Météo-France prévoit des conditions plus chaudes que la normale pendant les Jeux olympiques de Paris 2024

Les régions méditerranéennes pourraient être particulièrement touchées par cette hausse de température

Selon les dernières tendances à trois mois publiées par Météo-France, la France pourrait faire face à des conditions météorologiques plus chaudes que la normale au cours des trois prochains mois, correspondant au début des Jeux olympiques de Paris 2024.

L’établissement public a indiqué que “un scénario plus chaud que la normale est le plus probable pour la France, avec une probabilité plus marquée pour les régions méditerranéennes”. Cette probabilité est estimée à 50% pour la France métropolitaine, tandis qu’elle est de 30% pour un scénario conforme aux normales et de 20% pour un scénario plus froid, basé sur les normales météorologiques calculées sur la période 1991-2020.

En ce qui concerne les précipitations, Météo-France n’a pas privilégié de scénario spécifique pour la France et l’Europe dans son ensemble.

Ces prévisions, mises à jour chaque mois pour les trois mois suivants, coïncident avec le début des Jeux olympiques (26 juillet-11 août). Elles indiquent un scénario le plus probable parmi trois options : proche, en dessous ou au-dessus des normales saisonnières.

Cependant, Météo-France met en garde contre les conclusions hâtives et souligne qu’il est trop tôt pour prédire les conditions météorologiques précises de cet été semaine par semaine. Prévoir un scénario plus chaud que la normale sur trois mois ne garantit pas nécessairement la survenue de vagues de chaleur ou de canicules, et les tendances climatiques à trois mois ne fournissent pas d’informations sur la possibilité de battre des records météorologiques.

Cette information pourrait néanmoins avoir un impact sur l’organisation des Jeux olympiques, notamment en ce qui concerne la planification des épreuves sportives en fonction des conditions météorologiques prévues.

L’Iran prévoit une attaque de drones sur Israël de plusieurs heures, selon la Maison Blanche

La Maison Blanche a annoncé samedi que l’attaque de drones de l’Iran sur Israël devrait durer “probablement plusieurs heures”. Adrienne Watson, porte-parole du Conseil de sécurité nationale américain, a réitéré le soutien des États-Unis au “peuple d’Israël” face à ces menaces.

L’attaque, lancée par le Corps des Gardiens de la Révolution de l’Iran, a été décrite par la télévision d’État iranienne comme une “vaste” opération utilisant à la fois des drones et des missiles. Cette action est une réponse aux récentes provocations perçues par l’Iran, notamment l’attaque contre la section consulaire de son ambassade à Damas et la perte de plusieurs commandants militaires iraniens en Syrie.

Face à cette escalade des tensions, les États-Unis ont clairement exprimé leur position en faveur d’Israël. “Les États-Unis continueront de soutenir la défense d’Israël contre ces menaces de l’Iran”, a affirmé Adrienne Watson. Ce soutien renforce l’alliance traditionnelle entre les États-Unis et Israël et souligne l’importance de la coopération sécuritaire entre les deux pays.

Cette attaque intervient dans un contexte déjà tendu au Moyen-Orient, marqué par des rivalités géopolitiques et des confrontations militaires entre les puissances régionales. La communauté internationale redouble d’efforts pour tenter de désamorcer la situation et appelle toutes les parties à la retenue.

Alors que l’attaque de drones de l’Iran sur Israël se poursuit, les appels à la désescalade se multiplient sur la scène internationale. Une résolution pacifique de cette crise est cruciale pour éviter une escalade majeure aux conséquences potentiellement dévastatrices pour la stabilité de la région.

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