Kaolack / Législatives 2024 : Baye Mbaye Niasse, coordonnateur du « MODDAP », salue la maturité du peuple sénégalais et félicite le parti PASTEF pour ses brillants résultats

Cheikh Baye Mbaye Niasse, responsable politique du parti PASTEF à Médina Baye et coordonnateur du Mouvement National des Domou Daaras Patriotes (MODDAP), s’est exprimé sur la victoire du PASTEF lors des élections législatives anticipées du 17 novembre 2024. Dans une déclaration à la presse, il a salué la souveraine volonté du peuple sénégalais et félicité le PASTEF pour sa large victoire.

« Un choix souverain du peuple sénégalais »

M. Niasse a déclaré :

Il a également souligné le rôle fédérateur qu’il a joué au sein du PASTEF dans la ville de Kaolack, notamment grâce aux stratégies mises en place et au soutien des partenaires locaux, tels que la directrice de la Case des Tout-Petits, Diamila Ibrahima Diallo, et le secrétaire général de la Sones, Aliou Badara Sy. Ces derniers ont mis à disposition des moyens logistiques, facilitant ainsi les rencontres avec les différents acteurs locaux.

Une Assemblée nationale de rupture

Cheikh Baye Mbaye Niasse a insisté sur la nécessité pour cette nouvelle Assemblée nationale de se concentrer sur la construction nationale :

Il a exhorté l’ensemble des Sénégalais à œuvrer ensemble pour bâtir un Sénégal stable, dynamique et profondément ancré dans les valeurs nationales.

Gratitude et engagement pour l’avenir

M. Niasse a exprimé sa gratitude envers les militants et sympathisants du PASTEF, en particulier ceux de Médina Baye, pour leur engagement durant la campagne électorale :

Kaolack au cœur des Concertations Nationales sur l’eau et l’assainissement

Abordant les enjeux stratégiques de Kaolack, Baye Mbaye Niasse a salué le choix de la ville comme lieu des Concertations Nationales sur le secteur de l’eau et de l’assainissement, prévues du 21 au 23 novembre 2024. Ces rencontres s’inscrivent dans la vision du président Bassirou Diomaye Faye et du Premier ministre Ousmane Sonko, visant à garantir l’accès universel à une eau de qualité et à des services d’assainissement pour tous.

Il a conclu en soulignant l’importance d’une gouvernance participative pour une gestion durable et équitable des ressources en eau.

Par ces propos, Cheikh Baye Mbaye Niasse a réaffirmé son engagement à œuvrer pour le développement de Kaolack et du Sénégal dans son ensemble.

Le Dakarois Quotidien & Le Dakarois Sports N°296 – du 14/10/2024

🔴 PACTE DE LÉGISLATURE : LA COALITION « GOX YU BESS » SUR SIX PRIORITÉS
🔴 CITÉE DANS UN PROJET DE 25 MILLIARDS F CFA POUR LA CONSTRUCTION ET L’ÉQUIPEMENT D’ÉCOLES, DE BLOCS ADMINISTRATIFS, ETC : SYNERGIES AFRIQUE ANNONCE UNE PLAINTE CONTRE MODY NIANG

🔴 TRAITEMENT DU GENOU : GALATASARAY, EN ACCORD AVEC LA FSF, GARDE JAKOBS
🔴 DÉLÉGATION DES « LIONS » AU MALAWI : ABDOULAYE SEYDOU SOW SORT ENFIN DU TERRITOIRE

DÉMISSIONS, MISES À L’ÉCART : L’APR amputée avant les législatives

L’Alliance pour la République (APR) est dans la tourmente avec une cascade de départs. Awa Guèye et Doudou Sène ont claqué la porte tandis qu’Abdoulaye Diouf Sarr est dans les dispositions de les suivre suite à la publication provisoire des listes pour les législatives du 17 novembre 2024.

À la surprise générale, Mamadou Lamine Massaly, Abdou Lahad Seck Sadaga et Diéguy Diop, infatigables défenseurs de l’ex-mouvance présidentielle, malgré les nombreuses attaques subies de leurs adversaires, ont été zappés de la liste de « Takku Wallu Senegal ». Une situation déplorée par certains militants et proche de Massaly qui disent ne pas comprendre ce choix vu tous les combats de principe que leur leader a mené. La dernière en date : la démissionné de son poste de Président du conseil d’administration (PCA) après la perte du pouvoir.

Quant à Zahra Iyane Thiam, Amy Ndiaye Gniby et Victorine  Ndèye, elles ont été investies par la coalition « Jam ak Jariñ » d’Amadou Ba. Figures emblématiques de l’APR, ces dernières ont tourné le dos a Macky Sall après la perte du pouvoir. Ce qui pourrait fragiliser Macky Sall.

Pour rappel, sur 49 dossiers déposés, 41 ont été retenus par la Direction générale des élections (DGE) qui a publié, ce lundi, la liste des candidatures retenues pour les législatives anticipées du 17 novembre. Toutefois, il faut signaler que « les recalés ont 24 heures pour faire leur recours au niveau du Conseil constitutionnel avant la publication de la liste définitiv ».

Législatives 2024 : 41 dossiers retenus par la DGE, les recalés ont 24 heures pour faire recours

La Direction Générale des Élections (DGE) a rendu sa première décision concernant les candidatures aux élections législatives de 2024. Sur les 49 dossiers de candidature déposés, 41 ont été validés, tandis que 8 ont été recalés pour diverses raisons administratives ou de conformité.

La validation des candidatures par la DGE constitue une phase clé dans la préparation des législatives, marquant le passage vers la campagne officielle. Pour les candidats dont les dossiers ont été rejetés, tout n’est pas encore perdu. Ils disposent d’un délai de 24 heures pour introduire un recours auprès du Conseil constitutionnel, qui aura le dernier mot sur la publication de la liste définitive des candidats.

Bien que les détails exacts des motifs de rejet des 8 dossiers n’aient pas encore été communiqués de manière officielle, les raisons habituelles incluent des erreurs dans la documentation, des irrégularités dans le parrainage ou des omissions dans les critères d’éligibilité. Les candidats concernés devront agir rapidement pour corriger ces défauts, s’ils espèrent encore figurer sur la liste officielle.

Une fois saisi, le Conseil constitutionnel dispose d’un délai relativement court pour examiner les recours déposés. Sa décision sera sans appel, et sa publication permettra de confirmer la liste définitive des candidats pour ces élections cruciales. Ce processus vise à garantir la transparence et l’équité dans le déroulement du scrutin, tout en assurant que seules les candidatures conformes aux exigences légales sont retenues.

Avec cette sélection des candidatures, le paysage politique se dessine progressivement, et les partis comme les coalitions affûtent leurs armes pour une campagne qui s’annonce intense. Les législatives de 2024 sont particulièrement attendues dans un contexte où les enjeux socio-économiques et politiques sont nombreux.

La prochaine étape, après la validation définitive des candidatures, sera le lancement officiel de la campagne électorale, durant laquelle chaque candidat pourra défendre son programme et convaincre les électeurs. Les recalés, eux, espèrent encore pouvoir se frayer un chemin via le Conseil constitutionnel.

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