LÉGISLATIVES 2024 / ENTRETIEN AVEC KÉBA KANTÉ : « Aucun leader du PDS investi par ‘Takku Wallu’ ne peut gagner au niveau de son département »

Le Dakarois Quotidien a rencontré Kéba Kanté, ancien membre de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY), aujourd’hui rallié au Parti Démocratique Sénégalais (PDS). Dans cet entretien, il revient sur son parcours, les raisons de son départ de BBY, son engagement au sein du PDS et la formation de la coalition « Takku Wallu Sénégal ».

Le Dakarois Quotidien (LDQ) : Vous avez quitté Benno Bokk Yaakaar après les législatives de 2022. Pourquoi cette décision ?

Kéba Kanté (KK) : Mon départ de BBY était une décision réfléchie. Après les élections législatives, j’ai estimé que la coalition ne correspondait plus à mes aspirations politiques. J’avais déjà écrit ma lettre de démission avant même que les résultats ne tombent. Mon engagement avec BBY n’était que par ricochet, via le docteur Cheikh Kanté, mon père, qui avait rejoint la coalition. Pour ma part, j’avais un mouvement de soutien pour le président Macky Sall, mais j’avais toujours eu la conviction que ma véritable famille politique était le PDS.

LDQ : Pourquoi avoir rejoint le PDS ?

KK : Le PDS, c’est une histoire familiale pour moi. Mon père a démarré sa carrière politique avec Abdoulaye Wade, et j’ai toujours ressenti un lien fort avec ce parti. Dès 2017, j’avais envisagé d’y adhérer, mais je devais d’abord finir ce que j’avais commencé avec BBY. Après deux mandats de Macky Sall, et une majorité difficilement obtenue aux législatives, j’ai pris la décision de rejoindre officiellement le PDS. Le 12 octobre, j’ai annoncé mon adhésion au parti, qui représente pour moi des valeurs que je partage profondément.

LDQ : Vous avez parlé de critiques internes à BBY. Avez-vous toujours été en désaccord avec la coalition ?

KK : Oui, dès le début, il y avait des divergences. J’étais perçu comme un opposant interne, surtout à Fatick où j’ai formulé de nombreuses critiques contre les leaders locaux de BBY. Certains disaient que je voulais créer mon propre parti, d’autres que j’étais toujours un militant du PDS. Ces critiques n’étaient pas sans fondement, car au fond de moi, je savais que le PDS était ma vraie famille politique.

LDQ : Que pensez-vous de l’alliance actuelle entre le PDS et l’APR pour les législatives de novembre 2024 ?

KK : Honnêtement, nous n’avons pas été consultés (lui et ses camarades de parti) lors de la formation de la coalition ‘Takku Wallu’. Je n’ai reçu aucune lettre émanant de Karim Wade. Jusqu’à présent, je n’ai vu aucune note officielle concernant cette union. Pour moi, le PDS aurait dû aller seul aux élections. Cela aurait été l’occasion de montrer notre force réelle sans s’appuyer sur des alliances. Ce sont des décisions stratégiques que je respecte, mais j’aurais préféré un autre scénario.

LDQ : Quels sont vos projets au sein du PDS ?

KK : Je n’ai aucune ambition de diriger le parti ou de briguer un poste de responsabilité. Mon engagement est de travailler pour l’unité et la cohésion au sein du PDS. Il est important de rassembler les militants, de remobiliser les troupes et de préparer la nouvelle génération à prendre le relais. Je suis là pour faciliter ce processus et jouer les bons offices.

LDQ : Quel pronostic faites-vous des législatives ?

KK : Aucun. En effet, je ne fait partie d’aucune liste, Karim non plus. J’avais promis de soutenir la liste sur laquelle Karim serait investi. Et ce n’est pas le cas. Tout ce que je peux dire est que les choses ont mal démarré pour le PDS. Certains leaders n’ont même pas de base politique. Ces vieux qui ont été à maintes reprises parlementaires, devaient laisser la place aux plus jeunes. Ces gens ne pourront jamais gagner au niveau de leurs départements. Par exemple, Fatou Sow, celle-là, si elle participait à des élections locales, c’est sûr qu’elle aurait terminé dernière.

LDQ : Donnerez-vous un consigne de vote ?

Non, sans façon. Je préfère m’abstenir pour ces élections.

LDQ : Quelle aperçu avez-vous pour la politique sénégalaise ?

KK : La politique doit être un espace de respect, d’idées et de propositions. Trop souvent, elle est dégradée par les injures et les accusations gratuites. Nous devons passer à une politique plus constructive, où les critiques sont accompagnées de solutions. Les dirigeants, qu’ils soient au pouvoir ou dans l’opposition, doivent être respectés et respectueux. C’est ce que je prône pour l’avenir du Sénégal.

LDQ : Pour conclure, avez-vous un message pour vos collègues politiciens ?

KK : Oui, je leur dirai de rester intègres et fidèles à leurs convictions. La politique, c’est une question de conviction et non d’intérêt personnel. Ils doivent s’engager pour des causes qui les dépassent et travailler pour le bien de leur communauté, tout en respectant les principes de démocratie et de transparence. À Diomaye et à Sonko, je dirai de ne pas être dans la vengeance et de maintenir la liberté d’expression pour une cohésion sociale. Quant à Bougane Gueye Dany, j’aimerais qu’il arrête ses nombreuses sorties. Il fait des points de presse à tout-va, pour un rien. Certains discours ne sont pas nécessaires.

Momo CISSÉ et A.S

YouTube video player

Entretien : Kéba Kanté mayoul dara wa PDS « ay guénou beuy laniou » – Fatou Sow ak Saliou Dieng…

Le PDS et l’APR forment une coalition politique majeure en vue des législatives anticipées de novembre 2024

Après plusieurs jours de spéculations, c’est désormais officiel : le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) et l’Alliance Pour la République (APR) ont décidé de s’unir pour les élections législatives anticipées du 17 novembre 2024. Cette annonce a été faite à la suite d’une réunion de haut niveau tenue ce dimanche à la Permanence Nationale Oumar Lamine Badji.

Les deux formations politiques ont exprimé leur volonté de créer une grande coalition, ouverte non seulement à leurs alliés habituels, mais également à toutes les autres forces politiques intéressées par ce projet. L’objectif affiché est clair : remporter une victoire décisive lors du prochain scrutin législatif.

Cette alliance a pour but de répondre aux défis sociaux et économiques auxquels fait face le Sénégal. En ce sens, les deux partis ont souligné l’importance de rassembler les forces politiques et citoyennes autour de leur projet, notamment pour mieux répondre aux attentes des Sénégalais.

Autre point marquant de cette rencontre : le PDS a officialisé son adhésion à l’Alliance pour la Transparence Électorale (ATEL), une initiative portée par l’APR. Ce geste symbolique souligne l’engagement des deux partis en faveur d’une gestion transparente et équitable du processus électoral, un point sur lequel le PDS a toujours été très vocal.

Pour mettre en œuvre cette coalition politique, un comité technique paritaire a été mis en place. Il sera chargé d’élaborer les modalités pratiques de l’élargissement de l’alliance et de coordonner les actions en vue des élections.

Avec cette nouvelle dynamique, le paysage politique sénégalais se prépare à une campagne électorale intense, où cette coalition pourrait bien peser lourd dans la balance des prochaines législatives.

Législatives anticipées : une coalition en préparation entre l’APR et le PDS

Les tractations politiques s’accélèrent à l’approche des législatives anticipées. Selon des informations obtenues par Ledakarois.sn, l’Alliance pour la République (APR) et le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) sont en pourparlers pour la formation d’une coalition.

Les deux partis, traditionnellement opposés, seraient en train de travailler sur un schéma commun pour affronter les élections prévues en novembre. Une réunion cruciale est prévue cet après-midi au siège du PDS, où les représentants des deux formations politiques devraient tenter de finaliser cet accord stratégique.

Si cette coalition venait à se concrétiser, elle marquerait un tournant majeur dans le paysage politique sénégalais, regroupant deux des plus grandes forces du pays. D’ici quelques heures, les deux partis devraient officialiser ou non ces discussions, donnant ainsi une indication claire de la direction qu’ils souhaitent emprunter pour ces élections décisives.

Crise au sein du PDS : Les militants pro-Woré Sarr dénoncent des dysfonctionnements majeurs

Des voix dissidentes se lèvent au sein du Parti Démocratique Sénégalais (PDS). Réunis autour de Woré Sarr, secrétaire générale adjointe chargée des Femmes, ces militants ont exprimé leur profonde préoccupation face à la gestion actuelle du parti. Dans un communiqué parvenu à Dakaractu, ils révèlent une série de manquements graves qui, selon eux, minent la structure démocratique du PDS.

Les militants pro-Woré Sarr déplorent notamment l’absence de réunions régulières des organes dirigeants du parti. « Le Bureau Politique ne s’est pas réuni depuis 2015. Le Secrétariat National, quant à lui, n’a jamais tenu de réunion depuis sa mise en place en 2019, et le comité directeur est resté inactif depuis la même année », affirment-ils. Ces constats soulèvent de vives inquiétudes quant à la gouvernance interne du parti et à sa capacité à faire face aux enjeux politiques actuels.

Pire encore, les renouvellements censés renforcer l’organisation du parti auraient été entachés, selon plusieurs témoignages, « d’abus, d’irrégularités inacceptables et de dysfonctionnements majeurs ». Ces militants dénoncent une violation flagrante des textes qui régissent le fonctionnement du PDS, une situation aggravée par des décisions arbitraires de nomination à des postes électifs. Ils estiment que ces pratiques sapent les fondements démocratiques du parti, éloignant ainsi les bases militantes des réalités politiques du moment.

La gestion centralisée et les décisions prises sans consultation préalable des militants constituent, selon eux, une autre source de frustration. « Certaines décisions majeures qui engagent le parti sont prises sans concertation préalable et n’emportent généralement pas l’adhésion des militants et militantes », regrettent-ils. Cette absence de dialogue a engendré une profonde crise de confiance au sein du parti, accentuant la démobilisation des troupes et fragilisant davantage les principes démocratiques qui ont toujours fait la force du PDS.

Alors que le Sénégal se trouve à l’aube de grandes recompositions politiques, ces dissidents estiment que la base militante du parti est laissée à elle-même, coupée des réalités du terrain. La crise interne qui secoue le PDS pourrait ainsi avoir des répercussions majeures sur sa capacité à jouer un rôle clé dans les prochaines échéances électorales.

Face à cette situation, les militants pro-Woré Sarr appellent à une refonte profonde de la gouvernance du parti, avec une meilleure implication des militants de base et le respect des principes démocratiques qui régissent son fonctionnement.

Des dissensions au sein du PDS : Des femmes contestent les nominations de Me Wade en justice

Un groupe de femmes membres du Parti démocratique sénégalais (PDS) a lancé une procédure judiciaire contre les récentes nominations faites par Abdoulaye Wade, le secrétaire général national du parti. Les nominations de Fatou Sow en tant que présidente et de Ndèye Astou Camara en tant que secrétaire générale de la Fédération nationale des femmes du PDS ont provoqué une réaction ferme parmi certaines membres du parti.

Selon un rapport de Igfm, ces femmes, mécontentes de la décision de Wade, ont saisi le juge des référés pour demander l’annulation de ces nominations. Elles argumentent que ces nominations vont à l’encontre des règlements internes du parti, qui stipulent que ces postes devraient être électifs plutôt que nominatifs.

Yandé Fall, l’une des porte-parole du groupe contestataire, a exprimé leur position dans une vidéo publiée récemment : « Ces décisions sont en porte-à-faux avec les textes qui régissent notre formation politique, précisément notre règlement intérieur. C’est pourquoi […] avons saisi le juge des référés pour annuler les décisions qui nomment la présidente et la secrétaire générale des femmes du parti. Parce que ces postes ne sont pas nominatifs, mais électifs ».

Elle a également déclaré que l’audience devant le juge des référés est prévue pour le mois de juillet, et malgré des obstacles rencontrés lors du dépôt de l’assignation à la permanence du parti, ils ont réussi à faire parvenir le courrier à la ville de Dakar conformément à la loi.

La contestation interne semble se durcir, avec des membres influents comme Woré Sarr ayant déjà démissionné en signe de protestation. Yandé Fall a averti que le parti ne pourrait pas ignorer la convocation du juge, une fois que celle-ci sera effectuée.

Cette affaire met en lumière des tensions croissantes au sein du PDS, exacerbées par des divergences sur la manière dont les nominations et les décisions administratives sont prises, en particulier en ce qui concerne les postes clés au sein de la fédération des femmes du parti.

LE PDS UN PATRIMOINE A SAUVEGARDER

chers freres et soeurs du parti democratique senegalais a quelques semaines de l’anniversaire des 50 ans du premier parti politique legalement constituè en afrique et le premier a acceder democartiquement au pouvoir par le sufrage direct l’heure est a l’introspection .

Au regard de son parcour et celui de son leader charismatique nous avons beaucoup de fierte de militer dans ce grand parti une veritable pepiniere de leadersCest avec stupefication que jai appris la demission de notre soeur WORE SARR une icone du pds celle dont le nom l’image et le parcour se confondent au logo du parti.

Elle a connu la traversee du desert d’avant pouvoir accompagné le president wade et soutenu son frere karim wade durant les moments difficile dapres pouvoir marches meetings va et viens au tribunal de la crei restee droite dans ses bottes pour defendre le parti son SGN et son eternel candidat aux abonnes absentLe seul responsable de nos frustrations a pour nom KARIM MEISSA WADE incapable de repondre a lappel de la patrie se jouant des militants sur des pretextes fallacieux il devrait aujourd’hui nous respecter revenir au bercail rassembler tout le monde presenter ses excuses et redonner un nouveau souffle a la machine mais que neni

Apres nous avoir tenu en haleine pendant douze ans ayant lui meme annoncé dans son adresse de nouvel an la fin de son exil il reste toujours invisible preferant se manifester par une epee coupe tete tenue par un valet lui obeissant au doigt et a loeil avec comme agenda decapiter notre patrimoine commun.

Je plains les victimes et ceux qui assistent indifferent a ce carnage tout en se defaussant sur les seconds couteaux pour preserver le commenditaire sachez le vous etes les complices tacite d’une haute trahisonPour ses 98 bougies cest ce que vous lui avez trouvé d’aussi nauseabond cadeau lui faire porter a son insu la signature de la deloyauté et de la trahison WORE SARR est la face visible de lisberg

Annuler une assemblee generale delection de responsable du mouvement des femmes sur des pretextes fallacieux face a un electorat qui lui etait largement favorable pour revenir mettre une autre a sa place en violation flagrante des textes du parti est la pillule de trop que nous n’avelerons jamais.

KARIM MEISSA WADE ce parti est un heritage commun que votre illustre pere a battit avec de grands patriotes comme MARCEL BASSENE, FARA NDIAYE. BOUBACAR SALL le doyen MEISSA SALL et tant dautres des generations y sont passees et denormes sacrifices consenties tu nas pas le droit de detruire ce leg tu nas pas la legitimite de renvoyer le plus petit des militants puisque les textes ne le permettent pointA mes soeurs liberales restez debout pour dire non a cette enieme forfaiture

BEUT BOU ROUSSOUL TODJE

Amadou Bamba Seydi
Militant PDS USA

Doudou Wade : « Il est temps de décharger Abdoulaye Wade »

Dans une sortie médiatique qui risque de marquer un tournant décisif dans l’histoire du Parti démocratique sénégalais (PDS), Doudou Wade, ancien président du groupe parlementaire du parti, a ouvertement remis en question la capacité d’Abdoulaye Wade à diriger le parti. Cette déclaration fracassante est intervenue lors de son apparition à l’émission « Grand Jury » sur la Rfm.

Le principal point soulevé par Doudou Wade concerne l’âge avancé de Abdoulaye Wade, qui approche désormais les 98 ans. Il a exprimé des inquiétudes quant à la capacité de l’ancien président à assumer pleinement ses responsabilités au sein du PDS, citant notamment des questions sur l’authenticité des documents reçus par le parti au cours des deux dernières années.

Cette remise en question du leadership d’Abdoulaye Wade survient dans un contexte où le PDS connaît des bouleversements internes, notamment avec la « démission » de Woré Sarr de la tête de la Fédération nationale des femmes. Doudou Wade a révélé que cette décision n’était pas volontaire de la part de Woré Sarr, mais qu’elle avait été contrainte à quitter son poste.

Malgré les spéculations, Doudou Wade a tenu à préciser qu’il ne visait pas directement Karim Wade, fils d’Abdoulaye Wade, dans ses propos. Il a cependant affirmé que les changements récents au sein du PDS ne pouvaient pas être attribués à Abdoulaye Wade du point de vue scientifique, juridique ou politique.

Cette sortie médiatique de Doudou Wade révèle les tensions croissantes au sein du PDS et soulève des questions sur l’avenir du parti. Alors que le parti cherche à se redéfinir dans le paysage politique sénégalais, cette remise en question du leadership d’Abdoulaye Wade pourrait avoir des répercussions significatives sur l’orientation future du PDS.

PDS : Les militants contestent l’authenticité de signatures sur des décisions administratives

Nous, militants du Parti Démocratique Sénégalais contestons vigoureusement l’authenticité de la signature apposée sur les décisions administratives suivantes:

Décisions administratives N°006/SGN/PDS/2024 du 21 Mai 2024 nommant Madame Fatou sow et Ndeye Astou Camara respectivement Présidente nationale des femmes et secrétaire générale des femmes –

Décision administrative N° 005/SGN/PDS/2024 du 21 Mai 2024 nommant lamine Ba président de la FNCL et khadim Gueye secrétaire général de la FNCL.

Decision administrative 2024 N° 002/SGN/PDS/2024 du 25 Mars 2024 nommant Bachir Diawara porte parole du pds et appelant Tafsir Thioye à d’autres fonctions.

Nous avons décidé de saisir les autorités compétentes afin d’ouvrir une enquête pour vérifier l’authenticité des dites signatures.

En effet, depuis plusieurs années, il est constant que le Président Abdoulaye Wade est interné dans son domicile totalement écarté des activités du parti.
Ce qui établit à suffisance que la signature apposée sur les décisions susvisées résultante de manœuvres frauduleuses tendant à sarisfaire des intérêt égoïstes d’un groupuscule.

Abdoulaye Wade prépare activement le cinquantenaire du PDS

Mardi dernier, l’ancien Président Abdoulaye Wade a accueilli l’équipe de communication de son parti pour une réunion importante. Autour du secrétaire général national du Parti Démocratique Sénégalais (PDS), divers représentants, y compris des porte-parole, des membres de la section digitale et la secrétaire nationale en charge de la communication, étaient présents.

Selon Les Échos, lors de cette réunion, le « pape du Sopi » a engagé des discussions approfondies avec ses collaborateurs, mettant l’accent sur des valeurs telles que la loyauté et la conviction. Il aurait également souligné l’importance du travail et encouragé la formation des jeunes membres du parti.

Au cœur des échanges se trouvait également la célébration imminente du cinquantenaire du PDS, prévu dans deux mois. Bien que Les Échos ne fournisse pas de détails spécifiques, il est rapporté que l’ancien chef de l’État a émis des recommandations concernant la préparation de cet événement majeur pour le parti, fondé en 1974.

Cette réunion témoigne de l’engagement continu d’Abdoulaye Wade envers son parti politique et de son désir de préparer activement les festivités du cinquantenaire du PDS. Alors que le parti se prépare à marquer ce jalon significatif de son histoire, les conseils et les orientations de son fondateur revêtent une importance particulière pour assurer le succès de cet événement commémoratif.

Abdoulaye Wade réaffirme son engagement envers le PDS lors d’une rencontre avec son équipe de communication

Abdoulaye Wade, l’ancien président de la République du Sénégal, a récemment manifesté son profond engagement envers son parti politique, le Parti Démocratique Sénégalais (PDS), lors d’une rencontre avec certains membres de son équipe de communication. L’objectif de cette réunion, qui s’est déroulée ce mardi, était visiblement de motiver et d’encourager davantage ses collaborateurs en vue des prochaines échéances politiques.

Lors de cette audience, Abdoulaye Wade a accueilli le groupe des porte-paroles, quelques membres de l’équipe de communication digitale, ainsi que la secrétaire nationale en charge de la communication. Cette réunion a été officiellement annoncée par le PDS via un communiqué, soulignant que « Me Wade a longuement échangé avec les jeunes sur des valeurs telles que la loyauté et la conviction. »

Nafy Diallo, via ce même communiqué, a mis en avant les propos de l’ancien président, soulignant qu’il « a insisté sur l’importance du travail et a encouragé la formation des jeunes. »

Pendant deux heures, Abdoulaye Wade a partagé son savoir sur l’histoire et le parcours du PDS, ainsi que sur son propre héritage politique. La commémoration du prochain cinquantième anniversaire du PDS a été discutée, et le communiqué précise que le président Wade a également donné des directives aux porte-paroles et à leurs adjoints pour une communication plus efficace du parti, adaptée au contexte actuel.

Abdoulaye Wade a exprimé sa confiance en la relève, affirmant que « la jeune génération éduquée et porteuse de valeurs solides » assure l’avenir du parti. Il a également saisi l’occasion pour adresser des prières pour le bien-être du pays.

Cette rencontre témoigne de l’engagement continu de Abdoulaye Wade envers le PDS et de son désir de voir le parti prospérer sous la direction d’une nouvelle génération dynamique et engagée.

Le PDS envoie une délégation au Daaka de Médina Gounass : Entre politique et spiritualité

La 83e édition du Daaka de Médina Gounass a été marquée par la présence remarquée d’une délégation du Parti démocratique sénégalais (PDS), conduite par son Secrétaire général national, Me Abdoulaye Wade, et comprenant le candidat Karim Wade. Cette rencontre emblématique entre politique et spiritualité a suscité un intérêt considérable et a été l’occasion de renforcer les liens entre les autorités politiques et religieuses du pays.

Composée de membres de la direction nationale ainsi que de responsables des fédérations de Vélingara, Kolda et Sédhiou, la délégation du PDS a été chaleureusement accueillie par le Khalife Thierno Ahmadou Tidiane Bâ et ses proches collaborateurs.

La visite de la délégation libérale à Médina Gounass, dans le département de Vélingara, a été bien plus qu’une simple formalité politique. Cet événement a offert un moment privilégié de recueillement et de prières, où les représentants politiques ont pu partager les salutations et les vœux du Président Abdoulaye Wade et de Karim Wade avec le Khalife et son entourage.

Le Khalife de Médina Gounass a exprimé sa satisfaction quant à la présence de la délégation, soulignant ainsi l’importance des liens historiques et culturels entre les familles sénégalaises et la communauté religieuse de Médina Gounass. Il a également saisi cette opportunité pour exprimer sa gratitude envers l’ancien président de la République Abdoulaye Wade, soulignant les relations d’amitié étroites qui existent depuis des générations.

Au-delà des considérations politiques, cette visite illustre la reconnaissance et le respect des autorités politiques envers les valeurs spirituelles et culturelles du Sénégal. Elle témoigne également de l’importance du dialogue et de la coopération entre les différents acteurs de la société sénégalaise, dans un esprit de solidarité et d’harmonie.

Cette rencontre entre le PDS et Médina Gounass restera gravée comme un exemple de la richesse et de la diversité de la culture sénégalaise, où la politique et la spiritualité se rencontrent dans un esprit de respect et de compréhension mutuelle.

CONFLIT DE LEADERSHIP AU PDS : Kéba Kanté, Saliou Dieng et l’après-Karim Wade

Au sein du Parti Démocratique Sénégalais (PDS), les tensions s’intensifient autour de la question de la succession de Karim Meïssa Wade, écarté de la dernière élection présidentielle. À l’approche du cinquantième anniversaire du parti, prévu le 11 mai à Thiès, les regards convergent vers deux figures montantes : Saliou Dieng et Kéba Kanté. Le premier, bien qu’allié de longue date de Karim Wade, est critiqué pour son autoritarisme et d’autres griefs. En revanche, le deuxième, alors que récemment arrivé dans les rangs du parti, est salué pour son engagement et sa proximité avec les militants.

Un vent de rébellion continue de troubler la quiétude qui régnait dans les rangs du Parti Démocratique Sénégalais (PDS). La discipline de la formation politique est davantage menacée par l’éviction de leur leader, Karim Meïssa Wade, de la dernière élection présidentielle par le Conseil constitutionnel du fait de sa nationalité française. En perte de vitesse flagrante depuis ce « coup d’État institutionnel », tel le décrivait la coalition Karim24, le parti du pape du « Sopi », le président de la République, Me Abdoulaye Wade, peine à retrouver ses repères. Les militants ne savent plus où donner la tête ; le pater, en âge très avancé, ne peut plus assumer la présidence du parti alors que le filius, exilé au Qatar depuis 2016, n’a plus remis les pieds au Sénégal, la « Terre-Père ».

C’est dans ce contexte semé de doute que des libéraux regroupés dans une structure dénommée «  Sauvons le PDS », ont décidé d’organiser le 11 mai, coïncidant au cinquantenaire de leur parti, une grande rencontre à Thiès afin de désigner un leader qui devra prendre les rênes. Selon une source qui s’est confiée au Dakarois Quotidien, deux profils émergent : Saliou Dieng (député) et Kéba Kanté.

Le premier nommé, chargé de missions de Karim Wade, n’est pourtant pas dans les cœurs de la plupart des libéraux qui ne cessent de réclamer sa tête. Ceux-ci le dépeignent comme un dictateur, décidant de droit de vie ou de mort sur tout le monde.

En 2023, lors du renouvellement des instances du PDS, une bonne frange de ses camarades de parti ont fustigé son modus operandi. « Nous ne reconnaissons plus Saliou Dieng comme administrateur des structures du parti. Nous allons dans les jours à venir organiser une manifestation de destitution de Saliou Dieng devant le domicile de notre frère secrétaire général Abdoulaye Wade pour dire à notre candidat Karim Wade que son homme de confiance n’est pas l’homme qu’il faut à la tête des structures du parti. Nous ferons face à Saliou Dieng qui nous a trouvés dans ce parti», avertissait Ndiaga Diaw, responsable politique à Thiès, en octobre de la même année.

Après cet épisode, la dernière accusation qui a pesé sur M. Dieng, pendant la Présidentielle passée, est bien ses accointances présumées avec l’alors candidat de Benno Bokk Yakaar (BBY), Amadou Ba. Le porte-parole de la fédération Pds-Guédiawaye avançait, dès lors : « les prémices du futur projet de  Saliou Dieng montrent qu’il veut disloquer et désarticuler le Parti
démocratique sénégalais pour que le parti ne puisse pas gagner l’élection présidentielle de 2024 ». « Le Parti démocratique sénégalais n’est pas un parti politique pour Saliou Dieng mais un bureau d’études. Dans ce bureau d’études, il veut gagner des galons pour pouvoir récolter beaucoup d’argent et après, mener son futur projet que nous ne connaissons pas encore », a ensuite martelé Ngouda Dione.

Pour ces quelques raisons énoncées par des libéraux, encore que la liste n’est pas exhaustive, Saliou Dieng n’est pas l’homme de la situation, a assuré la source du Dakarois Quotidien. Celle-ci affirme voir plus d’engagement de la part de Kéba Kanté même si celui-ci n’a rejoint la barque libérale qu’en novembre 2023. L’enfant de Fatick est dépeint par ses frères de parti comme quelqu’un de « très sociable, qui ne ferme ses portes à personne ». À en croire la même source, qui n’a pas hésité à nous donner des exemples prouvant sa proximité avec les militants, au décès d’une fervente militante du PDS, réputée être proche de Saliou Dieng, Kéba s’est rendu dès les premiers instants à Touba, contrairement à Saliou.

En outre, Kéba Kanté, qui prépare d’ailleurs une tournée nationale pour bientôt, est défini par ses camarades comme un jeune humble, qui a un avenir très prometteur. Avec son réseau étendu, il saura porter, très haut, l’étendard de la formation politique afin que celle-ci renaisse, tel le sphinx de ses cendres, pour aller vers un futur encore plus majestueux et glorieux que son passé.

En tout état de cause, le 11 mai prochain est une date décisive pour le PDS. Une des questions qui seront éventuellement soulevées est celle de la direction du parti. Ceci crée dès à présent cette dualité au sein de la formation politique. Dans ce contexte, la position de Kéba Kanté revêt une importance particulière, étant proche des militants et susceptible d’influencer leur soutien. Ceux-ci attendent avec impatience le discours de Kéba Kanté qui est une figure clé du parti. Chacun d’eux est curieux d’être édifié par rapport au ton de son intervention.

Alors que le PDS fait face à des défis internes et externes, il est capital de se demander si Kéba Kanté va continuer à s’aligner à la discipline de parti ou si, au contraire, galvanisé par ses camarades de « Sauvons le PDS », il choisira de saper la hiérarchie au sein de la formation libérale ?

LA DAKAROISE

Crise au Parti Démocratique Sénégalais : Sérigne Momar Sokhna mobilise contre sa destitution et menace de bouleverser la structure du parti à Kaolack

Dans la région de Kaolack, une tempête politique se lève au sein du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) suite à la destitution controversée de Sérigne Momar Sokhna, ancien président de la fédération rurale de Latmingué. Sokhna, qui a été évincé de son poste à la suite de son soutien public à Amadou Ba de la coalition BBY lors des présidentielles de mars 2024, s’élève contre ce qu’il considère comme une manœuvre politique destinée à le marginaliser.

L’ancien président de la fédération rurale ne cache pas son mécontentement face à la décision prise par le PDS, affirmant que cette action est le résultat d’un « complot politique » orchestré par ses adversaires au sein du parti qui n’auraient pas apprécié son choix de soutenir un candidat d’une coalition rivale durant les élections. « C’est une injustice flagrante qui ne repose sur aucune base solide. On m’accuse de déstabiliser le parti, alors que j’ai toujours œuvré pour son expansion et sa consolidation, notamment dans le Saloum, » explique Sokhna lors d’une entrevue.

En réponse, Sokhna et ses fidèles alliés, les présidents des 27 sections qu’il a lui-même mises en place, prévoient de restructurer la dynamique politique du PDS dans la région. Ils ont annoncé une série de rencontres et de mobilisations destinées à renforcer leur influence et à contester les décisions prises par la direction centrale du parti. « Nous utiliserons tous les moyens nécessaires pour assurer que le PDS reste une force majeure à Kaolack. Nous planifions des actions de sensibilisation et des campagnes pour rallier le soutien des bases qui sont frustrées par les manipulations politiques actuelles, » a-t-il déclaré.

Cette initiative de Sokhna soulève plusieurs questions sur la cohésion et l’unité au sein du PDS, exposant des fractures qui pourraient affecter non seulement le parti au niveau régional mais aussi national. Des analystes politiques suggèrent que cette crise pourrait soit revitaliser une faction du PDS qui se sent négligée, soit conduire à une scission plus profonde qui pourrait affaiblir le parti dans des régions stratégiquement importantes telles que Kaolack.

L’affrontement entre Sokhna et la direction du PDS survient à un moment où le parti cherche à reconsolider sa position dans le paysage politique sénégalais post-électoral. Les décisions prises dans les prochaines semaines seront cruciales pour déterminer si le PDS peut surmonter ses divisions internes ou si celui-ci se dirige vers une période prolongée de conflits internes qui pourraient compromettre sa capacité à se présenter comme une alternative viable au gouvernement actuel.

Dans ce climat tendu, les citoyens de Kaolack et les membres du PDS attendent de voir comment les leaders du parti géreront cette crise qui pourrait redéfinir le futur politique de la région et potentiellement du Sénégal tout entier.

Mariama Massaly
Correspondante a kaolack

Le Dakarois Quotidien N°164 – du 29/04/24 : CINQUANTENAIRE DU PDS POUR DÉFINIR UN HÉRITIER : ATTENTE FÉBRILE DU DISCOURS DE KÉBA KANTÉ

🔴 CONFLIT DE LEADERSHIP AU PDS : Kéba Kanté, Saliou Dieng et l’après-Karim Wade
🔴 CRISE AU PDS : SERIGNE MOMAR SOKHNA RÉSISTE ET CHAUFFE LES KAOLACKOIS
🔴 CHEIKH BAMBA DIÈYE AU GOUVERNAIL : UN NOUVEAU SOUFFLE POUR LE HUB AÉRIEN
🔴 ACTE DE VANDALISME AU DÉPÔT DDD DE OUAKAM : 10 BUS ENDOMMAGÉS

Crise au PDS: Sérigne Momar Sokhna évincé pour soutien controversé à Amadou Ba

Dans un retournement de situation qui a secoué les fondations du Parti Démocratique Sénégalais (PDS), Sérigne Momar Sokhna, l’ex-président de la Fédération Rurale du PDS de Latmingué, a été remplacé ce lundi par Diaraf Ndao. Cette décision fait suite à une réunion cruciale tenue le dimanche 21 avril par l’instance locale du parti, déclenchée par le soutien controversé de Sokhna à Amadou Ba, candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar lors de l’élection présidentielle de mars 2024.

Sokhna, qui avait activement soutenu Ba sans l’aval officiel de son parti, s’est retrouvé au centre d’une controverse qui a exacerbé les tensions internes au sein du PDS. Ce soutien non autorisé a non seulement semé la discorde mais a aussi remis en question les lignes de fidélité et de discipline au sein du parti, traditionnellement aligné contre la coalition au pouvoir. La réunion de dimanche visait donc à réaffirmer l’unité et la cohérence du parti face aux agissements jugés solitaires de Sokhna.
Dans une déclaration passionnée, Sokhna a défendu son bilan et ses contributions au parti, soulignant son rôle dans l’expansion et la revitalisation de la base politique du PDS à Kaolack. « Depuis que je suis porté à la tête du PDS en août 2023, j’ai pu offrir à la formation du président Abdoulaye Wade une nouvelle carrure politique dans la banlieue kaolackoise, » a-t-il affirmé. Il a également mis en lumière ses efforts dans la massification territoriale, essentielle pour le renforcement du parti dans des zones stratégiques.
Face à son éviction, Sokhna n’a pas caché son amertume et a directement interpellé le leadership du parti, y compris Karim Meissa Wade, fils de l’ancien président Abdoulaye Wade et figure centrale du PDS. Sokhna a exprimé sa détermination à combattre ce qu’il perçoit comme des tentatives de le marginaliser, voire de le sacrifier pour des intérêts politiques internes. « Il y a des gens qui souhaitent me sacrifier, mais je prendrai toutes mes responsabilités pour faire face à eux, » a-t-il déclaré, indiquant une possible fracture au sein du parti.
Cette éviction pose des questions cruciales sur la stabilité et l’unité du PDS, un parti déjà confronté à des défis significatifs sur la scène politique nationale. L’affaire Sokhna pourrait exacerber les luttes internes et influencer négativement la perception publique du parti, à un moment où la solidarité et la cohésion sont particulièrement nécessaires.
Le cas de Sokhna souligne également la complexité des dynamiques politiques au Sénégal, où les alliances et les soutiens peuvent souvent déterminer non seulement les carrières politiques individuelles mais aussi les trajectoires des partis dans leur ensemble. Le PDS se trouve à un carrefour, devant naviguer entre la préservation de sa doctrine et l’adaptation à un environnement politique en constante évolution.
Les prochains mois seront déterminants pour le PDS et pour Sokhna, alors que le parti cherche à reconsolider son unité et à se positionner efficacement en vue des prochaines échéances électorales. La manière dont ces tensions internes seront résolues pourrait bien définir l’avenir du parti et de ses ambitions politiques au Sénégal.

Mariama Massaly
Correspondante a kaolack.

Absence de membres du PDS dans le gouvernement : Clarifications du porte-parole

La récente composition du nouveau gouvernement sénégalais dirigé par le Premier ministre Ousmane Sonko a été marquée par l’absence de membres du Parti démocratique sénégalais (PDS). Cette situation a suscité diverses interrogations et spéculations quant aux raisons de cette exclusion. Face à ce contexte, le porte-parole du PDS, Bachir Diawara, a pris la parole pour apporter des éclaircissements.

Dans un communiqué officiel, Bachir Diawara a tenu à souligner que le PDS avait apporté un soutien sans conditions à la coalition Diomaye Président, dirigée par le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye.

« Le PDS a soutenu sans conditions la coalition Diomaye : pour la rupture, la justice et l’équité sociale, le Progrès Social et économique. Par conséquent, toute autre spéculation autour de la participation ou pas de notre Parti dans le Gouvernement, est hors saison », a précisé Bachir Diawara.

Cette déclaration vise à dissiper toute confusion ou interprétation erronée concernant l’absence de membres du PDS dans le gouvernement actuel. Le porte-parole a ainsi affirmé que le soutien du PDS à la coalition Diomaye Président était motivé par des considérations de rupture, de justice sociale et de progrès économique pour le Sénégal.

Cette clarification intervient dans un contexte où l’absence de représentation du PDS dans le gouvernement a été largement commentée et interprétée par l’opinion publique. En apportant ces éclaircissements, le porte-parole du PDS souhaite mettre fin aux spéculations et réaffirmer l’engagement du parti en faveur des objectifs de la coalition Diomaye Président.

L’Alliance entre le Pds et le Pastef : Une union fragile selon les analystes politiques

Les récents développements politiques au Sénégal ont été marqués par une alliance surprenante entre le Parti démocratique sénégalais (Pds) et la coalition « Diomaye Président », dirigée par le candidat Bassirou Diomaye Faye. Cette union, scellée lors d’une rencontre entre l’ancien président Abdoulaye Wade et Bassirou Diomaye Faye, a suscité des questions quant à sa solidité et sa pérennité.

Selon les analyses des experts politiques, cette alliance, bien que logique dans le contexte des élections, pourrait être éphémère et sujette à des tensions internes. Dr Alassane Ndao, enseignant-chercheur en sciences politiques à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, souligne que le Pds a historiquement été associé à des alliances politiques instables, rappelant le cas de l’inter coalition Yewwi-Wallu lors des législatives précédentes.

Cette alliance, qui s’est rapidement effritée lors d’un vote crucial à l’Assemblée nationale, met en lumière les défis potentiels auxquels pourrait être confrontée l’alliance entre le Pds et le Pastef. Les différences idéologiques entre les deux formations politiques, ainsi que leurs objectifs divergents, pourraient compromettre la stabilité de cette union politique.

Le Dr Ndao souligne également les précédents du Pds, y compris son rapprochement avec la coalition au pouvoir avant les élections, ce qui remet en question la cohérence et la durabilité de son partenariat avec le Pastef. Les ambitions politiques et les divergences idéologiques pourraient rapidement se transformer en sources de friction, mettant ainsi en péril l’avenir de cette alliance.

Bien que l’alliance entre le Pds et le Pastef puisse sembler stratégique à court terme, elle est susceptible de rencontrer des obstacles significatifs à mesure que les intérêts et les priorités des deux parties évoluent. Les observateurs politiques restent attentifs à l’évolution de cette alliance et à son impact sur le paysage politique sénégalais dans les mois à venir.

Abdoulaye Wade nomme un nouveau porte-parole du PDS

Le paysage politique sénégalais voit un changement significatif au sein du Parti démocratique sénégalais (PDS), avec la nomination d’un nouveau porte-parole du Secrétariat Général National. Le lundi 25 mars 2024, le Président Abdoulaye Wade a pris la décision de désigner Bachir Diawara pour occuper cette fonction stratégique au sein du parti.

Cette nomination intervient suite au départ de Tafsir Thioye, précédent porte-parole, appelé à d’autres responsabilités au sein de l’appareil politique. Bachir Diawara prend donc la relève avec pour mission de représenter le PDS dans les communications officielles et de promouvoir les positions du parti auprès du public et des médias.

En plus de cette nomination, le Président Abdoulaye Wade a également désigné deux porte-paroles adjoints, à savoir Serigne Abo Mbacké Thiam et Gallo Tall. Ces nominations témoignent de la volonté de renforcer l’équipe de communication du PDS et d’assurer une représentation efficace et cohérente du parti.

Bachir Diawara apporte sans aucun doute son expertise et son engagement au service du PDS, dans un contexte politique où la communication et la représentation jouent un rôle crucial dans la consolidation du soutien populaire et la défense des idéaux du parti.

Cette nomination marque ainsi une étape importante dans la stratégie de revitalisation et de consolidation du PDS, sous la direction de son fondateur et leader, Abdoulaye Wade. Elle reflète également la capacité du parti à s’adapter aux défis politiques du moment et à renforcer son organisation interne pour mieux répondre aux attentes de ses membres et de ses sympathisants.

DÉCLARATION DU CADRE DE CONCERTATION DES LIBÉRAUX ET DÉMOCRATES DU SÉNÉGAL

Suite aux récentes déclarations prétendument attribuées à Maître Abdoulaye Wade, nous, membres du Cadre de Concertation des Libéraux et Démocrates du Sénégal, souhaitons exprimer notre profonde désapprobation et notre condamnation catégorique de ces manœuvres politiques douteuses.

Maître Abdoulaye Wade, figure emblématique du libéralisme en Afrique, a toujours défendu les valeurs de démocratie, de tolérance et de progrès. Son engagement indéfectible envers ces principes fondamentaux est indéniable et a marqué l’histoire politique du Sénégal et du continent africain.

Nous tenons à rappeler que Maître Abdoulaye Wade a toujours été opposé aux idées extrémistes et au fondamentalisme religieux, qu’il a combattus tout au long de sa vie politique. Les allégations selon lesquelles il soutiendrait un candidat aux idées radicales sont totalement infondées et constituent une insulte à son héritage politique.

Nous dénonçons fermement toute tentative visant à associer le nom de Maître Abdoulaye Wade à des idées et des actions contraires à ses convictions profondes. Les manipulateurs qui cherchent à instrumentaliser son image à des fins politiques doivent retirer son nom de leurs manœuvres frauduleuses.

En tant que Libéraux et Démocrates du Sénégal, nous sommes engagés à défendre les libertés individuelles, la tolérance et l’égalité des chances. Nous rejetons catégoriquement toute forme d’extrémisme, de fondamentalisme religieux et de violence politique.

Nous exhortons tous les membres du Cadre de Concertation des Libéraux et Démocrates du Sénégal, ainsi que tous les citoyens épris de liberté et de démocratie, à exprimer leur désapprobation face à cette alliance dangereuse. Il est essentiel que nous restions fidèles à nos valeurs fondatrices et que nous défendions avec détermination la démocratie et la tolérance au Sénégal et dans le monde.

En conclusion, nous réaffirmons notre engagement à barrer la route à la montée du fondamentalisme et de la pensée unique, et à œuvrer pour un Sénégal libre, démocratique et prospère.

Fait à Dakar, le 22 Mars 2024

Pour Le Cadre de Concertation des Libéraux et Démocrates du Sénégal:

LDR-YESSAL/ Fada DIAGNE
PLD/ Omar SARR
APR/ Macky SALL (Thérèse FAYE)
UCS/ Abdoulaye BALDE
BOKK GIS GIS/ Pape DIOP
LSS/ Samuel Ahmet SARR
ANC/ Moussa SY
PLC/DJ Lamine BA
MDR/ Pape DIOUF
MPA/ Dior Diongue NDOYE
PCDS/ Samba BATHILY
Mankoo MUCC Babacar GAYE
CLP/ Serigne Mbacké NDIAYE
PAREL/ Omar SARR
UFN/ Ibrahima BADIANE
CDD/ Mamadou Lamine KEITA
MNPAS PAS/ Waly FALL
ALUR/ Fatou THIAM
ADS/ Papa Ababacar BA
FNP-SMS/ ElHadj Omar NDIAYE
FAR-YOONWI/ Bathie SECK
LSR/ Bassirou KEBE
MFA – Victor Sadio DIOUF
APS-LE CENTRE/ Bamol BALDE
ADS-JËF REK/ Thierno Birahim THIOBANE
Parti Africain pour la Souveraineté / Jammoo ngir Suxali Sénégal(PAS/2S) / Kalidou Niasse
M2P-Yemale/ Bocar sadick kane
And doolel Sénégal/ Daour Niang Ndiaye
Mouvement des anciens maires/ Pape Momar Diop

Scandale au PDS : Karim Wade interdit l’accès à Me Abdoulaye Wade aux Femmes du Parti

Une controverse secoue le Parti démocratique sénégalais (PDS) suite à un événement survenu hier au domicile de Me Abdoulaye Wade. Alors que des responsables du parti étaient convoqués pour une réunion, Karim Wade aurait interdit l’accès à la majorité des participants, en particulier aux femmes.

L’événement était prévu comme une rencontre régulière des présidents et secrétaires généraux de fédération du PDS avec Me Abdoulaye Wade. Cependant, à la surprise générale, les responsables ont été empêchés d’entrer par Karim Wade lui-même.

Parmi les personnes interdites d’accès, on compte principalement des femmes, ce qui soulève des questions sur la nature de cette exclusion. La plupart des participants, espérant rencontrer leur leader et obtenir des conseils pour le scrutin présidentiel à venir, ont été frustrés par cette décision arbitraire.

Seule une délégation dirigée par Diomaye Faye a été autorisée à rencontrer Me Abdoulaye Wade. Cependant, aucune consigne de vote n’a été donnée en faveur de Diomaye Faye, ajoutant à la confusion quant aux motivations de cette exclusion sélective.

Cette action a suscité l’irritation de nombreux responsables du PDS qui se sont vus refuser l’accès à leur propre leader, Me Abdoulaye Wade. Cette situation soulève des questions sur la gestion interne du parti et les relations entre ses différents membres.

Depuis le début de la pandémie de COVID-19, aucun responsable du PDS n’a eu l’occasion de rencontrer Me Abdoulaye Wade. Cette interdiction de l’accès, orchestrée par Karim Wade, alimente les tensions au sein du parti et suscite des inquiétudes quant à l’équité et à la démocratie internes.

La liste des responsables interdits d’accès comprend des noms éminents du PDS, notamment des présidents et secrétaires généraux de fédération dans différentes régions du pays. Leur exclusion du processus de consultation avec Me Abdoulaye Wade soulève des préoccupations quant à la prise de décision au sein du parti.

Cette situation souligne les divisions internes au sein du PDS et soulève des interrogations quant à la direction future du parti à l’approche des élections présidentielles. Les membres du PDS attendent des éclaircissements sur cet incident et espèrent une résolution rapide pour garantir l’unité et la solidarité au sein du parti.

PDS : Le tour de force réussi par Lat Diop

À la veille de l’élection présidentielle du 24 mars, une rencontre stratégique est prévue entre le Secrétaire général national du Parti démocratique sénégalais (PDS), Me Abdoulaye Wade, le candidat Bassirou Diomaye Faye, et Ousmane Sonko. Cette réunion, annoncée par le service de communication du parti libéral, souligne l’importance des alliances politiques dans le paysage électoral sénégalais.

Cependant, un événement notable s’est déroulé au sein de la Fédération PDS de Guédiawaye, où un choix surprenant a été fait : le soutien au candidat du pouvoir, Amadou Ba. Cette décision a été rapportée par Les Échos, mettant en lumière un renversement d’alliance inattendu au sein du parti.

Selon le quotidien, l’ancien ministre des Sports, Lat Diop, a joué un rôle central dans cette manœuvre politique. En effet, il a orchestré une série de réunions en coulisses avec les responsables du PDS au niveau local, déployant ainsi une stratégie habile pour parvenir à ce résultat surprenant.

Ce tour de force de Lat Diop démontre l’importance des négociations politiques en période électorale et souligne la capacité des acteurs politiques à façonner les alliances en fonction des intérêts du moment. Dans un paysage politique en évolution constante, ces manœuvres stratégiques peuvent avoir un impact significatif sur le résultat des élections et sur l’avenir politique du Sénégal.

Faux communiqué attribué au comité directeur du PDS : Karim Wade annonce une plainte contre Amadou Ba et Madiambal Diagne

Les tensions politiques montent d’un cran au Sénégal à l’approche de l’élection présidentielle. Dans un contexte déjà électrique, une polémique émerge autour d’un prétendu soutien du Parti démocratique sénégalais (PDS) au candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar, Amadou Ba.

Karim Wade, ancien ministre et candidat recalé à l’élection présidentielle, monte au créneau pour dénoncer ce qu’il qualifie de « fausses informations ». Dans un post relayé sur les réseaux sociaux, il accuse Amadou Ba et le journaliste Madiambal Diagne du « Quotidien » d’avoir fabriqué un document prétendument émanant du comité directeur du PDS.

Selon Karim Wade, ce document affirmerait que le PDS et plusieurs de ses fédérations soutiendraient la candidature d’Amadou Ba. Une assertion qu’il rejette catégoriquement, qualifiant cette information de « fausse et mensongère ».

Le fils d’Abdoulaye Wade estime que cette manœuvre est le signe d’une « tentative désespérée » de la part d’Amadou Ba, qu’il décrit comme étant « aux abois ». Selon lui, le candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar tenterait ainsi de justifier une éventuelle défaite anticipée en accusant le PDS de ne pas respecter sa prétendue alliance.

Karim Wade affirme également que le PDS et ses militants sont unis derrière la décision de soutenir le candidat Bassirou Diomaye Diakhar Faye à l’élection présidentielle.

Pour mettre fin à cette polémique, Karim Wade annonce que le PDS déposera dès la semaine prochaine une plainte contre Amadou Ba, Madiambal Diagne et d’autres personnes impliquées pour « faux, usage de faux et faux en écriture ». Cette démarche vise à rétablir la vérité et à faire entendre la voix du PDS dans cette période cruciale pour l’avenir politique du pays.

Karim Wade appelle à la mobilisation en faveur du candidat Diomaye Faye

Après l’annonce officielle du soutien du Parti démocratique sénégalais (PDS) à la Coalition DiomayePrésident pour l’élection présidentielle du 24 mars, Karim Wade, fils de l’ancien président Abdoulaye Wade et candidat recalé par le Conseil constitutionnel, a exprimé son soutien sans équivoque au candidat Diomaye Faye.

Dans une déclaration, Karim Wade a souligné l’importance de sécuriser le vote de chaque Sénégalais pour contrer toute tentative de fraude massive, qu’il attribue au candidat Amadou Ba. Il appelle à une action collective pour garantir la transparence du scrutin et le respect de la volonté du peuple sénégalais.

S’exprimant sur la décision du PDS de soutenir la Coalition DiomayePrésident, Karim Wade la qualifie de « décision éclairée » et souligne son importance dans la préservation de l’État de droit et de l’indépendance de la justice au Sénégal. Il insiste sur le fait que cette décision va au-delà des considérations politiques, constituant un engagement pour la protection des libertés et des droits des citoyens sénégalais.

Karim Wade appelle également à l’unité et à la collaboration entre les comités électoraux de la Coalition Karim 2024 et ceux de la Coalition DiomayePrésident, affirmant que cette collaboration est essentielle pour défendre les valeurs démocratiques et assurer l’avenir du pays.

Cette déclaration de Karim Wade souligne l’importance des enjeux électoraux au Sénégal et met en évidence les tensions politiques qui entourent cette élection présidentielle. La mobilisation en faveur du candidat Diomaye Faye est désormais renforcée par le soutien explicite de Karim Wade et du PDS, annonçant une compétition électorale intense dans les jours à venir.

RALLIEMENT DE CERTAINS LEADERS DU PDS À DES CANDIDATS À LA PRÉSIDENTIELLE: Kéba Kanté choisit de rester loyal à Karim Wade

Alors que les acteurs politiques s’adonnent à  la formation de nouvelles coalitions, Kéba Kanté, a tenu à renouveler son engagement et sa fidélité au candidat Karim Meïssa Wade malgré son élimination par le Conseil constitutionnel de la course présidentielle prévue ce dimanche.

Sur une note parvenue au Dakarois quotidien dans la soirée d’hier, le responsable politique a affirmé que nonobstant les divergences de choix et d’opinions qui peuvent surgir, il reste  résolument fidèle et loyal au Parti Démocratique Sénégalais (PDS). « Je comprends que certains puissent choisir d’accompagner d’autres candidats. Par contre, ma position reste inchangée. Je suis déterminé à me battre pour le Parti Démocratique Sénégalais », a déclaré le fils de l’ex DG du Part Autonome de Dakar, Dr Cheikh Kanté.

« Avec dévouement, je suis prêt à y mettre mes compétences et mes ressources pour faire face aux défis actuels ainsi que les prochaines échéances. Ensemble, nous travaillerons assidûment pour renforcer notre parti, unifier nos frères et soeurs et élaborer une stratégie solide en vue des futures élections. Je suis convaincu que notre engagement collectif et notre collaboration nous permettront de surmonter les obstacles auxquels nous sommes confrontés », a ajouté Kéba Kanté qui demeure optimiste quant à leur capacité à relever avec détermination et responsabilité les défis présents et futurs.

L’initiateur du mouvement Grande Offensive des Républicains (GOR) reste résolument engagé aux valeurs et aux idéaux du PDS, croyant en leur capacité à servir les intérêts du peuple Sénégalais, à promouvoir la démocratie et à apporter des solutions aux défis auxquels le Sénégal est confronté.

Le Dakarois Quotidien N°138 – du 22/03/24

Le Dakarois Quotidien N°138 – du 22/03/24
🔴 RALLIEMENT DE CERTAINS LEADERS DU PDS À DES CANDIDATS À LA PRÉSIDENTIELLE : Kéba Kanté choisit de rester loyal à Karim Wade

Élection présidentielle : des responsables de la fédération du PDS demandent à Karim Wade d’appuyer Amadou Ba

Dans une tournure surprenante des événements, les responsables et les cadres du Parti démocratique sénégalais (PDS) invitent Karim Wade à soutenir le candidat à la présidence Amadou Ba. Abdou Thiam, chef de parti à Linguère et membre de la cellule de communication PDS, a transmis ce message, soulignant la nécessité pour le parti de maintenir son rôle historique de manière responsable.

« Nous appelons notre candidat, notre président de groupe parlementaire, nos dirigeants et nos militants à se joindre à nous dans cette position républicaine pour s’assurer que le PDS remplit son rôle historique. Nous devons démontrer que le PDS est une partie responsable », a déclaré M. Thiam.

Ces cadres du PDS considèrent que la coalition DiomayePresident incarne « l’immaturité, l’amateurisme et le populisme ». Par conséquent, ils font valoir que « le choix qui nous est devant nous, en tant que citoyens, est une raison. Dans ce contexte, Amadou Ba représente le meilleur choix. Il incarne l’expérience et la stabilité », a affirmé M. Thiam.

Cet appel inattendu à l’appui de l’intérieur du PDS marque un changement stratégique dans les alliances politiques avant l’élection présidentielle. Alors que Karim Wade a été un personnage important du PDS, son soutien à Amadou Ba aurait probablement des implications importantes pour le paysage électoral.

Alors que le Sénégal se prépare à l’élection présidentielle, la dynamique politique continue d’évoluer, avec des alliances formant et changeant dans la poursuite du succès électoral. La position adoptée par ces responsables du PDS ajoute une dimension intrigante au récit qui se déroule de la course à la présidence. Tous les yeux restent sur la réponse de Karim Wade et les ramifications potentielles de sa décision sur le paysage politique du Sénégal.

Présidentielle : Cheikh Mbacké Bara Dolly rejoint la coalition Diomaye Président et lance un appel au PDS

Dans un geste politique majeur, Cheikh Mbacké Bara Dolly, ancien président du groupe parlementaire Liberté et Démocratie, a annoncé son ralliement à la coalition Diomaye Président en vue de l’élection présidentielle de 2024. Dans un communiqué officiel, M. Bara Dolly a exprimé son soutien sans équivoque à la candidature de Bassirou Diomaye Faye, tout en appelant les libéraux à se joindre à cette dynamique politique.

Le leader du Parti démocratique sénégalais Libéral (PDSL) a clairement indiqué sa volonté de voir la coalition Diomaye Président remporter les prochaines élections présidentielles, affirmant qu’elle représente « le seul espoir du changement » pour le Sénégal. Ce ralliement marque un tournant significatif dans la campagne électorale et renforce la crédibilité de la candidature de Bassirou Diomaye Faye.

Dans son communiqué, M. Bara Dolly a également lancé un appel au Parti Démocratique Sénégalais (PDS) pour qu’il suive son exemple et soutienne la coalition Diomaye Président. Cette invitation à l’unité politique vise à rassembler les forces progressistes autour d’une vision commune pour l’avenir du pays.

Ce ralliement de M. Bara Dolly à la coalition Diomaye Président témoigne de la reconnaissance de la qualité du programme politique et de la vision de Bassirou Diomaye Faye. Il souligne également l’importance des alliances politiques dans le paysage électoral sénégalais, où la consolidation des forces est essentielle pour atteindre les objectifs de développement et de progrès pour tous les citoyens.

Alors que la campagne électorale entre dans sa phase cruciale, le soutien de personnalités politiques influentes comme M. Bara Dolly peut avoir un impact significatif sur le résultat des élections présidentielles à venir. Son appel au PDS illustre la volonté de construire un front uni pour défendre les intérêts du Sénégal et ouvrir la voie à un avenir meilleur pour tous les citoyens.

Rejet du recours de Karim Wade et Cie : Le juge déclare les requêtes irrecevables

Le juge des référés a rendu son verdict sur le recours déposé par Karim Wade et ses associés, déclarant irrecevables les requêtes en suspension soumises par le Parti démocratique sénégalais (PDS) et les candidats contestataires.

Cette décision intervient après que le procureur ait plaidé en faveur du rejet des requêtes, arguant qu’elles visaient toutes à annuler le processus électoral. En conséquence, le juge a estimé que les deux requêtes poursuivaient le même objectif et les a donc jugées irrecevables.

Il convient de rappeler que la Cour suprême avait examiné en audience publique, ce vendredi, les requêtes en référé pour excès de pouvoir. Ces requêtes contestaient les décrets fixant la date de l’élection présidentielle du 24 mars, convoquant le corps électoral et déterminant la durée de la campagne électorale pour le scrutin.

Cette décision du juge des référés met fin à un chapitre de contestation dans le processus électoral, affirmant la primauté des décisions du Conseil constitutionnel et apportant ainsi une clarification juridique à la situation.

Le Procureur demande au juge de déclarer irrecevable le recours de Karim Wade et Cie

Dans le cadre du recours introduit par le Parti démocratique sénégalais (PDS) et des candidats spoliés visant à annuler l’élection présidentielle du 24 mars, le Procureur a récemment pris la parole pour représenter le parquet. Lors de son réquisitoire, il a formellement demandé au juge de déclarer irrecevables les demandes émanant de Karim Wade et de ses associés.

Le Procureur a souligné que les décisions du Conseil constitutionnel prévalent sur celles de la Cour suprême, mettant ainsi en avant un argument de poids pour soutenir sa requête. Il a donc plaidé en faveur du rejet des requêtes présentées par Karim Wade et ses partisans.

Rappelons que la Cour suprême se penchera sur ces requêtes en référé pour excès de pouvoir ce vendredi. Ces requêtes ont été déposées par des membres du PDS, dont Lamine Thiam, Karim Meissa Wade, Saliou Dieng, Magatte Sy et Mayoro Faye, qui contestent la légitimité de l’élection présidentielle du 24 mars. Ils soutiennent que leur candidat a été injustement exclu de la course.

Cette affaire suscite un vif intérêt dans le pays, alors que le processus électoral est scruté de près. Les décisions à venir de la Cour suprême auront des répercussions significatives sur le paysage politique sénégalais et pourraient potentiellement redéfinir le résultat de l’élection présidentielle.

Supposée corruption au Conseil Constitutionnel : Birahim Seck répond au PDS

Les allégations de corruption au sein du Conseil Constitutionnel, évoquées lors d’une conférence de presse par le président du groupe parlementaire Liberté, démocratie et changement, Mamadou Lamine Thiam, ont suscité une réaction cinglante de la part du coordonnateur du Forum civil, Birahim Seck.

Dans une déclaration ferme, Birahim Seck a démonté les accusations portées contre la société civile, affirmant que son organisation n’est pas une caisse de reconnaissance de personne. Il a réagi aux propos du PDS, soulignant que le Forum Civil n’est pas une « Organisation de la Société Civile marionnette ».

Il a lancé un défi direct au Parti démocratique sénégalais (PDS), invitant ses membres à apporter des preuves tangibles de corruption s’ils en ont. Il a rappelé que les locaux du Forum Civil sont ouverts à toute personne disposant d’informations crédibles sur de possibles actes répréhensibles. « Si vous disposez de preuves tangibles de corruption, certains d’entre vous connaissent très bien nos locaux. Nous savons assumer nos positions », a-t-il affirmé.

Cette réponse sans équivoque de Birahim Seck met en lumière la détermination de la société civile à lutter contre la corruption et à défendre l’intégrité des institutions démocratiques. Elle souligne également l’importance de la transparence et de la responsabilité dans la gouvernance, ainsi que la nécessité pour toutes les parties prenantes de faire preuve de vigilance et de diligence dans la lutte contre la corruption.

Alors que les tensions politiques s’intensifient à l’approche des élections, il est essentiel que les accusations de corruption soient examinées de manière impartiale et transparente. La société civile joue un rôle crucial dans la surveillance de la gouvernance et dans la promotion de la responsabilité des institutions publiques, et elle continuera à œuvrer pour garantir l’intégrité et la légitimité du processus démocratique au Sénégal.

Le PDS annonce une plainte contre les magistrats du Conseil constitutionnel, dénonçant une « grave forfaiture »

Le Parti démocratique sénégalais (PDS) a tenu une conférence de presse ce mercredi 13 mars pour exprimer son désaccord et son indignation face à une décision qu’il qualifie de « grave forfaiture » de la part des magistrats du Conseil constitutionnel. Accusant certains membres du Conseil constitutionnel de corruption, le PDS a annoncé son intention de déposer une plainte contre les sept sages.

Lors de cette conférence de presse, Lamine Thiam et d’autres représentants du PDS ont exprimé leur frustration face au blocage de la commission parlementaire chargée d’enquêter sur des allégations de corruption au sein du Conseil constitutionnel. Selon eux, ce blocage est le résultat de dépôts de plaintes judiciaires visant à entraver les investigations de la commission parlementaire.

Dans un souci de transparence et de justice, le PDS a décidé de saisir la justice afin de faire toute la lumière sur ces allégations de corruption qui, selon le parti, remettent en question l’intégrité et la légitimité du Conseil constitutionnel. Cette action vise à mettre en lumière les pratiques présumées contraires à l’éthique et à la moralité qui pourraient exister au sein de cette institution clé de la démocratie sénégalaise.

Le PDS souligne que son combat est celui de la démocratie, du respect des droits et de la volonté des citoyens sénégalais. Face à ce qu’il considère comme une grave menace pour les fondements mêmes de la démocratie, le parti est déterminé à agir pour défendre les principes démocratiques et faire en sorte que la justice soit rendue de manière équitable et transparente.

Cette démarche du PDS met en lumière les tensions politiques et les préoccupations croissantes concernant la gouvernance et l’intégrité des institutions démocratiques au Sénégal. Elle souligne également l’importance de la responsabilité et de la reddition de comptes dans le fonctionnement des organes de l’État, en particulier ceux chargés de garantir le respect de la constitution et des droits fondamentaux.

Recours du PDS : La Cour suprême se prononcera lors d’une audience publique ce vendredi 15 mars

La Cour suprême du Sénégal examinera le recours déposé par le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) et ses alliés contre le décret convoquant le corps électoral lors d’une audience publique spéciale des référés ce vendredi 15 mars. Cette décision fait suite à une requête déposée le lundi 11 mars, demandant la suspension des décrets fixant la date de l’élection présidentielle au 24 mars 2024, la convocation du corps électoral et la période de la campagne électorale.

Si la Cour suprême accède à la demande du PDS, cela pourrait potentiellement bloquer le processus électoral en cours. La décision de la Cour aura des implications majeures sur le déroulement de l’élection présidentielle prévue dans les jours à venir. Il s’agit donc d’un moment crucial pour la démocratie sénégalaise, et l’issue de cette audience publique sera attendue avec une grande attention tant par les acteurs politiques que par la population.

Le recours déposé par le PDS et ses alliés fait suite à une série de contestations et de tensions croissantes autour du processus électoral. Depuis l’annonce des décrets fixant la date de l’élection présidentielle et convoquant le corps électoral, le PDS a exprimé son désaccord et sa préoccupation quant à la légitimité et à la transparence du processus électoral en cours.

L’une des principales préoccupations du PDS concerne des allégations de corruption au sein du Conseil constitutionnel, l’organe chargé de valider les candidatures et de superviser le processus électoral. Le parti affirme avoir des preuves, notamment des enregistrements sonores, suggérant des actes répréhensibles commis par des membres du Conseil constitutionnel ou des personnalités proches du gouvernement. Ces allégations ont conduit le PDS à réclamer la dissolution du Conseil constitutionnel, affirmant que ses membres ne peuvent pas garantir une élection présidentielle équitable.

La situation politique au Sénégal est donc devenue de plus en plus tendue à l’approche de l’élection présidentielle. Le PDS, dirigé par l’ancien président Abdoulaye Wade, reste déterminé à contester le processus électoral et à faire valoir ses préoccupations devant les tribunaux. La décision de la Cour suprême ce vendredi 15 mars sera cruciale pour déterminer la suite des événements et la légitimité du processus électoral en cours.

En attendant, le gouvernement sénégalais n’a pas encore réagi officiellement aux allégations de corruption ou à la demande de dissolution du Conseil constitutionnel formulée par le PDS. Il est donc crucial que la Cour suprême examine attentivement les preuves présentées par le PDS et ses alliés, et prenne une décision juste et équitable pour garantir l’intégrité et la transparence du processus électoral. La crédibilité de l’élection présidentielle à venir dépend en grande partie de la manière dont cette affaire sera traitée par les autorités judiciaires sénégalaises.

Adoption de la loi d’amnistie : Moqueries envers les députés de Pastef par Nafi Diallo du PDS

Mercredi dernier, l’Assemblée nationale a voté en faveur du projet de loi d’amnistie, une décision qui a suscité des moqueries de la part de Nafi Diallo, députée du Parti Démocratique Sénégalais (PDS), envers les députés de Pastef.

Au cours de la séance parlementaire, les députés de Pastef, habituellement bruyants et actifs, ont adopté une approche plus mesurée, se limitant à poser des questions au ministre de la Justice sur les implications de la loi d’amnistie. Ce changement de comportement a été remarqué, et Nafi Diallo n’a pas hésité à exprimer son sarcasme.

Dans un commentaire ironique, Mme Diallo a qualifié le calme relatif des députés de Pastef de « calme plat », ajoutant de manière provocatrice qu’il n’était pas nécessaire de faire appel au Général Fall pour envoyer des gendarmes. Cette référence faisait allusion à des plénières précédentes au cours desquelles des députés de Yewwi Askan Wi ont perturbé les séances, nécessitant l’intervention des forces de l’ordre.

L’adoption de la loi d’amnistie, qui prévoit le pardon de certaines infractions commises lors de manifestations entre 2021 et 2024, a été un moment clé de la session parlementaire. Les réactions et les commentaires tels que ceux de Nafi Diallo soulignent les tensions politiques persistantes au sein de l’Assemblée nationale.

Il sera intéressant de voir comment cette dynamique influencera les relations entre les différentes factions politiques à l’approche de l’élection présidentielle, et si les débats animés se poursuivront lors des prochaines sessions parlementaires.

Le PDS à la croisée des chemins : Quel avenir politique après la décision des 7 « Sages » ?

La récente décision du Conseil constitutionnel, confirmant l’écartement de Karim Wade de la course présidentielle, a placé le Parti démocratique sénégalais (PDS) face à un dilemme politique majeur. Avec son candidat exclu du processus électoral, le PDS se retrouve à reconsidérer ses stratégies et alliances en vue de l’élection présidentielle à venir.

L’annonce de cette exclusion a provoqué une onde de choc au sein du PDS, contraignant les membres du parti à réévaluer leur position et leurs objectifs politiques. Face à cette nouvelle réalité, la question de l’avenir du PDS à la présidentielle mérite une attention particulière, comme le souligne le journal « Le Quotidien ».

Dans cette période de transition politique, l’attention se porte désormais sur les prochaines actions du PDS et sur la direction que pourrait prendre le parti. Wade-fils, désormais contraint de tracer une ligne claire, devra faire un choix déterminant qui pourrait façonner le paysage politique sénégalais dans les mois à venir.

Une option qui semble se profiler est une alliance avec la coalition au pouvoir, Benno bokk yaakaar (BBY). Cette alliance offrirait au PDS une opportunité de jouer un rôle significatif dans l’issue de l’élection présidentielle et de consolider sa position politique dans le pays.

Cependant, cette décision ne serait pas sans conséquences. Le PDS pourrait être confronté à des divisions internes et à des tensions au sein du parti, notamment après les récentes accusations de corruption portées par certains de ses membres à l’encontre de juges constitutionnels.

Le défi pour le PDS est donc de trouver un équilibre entre ses ambitions politiques et la réalité politique du pays. Alors que le parti était autrefois un prétendant sérieux à la présidence, il se retrouve désormais dans une position de « faiseur de roi », avec une influence potentielle sur le résultat électoral mais sans candidat en lice.

Dans cette situation délicate, le PDS devra naviguer avec précaution pour éviter une dislocation interne tout en cherchant à maximiser son influence politique. Les prochaines semaines seront cruciales pour déterminer la trajectoire politique du PDS et son impact sur le paysage politique sénégalais dans un contexte électoral en pleine évolution.

Le PDS propose la mise en place d’une Cour constitutionnelle ‘’renforcée et indépendante

Le Groupe parlementaire Démocratie Liberté et Changement, affilié au Parti démocratique sénégalais (PDS), a récemment proposé la création d’une Cour constitutionnelle renforcée et véritablement indépendante, chargée de superviser les questions électorales avec intégrité et efficacité. Cette proposition survient dans un contexte de crise politique et de report de l’élection présidentielle initialement prévue pour le 25 février 2024.

Lors d’une conférence de presse, le président du groupe DLC, Mamadou Lamine Thiam, a souligné l’importance d’organiser des élections présidentielles régulières et transparentes sous la surveillance d’un tribunal impartial. Il a également appelé à un dialogue national pour réformer le code électoral et le processus électoral, conformément aux aspirations démocratiques du pays.

Le groupe DLC a exprimé sa satisfaction quant au report de l’élection présidentielle, affirmant que cette décision a permis de restaurer les droits des candidats injustement écartés du processus électoral. Parmi eux figure Karim Meissa Wade, candidat du PDS, qui aurait été exclu du processus pour des motifs de nationalité controversés malgré sa renonciation officielle à la nationalité française.

Mamadou Lamine Thiam a également critiqué les nombreuses anomalies et irrégularités observées lors du processus de sélection des candidats par le Conseil constitutionnel. Parmi ces irrégularités, il a mentionné l’absence de centaines de milliers d’électeurs sur le fichier électoral, le contrôle des parrainages sans rigueur et l’application incohérente des critères d’éligibilité des candidats.

Face à ces failles, le PDS a demandé la création d’une commission d’enquête parlementaire et a déposé une proposition de loi pour reporter l’élection présidentielle de six mois, jusqu’au 15 décembre 2024. Cette proposition a été votée par une large majorité à l’Assemblée nationale après des amendements apportés par les députés.

En conclusion, le PDS et le groupe DLC continuent de plaider en faveur d’une réforme électorale visant à garantir l’intégrité, la transparence et l’inclusivité des processus électoraux au Sénégal, et la mise en place d’une Cour constitutionnelle indépendante serait une étape importante dans cette direction.

Report de l’Élection Présidentielle : Validation de la Proposition de Loi du PDS par le bureau de l’Assemblée Nationale

Le bureau de l’Assemblée Nationale du Sénégal vient de valider la proposition de loi présentée par le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) visant à reporter l’élection présidentielle de 2024. Cette décision a été prise lors d’une réunion du bureau, tenue ce samedi à 10 heures.

Le bureau de l’Assemblée Nationale a examiné la proposition de loi soumise par le PDS, demandant le report de l’élection présidentielle prévue initialement pour le 25 février 2024. Après délibération, la proposition a été validée, marquant une étape importante dans le processus de modification du calendrier électoral.

Suite à la validation de la proposition de loi, la conférence des présidents a été convoquée pour lundi 5 février. Cette instance jouera un rôle crucial dans la planification et l’organisation des étapes suivantes du processus de report de l’élection présidentielle.

Cette décision intervient dans un contexte politique tendu, marqué par le report annoncé par le Président Macky Sall, suscitant des réactions variées au sein de la classe politique sénégalaise. Le report de l’élection présidentielle a été justifié par des préoccupations liées au processus électoral et à la nécessité de créer un cadre propice à des élections transparentes et crédibles.

La validation de la proposition de loi par le bureau de l’Assemblée Nationale représente une étape cruciale dans le processus de gestion de la crise politique actuelle. Les délibérations et les décisions ultérieures de la conférence des présidents seront attentivement suivies, car elles façonneront le nouveau calendrier électoral et détermineront les étapes à venir dans le déroulement de l’élection présidentielle.

La réaction de Kéba Kanté : Une victoire démocratique pour le PDS et le Sénégal

La déclaration de Kéba Kanté suite au report de l’élection présidentielle au Sénégal est empreinte de satisfaction et de conviction envers la démocratie. Pour lui, la décision démontre que le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) reste un grand parti, profondément attaché aux principes démocratiques.

Kéba Kanté souligne que le PDS a utilisé les voies de la démocratie pour remporter une victoire significative sans recourir à la violence ni causer de préjudice à la population sénégalaise. Cette approche démocratique témoigne de la maturité politique du PDS et de son engagement envers les principes fondamentaux de la démocratie.

Il insiste sur le caractère historique de l’union entre l’opposition et le pouvoir, une première dans l’histoire du Sénégal. Cette collaboration vise à éclaircir des accusations graves portées contre les membres du Conseil constitutionnel. Selon Kéba Kanté, cette unité renforce la crédibilité des institutions et réaffirme l’importance de la transparence dans le processus électoral.

La déclaration exprime une profonde gratitude envers Dieu pour cette victoire démocratique. Kéba Kanté souligne que le combat ne fait que commencer, rappelant aux militants du PDS que leur objectif ultime est d’installer le Président Karim Wade au Palais.

Kéba Kanté conclut en soulignant que cette décision marque un tournant dans l’histoire politique du Sénégal. Il estime que le pays est en marche vers un avenir démocratique fortifié, où la collaboration entre les forces politiques contribuera à renforcer les fondements de la démocratie.

La déclaration de Kéba Kanté transmet un message d’espoir et de renouveau politique au Sénégal. Elle souligne l’importance de la démocratie, de l’unité nationale et de la transparence pour bâtir un avenir meilleur pour tous les Sénégalais. Les prochains développements seront suivis avec attention, alors que le pays continue son parcours vers des élections justes et équitables.

Sénégal : Jubilation au PDS et chez les candidats «spoliés» suite au report de la présidentielle

La décision du Président sénégalais, Macky Sall, de reporter l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024, a été accueillie par des scènes de jubilation à la permanence du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) et parmi les candidats « spoliés », réunis pour célébrer cette annonce inattendue.

Les partisans du PDS se sont réunis en grand nombre à la permanence Mamadou Lamine Badji pour manifester leur soutien à la décision du Président Macky Sall. Des personnalités politiques de premier plan telles que Cheikh Tidiane Gadio et Mamadou Diop Decroix étaient présentes, partageant la satisfaction générale.

À l’entrée de la permanence, l’ambiance était festive, avec des sons de tam-tams et des chants de gloire dédiés à Karim Wade. Les partisans ont exprimé leur joie face à cette décision, considérée comme un moyen de restaurer la cohésion sociale dans le pays.

Les candidats « spoliés », notamment Cheikh Tidiane Gadio et Mamadou Diop Decroix, ont exprimé leur satisfaction lors de ce rassemblement. Mohamed Ben Diop, porte-parole du groupe, a salué la « victoire éclatante » et a rendu hommage aux millions de Sénégalais qui ont soutenu leur lutte pour l’inclusion.

Les responsables du PDS ont lancé un appel solennel à toutes les forces démocratiques pour renforcer l’unité. Ils ont souligné l’importance de garantir que le pays soit gouverné par des règles démocratiques indiscutables.

Mohamed Ben Diop a souligné l’injustice perçue dans l’éviction de Karim Wade du scrutin, déclarant que le Conseil constitutionnel ne pouvait pas organiser un scrutin sous des conditions ne respectant pas la démocratie sénégalaise. Il a appelé à des enquêtes sur la nationalité de tous les candidats.

Le PDS avait déposé une proposition de loi portant sur le report de la présidentielle à l’Assemblée nationale. Cette proposition vise à examiner les conditions d’exclusion de Karim Wade et les allégations de corruption contre certains juges du Conseil constitutionnel.

Alors que le Sénégal traverse cette période de changements politiques, l’unité, la démocratie et la justice restent au cœur des revendications des partisans du PDS et des candidats « spoliés ». L’avenir politique du pays demeure incertain, mais ces développements s’annoncent comme un chapitre clé dans l’histoire politique du Sénégal.

Accusations de corruption : «Le PDS ne doit pas oublier que le juge Coulibaly avait libéré Abdoulaye Wade»

Le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) et ses alliés de la coalition Wallu accusent Cheikh Tidiane Coulibaly et Cheikh Ndiaye, respectivement président et membre du Conseil constitutionnel, de corruption dans leur décision concernant les candidats recalés pour la prochaine présidentielle, notamment Karim Wade. Une commission d’enquête parlementaire a été initiée à cet effet et adoptée par l’Assemblée nationale.

Dans une réaction, Mamour Bâ, ancien député du Parti Socialiste (PS) et membre fondateur de l’Alliance Pour la République (APR), rappelle que le PDS semble avoir une mémoire courte. Il souligne que Cheikh Tidiane Coulibaly avait jugé Abdoulaye Wade à la mort de Me Sèye, et malgré les pressions du régime socialiste, le juge avait pris une décision conforme au droit en libérant Abdoulaye Wade.

Mamour Bâ insiste sur le fait que le juge Coulibaly est incorruptible et rappelle une occasion antérieure où des offres de corruption lui avaient été présentées pour condamner Me Wade, mais le juge avait résisté à ces tentatives, décidant de libérer Abdoulaye Wade après avoir constaté que le dossier était vide. Il conclut en affirmant que le PDS ne devrait pas oublier ces faits.

Tensions à l’Assemblée nationale : Thierno Alassane Sall annonce une plainte contre les députés du Pds

Le député Thierno Alassane Sall a révélé son intention de déposer une plainte contre les membres du Parti démocratique sénégalais (Pds) à la suite d’un incident survenu lors d’un débat crucial à l’Assemblée nationale. Lors des discussions concernant la mise en place d’une commission d’enquête parlementaire sur des allégations de corruption visant des membres du Conseil constitutionnel, les députés du Pds ont sciemment bloqué la prise de parole de Sall en se positionnant devant lui.

Cette obstruction a poussé Thierno Alassane Sall à se sentir « violemment » attaqué. Outre la plainte envisagée, le député prévoit de solliciter un rapport auprès du président de l’Assemblée nationale pour éclaircir cet incident troublant. Cette situation met en lumière les tensions politiques existantes et les enjeux liés à la lutte contre la corruption au Sénégal, soulignant les défis persistants auxquels le pays est confronté dans son chemin vers une gouvernance transparente. Restez informés pour les développements futurs sur cette affaire.

«Nous disons non au report des élections », Thierno Alassane Sall s’oppose au PDS et à l’APR

Lors d’une séance plénière de l’Assemblée nationale sénégalaise, Thierno Alassane Sall a exprimé son opposition ferme au Parti démocratique sénégalais (PDS) et à l’Alliance pour la République (APR) qui appellent au report des élections prévues pour le 25 février 2024.

Thierno Alassane Sall, ayant déposé un recours contre la candidature de Karim Wade auprès du Conseil constitutionnel, a critiqué vivement ces partis, les accusant de vouloir perturber l’ordre constitutionnel du pays en prônant le report des élections.

Il a rappelé que la loi confiant au Conseil constitutionnel le contrôle des parrainages a été adoptée suite à un dialogue national, et il s’est opposé fermement à tout report des élections. Selon lui, le peuple sénégalais ne permettra pas un coup d’État constitutionnel, et le processus électoral doit se dérouler conformément à la loi et dans les délais prévus.

Thierno Alassane Sall a souligné qu’il rejette toute tentative de détourner l’ordre constitutionnel du pays et insiste sur le respect des règles électorales établies.

La députée Gueye du PDS provoque l’altercation à l’Assemblée nationale

Au cours d’une séance plénière à l’Assemblée nationale sénégalaise le 31 janvier 2024, une altercation violente a éclaté entre Thierno Alassane Sall et la députée Mame Diarra Fam du Parti démocratique sénégalais (PDS). L’incident a été déclenché par les propos de Mme le député Gueye lors de son discours, dans lequel elle a accusé Thierno Alassane Sall d’avoir invalidé la candidature de Karim Meissa Wade en introduisant un recours auprès du Conseil constitutionnel.

Les déclarations de Mme le député ont provoqué la colère de Thierno Alassane Sall, qui s’est approché du Président de l’Assemblée nationale pour exprimer son indignation. C’est à ce moment-là que Mame Diarra Fam et un autre député du PDS ont tenté de déloger Thierno Alassane Sall, entraînant une confrontation physique.

La députée Gueye a également remis en question l’impartialité du Conseil constitutionnel, soulignant l’invalidation de la candidature de Karim Meissa Wade en 2023 sans vérification de sa nationalité en 2019. Elle a appelé au report des élections pour réintégrer Karim Meissa Wade dans le processus électoral.

Cet épisode met en lumière les tensions politiques et la polarisation croissante au sein de l’Assemblée nationale sénégalaise à l’approche des élections présidentielles.

Les fédérations du PDS exigent la démission du Premier ministre et le report de la Présidentielle

Les fédérations urbaines et rurales du Parti démocratique sénégalais (PDS) dans le département de Mbour ont lancé un appel pressant au président de la République, exigeant la démission immédiate du Premier ministre Amadou Ba. En outre, ils demandent le report de l’élection présidentielle prévue pour le 25 février 2024. Ces revendications font suite au rejet de la candidature de Karim Wade par le Conseil constitutionnel.

Les libéraux de Mbour, exprimant leur mécontentement sur les ondes d’iRadio, qualifient la décision du Conseil constitutionnel de « forfaiture » et estiment qu’elle constitue une violation des libertés de leur leader.

Dans leur déclaration, ils appellent le président de la République à utiliser ses prérogatives pour mettre fin aux fonctions du Premier ministre, afin d’assurer l’égalité des chances pour tous les candidats et d’éviter les conflits d’intérêts susceptibles de générer des manœuvres antidémocratiques.

Le secrétaire général de la fédération rurale PDS de Mbour, Abdoulaye Lo, souligne que compte tenu de ces « manquements graves », ils exigent la réintégration immédiate de Karim Meïssa Wade parmi les candidats retenus pour l’élection présidentielle. À défaut de cette réintégration sans condition, ils demandent le report du scrutin afin de corriger ce qu’ils considèrent comme une « énième forfaiture » contre leur candidat.

Cet appel met en lumière les tensions croissantes et les divergences politiques à l’approche des élections présidentielles, soulignant l’importance de trouver des solutions pacifiques pour garantir l’intégrité du processus électoral.

Justice au Sénégal : L’UMS défend les juges du Conseil Constitutionnel contre les accusations de corruption du PDS et lance une mise en garde contre l’ingérence parlementaire

L’Union des Magistrats du Sénégal (UMS) a pris une position ferme en faveur des juges du Conseil constitutionnel, Cheikh Tidiane Coulibaly et Cheikh Ndiaye, suite aux récentes accusations de corruption formulées à leur encontre par le Parti Démocratique Sénégalais (PDS).

Dans un communiqué officiel, l’UMS a souligné le caractère inapproprié de l’intervention parlementaire dans des affaires relevant de la compétence exclusive des juridictions répressives. Les juges du Conseil constitutionnel sont au cœur d’une polémique déclenchée par le PDS, qui les a accusés de corruption, semant ainsi le doute sur l’intégrité du processus judiciaire.

L’UMS, représentant les magistrats sénégalais, a exprimé sa préoccupation quant à la remise en cause de l’indépendance judiciaire à travers ces accusations. Le communiqué souligne que les allégations de corruption devraient être traitées par les organes compétents, dans le respect des procédures légales établies.

La déclaration de l’UMS met en avant le principe fondamental de séparation des pouvoirs et insiste sur le respect des compétences spécifiques de chaque institution. Selon l’UMS, l’ingérence parlementaire dans des affaires judiciaires risque de compromettre la confiance du public dans le système judiciaire et de porter atteinte à l’indépendance des juges.

Le communiqué de l’UMS rappelle également que le Sénégal, en tant que démocratie, doit préserver la primauté du droit et garantir un traitement équitable pour tous les citoyens, y compris les magistrats. Face à ces accusations de corruption, l’UMS appelle à la prudence et insiste sur l’importance de respecter la présomption d’innocence jusqu’à ce que des preuves concrètes soient présentées devant les tribunaux compétents.

L’Union des Magistrats du Sénégal a émis une mise en garde contre toute tentative d’ingérence politique dans le fonctionnement indépendant du système judiciaire et a appelé à un traitement équitable des juges concernés, mettant ainsi en avant les principes fondamentaux de la justice et de l’État de droit au Sénégal.

Le Pds : Entre mystère et doute sur ses véritables intentions politiques

La scène politique sénégalaise est actuellement marquée par l’ombre persistante du Parti démocratique sénégalais (Pds) et les incertitudes qui entourent ses véritables intentions politiques. La récente invalidation de la candidature de Karim Wade à la présidentielle de février 2024 par le Conseil constitutionnel a ravivé les interrogations sur le rôle et l’engagement réel du Pds dans le paysage politique.

L’Énigme Karim Wade : Absence et Controverses

Karim Wade, désigné comme le candidat du Pds, a été notablement absent des activités politiques pendant la période préélectorale. Alors que d’autres candidats sillonnaient le pays pour mobiliser et récolter des parrainages, Wade fils était principalement invisible, ne communiquant que par le biais de déclarations et d’une vidéo controversée. Certains doutent même de l’authenticité de cette vidéo, alimentant le mystère entourant sa participation active à la course présidentielle.

Double Nationalité, Double Loyauté ?

Une autre source de perplexité réside dans la double nationalité de Karim Wade, ayant la nationalité française en plus de la sénégalaise. Cette dualité soulève des questions sur la loyauté d’un candidat qui aspire à diriger un pays tout en maintenant des liens étroits avec un autre. Les critiques se demandent si un tel arrangement est compatible avec les responsabilités d’un dirigeant politique.

Paradoxe Pds : Entre Absence et Actions Discutables

Le comportement du Pds après l’invalidation de la candidature de Karim Wade en 2019 a été paradoxal. Plutôt que de soutenir activement un autre candidat de l’opposition, le Pds a choisi de ne pas participer de manière significative au scrutin, ouvrant ainsi la voie à la réélection de Macky Sall. En 2022, le Pds a agi de manière à affaiblir l’opposition en écartant Mimi Touré de l’Assemblée nationale, suscitant des interrogations sur ses véritables motivations.

Des Législatives Cruciales : Éclaircissements Attendus

À l’approche des prochaines élections législatives, le Pds se retrouve à un carrefour politique. Les décisions prises par le parti lors de ces élections pourraient apporter des éclaircissements sur ses véritables intentions et alliances politiques. Tant que persiste le mystère entourant le Pds, les observateurs de la scène politique sénégalaise restent dans l’attente de réponses claires sur la direction que prendra ce parti emblématique dans le paysage politique du Sénégal. La politique sénégalaise demeure ainsi marquée par une énigme persistante autour du Pds et de ses choix stratégiques.

Élimination de Karim Wade de la présidentielle : Le PDS dénonce un « coup d’État du Conseil constitutionnel » et prépare la résistance

La coalition Karim24, représentant le candidat Karim Wade, a tenu un point de presse ce lundi pour réagir à l’invalidation de la candidature de leur leader à l’élection présidentielle. Ils ont qualifié cette décision du Conseil constitutionnel de « coup d’État » visant à propulser un autre candidat, en l’occurrence Amadou Bâ, qu’ils estiment impopulaire.

Magatte Sy, mandataire de la coalition K24, a déclaré que c’est une « injustice flagrante » et que le PDS ainsi que toute la coalition K2024 exigent la réintégration immédiate de Karim Wade. Il a annoncé que toutes les voies de recours seront empruntées pour obtenir la réintégration du candidat.

Le Parti démocratique Sénégalais (PDS) estime que Karim Wade fait face à des injustices politico-judiciaires depuis près d’une décennie. Contestant la crédibilité du Conseil constitutionnel, le parti affirme que « l’élection ne se tiendra pas sans la participation de notre candidat ». Ils appellent toutes les sections, fédérations et structures du parti à se réunir pour faire face à cette situation et préparent la résistance.

En réaction à cette décision, le PDS exige également la dissolution du Conseil constitutionnel. Les militants sont appelés à se mobiliser en préparation du retour imminent de Karim Wade. La situation politique au Sénégal reste tendue à l’approche de l’élection présidentielle.

Présidentielle 2024 : Le plan de retour de Karim

Karim Wade, candidat du PDS, sera bien présent à Dakar lorsque la campagne électorale va démarrer.

Le PDS prépare activement le retour de Karim Wade. Wade-fils sera bien à Dakar, seule la date exacte du retour est méconnue. Pour tout le reste, rapportent des sources du journal Le Quotidien, les partisans de Karim Wade et militants du Pds sont suffisamment outillés pour accueillir leur candidat. Les véhicules et la logistique de campagne sont prêts, ainsi que le programme de campagne. Karim Wade ne se retrouvera pas dans l’impréparation.

En effetle candidat du Parti démocratique sénégalais (Pds) sera bien présent à Dakar lorsque la campagne électorale va démarrer. Certains de ses proches assurent que la date a même déjà été retenue, mais qu’elle ne sera pas annoncée à l’avance, pour maintenir le suspense.

Mais pour tout le reste, à savoir la logistique, le comité d’accueil et le programme de son arrivée, tout a déjà été ficelé. Ceux de ses proches, qui ont accepté de s’adresser au journal Le Quotidien, ont exigé que leur anonymat soit préservé, au risque pour eux «d’être exclus du cercle des proches».

Ils assurent ainsi que la toute première chose que fera Karim Wade, à son arrivée au Sénégal, sera de prendre l’Autoroute Ila Touba, pour se rendre dans la capitale de la Mouridiya. Le fils du Président Wade va aller faire son ziar auprès du Khalife général des Mourides, Serigne Mountakha Mbacké. Il sera accompagné de ses compagnons de voyage, ainsi que de la délégation qui sera venue l’accueillir.

Bien qu’il sera difficile, au vu des circonstances, de rééditer l’exploit du retour de Abdoulaye Wade en 2000, le Pds compte néanmoins sur une sortie massive de ses partisans et du public pour participer à l’accueil.

Pour éviter de donner l’impression d’organiser un rassemblement, et d’essuyer des tirs de lacrymogènes, comme tant d’autres candidats, la délégation va voyager en toutes petites troupes et entrer dans la ville religieuse par plusieurs entrées, pour se retrouver devant la résidence du khalife et accompagner leur champion dans son ziar. Il s’agit, en effet, de démontrer également que le fils du Président Abdoulaye Wade a toujours l’affection de ses coreligionnaires mourides, à l’instar de son père, qui a fini par faire de Touba son bastion électoral.

APS

Cérémonie de Remerciements et de Cloture des parrainages Lecco – Italia …..avec UKADSI ( union des karimistes de la diaspora sènègalaise d’ italia) et la Fédération PDS officielle…..

C’est dans une ambiance chaleureuse et familliale que les habitants de LECCO, les militants, militantes,frères,soeurs et sympathisans du PDS italie ont accueilli la grande délégation de L’UKADSI et de la Fédération Officielle pour magnifier leur présence sur la journée de Remise des parrainages en Italia.

Un travail qui a été coordonné par nos frères Cheikh Bamba Dieng , Mame Diarra Thiam et l’ensemble des differentes coordinations de parrainages d’Italia.
Ce travail exceptionnel a été remis au Délégué Regional de la Diaspora ,
Coordonnateur UKADSI
le frère Abdou khadre DIOKHANE …

L’évenement de Remise des parrainages Lecco a montré comment les karimistes UKADSI ont démontré leur engagement, loyauté et fidelité envers leur frére président Karim Meissa Wade avec un nombre de parrains trés satisfaisant.

La trés forte mobilisation de Lecco par l’ensemble des militants sympatisants frères et soeurs du parti démocratique sénégalais a démontré que le PDS reste et demeure l’espoir pour la Diaspora et le Senegal avec le candidat du peuple Karim Meissa Wade.

UKADSI et la Fédération Officielle tiennent à remercier les responsables du parti de la localité mais surtout la population de Lecco pour cette journée extraordinaire d’animation….

Quitter la version mobile