Mamadou Lamine Diallo souhaite faire inscrire le Magal de Touba dans l’agenda de l’Union africaine

Dans le cadre de sa campagne électorale, Mamadou Lamine Diallo, candidat de la coalition Tekki, s’est engagé à promouvoir la reconnaissance internationale du Grand Magal de Touba, l’un des événements religieux les plus importants au Sénégal. Lors d’une rencontre dans le Baol, M. Diallo a affirmé son attachement au Magal et a proposé de l’inscrire officiellement dans l’agenda de l’Union africaine une fois élu.

Selon lui, le Grand Magal de Touba, célébration annuelle commémorant le départ en exil du fondateur de la confrérie mouride, Cheikh Ahmadou Bamba, mérite une reconnaissance internationale en raison de son importance spirituelle et de son impact sur la société sénégalaise. En intégrant cet événement dans l’agenda de l’Union africaine, Mamadou Lamine Diallo souhaite valoriser la dimension religieuse et culturelle du Sénégal sur le continent africain.

Par ailleurs, le candidat a partagé sa vision concernant les institutions du pays, soulignant l’importance des chefs religieux en tant qu’institutions sociales. Selon lui, depuis l’époque de Blaise Diagne, les chefs religieux ont joué un rôle crucial dans la vie politique et sociale du Sénégal. Il s’engage ainsi à impliquer pleinement ces leaders spirituels dans la gouvernance du pays, reconnaissant leur contribution historique à la construction de la nation sénégalaise.

En outre, Mamadou Lamine Diallo a abordé la question de l’accès à l’eau à Touba, promettant de résoudre définitivement ce problème une fois élu. Il a également appelé à des prières pour la paix dans le pays, soulignant que la politique doit se dérouler dans un climat de tolérance et de respect des libertés individuelles.

En conclusion, le candidat a réaffirmé son engagement en faveur d’une démocratie décentralisée, mettant en avant l’importance des pôles régionaux de développement pour assurer une gouvernance inclusive et participative au Sénégal.

ONAS : Mamadou Mamour Diallo met le cadre de travail sous un éclat de lumière

Un éclat de lumière illumine le hall du nouveau bâtiment avec une salle d’attente munie d’un petit salon. Les lustres brillent du faux-plafond. Les murs sont parés aux couleurs jaune et bleue de l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS). Au milieu, près une vitrine s’insère harmonieusement dans une poutre blanchâtre. Le cadre est idyllique. L’architecte exhibe deux images, une d’aujourd’hui et l’autre d’hier. Entre les deux, il n’y a pas photo. La vision est traduite en œuvre architecturale, disons en chef d’œuvre. « Nous avons essayé de traduire une vision, cette grande ambition du Directeur Général, Mamadou Mamour Diallo. Il a fait de l’ONAS, une grande institution par la transformation du cadre de vie », a commenté l’architecte, Monsieur Niang.

Le hall du nouveau bâtiment central a tous les atours de l’accueil d’un hôtel atteste Maniang Diaw, délégué syndical. « Actuellement, les travailleurs de l’ONAS n’ont rien à envier aux agents d’autres services. Ici, nous avons un accueil identique avec ce que nous voyons dans des hôtels. Le DG Mamadou Mamour Diallo a donné un autre statut à l’ONAS », affirme Maniang Diaw. 

La conviction du Directeur Général qui a certainement lu l’ouvrage Germinal de Emile Zola a compris que le cadre influe sur la production. « Ce n’est pas compliqué. Il suffit juste d’inscrire la rénovation des bureaux dans le budget chaque année pour réaliser les travaux », a certifié le Directeur Général, Mamadou Mamour Diallo. Cette rénovation est une concrétisation d’un point de sa feuille de route déclinée depuis sa prise de fonction un jour du 7 novembre 2022. « Depuis notre prise de service, nous avons inscrit au cœur de nos préoccupations, l’amélioration des conditions de travail. Et qui dit amélioration des conditions de travail parle du cadre de vie. Un cadre de vie sain est porteur de résultats en principe », a argumenté le Directeur Général qui a félicité l’architecte, Monsieur Niang qui a traduit sa vision en acte. Il a remercié tout le personnel notamment le Directeur Administratif et financier, Bamba Fall qui s’est beaucoup investi pour que les travaux puissent se terminer dans des délais relativement courts. 
Entre le 7 novembre 2022 et mars 2023, l’ONAS présente un nouveau visage et projette une image plus attrayante. A partir de la route, on a un nouveau panorama avec les couleurs de l’institution. Un imposant logo est posé à gauche, à l’entrée d’une baie vitrée. « L’autre aspect non important, nous sommes dans un monde dominé par la communication. L’image et la notoriété de l’ONAS méritent que l’on mette les travailleurs dans ce cadre de travail adéquat », a soutenu le Directeur Général, Mamadou Mamour Diallo. 

Les confessions des plus anciens 
De là, le Directeur Général et ses agents se dirigent vers le hall de l’entrée principale. L’harmonie de la décoration valorise l’institution. Elle rehausse son image. L’hôte ne peut contempler la cascade et l’aquarium. Tout nous plonge dans le champ d’action de l’ONAS. Le visiteur est émerveillé d’entrée. « Nous avons voulu être à la fois généreux et accueillants. Nous ne devons pas avoir une vision minimaliste pour une institution qui prend son envol sous la conduite d’un Directeur Général qui a de l’ambition pour l’ONAS », témoigne l’architecte. Il ne manquait que cela pour cette institution, qui est une référence en matière d’assainissement en Afrique. « Nous avons les compétences autant que des agents des autres services qui sont dans le secteur, mais ce qui nous manquait, c’était l’attraction du cadre de travail. Aujourd’hui, c’est chose faite. Nous remercions le Directeur Général pour cette belle œuvre. Le cadre est essentiel dans l’amélioration de la productivité des travailleurs », a reconnu le Directeur de l’Exploitation Pèdre Sy.
L’œuvre de rénovation va se poursuivre. L’architecte et ses équipes vont démarrer incessamment la rénovation des bureaux du Département de la communication. Les murs des couloirs seront une sorte de galerie où seront exposés en permanence les grands travaux de l’ONAS. Après des travaux de construction d’un bâtiment de la documentation, d’une salle de sports et d’une mosquée seront engagés. 

Mamadou Lamine Diallo dévoile son plan ambitieux pour éradiquer le chômage des jeunes à Fatick

Fatick, Somb – En pleine effervescence électorale, Mamadou Lamine Diallo, candidat à la présidence et leader du mouvement Tekki, a présenté un programme audacieux visant à mettre fin au chômage des jeunes à Fatick. Lors de son discours passionné à Somb, dans le département de Gossas, il a détaillé son engagement en faveur de l’agriculture et de la transformation locale des aliments comme clés de voûte de sa stratégie.

En accord avec son agenda de redressement national, Mamadou Lamine Diallo a souligné l’importance cruciale de l’agriculture dans la création d’emplois durables. « Nous devons faire de l’agriculture le moteur de notre développement économique et social. C’est le moyen le plus efficace de résoudre le problème du chômage des jeunes à Fatick », a-t-il déclaré.

L’aspiration à atteindre la souveraineté alimentaire a été au cœur de ses propos. Mamadou Lamine Diallo envisage de stimuler la production locale et de limiter les importations en encourageant la mise en place d’usines. « Nous devons cesser de dépendre excessivement des importations. La clé de notre prospérité réside dans notre capacité à produire localement et à transformer nos propres ressources », a-t-il ajouté.

Le candidat a spécifiquement mis l’accent sur la nécessité de valoriser la transformation locale des aliments. Selon lui, cette approche favorisera l’autonomie économique de la région en créant des emplois dans le secteur de la transformation.

La proposition de Mamadou Lamine Diallo n’est pas seulement axée sur la création d’emplois, mais aussi sur l’autosuffisance alimentaire et la dynamisation de l’économie locale. Les électeurs de Fatick seront appelés à évaluer la faisabilité et la pertinence de ces propositions, qui se veulent des réponses concrètes aux défis spécifiques auxquels la région est confrontée.

La campagne de Mamadou Lamine Diallo à Fatick s’articule ainsi autour de la volonté de fournir des solutions pragmatiques pour améliorer la vie quotidienne des habitants, en mettant en avant le potentiel de l’agriculture et de la transformation locale des aliments comme moteurs du changement.

Coumba Gawlo s’exprime sur la Journée mondiale de la femme, rend hommage à Maimouna Ndour Faye et recadre Mamadou Lamine Diallo

À la veille de la Journée mondiale de la femme, la célèbre chanteuse sénégalaise Coumba Gawlo Seck a tenu une conférence de presse pour aborder divers sujets, notamment l’importance des femmes dans la société, la sécurité des citoyens et les commentaires récents du député Mamadou Lamine Diallo.

Coumba Gawlo a débuté son discours en condamnant l’agression contre la journaliste Maimouna Ndour Faye, directrice de la télévision 7TV. Elle a qualifié cette attaque de lâche et a appelé les autorités compétentes à assumer leurs responsabilités en matière de sécurité des citoyens. Elle a exprimé son hommage à Maimouna Ndour Faye, soulignant l’importance des femmes dans la société sénégalaise.

La chanteuse a ensuite abordé le rôle crucial des femmes, soulignant qu’elles sont l’âme de la société et appelant toutes les femmes à maintenir leur dignité. Coumba Gawlo a encouragé les femmes à jouer un rôle actif dans la construction de la nation, en donnant l’exemple et en faisant des investissements judicieux.

En réponse aux commentaires de Mamadou Lamine Diallo, président du mouvement Tékki et député, qui a critiqué sa participation au Dialogue national initié par le président de la République, Coumba Gawlo a défendu le rôle des artistes dans les instances de décision nationale. Elle a suggéré à M. Diallo de concentrer ses efforts sur des actions tangibles pour le développement du pays, comme la construction de salles de classe ou la création d’emplois.

« Je suis une citoyenne sénégalaise, née à Tivaouane. Les artistes ont une place importante dans la société et dans les instances de décision. Si M. Diallo construit quelque chose pour son pays, je serais prête à dialoguer avec lui dans un débat loyal », a déclaré Coumba Gawlo.

Cette déclaration de Coumba Gawlo met en lumière la nécessité de reconnaître la contribution significative des femmes et des artistes à la société sénégalaise, tout en soulignant l’importance du respect et de la coopération pour le développement du pays.

Mamadou Lamine Diallo : «Se soumettre à la décision du CC… qui peut sauver le pays »

Les considérations évoquées par le Président Macky Sall à la commission devant statuer sur la date de la présidentielle, lors de son speech de clôture au dialogue, concernant le ramadan, le carême, les fêtes de Pâques ainsi que le Daaka n’ont pas de sens pour Mamadou Lamine Diallo du mouvement Tekki. Selon lui, devant le Jury du dimanche, il y a toujours quelque chose au Sénégal. « Il y a des Ziarra tout le temps. Non, non, je ne crois pas que ce soit des arguments. Honnêtement, pendant le mois de ramadan, il y a eu la bataille de Badr. Ce qui est valable, c’est ce que le Conseil a dit avant le 2 avril. Et à partir du 2 avril, vous ne pourrez pas prolonger votre mandat. Tout le reste, ce sont des hypothèses peut-être de travail, si je vais être gentil. Voilà où on en est », a expliqué le candidat à la Présidentielle. 

Pour lui, » le Conseil constitutionnel, aujourd’hui, c’est le rempart de la République. Et si demain, le Conseil dit qu’il valide la date du 2 juin, ce qu’il a retenu lors des échanges au dialogue, moi, je me soumets. Je suis cohérent. Même si je ne suis pas d’accord, je me soumets. Même si le Conseil valide la reprise partielle du processus ».

Par ailleurs, Mamadou Lamine Diallo souligne que sachant que le mandat de Macky est terminé le 2 avril, ce sera au Conseil constitutionnel de donner la direction. « Ce sera au Conseil constitutionnel de prendre une décision, pour dire, le 2 avril, Macky Sall n’est plus président de la République sénégalaise. Et donc, c’est le Conseil constitutionnel, et qui, à mon avis, a le pouvoir, et devra le faire. Et sa décision va s’imposer à tout le monde, y compris à l’armée, y compris à la police, y compris à la justice, y compris à l’administration. C’est ça qui va sauver la République au Sénégal ».

Cependant, le candidat précise que « le Conseil constitutionnel a pris un arrêt ou, en tout cas, a pris des décisions pour dire, premièrement, quelque chose d’extrêmement important, que le mandat du président de la République se termine le 2 avril et que la proposition de loi votée à l’Assemblée nationale qui veut modifier l’article 31 est anticonstitutionnelle. Ça, c’est extrêmement important. Pour le système. Pour l’avenir du Sénégal. Pour l’avenir de l’Afrique de l’Ouest. Donc, c’est réglé définitivement, en tout cas, du point de vue de la loi et de la Constitution, qu’on ne peut pas prolonger le mandat de Macky Sall d’une heure, d’une minute, d’une seconde ».

LIVE – ENTRETIEN EXCLUSIF AVEC MAMADOU LAMINE DIALLO : CANDIDAT À L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE DE 2024

🔴ENTRETIEN EXCLUSIF AVEC MAMADOU LAMINE DIALLO : CANDIDAT À L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE DE 2024

Le Dakarois Quotidien N°114 – du 22/02/24

Le Dakarois Quotidien N°114– du 22/02/24
🔴ENTRETIEN EXCLUSIF AVEC MAMADOU LAMINE DIALLO : CANDIDAT À L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE DE 2024

Présidentielles de 2024: Mamadou Lamine Diallo appelle le Conseil Constitutionnel à fixer une date et clôturer le débat

Dans un discours empreint de fermeté et de conviction, Mamadou Lamine Diallo, leader de la coalition MLD Tekki 2024, a exprimé son point de vue sur la situation politique actuelle et appelé le Conseil Constitutionnel à trancher le débat en fixant une date pour les élections présidentielles de 2024.

S’exprimant depuis le siège de sa coalition à Liberté 5, Mamadou Lamine Diallo a salué la décision historique du Conseil Constitutionnel du 15 février 2024, qualifiant cet événement de moment décisif pour la démocratie sénégalaise. Il a souligné que le respect de cette décision était essentiel pour préserver l’intégrité du processus électoral et garantir la stabilité politique du pays.

L’ancien vice-président de l’ensemble national a rappelé avec fierté son engagement de longue date en faveur du modèle démocratique sénégalais, caractérisé par la règle des deux mandats présidentiels de 5 ans maximum. Selon lui, cette règle est un pilier fondamental de la démocratie sénégalaise et doit être respectée par tous les acteurs politiques.

Évoquant sa récente rencontre avec le président Macky Sall, Mamadou Lamine Diallo a déclaré que les détails de leur discussion étaient confidentiels. Cependant, il a souligné l’importance des questions régionales dans le débat politique actuel, affirmant que la stabilité de la sous-région était une priorité majeure.

Sur la question électorale, Mamadou Lamine Diallo a noté que la récente décision du Conseil Constitutionnel avait ramené le nombre de candidats à la présidentielle à 19, suite au retrait de la candidature de la Professeure Dr. Rose Wardini. Il a appelé le Conseil Constitutionnel à fixer rapidement une date pour les élections présidentielles, afin de mettre fin aux spéculations et de permettre au processus électoral de progresser de manière transparente et ordonnée.

Au-delà des enjeux électoraux, Mamadou Lamine Diallo a également abordé des questions politiques et économiques cruciales pour l’avenir du Sénégal. Il a plaidé en faveur d’une réduction des pouvoirs présidentiels et d’une meilleure gouvernance des ressources naturelles, affirmant que ces réformes étaient essentielles pour promouvoir la transparence, l’équité et le développement durable dans le pays.

Mamadou Lamine Diallo a réaffirmé son engagement envers la démocratie sénégalaise et sa détermination à œuvrer pour un avenir meilleur pour tous les citoyens. Il a appelé à l’unité et à la solidarité entre les différentes forces politiques et sociales du pays, dans le but de construire un Sénégal plus juste, plus démocratique et plus prospère pour les générations futures.

Mamadou Lamine Diallo demande au conseil constitutionnel à fixer une date et ...

Mamadou Lamine Diallo : Seul le Conseil constitutionnel peut proposer une date pour l’élection présidentielle

Le candidat à la présidentielle 2024 rappelle le rôle prépondérant de l’institution constitutionnelle dans le processus électoral

Mamadou Lamine Diallo, candidat à l’élection présidentielle de 2024 et président du Mouvement TEKKI, a exprimé sa position claire sur la question de la date de l’élection présidentielle. Selon lui, seul le Conseil constitutionnel est habilité à proposer une date pour le scrutin présidentiel ainsi que celle d’un éventuel second tour. Dans un post sur son compte X, consulté par Senego, il a répondu aux interrogations de nombreux citoyens et journalistes concernant cette question cruciale.

« Je voudrais rappeler que seul le Conseil constitutionnel, suite à sa décision historique du 15 février 2024, peut proposer une date et celle d’un second tour, qui auront force de loi et s’imposeraient à tous », a-t-il souligné.

Mamadou Lamine Diallo a également souligné que la fin du dernier mandat du président de la République est le 2 avril. Il estime donc nécessaire que le nouveau président élu soit connu avant cette date butoir.

Cette déclaration intervient après la décision du Conseil constitutionnel du Sénégal d’annuler le décret présidentiel de Macky Sall abrogeant le décret convoquant le corps électoral. De plus, le Conseil constitutionnel a jugé inconstitutionnelle la loi adoptée par l’Assemblée nationale visant à reporter la date de l’élection présidentielle au 15 septembre 2024.

Dans ce contexte de crise politique et d’incertitude quant à la date de l’élection présidentielle, les déclarations de Mamadou Lamine Diallo mettent en lumière l’importance du respect des décisions du Conseil constitutionnel pour assurer la légitimité et la transparence du processus électoral au Sénégal.

Mamadou Lamine Diallo s’engage pour une pêche durable au Sénégal : Signature de la Charte des pêcheurs

Le candidat à l’élection présidentielle de 2024, Mamadou Lamine Diallo, président de la Coalition MLDTEKKI2024, a pris un engagement significatif en signant la Charte pour une pêche durable. Cet événement, qui s’est déroulé ce jeudi 15 février 2024 à la maison des pêcheurs de Ouakam, marque un pas important vers une gestion plus responsable des ressources maritimes du Sénégal.

La Charte, initiée par la Coalition nationale pour une pêche durable, présente 13 points cruciaux pour assurer la pérennité de l’activité de pêche dans le pays. En apposant sa signature, Mamadou Lamine Diallo affirme son engagement à mettre en œuvre des réformes profondes dans le secteur de la pêche, en collaboration avec toutes les parties prenantes.

Dans ses déclarations lors de la cérémonie, Mamadou Lamine Diallo a souligné l’importance de la sécurité des citoyens, notamment des jeunes, en appelant à la mise en place de programmes d’apprentissage de la natation dans les écoles et les daaras. Il a également insisté sur la nécessité de revoir la gouvernance du secteur de la pêche, en encadrant davantage les pouvoirs du président de la République et en favorisant une gestion collective et transparente.

Abdoulaye Ndiaye, porte-parole de la Coalition pour une pêche durable, a expliqué que la Charte vise à instaurer des pratiques durables dans le domaine de la pêche. Parmi les mesures phares, il a mentionné l’arrêt de la délivrance de licences de pêche dans les zones déjà pleinement exploitées, ainsi que la réalisation d’un audit sur l’accord de pêche entre le Sénégal et l’Union européenne, en vigueur depuis 12 ans.

En concluant ses propos, Mamadou Lamine Diallo a annoncé une nouvelle approche de gouvernance dans le secteur de la pêche, basée sur la consultation et la collaboration avec toutes les parties prenantes. Il a également souligné l’importance de mettre fin à la pêche illicite et de garantir que les ressources maritimes profitent à l’ensemble de la population sénégalaise.

La signature de la Charte des pêcheurs par Mamadou Lamine Diallo représente un engagement fort en faveur d’une gestion responsable et durable des ressources marines du Sénégal. Cet acte témoigne de sa volonté de placer les intérêts du pays et de ses citoyens au cœur de son action politique, en vue de préserver l’avenir de la pêche et des communautés qui en dépendent.

Secteur pêche :Mamadou Lamine Diallo signe les 13 points de la charte des pêcheurs pour une pêche...

Report de la Présidentielle au Sénégal : Mamadou Lamine Diallo dénonce un « 3e mandat glissant »

Comme d’habitude, je suis constant dans la lutte démocratique au Sénégal et en Afrique; contre le coup d’État constitutionnel de Macky Sall, le report de l’élection et un troisième mandat glissant. Nous attaquerons le décret de Macky Sall qui annule la convocation du corps électoral le 25 février 2024″, a déclaré le candidat à la Présidentielle de 2024 lors d’une prise de parole lundi.

Mamadou Lamine Diallo affirme ainsi son opposition ferme au report de l’élection présidentielle et souligne les risques d’un « troisième mandat glissant ». Il envisage de contester le décret présidentiel qui a annulé la convocation du corps électoral à la date initialement prévue.

L’opposition sénégalaise, mobilisée à travers des manifestations à l’échelle nationale, maintient le début de sa campagne électorale en dépit de la décision du président Macky Sall de reporter le scrutin. Cette décision a été annoncée suite à l’abrogation du décret qui avait initialement convoqué le corps électoral.

La situation politique au Sénégal demeure tendue, avec des contestations croissantes face aux décisions entourant l’élection présidentielle. Les acteurs politiques et la société civile s’expriment de manière diverse sur la légitimité de ces actions, mettant en lumière les enjeux démocratiques qui marquent le pays à l’approche du scrutin présidentiel.

Macky Sall Accusé de « Coup d’État Constitutionnel » par Mamadou Lamine Diallo : La Coalition MLDTEKKI2024 portera Plainte

Le président Mamadou Lamine Diallo, lors d’une conférence de presse cet après-midi, a qualifié le report de l’élection présidentielle de « coup d’État constitutionnel » de la part de Macky Sall. Il affirme que l’abrogation du décret convoquant le corps électoral constitue une violation de la constitution sénégalaise et annonce que la coalition MLDTEKKI2024 portera plainte devant la justice sénégalaise dans les prochaines heures.

Mamadou Lamine Diallo, soulignant le rôle de vitrine démocratique du Sénégal dans la sous-région, insiste sur la nécessité de préserver cette image en respectant les principes constitutionnels. Il appelle également les autres candidats à se joindre à ce combat patriotique pour « sauver le Sénégal ».

Revenant sur les motifs avancés par Macky Sall pour le report, Mamadou Lamine Diallo rejette l’idée que la question de la nationalité de Karim Wade soit le véritable enjeu. Selon lui, Macky Sall cherche plutôt à consolider son pouvoir en prolongeant le scrutin, ouvrant la voie à une possible extension de mandat. Il dénonce le risque d’un « mandat glissant » ou la matérialisation de la volonté de Macky Sall de mourir au pouvoir. C’est ce que pourrait engendrer cette énième manœuvre cynique de Macky

La situation politique du Sénégal reste tendue, avec des accusations de violations constitutionnelles et des actions juridiques imminentes de la part de l’opposition. Restez informés pour suivre le développement de cette affaire.

Réaction de Mamadou Lamine Diallo suite au rejet de la Candidature de Karim Wade

Suite au rejet de la candidature de Karim Wade à l’élection présidentielle de 2024 par le Conseil constitutionnel, Mamadou Lamine Diallo, candidat à cette élection, a exprimé son mécontentement dans un tweet. Il a critiqué l’acharnement, selon lui, de Macky Sall, Amadou Ba et BBY (Benno Bokk Yakaar) contre Maître Abdoulaye Wade et sa famille.

Mamadou Lamine Diallo a exprimé son étonnement face à la décision du Conseil constitutionnel et a déclaré sur Twitter : « Franchement, il m’est difficile de comprendre l’acharnement de Macky Sall, de Amadou Ba et de BBY contre Maître Abdoulaye Wade et sa famille ». Il a souligné que Karim Wade a fait preuve de courage patriotique en renonçant à sa nationalité française, acquise de manière involontaire à sa naissance.

Mamadou Lamine Diallo a conclu son tweet en indiquant que « la lutte pour le renforcement de l’État de droit se poursuit ».

Le Conseil constitutionnel a rejeté la candidature de Karim Wade à l’élection présidentielle de 2024. Cette décision a suscité des réactions et des critiques de la part de certains acteurs politiques, dont Mamadou Lamine Diallo.

La réaction de Mamadou Lamine Diallo n’a pas été unanimement bien accueillie sur les réseaux sociaux, certains internautes exprimant leur désaccord avec sa position. La question de la candidature de Karim Wade et les divergences politiques continuent de susciter des débats passionnés au Sénégal.

Mamadou Lamine Diallo sur la voie de la présidentielle : Succès dans la validation des parrainages devant le Conseil constitutionnel

Le triomphe de Mamadou Lamine Diallo devant la Commission :

Le 9 janvier, Mamadou Lamine Diallo s’est présenté devant la Commission du Conseil constitutionnel pour soumettre et valider ses parrainages. Avec détermination et succès, il a non seulement atteint mais surpassé le nombre requis en validant 48 961 parrains. Cette démonstration de soutien populaire étendu atteste de l’efficacité de la mobilisation de Mamadou Lamine Diallo à travers le pays, consolidant ainsi sa position en tant que candidat sérieux à la présidentielle.

Situation délicate pour Mamadou Lamine Diallo au Conseil constitutionnel : le candidat doit régulariser ses parrainages en vue de la Présidentielle 2024

Le processus de contrôle des parrainages en prévision de l’élection présidentielle de 2024 se poursuit au sein du Conseil constitutionnel, mettant Mamadou Lamine Diallo dans une position délicate.

Parmi les autres candidats concernés par ce processus de contrôle, Mouhamadou Boun Abdallah, Aliou Camara, et Karim Wade sont également appelés à se conformer aux exigences du Conseil constitutionnel.

Il est important de rappeler que chaque candidat a le choix entre deux modes de parrainage : citoyen ou par des élus. Pour le parrainage citoyen, la collecte doit réunir entre 0,6 et 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs. Une étape cruciale qui conditionne l’éligibilité de chaque prétendant à la plus haute fonction de l’État.

La scène politique reste donc tendue, avec les candidats devant affronter les impératifs du processus démocratique et satisfaire aux exigences du Conseil constitutionnel pour participer à la course présidentielle de 2024. La suite des événements promet d’être riche en rebondissements et en enjeux politiques majeurs.

Moustapha Diop, président du parti Niite, rejoint la coalition MLD Tekki2024 en soutien à Mamadou Lamine Diallo

Ce jeudi 28 décembre 2023, Moustapha Diop, Président du parti Niite (Nation Indépendante Intègre Travailleuse Engagée), a dirigé une délégation imposante à la permanence Moussa Ndiaye de Tekki, la coalition MLD Tekki2024. Ce geste significatif marque l’adhésion du parti Niite à la candidature de Mamadou Lamine Diallo à l’élection présidentielle.

Pour le leader de Tekki, cet appui de la part de Moustapha Diop et de son parti représente une « démonstration d’humilité et de grandeur ». Moustapha Diop, qui se positionne comme candidat à la candidature à la présidentielle avec le numéro de fiche de parrainage 34, a pris la décision de rallier le Président Mamadou Lamine Diallo après des rencontres fructueuses entre les deux formations politiques.

Le parti Niite, solidement implanté dans le pays, notamment à Thies, a choisi de se mobiliser en faveur du « Pape du Tekki ». Ils considèrent Mamadou Lamine Diallo comme le meilleur candidat en raison de son parcours irréprochable, de ses idées lumineuses et de son courage patriotique inébranlable.

La délégation du parti Niite n’est pas venue les mains vides. En plus de manifester leur soutien, ils ont souligné des convergences programmatiques avec la coalition MLD Tekki2024. De plus, le parti Niite a proposé des idées novatrices dans les domaines économique, sécuritaire et institutionnel.

Moustapha Diop et Mamadou Lamine Diallo partagent une vision commune, notamment en ce qui concerne la réduction des pouvoirs du Président de la République. Le leader de Tekki s’engage à faire de celui-ci un justiciable et à donner un contenu à la haute trahison. De plus, la promesse d’initier l’industrialisation du Sénégal est au cœur de l’engagement de la coalition MLD Tekki2024.

L’unité nouvellement forgée entre le parti Niite et la coalition MLD Tekki2024 renforce la dynamique politique à l’approche de l’élection présidentielle, offrant une alternative solide et unie aux citoyens sénégalais. La convergence d’idées et d’objectifs entre ces deux entités promet une campagne électorale animée et des perspectives politiques intéressantes pour l’avenir du Sénégal.

Affaire de la Mine de Diamant : Mamadou Lamine Diallo Appelle Me Moussa Diop à Reconnaître son Erreur

L’ancien directeur général de Dakar Dem Dikk, Me Moussa Diop, a été incarcéré après ses déclarations controversées sur un contrat opaque d’exploitation d’une mine de diamant dans le nord du Sénégal, impliquant le président Macky Sall, l’industriel Jean-Claude Mimran, son bras droit Mamadou Diagna Ndiaye et l’ancien ministre Aly Ngouille Ndiaye. Il est poursuivi pour des actes susceptibles de discréditer les institutions de la République et la diffusion de fausses nouvelles.

En réaction à cette affaire, le leader du mouvement Tekki, Mamadou Lamine Diallo, estime que l’avocat a tort. « Maître Moussa Diop doit reconnaître qu’il s’est trompé », a-t-il déclaré dans sa question écrite du mardi 19 décembre 2023. « Le diamant est plus puissant que l’or dans la symbolique de la richesse matérielle. Évoquer son exploitation soulève forcément des passions dans un pays où l’aspiration au mieux-être concerne au moins 95 % de la population. Il ne peut pas y avoir de diamant au nord, sauf peut-être, disent les géologues, au fond de la mer. Ceci doit être connu de la classe politique de ce pays. C’est un minimum », souligne d’emblée Mamadou Lamine Diallo.

Le candidat à la candidature à la Présidentielle de février 2024, qui s’est efforcé dans le Réseau parlementaire pour la bonne gouvernance des ressources minérales (RGM) de pousser ses camarades députés à acquérir la bonne information sur ces ressources naturelles, ajoute : « Les rapports ITIE font le point de la situation des permis de recherche et d’exploitation délivrés par l’État. Le dossier concernant le diamant y figure. Sans doute, cela ne suffit pas pour l’information du public et les besoins de transparence. »

C’est pourquoi, poursuit M. Diallo, qui dénonce par ailleurs la judiciarisation excessive du débat politique, « l’Assemblée nationale et les populations locales concernées doivent participer à la gestion des ressources naturelles. Cela aurait évité des situations à la Moussa Diop marquées par la confusion qui portent atteinte à l’honneur de citoyens non concernés. »

Mamadou Lamine Diallo dénonce le refus de visite à Ousmane Sonko par l’administration pénitentiaire

Mamadou Lamine Diallo, leader du parti Tekki, a exprimé son mécontentement face à la situation qu’il juge inéquitable. À l’instar d’Aminata Touré, il se plaint de l’administration pénitentiaire qui lui aurait refusé une visite à Ousmane Sonko, leader de l’opposition détenu à la prison du Cap Manuel. Selon Diallo, il s’agit d’une manœuvre orchestrée par le Président Macky Sall et son Premier ministre pour l’empêcher de rencontrer le maire de Ziguinchor.

« BBY me refuse le permis de visite à Ousmane Sonko. Pourtant, les juges d’instruction m’avaient autorisé à rendre visite à Birame Souleye Diop, président du Groupe parlementaire Yewwi et au maire Jamil Sane des Parcelles Assainies de Dakar. De quoi ont peur Macky Sall et Amadou Ba l’Ascenseur? », s’interroge-t-il.

Il est à noter que plusieurs leaders de l’opposition ont pu rendre visite à Ousmane Sonko depuis son transfèrement au Cap Manuel. C’est une situation qui a fait réagir Mamadou Lamine Diallo, qui voit en cela un traitement inéquitable de la part de l’administration pénitentiaire. Cette information a été rapportée par le site Walf-groupe.com.

Walf-groupe

« De quoi ont peur Macky Sall et Amadou Ba ? » : Ce député s’est vu refuser une visite à Ousmane Sonko

Dans une déclaration sur X, Mamadou Lamine Diallo, député et candidat à la prochaine élection présidentielle sénégalaise, a exprimé son mécontentement après s’être vu refuser la permission de rendre visite à Ousmane Sonko. Cette décision intervient malgré l’autorisation qu’il avait reçue précédemment pour visiter Birame Souleye Diop et le maire Jamil Sane.

Dans ses propos, Mamadou Lamine Diallo a questionné les motivations de cette interdiction, en mettant directement en cause le Président Macky Sall et son allié Amadou Ba. Il déclare : « BBY me refuse le permis de visite à Ousmane Sonko. Pourtant, les juges d’instruction m’avaient autorisé à rendre visite à Birame Souleye Diop, Président du Groupe parlementaire Yewwi et au maire Jamil Sane des Parcelles Assainies de Dakar. De quoi ont peur Macky Sall et Amadou Ba l’Ascenseur? »

Senego

Fermeture de l’université de Dakar: «Le régime veut-il s’accaparer du foncier de l’Ucad?» (Mamadou Lamine Diallo)

«Dossier nouveau : Le régime veut-il fermer l’Université Cheikh Anta Diop et s’accaparer du foncier?», s’est interrogé Mamadou Lamine Diallo dans sa Question économique de la semaine (Qes Tekki 384) publiée hier mardi 5 décembre 2023. Selon le député et candidat à l’élection présidentielle du 25 février prochain, la question mérite d’être posée, tant la mesure de fermeture de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar est incohérente à ses yeux. 
L’économiste juge légères voire fallacieuses les explications du ministre de l’Enseignement supérieur. «Le ministre Baldé, produit de cette université comme Macky Sall et Amadou Ba l’Ascenseur, explique que l’avenir est à l’enseignement à distance; on peut fermer le campus social sans conséquences. Or, les bacheliers 2021, 2022, 2023 sont au même point, en attendant ceux de 2024. C’est le point de départ de l’implosion du système. BBY n’aime pas le Sénégal et ses enfants. Il faut appeler le chat par son nom, c’est du sabotage», fulmine-t-il. 
Selon lui, la vraie raison qui sous-tend cette décision serait  une volonté de s’accaparer du foncier. «L’UCAD se situe à Fann Résidence, le quartier le plus huppé de Dakar, le m2 à deux millions. Pour les prédateurs, tuer l’université et prendre le foncier est un business lucratif», souligne Mamadou Lamine Diallo qui invite le mouvement qui s’était opposé au bradage du lycée Lamine Gueye, il y a quelques années, à sauver l’UCAD. 
De même, il a demandé aux centrales syndicales CNTS, UDEN, CSA et les autres de soutenir le SAES dans son bras de fer avec l’État pour l’ouverture du campus universitaire. 

Seneweb

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