Nioro plongée dans la tristesse lors de l’arrivée du corps de Mamadou Moustapha Ba

L’arrivée du cortège funèbre transportant le corps de l’ancien ministre des Finances, Mamadou Moustapha Ba, a plongé la ville de Nioro dans une atmosphère de profonde tristesse. Le domicile familial du défunt, où les proches et amis étaient rassemblés, a été envahi par l’émotion dès l’apparition du corbillard.

Les femmes présentes n’ont pu contenir leur chagrin, exprimant leur douleur par des pleurs et des cris déchirants. Pour certaines, le choc a été insupportable, provoquant des évanouissements. D’autres semblaient suffoquer sous le poids de leur peine, comme frappées de convulsions incontrôlables. La scène était d’une intensité émotionnelle telle que les sapeurs-pompiers de Nioro, appelés en urgence, ont dû intervenir à plusieurs reprises pour venir en aide aux personnes en crise. Leur intervention a permis de transporter celles en détresse vers des structures médicales pour des soins d’urgence.

Malgré cette atmosphère de deuil palpable, les proches et amis du défunt se sont réunis dans la dignité, attendant avec recueillement la levée du corps. Celle-ci est prévue à la grande mosquée de Nioro après la prière de 17 heures. La cérémonie religieuse, marquée par la présence de nombreux dignitaires et anonymes venus rendre un dernier hommage, témoigne de l’impact et de l’estime dont jouissait Moustapha Ba au sein de la communauté.

Le corps de Mamadou Moustapha Ba a été transporté par le corbillard du Centre des Œuvres des Douanes sénégalaises, un geste symbolique qui souligne son engagement et ses services rendus à l’État tout au long de sa carrière. La vue du corbillard a suscité une vive émotion parmi la foule, marquant le début des cérémonies funéraires dans une atmosphère empreinte de solennité et de recueillement.

Le décès de Mamadou Moustapha Ba laisse un vide immense dans le cœur de ses proches et de tous ceux qui ont eu la chance de le connaître. Sa disparition est une perte pour le pays, qui perd un homme d’État respecté et dévoué.

Pour suivre le déroulement des funérailles et voir les images poignantes, consultez les reportages publiés par nos confrères de Le Soleil.

Mort suspecte de l’ancien ministre Mamadou Moustapha Bâ : Enquête sur les circonstances troublantes entourant son décès

L’enquête sur le décès de Mamadou Moustapha Bâ, ancien ministre des Finances et du Budget du Sénégal sous le mandat de Macky Sall, prend une tournure inattendue. La Division des Investigations Criminelles (DIC) s’est saisie de l’affaire suite aux résultats de l’autopsie, qui ont révélé des éléments laissant présager que la mort du ministre ne serait pas naturelle.

Selon les informations recueillies par le journal L’Observateur, les enquêteurs ont longuement entendu Yassine Sall Bâ, la veuve du ministre. Celle-ci a affirmé avoir découvert son époux inconscient en France, après que ce dernier aurait été victime d’un malaise alors qu’il se rendait à la pharmacie. Transporté d’urgence à l’hôpital, Mamadou Moustapha Bâ aurait sombré dans le coma avant de décéder le 4 novembre dernier. Cette version a été corroborée par Yassine Sall Bâ, qui a déclaré aux policiers que son époux, bien qu’ayant des problèmes rénaux nécessitant un traitement régulier, était en bonne forme avant son départ de Dakar.

Pourtant, cette explication ne convainc pas totalement les autorités. Une source judiciaire, citée par L’Obs, a souligné que les propos de la veuve, bien qu’apparaissant logiques, ne sont «pas tangibles» et laissent encore des zones d’ombre à éclaircir.

Les enquêteurs ont également interrogé Babou Diédhiou, un ami proche de la famille, qui accompagnait Yassine Sall Bâ dans ses recherches à Paris. Selon nos sources, l’audition de ce dernier a permis de recouper certains détails, mais n’a pas encore dissipé tous les doutes. Les deux témoins, entendus séparément, ont par la suite été autorisés à regagner leur domicile.

Interrogée sur les raisons qui l’ont poussée à se rendre précipitamment à Paris, la veuve a expliqué que l’inquiétude liée au silence prolongé de son époux et à ses appels restés sans réponse l’a incitée à prendre l’avion. Cette justification, bien que plausible, n’a pas suffi à lever les soupçons des enquêteurs, d’autant plus que l’ancien ministre semblait être en meilleure forme au moment de son départ.

Dans ce contexte trouble, les enquêteurs continuent de rassembler les indices et d’interroger les proches de l’ancien ministre. Une source policière, gardant l’anonymat, n’a pas exclu que l’enquête puisse «à tout moment apporter des réponses surprenantes et aboutir à des conclusions inattendues».

Ce décès, qui intervient à un moment charnière du paysage politique sénégalais, suscite déjà des interrogations au sein de l’opinion publique. Si le malaise invoqué par la veuve est plausible, les circonstances entourant la mort de Mamadou Moustapha Bâ, ainsi que les résultats de l’autopsie, continuent de soulever des questions. Les autorités s’attendent à une poursuite des investigations dans les jours à venir, dans l’espoir de faire la lumière sur cette affaire troublante.

L’évolution de l’enquête sera scrutée par les observateurs, qui y voient déjà un potentiel scandale. La mort mystérieuse de Mamadou Moustapha Bâ, figure éminente du gouvernement sous Macky Sall, pourrait bien dévoiler des éléments inattendus, au-delà des simples apparences. Les conclusions des investigations, attendues avec impatience, risquent de faire éclater une vérité insoupçonnée sur cette disparition aussi soudaine que mystérieuse.

Israël affirme avoir éliminé « la plupart » des hauts dirigeants du Hezbollah, des doutes persistent sur la mort de Nasrallah

Une série de frappes israéliennes sur le quartier général du Hezbollah à Beyrouth, vendredi soir, a entraîné des pertes significatives dans les rangs du mouvement chiite libanais. Selon l’armée israélienne, « la plupart » des hauts dirigeants de l’organisation auraient été tués, une déclaration qui marque un tournant dans les tensions croissantes entre Israël et le Hezbollah.

Le lieutenant-colonel Nadav Shoshani, porte-parole de l’armée israélienne, a annoncé lors d’une conférence de presse en ligne que ces frappes auraient visé avec succès plusieurs membres éminents de l’organisation. « La plupart des hauts dirigeants du Hezbollah ont été éliminés », a-t-il affirmé. Toutefois, la déclaration la plus attendue concerne la situation du chef suprême du Hezbollah, Hassan Nasrallah.

Depuis l’annonce des frappes, des rumeurs circulent sur la mort de Nasrallah, mais aucune confirmation officielle n’a été donnée par le Hezbollah. Ce silence alimente les spéculations, laissant planer un doute sur le sort du leader, figure emblématique de la résistance armée contre Israël.

Cette frappe survient dans un contexte d’intensification des confrontations entre Israël et le Hezbollah. Depuis plusieurs semaines, les échanges de tirs se sont multipliés le long de la frontière israélo-libanaise, ravivant la crainte d’une guerre ouverte entre les deux ennemis de longue date. Le Hezbollah, soutenu par l’Iran, est considéré par Israël comme l’une de ses plus grandes menaces régionales en raison de son arsenal militaire conséquent et de son influence politique au Liban.

La possible disparition de Nasrallah constituerait un coup dur pour le Hezbollah, tant sur le plan militaire que symbolique. Dirigeant du mouvement depuis 1992, il incarne pour ses partisans la résistance à Israël et à l’influence occidentale dans la région. Son absence pourrait créer un vide de pouvoir, susceptible de fragiliser l’organisation ou, au contraire, de radicaliser encore davantage sa base.

Jusqu’à présent, aucune déclaration officielle du Hezbollah n’a confirmé ou infirmé la mort de son leader. Le mouvement armé est souvent resté discret dans de telles circonstances, préférant maintenir le flou jusqu’à ce qu’il ait élaboré une réponse stratégique à la hauteur de la situation.

En Israël, les déclarations des responsables militaires se veulent prudentes. Bien que la frappe ait été présentée comme un succès majeur, les dirigeants israéliens savent que la mort de Nasrallah, si elle est confirmée, pourrait provoquer une réaction violente du Hezbollah et une intensification des hostilités. Les forces israéliennes restent en état d’alerte élevé dans le nord du pays, anticipant d’éventuelles représailles.

Si la mort de Hassan Nasrallah était avérée, cela pourrait avoir des répercussions majeures au Moyen-Orient, où le Hezbollah joue un rôle clé dans l’équilibre des forces. L’Iran, principal allié du Hezbollah, pourrait être contraint de réagir, tandis que la Syrie, où le Hezbollah est également présent, pourrait voir sa stabilité encore plus fragilisée.

Dans l’attente d’une clarification sur le sort de Nasrallah, la situation reste extrêmement tendue. Israël semble déterminé à affaiblir le Hezbollah, tandis que le mouvement chiite pourrait bien envisager une riposte, ajoutant ainsi une nouvelle dimension au conflit déjà complexe qui secoue la région depuis des décennies.

La frappe israélienne de vendredi marque un moment potentiellement décisif dans l’histoire du conflit israélo-libanais. La disparition de plusieurs hauts responsables du Hezbollah pourrait affaiblir l’organisation, mais la situation demeure incertaine tant que le sort de Nasrallah n’est pas clarifié. Une chose est sûre : la région est au bord d’une nouvelle crise qui pourrait entraîner des conséquences durables pour la stabilité du Moyen-Orient.

Nouveau drame évité en haute mer : une centaine de candidats à l’émigration clandestine frôlent la mort au large de Mbour

Un nouveau naufrage a été évité de justesse au large des côtes de Mbour, plongeant une centaine de candidats à l’émigration clandestine dans une situation critique. Alors que la mémoire collective porte encore les stigmates du drame survenu le 8 septembre dernier, où la pirogue du capitaine Cheikh Sall avait chaviré, entraînant la mort de 39 personnes et de nombreuses disparitions, la mer a failli encore être le théâtre d’une nouvelle tragédie.

Le scénario commence par l’embarquement de près de 100 candidats à destination de l’Espagne, à bord d’une pirogue dirigée par Abdou Karim Sarr, accompagné de son frère Abdou Sarr. Après avoir collecté des sommes variant entre 300 000 et 500 000 FCFA par passager, les deux frères ont pris la mer en pleine nuit. Mais très vite, la situation se dégrade.

Selon des témoins, après avoir parcouru quelques kilomètres en mer, des passagers découvrent que certains clandestins n’ont pas payé leur place. Une altercation éclate alors, transformant l’embarcation en un véritable champ de bataille. Les mouvements brusques de la pirogue surchargée entraînent une dangereuse inclinaison de celle-ci, menaçant de la faire chavirer.

L’eau commence à s’infiltrer à bord, semant la panique parmi les passagers. Malgré la gravité de la situation, Abdou Karim Sarr insiste pour poursuivre la traversée, tandis que sa pirogue cède progressivement face aux vagues. C’est alors que Moustapha Ba, un ami du capitaine qui avait été invité à bord sans payer, prend les commandes dans un geste héroïque. Contre toute attente, il réussit à ramener l’embarcation jusqu’au Quai de pêche de Mbour, sauvant ainsi de nombreuses vies.

Cependant, une fois sur la terre ferme, la tension ne retombe pas. Les passagers exigent le remboursement de leurs frais de transport, ce que le frère aîné du capitaine, Abdou Sarr, refuse catégoriquement. Les forces de l’ordre, alertées par la situation, interviennent et procèdent à l’arrestation des deux frères ainsi que de Moustapha Ba.

Déférés devant le Tribunal de grande instance de Mbour, Abdou Sarr a tenté de rejeter toute responsabilité, pointant son frère Abdou Karim comme l’unique instigateur de cette dangereuse traversée. Le procureur de la République, lui, a demandé l’application stricte de la loi. Le verdict est attendu pour le mardi 24 septembre 2024.

Ce nouveau drame évité de peu relance le débat sur la gestion des migrations clandestines et la vulnérabilité des jeunes désespérés face aux dangers de la mer.

Tragique fin pour Rebecca Cheptegei : un cas emblématique des violences faites aux femmes

Le décès de la marathonienne ougandaise Rebecca Cheptegei, brûlée vive par son compagnon le 1er septembre dernier, a suscité une onde de choc internationale. Cette tragédie s’ajoute à une série de meurtres liés au genre, soulignant l’ampleur des violences sexistes, notamment en Afrique de l’Est. L’agresseur, Dickson Ndiema Marangach, a succombé lundi soir aux brûlures qu’il s’était infligées lors de l’attaque, a annoncé mardi l’hôpital Moi Teaching and Referral d’Eldoret, dans l’ouest du Kenya.

L’incident, survenu à Endebess, une ville de l’ouest du Kenya, a choqué la communauté sportive et bien au-delà. Selon les déclarations du père de Rebecca, la dispute entre l’athlète et son compagnon aurait été provoquée par un différend concernant un terrain qu’elle avait acquis pour y construire sa maison. En revenant de l’église avec ses enfants, Cheptegei a été aspergée d’essence par Marangach, qui l’a ensuite embrasée. Grièvement brûlée à plus de 80%, la jeune femme, âgée de 33 ans, est décédée des suites de ses blessures le jeudi suivant.

Rebecca Cheptegei avait récemment pris part au marathon des Jeux olympiques de Paris, où elle avait terminé 44e. Sa mort a provoqué une vive émotion à travers le monde, notamment dans la communauté sportive. La ville de Paris a annoncé qu’elle rendrait hommage à l’athlète en nommant un site sportif en son honneur.

La tragédie de Cheptegei a également attiré l’attention sur le fléau des violences faites aux femmes. Le porte-parole du secrétaire général de l’ONU, Stéphane Dujarric, a fermement condamné ce « meurtre violent », pointant du doigt un problème trop souvent négligé. En 2022, l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) a recensé 725 femmes tuées dans des violences liées au genre au Kenya.

Cette affaire s’inscrit dans une série de meurtres ayant endeuillé le monde de l’athlétisme. En 2021, Agnes Tirop, une athlète kényane prometteuse, avait été retrouvée poignardée à mort à son domicile. Son mari est actuellement jugé pour ce crime. Un an plus tard, en 2022, la Bahreïnie d’origine kényane Damaris Mutua a également été assassinée par son compagnon. Ces actes violents, qui prennent pour cible des femmes sportives, reflètent un problème systémique qui dépasse le cadre du sport.

Rebecca Cheptegei sera inhumée samedi dans son village familial, dans l’est de l’Ouganda. Sa mort rappelle avec force l’urgence de mettre fin aux violences sexistes et de protéger les femmes contre les abus qui leur coûtent trop souvent la vie.

Décès d’Issa Hayatou : Une page se tourne dans l’histoire du football africain

Le monde du football africain est en deuil. Issa Hayatou, l’homme qui a incarné la Confédération Africaine de Football (CAF) pendant près de trois décennies, s’est éteint ce jeudi à Paris à l’âge de 78 ans. Originaire du Cameroun, Hayatou a présidé la CAF de 1988 à 2017, devenant une figure incontournable du sport roi sur le continent.

Issa Hayatou a marqué l’histoire du football en Afrique. Pendant son long mandat, la CAF a connu un développement significatif, avec l’augmentation du nombre de compétitions et de participants, ainsi que l’amélioration des infrastructures sportives à travers le continent. Sous sa direction, le football africain a acquis une reconnaissance mondiale, culminant avec l’attribution de la Coupe du Monde de la FIFA 2010 à l’Afrique du Sud, une première historique pour le continent.

Si Hayatou est salué pour ses réalisations, son mandat n’a pas été sans controverses. Des accusations de corruption ont entaché les dernières années de sa présidence. Malgré ces scandales, qui ont terni son image, Hayatou a su conserver une influence notable au sein des instances dirigeantes du football mondial. En octobre 2015, après la suspension de Sepp Blatter, il a assuré la présidence par intérim de la FIFA, un rôle qu’il a occupé jusqu’en février 2016.

Issa Hayatou laisse derrière lui un héritage complexe, mêlant réussites éclatantes et zones d’ombre. Sa contribution au développement du football africain est indéniable, et son influence perdurera longtemps dans les annales de l’histoire sportive du continent. Son décès marque la fin d’une ère, celle d’un homme qui a consacré sa vie à la promotion du football en Afrique.

Alors que le monde du sport lui rend hommage, les débats autour de son héritage continueront sans doute d’alimenter les discussions. Toutefois, Issa Hayatou restera à jamais gravé dans la mémoire collective comme l’un des artisans du football africain moderne.

Rappel à Dieu du Khalife Général Cheikh Mouhamed Fadel (Bounéné) ibn Cheikh Chamsidine

C’est avec une profonde tristesse que nous avons appris le rappel à Dieu du Khalife Général Cheikh Mouhamed Fadel (Bounéné) ibn Cheikh Chamsidine. Son décès est survenu dans la nuit du lundi 05 au mardi 06 août à Daroul-Khaïry, dans le département de Bignona.

Cheikh Mouhamed Fadel (Bounéné), en plus de sa position spirituelle en tant que Khalife Général, était largement respecté et admiré pour son engagement indéfectible dans le processus de paix en Casamance. Sa sagesse, son dévouement et son rôle crucial dans les négociations pour la paix ont marqué de manière indélébile les esprits et les cœurs de ceux qui l’ont connu et travaillé avec lui.

En ces moments de douleur et de recueillement, nous présentons nos sincères condoléances à toute la communauté musulmane, à sa famille, à ses proches et à tous ceux qui ont été touchés par son leadership et son humanité. Que son héritage de paix et de réconciliation continue d’inspirer et de guider les générations futures.

Puisons dans sa mémoire la force de continuer à œuvrer pour la paix et l’harmonie, valeurs qu’il a toujours prônées et incarnées.

Qu’Allah le Tout-Puissant l’accueille dans Son Paradis éternel. Ameen.

Incendie tragique dans un Darra à Tivaoune : Un enfant perd la vie, le maître coranique arrêté

Un incendie dévastateur s’est déclaré dans un Darra de Tivaoune dans la nuit du vendredi 2 au samedi 3 août 2024, entraînant la perte tragique d’un enfant. Les flammes ont ravagé deux des trois huttes en paille où dormaient les talibés, causant une immense douleur dans la communauté.

Les autorités locales ont rapidement réagi à la tragédie. Les agents du commissariat urbain de Tivaoune ont arrêté le maître coranique Abdou Khoudoss Cissé, désormais en garde à vue pour mise en danger de la vie d’autrui et homicide involontaire. Cette arrestation soulève des questions sur les conditions de sécurité dans les écoles coraniques et la responsabilité des encadrants.

Selon des témoins oculaires, l’incendie aurait été provoqué par une bougie allumée, une pratique courante dans ces établissements souvent dépourvus d’électricité. L’école coranique en question avait été initialement établie dans une zone inondable avant d’être relocalisée sur le site où le drame s’est produit.

Le ministre de l’Éducation nationale s’est rendu cet après-midi à Tivaoune, plus précisément à Keur Malamine, pour exprimer son soutien et offrir ses condoléances aux familles des victimes. Il a également annoncé une enquête approfondie pour déterminer les circonstances exactes de l’incendie et prendre les mesures nécessaires pour éviter de tels drames à l’avenir.

Ce tragique événement met en lumière les conditions précaires dans lesquelles vivent et étudient de nombreux talibés à travers le pays. La question de la sécurité dans les écoles coraniques reste un sujet de préoccupation majeur pour les autorités et les organisations de défense des droits de l’enfant.

La communauté de Tivaoune est en deuil et appelle à une action urgente pour améliorer les conditions de vie des enfants dans les Daraas, afin d’assurer leur sécurité et leur bien-être.

Décès de l’homme d’affaires Abdoulaye Diao, fondateur de International Trade Oil and Shipping

Nous avons le regret d’annoncer le décès d’Abdoulaye Diao, plus connu sous le nom de Baba Diao Itoc, survenu ce mercredi 3 juillet 2024 à la suite d’une longue maladie. Homme d’affaires émérite et fondateur de la société International Trade Oil and Shipping, il laisse derrière lui un héritage remarquable dans le monde des affaires.

Abdoulaye Diao sera inhumé à Thiès demain, jeudi 4 juillet. En cette période de deuil, la rédaction de ledakarois adresse ses sincères condoléances à sa famille et à ses proches.

Décès de Serigne Abdoulaye Diouf Lambaye : Un pilier de la communauté Mouride s’en est allé

La communauté mouride et plus particulièrement la localité de Lambaye sont plongées dans le deuil suite au décès de Serigne Abdoulaye Diouf Lambaye, survenu hier à Dakar. Homme de foi et gardien des enseignements de Serigne Touba et de Mame Cheikh Ibrahima Fall, il laisse derrière lui un héritage spirituel profondément ancré dans la tradition mouride.

Serigne Abdoulaye Diouf Lambaye était reconnu pour son dévouement et son attachement indéfectible à la voie tracée par Serigne Touba, ainsi que pour sa bienveillance envers les fidèles et la communauté. Son engagement exemplaire et sa sagesse ont marqué ceux qui l’ont côtoyé tout au long de sa vie dédiée au service de Dieu et de ses semblables.

Sa disparition laisse un vide immense au sein de la famille religieuse de Lambaye, où il occupait une place centrale en tant que khalife de Serigne Thierno Diouf Lambaye. Sa succession à la tête de cette illustre famille reviendra désormais à Serigne Diouf Lambaye, dans le respect des traditions et des valeurs chères à leur lignée.

Les funérailles de Serigne Abdoulaye Diouf Lambaye auront lieu ce mardi 02 juillet 2024 à Bakhiya, où il sera inhumé selon les rites funéraires mourides. En cette douloureuse circonstance, groupe ledakarois présente ses sincères condoléances à la communauté mouride, éprouvée par la perte de cet éminent guide spirituel et défenseur des valeurs de paix et d’unité.

À travers sa vie exemplaire et son engagement inébranlable, Serigne Abdoulaye Diouf Lambaye laisse un héritage précieux qui continuera d’inspirer et de guider les générations futures dans la voie de la foi, de la tolérance et de la fraternité. Que son âme repose en paix.

Drame à Golf Sud : Mort tragique lors de la Tabaski

La célébration joyeuse de la Tabaski dans la commune de Golf Sud a été ensombrie par un événement tragique qui a coûté la vie à M. Mbengue, un carreleur de 23 ans. Alors que sa famille s’apprêtait à terminer les festivités religieuses, l’incident s’est déroulé sur la plage de Malibu, laissant la communauté locale sous le choc.

Le jour sacré avait commencé comme tant d’autres pour la famille Mbengue, avec le sacrifice rituel d’un bélier suivi de prières. Cependant, après avoir jeté les restes du mouton à la mer, M. Mbengue ne revint pas à temps, provoquant l’inquiétude croissante de ses proches. Une recherche désespérée a mené à la découverte tragique de son corps, enveloppé dans une toile en plastique sur la plage.

Les autorités locales, alertées promptement, ont constaté qu’aucune blessure apparente ne marquait le corps de la victime. Cela a conduit à l’ouverture d’une enquête approfondie pour éclaircir les circonstances exactes de sa mort. Plusieurs théories ont été avancées, notamment une possible noyade accidentelle, une agression non déclarée, ou même un malaise soudain pendant l’élimination des déchets du mouton.

L’autopsie à venir devrait jouer un rôle crucial dans la recherche de réponses pour la famille endeuillée et la communauté bouleversée de Golf Sud. En attendant, le mystère persiste sur ce qui aurait pu causer la fin prématurée de M. Mbengue lors d’une journée traditionnellement empreinte de célébration et de recueillement.

Les Échos continuera de suivre de près l’évolution de cette affaire et fournira de nouveaux détails dès qu’ils seront disponibles.

Tragédie dans le monde du cinéma sénégalais : Dame Ndiaye, acteur de Marodi, perd la vie dans un accident de moto

Le paysage cinématographique du Sénégal est endeuillé par la perte prématurée de l’acteur Dame Ndiaye, survenue tragiquement dans un accident de moto aux environs de 17 heures près du croisement de Camberène. Connu pour ses performances marquantes dans les séries « Cash » et « Emprise », Dame Ndiaye était une figure montante dont le talent avait captivé de nombreux spectateurs.

Sa présence dans la série populaire produite par Marodi, où il incarnait avec brio le rôle d’un des malfaiteurs aux côtés de Diango, avait solidifié sa réputation au sein de l’industrie cinématographique sénégalaise. Sa disparition laisse un vide immense parmi ses collègues et ses fans, qui reconnaissent en lui un talent prometteur et un acteur passionné.

L’accident, survenu lorsqu’il était à bord de sa moto, a mis fin brusquement à une carrière en pleine expansion et à une vie pleine de potentiel. Les détails exacts de l’accident sont encore en cours de clarification, mais l’impact émotionnel de cette perte est déjà profondément ressenti par toute la communauté cinématographique et au-delà.

Dame Ndiaye restera dans les mémoires comme un artiste talentueux dont la passion pour son métier et son engagement envers son art ont marqué ceux qui ont eu la chance de le côtoyer. Ses collègues, amis et fans lui rendent hommage en se remémorant ses performances mémorables qui ont enrichi le paysage audiovisuel du Sénégal.

Insécurité croissante à Thiès : Vol à l’arraché fatal et appel à renforcer la sécurité

La ville de Thiès, surnommée la « cité du rail », est confrontée à une escalade alarmante de l’insécurité ces derniers jours, avec une série de vols à l’arraché visant principalement les téléphones portables.

Le dernier incident tragique a coûté la vie à un jeune conducteur de Jakarta nommé Khadim. Après avoir arraché le téléphone d’une dame depuis sa moto, une course poursuite s’est engagée avec un véhicule L200 près de l’hôpital Dalal Xel. Malheureusement, Khadim a perdu le contrôle de sa moto et a violemment chuté sur la route. Malgré une prise en charge rapide à l’hôpital régional, il succomba à ses graves blessures.

Dans un autre incident, un adjudant de police en service à Thiès est devenu victime d’un vol à l’arraché alors qu’il utilisait son téléphone au bord de la route. Deux individus à moto ont rapidement pris la fuite après lui avoir dérobé son appareil. Heureusement, grâce à l’intervention rapide de ses collègues, les voleurs ont été appréhendés avant de pouvoir s’échapper complètement.

Face à cette montée de la délinquance, les habitants de Thiès expriment leur profonde inquiétude et appellent à un renforcement urgent des mesures de sécurité. Ils demandent notamment des rondes policières plus fréquentes pour dissuader les criminels et assurer la sécurité publique.

La municipalité et les autorités locales sont interpellées pour intensifier leurs efforts afin de préserver la tranquillité des citoyens et de restaurer un climat de sécurité dans la cité du rail.

Tragédie à Dahra-Touba : Un enfant de 09 ans fauché mortellement par un minicar

Ce samedi matin, un drame s’est déroulé sur la route Dahra-Touba, au cœur du village de Sagatta-Djolof, provoquant la mort tragique d’un jeune garçon. Mor Sine, âgé seulement de neuf ans, a été mortellement heurté par un minicar en provenance de Ourossogui, en route pour Dakar.

L’accident s’est produit aux environs de huit heures du matin, près du marché local. Selon les témoins oculaires, le garçon traversait la chaussée pour se rendre dans une boutique de l’autre côté de la route afin d’acheter du pain, lorsque le véhicule l’a violemment percuté.

Les secours, alertés rapidement, sont intervenus sur place, notamment les sapeurs-pompiers et les gendarmes de Dahra, pour les constats d’usage. Malheureusement, malgré les efforts déployés, Mor Sine a succombé à ses blessures sur les lieux de l’accident.

La dépouille de la victime a été transportée à la morgue du centre de santé Élisabeth Diouf de Dahra pour les procédures nécessaires.

En attendant les résultats de l’enquête en cours, le chauffeur du minicar impliqué a été appréhendé par les autorités compétentes. La gendarmerie de Dahra Djolof mène actuellement les investigations pour déterminer les circonstances exactes de ce tragique événement.

La communauté locale de Dahra-Touba est plongée dans la tristesse et la consternation suite à la perte prématurée de Mor Sine, un jeune enfant plein de vie.

Diourbel : une soirée dansante vire au drame à ndindy. Un homme poignardé à mort

Hier soir, le paisible village de Ndindy, niché dans le département de Diourbel, a été secoué par un événement tragique lors d’une soirée dansante organisée par les jeunes du village. Ce qui aurait dû être une nuit de divertissement s’est rapidement transformé en cauchemar lorsque deux hommes, Ibrahima Faye, 20 ans, et Tapha Sene, 35 ans, ont été impliqués dans une altercation violente.

Selon les témoins, une dispute aurait éclaté entre les deux individus aux environs de 2 heures du matin. L’incident aurait pris une tournure fatale lorsque Ibrahima Faye aurait sorti un couteau et poignardé Tapha Sene, provoquant des blessures mortelles. Malgré les efforts des villageois pour intervenir et maîtriser la situation, Tapha Sene a succombé à ses blessures sur place, plongeant Ndindy dans le deuil et la consternation.

Les autorités locales ont rapidement réagi en arrêtant Ibrahima Faye sur les lieux, avant de le remettre aux mains de la brigade de gendarmerie de Ndindy. Une enquête approfondie est en cours pour déterminer les circonstances exactes de l’incident et clarifier les motivations derrière cette tragédie qui a ébranlé la tranquillité habituelle de ce village paisible.

Pour le moment, les détails précis et les motifs du différend restent flous, laissant la communauté de Ndindy sous le choc et à la recherche de réponses. Les prochains jours seront cruciaux alors que les autorités tentent de faire la lumière sur cet événement tragique qui a laissé une marque indélébile sur cette petite communauté rurale.

Tragédie en Iran : Mort du Président Ebrahim Raïssi et de son Ministre des Affaires étrangères dans un accident d’hélicoptère

Dimanche dernier, une tragédie a frappé l’Iran avec la mort du 8e président, Ebrahim Raïssi, et de son Ministre des Affaires étrangères, Hossein Amirabdollahian, dans un accident d’hélicoptère survenu dans la région de Varzaqan, province de l’Azerbaïdjan oriental.

L’hélicoptère transportant Raïssi et plusieurs membres de son équipe, dont le gouverneur de la province et le chef de ses gardes du corps, s’est écrasé alors qu’il se rendait à Tabriz après avoir inauguré le barrage de Qiz Qalasi, à la frontière avec la République d’Azerbaïdjan.

Ebrahim Raïssi, âgé de 63 ans et originaire de la ville sainte de Mashhad, avait été élu président en 2021 après avoir occupé divers postes de haut rang, y compris celui de chef du pouvoir judiciaire et de procureur général. Son décès laisse un vide immense dans le paysage politique iranien.

Le guide suprême de la Révolution islamique, l’ayatollah Seyyed Ali Khamenei, avait salué les performances de l’administration Raïssi lors de la Semaine du gouvernement en Iran en septembre 2023, reconnaissant ses contributions dans divers domaines, notamment l’économie et la politique étrangère.

L’accident a été confirmé par les autorités locales sur le lieu de l’accident, marquant ainsi la fin prématurée d’une figure politique majeure de l’Iran moderne. L’enquête sur les circonstances exactes de l’accident est en cours, mais pour le moment, le pays est plongé dans le deuil suite à cette perte tragique.

Le Sénat Nigérian Propose la Peine de Mort pour le Trafic de Drogue : Réactions et Débats

Le Sénat nigérian a récemment proposé un amendement visant à rétablir la peine de mort pour les condamnations liées au trafic de drogue, remplaçant ainsi l’emprisonnement à vie. Cette décision intervient dans un contexte où le Nigeria est confronté depuis des années à une recrudescence alarmante du trafic de substances illicites telles que le Tramadol, l’héroïne et la cocaïne.

Les partisans de cette mesure arguent qu’elle servirait de dissuasion contre le trafic de drogue. Cependant, Isa Sanusi, représentant d’Amnesty International au Nigeria, conteste cette approche. Selon lui, le Sénat devrait explorer des solutions alternatives et considérer les facteurs sociaux et économiques qui poussent les individus à devenir des trafiquants de drogue, plutôt que d’opter pour des mesures punitives extrêmes telles que la peine de mort.

Il souligne également que le Nigeria applique déjà la peine de mort dans certains cas, notamment pour des infractions liées au terrorisme ou à l’homosexualité. Cependant, aucun condamné n’a été exécuté depuis 2016. Sanusi estime que même si les exécutions ne sont pas fréquentes, le Nigeria enregistre un nombre élevé de condamnations à mort, ce qui soulève des préoccupations quant au respect des droits humains dans le pays.

Le débat autour de cette proposition législative est vif, avec des opinions divergentes au sein du gouvernement nigérian. Alors que le Sénat a approuvé le texte incluant la peine de mort pour le trafic de drogue, la chambre des représentants l’a voté sans cette disposition. Les deux chambres devront maintenant harmoniser le texte avant de le soumettre au président pour approbation.

Cette controverse met en lumière les questions complexes et éthiques entourant l’utilisation de la peine de mort comme moyen de dissuasion contre le crime, ainsi que les défis auxquels sont confrontés les législateurs pour trouver un équilibre entre répression et respect des droits fondamentaux.

Drame à Diourbel : un enfant de 2 ans retrouvé mort dans une fosse septique

La communauté de Diourbel est plongée dans l’émoi et la consternation suite au drame survenu hier, où un enfant de seulement 2 ans a été retrouvé mort dans une fosse septique, selon des informations obtenues par Seneweb auprès d’une source autorisée.

Les autorités ont été alertées de cette découverte tragique, et les policiers du commissariat central du Baol se sont rapidement rendus sur les lieux à Ndiourbel Mbocky. Après avoir constaté le décès, le corps sans vie a été transféré à la morgue de l’hôpital régional Heinrich Lükbe par les sapeurs-pompiers pour autopsie.

Les premiers éléments de l’enquête révèlent que le petit C. I. Diouf est tombé dans la fosse septique qui avait été creusée par son oncle paternel la veille du drame. Cependant, les enquêteurs n’ont pas pu interroger le fossoyeur hier, car il était tombé en transe. Il s’agit du frère du père de la victime.

La police poursuit activement son enquête pour faire toute la lumière sur cet incident tragique et déterminer les circonstances exactes de la mort de l’enfant.

Ancien Militaire Lynché par la Foule : Mort de M. Ndao suite à un Acte de Violence

Une tragédie a frappé la communauté de Jaxaay au Sénégal, où un ancien militaire, M. Ndao, a été lynché à mort par la foule après avoir été accusé de vol à l’arraché d’un téléphone portable. L’incident a déclenché une réaction violente de la part de la population, mettant en lumière les dangers de la justice populaire et de la violence communautaire.

M. Ndao, radié de l’armée sénégalaise, a été poursuivi et violemment battu par la foule après avoir été accusé de vol. Malgré les tentatives des autorités pour le protéger, sa santé s’est rapidement détériorée et il a été conduit au centre de santé de Keur Massar, où il a succombé à ses blessures.

Une enquête ultérieure a révélé que M. Ndao se faisait passer pour un gendarme et avait déjà été condamné à plusieurs reprises pour des crimes similaires, dont l’usurpation de fonction et le vol. La perquisition de sa chambre a également permis aux autorités de découvrir des accessoires militaires et des uniformes de la gendarmerie.

Le dossier concernant cet incident tragique a été transmis au procureur de la République après une enquête policière. Cette affaire soulève des questions sur la violence communautaire et l’importance de respecter l’état de droit et les procédures judiciaires, même dans les cas les plus émotionnels.

Nouvelle tragédie pour la communauté sénégalaise au Brésil : Mortalla Mbaye retrouvé mort après une perquisition policière

Une perquisition policière à São Paulo, au Brésil, a pris une tournure tragique avec la mort de Mortalla Mbaye, un émigré sénégalais âgé d’une trentaine d’années, originaire de Touba. Le drame a suscité l’indignation parmi ses compatriotes résidant au Brésil, qui accusent les autorités policières d’avoir tué Mbaye et d’avoir tenté de dissimuler leur crime en simulant un suicide.

El Hadj Ndiaye et d’autres membres de la communauté sénégalaise au Brésil ont vivement réagi à cet événement tragique, appelant les nouvelles autorités sénégalaises à prendre des mesures fermes face à ce qu’ils qualifient de série de bavures policières dans le pays sud-américain. Selon leurs témoignages, Mortalla Mbaye aurait été retrouvé au niveau du 6e étage, dans des circonstances troublantes, sans qu’aucun mandat de perquisition ne soit présenté par les policiers.

Les accusations portées par la communauté sénégalaise au Brésil font écho à un précédent incident survenu le 11 février 2024, lorsque Mamadou Touré, un autre ressortissant sénégalais, avait été assassiné dans la ville de Caxias do Sul. Ces événements soulèvent des préoccupations croissantes quant à la sécurité et au traitement des émigrés sénégalais au Brésil.

Face à ces allégations graves, il est impératif que les autorités brésiliennes mènent une enquête approfondie et transparente pour faire toute la lumière sur les circonstances entourant la mort de Mortalla Mbaye. De même, il est essentiel que les autorités sénégalaises prennent des mesures pour protéger leurs ressortissants et garantir leur sécurité à l’étranger.

En ces temps difficiles, nos pensées vont à la famille et aux proches de Mortalla Mbaye, ainsi qu’à toute la communauté sénégalaise au Brésil, qui est confrontée à cette douloureuse épreuve.

Des Révélations Troublantes sur la Mort de l’ancien Premier ministre sénégalais Mouhamed Boun Abdallah Dionne

Les récentes déclarations émises par Thierno Lô, un ancien collaborateur du regretté Premier ministre Mouhamed Boun Abdallah Dionne, ont jeté une lumière crue sur les circonstances mystérieuses de sa disparition tragique. Selon Lô, Dionne était en bonne voie pour se présenter à l’élection présidentielle de 2024 et aurait pu potentiellement accéder au second tour, face au candidat du Pastef.

Cependant, la mort subite de Dionne soulève des questions troublantes, notamment celle d’une possible attaque mystique ayant conduit à son décès. Lô évoque un climat où l’irrationnel semble jouer un rôle prépondérant, suggérant que Dionne aurait été victime de forces occultes. Pour étayer cette thèse, il mentionne le recours de Dionne à des praticiens de la médecine traditionnelle, après que des examens médicaux conventionnels n’ont rien révélé sur sa maladie.

Ces révélations ont suscité un émoi considérable dans l’opinion publique sénégalaise, alimentant les spéculations et les interrogations sur les véritables circonstances entourant la mort de l’ancien Premier ministre. Alors que le pays pleure encore sa perte, il devient impératif de faire la lumière sur ces événements et de répondre aux préoccupations légitimes des citoyens.

Cette situation souligne également la nécessité d’une transparence accrue dans la gestion des affaires publiques et des enquêtes sur des événements aussi graves. L’opinion publique attend des réponses claires et objectives sur ce qui s’est réellement passé, afin de dissiper tout soupçon et d’assurer que justice soit rendue.

En attendant, les révélations de Thierno Lô ouvrent une nouvelle perspective sur la mort de Mouhamed Boun Abdallah Dionne, mettant en lumière les défis et les incertitudes auxquels le Sénégal est confronté dans ce moment de deuil et de questionnement.

Tragédie à Yeumbeul-Sud : Un Enfant de 6 Ans Retrouvé Mort Sous les Décombres

Dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 avril 2024, un événement tragique a secoué le quartier Médinatoul Mounawara de la commune de Yeumbeul-Sud. Le corps sans vie de Mbaye Guèye, âgé de seulement 6 ans, a été découvert sous les décombres après l’effondrement d’une dalle.

Selon les premières informations recueillies, le drame s’est déroulé dans l’une des chambres situées au rez-de-chaussée de la maison où résidait la famille Guèye. La dalle s’est écroulée subitement, prenant au dépourvu tous les membres de la famille présents à l’intérieur. Le père et la mère de l’enfant ont miraculeusement survécu, bien que grièvement blessés. Le père souffre de fractures à la tête et de blessures aux côtes, tandis que la mère a été blessée au pied droit.

Le corps de Mbaye Guèye a été transporté à la morgue de l’hôpital de Pikine pour les procédures nécessaires. La police a ouvert une enquête afin de déterminer les circonstances exactes de cet accident tragique.

Cette terrible tragédie endeuille la communauté de Yeumbeul-Sud et suscite une profonde émotion parmi les habitants. Nos pensées et nos prières accompagnent la famille Guèye dans cette période de deuil et de douleur.

Mort d’un Suspect dans des Circonstances Troublantes aux Parcelles Assainies : Soupçons sur l’Intervention Policière

Une tragédie secoue les Parcelles Assainies ce vendredi, alors qu’un suspect est décédé dans des circonstances troubles lors d’une violente perquisition menée par la police dans sa chambre. Les informations relayées par Les Échos soulignent que l’homme aurait perdu la vie sous les coups lors de l’intervention des éléments du commissariat d’arrondissement de la commune.

Les soupçons se concentrent désormais sur les agents de police impliqués dans cette perquisition, certains allant jusqu’à accuser les forces de l’ordre d’avoir battu à mort le suspect. Cette situation alarmante soulève des questions sur les méthodes employées par les autorités dans le cadre de leurs opérations de maintien de l’ordre.

Selon les informations disponibles, il est envisagé que l’enquête soit confiée à la Division des investigations criminelles (DIC), afin de faire la lumière sur les événements survenus lors de cette intervention policière. Cependant, des voix s’élèvent pour dénoncer une possible manœuvre visant à étouffer l’affaire et à dissimuler la vérité sur les circonstances du décès du suspect.

Cette affaire souligne l’importance d’une enquête approfondie et transparente pour garantir la justice et la responsabilité dans de tels incidents. Il est crucial que toute la lumière soit faite sur cette tragédie et que les responsables présumés soient tenus de rendre compte de leurs actions. En attendant, la communauté locale et l’opinion publique restent en attente de réponses et de mesures concrètes pour prévenir de telles tragédies à l’avenir.

Horreur à Yeumbeul Comico : Pape Diaw retrouvé mort dans son poulailler

La quiétude de Yeumbeul Comico, un quartier paisible de la banlieue de Dakar, a été brutalement interrompue par un acte de violence choquant. Pape Diaw, un jeune homme de 25 ans surnommé « Paco Diaz », a été retrouvé mort dans un bâtiment en construction qui lui servait de poulailler. Les détails macabres de sa découverte ont suscité l’effroi et l’indignation dans la communauté locale.

Pape Diaw était connu pour son activité d’aviculture. Il élevait des poulets dans le bâtiment en question et les vendait à ses voisins ainsi qu’aux habitants des localités environnantes. Cependant, le destin tragique de ce jeune entrepreneur a été scellé dans des circonstances terrifiantes.

Selon les informations rapportées par Les Échos, Pape Diaw aurait été victime d’un acte de violence extrême. Son corps a été découvert avec des traces de blessures violentes sur son visage et sa tête, indiquant une agression d’une violence inouïe. Les premiers éléments de l’enquête suggèrent que cet acte odieux pourrait être le résultat d’un meurtre prémédité.

La scène du crime ne laisse que peu de doutes sur la violence de l’attaque. Aucune trace de lutte n’a été retrouvée sur place, laissant penser que les assaillants ont agi avec une détermination impitoyable. La découverte du corps a été faite par un voisin, également aviculteur, alerté par l’absence inhabituelle de Pape Diaw.

Le choc et la douleur se sont répandus rapidement dans la communauté. La mère de la victime, accompagnée de son petit-fils, s’est rendue sur les lieux et a été confrontée à l’horreur indicible de la scène. Les cris de détresse ont résonné alors que les habitants du quartier accouraient pour témoigner leur soutien à la famille éprouvée.

Les autorités locales, sous la direction du commissaire Cheikh Ahmed Tidiane Diallo de Yeumbeul Comico, ont immédiatement lancé une enquête pour faire la lumière sur cet acte criminel abominable. La découverte du téléphone portable de la victime sur les lieux pourrait fournir des indices cruciaux pour élucider les circonstances exactes de sa mort.

Cette tragédie a ébranlé la communauté de Yeumbeul Comico et a rappelé de manière poignante l’importance de la sécurité et de la solidarité dans nos quartiers. En ces moments difficiles, la justice doit être rendue et les responsables de cet acte barbare doivent être traduits en justice.

Tragédie sur un chantier à Keur Massar : Un maçon trouve la mort dans des circonstances déchirantes

Un drame s’est déroulé sur un chantier de construction à Keur Massar, plongeant la communauté du bâtiment dans la consternation. Un maçon a perdu la vie dans des circonstances déchirantes, mettant en lumière les risques inhérents au métier et l’importance cruciale de la sécurité sur les lieux de travail.

Selon des sources proches de l’enquête rapportées par Seneweb, le tragique incident s’est produit après une intense activité au deuxième étage d’un immeuble en chantier. Après des heures de labeur, le maçon aurait trouvé un moment de repos et s’est endormi sur son lieu de travail.

Au réveil, alors qu’il tentait de rejoindre le rez-de-chaussée en empruntant les escaliers, le maçon aurait chuté accidentellement, ce qui lui aurait été fatal. Les circonstances exactes de l’accident restent encore à déterminer, mais cette tragédie a laissé une famille en deuil et un chantier bouleversé.

Les autorités locales ont rapidement réagi à cet événement en envoyant sur place les gendarmes de la brigade territoriale de Keur Massar. Leur intervention a permis de constater les faits et d’ouvrir une enquête afin de faire la lumière sur les circonstances de ce drame et d’établir d’éventuels manquements à la sécurité sur le chantier.

Le corps sans vie du maçon a été pris en charge par les pompiers et transféré à la morgue, tandis que l’enquête se poursuit pour comprendre les tenants et les aboutissants de cette tragédie. Cet incident rappelle cruellement les dangers auxquels sont exposés les travailleurs du bâtiment et souligne l’urgence de renforcer les mesures de sécurité sur les chantiers de construction pour prévenir de telles tragédies à l’avenir.

Un match de football tourne au drame à Niacoulrab : Un élève poignardé à mort

Un tragique incident s’est déroulé samedi dernier à Diamaguène Extension, quartier de Niacoulrab, où un match de football amical a mal tourné, conduisant au décès de l’élève M. A. Ba âgé de 16 ans.

À l’issue du match, une altercation a éclaté entre S. Diop, un apprenti chauffeur de 15 ans, et M. A. Ba. Bien que séparés dans un premier temps, les deux jeunes hommes sont revenus sur les lieux avec des couteaux. Alors que Ba a approché Diop avec son arme, ce dernier, armé d’un couteau de cuisine, a choisi de l’affronter directement. La confrontation s’est soldée par un coup de couteau fatal porté par Diop au niveau de la cage thoracique de Ba.

Alerté, le chef de service du commissariat de Jaxaay, Youssoupha Thioub, a immédiatement déployé ses équipes sur les lieux. Malgré une intervention rapide et le transfert de M. A. Ba à l’hôpital Youssou Mbargane Diop de Rufisque, l’élève a malheureusement succombé à ses blessures.

S. Diop a été interpellé par les forces de l’ordre et placé en garde à vue le jour même. Lors de son interrogatoire, il a admis avoir poignardé M. A. Ba, fournissant une description détaillée des événements.

Le certificat médical établi à la suite du décès de M. A. Ba indique que la cause de sa mort est une « plaie thoracique extérieure pénétrante par arme blanche longue, tranchante, pointue ayant sectionné le cartilage chondrocostal des 3e, 4e, 5e côtes droites, perforé le péricarde et l’oreillette droite du cœur avec hémorragie interne et externe profuse ».

Après l’enquête préliminaire, S. Diop a été conduit ce vendredi matin devant le procureur de la République pour répondre de l’accusation de meurtre.

Ce drame tragique soulève une fois de plus la question de la violence parmi les jeunes et met en lumière la nécessité de prendre des mesures pour prévenir de tels incidents à l’avenir.

Tragédie à Baye Laye : Un tailleur poignardé à mort lors d’une altercation

Une tragédie a frappé le quartier de Baye Laye, situé dans la commune de Wakhinane Nimzatt à Guédiawaye, dans la banlieue de Dakar. Selon le journal Les Échos, un tailleur du nom de Ndioula Guèye a été mortellement poignardé par un individu en fuite identifié comme P. M. Cissé, décrit comme un drogué notoire dans le quartier.

Les faits se sont déroulés suite à une altercation entre le suspect et une vendeuse de petit-déjeuner du quartier. P. M. Cissé aurait demandé à la gérante de lui éplucher des oignons devant sa gargote, mais celle-ci, occupée par d’autres tâches, aurait ignoré sa demande. L’homme, visiblement ivre, aurait réitéré sa demande de manière agressive, avant de proférer des menaces et des insultes envers la vendeuse.

Face à cette situation tendue, la vendeuse a riposté, ce qui a provoqué une réaction encore plus violente de la part de Cissé. Le tailleur, qui avait son atelier à proximité, est intervenu pour calmer les esprits. Malheureusement, cela lui a coûté la vie.

En effet, dans un accès de rage, P. M. Cissé aurait sorti un couteau et aurait porté un coup violent au niveau du cœur de Ndioula Guèye. Après cet acte terrible, l’agresseur a pris la fuite, laissant la victime, âgée de 35 ans, succomber à ses blessures.

Malgré son évacuation rapide, le tailleur n’a pas survécu à ses blessures. La police locale a ouvert une enquête pour élucider les circonstances exactes de ce drame. Les autorités sont activement à la recherche du fugitif, décrit comme un malfaiteur connu et un consommateur de drogues dans le quartier.

Ce tragique incident souligne une fois de plus les défis auxquels sont confrontées les communautés locales en matière de sécurité et de coexistence pacifique, mettant en évidence la nécessité d’une intervention rapide et efficace des autorités pour prévenir de tels drames à l’avenir.

Mort de Quatre Soldats de la SADC en RDC : Un Triste Épisode dans la Quête de la Paix

La République démocratique du Congo (RDC) est une nouvelle fois le théâtre d’une tragédie alors que quatre soldats de la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC) ont perdu la vie dans l’est du pays. Trois Tanzaniens ont été tués par un tir de mortier, tandis qu’un quatrième, de nationalité sud-africaine, a succombé à des problèmes de santé après avoir été hospitalisé. L’incident témoigne des défis persistants auxquels sont confrontées les forces de maintien de la paix dans cette région en proie à l’instabilité.

Lundi, la SADC a confirmé la mort de ces soldats dans un communiqué, soulignant le lourd tribut payé par ceux qui servent dans des missions de paix. Trois autres soldats tanzaniens ont également été blessés dans l’incident, mettant en lumière les dangers auxquels ils sont exposés dans l’exercice de leurs fonctions.

L’est de la RDC est depuis longtemps le théâtre de violences et de conflits armés, alimentés par des tensions ethniques, des rivalités politiques et des intérêts économiques. Les forces de maintien de la paix opèrent dans ce contexte difficile pour tenter d’apaiser les tensions et de protéger les civils vulnérables. Cependant, leur mission est souvent entravée par la présence de groupes armés et de milices locales, ainsi que par les conditions géographiques difficiles de la région.

La mort de ces soldats de la SADC est un rappel poignant des sacrifices consentis dans la quête de la paix et de la sécurité en RDC. Leur engagement courageux mérite d’être salué, tout comme celui de nombreux autres hommes et femmes qui risquent leur vie pour aider à construire un avenir meilleur pour les populations locales.

Les pensées et les prières vont aux familles et aux proches des soldats décédés, ainsi qu’aux blessés qui se battent pour leur rétablissement. Leur dévouement et leur sacrifice ne seront pas oubliés alors que la communauté internationale continue de soutenir les efforts visant à instaurer la stabilité et la paix en RDC et dans toute la région des Grands Lacs africains.

Naufrage meurtrier au large du Mozambique : Plus de 90 personnes trouvent la mort

Au large du Mozambique, une tragédie maritime a endeuillé le pays avec le naufrage d’un bateau de pêche converti en ferry, transportant 130 passagers, dont plus de 90 ont péri, ont annoncé les autorités locales.

Le secrétaire d’État de la province septentrionale de Nampula, Jaime Neto, a déclaré que le naufrage était attribué à la surcharge du navire et à son inadéquation pour le transport de passagers. « 91 personnes ont perdu la vie », a-t-il affirmé, soulignant que plusieurs enfants figuraient parmi les victimes.

Les opérations de sauvetage ont permis de retrouver cinq survivants, mais les recherches se poursuivent malgré les défis posés par les conditions difficiles en mer.

Selon les autorités, la majorité des passagers étaient en fuite en raison de fausses informations circulant sur une épidémie de choléra, provoquant la panique. Le Mozambique, l’un des pays les plus pauvres du monde, lutte contre une épidémie de choléra ayant déjà touché près de 15 000 personnes et causé 32 décès depuis octobre.

La province de Nampula est particulièrement touchée, avec un tiers des cas enregistrés.

Une enquête est en cours pour déterminer les causes exactes du naufrage, ont indiqué les autorités, alors que le pays pleure la perte de nombreuses vies dans cette tragédie maritime dévastatrice.

Dakarnave : Les Travailleurs Dénoncent une Tentative de Mise à Mort de la Société

Le collectif des sous-traitants de Dakarnave a vivement critiqué, lors d’un point de presse tenu ce samedi, ce qu’il qualifie de « processus de liquidation de la société Dakarnave ». Cette liquidation imminente risque de plonger « près de 500 pères de famille dans la précarité », a déclaré Pape Aly Faye, coordinateur dudit collectif.

Le collectif pointe du doigt l’ancien ministre de la Pêche, Pape Sagna Mbaye, ainsi que le directeur général de la Société des Infrastructures et de Réparation Navale, Saliou Sambou. Selon Pape Aly Faye, ces responsables, en arguant que le contrat entre la société Dakarnave et l’État du Sénégal arrive à terme le 24 juin 2024, tentent de transférer la concession de ce chantier naval à une autre entreprise sans passer par un appel d’offres, violant ainsi de manière flagrante les règles de passation des marchés publics.

Les travailleurs, qui assurent effectuer 70% du travail au sein de la société, sont déterminés à défendre leur emploi. Ils lancent un appel aux nouvelles autorités ainsi qu’au député Guy Mohamet Sagna, connu pour son engagement envers les droits des travailleurs sénégalais, et à tous les citoyens, tant au Sénégal qu’à l’étranger, qui sont attachés à la justice, à se mobiliser pour contrecarrer ce complot contre Dakarnave.

Pour ces travailleurs, les 24 années de collaboration avec Dakarnave démontrent clairement la nécessité d’accorder à cette société un nouveau contrat de concession dans l’intérêt exclusif du Sénégal.

La situation reste tendue et les travailleurs de Dakarnave appellent à une action immédiate pour sauvegarder leurs emplois et préserver l’avenir de la société.

Tragédie à Kanel : Une jeune femme de 26 ans se suicide après la mort de son troupeau

Dans un village de la commune de Wouro Sidy, située dans le département de Kanel, un drame épouvantable a frappé la communauté, laissant une famille dans le deuil et le désespoir. Dieynaba Sow, une jeune femme âgée d’environ 26 ans, s’est tragiquement suicidée en se jetant dans un puits, après avoir vu son troupeau décimé.

Le malheur a commencé lorsqu’un animal sauvage est mort dans le puits du village, provoquant la pollution de l’eau. Malheureusement, les moutons et les chèvres de Dieynaba Sow ont bu ce liquide toxique et ont péri.

Profondément traumatisée par la perte soudaine de ses bêtes, Dieynaba Sow a élaboré un plan désespéré pour mettre fin à sa vie. Le vendredi 29 mars, vers 14 heures, elle a confié son enfant à son mari sous prétexte d’aller prendre une douche. Cependant, elle s’est rendue au puits du village où elle s’est jetée. Le bruit de sa chute a alerté son mari, qui a découvert le corps de sa femme sans vie.

Les sapeurs-pompiers, assistés des gendarmes de la brigade territoriale de Kanel, ont repêché le corps de Dieynaba Sow. Une enquête a été ouverte pour comprendre les circonstances exactes de sa mort. Selon le certificat de genre de mort, son décès serait dû à une hémorragie interne résultant de sa chute dans le puits.

Cette tragédie souligne les conséquences dévastatrices que peuvent avoir les événements traumatiques sur la santé mentale des individus, ainsi que l’importance d’une prise en charge psychologique et sociale dans de telles situations. La communauté locale est profondément attristée par cette perte et exprime ses condoléances à la famille de Dieynaba Sow.

Condamnation après la mort d’un « Jakartaman » à Matam : Le chauffeur écope de 5 mois de prison

Le chauffeur impliqué dans l’accident tragique ayant coûté la vie à un conducteur de moto-Jakarta à Matam le dimanche 17 mars dernier a été condamné à cinq mois de prison ferme par le tribunal d’instance de la ville, jeudi dernier. En plus de cette peine d’emprisonnement, le chauffeur devra également payer une amende et voir son permis de conduire suspendu pour une durée de cinq mois.

Cet accident avait déclenché des émeutes dans la commune de Matam, entraînant trois jours de violents affrontements entre des jeunes du quartier Soubalo et les forces de l’ordre. La nouvelle de la mort du jeune conducteur de moto-Jakarta, impliquant apparemment un indicateur de la douane, avait suscité la colère et le désarroi parmi les habitants de la région.

Les manifestations avaient rapidement dégénéré en actes de violence, avec des pneus brûlés et des bâtiments incendiés, dont le bureau de la douane situé à la frontière entre le Sénégal et la Mauritanie, ainsi qu’un véhicule de la police des frontières.

L’intervention des gendarmes de l’escadron du camp de Thiambé avait été nécessaire pour contenir les manifestants en colère et empêcher d’autres attaques contre les installations douanières.

Suite à ces événements, des responsables douaniers avaient nié toute implication de leur institution dans l’accident, soulignant qu’aucune opération officielle de la douane n’était en cours au moment des faits. Ils ont également précisé que le chauffeur impliqué dans l’accident n’était pas un agent des douanes, mais plutôt un « pisteur » effectuant des tâches personnelles dans un véhicule privé.

Le gouverneur, accompagné du chef des douanes de la zone nord, a exprimé ses condoléances à la famille du défunt lors de son inhumation au cimetière de Soubalo. Il a également clarifié que le conducteur impliqué dans l’accident ne travaillait pas pour les douanes et était simplement occupé à des affaires personnelles au moment de l’incident.

Mort d’un jeune à Pikine : Les organisations de défense des Droits de l’homme exigent l’ouverture d’une enquête

Des organisations de défense des Droits de l’homme ont exigé l’ouverture d’une enquête dans l’affaire Mouhamed Diop, un jeune homme qui aurait été battu à mort par la police de Pikine.

« Nous avons plusieurs fois eu des informations des victimes et de leurs proches qui disent que lorsque des gens sont interpellés par la police de Pikine, ils sont conduits au Technopole pour être battus. Si cette information est avérée, c’est extrêmement grave et nous voudrions l’intervention de l’autorité policière pour que cette violence cesse », a déclaré sur Rfm Seydi Gassama, directeur exécutif d’Amnesty International/Section Sénégal.

Gassama a ajouté : « Le Sénégal est très endeuillé par cette violence qui semble endémique au sein de la police et ça ne peut pas continuer. Il faudrait que les nouvelles autorités qui arrivent sanctionnent toutes ces bavures policières, mais surtout s’attellent à élaborer de nouvelles règles que la police devra suivre en cas d’opérations sur le terrain ou pour le maintien de l’ordre. »

De son côté, Babacar Ba, président du Forum du justiciable, a exigé une enquête minutieuse. « Nous pensons qu’en tant qu’organisation de défense des Droits de l’homme, les circonstances de son décès doivent être élucidées. Déjà, il y a sa famille qui accuse la police d’être à l’origine de son décès. Donc, je pense qu’aujourd’hui, les accusations avancées par la famille méritent l’ouverture d’une enquête minutieuse et indépendante, pour situer les responsabilités, afin que les gens sachent ce qui s’est réellement passé. »

Pour rappel, Mouhamed Diop a été interpellé par la police qui l’aurait battu à mort dans son domicile, selon sa famille.

Mort de Baïdy Amar : Les premiers éléments de l’enquête révélés

Dans un tragique incident qui a secoué la communauté ce dimanche 25 février, le corps sans vie de Baïdy Amar a été découvert dans un appartement situé au Plateau. Alors que les circonstances entourant sa mort demeurent troubles, des révélations émergent quant aux premiers éléments de l’enquête, rapportés par Libération dans son édition de ce lundi.

Selon le journal, la dépouille de Baïdy Amar ne présente aucun signe apparent de violences, laissant initialement perplexes les enquêteurs sur les causes de son décès. Cependant, des éléments troublants ont été relevés sur les lieux du drame : des traces de cocaïne ont été découvertes, laissant suggérer la possibilité d’une soirée arrosée la nuit précédente.

La présence de la drogue sur les lieux a jeté une nouvelle lumière sur les événements entourant la mort de Baïdy Amar. Des amis de la victime, présents lors de cette soirée, ont été interpellés et placés en garde à vue au commissariat du Plateau. Cette mesure intervient alors que les autorités ont ouvert une enquête pour faire la lumière sur ce tragique incident.

L’annonce de la mort de Baïdy Amar a provoqué une onde de choc au sein de la communauté, suscitant l’émoi et la consternation. Alors que la famille et les proches de la victime pleurent sa perte, l’ensemble de la société attend avec appréhension les conclusions de l’enquête qui permettront, espérons-le, de faire toute la lumière sur ce drame et de rendre justice à Baïdy Amar.

En attendant, les autorités poursuivent leurs investigations afin de démêler les fils de cette tragédie et d’apporter des réponses aux questions brûlantes qui entourent la mort de Baïdy Amar.

Drame à Ndiaganiao : Un élève de CE1 retrouvé mort, enseveli dans une mine de sable

La communauté du village de Mboulouk Tène Koulouk, dans la commune de Ndiaganiao, est plongée dans la tristesse et la consternation à la suite d’un tragique accident qui a coûté la vie à un jeune écolier. Abdoulaye Gningue, un garçon de 13 ans et élève en classe de CE1 à l’école élémentaire locale, a été retrouvé mort après avoir été enseveli dans une mine de sable située derrière le village. Le drame s’est déroulé le samedi 27 janvier à seize heures.

Les autorités locales, alertées de la situation, ont dépêché des membres de la brigade de gendarmerie de Ndiaganiao ainsi que l’infirmier-chef du poste de santé local sur les lieux. Une enquête a été ouverte pour établir les circonstances exactes de cet accident dévastateur.

La dépouille d’Abdoulaye Gningue a été transportée à la morgue de l’Hôpital Grand Mbour. Selon des sources informées, elle sera remise à la famille du défunt demain en vue de son inhumation.

Cette tragédie met en lumière les risques associés à l’exploration de mines de sable, soulignant la nécessité de renforcer les mesures de sécurité dans de telles zones. La communauté locale est profondément affectée par cette perte déchirante, et cet événement rappelle l’importance d’une sensibilisation accrue sur les dangers liés à ces activités, surtout lorsqu’elles impliquent des enfants. Nos pensées vont à la famille et aux proches d’Abdoulaye Gningue, confrontés à une épreuve aussi douloureuse.

L’émir du Koweït Cheikh Nawaf est mort à l’âge de 86 ans

L’émir du Koweït, Cheikh Nawaf al-Ahmad Al-Sabah, est décédé samedi à l’âge de 86 ans, a annoncé le Palais, après un mandat de trois ans marqué par des conflits politiques à répétition à la tête de ce pays du Golfe riche en pétrole.
« Avec une grande tristesse, nous pleurons la mort de Cheikh Nawaf al-Ahmad Al-Sabah, émir de l’Etat du Koweït », selon un communiqué diffusé par la télévision d’Etat koweïtienne, qui avait auparavant interrompu ses programmes et diffusé des versets du Coran.
En novembre, cheikh Nawaf avait été admis à l’hôpital « en raison d’un problème de santé urgent », selon l’agence de presse officielle KUNA, qui n’a pas donné de détails sur sa maladie.
Il a ensuite été déclaré dans un état stable. Compte tenu de son âge, sa santé a souvent été une préoccupation pendant son mandat.
Cheikh Nawaf a été nommé prince héritier en 2006 par son demi-frère, Cheikh Sabah al-Ahmad Al-Sabah, et a pris la relève en tant qu’émir à sa mort de ce dernier en septembre 2020.
Riche Etat pétrolier du Golfe, le Koweït est plongé depuis plusieurs années dans une profonde crise entre les pouvoirs exécutif et législatif, qui sape les espoirs de réformes.
L’actuel prince héritier, Mechaal al-Ahmad al-Jaber al-Sabah, demi-frère de l’émir, est âgé de 83 ans, et la question qui se pose désormais est de savoir si la famille princière va choisir un dirigeant plus jeune.
La disparition de cheikh Nawaf et l’âge avancé de son successeur augmentent les incertitudes dans un pays secoué par les divisions au sein même de la famille des Al-Sabah, dont certains membres accusent d’autres de corruption ou de conspiration.
La Constitution du Koweït énonce que le souverain doit être un descendant du fondateur de la nation, Moubarak Al-Sabah. Mais une tradition d’alternance entre les branches familiales des Salem et des Jaber a longtemps été observée.
L’ancien émir, cheikh Sabah, de la branche des Jaber, a mis fin à cette tradition en nommant comme prince héritier cheikh Nawaf, un autre Jaber, mettant ainsi à l’écart la branche des Salem.
– Bras de fer entre exécutif et législatif –
Le Koweït, pays conservateur où les postes de souveraineté sont concentrés entre les mains de la famille Al-Sabah, abrite néanmoins le Parlement le plus actif et le plus puissant du Golfe.
Doté de réserves en pétrole parmi les plus importantes au monde, le Koweït est un Etat extrêmement riche où l’instabilité a ralenti les réformes et le développement des infrastructures, comme celles à l’oeuvre chez ses voisins, bien plus verrouillés politiquement, le Qatar, l’Arabie saoudite et les Emirats arabes unis en tête.
Le bras de fer permanent entre l’exécutif et les parlementaires a abouti à une valse de gouvernements et à la dissolution de l’Assemblée à de nombreuses reprises ces dix dernières années.
Début avril, la petite monarchie a formé son septième gouvernement en trois ans. Mais, quelques jours plus tard, l’émir du Koweït a dissous le Parlement et convoqué de nouvelles législatives.
L’émir Nawaf al-Ahmad Al-Sabah est resté habituellement en retrait de la vie politique au profit du prince héritier, Cheikh Mechaal.
Les 4,5 millions d’habitants de ce petit pays se plaignent régulièrement de la détérioration des infrastructures et des services publics dans le pays, l’un des principaux exportateurs de pétrole au monde et qui détient près de 7% des réserves mondiales de pétrole.

APS

Mort du gérant de la station Eldasy à Touba : Deux arrestations

L’enquête sur la mort du gérant de la station de service de Eldasy retrouvé mort dans son bureau connait un rebondissement.

Le gérant de la station-service Eldasy située à Darou Marnane à Touba a été tué. C’est ce que confirme l’autopsie effectuée sur le corps du défunt. L’autopsie parcourue par Libération confirme un meurtre notamment une mort consécutive à une polytraumatisme crânien encéphalique suivi d’hémorragie grave.

Déjà deux pompistes travaillant dans la station ont été arrêtés et placés en garde à vue hier pour nécessité d’enquête. Des sources confirment que les policiers ont révélé beaucoup de bizarreries dans leurs dépositions. Le défunt gérant de la station de service se nomme Bara Cissé et était âgé de 69 ans

Accident tragique sur la RN6 : Un mort et de nombreux blessés dans un accident impliquant le bus ‘Horaire’ Kolda-Richard Toll

Un accident d’une rare violence s’est produit sur la RN6, entre Dabo et Mampatim, ce dimanche 10 décembre. Le bus de transport assurant la liaison entre Kolda et Richard Toll a dévié de sa trajectoire pour heurter un arbre, provoquant un bilan tragique : un mort et de nombreux blessés. Les victimes ont été évacuées à l’hôpital régional de Kolda. L’enquête sur les circonstances exactes de l’accident est en cours.

Un présumé voleur trouvé mort et abandonné dans la rue

Un présumé voleur a été victime de violence à Touba, dans le quartier Dianatou Salam, près de la nouvelle gare routière. Les faits ont eu lieu après qu’un homme d’environ 25 ans ait volé le téléphone portable d’une dame, confié à un talibé pour retirer de l’argent au multiservice local. Le talibé a crié à l’aide, attirant l’attention des habitants du quartier qui ont réussi à capturer le présumé voleur.

Le présumé voleur a été soumis à une justice populaire et a été battu à mort. Son corps sans vie a été abandonné dans la rue. La découverte du cadavre a été faite par un agent de l’État, qui a informé le commissariat spécial de Touba. La police a constaté les faits, et la dépouille a été transportée à la morgue de l’hôpital par les sapeurs-pompiers.

Malgré ces événements, aucun habitant du quartier n’a témoigné ni dénoncé les auteurs présumés du meurtre. La police a ouvert une enquête pour faire la lumière sur cette affaire de justice populaire.

Histoire d’amour et de mort, une triste fin pour le couple Touré, ils meurent le même jour

L’histoire du couple Touré fait sensation sur la toile. La triste fin du couple Guinéen fait débat. En effet Bintou et son mari meurent le même jour. Bintou, communément appelé « Bintou La responsable » sur les réseaux sociaux, a piqué une crise avant de rendre l’âme après qu’elle a été annoncée le décès de son époux Ahmed Tidiane Toure.

Les commentaires vont bon train sur la toile!

« Non je ne peux pas y croire vous vous êtes promis à la vie à la mort et voilà ma Bintou aussi à rejoint son mari en moins de 24h après avoir publié et dire’ il sera mon dernier mec’. Je suis sans mots j’ai su aujourd’hui la vie n’est rien Ahmed Tidiane Toure mon frère Que le tout puissant Allah vous pardonne » , a témoigné Zena Baldez.

« Je n’ai jamais voulu écrire rip sur ta photo mais là suit dépassée et j’ai perdu l’espoir suit sans froid
Seul Dieu a le dernier mots Elle disait souvent que Mr Touré et moi sauf la mort…  » , a témoigné Waraba Diabatéba.

Senego

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