Rencontre avec Antonio Guterres : Le leadership du président Bassirou Diomaye Faye salué par les Nations Unies

Le Président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, a récemment rencontré le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, pour aborder les enjeux mondiaux actuels, notamment en matière de paix, de sécurité et de développement durable. Cette rencontre symbolise le renforcement des relations entre le Sénégal et l’Organisation des Nations Unies, soulignant le rôle stratégique du pays dans la promotion des idéaux de paix et de coopération internationale.

Lors de cet entretien, le Président Faye et António Guterres ont échangé sur les crises globales qui affectent le monde, telles que les conflits armés, les enjeux liés au développement durable, et les menaces liées au changement climatique. Ils ont mis en avant l’importance de solutions concertées pour répondre à ces défis complexes, tout en réaffirmant la nécessité d’une coopération multilatérale forte.
Le Secrétaire général de l’ONU a exprimé son admiration pour le leadership du Président Faye dans la défense des valeurs fondamentales prônées par les Nations Unies. En reconnaissance de son engagement, António Guterres a proposé au chef de l’État sénégalais de devenir l’un des « Champions du Pacte pour le Futur », une initiative visant à renforcer la paix mondiale, tout en favorisant un développement durable et inclusif.
« Le Sénégal a prouvé à maintes reprises son engagement en faveur de la stabilité et du développement durable. Je suis heureux de pouvoir compter sur le Président Faye pour continuer à défendre ces valeurs sur la scène internationale », a déclaré António Guterres.
Le Sénégal, déjà un acteur clé dans les discussions internationales, voit son rôle de leader renforcé par cette reconnaissance. Cette rencontre met en exergue la détermination du pays à s’impliquer activement dans la recherche de solutions concrètes aux crises globales, qu’elles soient économiques, sociales ou environnementales.
Le Président Faye et António Guterres ont également convenu d’explorer des voies innovantes pour répondre aux défis contemporains. Ils se sont engagés à collaborer dans des domaines cruciaux comme la lutte contre le changement climatique et la promotion de la paix. Le Sénégal, membre actif de l’ONU, continue ainsi de se positionner comme un partenaire stratégique dans la résolution des crises mondiales.
Cette rencontre marque une étape importante pour la diplomatie sénégalaise. Le leadership du Président Bassirou Diomaye Faye, salué par les Nations Unies, conforte la position du Sénégal en tant qu’acteur clé dans les discussions internationales sur la paix, la sécurité et le développement durable. Le pays, grâce à son engagement constant, contribue de manière significative à la construction d’un avenir plus équitable et plus prospère pour l’ensemble des nations.
Ce dialogue constructif entre le Président Faye et António Guterres ouvre ainsi la voie à une collaboration renforcée entre le Sénégal et les Nations Unies, en vue de relever ensemble les défis pressants de notre époque.

L’Ambassadeur Dani Al-Achka des Nations Unies félicite Bassirou Diomay Faye et exprime son soutien pour l’avenir du Sénégal

Monsieur Dani Al-Achkar, ambassadeur de la paix aux Nations Unies et président du groupe Prince Invest, a adressé ses félicitations à Bassirou Diomay Faye pour son élection en tant que président de la République du Sénégal. Dans ses propos, il a également transmis ses vœux les plus chaleureux au peuple sénégalais, soulignant ainsi l’importance du processus démocratique et du vote comme fondements de la démocratie.

De nationalité sénégalaise d’origine libanaise, l’Ambassadeur Al-Achka s’est dit prêt à soutenir activement le nouveau président dans la réussite de son mandat. Il a notamment exprimé son engagement à contribuer à la promotion de l’emploi des jeunes et des femmes, reconnaissant ainsi l’importance cruciale de ces enjeux pour le développement durable du pays.

Par ailleurs, l’Ambassadeur Al-Achka a souligné l’importance de faciliter les échanges et la coopération économique entre le Sénégal et la Turquie. Il a exprimé sa disponibilité à accompagner Bassirou Diomay Faye dans la réalisation de ses projets, non seulement au niveau national, mais également dans la sous-région et au-delà, en particulier en Occident.

Cette déclaration de soutien de la part de l’Ambassadeur Al-Achka témoigne de la confiance et de l’optimisme suscités par l’élection de Bassirou Diomay Faye à la présidence du Sénégal. Elle souligne également l’importance du partenariat international dans la promotion du développement économique et social du pays, ainsi que dans la consolidation de la paix et de la stabilité dans la région.

Situation politique au Sénégal : Le représentant des Nations Unies rencontre Macky Sall

Ce mardi 20 février 2024, le Président de la République du Sénégal, Macky Sall, a accordé une audience au représentant spécial du Secrétaire général et Chef du Bureau des Nations unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel (UNOWAS), Leonardo Santos Simão.

Lors de cette rencontre, les deux parties ont échangé sur divers sujets relatifs à la paix et à la sécurité dans la sous-région, ainsi que sur les récents développements politiques au Sénégal, selon un communiqué officiel.

Le représentant spécial a notamment salué l’engagement constant du Sénégal en faveur de la consolidation de la paix et de la démocratie en Afrique de l’Ouest et au Sahel. Il a également encouragé tous les acteurs nationaux à travailler ensemble pour créer un environnement propice à des élections pacifiques et transparentes, conformément à la Constitution sénégalaise.

Dans ce contexte, Leonardo Santos Simão a réaffirmé le soutien continu des Nations unies et son engagement personnel à accompagner les efforts du pays pour consolider la démocratie, promouvoir la paix, la stabilité et le développement durable.

Cette rencontre entre le représentant des Nations unies et le Président sénégalais revêt une importance particulière alors que le pays se prépare pour des échéances électorales importantes. Elle témoigne de la volonté commune de renforcer la coopération entre le Sénégal et la communauté internationale pour garantir des processus électoraux transparents et démocratiques, ainsi que pour promouvoir la paix et la stabilité dans la région.

Controverses autour de l’élection du Marocain Zniber à la présidence du conseil des droits de l’homme des Nations Unies

L’élection du représentant du Maroc auprès des Nations Unies à Genève, l’Ambassadeur Zniber, à la présidence du Conseil des droits de l’Homme le 10 janvier a suscité des réactions contrastées au niveau international. Alors que le président élu s’est engagé à promouvoir et protéger les droits humains dans son discours inaugural, certaines voix, dont celle de Khadija Ryadi de l’Association marocaine des droits humains (AMDH), soulignent le contraste entre cette déclaration et la situation effective des droits humains au Maroc.

Khadija Ryadi de l’AMDH a exprimé ses préoccupations quant à cette élection, soulignant que le Maroc devrait d’abord résoudre les problèmes de droits humains à l’intérieur de ses frontières avant de prétendre diriger le Conseil des droits de l’Homme. Elle a fait référence aux défis persistants liés à la liberté d’expression, à la répression des activistes et à d’autres questions relatives aux droits humains au Maroc.

En réponse aux critiques, le gouvernement marocain a mis en avant son rôle de leader dans les initiatives de dialogue interreligieux, soulignant son engagement envers le respect des droits humains. Cependant, ces affirmations ont été accueillies avec scepticisme par certains observateurs internationaux, qui estiment que les actions concrètes sur le terrain sont nécessaires pour garantir le respect effectif des droits humains.

Il convient de noter que cette élection intervient après les préoccupations exprimées par les Nations Unies en 2021 concernant le traitement des militants sahraouis par les autorités marocaines. Les rapports faisant état de restrictions à la liberté d’expression et de manifestations au Sahara occidental ont suscité des inquiétudes quant au respect des droits humains dans la région.

Le vote secret qui a conduit à la victoire de l’Ambassadeur Zniber a enregistré 30 voix en sa faveur, contre 17 pour le candidat sud-africain. Cette différence notable dans les résultats reflète les divergences d’opinions parmi les États membres du Conseil des droits de l’Homme quant à la crédibilité et à la légitimité du Maroc pour occuper cette position clé.

La controverse entourant cette élection souligne l’importance du rôle du Conseil des droits de l’Homme dans la promotion et la protection des droits humains à l’échelle mondiale, tout en soulignant le besoin de transparence et de responsabilité dans la sélection de ses dirigeants.

[En direct] Intenses bombardements dans le sud de la bande de Gaza, les hôpitaux submergés

Après des semaines de combat contre le Hamas dans le nord de Gaza, l’armée israélienne intensifie ce mardi son déploiement dans le sud du territoire, faisant craindre un « scénario encore plus infernal » pour les civils, selon les Nations unies. Khan Younes, ville où ont été déplacés un grand nombre de Palestiniens du Nord, est désormais la cible de l’armée israélienne. Les ONG humanitaires ne cachent plus leur désespoir face à la situation dans l’enclave palestinienne.

Ce qu’il faut retenir :

■ La trêve à Gaza a volé en éclats vendredi matin, le 1ᵉʳ décembre.

■ L’armée israélienne a déplacé son offensive vers la moitié sud du territoire. Des dizaines de chars, de transports de troupes et de bulldozers israéliens sont entrés dans cette partie de Gaza, au niveau de la grande ville de Khan Younes, proche de la frontière avec l’Égypte. L’hôpital Nasser, le plus grand de Khan Younes, a reçu mardi matin des dizaines de blessés.

■ Le Qatar demande au Conseil de sécurité de l’ONU de forcer Israël à revenir à la table des négociations sur la guerre à Gaza, a déclaré ce mardi l’émir du Qatar, cheikh Tamim ben Hamad al-Thani, lors d’un sommet du Conseil de coopération du Golfe à Doha.

■ « Un scénario encore plus infernal est sur le point de se réaliser, auquel les opérations humanitaires ne pourront peut-être pas répondre », a déclaré la Coordinatrice humanitaire de l’ONU pour les Territoires palestiniens.

■ Plus de 15 900 Palestiniens, dont 70% de femmes et d’enfants, ont été tués dans les frappes israéliennes sur Gaza depuis le 7 octobre, a déclaré lundi 4 décembre le ministère de la Santé de la bande de Gaza. Le nombre de blessés s’élève à plus de 42 000 Palestiniens. Depuis le 7 octobre, plus de 1 200 Israéliens ont été tués.

■ Durant la trêve, 110 otages – 86 Israéliens et 24 étrangers – ont été libérés par le Hamas, selon le décompte d’Israël. De son côté, Israël a libéré 240 prisonniers palestiniens ; 136 otages restent détenus à Gaza, selon l’armée israélienne.

Rfi

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