Accident à Gandon : Un véhicule de la Gendarmerie heurté par un minicar, 22 blessés dont 10 en état grave

Un grave accident s’est produit dans la soirée du mercredi 28 août aux environs de 23 heures dans le village de Gandon, situé à l’entrée de la région de Saint-Louis. Un véhicule de la gendarmerie, en patrouille, a été violemment percuté par un minicar, causant d’importants dégâts et un bilan humain lourd.

L’accident, survenu sur la route menant à Saint-Louis, a fait un total de 22 blessés, dont 10 sont actuellement dans un état grave. Les victimes ont immédiatement été prises en charge par les secours et évacuées vers l’hôpital régional de Saint-Louis pour recevoir les soins nécessaires.

Selon les premières informations, le choc aurait été particulièrement violent, témoignant de la brutalité de la collision entre les deux véhicules. Le véhicule de la gendarmerie, en mission de patrouille, n’a pas pu éviter l’impact avec le minicar qui se dirigeait à grande vitesse vers Saint-Louis.

Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes de cet accident. Les autorités locales rappellent l’importance du respect des règles de circulation, notamment sur les routes nationales souvent théâtre de tragédies.

Cet événement relance une fois de plus le débat sur la sécurité routière dans la région, où les accidents impliquant des véhicules en mission ou des transports en commun sont fréquents. Les habitants de la région espèrent que des mesures seront prises pour éviter de tels drames à l’avenir.

Tragique accident à Hayré Sédo : Bilan de six morts et quatorze blessés

Un tragique accident s’est produit ce jeudi 25 juillet aux abords du village de Hayré Sédo, dans la région de Matam, entraînant la mort de six personnes et blessant quatorze autres, dont sept grièvement. C’est le bilan dressé par la brigade des sapeurs-pompiers.

Selon le lieutenant Ignace François Ndiaye, interrogé par l’Agence de Presse Sénégalaise (APS), « l’accident a eu lieu aux environs de 10 heures dans le village de Hayré Sédo. Un camion a heurté un minibus à la sortie d’un croisement ». Les victimes ont été rapidement transportées à l’hôpital régional de Ourossogui pour y recevoir les soins nécessaires.

Le chef de l’État, BDF, a exprimé ses condoléances aux familles des victimes dans un message publié sur X (anciennement Twitter). « J’ai donné instruction pour une prise en charge rapide des blessés et je continue de suivre la situation de près », a-t-il déclaré.

Les sapeurs-pompiers se sont rapidement mobilisés pour secourir les victimes et dégager la route. Le lieutenant Ndiaye a souligné l’importance de la vigilance sur les routes, particulièrement aux abords des villages où les croisements peuvent être particulièrement dangereux.

Les blessés, dont sept dans un état grave, sont pris en charge à l’hôpital régional de Ourossogui. Le personnel médical est mobilisé pour fournir les soins nécessaires et stabiliser les patients dans les plus brefs délais.

Cet accident tragique rappelle une fois de plus la nécessité de respecter les règles de sécurité routière et d’adopter une conduite prudente, surtout dans les zones à risque. Les autorités locales appellent les usagers de la route à redoubler de vigilance pour éviter de tels drames à l’avenir.

La région de Matam est en deuil suite à ce terrible événement, et les pensées de la nation entière accompagnent les familles des victimes et les blessés en cette période difficile.

REFUS DE LIVRAISON DE 19 MINIBUS APRÈS SOLDE DE LA DETTE : Des transporteurs vilipendent MECTRANS

Des transporteurs accusent la MECTRANS de retenir illégalement la propriété de dix-neuf minibus après avoir remboursé intégralement leurs prêts en 2023. Ils demandent une intervention urgente pour résoudre cette situation et un audit de MECTRANS, en proie à des « magouilles », a appris Le Dakarois Quotidien par le biais de Dame Seck, le représentant du collectif des victimes.

La Mutuelle d’Épargne et de Crédit des transporteurs (MECTRANS), une institution de microfinance spécialisée dans le domaine du transport se retrouve au cœur d’un scandale financier. Un transporteur du nom de Dame Seck, à la tête du collectif des victimes de MECTRANS, défend que l’institution financière refuse d’effectuer un transfert de propriété sur dix-neuf (19) minibus en vert et blanc qui roulent dans la commune de Rufisque. Ce, après qu’ils ont totalement procédé au paiement de leur prêt depuis 2023.

En effet, Dame Seck, qui se confie au Dakarois Quotidien, précise que les minibus ont commencé à être livrés en 2019 aux premiers inscrits du projet sur les bases d’un accord tripartite entre les investisseurs, le GIE khar Yallah et MECTRANS. Le contrat liant les parties est d’un montant de sept millions six cents mille (7 600 000) de francs CFA payable sur une durée de 38 mois. La première étape est d’amener un apport de deux (2) millions de francs CFA. Le reste du montant est payé par tranche par le GIE Khar Yallah, s’occupant de l’exploitation et de l’entretien des véhicules jusqu’à échéance du contrat. C’est par la suite, après le paiement total de leur engagement, que les minibus reviennent totalement aux transporteurs ayant investi leurs fonds grâce à la récupération de leurs titres de propriété. « Dès que la dette est épongée, la recette journalière doit être versée directement à l’investisseur. Cela ne doit plus être versée au GIE qui paie, à son tour, MECTRANS. C’est ainsi qu’utilisant une des clauses du contrat qui permet un remboursement anticipé, nous avons décidé, il y a plus d’un an, de solder tout le montant. Chose que MECTRANS a acceptée puis nous a donné un délai d’une semaine pour nous livrer nos minibus. Mais, à notre plus grande surprise, la date échue, l’institution financière a catégoriquement refusé, gardant notre argent pour nous le restituer après une très longue attente », regrette M. Seck, qui voit en cette situation « un abus ».

Une veuve ayant investi l’héritage de ses enfants parmi les victimes

L’attitude de MECTRANS ne va pourtant pas décourager Dame Seck et ses camarades. Ils ont, dès lors, engagé des négociations. « Au début, MECTRANS nous a proposé d’attendre de recouvrer la totalité des dettes d’autres investisseurs venus après nous afin de nous donner nos véhicules et cela peut prendre deux ans, voire plus. Maintenant, elle refuse même de répondre à nos sollicitations par arrogance, mépris et excès de zèle », peste Dame Seck.

En outre, M. Seck déclare qu’ils ne reçoivent pratiquement que mille (1000) francs CFA de versement journalier pour des véhicules qui, chacun, est capable d’avoir une recette journalière avoisinant les cinquante (50 000) francs CFA.

Aussi, alerte-t-il toute personne qui voudrait investir chez MECTRANS pour « éviter d’autres victimes » car il y a cent (100) autres véhicules qui n’ont pas encore de propriétaires, selon lui. 

Ayant foi au JUB, JUBAL, JUBANTI lancé par les nouvelles autorités, il les appelle à régler ce contentieux qui a trop duré. À l’en croire, dans leur collectif, beaucoup sont dans le désarroi car ont investi quasiment tous leurs avoirs dans ce projet. Parmi eux, une veuve dénommée A.R.G. qui a investi l’argent de son héritage et celui de ses enfants. « Après le décès de mon époux, je me suis retrouvée avec des orphelins dont je ne voulais pas dilapider l’héritage. Voilà pourquoi j’ai fait partie des investisseurs. Là, je suis très déçue. Parfois, on nous appelle pour nous verser une part des retombées de notre investissement. Toutefois, nous pouvons rester des mois sans qu’on ne nous donne un centime », explique-t-elle.

En définitive, Dame Seck affirme que leur collectif a loué les services d’un avocat. D’autre part, il propose qu’un audit de MECTRANS soit effectuée car il soupçonne des membres de l’institution financière de se servir de prête-noms pour jouir des mêmes droits que les transporteurs. Ce qui, selon lui, est un « conflit d’intérêts ». Il révèle également des « magouilles », avançant que des véhicules hors service depuis 2 à 3 ans continuent à payer l’assurance.

Le Dakarois

Tragique collision à Kaffrine : Deux morts et quatre blessés dans un accident entre un camion et un minibus

Un grave accident survenu ce mercredi 27 décembre à hauteur du village de Nguer dans le département de Mbirkilane secoue la région.

Une collision meurtrière entre un camion et un minibus de transport en commun a endeuillé la journée du mercredi 27 décembre à Kaffrine, précisément à Nguer, dans le département de Mbirkilane. L’accident a causé la perte de deux vies et a laissé quatre personnes grièvement blessées.

Selon les premières informations recueillies sur les lieux du drame, le conducteur du camion aurait perdu le contrôle de son véhicule, entraînant une collision violente avec le minibus à sept places. Le choc a été d’une telle violence que deux personnes ont perdu la vie instantanément, tandis que quatre autres passagers ont été grièvement blessés.

Les secours ont été immédiatement dépêchés sur les lieux pour prendre en charge les blessés et évacuer les victimes. Les équipes médicales ont transporté les blessés vers les établissements de santé les plus proches pour recevoir des soins d’urgence.

Cet incident souligne une fois de plus l’importance de la sécurité routière et de la prudence au volant. Les autorités appellent à la vigilance des conducteurs et des usagers de la route pour prévenir de tels drames à l’avenir.

La communauté locale est profondément attristée par cette perte soudaine et adresse ses condoléances aux familles des victimes. Les proches des blessés attendent avec anxiété des nouvelles sur leur état de santé.

Cet accident vient rappeler la nécessité d’une sensibilisation continue sur la sécurité routière et l’importance du respect des règles de conduite pour éviter de telles tragédies.

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