Revue de presse Mardi 16 avril 2024
Étiquette : Ousmane Sonko
VOTRE QUOTIDIEN DU JOUR Votre UNE des Quotidiens du Mardi 16 Avril 2024
Bassirou Diomaye Faye en visite à Tivaouane: Renforcement des liens et hommage à Serigne Mame Ousmane Sy Dabakh
Le président de la République du Sénégal, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Faye, a effectué une visite remarquée à Tivaouane, une cité religieuse emblématique du pays. Cette visite revêtait un caractère particulièrement significatif, venant juste après sa première sortie officielle à Touba.
Accompagné d’une délégation de haut niveau comprenant son directeur de cabinet, Mary Teuw Niane, ainsi que des membres éminents de son gouvernement, dont le ministre de l’Intérieur, Jean Baptiste Tine, et le ministre des Transports, Malick Ndiaye, le Chef de l’État a été reçu par le Khalife général des Tidianes, Serigne Babacar Sy Mansour.
L’objet principal de cette visite était de présenter les condoléances de Son Excellence au Khalife suite au décès de Serigne Mame Ousmane Sy Dabakh, une figure vénérée au sein de la communauté tidiane. Cette marque de respect et d’affection envers la communauté religieuse a été saluée par l’ensemble des fidèles et des leaders spirituels présents à Tivaouane.
Outre les échanges de courtoisie et de respect, le président Faye a également saisi l’opportunité pour exprimer sa volonté de poursuivre le programme de modernisation de la ville sainte. Il a souligné l’importance de soutenir les travaux de finition de la Grande Mosquée de Tivaouane, un projet emblématique qui revêt une grande importance pour la communauté tidiane et pour l’ensemble du pays.
La visite du Chef de l’État à Tivaouane a été marquée par un climat de respect, d’unité et de solidarité. Le Khalife Serigne Babacar Sy Mansour a formulé des prières pour la paix, la concorde et le succès des programmes gouvernementaux sous la conduite du président Faye. Cette rencontre témoigne de l’importance du dialogue entre l’État et les leaders religieux dans la construction d’une société sénégalaise fondée sur les valeurs de tolérance, d’harmonie et de progrès.
En fin de visite, le président Faye a été honoré par le Khalife qui lui a offert des cadeaux symboliques de grande valeur, symboles de l’amitié et de la fraternité entre l’État et la communauté religieuse. Cette marque de reconnaissance illustre la relation de confiance et de respect mutuel qui existe entre le gouvernement et les autorités religieuses du Sénégal.
La visite de Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Faye à Tivaouane restera gravée dans les mémoires comme un moment fort de communion, de respect et d’engagement en faveur de la paix et du développement du Sénégal.
Bassirou Diomaye Faye en visite à Tivaouane: Renforcement des liens et hommage à Serigne Mame Ousmane Sy Dabakh










Building administratif : le PM Ousmane Sonko visite les locaux…
Le Premier ministre Ousmane Sonko s’apprête à effectuer une visite déterminante au bâtiment administratif Mamadou Dia ce lundi. Cette démarche, initialement programmée la semaine précédente mais reportée à la dernière minute, est scrutée avec attention, car elle pourrait avoir des implications majeures sur l’organisation des institutions gouvernementales et sur l’utilisation des finances publiques.
L’objectif officieux de cette visite est de déterminer si le bâtiment administratif récemment rénové pourrait servir de siège aux institutions de la République qui louent actuellement des locaux. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la volonté du nouveau gouvernement de rationaliser les dépenses publiques et d’optimiser l’utilisation des infrastructures existantes.
Le bâtiment administratif Mamadou Dia, nommé en l’honneur du premier Premier ministre du Sénégal, a fait l’objet de rénovations conséquentes ces dernières années, représentant un investissement financier considérable de plusieurs milliards de francs CFA. La visite du Premier ministre Sonko vise à évaluer la pertinence de ces rénovations par rapport aux besoins réels des institutions gouvernementales et à déterminer si le bâtiment peut efficacement remplir sa fonction.
Cette démarche s’inscrit dans le cadre d’une approche plus large visant à promouvoir une gestion transparente et efficiente des ressources publiques. En examinant de près l’utilisation du bâtiment administratif Mamadou Dia, le gouvernement souhaite s’assurer que les deniers publics sont utilisés de manière responsable et judicieuse.
La conclusion de cette enquête pourrait avoir des répercussions significatives sur l’organisation administrative du pays. Si le bâtiment administratif est jugé adapté aux besoins des institutions gouvernementales, cela pourrait entraîner le regroupement de plusieurs ministères et organismes au sein de ce lieu centralisé. Une telle décision permettrait de réaliser des économies substantielles en termes de loyers et de frais de fonctionnement.
En outre, cette démarche envoie un signal fort quant à l’engagement du nouveau gouvernement en faveur d’une gouvernance responsable et transparente. En évaluant l’utilisation des infrastructures publiques de manière objective et rigoureuse, le Premier ministre Sonko démontre sa volonté de mettre en œuvre des réformes significatives pour améliorer l’efficacité et l’efficience de l’administration publique.
Dans l’attente des résultats de cette visite, les citoyens et les observateurs politiques demeurent attentifs, conscients des enjeux importants liés à cette initiative. La décision qui en découlera aura des répercussions durables sur la gestion des ressources publiques et sur l’organisation de l’appareil gouvernemental, marquant ainsi une étape importante dans l’évolution politique et administrative du pays.
Les images de la visite du Président Bassirou Diomaye Faye à Touba auprès du Khalife Général des Mouride
Ousmane Sonko Envisage une Visite au Building Administratif Mamadou Dia pour Évaluer le Retour des Institutions de la République
Selon les informations fournies par nos confrères du quotidien Source A, le Premier ministre Ousmane Sonko prévoit de visiter le building administratif Mamadou Dia ce lundi. L’objectif de cette visite serait de déterminer la possibilité de ramener les institutions de la République qui avaient été déplacées.
Mamadou Lamine Diallo, leader du mouvement Tekki, voit d’un bon œil cette démarche du Premier ministre. Dans un post sur X, le député affirme que « cette affaire doit être tirée au clair ». Il rappelle également avoir « proposé en son temps une commission d’enquête parlementaire, celle-ci fut rejetée par le bureau de l’Assemblée nationale ».
Le building administratif Mamadou Dia, d’une capacité de 10 étages, avait été rénové suite à un incendie qui s’y était déclaré. Cependant, malgré ces travaux de rénovation, le bâtiment n’a jamais été fonctionnel et a été fermé. Cette visite du Premier ministre pourrait donc être un pas vers la résolution de ce dossier et la réutilisation effective de cet espace.
La visite d’Ousmane Sonko au building administratif Mamadou Dia revêt une importance particulière pour le gouvernement. Elle permettrait non seulement d’évaluer la faisabilité de ramener les institutions de la République dans ce bâtiment, mais aussi de répondre aux préoccupations des citoyens et des acteurs politiques concernant l’utilisation et la mise en valeur de cet espace.
La décision d’Ousmane Sonko de visiter le building administratif Mamadou Dia démontre l’engagement du gouvernement à trouver des solutions aux problèmes administratifs et institutionnels du pays. Cette démarche est perçue comme une étape importante vers la résolution d’un dossier qui suscite de nombreuses interrogations et attentes au sein de la population sénégalaise.
Élection imminente du nouveau maire de Ziguinchor : Quatre prétendants en lice pour succéder à Ousmane Sonko
La démission probable d’Ousmane Sonko de son poste de maire de Ziguinchor pour se concentrer sur ses fonctions de Premier ministre a lancé une course à la succession au sein de la municipalité. Alors que le président Bassirou Diomaye Faye a fixé un délai d’un mois aux membres du gouvernement pour renoncer à leurs fonctions municipales, plusieurs candidats ont émergé pour briguer le poste de premier magistrat de la capitale du Sud.
Quatre prétendants se démarquent actuellement dans la course à la mairie, selon les informations rapportées par L’Observateur. Il s’agit de Aïda Bodian, première adjointe au maire, de Djibril Sonko, troisième adjoint, de Alassane Diédhiou, quatrième adjoint, et de Abdou Sané, conseiller municipal et ancien député, qui assure actuellement la coordination provisoire de Pastef dans la commune de Ziguinchor.
Cependant, d’autres candidats pourraient également se manifester dans les prochains jours, comme l’a souligné Dame Bèye, conseiller municipal et responsable des jeunes de la coalition Benno, dans des déclarations à la presse. Même l’opposition, avec ses 18 conseillers municipaux, prévoit de présenter son propre candidat.
Une campagne de séduction a déjà commencé dans la plus grande discrétion entre les différents prétendants, selon les informations recueillies auprès d’un conseiller municipal anonyme cité par L’Observateur. Certains attendent également de connaître le choix d’Ousmane Sonko pour décider de se lancer ou non dans la course à la succession.
Dans ce contexte, le chef du gouvernement, Ousmane Sonko, est attendu à Ziguinchor dans les prochains jours pour clarifier la situation et trancher sur la question de la succession à la mairie. Cette décision pourrait avoir un impact significatif sur la dynamique politique locale et l’avenir de la municipalité de Ziguinchor.
Le ministre de l’Environnement, Daouda Ngom, clarifie les rumeurs sur sa prétendue parenté avec le Premier ministre Ousmane Sonko
La nomination de Daouda Ngom au poste de ministre de l’Environnement a suscité une certaine controverse, certains avançant qu’il serait l’oncle du Premier ministre, Ousmane Sonko, ce qui aurait soulevé des questions quant à une éventuelle entorse aux principes anti-népotisme du parti Pastef.
Cependant, Daouda Ngom a tenu à mettre les choses au clair dans une interview accordée au quotidien Le Quotidien ce lundi. Il a balayé d’un revers de main les rumeurs, minimisant la prétendue parenté en affirmant que leur seul lien de parenté était leur origine commune, remontant à Adam et Eve.
Dans une tentative de dissiper toute confusion, le ministre de l’Environnement a abordé les aspects généalogiques, expliquant que le nom de famille « Ngom » de la mère d’Ousmane Sonko n’avait aucun lien avec le sien. Il a précisé que le « Ngom » de la mère de Sonko était associé à la famille de Mpal, issue de feu Serigne Rawane Ngom, tandis que lui-même était sérer de Fissel Mbadane.
Daouda Ngom a souligné que même sa grande sœur, Nafy Ngom Keïta, avait été victime de ces rumeurs infondées, affirmant faussement qu’elle était la sœur de la mère d’Ousmane Sonko. En réalité, aucune parenté ne les relie à la famille de Sonko.
Pour finir, le ministre a clarifié que sa relation avec Ousmane Sonko était strictement politique, remontant à 2017. Cette déclaration vise à dissiper tout soupçon de favoritisme ou de partialité dans sa nomination au sein du gouvernement.
Ainsi, Daouda Ngom a choisi de répondre avec sagesse et rationalité aux rumeurs de parenté avec le Premier ministre, éclaircissant les faits pour mettre un terme à toute spéculation non fondée et se concentrer sur son rôle au sein du gouvernement sénégalais.
Le Premier ministre Ousmane Sonko inspecte le Building administratif Mamadou Dia
Le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, est attendu ce lundi au Building administratif Mamadou Dia pour une visite d’inspection. Initialement prévue la semaine dernière mais reportée à la dernière minute, cette visite suscite des attentes quant à son objectif réel.
Bien que l’objet officiel de cette visite n’ait pas été divulgué, selon les informations fournies par Source A, le Premier ministre envisage d’évaluer la possibilité d’utiliser le bâtiment récemment rénové pour abriter les institutions de la République actuellement installées dans des locaux loués.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre des efforts des nouvelles autorités pour rationaliser les finances publiques et optimiser l’utilisation des ressources gouvernementales. En regroupant les différentes institutions de la République dans un même bâtiment administratif, le gouvernement espère réaliser des économies importantes et améliorer l’efficacité de la gestion des affaires publiques.
La rénovation du Building administratif Mamadou Dia représente un investissement considérable en termes de ressources financières, et son utilisation optimale est essentielle pour garantir un retour sur investissement et maximiser les avantages pour l’administration et les citoyens.
La visite du Premier ministre Sonko revêt donc une importance particulière dans le cadre des efforts plus larges visant à moderniser l’appareil gouvernemental et à renforcer la gouvernance administrative au Sénégal. Les résultats de cette inspection pourraient avoir un impact significatif sur la manière dont les institutions de la République sont organisées et gérées à l’avenir, contribuant ainsi à une gouvernance plus efficace et transparente.
En conclusion, cette visite du Premier ministre au Building administratif Mamadou Dia représente une étape importante dans la recherche de solutions innovantes pour améliorer l’efficacité et la rentabilité de l’administration publique sénégalaise, tout en répondant aux besoins changeants de la société et en assurant une utilisation responsable des ressources publiques.
Votre UNE des Quotidiens du Lundi 15 Avril 2024
Le Dakarois Quotidien N°154 – du 15/04/24 : Dr. Serigne Guèye Diop : Un espoir pour l’industrialisation et la baisse des prix
Le Dakarois Quotidien N°154 – du 15/04/24
Nomination du Directeur de Cabinet du Premier Ministre : Ibrahima Guèye désigné pour cette fonction clé
Le Premier Ministre Ousmane Sonko vient de prendre une décision importante en nommant son Directeur de Cabinet, en la personne de Monsieur Ibrahima Guèye, administrateur civil principal de classe exceptionnelle. Cette nomination, consignée dans un arrêté officiel, marque une étape significative dans la mise en place de son équipe gouvernementale.
Dans le cadre de ses prérogatives constitutionnelles et en vertu des décrets portant nomination du Premier Ministre et des membres de son gouvernement, cette décision est conforme aux exigences légales. Monsieur Guèye, dont le matricule de solde est le 518 381/P, apporte une expertise précieuse en tant qu’administrateur civil de haut niveau.
L’arrivée de Monsieur Guèye en tant que Directeur de Cabinet du Premier Ministre témoigne de la volonté de l’exécutif de s’entourer de compétences qualifiées et expérimentées. Sa nomination est un signal fort de l’engagement du gouvernement à travailler avec efficacité et rigueur pour répondre aux attentes du peuple sénégalais.
Dans un contexte où les défis sont nombreux et les attentes élevées, la nomination de Monsieur Guèye est un pas important vers la mise en place d’une équipe solide et cohérente. Son expérience et son engagement seront des atouts précieux pour accompagner le Premier Ministre dans la réalisation de ses missions et objectifs.
Le présent arrêté, enregistré et publié officiellement, marque le début d’une nouvelle étape dans le processus de mise en place de l’administration du Premier Ministre. Cette nomination est un témoignage de la détermination du gouvernement à œuvrer pour le bien-être et le progrès du Sénégal.
Dans un pays où la transparence et l’efficacité de l’administration sont essentielles, la nomination de Monsieur Guèye au poste de Directeur de Cabinet représente un engagement en faveur de la bonne gouvernance et de la gestion responsable des affaires publiques.
Cette nomination confirme la volonté du Premier Ministre de mettre en place une équipe gouvernementale compétente et dévouée, capable de relever les défis actuels et de répondre aux aspirations du peuple sénégalais.

Confiscation des Passeports Diplomatiques : Réaction d’Adji Mergane Kanouté
Dans le sillage des récents changements politiques au Sénégal, des mesures controversées ont été prises à l’encontre des anciens ministres du régime de Macky Sall. Ces décisions, relayées par la députée Adji Mergane Kanouté sur sa page Facebook, ont suscité une vive réaction au sein de la classe politique sénégalaise et de l’opinion publique.
Selon les révélations de la députée, les anciens ministres se voient désormais interdire de voyager avec leur passeport diplomatique après avoir procédé à la passation de service. Cette restriction, imposée par les nouvelles autorités sénégalaises, est motivée par le lien du passeport diplomatique avec la fonction ministérielle. Elle constitue ainsi une mesure inédite qui remet en question les privilèges accordés aux anciens membres du gouvernement.
Adji Mergane Kanouté dénonce avec véhémence cette décision, la qualifiant de manque d’élégance et d’ingratitude envers les anciens ministres qui ont servi le pays. Elle estime que cette mesure porte atteinte à la dignité des anciens responsables gouvernementaux et ne contribue pas à l’instauration d’un climat de confiance et de respect mutuel entre les anciennes et les nouvelles autorités.
La députée souligne également les implications pratiques de cette mesure, notant que le passeport diplomatique est un outil essentiel pour faciliter les déplacements des fonctionnaires en mission à l’étranger. En restreignant l’utilisation de ce document aux seuls ministres en exercice, les nouvelles autorités limitent la liberté de mouvement des anciens ministres, ce qui pourrait entraver leurs activités professionnelles et personnelles à l’international.
Adji Mergane Kanouté met en garde contre les conséquences de cette décision sur l’image du Sénégal à l’étranger et sur les relations diplomatiques avec d’autres pays. Elle souligne que le passeport diplomatique est un symbole de souveraineté nationale et de représentation officielle à l’étranger, et que sa confiscation ou sa suspension pourrait nuire à la réputation du pays sur la scène internationale.
La députée appelle les nouvelles autorités à faire preuve de calme, de maturité et de respect envers les anciens ministres et à privilégier le dialogue et la concertation pour résoudre les différends politiques. Elle exhorte également les anciens ministres à rester vigilants et à défendre leurs droits et leur dignité dans le respect des principes démocratiques et des valeurs républicaines du Sénégal.
Réouverture du Procès Ousmane Sonko – Mame Mbaye Niang : Me Karl Pape Évoque une Prétendue Preuve Nouvelle
L’avocat Me Karl Pape a soulevé la question de la réouverture du procès opposant Ousmane Sonko à Mame Mbaye Niang, en raison d’une prétendue preuve nouvelle. Cette affaire, qui a défrayé la chronique judiciaire, semble connaître un nouveau rebondissement suite à la révélation d’un prétendu rapport.
« Va-t-on réouvrir le procès Ousmane SONKO – Mame Mbaye Niang pour cause de preuve nouvelle ? », s’interroge Me Karl Pape. Selon lui, étant donné que « le prétendu diffamé a avoué que le fameux rapport existe, on ne saurait laisser cette instrumentalisation judiciaire faire jurisprudence ». Cette nouvelle révélation remet en question l’intégrité et la crédibilité de la procédure judiciaire initiale.
Me Karl Pape critique également la passivité du juge dans ce système inquisitoire. Il souligne l’absence de démarche de la part du juge pour entendre les auteurs des rapports incriminés. « Une simple demande qui aurait pu mettre fin à cette procédure fantaisiste », déplore-t-il. Cette critique met en lumière les lacunes potentielles du système judiciaire actuel et soulève des questions sur la qualité et la rigueur des investigations menées lors du premier procès.
Me Karl Pape va plus loin en appelant certains magistrats à anticiper leurs démissions avant que le Conseil Supérieur de la Magistrature ne prenne des décisions à leur égard. Cette déclaration témoigne de la gravité de la situation et de l’importance accordée à l’indépendance et à l’intégrité de la magistrature.
L’intervention de Me Karl Pape dans l’affaire opposant Ousmane Sonko à Mame Mbaye Niang met en lumière les préoccupations concernant l’équité et la transparence du système judiciaire. La question de la réouverture du procès sur la base d’une prétendue preuve nouvelle souligne l’importance de garantir des procédures judiciaires justes et équitables pour toutes les parties impliquées.
Application du principe « Jub, Jubal, Jubanti » : Ousmane Sonko appelle au respect des directives présidentielles
Le Président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, a récemment lancé un appel à tous les fonctionnaires et agents de l’administration publique pour qu’ils incarnent les principes de « Jub, Jubal, Jubanti ». Cette directive présidentielle vise à encourager une approche éthique et responsable dans l’exercice des fonctions administratives, avec pour objectif l’amélioration de la qualité de vie de chaque citoyen sénégalais.
En réponse à cet appel présidentiel, le Premier Ministre, Ousmane Sonko, a publié une note dans laquelle il insiste sur l’importance de la ferme appropriation de ces directives par l’ensemble des agents de l’administration. Il exhorte ainsi les responsables de chaque département à prendre les dispositions nécessaires pour assurer une large diffusion de la correspondance présidentielle auprès de tous les agents, et ce, avant le vendredi 12 avril 2024.
Cette démarche vise à garantir que chaque agent comprenne et adhère pleinement aux principes énoncés par le Président, dans le but de contribuer de manière significative à l’amélioration des conditions de vie des citoyens sénégalais. Ousmane Sonko souligne également l’importance du respect scrupuleux de ces directives, témoignant ainsi de l’engagement du gouvernement à mettre en œuvre les politiques présidentielles de manière efficace et diligente.
Il est à noter que le principe « Jub, Jubal, Jubanti » incarne la vision du Président Diomaye Faye pour un service public intègre, efficace et au service du bien-être de la population. Cette initiative reflète la volonté du gouvernement de promouvoir une gouvernance responsable et transparente, axée sur les besoins réels des citoyens.
La Justice Espagnole se penche sur l’affaire de l’arrestation de Juan Branco : Audition de l’Avocat de Sonko Attendue
Dans son édition de ce samedi, le journal Bés Bi révèle un développement crucial dans l’affaire de l’arrestation de Juan Branco par la police sénégalaise en août 2023 en Mauritanie. La justice espagnole prévoit d’examiner cette affaire dès lundi prochain, avec une attention particulière portée à la plainte pour « délit de terrorisme » déposée par l’avocat franco-espagnol, qui sera entendu en tant que « témoin-victime ».
Juan Branco, également avocat de Ousmane Sonko, accusent deux gradés de la police sénégalaise, Adramé Sarr et Bara Sangharé, respectivement patrons de la Direction des Enquêtes Criminelles (DIC) et de la Sûreté Urbaine. Il les accuse d’avoir orchestré l’enlèvement et le transfert clandestin vers Dakar alors qu’il exerçait en tant qu’assistant du conseil de la Cour pénale internationale.
L’affaire, qui a suscité une attention internationale, a mis en lumière les tensions entre la justice sénégalaise et les autorités espagnoles. L’audition de l’avocat de Sonko pourrait fournir des éclaircissements cruciaux sur les circonstances de l’arrestation de Juan Branco et les allégations de terrorisme qui pèsent contre lui.
Cette affaire, qui a déjà secoué les cercles politiques et juridiques, promet d’ouvrir de nouvelles perspectives sur les relations entre le Sénégal et l’Espagne, ainsi que sur la protection des droits des individus impliqués dans des affaires judiciaires internationales.
Les implications de cette affaire sont multiples et profondes. Tout d’abord, elle soulève des questions sur les procédures judiciaires et la coopération internationale en matière de sécurité et de lutte contre le terrorisme. La présence de Juan Branco en tant qu’assistant du conseil de la Cour pénale internationale soulève également des préoccupations quant à d’éventuelles violations des droits de l’homme et des protocoles diplomatiques.
En outre, cette affaire a des répercussions politiques, tant au niveau national qu’international. Elle a mis en lumière les tensions politiques et les rivalités entre les autorités sénégalaises et l’opposition, ainsi que les relations parfois complexes entre le Sénégal et ses partenaires internationaux.
Enfin, cette affaire soulève des questions fondamentales sur la liberté d’expression et le droit à un procès équitable. Les allégations de Juan Branco mettent en évidence la nécessité de protéger les droits fondamentaux des individus, quel que soit leur statut ou leur affiliation politique.
Dans l’attente de l’audition de l’avocat de Sonko et des développements ultérieurs de cette affaire, il est clair que son impact continue d’être ressenti dans les semaines et les mois à venir. Elle constitue un rappel important de l’importance de la primauté du droit et du respect des droits de l’homme dans le monde d’aujourd’hui.
À LA TÊTE DE TROIS DÉPARTEMENTS MINISTÉRIELS : Khady Diène Gaye, challengée
Khady Diène Gaye a vécu une journée chargée hier, vendredi, avec des passations de services dans trois ministères différents. Elle a succédé à Papa Malick Ndour au ministère de la Jeunesse, à Mame Mbaye Niang au ministère des Sports, et a officiellement assumé ses fonctions au ministère de la Culture après l’ère du professeur Aliou Sow. Mais, les responsabilités qui l’attendent sont sûrement plus gargantuesques et éprouvants.
Khady Diène Gaye démontre une grande détermination et capacité de gestion en assumant la responsabilité de trois ministères. C’est remarquable de voir une femme occuper des postes aussi importants dans des domaines variés comme la jeunesse, les sports et la culture. Ceci met en exergue sa polyvalence et sa volonté de contribuer au développement global du pays.
Toutefois, cela demeure certainement un défi de taille qui demande une gestion rigoureuse des priorités, une capacité à prendre des décisions rapidement et une résilience face aux défis rencontrés dans chacun des domaines.
Cela a dû être un moment intense mais de grande importance pour Khady Diène Gaye qui a vécu une journée chargée ce vendredi 12 avril avec un enchaînement de passations de services, garantissant une transition sans heurts et assurant une continuité efficace dans ses nouvelles fonctions. L’inspectrice des Sports se trouve à la tête de trois départements ministériels.
MINISTÈRE DE LA CULTURE
Khady Diène Gaye a officiellement assumé ses fonctions au ministère de la Culture lors d’une cérémonie de passation de service avec le Professeur Aliou Sow.
Dans son discours, elle a exprimé son engagement à faire de la Culture un moteur économique grâce à des innovations dans le secteur. Elle souligne l’importance de valoriser et de soutenir la Culture, tout en précisant que, en plus de la Culture, elle est également en charge des sports et de la jeunesse.
Le ministre sortant, Pr Aliou Sow, dans son discours d’adieu devant les acteurs de la culture, se félicite de son bilan, mettant en avant l’augmentation significative du budget alloué au secteur culturel sous le gouvernement du président Macky Sall. Il souligne que le budget de la culture a presque doublé entre 2012 et 2023, avec un taux de croissance annuelle moyen de 6%. Parmi ses réalisations, il mentionne le financement de 53 projets pour un montant de plus de 2 milliards avec le Fonds de Promotion Cinématographique et Audiovisuelle, la restauration du prix Alioune Badara Bèye pour les lettres et les arts, ainsi que l’initiation du Gala « Gaïndé » des séries sénégalaises pour récompenser les meilleures productions audiovisuelles et les meilleurs acteurs. Il ajoute à son bilan la construction du mémorial du Joola. Enfin, il annonce la prochaine publication d’un livre détaillant ses réalisations durant son mandat au ministère de la Culture.
La nouvelle ministre des Sports, Khady Diène Gaye, a affirmé son engagement à travailler avec dévouement et détermination aux côtés de tous les acteurs du secteur sportif, lors de sa passation de service avec Mame Mbaye Niang.
À cet effet, elle compte sur le soutien de la communauté sportive pour mettre en œuvre le projet de société du président Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Elle reconnaît les défis qui l’attendent et se concentre sur une transformation systémique du sport sénégalais, notamment par l’adoption d’un nouveau code du sport et la refonte de la loi portant charte du sport.
Parmi ses priorités, figurent la redynamisation du sport scolaire et universitaire, la promotion des infrastructures sportives de proximité et la valorisation des métiers du sport pour lutter contre le chômage des jeunes. Elle souhaite également encourager le financement privé dans le sport, promouvoir le tourisme sportif et mettre en place un Fonds national de développement du sport. Diplômée de l’INSEPS et consciente des enjeux, elle promet de répondre aux attentes des Sénégalais en incarnant les principes de droiture, probité et exemplarité.
MINISTÈRE DE LA JEUNESSE
La passation de service entre le ministre sortant de la Jeunesse, Papa Malick Ndour, et la désormais ministre des Sports, de la Jeunesse et de la Culture, Khady Diène Gaye, s’est déroulée vendredi, dans l’après-midi.
Papa Malick Ndour a souligné les défis du secteur et a conseillé à sa successeure de rester forte face aux critiques.
Dans un geste de reconnaissance, l’ancien coordonnateur du Programme des Domaines Agricoles Communautaire
(PRODAC) a exprimé sa gratitude envers l’ancien président de la République, Macky Sall, pour avoir placé sa confiance en lui pendant de nombreuses années, tout en lui cédant son poste ministériel pour permettre à la ministre Khady Diène Gaye de mettre en avant ses compétences.
De grands défis attendent Khady Diène Gaye. En effet, occuper des postes ministériels dans trois domaines différents demande un engagement total et un dévouement sans faille. Cela nécessite une gestion efficace du temps, une capacité à jongler avec des responsabilités multiples et une volonté forte de servir au mieux les intérêts de la nation dans chaque secteur. C’est un véritable sacerdoce !
Votre UNE des Quotidiens du Samedi 13 et Dimanche 14 Avril 2024







































Le Dakarois Quotidien N°153 – du 13 ET 14/04/24 : L’ÈRE KHADY DIÈNE GAYE: Un ministériat sacerdotal !

Le Dakarois Quotidien N°153 – du 13 ET 14/04/24
RAPPORT ABSOLVANT DE LA CC : Mame Mbaye Niang confirme être en sa possession
Rencontre entre Ousmane Sonko et Serigne Mboup : Renforcement du rôle du secteur privé au Sénégal
Le 11 avril 2024, Serigne Mboup, président de l’Union Nationale des Chambres de Commerce, d’Industrie et d’Agriculture du Sénégal (UNCCIAS), ainsi que Maire de la commune de Kaolack, a été reçu à la primature par le Premier Ministre Ousmane Sonko. Cette rencontre marque un pas significatif vers le renforcement du rôle du secteur privé dans le développement économique et social du pays.
Au cours de cette entrevue, le Premier Ministre Ousmane Sonko a salué les relations de longue date avec Serigne Mboup, fondées sur le patriotisme et la volonté commune de contribuer au progrès économique et social du Sénégal. Ils ont évoqué la priorité accordée par le gouvernement à la création d’emplois et l’importance du secteur privé pour répondre à cette demande sociale pressante.
Serigne Mboup a souligné le potentiel des chambres consulaires, notamment les chambres de commerce et les chambres des métiers, dans la création d’emplois, l’encadrement des PME, la coopération internationale, et la facilitation de l’accès aux financements. Il a également mentionné l’importance de regrouper le secteur privé pour parler d’une seule voix à travers les chambres consulaires, le patronat et les faitières, afin d’offrir un meilleur accompagnement aux PME.
L’accent a également été mis sur la redynamisation du tissu industriel de Kaolack pour la transformation des produits agricoles et le développement de l’artisanat et des systèmes de transport.
En conclusion, le Premier Ministre s’est engagé à travailler en étroite collaboration avec le secteur privé, et en particulier avec le président de l’UNCCIAS, pour concrétiser les projets de développement économique et social du Sénégal. Cette rencontre illustre le rôle crucial du secteur privé dans l’économie sénégalaise et souligne la nécessité d’une collaboration étroite entre les chambres consulaires et les acteurs du patronat pour accompagner les PME dans leur croissance. Ces efforts conjoints ouvrent la voie à un avenir économique et social plus prospère pour le Sénégal.
Votre UNE des Quotidiens du Vendredi 12 Avril 2024
















































Le Dakarois Quotidien N°152 – du 12/04/24

Le Dakarois Quotidien N°152 – du 12/04/24
RAPPORT ABSOLVANT DE LA CC : Mame Mbaye Niang confirme être en sa possession
Appel à l’Intégrité et à la Transparence dans l’Administration Sénégalaise : Le Président Bassirou Diomaye Faye lance un message de détermination
Le nouveau président de la République, Bassirou Diomaye Faye, lance un appel à une gestion efficace et vertueuse dans les services de l’Etat. Dans une longue lettre que nous vous proposons in extenso, il a invité les fonctionnaires et agents de l’administration « à incarner pleinement les principes de Jub, Jubal, Jubanti ». Il a également demandé que « la droiture, la probité et l’exemplarité commandent chacun de (leurs) actes » et que leur « travail quotidien soit imprégné de ce souci permanent du bien commun, où le service à nos concitoyens et leur bien-être priment sur toute autre considération ».
« Chères collaboratrices, chers collaborateurs, en cette période charnière de notre histoire, où chaque pas vers l’avenir se dessine sous le signe de la promesse et de l’espoir, il m’est apparu essentiel de m’adresser directement à vous, femmes et hommes dévoués au service de notre nation. Vous constituez sans nul doute la colonne vertébrale de notre administration et le cœur battant de notre pays.
Le Sénégal, notre cher pays, se tient aujourd’hui à l’aube d’une ère nouvelle, porté par la vision d’un avenir dans lequel chaque citoyen, où qu’il se trouve, peut jouir des fruits de notre effort collectif. Un Sénégal réconcilié, transparent et équitable, où le développement durable et inclusif n’est pas un idéal lointain, mais une réalité tangible, à portée de mains.
Si notre pays bénéficie d’une solide réputation de démocratie, de stabilité et de paix, nous le devons en grande partie à votre engagement, votre professionnalisme et votre travail sans relâche. Vous êtes les gardiens de nos valeurs républicaines, les artisans de notre développement et les sentinelles de notre cohésion sociale.
Aujourd’hui, je vous invite, avec toute la considération et le respect que je vous porte, à incarner pleinement les principes de Jub, Jubal, Jubanti. Que la droiture, la probité et l’exemplarité commandent chacun de vos actes. Que votre travail quotidien soit imprégné de ce souci permanent du bien commun, où le service à nos concitoyens et leur bien-être priment sur toute autre considération.
Palais de la République du Sénégal Avenue Léopold Sédar Senghor BP 4020 Dakar Senegal Telephone -221 33 550 50 50
Dans le sillage de notre engagement collectif vers un Sénégal uni et prospère, je tiens à souligner l’importance cruciale de la transparence et de l’intégrité dans nos actions et décisions. Notre administration joue un rôle fondamental dans la concrétisation des aspirations de notre nation, et c’est dans cette optique que je souhaite rappeler les principes directeurs qui doivent guider notre conduite.
La loi 201222 du 27 décembre 2012, portant Code de transparence dans la gestion des finances publiques, établit un cadre légal clair pour l’intégrité des acteurs impliqués dans la gestion des affaires publiques. Elle souligne l’exigence d’un comportement éthique et déontologique irréprochable pour tous les agents de l’État, en insistant sur le fait que la transparence n’est pas une option. Cette loi en ses points 7.2 et 7.3, rappelle que nous, agents publics, avons le devoir de veiller scrupuleusement à la bonne gestion des ressources qui nous sont confiées et de signaler toute infraction aux règles régissant les finances publiques. Cette démarche n’est pas seulement légale; elle est morale, réaffirmant notre engagement envers les citoyens que nous servons.
C’est pour cette raison que nous accordons une importance particulière à la protection des lanceurs d’alerte. Il est essentiel que chacun se sente libre et soutenu de partager, en toute sécurité, des informations concernant des irrégularités ou des pratiques contraires à l’éthique et à la loi. Cet engagement reflète notre volonté collective de bâtir un gouvernement vertueux, fondé sur l’éthique de responsabilité et l’obligation de rendre compte.
Je vous exhorte à adopter ces principes dans votre travail quotidien, en vous rappelant que votre contribution est précieuse pour assurer l’intégrité et la transparence de notre gouvernance. Ensemble, renforçons notre détermination à servir avec honneur et dignité, dans le respect des lois qui nous guident et pour le bien-être de tous les Sénégalais.
Notre mission, collective et individuelle, est d’œuvrer sans cesse à l’amélioration de la qualité de vie de chaque Sénégalaise et de chaque Sénégalais. Notre engagement au service du pays transcende les obligations administratives. Il s’incarne dans notre vocation sincère de servir notre Patrie et dans notre foi en ses immenses potentialités.
Je suis conscient des défis qui nous attendent. Le chemin du développement, de la justice et de l’équité est semé d’embûches. Mais je suis également convaincu que notre détermination et notre unité nous permettront de franchir ces obstacles pour la réalisation de notre projet commun.
En ma qualité de Président de la République, je m’engage à être à vos côtés, à soutenir vos efforts et à veiller à ce que les conditions de votre engagement soient toujours les meilleures. Ensemble, dans la solidarité, construisons le Sénégal de demain. Faisons de notre pays une terre où chaque citoyen peut se réaliser et contribuer au bien-être collectif.
Je vous invite donc, avec ferveur et espérance, à redoubler d’efforts et à vous joindre à moi dans cette grande œuvre nationale. Soyons les bâtisseurs infatigables d’un Sénégal prospère et rayonnant, à l’image des aspirations profondes de notre peuple.
Avec toute ma confiance et mon admiration pour votre engagement indéfectible au service de la République
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Bassirou Diomaye Diakhar FAYE



Passation de Témoin au Ministère du Tourisme : Mame Mbaye Niang transmet le flambeau à Mountaga Diao
Une cérémonie de passation de service a eu lieu aujourd’hui au ministère du Tourisme, marquant le départ du ministre sortant Mame Mbaye Niang et l’arrivée de son successeur, Mountaga Diao. L’événement s’est déroulé au siège du ministère, situé aux Almadies, en face du siège de la TFM.
Vers 15h45, Mountaga Diao, le nouveau ministre du Tourisme et de l’Artisanat, est arrivé pour une séance d’échanges qui a duré plus d’une heure avec Mame Mbaye Niang et son équipe. À l’issue de cette rencontre, les deux ministres ont rencontré la presse nationale. Pour Mame Mbaye Niang, c’était l’occasion de faire ses adieux à son équipe et de souhaiter à Mountaga Diao le meilleur dans ses nouvelles fonctions.
Mountaga Diao, fraîchement nommé à la tête du ministère, a exprimé sa confiance dans le fait que les défis fixés par le président et le Premier ministre seront relevés grâce à l’union des efforts et des compétences. Cette passation de témoin marque le début d’une nouvelle ère pour le secteur du tourisme et de l’artisanat, avec l’engagement de Mountaga Diao à poursuivre le développement et la promotion de ces secteurs clés de l’économie sénégalaise.



Abdourahmane Diouf, nouveau Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, affiche ses ambitions pour le secteur
Ce jeudi, Abdourahmane Diouf a officiellement pris ses fonctions en tant que Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Dans un message adressé à ses compatriotes, il exprime sa détermination à donner vie à la vision du Président de la République, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Faye, et de son Premier ministre, Ousmane Sonko.
Avec un enthousiasme renouvelé, Abdourahmane Diouf s’engage à travailler en étroite collaboration avec l’ensemble des acteurs du secteur. Son objectif est de mieux répondre aux préoccupations de l’Université sénégalaise et de créer un environnement propice à son développement.
En tant que nouveau ministre, Abdourahmane Diouf apporte son engagement, sa détermination et sa volonté de faire progresser le secteur de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation. Avec une approche axée sur la collaboration et la synergie, il est prêt à relever les défis et à saisir les opportunités pour faire avancer l’éducation et la recherche au Sénégal.
Le pays peut compter sur Abdourahmane Diouf pour apporter des changements positifs et pour contribuer à la construction d’un avenir meilleur pour la jeunesse et pour le développement du pays tout entier.
« Le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Abdourahmane Diouf, a pris fonction ce jeudi. Il annonce son envie de travailler avec synergie avec les acteurs du secteur.
« Chers Compatriotes, nous avons fait la passation de service au ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.
C’est avec un sentiment de ferveur renouvelé que j’entame cette mission pour donner corps à la vision du Président de la République, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Faye et de son Premier ministre Ousmane Sonko.
Je compte travailler en synergie avec l’ensemble des acteurs du secteur afin de mieux prendre en charge les préoccupations de l’Université sénégalaise.
El Hadj Abdourahmane DIOUF
Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation »



Les Généraux Jean Baptiste Tine et Birame Diop dans le Gouvernement d’Ousmane Sonko : Un Choix Réfléchi
Lors de la récente annonce de la composition de son équipe gouvernementale, Ousmane Sonko a surpris en nommant deux hauts gradés de l’armée sénégalaise, les généraux Jean Baptiste Tine et Birame Diop, respectivement Secrétaires d’État et ministres. Cette décision stratégique a été soigneusement pesée par Pastef, le parti de Sonko, selon Jeune Afrique.
D’une part, ces nominations sont justifiées par l’intégrité et les compétences avérées de ces officiers au cours de leurs carrières. D’autre part, elles sont également le fruit de leur opposition affichée au président sortant, Macky Sall.
Birame Diop, alors chef d’État-major général des Armées, avait exprimé son désaccord quant à la réquisition de l’armée lors des événements de mars 2021. Cette prise de position lui avait coûté sa destitution quelques jours plus tard. Quant à Jean Baptiste Tine, il avait fait partie du Conseil d’enquête sur Seydina Oumar Touré, un enquêteur dans l’affaire Adji Sarr. Tine s’était opposé à la radiation de Touré, mais ses recommandations ont été ignorées par Macky Sall, qui a finalement décidé de radier Touré et de destituer Tine, l’envoyant en Russie.
Ces antécédents de défiance envers le régime précédent ont joué en faveur de leur sélection dans le gouvernement de Sonko. Leur présence devrait également renforcer le message de renouveau et de rupture avec l’ancien régime que Sonko cherche à transmettre à travers sa nouvelle administration.
Prodac : La Cour des comptes blanchit Mame Mbaye Niang sur le scandale des 29 milliards
Après le rapport de la cour comptes sur les 1000 milliards du Covid 19, une source bien introduite, nous informe que la cour des comptes a encore produit en janvier 2024, un rapport définitif estampillé confidentiel relatif à la gestion du Prodac.
Accusé d’avoir volé 29 milliards du Prodac, les sénégalais auront la surprise de leur vie en découvrant que sur le rapport définitif de la cour comptes de janvier 2024, comportant 84 pages et 40 recommandations, le nom du ministre mame Mbaye Niang n’a été cité dans aucune des recommandations formulées.
La cour des comptes, un des piliers de la reddition des comptes en matière de transparence, de bonne gouvernance et de gestion des deniers publics, a passé au crible la gestion administrative, technique et l’ensemble des dépenses à date lié au Prodac.
En ce qui concerne la partie de la gestion financière et administrative du prodac, notre source nous indique que mame Mbaye Niang n’a ni été interpellé encore moins cité.
Toutefois, en tant que cosignataire du contrat technique, la cour a voulu obtenir des éclaircissements sur un point technique et a saisi mame mbaye à cet effet qui a produit une réponse .
Notre source indique que ces éclaircissements ne devraient même pas être signifiés à mame Mbaye Niang mais plutôt à une autre entité, acteur clé de la procédure de passation dudit marché.
Après autant d’accusations de détournement de 29 milliards des uns et de démentis des autres, les sénégalais peuvent se réjouir d’avoir désormais un rapport de la cour des comptes de janvier 2024 qui situe les responsabilités dans la gestion du Prodac.
Nous osons espérer que ce rapport sera mis à la disposition du public très prochainement pour donner corps à la bonne gouvernance et à la reddition des comptes.
Levée du Corps de Boun Abdallah Dionne : Ousmane Sonko rend un hommage émouvant à l’ancien Premier Ministre
Le Sénégal est en deuil après le décès de l’ancien Premier ministre, Mahammed Boun Abdallah Dionne, une figure politique respectée et estimée. Lors de la levée du corps à l’hôpital Principal de Dakar, Ousmane Sonko, nouveau ministre et acteur majeur de la scène politique sénégalaise, a pris part à cette cérémonie pour rendre un dernier hommage à son regretté collègue.
Malgré les divergences politiques qui peuvent les séparer, Ousmane Sonko a tenu à souligner les qualités humaines et professionnelles de Boun Abdallah Dionne. Dans un moment poignant, il a partagé des anecdotes personnelles sur sa relation avec l’ancien Premier ministre, notamment le souci qu’il a exprimé pour sa santé lors de rumeurs sur son décès.
La levée du corps a été marquée par la présence de nombreuses personnalités politiques et officielles, témoignant de l’estime et du respect envers Boun Abdallah Dionne. Ousmane Sonko a saisi cette opportunité pour transmettre les condoléances du gouvernement et souligner l’engagement du président Bassirou Diomaye Faye à organiser des funérailles dignes pour l’ancien Premier ministre.
Cette cérémonie a été l’occasion pour Ousmane Sonko de rendre un hommage émouvant à Boun Abdallah Dionne, mettant en lumière son dévouement envers le Sénégal. Bien que son départ laisse un vide dans la politique sénégalaise, son héritage et sa contribution resteront gravés dans les mémoires de ceux qui ont eu le privilège de le connaître et de travailler à ses côtés.
Absence remarquée de Ousmane Sonko à Ziguinchor pour la Prière de l’Aïd El Fitr
La ville de Ziguinchor, capitale du Sud du Sénégal, a vécu une fête de l’Aïd El Fitr marquée par l’absence notable de son maire, Ousmane Sonko. En raison de ses nouvelles fonctions en tant que Premier Ministre du gouvernement dirigé par le Président Bassirou Diomaye Faye, Sonko n’a pu se joindre à ses administrés pour la prière de la Korité.
Cependant, malgré son empêchement, Ousmane Sonko a tenu à adresser un message à la population de Ziguinchor à l’occasion de cette fête religieuse. Son adjoint, le Professeur Alassane Diédhiou, a été chargé de transmettre ce message officiel, assurant que Sonko viendrait rencontrer les habitants dès qu’il aurait un moment de libre pour discuter avec eux.
Les Ziguinchorois, qui ont élu Ousmane Sonko pour diriger leur commune, attendent avec impatience cette rencontre. Le Professeur Diédhiou a souligné que Sonko viendrait exprimer ses souhaits pour le développement de la ville et écouter les préoccupations des citoyens.
La passation de service à la primature suivie du premier Conseil des ministres a occupé Sonko et l’a empêché de se rendre à Ziguinchor pour la prière de l’Aïd El Fitr. Cette situation a été expliquée par son adjoint, qui a assuré que Sonko serait bientôt présent pour rencontrer ses concitoyens et discuter de l’avenir de la commune.
Bassirou Diomaye Faye lance son mandat : Proximité, Humilité et Ouverture au cœur du Premier Conseil des Ministres
Le président Bassirou Diomaye Faye a présidé son premier Conseil des ministres ce mardi, réunissant les membres du gouvernement sous la direction du Premier ministre Ousmane Sonko. Lors de cette réunion inaugurale, le chef de l’État a souligné l’importance du rôle, de l’action et de la responsabilité du gouvernement, soulignant la nécessité pour cette institution de respecter l’État de droit et les valeurs historiques panafricaines qui sous-tendent la vie en société, face aux exigences croissantes des citoyens.
Dans cette optique, le président a ordonné la tenue d’un Séminaire gouvernemental visant à cadrer de manière globale l’action de l’État, ainsi que le développement d’une stratégie de communication gouvernementale innovante. Cette stratégie se veut axée sur l’anticipation, la clarté des messages et surtout sur l’appropriation des politiques publiques par les citoyens, qui doivent demeurer au cœur des priorités gouvernementales.
S’inscrivant dans une démarche de proximité avec les populations, le chef de l’État a encouragé les membres du gouvernement à faire preuve d’humilité et de sobriété, à favoriser l’écoute et l’efficacité, dans un esprit de collégialité et de solidarité. Ces valeurs sont essentielles pour garantir la mise en œuvre réussie du projet porté par le gouvernement et soumis à l’approbation des Sénégalais.
Cette première réunion ministérielle sous la présidence de Bassirou Diomaye Faye marque le début d’une nouvelle ère, caractérisée par une gouvernance plus participative, transparente et centrée sur les besoins réels de la population.
Korité 2024 : Le Président Bassirou Diomaye Faye effectuera la prière à la grande mosquée de Dakar
Pour sa première célébration de l’Aïd El-Fitr en tant que président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye a décidé de perpétuer la tradition en effectuant la prière de Korité à la grande Mosquée de Dakar. Cette décision confirme l’attachement du nouveau chef de l’État aux valeurs républicaines et religieuses du pays.
Alors que les spéculations allaient bon train sur le lieu où le président Bassirou Diomaye Faye accomplirait sa prière de l’Aïd, la confirmation de sa présence à la grande Mosquée de Dakar apaise les interrogations et renforce le lien entre le chef de l’État et la communauté musulmane du Sénégal.
Traditionnellement, la grande Mosquée de Dakar est un lieu emblématique où les personnalités politiques et religieuses se rassemblent pour célébrer les grandes occasions religieuses telles que l’Aïd El-Fitr. La présence du président Faye à cet endroit symbolique témoigne de son engagement envers l’unité et la cohésion nationales, ainsi que son respect pour les traditions religieuses du pays.
En choisissant de participer à la prière de Korité à la grande Mosquée de Dakar, le président Bassirou Diomaye Faye envoie un message de solidarité et d’harmonie à tous les citoyens sénégalais, quelles que soient leurs origines ou leurs affiliations religieuses.
Cette décision marque le début d’un nouveau chapitre dans le mandat présidentiel de Bassirou Diomaye Faye, et témoigne de sa volonté de gouverner avec sagesse, compassion et inclusivité.
Assemblée nationale : Trois projets de loi en gestation du président Bassirou Diomaye Faye
Le président Bassirou Diomaye Faye tient son premier Conseil des Ministres ce mardi 9 avril 2024, accompagné de son gouvernement au Palais. Sous la coordination du Premier ministre, Ousmane Sonko, l’accent est mis sur la présentation prochaine de trois projets de loi à l’Assemblée Nationale, visant à renforcer l’action gouvernementale.
Le premier projet de loi propose de renforcer le pouvoir du Premier ministre, un pilier central de l’exécutif. Les deux autres projets envisagés concernent la suppression du Conseil Economique Social et Environnemental (CESE) ainsi que celle du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT).
La suppression du HCCT, étant une loi référendaire, pourrait rencontrer des obstacles. Le référendum constitutionnel de 2016 avait introduit la création du HCCT, en plus de l’élargissement des pouvoirs de l’Assemblée nationale. Son abolition nécessiterait donc le vote des 3/5ème des députés, soit 110 voix.
La coalition Yewwi Askan Wi, non majoritaire à l’Assemblée (56 députés), devrait donc solliciter le soutien d’autres groupes parlementaires, notamment celui de Liberté, Démocratie et Changement du PDS ainsi que de la coalition Benno Bokk Yakaar, pour faire adopter ces projets de loi constitutionnelle.
La position de l’Alliance pour la République, désormais dans l’opposition, reste à clarifier. Sa coopération pourrait faciliter l’adoption des réformes proposées par le gouvernement de Bassirou Diomaye Faye. L’issue de ces discussions politiques est scrutée avec attention par les observateurs.
Votre UNE des Quotidiens Sénégalais du MARDI 09 Avril 2024
Votre UNE des Quotidiens Sénégalais du MARDI 09 Avril 2024

























Le Dakarois Quotidien N°151 – du 09/04/24 – PASSATION DE SERVICE À LA PRIMATURE : Ousmane Sonko tresse des lauriers à Sidiki Kaba
Revivez la Semaine du Président de la République S.E.M Bassirou Diomaye Faye
Revivez la Semaine du président de la République S.E.M Bassirou Diomaye Faye
Lettre ouverte au Président Bassirou Diomaye FAYE : Espoir de lendemains meilleurs
Le dimanche 24 mars 2024, le Sénégal a ouvert une nouvelle page de son histoire démocratique. Comme un seul homme et en toute responsabilité, le peuple a voté massivement en faveur du changement, sur promesse de rupture. Rien ne sera et ne devra plus être comme avant. C’est en tout cas, le sens et la portée du message transmis par les Sénégalais. Je suis sûr Monsieur le Président que vous l’avez perçu dans toute sa quintessence.
Monsieur le Président de la République, le secteur économique de notre pays souffre. C’est un truisme que de le dire. Mais force est d’ajouter que l’artisanat est à l’agonie. Ce secteur vital de notre économie est laissé en rade, subissant mille et une contraintes qui freinent son développement.
Ces douze dernières années ont été les plus dures jamais vécues par les Sénégalais et depuis 2020, les choses se sont amplifiées. Les effets de la COVID 19 ont mis à genou l’économie nationale de façon générale et particulièrement ce secteur de l’artisanat, qui paradoxalement est une véritable niche, pourvoyeuse d’emplois. Malheureusement, les entreprises évoluant dans ce secteur, ont été obligées de supporter des charges salariales pendant que leur personnel était confiné et comble de malheur, elles ont été les grands oubliés de l’Etat. En effet, malgré le millier de milliards du fonds Force COVID 19, aucune d’elles n’en a bénéficié. Au moment où des secteurs comme le Tourisme, les Arts, le Sport, ont été servis à satiété ; une politique discriminatoire injustifiée, au détriment d’un secteur aussi stratégique.
Les engagements du régime précédent pour l’octroi de 15 % de la commande publique au secteur de l’artisanat, n’ont jamais été suivis d’effets. Laissées à elles-mêmes et soumises à une forte concurrence des entreprises étrangères, beaucoup d’entre elles ont été obligées de plier bagages et de mettre la clé sous le paillasson.
Le domaine industriel de la SODIDA, une initiative de la coopérative allemande, commence à devenir un domaine d’entreposage et d’emmagasinage. Face à la lourdeur des charges, beaucoup d’entreprises ont fait faillite, jetant des centaines de travailleurs dans la rue, au moment où la question de l’emploi des jeunes, est une grosse épine aux pieds des dirigeants étatiques. Ces hangars qui naguère, abritaient les entreprises, sont aujourd’hui louées à des commerçants pour entreposer des produits importés, annihilant toute volonté de survie des entreprises transformatrices de matières premières ; un goulot de plus pour le développement économique du pays.
La préférence nationale est devenue juste un slogan. A titre d’exemple monsieur le Président, je vous citerai un service que vous connaissez bien, la Direction générale des Impôts et Domaine (DGID). Ce fleuron de notre économie est équipé de mobiliers importés, au moment où les entreprises locales qui produisent du mobilier de qualité supérieure, sont privées de marchés et sont astreintes au paiement des impôts. Cet exemple est valable pour tous les démembrements de l’Etat. Les entreprises locales qui utilisent une main d’œuvre locale, paient leurs impôts et réinvestissent dans le pays, sont toujours des laissés pour compte.
Monsieur le Président de la République des entreprises comme la nôtre qui ont investi dans l’achat de terrains, pour promouvoir le secteur de la menuiserie par l’ouverture d’un Centre de Formation aux métiers du bois, se sont vues spolier de leurs terres par l’Etat. En effet, nous avions acquis sur fonds propres à Diamniadio, un site pour abriter ledit centre, mais l’Etat n’a rien fait d’autre que de nous déguerpir au profit d’entreprises étrangères. Depuis lors, nous courons derrière un hypothétique recasement qu’il nous avait promis, sans aucune indemnisation ni précision sur la nouvelle zone d’affectation. Nos terrains abritent aujourd’hui, la zone industrielle de Diamniadio et certaines entreprises étrangères. Un tel comportement plombe notre volonté de moderniser notre apport à la formation du capital humain.
Quelles explications à toutes ces tracasseries dont nous sommes victimes ? Aucune, sinon que nous ne sommes pas du même bord politique. Une position que nous avons assumée et que nous continuons d’assumer du reste. Or, il est important que les gens comprennent aujourd’hui, que pour construire ce pays, nous devons tous nous mettre au-dessus de tous les clivages ; qu’ils soient politiques, confessionnels, confrériques… C’est tout le sens de la rupture auquel nous aspirons et que nous espérons.
Cette rupture que vous prônez et qui a fait naître cet immense espoir chez la population, devra, à notre avis, s’appuyer sur une relance du secteur de la menuiserie industrielle afin de lui permettre de mieux tenir sa place dans le développement économique, la lutte contre le chômage et les questions d’employabilité de la jeunesse sénégalaise.
Le projet du mobilier national, l’octroi de quitus fiscal permettant aux entreprises de postuler pour les appels d’offre, l’ancrage de la préférence nationale, sont des leviers essentiels qu’il faudra actionner, pour un mieux-être des entreprises sénégalaises.
M. Cheikh GUEYE
Président Directeur général de la
Menuiserie Khadimou Rassoul (MKR)
Un Nouveau Chapitre pour le Sénégal : Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye prennent les rênes du pouvoir
Dans une transition politique historique, Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye ont officiellement assumé leurs fonctions à la tête du gouvernement sénégalais ce lundi 08 avril. Cette prise de pouvoir marque la fin d’une période d’opposition marquée par des défis, notamment des incarcérations, mais aussi le début d’une nouvelle ère remplie d’espoirs et de promesses.
L’avocat français Juan Branco, qui a représenté Ousmane Sonko lors de ses démêlés juridiques, a publié un message poignant, mêlant espoir et vigilance, envers cette nouvelle administration. Dans son texte, Branco souligne les défis auxquels Sonko et Faye sont confrontés, notamment la fatigue accumulée après des mois de détention et d’isolement. Malgré cela, il exprime également l’importance de l’engagement et de la détermination de ces nouveaux dirigeants à conduire le Sénégal vers un avenir meilleur.
La transition vers ce nouveau gouvernement est observée avec une grande attention tant au niveau national qu’international. Les attentes sont élevées, avec l’espoir que Sonko et Faye puissent apporter des changements significatifs dans des domaines cruciaux tels que la lutte contre la corruption, la promotion de la souveraineté nationale et le développement économique.
Dans son message, Juan Branco souligne également la fermeté de leur engagement envers la population sénégalaise et met en garde contre toute tentative de trahison. Il affirme que la vigilance sera de mise et que ceux qui dévieraient de la voie de l’intégrité seront traités avec la plus grande sévérité.
Alors que le Sénégal entre dans une nouvelle ère politique, marquée par l’arrivée au pouvoir de Sonko et Faye, l’espoir et l’optimisme sont de mise. Cependant, ces nouveaux dirigeants sont également confrontés à d’immenses défis. Seul le temps dira si ils seront à la hauteur des attentes placées en eux, mais pour l’instant, le peuple sénégalais regarde avec anticipation et espère un avenir meilleur sous leur gouvernance.
Une Voix pour l’Égalité : Maimouna Ndour Faye critique le manque de représentation féminine dans le gouvernement
Maimouna Ndour Faye, figure éminente des médias sénégalais et patronne de la 7TV, a exprimé sa déception quant au faible nombre de femmes nommées dans le nouveau gouvernement. Dans une déclaration franche et directe, elle a souligné le potentiel inexploité des femmes sénégalaises dans le leadership et l’administration du pays.
La critique de Maimouna Ndour Faye met en lumière une réalité importante : malgré les progrès réalisés en matière d’égalité des sexes, il reste encore beaucoup à faire pour assurer une représentation équilibrée des femmes dans les postes de pouvoir et de décision. Alors que le Sénégal regorge de femmes talentueuses et compétentes, leur sous-représentation dans le gouvernement est une source de préoccupation légitime.
Elle appelle directement le Président Bassirou Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko à faire des efforts pour remédier à cette situation. Elle souligne également que le Président sortant, Macky Sall, avait fait preuve d’une meilleure reconnaissance du talent féminin dans son gouvernement précédent.
Le nouveau gouvernement compte seulement quatre femmes sur un total de trente ministres et secrétaires d’État, ce qui est considéré comme insuffisant pour refléter pleinement la diversité et la richesse des compétences féminines disponibles dans le pays. Maimouna Ndour Faye appelle donc à une action proactive pour promouvoir l’égalité des sexes et assurer une représentation équilibrée dans toutes les sphères de la gouvernance.
En fin de compte, la voix de Maimouna Ndour Faye résonne comme un appel à l’action pour une société plus inclusive et égalitaire, où les femmes peuvent pleinement contribuer à façonner l’avenir du pays. Son plaidoyer met en lumière l’importance de la diversité et de la représentation dans la construction d’une gouvernance efficace et légitime.
Un Appel à l’Unité Nationale : Sonko exhorte à soutenir le Président Diomaye Faye
Dans un geste de solidarité nationale et de responsabilité collective, le Premier ministre Ousmane Sonko a appelé les membres de la coalition au pouvoir à soutenir pleinement le nouveau Président, Diomaye Faye, tout au long de son mandat. Cette invitation à l’unité survient lors d’une récente réunion entre le Président Faye et les leaders de la coalition qui ont joué un rôle crucial dans sa victoire électorale.
Sonko a partagé une leçon tirée de son expérience précédente au sein du gouvernement, soulignant la solitude qui a souvent accompagné le Président sortant, Macky Sall. Il a noté que beaucoup de ceux qui étaient auparavant autour du Président n’étaient motivés que par des intérêts personnels, laissant le dirigeant confronté à des décisions difficiles et à des pressions constantes.
Afin d’éviter cette solitude et d’assurer une gouvernance efficace, Sonko a insisté sur la nécessité d’une approche collective envers le leadership du Président Faye. Il a souligné que le soutien de la coalition ne devrait pas être perçu comme un moyen de contrôle, mais plutôt comme une démonstration d’engagement envers le bien-être du pays et de ses citoyens.
L’appel de Sonko résonne comme une invitation à transcender les clivages politiques et à mettre de côté les intérêts partisans au profit de l’intérêt national. Il reconnaît que la gestion d’un État exige une collaboration et une solidarité entre toutes les parties prenantes, et il encourage chacun à jouer son rôle dans la construction d’un avenir meilleur pour le Sénégal.
En fin de compte, l’appel à l’unité nationale lancé par Sonko réaffirme l’importance de la cohésion et de la coopération dans la réalisation des objectifs communs du pays. C’est un rappel que, ensemble, les Sénégalais peuvent surmonter les défis et réaliser le plein potentiel de leur nation.
Un nouveau Président, une nouvelle ère : Diomaye Faye prend ses fonctions
Le Sénégal entre dans une nouvelle ère avec l’élection et l’investiture de son nouveau président, Diomaye Faye. Après une victoire écrasante lors des élections présidentielles du 24 mars, où il a remporté près de 55% des suffrages dès le premier tour, le nouveau chef de l’État a officiellement pris ses fonctions. Dans un discours adressé à ses partisans et alliés politiques lors d’une réunion de coalition, le Président Faye a exprimé sa reconnaissance et son engagement envers le peuple sénégalais.
La réunion de coalition a été l’occasion pour le Président Faye de remercier chaleureusement tous ceux qui ont contribué à sa victoire électorale. Il a souligné le dévouement et les efforts consentis par ses alliés tout au long de la campagne électorale. Reconnaissant que certains ont investi davantage de ressources que d’autres, il a salué leur engagement en faveur du changement et de l’espoir pour le Sénégal.
Cependant, le Président Faye a également souligné les défis qui attendent le pays. Il a décrit la situation actuelle comme étant « déplorable » et a insisté sur la nécessité de faire preuve d’une grande responsabilité et d’une attitude exemplaire pour répondre aux attentes du peuple. Il a souligné que le travail à accomplir est immense et que la coalition devra s’atteler à structurer ses efforts pour relever les défis à venir.
Parmi les priorités du nouveau gouvernement figurent la mise en place de réformes importantes pour répondre aux besoins du pays. Le Président Faye a souligné l’importance de travailler en étroite collaboration avec les différents acteurs politiques et sociaux pour garantir une transition en douceur vers cette nouvelle ère.
Alors que le Sénégal entre dans cette nouvelle phase de son histoire politique, le Président Diomaye Faye affirme son engagement envers le peuple et son dévouement à faire avancer le pays sur la voie du progrès et du développement.
Passation de service à la Primature : Ousmane Sonko succède à Sidiki Kaba dans la sobriété
Ce lundi marque un tournant majeur à la Primature avec la passation de service entre le nouveau Premier ministre, Ousmane Sonko, et son prédécesseur, Sidiki Kaba. L’événement, annoncé sobre, se déroule dans un contexte marqué par l’arrivée d’une nouvelle équipe gouvernementale et la transition vers une nouvelle ère politique.
Selon les informations relayées par la RTS, la cérémonie de passation de service se déroule actuellement à la Primature, sous un caractère essentiellement technique. Dans un souci de continuité administrative et de respect des procédures, cette transition se déroule dans la plus grande sobriété, témoignant ainsi du sérieux et du professionnalisme des institutions.
Cette passation de service revêt une importance particulière alors que le pays traverse des moments de changement et d’attentes diverses de la part de la population. Ousmane Sonko, nouvellement nommé Premier ministre, prend ainsi les rênes du gouvernement avec la responsabilité de conduire les affaires de l’État et de répondre aux défis qui se présentent.
La transition à la Primature est le premier acte d’une série de passations qui auront lieu dans les jours à venir, avec notamment celle du ministère de l’Intérieur prévue plus tard dans la journée. Ces événements marquent le début d’une nouvelle phase dans la gouvernance du pays, avec l’arrivée de nouveaux visages et de nouvelles idées pour répondre aux aspirations et aux besoins de la population.
Dans ce contexte de transition politique, la passation de service à la Primature symbolise le passage du flambeau d’une génération à une autre, avec l’engagement ferme de servir le pays et de travailler pour son développement et son progrès.
ANNULATION DES DÉCRETS DU DERNIER CSM: L’ancien régime met en garde Diomaye Faye
Le président de République, Bassirou Diomaye Faye, a pris une mesure forte dès le début de son mandat en annulant les nominations faites par son prédécesseur, Macky Sall lors du dernier Conseil supérieur de la magistrature (CSM).
Cette décision a été perçue comme une violation par l’Alliance pour la République (APR). Le Pr Ismaïla Madior Fall, lui, évoque de probables contentieux juridiques.
Dans son communiqué de presse adressé au président Bassirou Diomaye Faye, le Secrétariat exécutif national de l’APR (SEN) a exprimé son mécontentement quant à l’annulation des dernières nominations faites par Macky Sall lors du dernier Conseil supérieur de la magistrature. Cette réaction suggère que l’APR considère cette décision comme problématique ou non conforme aux attentes. Les détails spécifiques de la déclaration du SEN pourraient donner un aperçu plus clair de leurs préoccupations et de leurs positions sur cette question. « Il ne peut inaugurer son magistère par une violation flagrante du statut des Magistrats suite au décret voulant rapporter la nomination du Premier Président de la Cour Suprême dans les règles de droit en Conseil supérieur de la Magistrature», peut-on lire sur la note parvenue au Dakarois Quotidien.
L’ex-parti présidentiel, maintenant dans l’opposition, insiste sur l’importance du respect du principe de continuité de l’État et de l’inamovibilité des Magistrats, en particulier en ce qui concerne le Président de la communauté judiciaire, qui est le Premier président de la Cour Suprême. Cette demande met en évidence l’importance de maintenir la stabilité et l’indépendance de la magistrature pour assurer le bon fonctionnement du système judiciaire.
Le Secrétariat exécutif national (SEN) de l’APR félicite tout de même le Président Diomaye Faye pour sa brillante victoire au premier tour et lui souhaite une pleine réussite dans ses fonctions. Cependant, l’APR prend acte de la mise en place du gouvernement dirigé par le Premier Ministre Ousmane Sonko. Il rappelle que les promesses doivent être suivies d’effet afin de répondre aux attentes des populations. Cela souligne l’importance pour le gouvernement de prendre des mesures concrètes pour répondre aux besoins et aux aspirations des citoyens.
AVIS DU Pr ISMAÏLA MADIOR FALL
Quant au professeur en droit et ancien garde des Sceaux, il a expliqué que cette mesure d’abrogation devrait être retirée et réexaminée pour plusieurs raisons.
Tout d’abord, il a précisé que les mesures abrogées ont été prises en conformité avec la loi, lors d’une session en présentiel du CSM, alors qu’une consultation à domicile aurait été suffisante. De plus, ces décrets ont été pris avant le 2 avril 2024, pendant le mandat du président précédent. Ce qui, selon lui, ne constitue pas une violation de la constitution.
Il a également fait valoir que le président de la République a le droit, en vertu du parallélisme des formes, de revenir sur ces nominations en nommant d’autres magistrats aux mêmes postes lors d’une nouvelle session du CSM.
En ce qui concerne le premier Président de la Cour suprême, l’ancien ministre de la Justice a estimé qu’il est juridiquement impossible de revenir sur sa nomination. Ceci créerait, à l’en croire, un précédent dangereux et ouvrirait la voie à des contentieux juridiques.
Il a terminé par avancer qu’il serait préférable de retirer ces décrets d’annulation de l’ordonnancement juridique pour éviter tout recours juridique ultérieur et pour préserver l’intégrité de la magistrature suprême.
Passation de service à la Primature : Ousmane Sonko succède à Sidiki Kaba dans la plus grande sobriété
La transition démocratique au sein du gouvernement sénégalais atteint un moment crucial avec la passation de service prévue ce lundi à la Primature. Ousmane Sonko, le nouveau chef du gouvernement, s’apprête à prendre les rênes de son nouveau poste, succédant ainsi à Sidiki Kaba. Selon une source institutionnelle citée par la RTS, cet événement symbolique est programmé pour le 8 avril 2024 à 10 heures.
La passation de service, selon la même source, sera marquée par une atmosphère de sérieux et de retenue, reflétant ainsi le respect des procédures et des responsabilités inhérentes à cette transition. Elle sera caractérisée par sa nature essentiellement technique, mettant l’accent sur la continuité administrative et la transmission efficace des dossiers et des informations clés.
Cette passation de service à la Primature marque le début d’une nouvelle ère sous la direction d’Ousmane Sonko, qui s’engage à poursuivre les missions de gouvernance avec détermination et responsabilité. Sonko, figure politique émergente, est appelé à relever les défis et à saisir les opportunités pour répondre aux attentes de la population et promouvoir le développement socio-économique du pays.
Par ailleurs, cette transition à la Primature n’est que le début d’une série de passations de pouvoir au sein du gouvernement sénégalais. En effet, d’autres ministères, dont celui de l’Intérieur, seront également concernés par des changements similaires. La passation du ministère de l’Intérieur est prévue le même jour à 16 heures, soulignant ainsi la coordination et l’organisation rigoureuse de ce processus de transition à grande échelle.
En somme, la passation de service à la Primature marque un moment crucial dans la vie politique du Sénégal, symbolisant la continuité démocratique et la stabilité institutionnelle du pays. Elle témoigne également de la volonté des autorités de garantir une transition en toute transparence et dans le respect des normes démocratiques, tout en assurant la pérennité des politiques gouvernementales pour le bien-être et le progrès de la nation sénégalaise.
Votre UNE des Quotidiens Sénégalais du LUNDI 08 Avril 2024
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Le Dakarois Quotidien N°150 – du 08/04/24 – ANNULATION DES DÉCRETS DU DERNIER CSM: L’ancien régime met en garde Diomaye Faye
Passation de service à la Primature : Ousmane Sonko succède à Sidiki Kaba
Dans un tournant politique majeur pour le Sénégal, Ousmane Sonko a été nommé Premier ministre, succédant ainsi à Sidiki Kaba, lors d’une passation de service prévue pour le lundi 8 avril 2024 à 10 heures à la Primature. Cette nomination marque le début d’un nouveau chapitre dans l’histoire politique du pays, avec des implications significatives pour l’avenir de la nation sénégalaise.
À 49 ans, Ousmane Sonko est une figure politique émergente au Sénégal. Originaire de la région de Ziguinchor, il a fait ses études en administration et en finances avant de devenir un expert fiscal reconnu. Sonko a ensuite embrassé une carrière politique, fondant en janvier 2014 les Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef), un parti politique axé sur la lutte contre la corruption, la promotion de l’éthique dans la gouvernance et la défense des intérêts du peuple sénégalais.
La nomination d’Ousmane Sonko en tant que Premier ministre est survenue le jour même de l’investiture du nouveau président, Bassirou Diomaye Faye. Cette décision a été suivie rapidement par la publication de la composition de son équipe gouvernementale, comprenant 25 ministres et cinq secrétaires d’État, témoignant de la rapidité avec laquelle le nouveau gouvernement a été formé.
Ousmane Sonko a clairement articulé son programme politique autour de la souveraineté, de la justice sociale et de la prospérité pour tous les citoyens sénégalais. Il s’est engagé à lutter contre la corruption, à promouvoir une gouvernance éthique et transparente, et à défendre les intérêts du peuple sénégalais dans toutes ses actions gouvernementales.
La passation de service à la Primature sera un moment de transition technique, mais elle revêt également une grande importance symbolique. Elle marque le début de la nouvelle administration sous la direction d’Ousmane Sonko, avec des attentes élevées quant aux politiques et aux actions à venir. Parmi les défis qui attendent le nouveau gouvernement figurent la gestion de l’économie, la lutte contre la pauvreté et l’inégalité, ainsi que la promotion du développement durable et de la stabilité politique.
La nomination d’Ousmane Sonko en tant que Premier ministre ouvre un nouveau chapitre dans l’histoire politique du Sénégal. Avec son engagement en faveur de la souveraineté, de la justice sociale et de la prospérité, Sonko promet de guider le pays vers un avenir meilleur. Les attentes sont grandes, mais avec détermination et engagement, le nouveau gouvernement sous la direction de Sonko pourrait apporter des changements significatifs pour le peuple sénégalais.
Seydou Gueye met en garde Diomaye et Sonko » boudé assemblée gno am majorité, soudé communes yi ak institutions yi ñofa eupelé , kone waruñu tite «
Seydou Gueye met en garde Diomaye et Sonko » boudé assemblée gno am majorité, soudé communes yi ak institutions yi ñofa eupelé , kone waruñu tite «
[Vidéo] Abdou Karim Gueye Détruit Pastef « Amouniou patriostisme, Ay Talibé SONKO Laniou »
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Gouvernement : Les féministes en colère contre le nouveau régime
Le Réseau des féministes du Sénégal a réagi vivement à la composition du premier gouvernement du président élu Bassirou Diomaye Faye, exprimant sa consternation face au faible nombre de femmes représentées. Sur une liste de 25 ministres et 5 secrétaires d’État, seules 4 femmes ont été incluses, ce qui représente seulement 13,33% du gouvernement.
Les féministes ont souligné que l’absence de parité dans ce gouvernement, présenté comme un gouvernement de rupture et d’inclusion, est décevante et ne reflète pas la réalité démographique du Sénégal, où les femmes représentent la moitié de la population. Elles ont rappelé les engagements internationaux du Sénégal en matière d’égalité des sexes, notamment la ratification de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples relatif aux droits des femmes en Afrique (Maputo) et les dispositions de la Constitution sénégalaise reconnaissant l’égalité entre hommes et femmes.
Le changement de nom du ministère de la Femme, de la Famille, de l’Équité et du Développement communautaire en Ministère de la Famille et des Solidarités a également suscité des préoccupations. Les féministes craignent que cette modification n’entraîne une diminution de l’engagement envers l’égalité des sexes et ne compromette les droits des femmes. Elles espèrent que la direction de l’équité et de l’égalité de genre sera maintenue, soulignant l’importance d’une représentation adéquate des femmes au sein du gouvernement.
Le Réseau des féministes du Sénégal insiste sur la nécessité d’une participation accrue des femmes aux postes gouvernementaux, affirmant que cela est indispensable pour approfondir le processus démocratique et garantir une représentation équilibrée de la société. Elles appellent à des mesures concrètes pour concrétiser les droits des femmes et s’opposent à toute politique qui marginaliserait leurs voix et compromettrait leurs droits.
Lutte contre le tabagisme chez les jeunes : Le Forum civil interpelle le nouveau gouvernement
Au cours d’un atelier avec les journalistes en santé population et développement ce samedi, Birahime Seck a élevé la voix pour interpeller le nouveau gouvernement sénégalais dirigé par Ousmane Sonko sur la question préoccupante de l’usage du tabac dans le pays. Le coordonnateur du Forum civil a souligné l’urgence d’agir en taxant ce produit afin de protéger la jeunesse sénégalaise.
Birahime Seck a mis en lumière le fait que de nombreux experts ont souligné le danger croissant que représente le tabagisme pour la jeunesse sénégalaise, tant sur le plan figuré que propre. Il a souligné l’importance pour le gouvernement de placer la jeunesse au centre de ses priorités et d’adopter des mesures efficaces pour lutter contre ce fléau. Parmi ces mesures, il recommande vivement d’instaurer une taxe sur les produits du tabac.
Malgré les progrès réalisés grâce aux efforts des associations dans la lutte contre le tabagisme, Birahime Seck estime qu’il reste encore beaucoup à faire. C’est pourquoi le Forum civil souhaite contribuer à ce combat en proposant la taxation du tabac comme une mesure dissuasive. En augmentant le prix du tabac, non seulement il deviendrait moins accessible aux jeunes, mais cela permettrait également de générer des revenus supplémentaires pour lutter contre le tabagisme.
Le coordonnateur du Forum civil souligne également l’impact financier considérable des soins prodigués aux personnes victimes de cancers liés au tabagisme. Il appelle ainsi le gouvernement à interdire de manière définitive le tabagisme dans les lieux publics, en plus de la recommandation sur la taxation du tabac.
En conclusion, le Forum civil se positionne comme un allié déterminé dans la lutte contre le tabagisme au Sénégal, appelant le gouvernement à prendre des mesures audacieuses pour protéger la santé et le bien-être de la jeunesse du pays.
[ Vidéo ] – Le MFDC persiste : revendications pour l’indépendance de la Casamance
Le Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC) a récemment renouvelé ses appels à la communauté nationale et internationale, affirmant son engagement envers la quête de l’indépendance de la région sud du Sénégal. Dans une déclaration poignante adressée aux Sénégalais et au monde entier, le MFDC a exposé les enjeux cruciaux qui persistent dans le conflit casamançais, mettant en lumière les défis rencontrés par les habitants de la Casamance depuis des décennies.
Au cœur de leur message réside une lutte pour la reconnaissance de l’histoire et des droits des Casamancés. Le MFDC a rappelé avec fermeté que la Casamance ne fait pas partie intégrante du territoire sénégalais par choix propre, mais plutôt par des accords coloniaux datant du 19ème siècle. En soulignant ce point, le mouvement a mis en avant le fait que la Casamance n’est pas une simple province sénégalaise, mais une entité avec une histoire, une identité et des aspirations propres.
Le MFDC a également dénoncé les tactiques répressives employées par le gouvernement sénégalais pour étouffer les revendications d’indépendance. Les arrestations arbitraires, les détentions prolongées et les actes de torture infligés à ceux qui osent exprimer leur désir de liberté ont été fermement condamnés par le mouvement, qui a souligné que ces actions ne feront que renforcer la détermination du peuple casamançais.
Dans son discours, le MFDC a appelé à un dialogue authentique et inclusif avec le gouvernement sénégalais, exigeant le respect des droits fondamentaux des Casamancés. Le mouvement a exprimé sa volonté de parvenir à une solution pacifique et durable au conflit, mais a insisté sur le fait que cela ne serait possible que si le Sénégal reconnaît les aspirations légitimes du peuple casamançais et s’engage sérieusement dans des pourparlers de paix.
Enfin, le MFDC a lancé un appel pressant à la communauté internationale pour qu’elle prenne conscience de la situation en Casamance et qu’elle soutienne les efforts visant à résoudre le conflit de manière juste et équitable. Le mouvement a affirmé sa détermination à poursuivre la lutte pour l’indépendance de la Casamance jusqu’à ce que justice soit faite et paix soit obtenue pour les habitants de la région.

Moussa Balla Fofana, Ministre de l’Urbanisme, des Collectivités Territoriales et de l’Aménagement du Territoire : Un engagement envers un avenir reluisant pour le Sénégal
Suite à sa nomination en tant que Ministre de l’Urbanisme, des Collectivités Territoriales et de l’Aménagement du Territoire, Moussa Balla Fofana a exprimé sa gratitude envers le Chef de l’Etat, le Chef du gouvernement et le peuple sénégalais. Avec humilité, il a pris conscience de la grande confiance placée en lui et des attentes qui en découlent.
« C’est avec humilité que nous mesurons la grande confiance et les nombreuses attentes placées en notre modeste personne. Je réitère mon engagement et ma détermination à servir le peuple sénégalais avec passion, abnégation et efficience », a déclaré le nouveau ministre.
Dans son message de reconnaissance, Moussa Balla Fofana a exprimé sa profonde gratitude envers le président de la République, SEM Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, ainsi que le Premier Ministre, M. Ousmane SONKO, pour l’honneur immense que représente sa nomination. Il a appelé tous les acteurs du secteur à une collaboration active pour relever les défis qui les attendent.
« Nos territoires doivent traduire l’expression de notre ingéniosité, de notre cohésion mais surtout les lieux du développement durable et du plein épanouissement des populations. Ainsi nous tendons la main à l’ensemble des acteurs d’ici et de la diaspora pour bâtir ensemble des cadres de vie reluisants, sécurisés et dynamiques. Que Dieu bénisse le Sénégal, et que notre unité soit toujours notre force », a-t-il ajouté.
Cette déclaration souligne l’engagement de Moussa Balla Fofana envers la construction d’un avenir meilleur pour le Sénégal, où le développement durable, la sécurité et l’épanouissement des populations occupent une place centrale.
Ousmane Sonko, Premier Ministre : « Ce que je retiens du régime de Macky Sall, c’est la … »
Lors d’une intervention remarquée lors d’une rencontre entre les leaders de la coalition Diomaye President, le Premier Ministre Ousmane Sonko a adressé un discours poignant à son auditoire, selon une publication de Dakaractu. Il a souligné les défis et les responsabilités qui incombent au nouveau gouvernement.
Au lendemain de la publication de la liste des membres du gouvernement, le président de la République Bassirou Diomaye Faye, précédemment candidat de la grande coalition de l’opposition, a assisté à cette réunion à laquelle tous les leaders ont pris part. Ousmane Sonko a d’abord rappelé l’obligation des membres du gouvernement d’assister les Sénégalais, soulignant que c’est au peuple que les politiciens sont redevables.
Évoquant le précédent régime, Ousmane Sonko a interpellé les leaders de la coalition Diomaye President sur l’importance d’assister le président de la République actuel. Il a souligné la nécessité d’accompagner sérieusement et avec conviction le Président Bassirou Diomaye Faye, rappelant l’exigence pour tous ceux qui entourent le Président de l’aider dans sa tâche.
Le Premier Ministre a rappelé les derniers moments du règne de Macky Sall, évoquant la solitude ressentie par ce dernier. « Tant qu’il avait des choses à distribuer, il voyait des gens faire semblant autour de lui », a-t-il déclaré. Il a insisté sur le fait que leur défi actuel est de travailler pour que cette solitude ne soit jamais ressentie par le Président Bassirou Diomaye Faye.
Pour Sonko, il est impératif de témoigner au Président Bassirou Diomaye Faye le respect dû à son statut de chef d’État, tout en lui fournissant un soutien et des conseils avisés pour le bien de la nation. Il a également souligné que leurs adversaires politiques n’ont pas abandonné, incitant ainsi le gouvernement à redoubler d’efforts pour mener à bien sa mission à la tête de l’État.
Dans ce contexte, l’appel de Sonko à l’unité et à la solidarité autour du Président Bassirou Diomaye Faye semble être une réponse directe aux défis auxquels est confronté le nouveau gouvernement.
ÉCARTÉS PAR MACKY POUR LEURS « ACCOINTANCES » AVEC SONKO: Le général Tine et le procureur Diagne, gratifiés dans le nouveau gouvernement
Le chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye, et le chef de Gouvernement, Ousmane Sonko, reste dans la dynamique de se débarrasser des spectres laissés par le régime sortant. C’est ainsi que des profils écartés par celui-ci ont été à nouveau enrôlés dans le nouveau Gouvernement.
La nomination par le Premier ministre Ousmane Sonko de personnalités respectées et expérimentées, telles que les généraux Birame Diop et Jean Baptiste Tine, ainsi que le procureur Ousmane Diagne, pour occuper des postes ministériels clés, souligne l’importance accordée à l’expérience et à la réputation dans le nouveau gouvernement. Par ailleurs, il ressort de cette formation du tout premier Gouvernement du président de la République, Bassirou Diomaye Faye, le retour aux affaires d’importantes personnalités étatiques écartées par le chef de l’Etat sortant, Macky Sall.
Certainement, la réintégration de Jean Baptiste Tine et Ousmane Diagne dans le gouvernement Sonko 1, est significative, car ils avaient été démis de leurs fonctions en raison d’implications dans des affaires judiciaires liées à Ousmane Sonko lorsqu’il était dans l’opposition.
Cette décision indique une volonté du 5e président de la République et de chef de Gouvernement de reconnaître leur expérience et leurs rôles joués dans la litte de Pastef.
La réintégration du général de corps d’armée Jean Baptiste Tine dans un rôle clé dans le domaine de la sécurité publique est notable, surtout après avoir été envoyé à la retraite prématurément en raison d’une enquête liée à l’affaire Sweet Beauté. Cette décision suggère une confiance renouvelée en ses compétences et en son expérience dans le domaine de la sécurité. Ceci reflète aussi la volonté du gouvernement de garantir une gestion efficace et sécuritaire des affaires publiques.
La nomination du procureur Ousmane Diagne en tant que ministre de la Justice et Garde des Sceaux dans le nouveau gouvernement met en avant sa réputation de rigueur et d’intégrité. Malgré sa destitution par le président précédent, Macky Sall, et son remplacement par Serigne Bassirou Gueye, cette nomination suggère que le gouvernement actuel reconnaît ses compétences et son engagement envers l’application stricte de la loi. Son expérience en tant que procureur de la République laisse entrevoir une continuation de cette rigueur dans son nouveau rôle ministériel, ce qui pourrait contribuer à renforcer le système judiciaire et à promouvoir l’état de droit au Sénégal.
L’avocat général de la Cour Suprême a en effet refusé de condamner Ousmane Sonko sur la requête en annulation de la décision du juge Sabassy Faye, qui avait été déposée par l’agent judiciaire de l’État. Le procureur général a recommandé le rejet de cette requête en raison de plusieurs irrégularités dans le dossier, le déclarant non fondé. Cette décision met en exergue l’importance du respect des procédures légales et de l’application impartiale de la loi, renforçant ainsi la confiance dans le système judiciaire.
S’agissant du Général Birame Diop, il est important de clarifier les fausses rumeurs le concernant, notamment celles qui circulaient lors des manifestations de 2021. En réalité, le général n’a pas été démis de ses fonctions à cette époque. Il était plutôt parti à la retraite. Avant cela, il a occupé des postes de haute responsabilité en tant que conseiller militaire du département des opérations de paix de l’ONU. Il dispose, entre autres, d’une expérience significative en tant que chef adjoint puis chef des opérations aériennes de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUC) entre 2002 et 2003. En outre, il a été déployé auprès de l’ONG Partners for Democratic Change de 2009 à 2013. Le général Diop est un professionnel aguerri, diplômé de prestigieuses institutions telles que l’École royale de l’air du Maroc, l’Université de l’air des États-Unis et l’École de guerre de la France. Il maîtrise également couramment l’anglais et le français, ce qui souligne son profil international et son expertise dans le domaine militaire.
Ce magistrat de haut rang aura une tâche ardue mais cruciale devant lui. Sa connaissance aiguë du système judiciaire lui confère les compétences nécessaires pour mettre en œuvre les réformes judiciaires proposées dans le projet largement présenté aux Sénégalais. En tant que ministre de la Justice et Garde des Sceaux, il sera chargé de veiller à ce que ces réformes soient mises en place de manière efficace et équitable. Cela nécessitera une gestion rigoureuse et une coordination avec les différentes institutions judiciaires et les parties prenantes concernées. Son expérience et son engagement envers l’intégrité du système judiciaire seront essentiels pour garantir l’accès à la justice et le respect des droits fondamentaux des citoyens.
Ces choix reflètent l’engagement du Gouvernement envers une gouvernance efficace et intègre au Sénégal. De telles nominations démontrent une volonté de renforcer la sécurité et l’intégrité du système judiciaire au Sénégal. En choisissant des personnalités respectées et expérimentées, telles que les généraux Birame Diop et Jean Baptiste Tine ainsi que le procureur Ousmane Diagne, le président Bassirou Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko montrent leur engagement envers une gouvernance efficace et transparente. Les nominations de ces figures clés dans les domaines de la sécurité et de la justice reflètent une orientation vers une approche rigoureuse et déterminée pour faire face aux défis actuels et mettre en œuvre des réformes importantes. En consolidant ces secteurs cruciaux, le gouvernement cherche à garantir la stabilité et le développement durable du pays.
Le chef de l’État, par le biais de son chef de Gouvernement, a également insisté sur la nécessité pour ses ministres, à qui, il accorde un mois, pour démissionner de leurs postes électifs afin d’éviter les conflits d’intérêts.
Lutte contre la corruption : dix rapports attendus sur la table de Bassirou Diomaye Faye
Dans une démonstration claire de son engagement à éradiquer la corruption et les détournements de fonds publics, le président sénégalais nouvellement élu, Bassirou Diomaye Faye, a promis de mettre à disposition du public dix rapports produits par divers organes de contrôle. Ces rapports, élaborés par des entités telles que l’Inspection générale d’État (IGE), l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (OFNAC) et la Cour des comptes, révéleront les possibles actes de corruption et de malversation qui ont eu lieu sous le régime précédent.
Selon les informations fournies par le quotidien Source A, ces rapports, pour la plupart en attente depuis plusieurs années, ont été produits par différentes institutions chargées de surveiller les activités gouvernementales et de contrôler l’utilisation des fonds publics. L’IGE devrait rendre publics quatre rapports couvrant les années 2020 à 2023, tandis que l’OFNAC devrait publier deux rapports pour les années 2022 et 2023. De plus, la Cour des comptes, qui n’a pas rendu de rapports depuis cinq ans, devrait également présenter ses conclusions.
Cette initiative marque un tournant significatif dans la lutte contre la corruption au Sénégal, affirmant l’engagement ferme du nouveau gouvernement à promouvoir la transparence et la responsabilité dans la gestion des affaires publiques. En mettant en lumière les pratiques présumées de corruption et de malversation, ces rapports permettront non seulement de tenir les responsables pour leurs actes, mais aussi de restaurer la confiance du public dans les institutions démocratiques du pays.
Le président Bassirou Diomaye Faye, dans son discours prononcé à la Nation le 3 avril, a souligné l’importance de cette démarche dans la réalisation de ses objectifs prioritaires, notamment la lutte contre la corruption, la refonte des institutions et la promotion de la transparence. En rendant ces rapports accessibles au public, le gouvernement démontre son engagement à travailler en collaboration avec la population pour garantir un gouvernement responsable et éthique.
Cette annonce suscite des attentes élevées quant aux révélations potentielles sur les pratiques de corruption passées, tout en soulignant la volonté du nouveau gouvernement de créer un environnement où la responsabilité et l’intégrité sont des valeurs fondamentales. En fin de compte, la publication de ces rapports marque une étape cruciale vers une gouvernance plus transparente et responsable au Sénégal.
MUTÉE PAR DIATARA POUR SON MILITANTISME « PASTÉFIEN » : Khady Diène Gaye devient la 1ère ministre des Sports
L’annonce de la composition du nouveau Gouvernement du Sénégal a été faite hier, vendredi, dans la soirée, par le Premier ministre Ousmane Sonko, nommé le 3 avril dernier.
La véritable surprise a été la nomination de Khady Diène Gaye à la tête du ministère des Sports, marquant ainsi une première dans l’histoire du pays. Madame Gaye devient ainsi la 29e ministre des Sports du Sénégal, succédant à Mame Mbaye Niang, qui occupait ce poste lors du mandat de Macky Sall.
Cerise sur le gâteau ! En plus de ce ministère, elle aura également la responsabilité de diriger les ministères de la Jeunesse et de la Culture. Son objectif sera d’exécuter le programme sportif de la coalition Diomaye Président, avec des réformes prévues telles que la mise en place d’un nouveau code du sport et l’amélioration de l’accès au sport à travers le pays.
Avec une expérience significative en tant qu’inspectrice de la Jeunesse et des Sports depuis les années 2000, elle est une femme du sérail. Diplômée en droit de l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis, elle a ensuite réussi le concours de l’Institut National Supérieur de l’Éducation Populaire et du Sport (INSEPS), devenant ainsi inspectrice de la Jeunesse et des Sports. Son parcours l’a conduite à occuper différents postes au sein du ministère des sports, plus précisément à la Direction de la formation et de la coopération en qualité d’inspectrice régionale des Sports à Dakar. Ensuite, elle avait été affectée à Kaolack par le ministre des Sports de l’époque, Yankhoba Diatara, à cause de son militantisme assumé au sein de Pastef.
Khady Diène Gaye est bien ancrée dans le domaine des Sports. Elle ne se trouve nullement en terrain inconnu puisqu’elle va continuer à nager dans son domaine d’expertise.
La native de Joal porte fièrement le nom de sa grand-mère maternelle. Son mariage à un colonel des Douanes, qui est également un intellectuel reconnu, marque davantage son engagement dans des cercles influents. À cet effet, son leadership sera crucial pour mettre en œuvre le programme sportif de la coalition Diomaye Président, qui a remporté la dernière présidentielle.
Les changements attendus dans le programme sportif de la coalition Diomaye Président comprennent la refonte de la Charte du Sport de 1984, avec la mise en place d’un nouveau code du sport et l’établissement d’un cadre juridique solide. En plus de cela, des réformes visant à faciliter la pratique du sport de haut niveau et à rendre le sport accessible à tous sur l’ensemble du territoire sont également prévues. Ces initiatives sont cruciales pour promouvoir le développement du sport au Sénégal et pour encourager la participation de tous les citoyens à des activités sportives.
Madame Khady Diène Gaye a été nommée à la tête du ministère des Sports du Sénégal, marquant ainsi une première dans l’histoire de notre pays.
Avec son expérience en tant qu’inspectrice de la jeunesse et des sports, ainsi que sa formation en droit, la nouvelle cheffe du département des Sports est très aguerrie pour ce poste.
Le Dakarois Quotidien N°149 – du 06 ET 07/04/24 – FORMATION DU 1er GOUVERNEMENT DE SONKO : Les « exclus » du régime de Macky Sall croquent dans le gâteau
La liste complète des membres du gouvernement
Sur proposition du Premier Ministre, un gouvernement constitué de 25 ministres et de 5 secrétaires d’État a été constitué ce vendredi, comme l’a annoncé le Secrétaire général de la Présidence de la République, Oumar Samba Ba.
GOUVERNEMENT DU SENEGAL DU 5 AVRIL 2024
Monsieur Ousmane SONKO : Premier Ministre
MINISTRES :
1. Madame Yacine FALL : Ministre de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères ;
2. Général (2S) Birame DIOP : Ministre des Forces armées ;
3. Monsieur Ousmane DIAGNE : Ministre de la Justice, Garde des Sceaux ;
4. Général (2S) Jean Baptiste TINE : Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique ;
5. Monsieur Birame Soulèye DIOP : Ministre de l’Énergie, du Pétrole et des Mines ;
6. Monsieur Abdourahmane SARR : Ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération ;
7. Monsieur Cheikh DIBA : Ministre des Finances et du Budget ;
8. Monsieur Malick NDIAYE : Ministre des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens ;
9. Monsieur Daouda NGOM : Ministre de l’Environnement et de la Transition Écologique ;
10. Monsieur Amadou Moustapha Njekk SARRE : Ministre de la Formation professionnelle, Porteparole du Gouvernement.
11. Monsieur Cheikh Tidiane DIEYE : Ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement ;
12. Monsieur Alioune SALL : Ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique ;
13. Monsieur El Hadj Abdourahmane DIOUF : Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation ;
14. Monsieur Serigne Guèye DIOP : Ministre de l’Industrie et du Commerce ;
15. Madame Fatou DIOUF : Ministre des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires ;
16. Madame Maïmouna DIEYE : Ministre de la Famille et des Solidarités ;
17. Monsieur Yankoba DIEME : Ministre du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les Institutions ;
18. Monsieur Balla Moussa FOFANA : Ministre de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement des territoires ;
19. Monsieur Moustapha Mamba GUIRASSY : Ministre de l’Éducation nationale ;
20. Monsieur Ibrahim SY : Ministre de la Santé et de l’Action sociale ;
21. Monsieur Olivier BOUCAL : Ministre de la Fonction publique et de la Réforme du Service public ;
22. Madame Khady Diène GAYE : Ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture ;
23. Monsieur Mabouba DIAGNE : Ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Elevage ;
24. Monsieur Alioune DIONE : Ministre de la Microfinance et de l’Économie sociale et solidaire ;
25. Monsieur Mountaga DIAO : Ministre du Tourisme et de l’Artisanat.
SECRETAIRES D’ETAT
1. Monsieur Amadou Chérif DIOUF : Secrétaire d’État aux Sénégalais de l’Extérieur ;
2. Monsieur Ibrahima THIAM : Secrétaire d’État au Développement des Petites et moyennes industries ;
3. Monsieur Momath Talla NDAO : Secrétaire d’État à l’Urbanisme et au Logement ;
4. Monsieur Alpha BA : Secrétaire d’État aux Coopératives et à l’Encadrement paysan ;
5. Monsieur Bacary SARR : Secrétaire d’État à la Culture, aux Industries créatives et au Patrimoine
La liste des membres du gouvernement
La liste des membres du gouvernement
[Replay – Palais] Suivez la publication de la liste des membres du gouvernement
[Direct-Palais] Suivez la publication de la liste des membres du gouvernement
Nouvelle ère des médias : RSF présente ses propositions au Président Bassirou Diomaye Faye
Reporters Sans Frontières (RSF) a adressé une série de propositions au nouveau président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, dans le but d’améliorer la situation des médias dans le pays. Le directeur du bureau exécutif subsaharien de RSF, Sadibou Marong, exprime l’espoir que le président Faye mettra en pratique ses engagements déclarés dans son livre-programme. Lors de sa campagne présidentielle, Bassirou Diomaye Faye s’était engagé à abolir la peine d’emprisonnement pour les délits de presse, une recommandation centrale de RSF pour garantir la liberté d’information au Sénégal. RSF appelle désormais le président nouvellement élu à concrétiser cette promesse et à ouvrir une nouvelle ère pour les médias.
Dans un contexte marqué par de nombreuses atteintes à la liberté de la presse, telles que les arrestations et agressions de journalistes, les suspensions de médias et les coupures abusives d’Internet, RSF exhorte les nouvelles autorités à accorder une priorité à la sécurité des journalistes et à mettre en place une politique audacieuse pour garantir le respect de la liberté de la presse. À cet égard, RSF recommande dix mesures phares, notamment la régulation des plateformes numériques conformément aux propositions du Partenariat international sur l’information et la démocratie, dont le Sénégal est signataire, ainsi que la suppression des amendes exorbitantes pour les délits de presse.
« La liberté de la presse a été sérieusement compromise ces dernières années au Sénégal. Il est temps que le pays renoue avec sa tradition d’exemplarité en la matière. Le programme électoral de Bassirou Diomaye Faye, qui inclut la suppression de la peine d’emprisonnement pour les infractions de presse, est un signal fort. Nous appelons le nouveau président à honorer cet engagement et à adopter une politique ambitieuse pour faire de son mandat celui d’une presse libre et d’un droit à l’information protégé », a déclaré Sadibou Marong, directeur du bureau Afrique subsaharienne de RSF.
Entre 2021 et 2023, le Sénégal a connu une série d’agressions contre des journalistes, notamment lors de manifestations politiques, et des arrestations arbitraires de professionnels de l’information. La situation s’est encore détériorée en 2024, en période pré-électorale, avec plusieurs journalistes agressés et détenus. RSF espère que le nouveau gouvernement accordera une attention particulière à la protection des journalistes et des médias, afin que le Sénégal puisse retrouver son rang dans le Classement mondial de la liberté de la presse.
Ousmane Sonko, Premier ministre : ce qu’en pense Serigne Mboup
La nomination d’Ousmane Sonko au poste de Premier ministre du Sénégal suscite des réactions diverses, y compris celle de Serigne Mboup, candidat malheureux à l’élection présidentielle du 24 mars dernier.
Dans une déclaration relayée par le journal Libération, Serigne Mboup exprime son appréciation de la nomination d’Ousmane Sonko, qu’il connaît depuis plus de dix ans. Il souligne que Sonko est un fervent défenseur d’un secteur privé fort, considéré comme un pilier essentiel du développement économique du Sénégal.
Serigne Mboup rappelle également une récente participation d’Ousmane Sonko aux célébrations des 30 ans du groupe CCBM, ce qui témoigne de son intérêt pour le développement économique du pays.
En tant que PDG du groupe CCBM Holding et président de l’Union nationale des Chambres de commerce, d’industrie et d’agriculture du Sénégal (UNCCIAS), Serigne Mboup soutient les engagements pris par le nouveau gouvernement, notamment la volonté de donner une place stratégique au secteur privé national dans la création de richesse et d’emploi.
Cependant, Serigne Mboup évoque également certaines attentes pour l’avenir. Il appelle à une démocratie interne plus prégnante au sein des organisations, en favorisant la participation des jeunes et des femmes. Il souhaite que cette dynamique soit également présente au niveau des institutions du pays, avec des élections transparentes et inclusives.
La prise de position de Serigne Mboup reflète ainsi l’importance accordée au rôle du secteur privé dans le développement économique du Sénégal, tout en soulignant la nécessité d’une représentation démocratique et inclusive au sein des institutions et des organisations.
Fin du suspense : Le PM Ousmane Sonko va annoncer la composition du gouvernement ce vendredi
Après des jours d’attente, Ousmane Sonko et le président Diomaye Faye, fraîchement investi à Diamniadio, vont enfin révéler la composition du nouveau gouvernement ce vendredi.
L’équipe, sous la direction du Premier ministre Ousmane Sonko, s’engage à mettre en œuvre le programme de la coalition Diomaye président, axé sur la souveraineté, la justice sociale et la prospérité. Selon le journal « Le Pop », la liste des membres du gouvernement sera dévoilée dans les prochaines heures.
Après l’annonce de sa nomination, Ousmane Sonko a déclaré qu’il présenterait la composition de son gouvernement à Bassirou Diomaye Faye pour approbation. Il a souligné l’importance de cette responsabilité partagée, affirmant : « Il n’est pas question de le laisser assumer seul cette lourde tâche. »
Le 2 avril 2024 a marqué un tournant dans l’histoire du Sénégal. À l’âge de 44 ans, Bassirou Diomaye Faye a été élu nouveau président de la République sénégalaise, succédant ainsi au président Macky Sall après douze années de règne.
Fadilou Keita : « Ousmane Sonko, c’est le meilleur profil pour occuper le poste de Premier Ministre »
Après l’annonce de la nomination d’Ousmane Sonko au poste de Premier Ministre du Sénégal par le président Bassirou Diomaye Faye, Fadilou Keita, membre de la coalition Diomaye Président, exprime un sentiment de soulagement profond.
Pour Fadilou Keita, Ousmane Sonko incarne le meilleur profil pour occuper ce poste, car le projet est construit autour de sa personne. Sonko est perçu comme une figure capable de mener à bien les réformes nécessaires pour le développement du pays.
Fadilou Keita affirme qu’il mettra tout en œuvre pour contribuer à la réalisation de ce projet sous le leadership de Sonko en tant que Premier Ministre.
Cette nomination suscite un certain enthousiasme parmi les partisans de Sonko et de la coalition Diomaye Président, qui voient en cette décision une opportunité de mettre en œuvre le changement tant attendu et de répondre aux défis socio-économiques du pays.
Le gouvernement de Sonko : le suspense prend fin ce vendredi
L’attente touche à sa fin. Depuis sa nomination en tant que Premier ministre le 2 avril dernier, Ousmane Sonko n’a pas encore annoncé la composition de son gouvernement. Cependant, selon des informations relayées par Vox Populi, le mystère va enfin être levé. La liste tant attendue sera dévoilée ce vendredi, en fin de matinée.
Selon le quotidien, les retards dans la formation du gouvernement seraient dus aux enquêtes de moralité en cours et à certains désaccords au sein de l’équipe en devenir. Néanmoins, une certitude émerge : les membres de Pastef, le parti politique de Sonko, occuperont une place prépondérante dans ce gouvernement. De plus, il est prévu que la majorité des membres soit constituée de jeunes.
Cette annonce tant attendue suscite un grand intérêt et de nombreuses attentes, alors que le pays cherche à voir se dessiner les contours de la nouvelle administration. La composition du gouvernement de Sonko sera scrutée de près, car elle donnera un aperçu de la direction que prendra le pays sous son leadership.
La fin du suspense est donc imminente, et les regards sont tournés vers la fin de matinée ce vendredi, où les noms des nouveaux ministres seront enfin révélés, mettant ainsi fin à une période d’incertitude et de spéculation.
Le Dakarois Quotidien N°148 – du 05/04/24 _ RAISON DU RETARD DE LA PUBLICATION DE LA LISTE DU GOUVERNEMENT : Diomaye Faye dit « niet » au diktat de Pastef ?
Une décision controversée : Le Président Bassirou Diomaye Faye annule les nominations de Macky Sall au Conseil supérieur de la magistrature
Dans un geste qui a secoué le paysage politique sénégalais, le président Bassirou Diomaye Faye a récemment pris la décision de révoquer toutes les nominations effectuées par son prédécesseur, Macky Sall, lors de la dernière réunion du Conseil supérieur de la magistrature. Cette décision, annoncée par décret le 3 avril 2024, a immédiatement suscité une vague de réactions et a alimenté un débat animé sur la légitimité et la transparence au sein du système judiciaire du Sénégal.
Le journaliste Madiambal Diagne, directeur de Publication du Quotidien, a été parmi les premiers à rapporter cette information. Selon ses déclarations, le président Faye a pris la décision d’annuler les nominations de Macky Sall datant du 29 mars 2024, sans suivre la procédure habituelle qui implique une validation par une réunion spéciale du Conseil supérieur de la magistrature. Cette décision a soulevé des interrogations sur la légalité du processus suivi par le président Faye pour annuler ces nominations.
La réunion du Conseil supérieur de la magistrature présidée par Macky Sall avait abouti à plusieurs nominations importantes, y compris celle d’un nouveau Premier Président de la Cour suprême et celle de membres pour le pôle financier. Cependant, avec l’annulation de ces nominations, une incertitude plane désormais sur la composition des organes judiciaires du pays.
Les réactions à cette décision ont été variées. Certains voient cette annulation comme un acte nécessaire pour restaurer la confiance du public dans l’indépendance de la magistrature, soulignant la nécessité d’une gouvernance transparente et responsable. D’autres, cependant, expriment leur inquiétude quant à l’impact potentiel sur la stabilité et l’intégrité du système judiciaire sénégalais, remettant en question la légalité du processus utilisé par le président Faye pour annuler les nominations.
Cette décision met en lumière les tensions persistantes au sein du paysage politique sénégalais et soulève des questions fondamentales sur le respect de l’État de droit et des principes démocratiques. Alors que le débat continue de faire rage, il est essentiel que les autorités sénégalaises répondent aux préoccupations du public en garantissant la transparence et la légitimité de leurs actions, en particulier dans le domaine sensible de la justice.
En attendant, la décision du président Bassirou Diomaye Faye continue de susciter des interrogations et de nourrir un débat animé quant à son impact sur l’avenir de la justice au Sénégal.
Thérèse Edmond Mendy : Une figure marquante du journalisme de Ziguinchor s’éteint
La presse régionale de Ziguinchor pleure aujourd’hui la perte d’une de ses figures les plus éminentes, Thérèse Edmond Mendy, journaliste reporter à la radio Zig Fm Ziguinchor. Son décès survenu ce jeudi, à la suite d’une brève maladie, laisse un vide immense dans le paysage médiatique local et plonge toute la communauté journalistique dans le deuil.
Thérèse Edmond Mendy n’était pas seulement une collègue de travail pour ses pairs, mais aussi une amie et une sœur. Sa personnalité joviale, son dévouement sans faille et sa serviabilité ont laissé une empreinte indélébile dans les cœurs de ceux qui ont eu le privilège de la connaître et de travailler à ses côtés.
Pour Léa Suzanne Thiaw, ancienne collègue et désormais chargée de communication à l’université Assane Seck de Ziguinchor, Thérèse était bien plus qu’une journaliste talentueuse ; elle était un rayon de soleil, une présence bienveillante qui illuminait chaque pièce qu’elle traversait. Sa générosité, sa simplicité et son rire contagieux resteront gravés dans les souvenirs de tous ceux qui ont eu la chance de croiser son chemin.
La nouvelle de son décès a suscité une vague d’émotion et de tristesse parmi ses collègues journalistes. Abdourahmane Diallo, correspondant de la Sentv à Ziguinchor, décrit Thérèse comme une sœur pour tous, une présence rassurante et réconfortante dans un milieu souvent exigeant et difficile.
Ignace Ndèye de Sudfm exprime également sa peine face à la disparition de Thérèse, saluant son professionnalisme et son dévouement envers le métier du journalisme. Sa voix chaleureuse et son engagement indéfectible manqueront à toute la communauté médiatique de Ziguinchor.
En cette période de deuil, ledakarois.sn présente ses plus sincères condoléances à la famille et aux proches de Thérèse Edmond Mendy, ainsi qu’à ses collègues de Zig Fm Ziguinchor. Son héritage journalistique perdurera à travers les nombreuses vies qu’elle a touchées et inspirées, et son souvenir continuera à illuminer les couloirs de la presse régionale de Ziguinchor pour les années à venir.
Adji Mergane Kanouté (BBY) approuve la nomination de Sonko en tant que Premier ministre : « C’est logique et cohérent »
Adji Mergane Kanouté, vice-présidente du groupe parlementaire de Benno Bokk Yakaar (BBY) à l’Assemblée nationale, a exprimé sa réaction à la nomination d’Ousmane Sonko au poste de Premier ministre par Bassirou Diomaye Faye. Selon elle, cette décision est parfaitement logique.
Après sa nomination, Ousmane Sonko a déclaré qu’il ne comptait pas laisser Bassirou Diomaye Faye travailler seul. Pour Adji Mergane Kanouté, cette nomination était attendue car Sonko était le porte-étendard du projet de Pastef.
« C’est logique, cohérent et légitime que le président Ousmane Sonko soit nommé Premier ministre puisqu’il a été le porteur titulaire du projet », a-t-elle déclaré sur TV5 Monde.
Cependant, comme de nombreux Sénégalais, Adji Mbergane Kanouté attend de voir le duo Diomaye – Sonko à l’œuvre. « Maintenant, il faut aller très vite. Nous les attendons au tournant. Ils avaient promis monts et merveilles aux Sénégalais. Ils avaient promis de soulager le panier de la ménagère. Et je pense que c’est le moment de satisfaire leurs promesses », a-t-elle conclu.
Cette nomination intervient dans un contexte politique marqué par une transition de pouvoir et suscite l’attention de nombreux citoyens. Les prochains mois seront décisifs pour évaluer l’efficacité et les actions du nouveau Premier ministre, ainsi que pour observer l’impact de cette alliance sur la gouvernance du pays.
Levée des couleurs au palais : Un symbole d’unité sous la présidence de Bassirou Diomaye Faye
La célébration du 64ème anniversaire de l’indépendance du Sénégal a été marquée par une scène remarquable au Palais de la République, où le Premier ministre nouvellement nommé, Ousmane Sonko, s’est joint à la levée des couleurs, accompagné des proches collaborateurs de l’ancien président Macky Sall.
Cette présence significative témoigne de la continuité institutionnelle et de la stabilité de la République, illustrant parfaitement l’adage selon lequel « les hommes passent, mais les institutions demeurent ». Accueilli avec les honneurs, le Premier ministre Sonko, aux côtés du président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop, et du président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), Abdoulaye Daouda Diallo, a souligné l’importance de cette transition pacifique du pouvoir.
Cette cérémonie a également réuni d’autres personnalités de premier plan, dont le ministre de l’Intérieur, Mouhamadou Makhtar Cissé, aux côtés du secrétaire général de la présidence, Oumar Samba Ba, et du ministre directeur de cabinet du président de la République, Mary Teuw Niane. Les hauts gradés militaires étaient également présents, tels que le Général de Corps d’Armée Moussa Fall, Haut-Commandant de la Gendarmerie, et le Général de Corps d’Armée Mbaye Ciss, Chef d’Etat-major général des Armées (CEMGA), qui ont réservé un accueil chaleureux au président Bassirou Diomaye Faye.
Sous le thème « Le rôle des Forces Armées dans la cohésion nationale », cette commémoration a souligné l’importance de l’unité et de la solidarité dans la société sénégalaise. La présence collective de ces personnalités, malgré les divergences politiques, témoigne de leur engagement commun envers la nation et ses institutions, symbolisant ainsi un nouveau chapitre dans l’histoire du Sénégal sous la présidence de Bassirou Diomaye Faye.
Déthié Fall adresse ses vœux pour la Fête de l’Indépendance aux Sénégalais, à Bassirou Diomaye Faye et à Ousmane Sonko
À l’occasion du 64e anniversaire de l’indépendance du Sénégal, Déthié Fall, président du Parti de la Renaissance du Sénégal (PRP), a adressé un message empreint de respect et de reconnaissance à divers acteurs clés du pays.
Dans son message, Déthié Fall a tout d’abord salué le rôle crucial des forces de défense et de sécurité dans la préservation de l’intégrité territoriale du Sénégal et dans la construction de la nation. Il a exprimé ses hommages et son profond respect à ces hommes et femmes dévoués qui œuvrent pour la sécurité et la stabilité du pays.
En outre, Déthié Fall a adressé ses vœux de succès au Président de la République, Son Excellence Bassirou Diomaye Diakhar Faye, ainsi qu’à son Premier ministre, Monsieur Ousmane Sonko. Cette marque de soutien souligne l’importance de l’unité nationale et de la coopération entre les différentes institutions pour le développement et la prospérité du Sénégal.
Déthié Fall a souhaité à tous les Sénégalais une joyeuse fête d’indépendance, invitant chacun à célébrer cet événement dans l’unité et la fraternité qui caractérisent le peuple sénégalais.
Cette déclaration de Déthié Fall témoigne de son engagement envers le bien-être et la réussite de son pays, ainsi que de sa volonté de promouvoir les valeurs d’unité, de solidarité et de progrès au sein de la société sénégalaise.

Bonne Gouvernance : Les mesures phares annoncées par le Président Diomaye
En un discours solennel à la Nation sénégalaise, à la veille de la 64e célébration de l’indépendance, le président Bassirou Diomaye Faye a dévoilé un ensemble de mesures déterminantes visant à lutter « sans répit » contre la corruption et à promouvoir une gouvernance plus transparente et responsable.
Pour combattre la fraude fiscale et les flux financiers illicites, le président Faye a annoncé une intensification de la répression pénale. Cette mesure vise à dissuader les pratiques corrompues et à garantir que ceux qui enfreignent la loi soient tenus responsables de leurs actes.
Une protection renforcée sera accordée aux lanceurs d’alerte, leur permettant de signaler en toute sécurité les actes répréhensibles sans craindre de représailles. Cette mesure favorisera la dénonciation des cas de corruption et contribuera à une gouvernance plus transparente et responsable.
Le président Faye a annoncé une mesure d’amnistie pour les prête-noms, leur offrant une opportunité de se dénoncer eux-mêmes en échange d’une intéressement, sous certaines conditions. Cette initiative vise à encourager la coopération et à dissuader les pratiques frauduleuses.
Les rapports de l’Inspection Générale d’État (IGE), de la Cour des Comptes et de l’Office National de Lutte contre la Fraude et la Corruption (OFNAC) seront désormais publiés, permettant ainsi au public d’avoir un accès transparent aux informations sur les dépenses gouvernementales et les enquêtes sur la corruption.
Dans un effort pour garantir une exploitation transparente des ressources naturelles du pays, le président Faye a annoncé la mise en ligne des contrats miniers, pétroliers et gaziers sur le site de l’Initiative pour la Transparence des Industries Extractives (ITIE) Sénégal. De plus, la divulgation de la propriété effective des entreprises extractives sera exigée, conformément aux normes de l’ITIE.
Ces mesures représentent un engagement ferme du président Diomaye envers la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption, témoignant ainsi de sa détermination à promouvoir un Sénégal plus juste, transparent et prospère pour tous ses citoyens.
Pastef : Bassirou Diomaye Faye quitte le poste de Secrétaire Général du Parti
Dans un geste symbolique, le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a annoncé sa démission de son poste de Secrétaire Général du Parti Pastef. Cette décision marque un tournant dans sa carrière politique et souligne son engagement envers son nouveau rôle en tant que président de tous les Sénégalais.
Dans son discours à la Nation à la veille de la célébration de la fête de l’indépendance, Bassirou Diomaye Faye a expliqué que sa démission de la tête du Parti Pastef vise à lui permettre de se concentrer pleinement sur ses responsabilités en tant que président de la République. Cette décision reflète sa volonté de mettre de côté les affiliations politiques partisanes pour se consacrer entièrement au service de tous les citoyens sénégalais.
En renonçant à son rôle au sein du Parti Pastef, le président Faye envoie un message fort sur sa neutralité politique en tant que chef de l’État. Il cherche à garantir que son action gouvernementale soit guidée par l’intérêt national plutôt que par des considérations partisanes. Cette décision renforce sa légitimité en tant que président de tous les Sénégalais, indépendamment de leur affiliation politique.
La démission de Bassirou Diomaye Faye de son poste de Secrétaire Général du Parti Pastef est également un geste en faveur de l’unité nationale. En se détachant de son parti politique d’origine, il cherche à rassembler tous les Sénégalais derrière sa vision pour le pays. Cette démarche témoigne de sa volonté de transcender les clivages politiques pour construire un avenir commun pour tous les citoyens.
Cette décision marque le début d’une nouvelle ère politique pour le Sénégal, où le président Faye s’engage à gouverner avec intégrité, impartialité et dévouement envers le bien-être de tous les Sénégalais. Sa démission du Parti Pastef illustre sa détermination à servir l’intérêt général et à travailler pour le progrès et la prospérité de la nation dans son ensemble.
La mère d’Ousmane Sonko exhorte son fils à ne pas décevoir les Sénégalais en tant que Premier ministre
Dans une réaction empreinte d’espoir et de soutien, Mame Khady Ngom, la mère du nouveau Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko, a exprimé ses prières et ses encouragements pour la réussite du nouveau gouvernement dans l’accomplissement de ses objectifs.
Après la nomination de son fils à la tête du gouvernement par le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye, Mme Ngom a accueilli l’Agence de presse sénégalaise avec un sentiment de satisfaction et d’optimisme pour l’avenir du pays. Elle a exprimé sa confiance en la capacité du nouveau gouvernement à répondre aux attentes des Sénégalais et à relever les défis qui se présentent.
« Tout en étant très heureuse pour mon pays, je prie ardemment pour que le nouveau gouvernement puisse atteindre ses objectifs », a déclaré Mame Khady Ngom. Elle a également souligné l’importance de l’unité et de la collaboration entre son fils et le président de la République, insistant sur le fait qu’ils sont désormais engagés dans une mission commune pour le bien-être de la nation.
S’adressant directement à son fils, elle l’a exhorté à rester résolu et à ne pas perdre de vue les aspirations du peuple sénégalais. « J’appelle Ousmane Sonko à ne pas décourager. Je lui demande de ne pas faire perdre espoir aux Sénégalais », a-t-elle insisté, soulignant l’importance de répondre aux attentes du peuple et de travailler pour le progrès et le développement du pays.
Les mots de Mame Khady Ngom reflètent l’espoir et les attentes placés dans le nouveau gouvernement, tandis que le Sénégal continue de naviguer à travers les défis économiques et sociaux. En tant que mère, elle soutient son fils dans sa nouvelle responsabilité tout en appelant à la vigilance et à l’engagement envers le bien-être de tous les Sénégalais.
Fausse rumeur de démission : Ousmane Sonko reste en poste à la Mairie de Ziguinchor
Depuis l’annonce de sa nomination en tant que Premier ministre par le président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, des spéculations ont circulé concernant la démission d’Ousmane Sonko de son poste de maire de Ziguinchor. Cependant, ces informations sont totalement erronées. Le leader du Parti Pastef demeure toujours en fonction en tant que maire de Ziguinchor.
Aly Diédhiou, Chargé de communication de la Mairie de Ziguinchor, a tenu à clarifier la situation : « L’information faisant état de la démission du Maire Ousmane Sonko est archi fausse. Jusqu’au moment où j’écris ce message, cela n’est pas encore à l’ordre du jour ». Il a également ajouté qu’il était présent au bureau toute la matinée et que Ousmane Sonko occupait toujours le poste de premier magistrat de la ville de Ziguinchor.
Cette mise au point vise à rectifier les fausses informations qui ont été diffusées et à confirmer que Ousmane Sonko conserve pleinement son mandat de maire de Ziguinchor, malgré ses nouvelles responsabilités en tant que Premier ministre.
Diomaye Président, Sonko Premier Ministre : Un tandem à l’épreuve du syndrome Senghor-Dia
La nomination d’Ousmane Sonko en tant que Premier ministre par le nouveau président sénégalais Bassirou Diomaye Faye marque le début d’une ère politique nouvelle, mais soulève également des questions sur la dynamique de ce tandem au pouvoir. L’alliance entre les deux hommes, qui ont traversé ensemble les vicissitudes de la politique sénégalaise, est à la fois logique et stratégique, mais elle nécessitera une gestion habile pour éviter les conflits potentiels.
L’annonce de cette nomination n’a pas surpris ceux qui ont suivi de près la montée en puissance de Bassirou Diomaye Faye et le rôle crucial joué par Ousmane Sonko dans la victoire éclatante de leur coalition lors des élections présidentielles. Malgré les spéculations selon lesquelles Sonko pourrait se retirer pour laisser la place à Diomaye, leur décision de gouverner ensemble en tandem confirme leur engagement mutuel et leur détermination à concrétiser le projet politique pour lequel ils se sont battus.
Cependant, la cohabitation entre un président et un Premier ministre aussi charismatiques et ambitieux que Diomaye et Sonko pourrait être délicate. Les observateurs avertis évoquent même le spectre du conflit Senghor-Dia des années 1960, bien que les contextes politiques soient différents. Il est crucial pour le succès de leur gouvernement que Diomaye et Sonko maintiennent des relations harmonieuses et une collaboration efficace, en dépit de leurs personnalités fortes et parfois divergentes.
Dans ses premières déclarations en tant que Premier ministre, Sonko a affirmé son engagement à travailler en étroite collaboration avec Diomaye pour mettre en œuvre leur programme commun. Il a souligné l’importance de la citoyenneté et a appelé les Sénégalais à contribuer activement à la réalisation des objectifs du gouvernement. Cette déclaration reflète la volonté de Sonko de jouer un rôle proactif dans le gouvernement tout en maintenant une relation de respect et de coopération avec le président.
Dans les heures à venir, Sonko devrait proposer au président la composition du nouveau gouvernement, marquant ainsi le début concret de leur collaboration au sein de l’exécutif. Il est essentiel que cette équipe gouvernementale soit formée de manière inclusive et compétente pour relever les défis économiques, sociaux et politiques auxquels le Sénégal est confronté.
En conclusion, le tandem Diomaye-Sonko est confronté à une tâche difficile mais cruciale pour l’avenir du pays. Leur capacité à surmonter les éventuels conflits et à travailler ensemble de manière efficace déterminera en grande partie la réussite de leur gouvernement et la réalisation des aspirations du peuple sénégalais.
Ousmane Sonko nommé Premier ministre : Une collaboration fructueuse avec Diomaye Faye
La nomination d’Ousmane Sonko au poste de Premier ministre par le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, mardi dernier, marque un tournant significatif dans la politique sénégalaise. Cette décision découle d’une longue collaboration et d’une proximité idéologique entre les deux hommes, qui ont travaillé ensemble depuis leurs débuts au sein du syndicat des Impôts et Domaines jusqu’à la création du parti Pastef.
Le choix de Sonko pour ce poste est largement considéré comme logique, compte tenu de sa contribution à l’élaboration du programme de gouvernance du parti Pastef, ainsi que de son rôle déterminant dans la victoire électorale de Diomaye lors des précédentes élections présidentielles.
Sa nomination à ce poste clé témoigne de la confiance placée en lui par le président Bassirou Diomaye Faye et souligne le rôle central qu’il est appelé à jouer dans la mise en œuvre de leur programme politique commun.
La citation de Boileau-Despréaux, « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément », souligne également l’importance de la clarté et de la précision dans la communication des idées, qualités que Sonko semble posséder, comme en témoigne sa contribution à la formulation du programme du parti Pastef.
En dernière analyse, Ousmane Sonko apparaît comme le choix naturel pour le poste de Premier ministre en raison de sa longue collaboration avec Bassirou Diomaye Faye, de sa contribution au programme du parti et de son succès électoral lors des précédentes élections présidentielles. Sa nomination reflète la confiance en ses capacités à concrétiser les objectifs du gouvernement et du parti, ouvrant ainsi une nouvelle ère politique au Sénégal.
Annonce imminente : La composition du Gouvernement Sonko dévoilée ce mercredi
À peine quelques jours après son investiture, le président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, a pris une décision marquante pour entamer son mandat présidentiel.
Hier soir, mardi 2 avril, le pays a été témoin d’un événement historique alors que le chef de l’État a présenté son gouvernement. Dans une annonce qui a captivé l’attention nationale, le président a nommé Ousmane Sonko au poste de Premier ministre par le biais d’un décret présidentiel.
Lors de son premier discours en tant que Premier ministre, Ousmane Sonko a exprimé sa gratitude envers le président pour la confiance qu’il lui a témoignée. Il a promis de travailler sans relâche pour répondre aux attentes du peuple sénégalais et pour œuvrer au développement et à la prospérité de la nation. Il a également annoncé que la composition complète de son gouvernement serait révélée dans les prochains jours, suscitant une grande attente parmi les citoyens.
Selon les informations diffusées sur la TFM, la liste des ministres sera rendue publique dès aujourd’hui, mercredi, à partir de 15 heures. Cette annonce tant attendue offrira un aperçu plus détaillé de la feuille de route du nouveau gouvernement et des priorités qu’il entend mettre en avant pour relever les défis nationaux.
Cette révélation de la composition du gouvernement Sonko marque le début d’une nouvelle ère politique au Sénégal. Les citoyens attendent avec impatience de découvrir les visages qui occuperont les postes clés de l’administration, et espèrent que cette équipe saura répondre aux aspirations et aux besoins du peuple sénégalais dans les années à venir.
Ousmane Sonko, Premier ministre : Un appel au patriotisme et au don de soi pour la patrie
Dans un discours vibrant prononcé juste après sa nomination au poste de Premier ministre, le leader du parti Pastef, Ousmane Sonko, a posé les fondements d’une gouvernance axée sur le patriotisme et le sacrifice pour le bien de la nation. S’adressant à ses futurs collaborateurs, Sonko a clairement défini les principes qui guideront son mandat.
« Nous avons présenté notre projet de société, qui a été largement accepté par la population. Le succès du président Bassirou Diomaye Faye est le fruit de nos efforts collectifs. Nous appelons chacun à contribuer », a déclaré Sonko, mettant ainsi en avant la responsabilité partagée dans la construction d’un Sénégal meilleur.
Cependant, Sonko a tenu à souligner une distinction importante : « Nous appelons au don de soi, à la citoyenneté et au patriotisme, mais nous ne prônons pas un partage du gâteau ». Avec ces mots, il a rappelé l’importance de travailler ensemble pour le bien commun, sans se laisser entraîner par des intérêts personnels ou partisans.
« Liguey lañu wax, waxuñu nguru. Coño lanu wax, wahuñu nguru, loxo you set lañu wax, waxañu lénène », a-t-il ajouté, soulignant ainsi l’engagement de son gouvernement envers le travail acharné, l’intégrité et la transparence. Cette formule incarne l’esprit de sacrifice et de dévouement qui guidera les actions de son administration.
L’annonce de Sonko marque un nouveau chapitre dans la politique sénégalaise, mettant en avant des valeurs de responsabilité, de solidarité et de détermination. En appelant à un véritable engagement envers la patrie, il définit une vision ambitieuse pour l’avenir du Sénégal, où le bien-être de la nation prime sur toute autre considération.
Alors que le nouveau gouvernement s’apprête à prendre ses fonctions, les paroles de Sonko résonnent comme un appel à l’action et à l’unité, invitant chacun à contribuer à la construction d’un Sénégal prospère et juste pour tous.
Nomination d’Ousmane Sonko en tant que Premier ministre : un nouveau chapitre s’ouvre pour le Sénégal
Dans un geste rapide et décisif, le président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, nommé Ousmane Sonko au poste de Premier ministre, marquant ainsi le début d’une nouvelle ère politique pour le Sénégal. Cette nomination, annoncée dans la soirée du mardi 2 avril, reflète la volonté du nouveau président de mettre en place une équipe gouvernementale solide et compétente dès le début de son mandat.
Ousmane Sonko, une figure politique respectée et connue pour son engagement en faveur de la transparence et de la lutte contre la corruption, apporte avec lui une expérience précieuse et un leadership éclairé. Son parcours, marqué par son implication dans divers domaines de la vie publique, fait de lui un choix judicieux pour occuper le poste de Premier ministre dans cette période de transition et de renouveau.
Dans son discours inaugural, le Premier ministre Sonko a souligné l’importance d’avoir une équipe gouvernementale diversifiée et compétente, capable de répondre aux défis complexes auxquels le pays est confronté. Il a également promis de travailler en étroite collaboration avec le président Faye pour mettre en œuvre une vision ambitieuse de développement et de progrès pour le Sénégal.
L’annonce imminente de la composition du reste du gouvernement suscite déjà un vif intérêt au sein de la population. Les Sénégalais attendent avec impatience de découvrir les noms des ministres qui accompagneront Ousmane Sonko dans cette nouvelle aventure politique. Ils espèrent voir une équipe dynamique et représentative, composée de femmes et d’hommes compétents issus de divers horizons, prête à relever les défis du présent et à construire un avenir meilleur pour tous.
Cette nomination marque un tournant important dans l’histoire politique du Sénégal. Elle témoigne de la volonté des dirigeants de répondre aux aspirations du peuple et de travailler ensemble pour bâtir un avenir plus juste et prospère. Avec Ousmane Sonko à sa tête, le gouvernement s’engage à placer l’intérêt général au cœur de ses actions et à œuvrer pour le bien-être de tous les Sénégalais.
Ousmane Sonko désigné Premier ministre : La liste des ministres révélée ce mercredi
À peine investi en tant que président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye a déjà pris une décision majeure en nommant Ousmane Sonko au poste de Premier ministre. Cette annonce, faite lors de la cérémonie d’investiture, ouvre la voie à la constitution du gouvernement.
Dans son premier discours en tant que Premier ministre, Ousmane Sonko a déclaré que les noms des ministres qui composeront son gouvernement seront révélés dans les prochaines heures. Selon des sources concordantes, cette liste sera publiée dès ce mercredi à partir de 15 heures.
Cette annonce marque une étape importante dans la mise en place de l’administration du nouveau président, reflétant sa volonté de former une équipe compétente et engagée pour répondre aux défis nationaux. Les attentes sont grandes quant à la composition de ce gouvernement, alors que le pays entre dans une nouvelle ère sous la direction de Bassirou Diomaye Diakhar Faye et de son Premier ministre, Ousmane Sonko.
Ousmane Sonko annonce les priorités du nouveau Gouvernement
Après sa nomination au poste de Premier ministre par le président Bassirou Diomaye Faye, Ousmane Sonko s’est engagé à mettre en œuvre le programme de campagne du président, axé sur la souveraineté, la justice sociale et la prospérité.
Dans une déclaration mardi soir, Ousmane Sonko a affirmé que le nouveau gouvernement travaillerait dans le cadre du programme présidentiel, visant à faire du Sénégal un pays souverain, juste et prospère. Cette vision comprend des initiatives pour renforcer la souveraineté nationale, promouvoir la justice sociale et économique, et favoriser la prospérité pour tous les citoyens.
Reconnaissant l’importance de sa nomination en tant que Premier ministre, Ousmane Sonko a souligné la lourde responsabilité qui lui incombe en tant que chef de gouvernement chargé de coordonner les actions gouvernementales. Il a exprimé sa gratitude envers le président pour la confiance placée en lui et a promis de travailler avec détermination pour répondre aux attentes du peuple sénégalais.
Ousmane Sonko a également remercié le peuple sénégalais pour son soutien et son attachement au projet de son parti, PASTEF. Il a appelé chaque citoyen à s’approprier ce projet à travers des actions citoyennes et patriotiques, soulignant l’importance de l’engagement de tous pour atteindre une véritable rupture dans le progrès du pays.
La nomination d’Ousmane Sonko en tant que Premier ministre marque le début d’une nouvelle ère dans la gouvernance du Sénégal, avec un engagement clair envers la souveraineté, la justice sociale et la prospérité. Son appel à l’action citoyenne souligne l’importance de l’implication de chaque individu dans la construction d’un avenir meilleur pour le pays.
Le Dakarois Quotidien N°147 – du 03/04/24 _ Passation de pouvoir : Bassirou Diomaye Faye prend les rênes
Gouvernement : Ousmane Sonko nommé Premier Ministre par le Président Bassirou Diomaye Faye
Dans une annonce surprenante et hautement significative, le président Bassirou Diomaye Faye a nommé Ousmane Sonko, leader du parti Pastef, au poste de Premier Ministre du gouvernement sénégalais. Cette nomination marque un tournant majeur dans la scène politique du pays et suscite une réaction intense à travers tout le pays.
Ousmane Sonko, une figure politique controversée mais charismatique, est bien connu pour ses prises de position audacieuses et son engagement envers la lutte contre la corruption et les inégalités sociales. En tant que leader du parti Pastef, il a su mobiliser un soutien considérable parmi la jeunesse sénégalaise et a émergé comme une voix forte de l’opposition.
Sa nomination en tant que Premier Ministre représente un geste de dialogue et d’inclusion de la part du président Bassirou Diomaye Faye. En choisissant Ousmane Sonko, le président envoie un signal fort sur sa volonté de gouverner de manière inclusive et de rassembler différentes forces politiques pour faire avancer le pays.
Cette annonce a déclenché une série de réactions à travers tout le pays. Les partisans d’Ousmane Sonko célèbrent sa nomination comme une victoire pour le changement et l’espoir d’une gouvernance plus transparente et équitable. D’autres expriment des réserves quant à cette décision, soulignant les divergences idéologiques et politiques entre le président et son nouveau Premier Ministre.
Néanmoins, cette nomination ouvre la voie à une nouvelle ère politique au Sénégal, avec Ousmane Sonko au poste de Premier Ministre. Les attentes sont élevées quant à la capacité de cette nouvelle équipe à répondre aux défis économiques, sociaux et politiques auxquels le pays est confronté, et à réaliser les aspirations du peuple sénégalais pour un avenir meilleur.
En conclusion, la nomination d’Ousmane Sonko en tant que Premier Ministre marque un moment décisif dans l’histoire politique du Sénégal. C’est un pas audacieux vers une gouvernance plus inclusive et une reconnaissance des voix de l’opposition dans la direction du pays. Reste à voir comment cette nouvelle dynamique politique se traduira dans les politiques et les actions du gouvernement à venir.

Oumar Samba Ba reconduit en tant que Secrétaire général de la présidence
La continuité et la stabilité caractérisent la présidence sous le nouveau mandat de Bassirou Diomaye Faye, avec la reconduction d’Oumar Samba Ba au poste de Secrétaire général de la Présidence. Cette décision confirme la confiance accordée à M. Ba pour diriger l’administration présidentielle, un rôle qu’il occupe depuis 2020.
La reconduction d’Oumar Samba Ba peut être considérée comme une petite surprise, étant donné qu’il avait été nommé à ce poste par l’ancien Président de la République, Macky Sall. Cependant, cette décision témoigne de la reconnaissance de ses compétences et de sa capacité à assumer les responsabilités clés au sein de l’appareil gouvernemental.
En tant qu’Inspecteur général d’État, Oumar Samba Ba apporte une expertise précieuse en matière de gestion publique et de gouvernance. Son expérience et sa connaissance approfondie des rouages de l’administration font de lui un pilier essentiel de l’équipe présidentielle.
La reconduction d’Oumar Samba Ba est accueillie avec satisfaction par de nombreux observateurs, qui voient en lui un leader compétent et fiable. Sa nomination témoigne également de la volonté du Président Bassirou Diomaye Faye de maintenir une certaine continuité dans la gouvernance du pays, tout en apportant les ajustements nécessaires pour répondre aux nouveaux défis et priorités du mandat en cours.
Cette décision confirme également l’engagement du Président Faye envers la bonne gouvernance et la transparence, en conservant à des postes clés des fonctionnaires expérimentés et dignes de confiance.
En conclusion, la reconduction d’Oumar Samba Ba en tant que Secrétaire général de la présidence témoigne de la volonté du Président Bassirou Diomaye Faye de s’appuyer sur des leaders chevronnés pour diriger le pays vers un avenir meilleur. C’est un signe de stabilité et de continuité dans la gouvernance du Sénégal, tout en ouvrant la voie à de nouvelles opportunités de développement et de progrès pour tous les citoyens.
Replay – CICAD : Cérémonie d’investiture de Bassirou Diomaye Faye
Passation de pouvoir : Bassirou Diomaye Faye accompagne Macky Sall
Le Président Bassirou Diomaye Faye entame son mandat présidentiel
Après avoir prêté serment lors d’une cérémonie solennelle au Centre International de Conférences Abdou Diouf (CICAD), le nouveau Président du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, s’est dirigé vers le Palais présidentiel. Sous les acclamations de la foule rassemblée pour l’occasion, ce départ marque le début officiel de son mandat présidentiel. Les attentes sont grandes alors que le Président Faye s’apprête à relever les défis et à diriger le pays vers un avenir prometteur.

Discours Inspirant du Juge Badio Camara lors de la Cérémonie d’Investiture au CICAD
Dans le cadre de la cérémonie d’investiture qui s’est tenue au Centre International de Conférences Abdou Diouf (CICAD), le juge Badio Camara a livré un discours empreint de sagesse et d’espoir pour l’avenir du Sénégal.
Face à une assemblée attentive, le juge Camara a souligné l’importance de la démocratie et de l’état de droit dans la construction d’une société juste et équitable. Il a rappelé les valeurs fondamentales sur lesquelles repose la République et a appelé à l’unité et à la solidarité entre tous les citoyens sénégalais.
Le juge Camara a également évoqué les défis auxquels le pays est confronté, notamment sur le plan économique, social et environnemental. Il a encouragé le nouveau président et son gouvernement à faire preuve de courage et de détermination dans la mise en œuvre de politiques visant à améliorer la vie de tous les Sénégalais.
En conclusion, le juge Badio Camara a exprimé sa confiance dans le leadership du nouveau président et son engagement envers le bien-être de la nation. Son discours a été salué par l’ensemble des participants comme un appel à l’action et à la responsabilité collective pour relever les défis qui attendent le Sénégal dans les années à venir.

Portrait de Bassirou Diomaye Faye : Une ascension fulgurante vers les Sommets de l’État
De son humble village jusqu’au pinacle du pouvoir, Bassirou Diomaye Faye incarne le parcours impressionnant d’un homme élu président, porté par la promesse d’un changement radical et le soutien d’un mentor charismatique.
Surnommé affectueusement « Diomaye » (« l’honorable » en sérère), cet homme, suppléant du dirigeant Ousmane Sonko, a été élu dès le premier tour le 24 mars avec 54,28% des voix, seulement dix jours après sa libération de prison.
À 44 ans, il devient ainsi le cinquième et le plus jeune président du Sénégal depuis l’Indépendance en 1960. Son élection a été marquée par un discours axé sur la réconciliation nationale, la baisse du coût de la vie et la lutte contre la corruption.
Issu d’un milieu modeste, Bassirou Diomaye Faye a fait ses premiers pas dans l’administration des Impôts et domaines, où il a rencontré Ousmane Sonko, son mentor politique. Ensemble, ils ont formé une alliance politique puissante, incarnant la lutte pour un Sénégal plus juste et plus équitable.
Pendant trois ans, Bassirou Diomaye Faye a gravi les échelons dans l’ombre de Sonko, jusqu’à devenir le visage de leur mouvement politique. Son accession au pouvoir consacre le succès du plan B de Sonko, qui l’a désigné comme son successeur après avoir été disqualifié de la course présidentielle.
Défenseur de la souveraineté nationale et de la justice sociale, Bassirou Diomaye Faye a promis de rétablir l’équilibre des partenariats internationaux et de lutter contre les inégalités au Sénégal. Son élection marque un tournant dans l’histoire politique du pays, promettant un nouveau départ pour ses citoyens.
Né dans un village reculé, Bassirou Diomaye Faye a suivi un parcours académique brillant avant d’intégrer l’administration et de se lancer en politique. Admirateur de figures emblématiques telles que Barack Obama et Nelson Mandela, il incarne une nouvelle génération de dirigeants engagés et visionnaires.
Son ascension vers le sommet de l’État est le résultat d’une détermination sans faille et d’un engagement indéfectible envers les valeurs de justice et d’égalité. En tant que président, il est appelé à relever des défis majeurs et à ouvrir une nouvelle ère de prospérité et de développement pour le Sénégal et ses citoyens.
avec Seneweb
Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko en consultations pour former un nouveau gouvernement au Sénégal
Introduction : La formation du nouveau gouvernement au Sénégal est en cours après la passation de service qui a eu lieu ce mardi 2 avril. Les regards sont tournés vers le président nouvellement élu, Bassirou Diomaye Faye, ainsi que vers le leader de l’opposition, Ousmane Sonko, qui mènent des consultations pour déterminer la composition de ce nouveau gouvernement.
Un processus consultatif : Selon des sources rapportées par Les Echos, les consultations sont menées de manière approfondie et inclusive. Un noyau dur, principalement composé de membres du parti de Sonko, Pastef, est activement engagé dans le processus. Cependant, d’autres leaders alliés sont également impliqués, ce qui reflète une volonté de prendre en compte les différentes perspectives politiques du pays.
Inclusivité et diversité des opinions : Les consultations ne se limitent pas à un petit groupe restreint. Les différents leaders et parties prenantes sont associés à travers des documents et des projets pour exprimer leurs points de vue sur les questions majeures. Cette approche inclusive vise à garantir une représentation équitable des diverses opinions et à assurer une gouvernance démocratique et participative.
Un processus transparent : Il est à noter que ces consultations se déroulent dans un cadre transparent. Les médias sont informés des développements et des progrès réalisés dans la formation du gouvernement, ce qui renforce la confiance du public dans le processus démocratique en cours.
La formation du nouveau gouvernement au Sénégal est un processus crucial qui nécessite une approche consultative et inclusive. Sous la direction du président Bassirou Diomaye Faye et avec la participation active d’Ousmane Sonko et d’autres leaders politiques, ces consultations visent à créer un gouvernement représentatif capable de répondre aux besoins et aux aspirations du peuple sénégalais.
Le Dakarois Quotidien N°146 – du 02/04/24 – investiture du Président Bassirou Diomaye Faye : Les Grands Défis d’une Nouvelle Ère Nationale
Le Sénégal sous Diomaye Faye : Une nouvelle ère économique en renégociant avec l’Occident
Depuis son accession à la présidence le 24 mars dernier, Bassirou Diomaye Faye, le nouveau chef d’État du Sénégal, promet une révolution dans la coopération internationale. Il a déjà entrepris la renégociation des contrats pétroliers et gaziers avec les compagnies occidentales, ouvrant ainsi une nouvelle ère économique pour le pays.
En partenariat avec la Russie, le Sénégal devrait lancer cette année les projets de gaz naturel liquéfié Grand Tortue Ahmeyim et de développement pétrolier Sangomar, d’une valeur de 4,8 milliards de dollars. Ces projets positionneront le Sénégal parmi les économies à la croissance la plus rapide au monde.
Le président Faye envisage également la renégociation des contrats relatifs aux projets pétroliers et gaziers développés par BP Plc, Kosmos Energy Ltd. et Woodside Energy Group Ltd, dans le but d’augmenter les revenus nationaux. Il remet notamment en question l’accord précédent qui attribuait les gisements offshore à BP.
Cette initiative devrait engendrer des retombées économiques significatives, telles que la création d’emplois et le développement des infrastructures locales. Elle intervient après une période où le Sénégal était largement sous le contrôle d’entreprises occidentales, principalement françaises, une situation perçue comme une forme de politique coloniale ayant nui à la population locale, confrontée à un coût de la vie élevé et à un chômage persistant malgré les changements de régime.
Sous le régime de Diomaye, ces projets visent à diversifier l’économie nationale et à créer une nouvelle source de richesse, synonyme d’indépendance économique et de développement durable. Le gouvernement prévoit-il des changements concrets pour répondre aux attentes de la population ? Est-il prêt à rejoindre l’Alliance des États du Sahel (AES) pour assurer la souveraineté économique en collaboration avec Bamako, Ouagadougou et Niamey ?
Au cours de la dernière décennie, les pays du Sahel ont revu leurs relations avec les pays occidentaux, visant une plus grande indépendance économique et militaire. Le Sénégal, avec son potentiel régional et sa situation géographique stratégique, pourrait jouer un rôle clé dans cette dynamique.
Pr Mbaye Thiam : « Bassirou Diomaye Diakhar Faye comme président n’est pas une révolution mais… »
Dans une analyse nuancée, le Professeur Mbaye Thiam, historien, archiviste et enseignant à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, met en perspective l’élection de Bassirou Diomaye Diakhar Faye à la présidence de la République du Sénégal. Selon lui, cette élection ne représente pas une révolution, mais plutôt une évolution marquée par des ruptures significatives.
Dans une récente intervention sur Iradio, le Professeur Thiam a souligné que le terme « révolution » implique un changement radical du système de gouvernance et des priorités nationales. Il estime que bien que des éléments de rupture soient présents dans l’arrivée de Bassirou Diomaye Diakhar Faye au pouvoir, ces changements ne sont pas suffisamment radicaux pour être qualifiés de révolutionnaires.
Il met en lumière le fait que l’histoire enseigne que les révolutions se caractérisent par des transformations profondes et radicales dans la manière dont un pays est gouverné et dans les priorités nationales. Alors que des changements significatifs sont attendus sous la nouvelle administration, le Professeur Thiam considère qu’ils ne représentent pas une révolution au sens historique du terme.
Il insiste sur l’idée que malgré ces nuances, l’arrivée de Bassirou Diomaye Diakhar Faye au pouvoir ouvre la voie à des évolutions importantes et à des ruptures dans la gouvernance et les politiques nationales. Ces changements peuvent être perçus comme une étape dans l’évolution démocratique et politique du Sénégal, même s’ils ne constituent pas une révolution à proprement parler.
PORTRAIT | Ousmane Sonko, de farouche opposant à faiseur de roi !
« Un Deal Macky Sall – Ousmane Sonko » : Révélation explosive d’un conseiller de Macky Sall
Une révélation fracassante a secoué la scène politique sénégalaise, alors qu’un conseiller politique de Macky Sall a lâché une bombe dans les colonnes du journal Le Monde. Selon ses dires, le président sortant et Ousmane Sonko auraient eu des discussions avant les élections présidentielles, suggérant ainsi l’existence d’un accord secret entre les deux hommes.
Le diplomate sénégalais, conseiller politique du président Macky Sall, dont l’identité n’a pas été divulguée par Le Monde, a affirmé : « Macky Sall et Ousmane Sonko se sont parlés quand M. Sonko était encore en prison. Il doit y avoir un deal entre eux. » Les détails précis de cet accord demeurent flous, le conseiller n’ayant pas fourni plus d’informations à ce sujet.
Cependant, selon lui, le report des élections présidentielles, avant d’être finalement contraint par le Conseil Constitutionnel, était une manœuvre stratégique de Macky Sall. « Repousser le scrutin aurait permis à Karim Wade de se qualifier, au Pastef de présenter la candidature de leur leader. Et à Macky Sall de changer de candidat à l’heure où des sondages confidentiels annonçaient sa défaite », a-t-il ajouté.
Cette révélation soulève de nombreuses questions sur les coulisses de la politique sénégalaise et sur les alliances potentielles entre les acteurs politiques majeurs du pays. Elle met également en lumière les stratégies et les calculs politiques qui ont pu influencer le déroulement des élections présidentielles récentes, suscitant ainsi un débat intense au sein de la société sénégalaise.
Me Moussa Sarr salue la victoire de Bassirou Diomaye Faye comme une manifestation de la volonté de changement du peuple sénégalais
Suite à la victoire de Bassirou Diomaye Faye aux élections présidentielles, l’avocat Me Moussa Sarr, connu pour sa défense des opposants politiques et des détenus d’opinion au Sénégal, a exprimé ses réflexions sur cette issue historique.
Me Moussa Sarr a salué cette victoire comme une démonstration de la maturité politique du peuple sénégalais, affirmant que cela témoigne de sa volonté ferme de changement pour un Sénégal meilleur. Avec près de 55% des voix remportées dès le premier tour, Bassirou Diomaye Faye s’apprête à devenir le cinquième Président de la République du Sénégal.
Cette réaction de Me Moussa Sarr souligne l’importance de la participation civique et démocratique dans le processus électoral, ainsi que l’espoir d’un avenir meilleur porté par le désir de changement exprimé par le peuple sénégalais.
La victoire de Bassirou Diomaye Faye marque un tournant dans l’histoire politique du Sénégal, et Me Moussa Sarr, par ses mots, encourage un nouvel élan vers la construction d’une société plus juste et prospère
Analyse d’une Affaire au retentissement national Adji Sarr, réfugiée Politique en Suisse
L’affaire Adji Sarr, qui a secoué le Sénégal ces derniers mois, connaît un nouveau développement alors que la principale intéressée se retrouve désormais en Suisse sous le statut de réfugiée politique. Cette décision soulève des questions importantes et offre un regard approfondi sur les répercussions et les implications de cette affaire au retentissement national.
L’affaire a débuté lorsque Adji Sarr, une jeune masseuse, a accusé publiquement Ousmane Sonko, un leader politique sénégalais de premier plan, de viol. Les allégations ont rapidement suscité un tollé dans tout le pays, alimentant des débats passionnés et divisant l’opinion publique. La situation a été encore compliquée par le fait que Sonko était alors un candidat majeur à l’élection présidentielle.
L’affaire a été suivie de près par les médias sénégalais et internationaux, générant une couverture médiatique intense et des spéculations sans fin sur les circonstances entourant les allégations. Les déclarations publiques de toutes les parties concernées, les manifestations de soutien et de protestation, ainsi que les débats sur les réseaux sociaux ont contribué à alimenter le feu de cette controverse.
La nouvelle du départ d’Adji Sarr vers la Suisse, où elle a été accueillie en tant que réfugiée politique, a pris de court de nombreux observateurs. La décision de rechercher l’asile politique à l’étranger soulève des questions sur les motivations d’Adji Sarr et sur les conditions qui l’ont poussée à quitter le Sénégal. Certains ont interprété ce mouvement comme une tentative de fuir les pressions et les menaces perçues, tandis que d’autres ont remis en question la légitimité de sa demande d’asile politique.
Au Sénégal, la nouvelle du départ d’Adji Sarr a suscité une gamme de réactions. Certains ont exprimé leur soutien à sa décision, soulignant la nécessité de protéger les droits des victimes présumées de violences sexuelles. D’autres ont critiqué son choix de quitter le pays, remettant en question la crédibilité de ses allégations et suspectant des motivations politiques cachées derrière sa demande d’asile.
Sur le plan juridique, l’affaire continue de susciter des débats et des spéculations quant à son issue. Les partisans de Sonko maintiennent que les accusations portées contre lui sont infondées et politiquement motivées, tandis que les partisans d’Adji Sarr insistent sur la nécessité de mener une enquête approfondie et impartiale sur les allégations de viol.
Au-delà des aspects juridiques, l’affaire Adji Sarr soulève des questions plus larges sur les relations de pouvoir, la justice sociale et la représentation politique au Sénégal. Elle met en lumière les défis persistants auxquels sont confrontées les femmes en matière de violence sexuelle et d’accès à la justice, tout en illustrant les tensions politiques qui traversent la société sénégalaise.
En définitive, l’affaire Adji Sarr reste un sujet de débat et de controverse au Sénégal et au-delà. Son départ vers la Suisse en tant que réfugiée politique soulève des questions complexes sur la vérité, la justice et la responsabilité. Alors que l’enquête se poursuit et que les développements se multiplient, une chose est claire : cette affaire continuera de captiver l’attention du public et de façonner le paysage politique et social du Sénégal pour les années à venir.