazes ont été déployés par les Gardiens de la Révolution d’Iran dans cette offensive.

Cette attaque survient après plusieurs jours d’anticipation et de craintes concernant une possible escalade des tensions entre l’Iran et Israël. Les relations entre les deux nations se sont détériorées ces dernières années en raison de divergences stratégiques, notamment en ce qui concerne les ambitions nucléaires de l’Iran et les positions géopolitiques dans la région du Moyen-Orient.

Peu de temps après les déclarations israéliennes, Téhéran a officiellement confirmé avoir lancé des drones et des missiles en direction d’Israël. La télévision d’État iranienne a rapporté que les Gardiens de la Révolution d’Iran ont ciblé « des cibles spécifiques » lors de cette opération, sans donner plus de détails sur les sites visés ou les éventuelles pertes.

L’attaque suscite une vive préoccupation au niveau international, de nombreux pays appelant à la retenue et à la désescalade. Les États-Unis, qui soutiennent Israël, ont réitéré leur engagement envers la sécurité d’Israël et condamné l’attaque de l’Iran.

Cette attaque de grande envergure risque d’aggraver davantage les tensions déjà tendues au Moyen-Orient. Les conséquences de cette offensive pourraient être importantes, tant sur le plan régional qu’international, avec le risque d’une escalade militaire et de représailles.

L’attaque massive de drones lancée par l’Iran contre Israël marque un tournant dangereux dans les relations déjà fragiles entre les deux pays. Alors que la communauté internationale appelle à la désescalade, il est crucial de surveiller de près l’évolution de la situation et les éventuelles répercussions sur la stabilité régionale du Moyen-Orient.

L’Iran lance une vaste attaque de drones et de missiles vers Israël

La tension entre l’Iran et Israël atteint un nouveau pic. Dans la nuit de samedi à dimanche, la télévision d’État iranienne a rapporté que le Corps des Gardiens de la Révolution, l’armée idéologique de la République islamique, a mené une attaque d’envergure vers Israël, utilisant à la fois des drones et des missiles.

La télévision d’État a précisé que cette attaque était une réponse aux actions du « régime sioniste », notamment l’attaque contre la section consulaire de l’ambassade de l’Iran à Damas et le décès d’un groupe de commandants et conseillers militaires iraniens en Syrie. Ces événements ont été vivement condamnés par l’Iran, qui y voit une escalade des provocations israéliennes dans la région.

« En réponse aux nombreux crimes commis par le régime sioniste, (…) l’armée de l’air de la Force aérospatiale du Corps des Gardiens de la révolution islamique a tiré des dizaines de missiles et de drones sur des cibles spécifiques à l’intérieur des territoires occupés », a indiqué la télévision d’État, citant les relations publiques des Gardiens.

Cette attaque marque une nouvelle escalade dans les tensions déjà vives entre l’Iran et Israël. Elle intervient dans un contexte régional volatile où les actions militaires et les représailles se multiplient, augmentant le risque d’un conflit ouvert.

La communauté internationale suit de près cette situation préoccupante et appelle à la retenue et à la désescalade. Face à cette montée des tensions, il est crucial que toutes les parties fassent preuve de retenue et s’engagent dans un dialogue constructif pour éviter une confrontation majeure aux conséquences imprévisibles pour la stabilité du Moyen-Orient.

L’Iran lance des drones vers Israël : Tensions régionales exacerbées

Dans un nouvel épisode des tensions persistantes entre l’Iran et Israël, l’Iran a lancé samedi une attaque de drones en direction d’Israël depuis son territoire. Cette action a été confirmée par le porte-parole de l’armée israélienne, Daniel Hagari, lors d’une allocution télévisée donnée peu après 23h00 (20h00 GMT).

Cet incident vient accentuer les tensions déjà vives entre les deux nations. Israël a régulièrement accusé l’Iran de chercher à étendre son influence et de soutenir des groupes hostiles dans la région. De son côté, l’Iran a fréquemment critiqué les politiques et actions d’Israël au Moyen-Orient.

À l’heure actuelle, les détails de l’attaque, y compris la cible visée par les drones et les dommages potentiels causés, demeurent inconnus. Les attaques par drones sont devenues un outil courant dans les conflits modernes, offrant une capacité d’attaque à distance tout en minimisant les risques pour les forces attaquantes.

Israël, ayant déjà été confronté à des attaques similaires par le passé, dispose de systèmes de défense aérienne avancés pour contrer de telles menaces.

La région du Moyen-Orient demeure un foyer de tensions et d’incertitudes, où les provocations peuvent rapidement escalader en conflits plus larges. Les réponses d’Israël à cette attaque seront donc étroitement surveillées, car elles pourraient définir le ton des interactions futures entre les deux nations.

Alors que l’Iran et Israël continuent de s’affronter par procuration et de s’accuser mutuellement, cette attaque de drones récente illustre une escalade préoccupante des hostilités. Dans ce contexte tendu, la communauté internationale appelle à la retenue et à la recherche de solutions diplomatiques pour éviter une nouvelle flambée de violence dans la région.

Le Hezbollah lance des roquettes sur des positions israéliennes en réponse aux attaques au Liban

Le mouvement libanais Hezbollah, soutenu par l’Iran, a annoncé vendredi avoir lancé « des dizaines de roquettes » sur des positions israéliennes en réaction aux attaques israéliennes récentes dans le sud du Liban.

Dans un communiqué officiel, le Hezbollah a déclaré : « Les combattants du Hezbollah ont attaqué des positions d’artillerie ennemies (…) avec des dizaines de roquettes de type Katioucha ». Le mouvement a précisé que cette action était « une réponse aux attaques de l’ennemi contre (…) des villages du sud et des maisons civiles ».

Ces échanges de tirs interviennent dans un contexte de tension croissante entre le Liban et Israël, exacerbée par des incidents récents dans la région frontalière. Le Liban a accusé Israël de mener des attaques contre des cibles civiles dans le sud du pays, tandis qu’Israël affirme agir en réponse aux provocations du Hezbollah et pour se protéger contre les menaces venant du Liban.

Le Hezbollah, qui est à la fois une organisation politique et une milice armée, joue un rôle clé au Liban et est considéré comme un acteur majeur dans les conflits régionaux. Son soutien à l’Iran et son opposition à Israël en font une source majeure de tension au Moyen-Orient.

La communauté internationale, y compris les États-Unis et d’autres pays occidentaux, a appelé à la désescalade et à la retenue, soulignant la nécessité pour toutes les parties de respecter la souveraineté et l’intégrité territoriale du Liban.

Cette nouvelle escalade souligne l’urgence de relancer les efforts diplomatiques pour résoudre les tensions régionales et éviter une nouvelle flambée de violence qui pourrait avoir des conséquences désastreuses pour la stabilité du Moyen-Orient.

Mansour Faye Lance le Projet Yoonu Jamm : Une Révolution dans les Transports Terrestres au Sénégal

Un vent de changement souffle sur le paysage des transports terrestres au Sénégal, avec l’introduction d’un premier lot de 200 minibus interurbains destinés à remplacer les traditionnels « sept-places ». Cette initiative ambitieuse a été symboliquement lancée par le ministre des Transports terrestres et du Désenclavement, Mansour Faye, lors d’une cérémonie émouvante à Thiès.

Des représentants d’associations de transporteurs venues de diverses régions du Sénégal ont été les heureux récipiendaires de ces premiers véhicules, remettant ainsi les clés de l’avenir du transport interurbain entre leurs mains. La scène s’est déroulée en présence des dirigeants de l’Association pour le financement du transport urbain (AFTU), marquant ainsi le début d’une nouvelle ère dans le secteur des transports.

Ce premier lot de 200 véhicules, assemblés à l’usine Senbus de Thiès, est une étape cruciale d’un projet ambitieux nommé Yoonu Jamm. Lancé par l’AFTU en partenariat avec la Mutuelle d’épargne et de crédit des transporteurs (Mectrans), ce projet vise à moderniser et à améliorer le réseau de transport interurbain à travers le pays, sous la supervision attentive du ministère de tutelle.

La phase pilote de ce projet, démarrant avec ces 200 minibus de 12 places chacun, conducteur inclus, entrera en activité dans les jours à venir, comme l’a souligné Mansour Faye. Cette étape marque une avancée significative vers la concrétisation des objectifs de modernisation et d’efficacité dans le secteur des transports terrestres au Sénégal.

Pour Mansour Faye, cette remise symbolique des clés aux représentants des organisations de transporteurs venues de diverses régions du pays est plus qu’une simple cérémonie ; c’est un héritage de son mandat à la tête du ministère, un témoignage tangible de son engagement envers le progrès et le développement de l’infrastructure de transport du pays.

Ainsi, avec le projet Yoonu Jamm, le Sénégal franchit une nouvelle étape vers un système de transport interurbain plus moderne, efficace et sécurisé, offrant aux citoyens un accès amélioré à la mobilité et stimulant le développement économique à travers tout le pays.

Malicounda: Maguet Sene lance les travaux de deux axes routiers de la commune

La Commune de Malicounda démarre un programme de construction de routes sur une durée de 3 ans. Ce programme triennal débute ce mercredi 13 décembre 2022 à 15H lors d’une petite cérémonie prévue devant l’école de Takhoum 1 où doivent débuter les travaux. Deux axes sont prévus pour le compte des années 2023 et 2024, il s’agit de relier: Takhoum à Keur Meissa et Mbouleme à la Ville de Mbour. Ce programme financé sur le budget municipal concernera en plus des 2 villages cités Malicounda Ngogom, Fandane, Roff, Sinthiou Mbadane et Gagnabougou. A Malicounda, l’émergence se construit secteur par secteur !

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