Arrêt des constructions sur la corniche : Une décision salutaire pour l’accès à la plage

L’annonce de l’arrêt des travaux sur la corniche par le gouvernement de Bassirou Diomaye Faye a suscité des réactions positives, notamment celle du journaliste Mamoudou Ibra Kane. Cette décision, relayée en premier lieu par l’architecte Pierre Goudiaby Atepa, est saluée comme une mesure nécessaire pour garantir le droit d’accès des Sénégalais à la plage.

Même en tant que soutien d’Amadou Ba et membre de l’opposition sénégalaise, Mamoudou Ibra Kane approuve fermement cette initiative des nouveaux dirigeants. Selon lui, Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko ne doivent pas hésiter à agir de manière déterminée dans ce dossier, afin de mettre un terme à la spéculation immobilière qui prive les citoyens de leur droit fondamental d’accès à la mer.

“J’approuve la décision du gouvernement d’arrêter les constructions sur le littoral. Une mesure salutaire tant la spéculation avait pris les allures d’un tong-tong et fini par priver les Sénégalais d’un droit essentiel : l’accès à la mer. Ne pas reculer!”, écrit-il sur X.

Cette réaction souligne l’importance de protéger les espaces côtiers du pays et de veiller à ce qu’ils restent accessibles à tous. La préservation de ces zones naturelles est non seulement cruciale pour l’environnement, mais aussi pour le bien-être et la qualité de vie des communautés locales.

Cet incident tragique sur la plage de Diamalaye met en lumière une série de crimes présumés, impliquant un guérisseur traditionnel et une étudiante.

Voici un résumé des événements :

Le commissariat de l’Unité 15 des Parcelles-Assainies a récemment déféré M. M. T. pour viol, attentat à la pudeur et charlatanisme. M. M. T. était un guérisseur et a été surpris en train de violer une étudiante, N. A. T., sur la plage de Diamalaye.

Les autorités ont été alertées par des cris de détresse émanant de la plage dans la nuit du mardi 12 mars, entre 22h et 23h. À leur arrivée, elles ont découvert M. M. T. entre les jambes de la victime, tentant de l’empêcher de crier.

Selon les déclarations de la victime aux enquêteurs, elle aurait sollicité l’aide du guérisseur pour des problèmes liés à un être surnaturel. Un rendez-vous avait été fixé pour une séance de bain mystique sur la plage de Diamalaye.

Pendant la séance, le guérisseur aurait profité de la situation pour violer l’étudiante, malgré ses appels à l’aide. Il aurait prétendu maîtriser l’esprit maléfique qui tourmentait la jeune femme.

Lors de l’interrogatoire, le guérisseur a reconnu les faits, mais a prétendu ignorer les raisons de son acte. Des preuves matérielles, notamment un arsenal mystique découvert à son domicile, semblent corroborer les accusations.

La victime a subi des blessures attestées par un certificat médical, confirmant les violences subies.

À la suite de l’enquête menée par le commissaire M. Khouma, le guérisseur M. M. T. a été déféré au parquet pour répondre des accusations de viol, attentat à la pudeur et charlatanisme.

Cet incident met en lumière les dangers associés à la manipulation et à l’abus de confiance dans le contexte de pratiques mystiques et traditionnelles. Les autorités doivent rester vigilantes pour protéger les citoyens contre de tels actes répréhensibles.

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