8 Mars à Kanel : Forte mobilisation sous le parrainage de M. Mamadou Oumar Bocoum, inspecteur principal de classe exceptionnel

La ville de Kanel a vécu une journée mémorable ce 8 mars, journée internationale des droits des femmes, avec une mobilisation exceptionnelle sous le parrainage de M. Mamadou Oumar Bocoum, inspecteur principal de classe.

L’événement, dédié à la célébration et à la reconnaissance du rôle crucial des femmes dans la société, a été marqué par la présence inspirante de M. Mamadou Oumar Bocoum. En tant qu’inspecteur principal de classe exceptionnel, il a apporté son soutien et son engagement en faveur de l’égalité des sexes et de l’autonomisation des femmes.

La mobilisation importante de la communauté locale témoigne de la prise de conscience croissante de l’importance de promouvoir les droits des femmes et de reconnaître leurs contributions dans divers domaines. M. Bocoum, en tant que parrain de la journée, a souligné l’importance de l’éducation, de l’accès à l’emploi et de l’autonomisation des femmes pour le développement durable de la région de Kanel.

L’événement a également été l’occasion de mettre en lumière les défis persistants auxquels les femmes sont confrontées et de promouvoir un dialogue ouvert sur la manière dont la société peut travailler ensemble pour créer un environnement plus équitable et inclusif.

En conclusion, la forte mobilisation à Kanel, sous le parrainage de M. Mamadou Oumar Bocoum, reflète l’engagement collectif envers l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes, contribuant ainsi à renforcer le tissu social et promouvoir le bien-être de la communauté.

Aïda Mbodj, recalée par le parrainage, annonce son soutien à Bassirou Diomaye Faye pour la Présidentielle 2024 et règle ses comptes

Dans une décision politique surprenante, Aïda Mbodj, la présidente du parti And-Saxa Liggeey, a déclaré ce dimanche son plein soutien à la candidature de Bassirou Diomaye Faye en vue de l’élection présidentielle du 25 février 2024. Ce choix inattendu survient suite au rejet de sa propre candidature par le Conseil constitutionnel, une décision motivée par le non-respect des critères de parrainage.

” Aïda moy Sonko, Sonko moy Diomaye “

C’est avec cette déclaration symbolique que Aïda Mbodj a annoncé publiquement son engagement en faveur de Bassirou Diomaye Faye, soulignant ainsi son alignement idéologique avec le candidat tout en mettant en lumière sa proximité avec Ousmane Sonko.

L’annonce de ce ralliement a été faite lors d’une assemblée générale de son parti à Bambey, où Aïda Mbodj a exprimé son mécontentement face au rejet de sa candidature. Elle a attribué cette décision au fait qu’elle n’avait pas participé au dialogue national, déclarant avec détermination : ” Le Conseil constitutionnel a rejeté ma candidature à cause de ma proximité avec Ousmane Sonko. Mais Dieu va nous départager. On a bloqué mon dossier parce que je n’ai pas participé au dialogue (national). Mais je ne vais jamais dialoguer avec Macky Sall “.

Cette déclaration laisse entrevoir des tensions politiques croissantes à l’approche des élections présidentielles, avec des dissensions notables au sein même des partis politiques. Le soutien d’Aïda Mbodj à la candidature de Bassirou Diomaye Faye pourrait potentiellement influencer le paysage politique sénégalais et les dynamiques électorales.

Un règlement de comptes politique

Le choix de Aïda Mbodj de soutenir Bassirou Diomaye Faye peut également être interprété comme un moyen de régler des comptes politiques. La présidente du parti And-Saxa Liggeey a clairement exprimé sa désapprobation envers le Conseil constitutionnel et le gouvernement de Macky Sall, soulignant qu’elle ne dialoguerait jamais avec le président en exercice.

Cette alliance politique inattendue pourrait avoir des répercussions significatives sur la campagne électorale, avec Bassirou Diomaye Faye bénéficiant désormais du soutien d’une figure politique influente dans le pays.

Les semaines à venir seront cruciales pour évaluer l’impact de cette nouvelle alliance sur le scrutin présidentiel et observer comment ces développements façonnent le paysage politique du Sénégal. La décision d’Aïda Mbodj pourrait marquer un tournant dans la course à la présidence et influencer les choix des électeurs à l’approche de l’élection présidentielle de 2024.

Présidentielle 2024 : La Diaspora valide Karim 2024

Dans une note parvenue à la rédaction, les militants de la Coalition Karim 2024 de la diaspora sous la houlette de Abdou Khadre Diokhané, secrétaire national adjoint du PDS et responsable PDS-Italie sont montés au créneau pour bénir la candidature de leur leader.

Face au débat soulevé par certains, qui posent des questions relatives à sa nationalité française, M. Diokhané dans son discours fait ”Focus” sur la présidentielle et tresse des lauriers à ses infatigables soldats qui ont exécuté un travail remarquable lors des parrainages.

” Je tenais à vous féliciter de votre engagement et dévouement que vous avez démontré durant ce processus électoral qui est les parrainages dans vos pays respectifs.” fait-il savoir d’emblée

FOCUS KARIM 2024

”Cette belle collaboration familiale nous a permis de faire un travail au-dessus de nos attentes…. FOCUS KARIM 2024….” poursuit -il avec optimisme avant de terminer son discours pour l’unité et espoir de gagner ces joutes électorales au soir du 24 février 2024.

”L’espoir,que le peuple conscient surtout la Diaspora porte sur le candidat qui rassure Karim Meissa Wade, est un défi très prometteur pour le senegal.
Conscient de cette Responsabilité,notre frère président Karim Meissa Wade sera le président de L’ASSURANCE. Avec le frère président Karim Meissa Wade,notre cher Sénégal sera un pays dans le concert des grandes Nations. Les secteurs moteurs d’un pays Développé, industrialisé mais surtout porteurs d’espoir de la jeunesse seront considérés piliers dans le Grand Programme d’un Sénégal Pour Tous.En tant que Suppléant Délégué Régional de la Diaspora,je vous remercie de la collaboration mais surtout de la confiance envers notre frère président candidat de la Coalition K24…Ensemble, vers un devenir MEILLEUR…” a-t-il conclu

Recours de Mouhamed Ben Diop au conseil constitutionnel : Demande de réexamen de son dossier de parrainage

Mouhamed Ben Diop, leader de la coalition “Pass Pass”, a officiellement déposé un recours devant le Conseil Constitutionnel suite au rejet de sa candidature pour l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024. Dans ce recours, le candidat recalé sollicite un réexamen de son dossier de parrainage, remettant en question les circonstances du rejet de sa candidature.

Le mandataire de Mouhamed Ben Diop, Ousmane Cass Ndao, a souligné un incident technique lors de l’analyse du parrainage de leur candidat. Selon lui, la machine chargée de l’analyse s’est arrêtée à 6%, forçant la commission à la redémarrer. Ces détails, jugés importants par l’équipe de Mouhamed Ben Diop, ne figurent pas dans le procès-verbal fourni par la commission de contrôle.

Par ailleurs, l’équipe de Mouhamed Ben Diop continue de contester le grand nombre de parrains introuvables dans le fichier, y compris celui du candidat lui-même, considérant cette situation comme “aberrante”.

Le Conseil Constitutionnel a ouvert ses portes les 15 et 16 janvier pour recevoir les recours des candidats contestant la liste provisoire publiée le 12 janvier, laquelle compte 21 candidats retenus. Les sept sages du Conseil devront se prononcer sur ces recours avant la date butoir du 20 janvier, moment prévu pour la publication de la liste définitive des candidats à l’élection présidentielle de février 2024.

Parrainage : Les recours déposés avant le 12 Janvier risquent d’être rejetés

Pendant le processus de vérification des parrainages, plusieurs candidats ont déposé des recours contestant, pour la plupart, leur élimination de la course à la présidentielle. Un groupe de 27 candidats a également formulé une demande de reprise de la procédure de vérification des parrainages. Cependant, ces recours pourraient ne pas être examinés.

Le droit de réclamation est accordé à tout candidat à une élection, selon l’article L127 du code électoral, qui stipule que « les réclamations doivent parvenir au Conseil Constitutionnel avant l’expiration des quarante-huit heures qui suivent le jour de l’affichage de la liste des candidats ».

Le Conseil Constitutionnel publiera la liste provisoire des candidats ayant réussi le test du parrainage ce vendredi 12 janvier. Les candidats auront ensuite 48 heures pour déposer des réclamations. Les requêtes déposées avant cette date risquent d’être considérées comme “prématurées” par le Conseil Constitutionnel. En référence à une situation similaire en 2019, où le recours du candidat Thierno Alassane Sall, déposé avant la publication de la liste provisoire, avait été rejeté.

Cependant, les sages du Conseil Constitutionnel sont tenus de se prononcer sur les recours déposés pendant les 48 heures suivant la publication de la liste provisoire et avant la publication de la liste définitive prévue pour le 20 janvier. L’issue de cette période déterminera la validité des recours déposés par les candidats dans le cadre du processus de parrainage pour la présidentielle.

Élection Présidentielle 2024 au Sénégal : La liste des candidats ayant validé le parrainage

Dans le cadre de la course à la présidentielle de 2024 au Sénégal, 21 candidats ont franchi avec succès l’étape cruciale du parrainage, démontrant ainsi un soutien significatif et étendu à travers le pays. Ces candidats, représentant une diversité d’opinions et de mouvements politiques, ont respecté les critères requis pour concourir à la plus haute fonction de l’État.

La liste complète des candidats ayant validé leur parrainage est la suivante :

1. Boubacar Camara

2. Dethié Fall 3.

Cheikh Tidiane Dièye

4. Daouda Ndiaye

5. Karim Wade

6. Habib Sy

7. Khalifa Ababacar Sall

8. Anta Babacar Ngom

9. Amadou Bâ

10. Rose WARDINI

11. Idrissa SECK

12. Aliou Mamadou DIA

13. Serigne MBOUP

14. Papa Djibril FALL

15. Mamadou Lamine DIALLO

16. Mahammed Boun Abdallah DIONNE

17. El Hadji Malick GAKOU

18. Aly Ngouille NDIAYE

19. Elhadj Mamadou Diao

20. Bassirou Diomaye Faye

21. Thierno Alassane Sall

Cette liste diversifiée illustre la richesse du paysage politique sénégalais et annonce une compétition électorale dynamique en perspective. Les électeurs sénégalais auront le choix parmi une variété de candidats, chacun apportant sa vision et ses propositions pour le développement futur du pays.

Invalidation du parrainage : Amadou Ly « Akilee » Écarté de la course Présidentielle de 2024

La candidature d’Amadou Ly, plus connu sous le nom « Akilee », pour l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal, a été invalidée suite au contrôle du parrainage effectué par le Conseil Constitutionnel. Cette décision met fin à la participation d’Amadou Ly à la course présidentielle, le Conseil Constitutionnel estimant que le nombre de parrainages recueillis ne respectait pas les critères requis.

Le processus de contrôle du parrainage est une étape cruciale dans la préparation des candidats à l’élection présidentielle au Sénégal. Les règles stipulent que chaque candidat doit obtenir un nombre minimum de parrainages provenant d’électeurs répartis dans un certain nombre de régions du pays.

L’invalidation de la candidature d’Amadou Ly « Akilee » souligne les défis auxquels les candidats sont confrontés pour satisfaire aux exigences strictes du Code électoral sénégalais. Cette décision aura des implications importantes sur la dynamique politique en cours et sur la configuration finale des candidats éligibles pour l’élection présidentielle de 2024.

Alors que la compétition présidentielle se poursuit, les regards seront tournés vers d’autres candidats en lice, et les électeurs sénégalais observeront de près les développements ultérieurs qui façonneront le paysage politique du Sénégal dans les semaines à venir.

Dr El Hadji Abdourahmane Diouf : Invalidation de la candidature suite au contrôle de parrainage

La candidature de Dr El Hadji Abdourahmane Diouf pour l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal vient de subir un revers majeur. Dans le cadre du contrôle de parrainage, le Conseil Constitutionnel a pris la décision d’invalidation, déclarant que le nombre de parrainages recueillis par le candidat ne répondait pas au seuil minimum requis par les dispositions légales.

Cette décision place Dr El Hadji Abdourahmane Diouf en dehors de la liste des candidats éligibles à l’élection présidentielle, représentant un coup dur pour sa campagne et ses partisans. Le processus de collecte de parrainages, une étape cruciale pour tout candidat présidentiel au Sénégal, a été un obstacle insurmontable dans ce cas particulier.

Le Conseil Constitutionnel, en tant qu’organe chargé de vérifier la conformité des candidatures aux exigences électorales, a déterminé que Dr El Hadji Abdourahmane Diouf n’a pas atteint le seuil de parrainages requis par le Code électoral sénégalais.

Cette invalidation souligne l’importance des parrainages dans le processus électoral du Sénégal, visant à garantir une représentation populaire significative et à établir des critères stricts pour les candidats à la présidence. Alors que la compétition présidentielle se poursuit, cette décision aura des implications sur la dynamique politique et les choix des électeurs sénégalais dans les semaines à venir.

Bassirou Diomaye faye réussit avec succès l’étape du parrainage pour sa candidature présidentielle

Dans la course présidentielle sénégalaise de 2024, Bassirou Diomaye Faye, le plan B de l’ex-parti Pastef, a franchi avec succès l’étape cruciale du parrainage, se qualifiant ainsi pour participer à l’élection présidentielle du 25 février. Cette nouvelle apporte un soulagement aux partisans du candidat, en particulier après l’élimination d’Ousmane Sonko en raison d’un dossier incomplet.

Au départ, Bassirou Diomaye Faye devait régulariser 4 219 parrains sur 6 609 doublons externes. Cependant, il a finalement obtenu 45 729 parrains, dépassant largement le nombre requis. Cette réussite est perçue comme une bouffée d’oxygène pour les partisans qui ont vu leur candidat initial, Ousmane Sonko, éliminé en raison de problèmes de documentation.

La réussite de Bassirou Diomaye Faye dans le processus de parrainage ajoute un nouveau dynamisme à la compétition présidentielle. Alors que certains candidats ont fait face à des obstacles lors du contrôle des parrainages, d’autres, comme Bassirou Diomaye Faye, ont réussi à répondre aux exigences strictes du Code électoral sénégalais.

Cette nouvelle souligne l’importance des parrainages dans le processus électoral sénégalais et montre la détermination des candidats à surmonter les obstacles pour participer à la compétition présidentielle. Les semaines à venir promettent d’être intenses, avec les candidats ajustant leurs stratégies et les électeurs sénégalais observant de près chaque développement dans cette course cruciale pour la présidence.

Un informaticien met en lumière les failles du système de parrainage au conseil constitutionnel

L’informaticien Abdou Diarra Cissé a récemment soulevé des préoccupations majeures concernant le processus de vérification des parrainages par le Conseil constitutionnel au Sénégal. Selon ses déclarations, le système présente des irrégularités et un manque de transparence, mettant en doute l’intégrité du processus électoral.

Après une analyse approfondie des résultats de la vérification des parrainages, Abdou Diarra Cissé, qui agit au nom du candidat “Mansour 2024”, a affirmé avoir constaté que de nombreux parrains considérés comme non-identifiés dans le fichier électoral étaient pourtant conformes. Cette révélation jette une ombre sur la légitimité du processus de collecte des parrainages, remettant en question la fiabilité des critères utilisés par le Conseil constitutionnel.

La coalition politique “Mansour 2024” a organisé une conférence de presse ce lundi pour partager ces conclusions inquiétantes. Lors de cette rencontre, des représentants de la coalition ont exposé en détail les résultats de l’analyse effectuée par l’informaticien, mettant en évidence des failles apparentes dans le système de vérification des parrainages.

Des Parrains Non-Identifiés, mais Conformes : L’informaticien a spécifiquement noté que des individus considérés comme des parrains non-identifiés sur le fichier électoral se sont avérés être conformes aux critères requis pour la validation des parrainages. Cette constatation soulève des questions fondamentales sur la fiabilité des données utilisées par le Conseil constitutionnel et suscite des inquiétudes quant à la possibilité d’erreurs systémiques.

Manque de Transparence dans le Processus : Abdou Diarra Cissé a également mis en avant le manque de transparence dans le processus de vérification des parrainages. Il a appelé à une révision urgente des méthodes utilisées par le Conseil constitutionnel, soulignant l’importance de garantir un processus électoral équitable et transparent.

Réaction de la Coalition “Mansour 2024” : La coalition politique “Mansour 2024” a exprimé son mécontentement face à ces révélations et a appelé à une action immédiate pour remédier aux failles constatées. Les représentants de la coalition ont souligné l’importance de préserver l’intégrité du processus démocratique et ont demandé des réponses du Conseil constitutionnel.

La situation actuelle souligne l’importance cruciale de garantir la transparence et l’équité dans le processus électoral, et les allégations de l’informaticien Abdou Diarra Cissé pourraient avoir un impact significatif sur la confiance du public dans le système politique du pays. Des développements ultérieurs sont attendus à mesure que cette affaire évolue. Les citoyens et les observateurs attentifs surveilleront de près les réponses du Conseil constitutionnel et les actions de la coalition “Mansour 2024” dans les jours à venir.

Élimination d’Amsatou Sow Sidibé et Aïda Mbodj de la course présidentielle : Fin du parcours pour deux candidates

Ce vendredi 5 janvier, la liste des candidats déclarés pour l’élection présidentielle de 2024 a connu une nouvelle modification avec l’élimination d’office de deux femmes, Amsatou Sow Sidibé et Aïda Mbodj.

Amsatou Sow Sidibé a été écartée en raison d’un dossier incomplet. Selon la commission de vérification des parrainages, l’attestation de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) était absente de son dossier, ce qui a conduit à son élimination.

Quant à Aïda Mbodj, elle n’a pas réussi à obtenir le nombre minimum de parrains requis. Sur les 20 865 parrains qu’elle a validés, 17 043 ont été identifiés comme des doublons externes, totalisant ainsi 37 908 parrains. Cette situation ne respecte pas les critères exigés pour la validation de la candidature.

Actuellement, seule Anta Babacar Ngom demeure dans la course présidentielle parmi les candidates féminines. Cependant, Rose Wardini pourrait rejoindre la compétition en régularisant 31 000 parrains, ouvrant ainsi la possibilité d’une présence significative de femmes dans cette élection.

Parrainage : La Candidature de Sonko invalide, une décision du conseil constitutionnel

Dans le cadre du strict contrôle du parrainage pour l’élection présidentielle de 2024, une nouvelle importante vient de secouer le dossier de Ousmane Sonko. Le Conseil Constitutionnel a pris la décision d’invalider sa candidature en raison d’un dossier incomplet, notamment l’absence cruciale de l’attestation de la Caisse des Dépôts et des Consignations.

La réglementation électorale impose des critères stricts pour la validation des candidatures, et l’absence de cette attestation a été identifiée comme une lacune majeure dans le dossier de Sonko. Cette décision du Conseil Constitutionnel remet en question la participation de Sonko à l’élection présidentielle de 2024, le positionnant comme le principal opposant au régime en place et une possible menace pour le candidat Amadou Ba.

Cette nouvelle développement aura des implications significatives sur le paysage politique et électoral, ouvrant la voie à des ajustements et des réactions de la part des partis politiques et des électeurs. Le processus électoral au Sénégal continue d’évoluer, et cette décision contribuera certainement à façonner le paysage politique à l’approche des élections.

Contrôle du parrainage : Momar Ndao (Ascosen) écarté de la Présidentielle 2024

Le Conseil Constitutionnel a pris la décision d’écarter la candidature de Momar Ndao, représentant de l’Ascosen, lors du processus de contrôle du parrainage pour l’élection présidentielle de 2024.

Dossier Non Conforme :

La candidature de Momar Ndao a été rejetée en raison de plusieurs facteurs. Avec seulement 1 246 parrains valides, le nombre nécessaire pour satisfaire aux exigences minimales n’a pas été atteint. En outre, le Conseil Constitutionnel a identifié un nombre étonnant de 41 748 doublons externes dans les parrainages, ajoutant à l’invalidation du dossier.

Réaction du Conseil Constitutionnel :

Le Conseil Constitutionnel a justifié sa décision en déclarant que la candidature de Momar Ndao ne répondait pas aux critères légaux établis pour le parrainage. Les doublons externes ont été considérés comme une irrégularité majeure, renforçant la position du Conseil dans le rejet de la candidature.

Conséquences pour Momar Ndao :

Cette décision place Momar Ndao en dehors de la course présidentielle de 2024. Malgré ses aspirations, le non-respect des conditions de parrainage a mis fin à ses espoirs de participer à l’élection présidentielle.

L’Ascosen et les partisans de Momar Ndao sont confrontés à la réalité de cette exclusion, et la décision du Conseil Constitutionnel souligne l’importance cruciale de satisfaire aux exigences du parrainage pour garantir la légitimité des candidatures.

Me Moussa Diop confronté à un obstacle majeur : Son dossier de parrainage jugé incomplet

Le candidat Me Moussa Diop fait face à une mauvaise nouvelle dans le cadre du contrôle du parrainage en vue de l’élection présidentielle de 2024. Le Conseil Constitutionnel a déclaré que son dossier est incomplet, entraînant ainsi l’invalidation de sa candidature.

Le parrainage, instauré pour garantir la transparence et l’équité du processus électoral, impose à chaque candidat de recueillir un nombre spécifique de signatures provenant d’élus locaux et nationaux.

Dans le cas de Me Moussa Diop, le Conseil Constitutionnel a précisé que le candidat n’avait pas fourni l’attestation de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), ce qui a automatiquement conduit à l’invalidation de sa candidature.

L’attestation de la CDC, certifiant la solvabilité financière du candidat, est considérée comme une pièce essentielle dans le processus de contrôle du parrainage. Cette situation pose un défi majeur pour Me Moussa Diop, qui devra rapidement régulariser son dossier pour maintenir ses aspirations présidentielles.

Bougane Gueye face à un défi de taille : 19 000 parrains à régulariser pour sauver sa candidature

La candidature de Bougane Gueye, leader du mouvement Gueum Sa bopp, est confrontée à une sérieuse menace après la vérification de ses parrainages le 5 janvier. Il apparaît que le patron de Dmedia doit régulariser 19 000 parrains s’il souhaite demeurer dans la course à la présidentielle, n’ayant validé que 25 000.

Selon le mandataire de Bougane Gueye, la situation découle en partie de la position obtenue lors du tirage au sort. Malgré cela, la validation de seulement six régions sur le minimum requis de sept ajoute à la complexité de la situation. Un déficit régional supplémentaire nécessite également d’être comblé.

Le mandataire de Bougane Gueye affirme qu’ils disposent d’un stock de parrains suffisant pour relever ce défi. “Nous avons un stock suffisant, donc nous allons nous mettre au travail dès maintenant”, assure-t-il.

Cette situation place Bougane Gueye devant un défi de taille, nécessitant une mobilisation rapide et efficace pour rassembler les parrainages requis et garantir la pérennité de sa candidature à l’élection présidentielle de 2024.

Tentative de fraude au parrainage : Thierno Cissé avoue ses méfaits et risque des poursuites judiciaires

Thierno Cissé, un candidat indépendant à l’élection présidentielle de 2024, a été arrêté jeudi pour avoir soumis une liste de 13 faux députés lors du processus de parrainage au Conseil constitutionnel. L’informaticien âgé d’une cinquantaine d’années a reconnu les faits sans réserve lors de son interrogatoire, indiquent des sources de Seneweb.

Thierno Cissé a déclaré aux enquêteurs qu’il était déterminé à participer coûte que coûte à l’élection présidentielle de 2024. Bien qu’il n’ait affilié à aucun parti politique, il a avoué avoir présenté une liste de parrains fictifs dans l’espoir de s’assurer une place sur le bulletin de vote. Il a affirmé être prêt à assumer les conséquences de ses actions.

Le candidat indépendant a également retiré un chèque de 30 millions de francs CFA, déposé comme caution pour sa candidature. Après son interrogatoire, Thierno Cissé a été placé en garde à vue pour fraude sur le parrainage et faux et usage de faux.

En attendant son passage devant le parquet de Dakar, qui pourrait avoir lieu ce vendredi matin, Thierno Cissé risque des poursuites judiciaires pour tentative de fraude électorale. Cette affaire souligne l’importance des mesures de vérification rigoureuses mises en place pour garantir l’intégrité du processus électoral.

Un candidat à la présidentielle arrêté par la Dic pour fraude au parrainage au Conseil Constitutionnel

Dans un rebondissement choquant, Thierno Cissé, candidat de la coalition Major 2024, a été appréhendé par la Division des Investigations Criminelles (Dic) alors qu’il s’apprêtait à passer à la 76e position pour les vérifications des parrainages au Conseil Constitutionnel. La fraude alléguée concerne une fausse liste de 13 députés qui auraient prétendument parrainé sa candidature. Restez informés pour plus de détails sur cette affaire en développement.

Mame Boye Diao : Échec au contrôle de parrainage, une course contre la montre pour régulariser

La commission de contrôle des parrainages au Conseil constitutionnel a rendu son verdict, et pour Mame Boye Diao, candidat à la Présidentielle de 2024 sous la bannière de la Coalition pour un Sénégal Nouveau, c’est une déception. En ce quatrième jour d’examens, il n’a pas réussi à réunir le minimum requis de parrainages, se retrouvant ainsi en situation délicate.

Mame Boye Diao, également maire de Kolda, a validé 32 278 parrainages sur un seuil fixé à 44 231, laissant son dossier incomplet face aux exigences électorales. Cette situation met le candidat devant une course contre la montre pour régulariser sa candidature avant la clôture officielle du processus.

La bataille pour la collecte de parrainages est une étape cruciale pour tous les candidats, nécessitant une organisation méticuleuse et un effort soutenu. L’échec initial de Mame Boye Diao souligne l’importance de la rigueur dans la préparation des dossiers de candidature et de la mobilisation pour obtenir le soutien nécessaire.

La situation actuelle oblige le candidat à intensifier ses efforts afin de compléter son dossier dans les délais impartis. Dans le contexte politique tendu de la course présidentielle, chaque détail compte, et la régularisation rapide du dossier devient impérative pour Mame Boye Diao s’il souhaite maintenir ses ambitions présidentielles pour l’élection de 2024.

Ibrahima Abou Nguette : Invalidation de sa candidature après contrôle de parrainage

La candidature d’Ibrahima Abou Nguette pour l’élection présidentielle est compromise suite à l’invalidation de son dossier de parrainage par le Conseil constitutionnel. La raison principale de cette décision est un dossier incomplet, le candidat ayant omis de joindre une attestation à la quittance de la Caisse des Dépôts et des Consignations.

Le contrôle de parrainage, étape cruciale du processus électoral, a révélé cette lacune dans le dossier de candidature d’Ibrahima Abou Nguette. Cette omission a conduit à l’invalidation de sa candidature, mettant ainsi fin à ses aspirations présidentielles pour le scrutin à venir.

Cette décision souligne l’importance de la rigueur dans la préparation des dossiers de candidature, en particulier lorsqu’il s’agit de fournir les documents requis par les autorités électorales. Les candidats sont tenus de respecter scrupuleusement les exigences légales et administratives pour garantir la validité de leur participation à l’élection présidentielle.

Le Conseil constitutionnel, en tant qu’organe chargé de superviser le processus électoral et de garantir la conformité aux lois électorales, a pris cette décision en accord avec les dispositions en vigueur. L’invalidation d’une candidature pour des raisons administratives met en lumière l’importance du respect des procédures électorales pour tous les candidats.

Alpha Thiam écarté de la Présidentielle 2024 : Un contrôle de parrainage sans clémence

Dans un revirement brutal du destin, les aspirations présidentielles d’Alpha Thiam pour 2024 sont anéanties, le Conseil constitutionnel ayant prononcé un verdict implacable lors du contrôle de parrainage.

Malgré des efforts acharnés et la validation de 6312 parrains, Alpha Thiam fait face à une dure désillusion. La candidature du politicien a été compromise en raison de la présence de 27 767 doublons, mettant fin abruptement à son rêve de participer à l’élection présidentielle.

Ce coup dur souligne les enjeux cruciaux du processus de parrainage, une étape incontournable pour tout candidat aspirant à la plus haute fonction de l’État. Les doublons détectés ont jeté une ombre sur la légitimité de la candidature d’Alpha Thiam, laissant la porte grande ouverte à des spéculations sur les raisons de cette anomalie.

L’écartement d’Alpha Thiam de la course présidentielle 2024 souligne également l’importance d’une organisation rigoureuse dans la collecte des parrainages, une leçon précieuse pour les candidats futurs. L’annonce de son recalage est susceptible d’avoir un impact significatif sur la scène politique, suscitant des réactions et des interrogations au sein de l’opinion publique.

Pour Alpha Thiam, cette déconvenue représente un obstacle majeur, mettant en lumière les défis inhérents à la participation à une élection présidentielle. La manière dont il réagit à cette situation délicate et les décisions qu’il prendra dans les jours à venir restent à observer, car elles pourraient façonner le cours de sa carrière politique.

Cette élimination prématurée souligne la nécessité pour les candidats de naviguer avec prudence et efficacité à travers les différentes étapes du processus électoral. La politique, en particulier dans le contexte d’une élection présidentielle, reste un terrain exigeant où la résilience et la stratégie sont souvent mises à l’épreuve.

En conclusion, le revers subi par Alpha Thiam lors du contrôle de parrainage pour la présidentielle 2024 souligne les défis et les exigences rigoureuses du processus électoral au Sénégal, offrant une réflexion sur la complexité de la voie vers la plus haute magistrature du pays.

Anta Babacar Ngom, première dame de la Présidentielle 2024 : La réussite du parrainage ouvre la voie à une campagne remarquée

Alors que l’examen des dossiers de candidature pour l’élection présidentielle du 25 février 2024 se poursuit au Conseil constitutionnel, une candidate a particulièrement retenu l’attention. Anta Babacar Ngom a franchi avec succès l’épreuve du parrainage, validant ainsi son ticket pour la course à la présidence.

Ce jeudi, quatrième jour de la commission de contrôle des parrainages, Anta Babacar Ngom, entrepreneure et Présidente du mouvement Alternative pour une relève citoyenne (ARC), a réussi brillamment cette étape cruciale. Son dossier de candidature a été approuvé avec un impressionnant total de 45 238 parrainages, couvrant 10 régions du pays.

La validation de sa candidature la propulse parmi les candidats retenus pour l’élection présidentielle, rejoignant ainsi le groupe des admis comprenant des figures telles que Boubacar Camara, Cheikh Tidiane Dièye, Déthié Fall, Pr Daouda Ndiaye, Khalifa Ababacar Sall, Habib Sy, et Karim Wade.

Agée de 39 ans, Anta Babacar Ngom, directrice générale du groupe Sedima et fille du fondateur du groupe, se positionne désormais comme l’une des forces majeures dans la compétition présidentielle de février 2024. Son leadership à la tête du mouvement ARC et son expérience en tant qu’entrepreneure apportent une dynamique nouvelle à la scène politique.

La réussite d’Anta Babacar Ngom au processus de parrainage ouvre la voie à une campagne électorale potentiellement remarquée. Sa candidature apporte une diversité d’idées et de perspectives, promettant un débat électoral riche et animé dans les semaines à venir.

Alors que la présidentielle de 2024 se profile à l’horizon, Anta Babacar Ngom incarne l’esprit de renouveau et de diversité dans la course à la magistrature suprême. Les électeurs sénégalais peuvent s’attendre à des débats passionnants et à une compétition électorale stimulante avec l’entrée en lice de cette nouvelle candidate, ouvrant ainsi de nouvelles possibilités pour l’avenir politique du pays.

Rejet de la candidature de Me Amadou Aly Kane : Appel à la réforme du système de parrainage et proposition de coalition

Le 30 décembre 2023, le Conseil Constitutionnel a invalidé la candidature de Me Amadou Aly Kane, malgré le dépôt d’un dossier complet comprenant plus de 50 000 parrains. Des anomalies, notamment le retrait de 10 000 parrains pour absence de mention de la région à l’en-tête de la clé, ont été relevées lors du contrôle. Face à cette situation, Me Amadou Aly Kane a publié un texte sur sa page Facebook, soulevant des circonstances douteuses et appelant à la réforme du système de parrainage.

Le candidat écarté a rappelé que son dossier de candidature, déposé par son mandataire, comportait plus de 50 000 parrains, dont plus de 2000 provenant de 8 régions du Sénégal. Cependant, au cours du contrôle, 10 000 parrains ont été retirés au motif qu’il n’a pas été mentionné à l’en-tête de la clé le nom de la région concernée. Me Amadou Aly Kane a souligné que le récépissé de dépôt mentionnait pourtant l’origine géographique des parrains retirés.

Parmi les autres problèmes soulevés, on compte le diagnostic unilatéral de 18 084 parrains ne figurant pas au fichier électoral, un fichier non produit lors de la séance de contrôle. De plus, 9 134 doublons externes et 5 540 doublons internes ont été décomptés, malgré l’utilisation d’un logiciel signalant automatiquement ces cas.

Ce rejet de candidature met en lumière les défis et les controverses entourant le processus électoral au Sénégal, soulignant la nécessité d’une réflexion approfondie sur la transparence et l’équité dans le système de parrainage. L’appel à la formation d’une coalition suggère une volonté commune de certains candidats de faire entendre leur voix malgré les obstacles rencontrés. La suite de cette situation pourrait avoir des implications significatives sur la scène politique sénégalaise à l’approche de l’élection présidentielle.**

Cheikh Tidiane Dieye valide son parrainage avec 50 000 signatures

Le candidat Cheikh Tidiane Dieye a franchi avec succès l’étape du parrainage, selon les informations fournies par son mandataire, Julien Sagna. Ce dernier affirme que le candidat a obtenu “50 000 parrains”.

Le dossier de Cheikh Tidiane Dieye a été examiné dans l’après-midi de ce samedi 30 décembre au Conseil Constitutionnel. Contrairement à lui, la candidate Rose Wardini devra revoir ses fiches de parrainage afin de remplacer des doublons externes.

Après la validation du parrainage de Cheikh Tidiane Dieye, le dossier d’une autre figure de l’opposition, Dethié Fall, sera examiné.

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