Le Dakarois Quotidien N°334 – du 28/11/2024
🔴 TENTATIVE D’EXTERMINATION DES MEDIAS : L’HÉRÉSIE DU MONSTRE !
Le Real Madrid continue d’écrire son histoire dans la Ligue des Champions en décrochant son quinzième titre. Les Madrilènes ont triomphé du Borussia Dortmund (2-0) ce samedi soir, au stade de Wembley à Londres, lors d’une finale disputée et pleine de rebondissements.
Le match a débuté avec une domination nette du Borussia Dortmund, qui a mis la pression sur la défense madrilène. Les Allemands, bien organisés et offensifs, ont failli ouvrir le score à plusieurs reprises, mais la défense du Real Madrid, menée par un Thibaut Courtois impérial, a tenu bon.
Alors que le match semblait se diriger vers les prolongations, les Madrilènes ont trouvé la faille. À la 82ème minute, Dani Carvajal a ouvert le score d’une frappe puissante qui n’a laissé aucune chance au gardien de Dortmund. Ce but a libéré les joueurs du Real qui, galvanisés par cette avance, ont continué à pousser.
Vinicius Junior a scellé la victoire à la 90ème minute en inscrivant le second but, confirmant ainsi la supériorité madrilène dans les dernières minutes de la rencontre.
Avec cette victoire, le Real Madrid renforce son statut de club le plus titré de l’histoire de la Ligue des Champions, portant à quinze le nombre de ses trophées dans la compétition. Cette nouvelle consécration confirme la domination des Merengues sur le football européen.
Après la rencontre, l’entraîneur du Real Madrid, Carlo Ancelotti, a exprimé sa fierté : « C’est un moment incroyable pour le club et les supporters. Gagner ce trophée pour la quinzième fois montre notre détermination et notre qualité. »
Les joueurs, quant à eux, ont célébré cette victoire avec ferveur, soulignant l’esprit d’équipe et le travail acharné qui ont conduit à ce succès.
Cette victoire en Ligue des Champions clôture en beauté une saison mémorable pour le Real Madrid. Les dirigeants du club ont déjà les yeux tournés vers l’avenir, avec l’ambition de continuer à écrire de nouvelles pages glorieuses dans l’histoire du football.
Pour le Borussia Dortmund, cette défaite est certes amère, mais elle témoigne du potentiel de l’équipe. Les Allemands auront à cœur de revenir plus forts lors de la prochaine saison.
En attendant, les supporters du Real Madrid peuvent savourer ce quinzième titre, symbole de leur suprématie continue sur la scène européenne.
Le Borussia Dortmund a créé la surprise mardi soir en remportant une victoire spectaculaire au Parc des Princes contre le Paris Saint-Germain (PSG) sur un score de 1-0, décrochant ainsi son billet pour la grande finale de la Ligue des Champions à Wembley. Alors que beaucoup les sous-estimaient, les coéquipiers de Sébastien Haller ont montré qu’ils n’étaient pas là pour faire de la figuration.
Après avoir tranquillement assisté à la deuxième demi-finale entre le Real Madrid et le Bayern Munich, le Borussia Dortmund se prépare maintenant à retrouver les Madrilènes le 1er juin prochain pour une confrontation épique. Bien que le Real Madrid soit une équipe ayant remporté la C1 à 14 reprises et soit logiquement considéré comme favori, le directeur sportif du BVB, Sebastian Kehl, croit fermement en les chances de son équipe.
« Le Real Madrid est une machine à finaliser, c’est pourquoi il aborde la finale en tant que favori. Mais pourquoi ne pourrions-nous pas réaliser le miracle ? Je pense que nous avons suffisamment d’armes », a déclaré Kehl lors d’une interview avec la ZDF, cité par Onze Mondial.
Ce n’est pas la première fois que le Borussia Dortmund se retrouve en finale de la Ligue des Champions. En 2013, le club avait déjà atteint ce stade de la compétition, mais s’était incliné 2-1 contre le Bayern Munich, avec un but en fin de match d’Arjen Robben. Cette fois-ci, le Borussia Dortmund espère renverser la vapeur et décrocher le titre tant convoité.
Alors que les regards du monde entier seront tournés vers Wembley pour cette finale tant attendue, le Borussia Dortmund est prêt à relever le défi et à écrire une nouvelle page de son histoire. Avec une équipe déterminée et talentueuse, rien n’est impossible pour les Jaune et Noir, qui chercheront à créer un nouvel exploit sur la scène européenne.
Dans une soirée riche en émotions au stade Santiago-Bernabéu, le Real Madrid a écrit une nouvelle page de son histoire européenne en renversant le Bayern Munich 2-1 lors de la demi-finale retour de la Ligue des Champions. Avec un score nul 2-2 à l’aller, les Madrilènes avaient la pression pour faire pencher la balance en leur faveur devant leur public bouillant.
Le match a débuté avec une intensité palpable, les deux équipes se livrant un duel tactique intense. Le Bayern Munich a montré sa solidité défensive, faisant preuve d’une organisation impressionnante pour repousser les attaques incessantes du Real Madrid.
Cependant, malgré les efforts des Bavarois, c’est le Real Madrid qui a fini par ouvrir le score grâce à un but magistral de Davies à la 68e minute. Le stade a retenu son souffle alors que le Bayern semblait se diriger vers une qualification tant convoitée.
Mais le Real Madrid n’avait pas dit son dernier mot. Dans les dernières minutes du match, une erreur fatale de Neuer a permis à Joselu d’égaliser à la 88e minute, déclenchant l’euphorie parmi les supporters madrilènes. Et juste au moment où l’on pensait que le match se dirigeait vers les prolongations, Joselu a inscrit un but salvateur à la 90e+1 minute, propulsant le Real Madrid en finale.
La scène est désormais prête pour une finale épique à Wembley le 1er juin, où le Real Madrid affrontera le Borussia Dortmund. Cette confrontation promet d’être un véritable choc entre deux géants du football européen, avec le titre de champion de la Ligue des Champions en jeu.
Pour les Madrilènes, cette victoire est un témoignage de leur détermination et de leur esprit de combat. Ils ont surmonté les obstacles et ont montré qu’ils étaient prêts à tout pour poursuivre leur quête de gloire européenne. Reste à voir s’ils pourront conserver cet élan et décrocher le prestigieux trophée de la Ligue des Champions.
Daniele Orsato, l’arbitre italien de 48 ans, a vécu un moment poignant lors de la demi-finale retour de la Ligue des champions entre le PSG et Dortmund au Parc des Princes. Après avoir sifflé la fin du match, marquant ainsi la conclusion de sa dernière rencontre en Ligue des champions, Orsato a été submergé par l’émotion et a fondu en larmes au milieu de la pelouse.
Ses assistants se sont rapidement rassemblés autour de lui pour lui apporter leur soutien et lui offrir une étreinte réconfortante. Cette scène a touché de nombreux spectateurs, témoignant de la profonde implication émotionnelle de l’arbitre dans son dernier match de cette compétition prestigieuse.
Daniele Orsato, qui prendra sa retraite à la fin de la saison, a eu une carrière riche et variée. Après avoir débuté en 1993, il a dirigé plus de 600 matchs professionnels, dont 288 en Serie A. Le match entre le PSG et Dortmund était son 55e match en Ligue des champions. Il a également eu l’honneur d’arbitrer la finale à huis clos entre le PSG et le Bayern Munich en 2020.
Bien qu’il tire sa révérence de la Ligue des champions, Orsato a encore un dernier défi à relever : officier pour la première fois lors d’un Euro cet été en Allemagne. Son expérience et son professionnalisme ont été reconnus à l’échelle internationale, comme en témoigne sa participation à la Coupe du monde 2022 au Qatar, où il a arbitré des matchs de haut niveau, dont les rencontres de l’équipe nationale argentine dirigée par Lionel Messi.
Cette scène d’émotion sur le terrain du Parc des Princes restera gravée dans les mémoires comme un hommage sincère à la carrière exemplaire de Daniele Orsato dans le monde du football.
Comme au match aller, le Paris Saint-Germain s’est une nouvelle fois incliné face au Borussia Dortmund ce mardi 7 mai 2024 au Parc des Princes pour la demi-finale retour (1-0). Mats Hummels a inscrit le but de la victoire qui envoie le club allemand en finale le 1er juin à Wembley.
Virtuellement éliminé à la pause, le PSG n’est pas loin de filer aux vestiaires avec un deuxième but de retard. À la 35e minute, Dortmund file en contre à deux contre deux, Adeyemi accélère, échappe à Marquinhos et frappe du gauche dans la surface. Donnarumma à la parade avec sa main gauche sauve son équipe. Le ton est donné.
Battu 1-0 à l’aller, le Paris Saint-Germain n’est pas encore sorti d’affaire au bout d’une première période sans grande inspiration, avec un Mbappé timoré. La dernière grande performance du capitaine des Bleus en Ligue des champions date du match retour de huitième de finale contre la Real Sociedad en mars dernier. Son doublé à Barcelone en avril avait été éclipsé par les performances d’Ousmane Dembélé, Bradley Barcola et Vitinha.
Alors que le PSG n’a jamais enchaîné deux mauvais matches en phase d’élimination directe, le club parisien ne semble pas meilleur dos au mur face à Dortmund. Si Vitinha tente sa chance de loin à la 42e minute, jamais les hommes de Luis Enrique n’arrivent à mettre le feu au Parc des Princes. Crispés, les joueurs de la capitale se devaient de lâcher le frein à main pour soulever les tribunes et prendre ce fameux ticket pour la finale à Wembley. Échouer contre Dortmund, aux portes d’une finale, et alors que tout semblait sourire aux Parisiens cette saison – jusqu’au tirage au sort de la phase finale qui leur a donné un tableau ouvert -, est une grosse déception pour le club.
En début de seconde période, alors que Zaïre-Emery trouve le poteau à la 47e minute, le Borussia glace le Parc des Princes avec l’ouverture du score grâce à une tête piquée de Mats Hummels au second poteau. Son tout premier but cette saison en C1. Mats Hummels, qui avait réussi à maîtriser Kylian Mbappé mercredi dernier, enfonce le clou.
Paris insiste, mais la pièce ne tombe toujours pas du bon côté. Face au but, Ramos a l’occasion d’inscrire le premier but parisien, mais il envoie le ballon au-dessus des cages (60e). De son côté, Mendes touche le poteau (61e) et Mbappé la transversale (86e). Vitinha touche aussi la transversale un peu plus tard. La chance n’est pas du côté parisien.
Ce soir à Paris, l’enjeu était énorme pour le club de la capitale. Et les coéquipiers de Mbappé vont certainement regretter le faux pas lors du match aller face à un adversaire largement à sa portée. Après des éliminations en huitièmes de finale lors des deux précédentes éditions, cette nouvelle sortie gâche ce qui devrait être le dernier match de Mbappé en C1 au Parc des Princes. Dortmund s’offre une troisième finale après 1996-97 et 2012-13.
Pour rejoindre Wembley et la finale de Ligue des champions, le Paris Saint-Germain va devoir renverser la situation mardi 7 mai face à Dortmund au Parc des Princes, après la défaite du match aller (1-0).
« On est sûr qu’on va remonter ce score et qu’on va se qualifier pour la finale », assure Kylian Mbappé, l’attaquant vedette du Paris Saint-Germain. Et d’ajouter : « Il y a beaucoup de pression, c’est normal parce qu’il y a une place en finale de Ligue des champions, ce qui n’est pas négligeable. D’autant plus quand on connaît le passif du club dans la compétition. »
Aidé par un tableau ouvert depuis les huitièmes de finale, le PSG a retrouvé en demi-finale aller un club qu’il a maîtrisé en phase de poule (2-0; 1-1). Mais contre les Parisiens, les joueurs de Dortmund ont eu plus de détermination pour forcer leur destin.
Avec Lucas Hernandez forfait après une rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche et qui sera éloigné des terrains de longs mois, Nuno Mendes en dedans physiquement, l’entraîneur du PSG Luis Enrique va devoir trouver des solutions en défense pour espérer de nouveau retourner la situation. Après s’être blessé sur le but de Dortmund à l’aller, Hernandez a été remplacé mercredi par le Brésilien Lucas Beraldo, apprécié par son entraîneur pour ses passes qui cassent les lignes. Mais, à 20 ans, il découvre les matches de ces hauteurs vertigineuses. Or, pour se qualifier en finale de Ligue des champions à Wembley, la défense parisienne devra obligatoirement être solide.
Pour contrôler le jeu en profondeur de Dortmund, mal maîtrisé à l’aller à l’image du but de Niclas Füllkrug, Luis Enrique devra choisir entre le jeune Brésilien ou le Portugais Danilo Pereira, 32 ans.
Lors du match aller, les Parisiens n’ont pas mis assez d’intensité. Ils ont perdu trop de duels, comme Nuno Mendes et Bradley Barcola, qui ont paru émoussés ou inhibés. Sans compter le milieu Warren Zaïre-Emery, moins impressionnant depuis plusieurs semaines, qui arrive trop peu à se projeter. Kylian Mbappé et Ousmane Dembélé ont trop peu pesé.
« Les joueurs ne sont pas des robots ou des machines. On a manqué d’intensité face à une atmosphère contre nous. On n’a pas été incisifs. Je n’ai rien à reprocher à l’état d’esprit de mes joueurs en seconde période. Cela n’a rien à voir avec la tactique, on a manqué de chance pour marquer », avait indiqué Luis Enrique à l’issue de la première manche.
Le capitaine parisien Marquinhos a assuré que le PSG était « confiant », « prêt émotionnellement » et qu’il pouvait « faire mieux ». « Après le match, on s’est dit qu’on pouvait faire mieux et le coach a cadré cela et nous a montré la stratégie », a déclaré le défenseur brésilien, qui sera aligné en charnière aux côtés de Danilo ou de Lucas Beraldo en raison du forfait de Lucas Hernandez. Selon le capitaine de 29 ans, qui jouera sa 3e demi-finale de C1 avec Paris, Dortmund « est un grand adversaire » et mardi « le match va être très dur », mais « ce n’est pas maintenant qu’on va tout changer ».
Les hommes de Luis Enrique devront à tout prix l’emporter, d’au moins un but pour jouer la prolongation et plus s’ils veulent décrocher une qualification sans passer par des tirs au but, quatre ans après la finale perdue (1-0) à Lisbonne contre le Bayern Munich, à l’époque du Covid-19.
Dans un duel épique entre deux géants du football européen, le Bayern Munich et le Real Madrid ont offert un spectacle captivant lors de la demi-finale aller de la Ligue des champions. Au terme d’un match riche en rebondissements et en intensité, les deux équipes se sont séparées sur un score de parité de 2-2, laissant tout à jouer lors du match retour au stade Santiago Bernabeu.
Les 75 000 spectateurs présents à l’Allianz Arena ont été emportés dans une véritable montagne russe émotionnelle alors que les deux équipes se disputaient une place en finale à Wembley, le 1er juin prochain. Avec 14 titres de champions d’Europe pour le Real Madrid et 6 pour le Bayern Munich, l’enjeu était immense pour ces deux mastodontes du football continental.
La rencontre a débuté sur les chapeaux de roue, avec une domination initiale du Bayern et des occasions franches dès les premières minutes, notamment avec Leroy Sané et Harry Kane. Cependant, c’est le Real Madrid qui a ouvert le score grâce à Vinicius, sur une passe magistrale de Toni Kroos, illustrant le réalisme habituel des Merengues dans cette compétition prestigieuse.
Le public munichois a ensuite vécu une véritable montée d’adrénaline en seconde période, avec quatre minutes de pur bonheur entre la 53e et la 57e minute. Leroy Sané a inscrit un but puissant après une belle combinaison avec Joshua Kimmich, suivi immédiatement d’un penalty obtenu par Jamal Musiala et transformé avec brio par Harry Kane, plaçant ainsi le Bayern en tête.
Cependant, à dix minutes du terme, le Real Madrid a renversé la vapeur avec un penalty converti par Vinicius, signant ainsi un doublé crucial et permettant aux Madrilènes de garder espoir avant le match retour.
Cette confrontation entre le Bayern et le Real, qui est leur huitième demi-finale en Ligue des champions, a pris une nouvelle dimension avec ces rebondissements imprévisibles. Tandis que le Bayern est sous pression pour sauver sa saison après avoir perdu le titre de champion d’Allemagne et été éliminé précocement de la Coupe d’Allemagne, le Real Madrid reste en position de force en Liga et pourrait même être sacré champion dès le prochain match.
Le suspense est à son comble alors que les deux équipes se préparent pour une bataille décisive au stade Santiago Bernabeu, où un seul objectif prévaut : une place en finale de la Ligue des champions.
Dans une récente interview accordée à la chaîne YouTube Le Media Carré, le défenseur central du Real Madrid, Antonio Rüdiger, a abordé avec humour l’éventualité d’une confrontation avec le Paris Saint-Germain en finale de la Ligue des champions.
Interrogé sur la manière dont il ferait face à la menace de Kylian Mbappé, l’international allemand a répondu avec une touche de taquinerie : « Si on affronte Kylian Mbappé et le PSG en finale, nous allons les battre. S’il me dribble en finale, je l’explose. »
Cette déclaration, teintée d’humour et de détermination, illustre l’attitude confiante de Rüdiger envers son équipe et sa capacité à relever les défis qui se présentent. Tout en reconnaissant le talent exceptionnel de Mbappé, il affirme sa détermination à le contrer sur le terrain.
Rüdiger a également partagé ses réflexions sur les spéculations entourant un éventuel transfert de Mbappé au Real Madrid. Bien qu’il reste prudent en soulignant que rien n’est encore officiel, il est ouvert à cette possibilité et estime que le Real Madrid serait une destination appropriée pour un joueur de la qualité de Mbappé.
« Est-ce que c’est un bon choix que Mbappé aille au Real ? Qui a dit qu’il venait ? Ce n’est pas officiel. Les meilleurs joueurs ont toujours joué au Real, donc oui, ça fonctionnerait bien », a déclaré Rüdiger.
Ces commentaires de Rüdiger offrent un aperçu de l’ambiance détendue mais compétitive qui règne au sein du Real Madrid, ainsi que de la manière dont les joueurs abordent les défis à venir, même lorsqu’ils incluent des adversaires de calibre mondial comme Mbappé et le PSG.
La demi-finale tant attendue de la Ligue des champions entre le Borussia Dortmund et le Paris Saint-Germain suscite un intérêt particulier, non seulement sur le plan sportif, mais également sur le plan politique et idéologique. Pour certains fans allemands, cet affrontement dépasse les simples enjeux sportifs, reflétant des valeurs et des perceptions divergentes entre les deux clubs.
Les supporters du Borussia Dortmund expriment un fort désir de vaincre le PSG, qu’ils perçoivent comme un club aux valeurs peu respectables. Ils critiquent notamment la politique de recrutement du PSG, qu’ils estiment axée sur l’achat de stars à prix exorbitant, financé par le Qatar. Pour ces supporters, le PSG incarne l’image du « nouveau riche » du football européen, en opposition aux valeurs traditionnelles et à l’indépendance des clubs allemands.
La tension entre les deux clubs ne se limite pas au terrain, mais s’étend également aux tribunes et aux questions financières. Les supporters de Dortmund ont critiqué les tarifs élevés des billets au Parc des Princes lors du match de phase de groupes, et des médias allemands ont rapporté que le PSG aurait réduit le nombre de places disponibles pour les supporters visiteurs lors du match retour à Paris.
Cette opposition entre Dortmund et le PSG revêt donc une dimension politique, mettant en lumière les différences de valeurs et d’approches entre les deux clubs. En Allemagne, où les supporters attachent une grande importance à l’indépendance des clubs et sont souvent hostiles aux investisseurs privés, le Qatar et d’autres investisseurs étrangers sont perçus avec méfiance.
Les dirigeants du Borussia Dortmund ont également exprimé leurs préoccupations concernant le rôle croissant des États et des investisseurs privés dans le football, soulignant les défis posés par des clubs tels que le PSG et Newcastle, propriétés de gouvernements étrangers ou de grandes entreprises. Cette dimension politique ajoute un élément supplémentaire à l’affrontement entre Dortmund et le PSG, faisant de cette demi-finale un événement à la fois sportif et symbolique.
Ce vendredi marquera les demi-finales retour de la prestigieuse Ligue des champions de la Confédération africaine de football (CAF). L’affiche s’annonce captivante alors que les équipes en lice se battent pour une place en finale.
À Pretoria, les Sud-Africains de Mamelodi Sundowns accueilleront les Tunisiens de l’Espérance Tunis. Lors du match aller, les Maghrébins avaient pris l’avantage en s’imposant 1-0. Cette rencontre cruciale sera placée sous la direction d’un trio arbitral sénégalais, avec Issa Sy en tant que directeur de la partie, assisté de Djibril Camara et Nouha Bangoura. Issa Sy, faisant partie des arbitres de la dernière Coupe d’Afrique des Nations, apporte son expérience à cette rencontre décisive.
L’autre demi-finale retour opposera Al Ahly d’Égypte au TP Mazembe, où figurent les Sénégalais Lamine Ndiaye (coach) et Alioune Badara Faty (gardien de but). La rencontre se déroulera au Caire et sera dirigée par l’arbitre kényan Peter Waweru.
Ces deux confrontations s’annoncent intenses et cruciales pour les équipes engagées. Les supporters de football à travers le continent retiennent leur souffle en attendant de découvrir quels clubs se qualifieront pour la grande finale de la Ligue des champions CAF.
Le Real Madrid a réalisé un exploit mémorable en se hissant en demi-finale de la Ligue des champions, ce mercredi 17 avril, après une confrontation palpitante contre Manchester City à l’Etihad Stadium. Après un score cumulé de 4-4 sur les deux matchs, le Real Madrid a finalement remporté la qualification aux tirs au but, avec un score de 4-3.
Ce match intense a vu le Real Madrid tenir tête au tenant du titre, Manchester City, dans un duel d’une grande intensité. Les hommes de Carlo Ancelotti ont montré leur détermination et leur résilience, se battant jusqu’au bout pour décrocher leur place en demi-finale.
Le club de la capitale espagnole affrontera désormais le redoutable Bayern Munich pour une place en finale de la prestigieuse compétition européenne. Cette demi-finale s’annonce comme un affrontement épique entre deux géants du football européen, promettant un spectacle captivant pour les amateurs de football du monde entier.
En se qualifiant pour les demi-finales de la Ligue des champions, le Real Madrid confirme une fois de plus sa place parmi les meilleures équipes du continent. Les supporters du club merengue peuvent désormais espérer une nouvelle conquête européenne, alors que l’équipe se prépare à affronter le Bayern Munich dans un duel qui s’annonce épique et plein de suspense.
Mardi soir, le Paris SG a écrit une nouvelle page de son histoire européenne en se qualifiant pour les demi-finales de la Ligue des Champions. Après une victoire 4-1 sur le terrain du FC Barcelone, les Parisiens ont confirmé leur avantage du match aller (2-3) et se sont assurés une place parmi les quatre meilleures équipes du continent.
Le match a débuté sur les chapeaux de roue avec une ouverture du score rapide du côté du Barça par l’intermédiaire de Raphinha à la 12e minute. Cependant, l’expulsion controversée de Ronald Araujo à la 29e minute a changé la donne. Le défenseur barcelonais a laissé son équipe à dix contre onze pendant une heure, offrant ainsi un avantage significatif aux Parisiens.
Ousmane Dembélé a rapidement profité de la situation pour égaliser à la 40e minute, suivi par un but de Vitinha à la 54e minute qui a mis le PSG en tête. Kylian Mbappé, en grande forme, a ensuite inscrit un doublé, dont un sur penalty à la 61e minute, portant le score final à 4-1 en faveur des visiteurs. Mbappé a ainsi confirmé son statut de joueur-clé en marquant deux des quatre buts de son équipe.
Cette victoire est d’autant plus remarquable que le Paris SG a su faire preuve de caractère et d’efficacité pour tirer parti de l’avantage numérique qui lui a été offert. La performance collective des Parisiens, combinée à l’inspiration individuelle de Mbappé et de Dembélé, a été la clé de cette qualification.
Le prochain défi qui attend le Paris SG sera tout aussi redoutable. En demi-finales, ils affronteront le Borussia Dortmund, une autre équipe européenne de premier plan. Ce duel promet d’être palpitant, opposant deux des meilleures formations du continent dans une confrontation qui s’annonce déjà comme un choc au sommet.
Les supporters du Paris SG peuvent être fiers de leur équipe, qui continue de progresser dans cette compétition prestigieuse. Avec une place en demi-finales assurée, les Parisiens sont plus que jamais déterminés à réaliser leur rêve de remporter la Ligue des Champions cette saison. La suite s’annonce passionnante pour les fans de football du monde entier !
Le Borussia Dortmund a réalisé un exploit mardi soir en éliminant l’Atlético Madrid lors du quart de finale retour de la Ligue des champions. Malgré une défaite 2-1 à l’aller en Espagne, Dortmund a renversé la situation en s’imposant 4-2 à domicile, se qualifiant ainsi pour les demi-finales de la compétition européenne.
Dortmund a rapidement pris l’avantage en première mi-temps grâce à des buts de Brandt à la 34e minute et de Maatsen à la 39e minute. Ces réalisations ont permis au BVB de mener 2-0 à la pause, offrant un avantage précieux avant la seconde période.
Au retour des vestiaires, l’Atlético Madrid a montré un visage plus combatif et a réussi à revenir au score. Un but contre-son-camp de Mats Hummels à la 49e minute a redonné espoir aux Colchoneros. Angel Correa a ensuite égalisé à la 64e minute, portant le score à 2-2 et relançant complètement la rencontre.
Malgré la pression, le Borussia Dortmund a su réagir et reprendre l’avantage. Johannes Füllkrug a inscrit le troisième but pour Dortmund à la 71e minute, suivi par Marcel Sabitzer à la 74e minute, scellant ainsi la qualification du BVB pour les demi-finales de la Ligue des champions.
Cette victoire spectaculaire du Borussia Dortmund face à l’Atlético Madrid illustre la force et la détermination de l’équipe allemande. Après avoir été menés au score à l’aller, les joueurs de Dortmund ont su renverser la situation à domicile, confirmant leur statut de prétendants sérieux au titre de la Ligue des champions cette saison. Leur qualification pour les demi-finales est un signe fort de leur ambition et de leur capacité à rivaliser avec les meilleurs clubs européens.
Dos au mur mais pas vaincus, les joueurs du Paris Saint-Germain font front commun pour aborder la manche retour de leur quart de finale en Ligue des champions contre le FC Barcelone avec détermination. L’optimisme est de rigueur dans le camp parisien après leur défaite initiale au Parc des Princes. La confiance est palpable malgré le handicap à remonter dès ce mardi (19 h GMT) à Barcelone.
Le PSG, qui a retrouvé l’entraînement samedi avec un groupe au complet, y compris Nordi Mukiele, rétabli d’un choc à la tête, prépare activement cette confrontation décisive. L’absence de Presnel Kimpembe, en récupération, n’entame pas la détermination du reste de l’effectif, avec Bradley Barcola en particulier, qui pourrait se voir attribuer une place de départ après une séance complète.
Kylian Mbappé, conscient de ne pas avoir su exploiter tout son potentiel lors du match aller, aspire à se surpasser pour le retour. Entouré d’une équipe soudée et d’un Luis Enrique confiant dans la capacité de renversement de la situation, le PSG sait que le soutien de Nasser Al-Khelaïfi, présent au stade, sera un atout psychologique supplémentaire pour ce duel qui s’annonce épique dès leur arrivée en Catalogne lundi matin.
L’Inter Miami de Lionel Messi et Luis Suarez a chuté face au club mexicain de Monterrey en quart de finale de la Ligue des champions de la Concacaf mercredi (5-2 sur l’ensemble des deux matchs).
Le retour de Messi comme titulaire, après une absence d’environ un mois pour blessure, n’a pas suffi: après avoir perdu 2-1 en Floride, Miami s’est cette fois incliné 3-1 au Mexique.
Monterrey s’est montré supérieur dans tous les domaines, et c’est un autre attaquant argentin, Germán Berterame, qui s’est illustré pour les locaux par un superbe but d’une frappe lointaine.
Miami a fini sa triste soirée à dix après l’expulsion de Jordi Alba, un autre ancien Barcelonais.
La Ligue des champions Concacaf est la principale compétition régionale de clubs pour l’Amérique du Nord, l’Amérique centrale et les Caraïbes. Le vainqueur cette année se qualifie pour la Coupe du monde des clubs de la Fifa nouvelle version l’année prochaine.
Les clubs mexicains dominent largement la compétition depuis sa création en 1962.
« Tant que la MLS n’assouplira pas ses règles pour permettre aux équipes d’avoir des effectifs plus importants et ne rendra pas si difficile le remplacement des joueurs en cas de blessure ou de suspension, les équipes mexicaines continueront d’avoir un avantage », a estimé Tata Martino, l’entraîneur de Miami, se réfugiant également derrière les restrictions salariales et budgétaires aux Etats-Unis.
Dans un match rempli de rebondissements, le Paris Saint-Germain (PSG) a été vaincu par le FC Barcelone lors du quart de finale aller de la Ligue des Champions, dans une rencontre qui a tenu les spectateurs en haleine jusqu’au coup de sifflet final.
Le PSG est entré dans le match avec détermination, mais le contrôle initial du ballon et les premières offensives n’ont pas suffi à empêcher le Barça de prendre les devants. Malgré une pression initiale, c’est finalement Raphinha qui a ouvert le score pour Barcelone à la 37e minute, profitant des lacunes défensives des Parisiens.
Pourtant, le PSG a montré sa force de caractère en seconde période, renversant temporairement la situation avec deux buts rapides signés Ousmane Dembélé et Vitinha. Ces moments d’euphorie ont cependant été de courte durée, car le Barça est parvenu à égaliser grâce à un superbe but de Raphinha et à prendre l’avantage avec un but d’Andreas Christensen sur corner.
Le jeune joueur du PSG, Lucas Beraldo, a été mis à rude épreuve face à l’expérience de Robert Lewandowski, montrant des signes de fébrilité dans sa défense qui ont coûté cher à l’équipe. Malgré une intervention salvatrice, il a été impliqué dans les deux buts concédés, mettant en lumière les défis défensifs auxquels le PSG a été confronté tout au long du match.
Cette défaite laisse le PSG dans une position délicate avant le match retour à Barcelone, où ils devront réaliser un exploit pour inverser la tendance et espérer se qualifier pour les demi-finales de la Ligue des Champions. Une tâche difficile attend les Parisiens, mais ils devront puiser dans leur résilience pour relever ce défi et poursuivre leur parcours dans la compétition européenne la plus prestigieuse.
Les quarts de finale aller de la Ligue des champions suscitent une attention particulière en raison d’une menace exprimée par le groupe jihadiste Etat islamique (EI). Des mesures de sécurité ont été « considérablement » renforcées à Paris, Madrid et Londres, où se déroulent les rencontres.
À la veille du match PSG-Barcelone, le ministre français de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé un renforcement massif des dispositifs de sécurité en réponse à une « menace caractérisée évoquée publiquement par l’Etat islamique ».
Selon les autorités françaises, la Direction générale de la sécurité intérieure est mobilisée pour contrer cette menace, évoquée par l’EI via ses canaux de communication. Des posts « incitatifs » ont été diffusés, montrant un combattant armé devant des photos des stades concernés, avec l’inscription « Tuez-les tous ».
Ces menaces interviennent dans un contexte marqué par l’attentat de Moscou, revendiqué par l’EI, et mettent en lumière la vulnérabilité des événements sportifs face au terrorisme. Des réunions de sécurité ont été organisées pour évaluer les risques et renforcer les dispositifs de protection autour des stades.
L’UEFA a confirmé que les matches se dérouleront comme prévu, mais avec des mesures de sécurité adaptées. En parallèle, les autorités britanniques et espagnoles ont également déployé d’importants moyens pour assurer la sécurité des rencontres se déroulant à Londres, Madrid et dans d’autres villes.
Malgré cette menace, les joueurs restent concentrés sur leur performance sur le terrain. L’entraîneur du PSG, Luis Enrique, a exprimé son espoir que ces menaces ne se concrétisent pas, tandis que les joueurs ont souligné l’importance de rester concentrés sur le jeu.
À l’approche des Jeux olympiques de Paris, les autorités françaises restent vigilantes face à la menace terroriste. Bien que la cérémonie d’ouverture soit inédite et suscite des craintes, aucune menace spécifique n’a été identifiée à ce stade.
Dans ce climat d’incertitude sécuritaire, les autorités appellent à ne pas céder à la propagande terroriste et à rester vigilants face à toute menace potentielle.
Dans le cadre des quarts de finale de la Ligue des champions de la Confédération africaine de football (CAF), un arbitre sénégalais, Issa Sy, a été sélectionné pour officier le match retour entre le Petro de Luanda et le TP Mazembe. Cette information a été révélée par le journal spécialisé Stade.
La rencontre, prévue pour le samedi prochain, sera cruciale pour les deux équipes après un match aller qui s’est conclu sur un score nul vierge. Ce rendez-vous revêt donc une importance capitale dans la course à la qualification pour les demi-finales de la prestigieuse compétition continentale.
La désignation d’Issa Sy, un arbitre sénégalais, pour diriger cette rencontre atteste de la reconnaissance de la qualité et de la compétence des arbitres sénégalais sur la scène africaine du football. Sa présence au centre du terrain garantit un arbitrage impartial et professionnel, contribuant ainsi au bon déroulement du match.
Cette annonce met en lumière le rôle crucial des arbitres dans le football africain et souligne l’importance de leur contribution au développement et à la promotion du sport sur le continent. La désignation d’un arbitre sénégalais pour un match aussi important renforce également la réputation du Sénégal dans le domaine de l’arbitrage sportif.
Le match entre le Petro de Luanda et le TP Mazembe s’annonce donc comme un rendez-vous captivant, où l’enjeu sera élevé pour les deux équipes. Les supporters peuvent s’attendre à une confrontation intense et disputée, avec Issa Sy prêt à assurer un arbitrage de qualité et à maintenir l’intégrité de la compétition.
La présence d’Issa Sy en tant qu’arbitre central pour ce match retour témoigne de l’engagement du Sénégal dans le football africain et souligne la confiance accordée aux arbitres sénégalais pour garantir des rencontres équitables et compétitives dans les compétitions continentales.
Dans le sillage de l’Inter Milan, vice-championne d’Europe 2023 renversée par l’Atletico Madrid, le football italien est tombé de haut: il n’aura aucun représentant en quarts de la Ligue des champions alors qu’il en avait trois il y a tout juste un an.
Tout un symbole: meilleur buteur du Championnat d’Italie, Lautaro Martinez a précipité l’Inter dans un goufre en expédiant son tir au but dans les tribunes du Metropolitano.
Plus tôt, dans le temps réglementaire (76e), Marcus Thuram, seul face à Jan Oblak, a trop enlevé sa reprise et manqué l’occasion de mettre KO l’Atletico, alors éliminé.
Martinez (23 buts en championnat) et Thuram (10 buts et autant de passes décisives pour ses débuts en Serie A) incarnent depuis août l’Inter triomphante, celle qui survole la saison 2023-24 avec 16 points d’avance sur son premier poursuivant, l’AC Milan.
Mercredi soir, l’Argentin et le Français n’ont pas réussi à tirer de son mauvais pas leur équipe, présentée avant ce match retour comme l’une des meilleures d’Europe, si non la meilleure, au regard de son style de jeu et de ses statistiques (13 victoires en autant de matches disputés en 2024).
« L’Inter n’a pas joué comme elle sait jouer: elle n’a pas fait aucun pressing et elle n’est pas allée vers l’avant », a asséné l’ancien entraîneur de l’AC Milan, Fabio Capello.
Simone Inzaghi s’est sans surprise montré beaucoup moins dur avec son équipe: « A ce niveau, ce sont les détails qui font la différence, nous avons eu trois occasions qui auraient dû nous permettre de nous qualifier », a relevé l’entraîneur intériste.
« C’est une désillusion, a-t-il reconnu, mais j’ai rappelé à mes joueurs qu’on avait joué huit matches en Ligue des champions sans en perdre un seul ».
Inzaghi a beau positiver, l’élimination de son équipe fait désordre: depuis qu’elle avait malmené Manchester City (1-0) en finale de la Ligue des champions 2023 en juin dernier à Istanbul, l’Inter faisait partie des prétendants au titre suprême 2024.
Alors que l’Inter, l’AC Milan -éliminé cet année dès la phase de poules- et Naples avaient atteint les quarts de la C1 en 2023, la Serie A est parmi les cinq grands championnats la seule absente un an plus tard à ce même stade de la compétition.
Si l’Inter a raté son match retour, Naples, championne en titre, et la Lazio, vice-championne 2023, sont en souffrance depuis août.
Le Napoli n’a certes pas à rougir de son élimination face au FC Barcelone, mais son nul à domicile à l’aller (1-1) est l’un des rares points positifs d’une saison où il a déjà connu trois entraîneurs et a très vite perdu tout espoir de conserver son titre de champion.
Même constat pour la Lazio qui, distancé en Serie A (9e), a battu le Bayern Munich dans son Stade olympique à l’aller (1-0) avant de sombrer en Bavière (3-0).
Alors qu’elle a toujours la meilleur coefficient UEFA cette saison, l’Italie doit maintenant espérer que ses quatre équipes encore en lice en Ligue Europa (AC Milan, AS Rome, Atalanta) et Ligue Europa Conférence (Fiorentina) poursuivent leur périple européen.
Cette première place lui donnerait un cinquième billet pour la C1 nouvelle version.
Avec l’Inter, l’AC Milan (2e), la Juventus (3e), la surprise Bologne (4e), voire la Roma (5e), l’Italie pourra nourrir quelques ambitions européennes… dans quelques mois
afp
Bradley Barcola sera probablement titulaire aux côtés de Kylian Mbappé et Ousmane Dembélé pour affronter la Real Sociedad mercredi soir. Si son arrivée dans la capitale et le prix de son transfert avaient questionné, le voici titulaire indiscutable. A l’image de son histoire : celle d’un gamin jamais annoncé comme un « crack » mais toujours prêt. Portrait, grâce à ceux qui l’ont côtoyé.
Ousmane Dembélé, Kylian Mbappé, Bradley Barcola. Il ne faut jamais jurer de rien avec Luis Enrique, mais voilà à quoi ressemblera très probablement le trio d’attaque du PSG pour affronter la Real Sociedad en huitièmes de finale aller de Ligue des champions, mercredi soir (21h). Le premier a été recruté pour ces moments, le deuxième est l’atout numéro 1 du club francilien. Le troisième, lui, partait de plus loin à son arrivée en toute fin de mercato estival. Mais en cinq mois et demi, l’ailier formé à Lyon a déjà fait son trou dans la capitale, s’imposant aux yeux de son coach espagnol comme à ceux d’un Parc des Princes qui en a déjà fait l’un de ses chouchous. Une adaptation à l’image de son explosion, fulgurante, à 21 ans. Randal Kolo Muani ou Gonçalo Ramos n’ont qu’à patienter sur le banc.
Vu sous cet angle, le récit semble presque banal. Des jeunes toujours plus précoces, toujours plus talentueux, s’imposent régulièrement dans les plus grands clubs européens après avoir sauté les étapes durant toute leur formation. Mais le parcours de Bradley Barcola n’a rien à voir avec tout cela. Parce que son destin n’a jamais été tout tracé. Parce que personne ne l’a jamais mis sur un piédestal, ni vendu comme le crack de demain. Parce qu’il a constamment dû faire plus que les autres.
L’histoire de Barcola est d’abord celle d’un gamin toujours dans les pattes de son frère Malcolm – gardien passé par l’OL – lors de ses entraînements à l’AS Buers Villeurbanne. Bradley imite son aîné de trois ans et s’impose, une fois n’est pas coutume, comme une évidence. Mehdi Ghazel, son entraîneur en U7 et U8, se souvient : « Il était vraiment au-dessus. Ce qui est impressionnant, c’est qu’il avait les mêmes facultés qu’à l’heure actuelle : très rapide, très bon dans des petits espaces, à éliminer en un contre un, à finir. Les gens voyaient un garçon tout petit dribbler tout le monde, aller super vite, c’est ce qui choquait un peu tout le monde ».
Dès le début de sa saison en U8, la maman du jeune Bradley n’est plus seule à l’observer de près, elle qui filme tous ses matches. Le voilà qui tape dans l’œil des recruteurs lyonnais et, rapidement, son départ à l’OL en fin de saison est acté. Du classique, jusqu’ici, pour un joueur ayant percé dans l’élite.
A 8 ans, Barcola rejoint donc le grand Lyon. Le cadre n’est plus le même. Le niveau non plus, naturellement. L’attraction principale de Villeurbanne se retrouve noyée dans la masse, au point que son passage dans la catégorie au-dessus se fait parfois de justesse. « Ça n’a pas été un garçon qui était précoce », rembobine Jean-François Vulliez, qui l’a suivi durant toute sa pré-formation, puis en tant que directeur du centre de formation.
« Ça n’a jamais été un parcours facile, tracé d’avance. Il n’a jamais été surclassé. Il n’était pas dans les tops joueurs de sa catégorie. Il était très longiligne, avec peu de force, peu de puissance. C’était un bon joueur de football à l’Olympique Lyonnais », résume celui qui a vu débarquer les Amine Gouiri, Maxence Caqueret et autres Rayan Cherki.
Le Lyonnais de naissance n’est donc pas au-dessus du lot. Il ne fait pas partie de ces jeunes sélectionnés dans toutes les catégories en équipe de France et ne découvre les Bleus qu’en janvier 2020, à l’occasion d’un stage au CNF Clairefontaine avec la sélection U18 de Jean-Claude Giuntini. Barcola se démarque alors autrement. Par le travail, évidemment, pour celui qui a fait de Cristiano Ronaldo un modèle. Par un comportement irréprochable, aussi.
« C’est un gamin qui est tellement gentil, même dans la vraie vie, loue Mehdi Ghazel. Il a toujours dû bosser plus que les autres, il ne faisait pas de problèmes, il était attentif, il écoutait ce qu’on lui disait. Il était apprécié de tout le monde. Ça vient de l’éducation aussi, avec des parents toujours à l’heure, qui disaient tout le temps bonjour, qui ne se mêlaient pas du foot, qui venaient juste regarder leur enfant ».
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Erling Haaland qui remet ses habits de serial buteur, Kevin De Bruyne sur la voie du retour à son meilleur niveau : c’est via le prisme de ce duo infernal que l’on est tenté d’aborder le début des choses sérieuses pour Manchester City en Ligue des champions. Les Citizens se rendent à Copenhague mardi soir (21h) en huitièmes de finale aller, avec la ferme volonté de ne pas s’y faire peur dans la défense de leur titre. Et ils s’appuieront évidemment sur leur binôme infernal.
Mais qu’on ne s’y trompe pas. Puisque chacun d’eux a géré de sérieuses blessures cette saison, un autre élément s’est imposé comme l’homme (très) fort de City : Phil Foden.
L’international anglais est tout simplement le joueur le plus utilisé par Pep Guardiola cette saison, son gardien Ederson compris. 33 matches toutes compétitions confondues, 28 titularisations : Foden est automatiquement aligné par le technicien catalan, qui n’en avait fait qu’un second couteau dans sa quête de la Ligue des champions la saison dernière.
LA SAISON OÙ IL A LE PLUS D’INFLUENCE
« C’est la saison où il a le plus d’influence sur l’équipe, en termes de buts, de passes décisives, se réjouissait Pep Guardiola en conférence de presse il y a quelques jours. Il lit très bien le jeu, notre façon de jouer. Il a toujours plaisir à marquer, quand il est dans les 30 derniers mètres, la menace est toujours là. C’est un joueur exceptionnel. A un si jeune âge, il compte déjà plus de 250 matches pour City. Cela montre son impact et son influence depuis qu’il est là. Il adore jouer, il me fait penser à ces gamins qu’on voit jouer dans la rue ».
Une véritable déclaration d’amour, une de plus – il l’avait déjà désigné comme le joueur « le plus talentueux » qu’il ait eu à coacher – pour un jeune élément qu’il a parfois dû piquer. « Ce n’est pas un joueur qui réfléchit tellement quand il joue », lâchait-il il y a encore trois mois. Mais depuis, les choses ont bien changé. Parce qu’en l’absence des armes fatales de City, Foden s’est imposé comme le joueur par qui tout passait.
Il y a les statistiques flagrantes. Le joueur de 23 ans est le deuxième meilleur buteur de City (13, à égalité avec Julian Alvarez), et son meilleur passeur décisif (10). Mais aussi tout ce qu’on ne voit pas et qui explique pourquoi… on le remarque autant. Chez les Mancuniens, personne ne touche plus de ballons que lui parmi les joueurs offensifs – il en a touché 100 de plus qu’Alvarez avec un temps de jeu comparable – il est la référence en termes d’actions amenant un tir (115, avec Rodri), personne n’a obtenu plus de fautes que lui (46) et seul Jeremy Doku fait mieux en termes de dribbles réussis (77 contre 40). Ou comment donner une définition de l’omniprésence en chiffres
IL SUCCÉDERA À DE BRUYNE
Le changement de statut est donc acté, et l’ambition ne peut que se décupler. « Je veux devenir l’un des meilleurs joueurs de Premier League cette saison, a-t-il assuré chez nos confrères de TNT Sports. Je veux essayer de devenir le joueur sur lequel l’équipe se repose pour créer, marquer et faire des passes décisives. Je ne suis plus considéré comme un jeune joueur, donc je sens qu’il y a un peu plus de pression mais c’est tout ce que j’aime. J’adore ça et je pense que je joue mieux sous pression ».
Il s’est ainsi fait un plaisir d’enfoncer l’ennemi United au match aller (0-3), de marquer contre Tottenham (3-3), d’ouvrir le score à Leipzig (1-3) et d’égaliser au match retour contre ce même adversaire en C1 (3-2), par exemple. Face aux oppositions plus modestes, sa large palette et sa redoutable patte gauche lui permettent de débloquer bon nombre de situations. Dernier exemple en date : son triplé à Brentford, dont un but égalisateur au bout du premier acte pour mettre fin au festival du portier adverse Mark Flekken, et ainsi changer le visage d’une rencontre qui aurait facilement pu se transformer en bourbier. Un véritable « game changer » qui rappelle en cela un certain Kevin De Bruyne.
« Il succédera à l’avenir à Kevin (De Bruyne) et Bernardo (Silva), j’en suis convaincu », a d’ailleurs annoncé Guardiola. La question est désormais de savoir comment faire cohabiter tout ce monde dans les très grandes affiches, en prenant en compte le fait que c’est à l’intérieur du jeu que Foden s’épanouit le mieux. « Je ne vois pas qui peut passer ou centrer le ballon comme lui, donc si on doit gagner quelque chose, on le fera avec un Kevin de retour au top », a en tout cas déclaré l’international anglais au sujet de son coéquipier belge. Progresser, oui. Mais avant de devenir l’unique patron de City et remplacer « KDB », il doit encore apprendre à ses côtés.
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Suite au tirage au sort des huitièmes de finale de la Ligue des Champions effectué ce lundi midi à Nyon, en Suisse, l’UEFA a dévoilé les dates des différents affrontements.
Le Paris SG affrontera la Real Sociedad dans ce stade de la compétition, tandis que l’affiche principale mettra en scène l’Inter Milan, finaliste de la dernière édition, contre l’Atlético Madrid. Le duel entre l’Inter Milan et l’Atlético Madrid sera un choc majeur, mettant en avant un affrontement entre les deux internationaux français Marcus Thuram (Inter) et Antoine Griezmann (Atlético).
Le tenant du titre, Manchester City, aura un huitième de finale a priori facile contre Copenhague. Cependant, Arsenal et le FC Barcelone devront se méfier respectivement du FC Porto et de Naples, le champion d’Italie en titre, qui a atteint les quarts de finale de la Ligue des champions en 2022-2023.
FC Copenhague-Manchester City
RB Leipzig-Real Madrid
Mercredi 14 février
PSG-Real Sociedad
Lazio-Bayern Munich
Mardi 20 février
Inter Milan-Atlético de Madrid
PSV Eindhoven-Borussia Dortmund
Mercredi 21 février
FC Porto-Arsenal
Naples-Barça
-Dates des huitièmes de finale retour :
Mardi 5 mars
Real Sociedad-PSG
Bayern Munich-Lazio
Mercredi 6 mars
Manchester City-FC Copenhague
Real Madrid-RB Leipzig
Mardi 12 mars
Arsenal-FC Porto
Barça-Naples
Mercredi 13 mars
Atlético de Madrid-Inter Milan
Senenews
Quatorze( 14) équipes étaient déjà qualifiées pour le tour suivant, mais certaines ignoraient encore leur place définitive dans leur poule. Cette fois, on connaît l’identité des protagonistes. Après les rencontres de mercredi soir, l’Atlético, le BVB et le Barça rejoignent le Bayern, Arsenal, le Real Madrid, la Real Sociedad et Manchester City pour le statut de tête de série en huitième de finale. Ils affronteront un 2e de groupe à choisir entre Copenhague, le PSV, Naples, l’Inter, le RB Leipzig ou le PSG…
Les 16 qualifiés pour les 8es de finale déjà connus
1ers : Bayern, Arsenal, Real Madrid, Real Sociedad, Manchester City, Atlético de Madrid, FC Barcelone, Borussia Dortmund
2es : Copenhague, PSV, Naples, Inter, RB Leipzig, Lazio, Porto, PSG
Arrivé cette saison au Racing Club de Lens, en provenance de Leicester, Nampalys Mendy a eu la chance de disputer la Ligue des champions avec le club nordiste. Éliminés pour les 8èmes de finale, Nampalys et les Lensois visent l’Europa League ce mardi contre le FC Séville.
Si les débuts de la compétition européenne de clubs la plus prestigieuse ont plutôt bien commencé, notamment avec une victoire sur Arsenal (2-1), les «Sang et Or» ont ensuite sombré en enchaînant deux défaites consécutives, synonymes d’élimination pour le tour suivant.
Pour la 6ème journée de la phase de groupes ce mardi, Nampalys Mendy et les Lensois vont tenter de décrocher une qualification en Europa League face au FC Séville.
Battus par le PSV Eindhoven (1-0) lors de la 4ème journée et atomisés par Arsenal (6-0) lors de la 5ème journée, Lens et son international sénégalais Nampalys Mendy ont dit adieu à une qualification pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions.
Toutefois, le club Sang et Or (3ème, 5 points) peut encore décrocher une qualification pour les seizièmes de finale de l’Europa League. Pour cela, Nampalys et ses coéquipiers doivent battre ce mardi le FC Séville (4ème, 2 points) de Sergio Ramos ou obtenir au moins un match nul.
Le milieu de terrain international sénégalais, qui a jusqu’ici disputé les cinq matchs du club lensois en Ligue des champions, pourrait être titularisé ce mardi par Franck Haise, qui compte beaucoup sur l’ancien joueur de Leicester pour faire face au club andalou.
En effet, dans ce genre de match de qualification, l’expérience du champion d’Afrique de 31 ans peut s’avérer très précieuse. Malgré un temps de jeu assez limité lors des deux dernières journées du championnat face à Lyon (3-2) et Montpellier (0-0), où il est entré respectivement à la 87ème et à la 72ème minute, Nampalys Mendy a de fortes chances de démarrer cette rencontre importante contre Séville.
Invaincus en championnat depuis la 5ème journée contre Metz de Lamine Camara, Lens et Nampalys, qui restent sur six (6) victoires et quatre (4) matchs nuls en Ligue 1, veulent à tout prix obtenir un résultat positif au stade Felix Bollaert pour faire plaisir à leur fidèle public et poursuivre l’aventure en Europa League.