Les médias sénégalais se sont récemment enflammés avec des rumeurs persistantes sur une prétendue union entre l’homme d’affaires Pape Doro Gaye et l’actrice Racky Aidara. Malgré les démentis du mari de Clara, les spéculations ont continué à circuler, alimentant les potins de la presse people.
Ces rumeurs ont cependant pris une tournure légale lorsque l’avocat de M. Gaye a pris des mesures en saisissant la justice pour diffamation et diffusion de fausses nouvelles, entre autres délits. Cette action fait suite à la parution d’articles jugés mensongers par l’homme d’affaires.
« C’est tout simplement inadmissible. Comment peut-on écharper ainsi d’articles, les uns plus mensongers que les autres un honnête citoyen. J’ai fini de faire des captures d’écran de tous ces articles mensongers arguant que Doro se serait marié avec une certaine Racky Aïdara, avant de déposer la plainte pour diffamation, diffusion de fausses nouvelles, atteinte à son image par un supposé mariage », déclare l’avocat de Doro Gaye.
Selon lui, ces articles, véhiculant des affirmations non fondées et malveillantes, ont pour objectif de ternir la réputation de son client et de ses proches. « Le caractère des propos sous forme d’affirmations des auteurs, adossé à des rumeurs non avérées et malveillantes vise à salir la personne de Doro Gaye et ses proches. C’est normal qu’il porte plainte à partir du moment où il y a atteinte à la vie privée et où des rumeurs sont colportées comme des faits », déplore-t-il.
Les plaintes en question ciblent certains organes de presse et « pseudo influenceurs » qui ont contribué à répandre et à amplifier cette rumeur. Cette affaire met en lumière les défis posés par la diffusion de fausses informations et la responsabilité des médias dans la protection de la réputation et de la vie privée des individus.