Polémique sur un compte bancaire : Réactions et accusations entre l’ancien régime et le gouvernement actuel

La scène politique sénégalaise est actuellement secouée par une affaire de taille : la révélation par le Premier ministre Ousmane Sonko de l’existence supposée d’un compte bancaire appartenant à un dignitaire de l’ancien régime, contenant la somme astronomique de 1 000 milliards de FCFA. Cette accusation, lourde de conséquences, a suscité une vive réaction de l’ancien président Macky Sall, aujourd’hui à la tête de la coalition Takku Wallu, qui a nié catégoriquement ces allégations.

Dans une lettre adressée à ses partisans, Macky Sall a qualifié l’accusation de « grotesque et calomnieuse », soulignant que des professionnels du secteur bancaire avaient déjà démenti cette information. Selon lui, ces accusations répétées contribuent à affaiblir l’image du Sénégal sur la scène internationale et à dégrader sa note souveraine. Il affirme que l’impact de telles rumeurs se traduit par une perte de confiance des investisseurs, une mise en péril des entreprises, et une aggravation du chômage.

Le contexte économique du Sénégal s’est en effet fragilisé ces derniers mois, comme en témoignent les récentes dégradations par des agences de notation internationales. Pour Macky Sall, l’origine de cette situation trouve sa source dans des déclarations intempestives qui compromettent la stabilité financière du pays.

L’ancien président n’a pas manqué de pointer du doigt l’incapacité des autorités actuelles à résoudre des affaires locales, telles que les scandales présumés de l’ONAS et de l’ASER, qui continuent de soulever des interrogations au sein de l’opinion publique.

De son côté, le gouvernement actuel reste ferme sur sa position. Des membres de la majorité soutiennent que l’enquête sur ce compte bancaire est fondée et que la transparence reste l’un des piliers de leur engagement. Pour eux, le dévoilement de telles informations est essentiel pour garantir la probité et la justice.

Cette affaire intervient dans un climat politique tendu, où chaque camp semble déterminé à marquer des points auprès de l’électorat. Si les accusations se poursuivent, elles pourraient bien redéfinir la perception que les Sénégalais ont de leur classe politique, mettant en lumière des enjeux de gouvernance et d’éthique publique.

Les prochaines semaines s’annoncent donc cruciales, car elles pourraient non seulement influencer le paysage politique, mais aussi impacter durablement l’économie nationale, déjà mise à l’épreuve par la crise mondiale et les défis locaux.

Manifestation interdite par le préfet : La réaction des membres de l’ATEL

Ce vendredi 27 septembre, les dirigeants de l’Alliance pour la transparence des élections (ATEL) avaient prévu d’organiser une manifestation, mais celle-ci a été interdite par le préfet. Dans un communiqué, Khalifa Sall, Bougane Guèye Dany et leurs alliés dénoncent cette interdiction et accusent le Pastef d’en être à l’origine. Ils annoncent également leur intention de saisir les autorités compétentes.

Voici l’intégralité du communiqué de l’ATEL :

« Le pouvoir Pastef vient d’interdire le rassemblement qui était prévupar notre alliance ce 27 septembre à 15 h à la place de la Nation.
Le prétexte ridicule de cette interdiction est la proximité du couloir debus du Brt. Pourtant, une autre manifestation est autorisée sur lesmêmes lieux.

Le ridicule le dispute au fallacieux quand le pouvoir accuse ATELd’avoir refusé de changer le lieu de la rencontre, alors que cetteproposition ne lui a été faite qu’à quelques heures de l’évènement. Ausurplus, sans aucune justification.
Ceci s’inscrit dans une politique d’interdiction systématique de toutemanifestation non adoubée par Pastef. Il suffit de rappelerl’interdiction illégale de la marche des marchands ambulants ainsi quecelle des mourides de Massalikoul Jinane.

ATEL dénonce et condamne vigoureusement cette volonté de placer leSénégal sous la férule d’une dictature populiste.

ATEL se réserve le droit de saisir les institutions judiciairescompétentes contre cette nouvelle violation du droit constitutionnel demanifestation.

Enfin, ATEL va organiser une conférence de presse pour annoncer lasuite de son plan d’action.

Fait à Dakar le 27 septembre 2024

Le comité d’initiatives »

Réaction vive des supporters du Stade de Mbour après leur défaite face au Jaraaf de Dakar

La rencontre opposant le Stade de Mbour au Jaraaf de Dakar a pris une tournure tumultueuse lorsque les supporters du club mbourois ont exprimé leur mécontentement après la défaite de leur équipe. Alors que le Jaraaf s’imposait 2-0 sur le terrain du stade Caroline, les supporters ont manifesté leur frustration de manière violente, jetant des pierres et lançant des insultes envers le corps arbitral.

Cette réaction agressive a conduit à des scènes de confusion et a mis en lumière les tensions qui règnent dans le monde du football sénégalais, où les résultats des matchs ont souvent des répercussions émotionnelles profondes sur les supporters.

Face à cette situation, Saliou Samb, ancien président du Stade de Mbour, a pris la parole pour appeler à l’unité et au soutien envers le club. Malgré sa démission de ses fonctions, Samb a exprimé son soutien au président actuel, Ass Wade, et à son équipe dirigeante, saluant leur engagement envers le club malgré les défis rencontrés.

Samb a souligné l’importance du soutien des supporters dans les moments difficiles et a exhorté les fans à se rallier derrière leur équipe pour surmonter les obstacles. Il a également promis d’examiner attentivement les préoccupations des supporters et de travailler avec les parties concernées pour aider le Stade de Mbour à retrouver son succès passé.

Cette réaction souligne la passion intense qui entoure le football au Sénégal et met en lumière l’importance du soutien des supporters pour le succès à long terme des clubs. Dans un geste de réconciliation et de solidarité, Saliou Samb a offert un message d’unité et d’engagement envers le Stade de Mbour, appelant à un retour à l’harmonie et à la coopération au sein du club.

Réaction Critique du Mouvement des Citoyens Dioubenti Guédiawaye aux Propos du Maire Ahmed Aidara

Le Mouvement des Citoyens Dioubenti Guédiawaye a vivement réagi aux récentes déclarations du maire Ahmed Aidara concernant la dernière place occupée par la ville dans le classement du Programme d’Appui aux Communes et Agglomérations du Sénégal (PACASEN). En se classant en dernière position (19e), les habitants de Guédiawaye expriment leur mécontentement face à la gestion de leur municipalité.

Sur les ondes d’iRadio, les membres du mouvement ont critiqué les propos du maire, l’appelant à se concentrer sur les véritables défis rencontrés par la population locale plutôt que de s’engager dans des discours populistes. Ils soulignent notamment l’absence de réalisations concrètes telles que le pavage de certaines routes ou l’équipement des structures sanitaires.

Mohamadou Moustapha Diouf, porte-parole du mouvement, conteste les allégations du maire concernant l’utilisation des fonds municipaux, remettant en question le niveau d’exécution du budget annoncé. Les membres de Dioubenti Guédiawaye estiment que le maire devrait faire preuve de davantage de transparence et d’efficacité dans la gestion des ressources publiques.

Par ailleurs, le mouvement soulève des préoccupations concernant la situation des étudiants de l’université Gaston Berger résidant dans la commune, ainsi que l’état de délabrement avancé du marché Mame Diarra. Ils interpellent le maire sur ses actions concrètes pour améliorer la vie quotidienne des habitants de Guédiawaye.

Le Mouvement des Citoyens Dioubenti Guédiawaye exhorte le maire Ahmed Aidara à abandonner le populisme et à se confronter à la réalité des problèmes de la ville. Ils se positionnent en tant que sentinelles de la communauté, prêts à jouer un rôle d’avant-garde dans la résolution des défis locaux et à soutenir toute initiative visant à améliorer la qualité de vie des habitants.

Suspension des Radios BBC et VOA au Burkina Faso : Réaction aux Rapports Accusatoires

Le Conseil Supérieur de la Communication (CSC) du Burkina Faso a annoncé la suspension des programmes des radios internationales BBC et Voice of America (VOA) pour une durée de deux semaines. Cette décision fait suite à la diffusion d’un rapport de Human Rights Watch (HRW) par ces stations, accusant l’armée burkinabè d’exactions contre des civils.

Dans son communiqué, le CSC justifie cette mesure en pointant du doigt les déclarations jugées « péremptoires et tendancieuses » contre l’armée burkinabè, sans éléments de preuve tangible, contenues dans le rapport diffusé par les radios internationales. Le CSC accuse également la BBC et la VOA de désinformation susceptible de nuire à l’image de l’armée burkinabè et de créer des troubles à l’ordre public.

En réaction, le CSC a également ordonné aux fournisseurs d’accès à internet de suspendre l’accès aux sites et plateformes numériques de la BBC, de la VOA et de HRW depuis le territoire burkinabè. Il met en garde tous les médias contre la diffusion de cet article jugé « tendancieux » et rappelle les sanctions prévues pour tout contrevenant.

Les accusations portées par HRW dans son rapport, affirmant que l’armée burkinabè aurait exécuté au moins 223 civils lors d’attaques dans le Nord du pays, n’ont pas encore reçu de réponses officielles des autorités burkinabè.

Cette suspension des radios internationales BBC et VOA s’inscrit dans un contexte où le Burkina Faso a déjà pris des mesures similaires en suspendant la diffusion de certaines chaînes de télévision ou de radio et en expulsant des correspondants étrangers. Cela soulève des préoccupations concernant la liberté de la presse et l’accès à l’information dans le pays.

Réaction de Déthié Fall au Nouveau Gouvernement : Priorité à la Réponse aux Attentes du Peuple

Après l’annonce de la composition du nouveau gouvernement par le Premier ministre Ousmane Sonko ce vendredi 5 avril 2024, Déthié Fall, Président du Parti de la Renaissance du Peuple (PRP), a réagi en exprimant ses vœux de réussite à toute l’équipe gouvernementale dans leurs missions à venir.

Dans sa déclaration, Déthié Fall a souligné l’importance pour le nouveau gouvernement de se concentrer exclusivement sur la satisfaction des attentes du peuple sénégalais. Il a notamment mis en avant la nécessité de réduire le coût de la vie, de créer des opportunités d’emploi pour la jeunesse et de garantir l’indépendance de la justice.

Cette réaction intervient dans un contexte où les attentes des citoyens sénégalais sont particulièrement élevées, en raison des défis économiques et sociaux auxquels le pays est confronté. Le nouveau gouvernement est ainsi appelé à prendre des mesures concrètes et efficaces pour répondre aux préoccupations de la population et pour améliorer les conditions de vie de tous les citoyens.

Déthié Fall a également souligné l’importance de l’engagement total du gouvernement envers les valeurs de transparence, d’intégrité et de responsabilité dans l’exercice de ses fonctions. Il a appelé à une gouvernance exemplaire et à une gestion rigoureuse des affaires publiques, afin de restaurer la confiance des citoyens dans les institutions gouvernementales.

Enfin, le Président du PRP a exprimé sa volonté de travailler en collaboration avec le nouveau gouvernement pour relever les défis auxquels le Sénégal est confronté et pour œuvrer ensemble à la construction d’un avenir meilleur pour tous les Sénégalais.

Réaction d’Aminata Touré à l’Annonce du Nouveau Gouvernement

Après l’annonce du nouveau gouvernement composé de 25 ministres et 5 secrétaires d’État, Aminata Touré, ancienne Première ministre et figure politique de premier plan, a réagi sur son compte X.

Dans son message, Aminata Touré a choisi une approche positive et constructive en félicitant chaleureusement tous les membres du nouveau gouvernement. Elle a exprimé ses vœux sincères pour leur réussite dans leur noble mission au service du peuple sénégalais.

Cette réaction témoigne de la maturité politique d’Aminata Touré, qui, malgré son absence de la liste gouvernementale, choisit de mettre en avant l’intérêt supérieur du pays et d’apporter son soutien à l’équipe nouvellement formée. Sa déclaration reflète également son engagement envers les principes de démocratie et de respect des institutions, ainsi que sa volonté de contribuer de manière constructive au débat politique national.

En reconnaissant le travail à venir du nouveau gouvernement et en lui souhaitant succès et assistance divine, Aminata Touré envoie un message de unité et de cohésion dans un contexte de transition politique. Sa réaction met en lumière l’importance de la collaboration et du soutien mutuel entre les acteurs politiques pour faire avancer les intérêts du peuple sénégalais.

Il reste à voir quelle sera la contribution future d’Aminata Touré dans le paysage politique sénégalais, mais sa réaction initiale à l’annonce du nouveau gouvernement indique clairement sa volonté de rester engagée et de participer de manière constructive au processus démocratique du pays.

Réaction de la mère d’Ousmane Sonko suite à sa nomination en tant que Premier Ministre

La nomination d’Ousmane Sonko au poste de Premier Ministre du Sénégal a suscité des réactions diverses, y compris celle de sa propre mère, Khady Ngom. Dans une déclaration à l’Agence de presse sénégalaise, elle a exprimé à la fois sa fierté et ses préoccupations concernant cette nouvelle responsabilité qui incombe à son fils.

Tout d’abord, Khady Ngom a appelé son fils à rester toujours lucide et concentré sur ses responsabilités. « J’appelle mon fils à toujours avoir la tête sur les épaules », a-t-elle déclaré, soulignant ainsi l’importance pour Ousmane Sonko de garder les pieds sur terre malgré sa nouvelle fonction.

En tant que mère, elle a également formulé des prières pour le succès de son fils ainsi que celui du Président de la République, Bassirou Diomaye Faye. Cette volonté de voir son fils réussir dans ses nouvelles fonctions témoigne de son soutien indéfectible envers lui, tout en reconnaissant l’importance du partenariat entre le Premier Ministre et le Président pour le développement du pays.

Par ailleurs, Khady Ngom a adressé des conseils supplémentaires à son fils, notamment celui de ne pas décevoir les attentes des Sénégalais. « J’appelle Ousmane Sonko à ne pas faire perdre espoir aux Sénégalais », a-t-elle souligné, mettant ainsi en avant l’importance de l’intégrité et de la responsabilité dans l’exercice de ses fonctions.

Enfin, la mère d’Ousmane Sonko a plaidé pour l’unité et la collaboration entre son fils et le Président de la République, soulignant l’importance de travailler ensemble pour le bien-être du pays.

Cette réaction de la mère d’Ousmane Sonko reflète à la fois la fierté maternelle et les aspirations pour un avenir meilleur pour le Sénégal sous la direction de son fils et du Président.

Tension entre la FECAFOOT et les autorités camerounaises : Réaction surprise à la nomination du nouveau sélectionneur des Lions Indomptables

La récente annonce de la nomination de Marc Brys au poste de sélectionneur-Manager de l’équipe nationale de football du Cameroun a suscité une réaction inattendue de la part de la Fédération Camerounaise de Football (FECAFOOT). Cette dernière a exprimé son étonnement quant à cette décision, soulignant qu’elle n’avait pas été consultée au préalable, comme le stipule pourtant le Décret N°2014/384 régissant l’organisation des sélections nationales de football.

Dans un communiqué diffusé peu après l’annonce officielle du ministère des Sports et de l’Éducation physique, la FECAFOOT a manifesté son étonnement face à cette décision prise de manière unilatérale. Dirigée par Samuel Eto’o, elle a regretté que cette annonce intervienne alors même qu’elle collabore étroitement avec les autorités pour assurer l’avenir des Lions Indomptables.

La réaction de la FECAFOOT souligne un malaise latent entre la fédération et les autorités gouvernementales, et met en lumière les tensions qui persistent dans la gestion du football camerounais. Alors que la collaboration entre les deux entités semblait s’améliorer, cette décision unilatérale a ravivé les frustrations et les désaccords.

La fédération a annoncé son intention de donner son point de vue sur cette situation dans les prochains jours, laissant planer le doute sur la nature de sa réaction et sur les éventuelles conséquences pour la nomination de Marc Brys et son équipe technique.

Cette réaction surprise de la FECAFOOT soulève des interrogations quant à la cohésion et à la collaboration au sein du football camerounais, et met en lumière les défis persistants auxquels est confrontée l’organisation sportive dans le pays.

Alain St Pierre Mwamba critique Sonko lors de sa visite au Palais et provoque une réaction vive des Sénégalais

La récente visite de Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko au Palais a suscité des réactions contrastées au Sénégal. Alors que certains saluent cette rencontre comme un geste de réconciliation politique, d’autres critiquent la participation de Sonko, estimant qu’il devrait adopter une attitude plus humble envers le président nouvellement élu.

Parmi les voix critiques figure Alain St Pierre Mwamba, un journaliste congolais, qui a exprimé son désaccord avec la présence de Sonko lors de la rencontre au Palais. Ses commentaires ont déclenché une réaction immédiate de la part des Sénégalais, qui n’ont pas hésité à exprimer leur mécontentement.

Doudou Jacques Faty, ancien footballeur international sénégalais, a répondu à Mwamba en l’invitant à ne pas manquer de respect envers le chef de l’État sénégalais. Chérif Sadio, ancien directeur de Casa Sport, a également critiqué les commentaires de Mwamba, soulignant son ignorance et appelant à une réflexion plus nuancée.

Les réactions sur les réseaux sociaux ont été nombreuses et virulentes. Certains ont accusé Mwamba de jalousie et de manque d’intelligence, tandis que d’autres ont souligné l’importance de respecter la démocratie sénégalaise. En réponse aux critiques, Mwamba a tenté de rectifier le tir en publiant une vidéo de la visite de Sonko et Faye au Palais, exprimant ainsi son respect pour le Sénégal.

Cependant, la moquerie de certains utilisateurs sur les réseaux sociaux montre que les commentaires de Mwamba ont eu un impact significatif. Il semble que ce différend ait attiré l’attention sur les tensions politiques et sociales persistantes au Sénégal, mettant en lumière les divisions et les opinions divergentes au sein de la société.

En fin de compte, cet épisode souligne l’importance du respect mutuel et du dialogue dans le débat politique, ainsi que la nécessité de rechercher des solutions constructives pour surmonter les différences et promouvoir l’unité nationale.

Victoire de Diomaye Faye à la Présidentielle au Sénégal : La Réaction d’Alpha Condé

L’ancien président guinéen Alpha Condé a adressé ses félicitations à Bassirou Diomaye Faye pour sa « brillante élection à la magistrature suprême du Sénégal ». Cette déclaration a été faite à travers une publication sur sa page Facebook.

Pour le vétéran de la politique guinéenne, la victoire du candidat du Pastef représente également le triomphe d’une « Afrique libre, unie et fraternelle. Une Afrique capable de prendre son destin en main et prête à défendre sa souveraineté nationale, contre toute ingérence extérieure qui menace aujourd’hui son développement économique et social ».

Une « jeunesse éclairée »

Alpha Condé a salué cette victoire comme étant « un exemple de progrès pour toute l’Afrique », une « traduction de notre attachement à la légitimité du pouvoir, à l’ordre constitutionnel et démocratique ». Il s’est également réjoui de voir à la tête du Sénégal une « jeunesse éclairée ».

En conclusion, l’ancien dirigeant guinéen a exprimé ses vœux de « plein succès » à Diomaye Faye dans « l’exercice du mandat que le peuple sénégalais vient de (lui) confier », tout en l’invitant à « accueillir le soutien de tous les citoyens amoureux de la paix et de la justice ».

Bassirou Diomaye Faye Élu Président : Réaction de l’Ambassade des États-Unis au Sénégal

L’ambassade des États-Unis au Sénégal a réagi à la victoire de Bassirou Diomaye Faye lors de l’élection présidentielle, exprimant sa volonté de collaborer avec le nouveau gouvernement sénégalais.

Sur X, l’ambassade a déclaré : « Nous sommes prêts à travailler avec le nouveau gouvernement du Sénégal », soulignant ainsi leur disposition à établir une relation de coopération avec l’administration dirigée par Bassirou Diomaye Faye.

Dans leur message, les États-Unis ont félicité le président élu Faye pour sa victoire électorale, tout en saluant la participation du peuple sénégalais à un processus électoral pacifique, transparent et inclusif. Cette reconnaissance de l’engagement démocratique du Sénégal souligne l’importance accordée par les États-Unis à la stabilité et à la démocratie en Afrique de l’Ouest.

En affirmant leur disponibilité à travailler avec le nouveau gouvernement sur des priorités communes, l’ambassade des États-Unis témoigne de son engagement envers le renforcement des relations bilatérales entre les deux pays. Cette coopération pourrait notamment concerner des domaines tels que la sécurité, le développement économique, la santé publique et d’autres enjeux régionaux et internationaux.

La réaction positive des États-Unis à la victoire de Bassirou Diomaye Faye souligne l’importance de la stabilité politique et de la bonne gouvernance pour les relations internationales. Alors que le Sénégal s’apprête à entamer un nouveau chapitre avec un président élu, cette volonté de collaboration internationale offre des perspectives encourageantes pour l’avenir du pays.

Réaction de Lat Diop suite à son éviction du gouvernement : Engagement pour la victoire et soutien à Amadou Ba

Lat Diop, qui occupait le poste de chef du département des Sports au sein du gouvernement sénégalais depuis octobre 2023, a été évincé de son poste lors de la dernière formation du gouvernement. La réaction du ministre sortant ne s’est pas fait attendre.

Contacté depuis Accra, au Ghana, où il accompagnait la délégation sénégalaise aux Jeux africains 2023, Lat Diop a exprimé sa gratitude envers le président Macky Sall pour l’opportunité qui lui a été donnée de servir la nation et le peuple sénégalais. Il a également remercié l’ancien Premier ministre Amadou Ba.

Malgré son départ du gouvernement, Lat Diop affirme son engagement continu envers le président de la République et exprime son soutien indéfectible à Amadou Ba. Il s’est engagé à travailler ardemment pour la victoire du candidat Amadou Ba, soulignant qu’il continuera à contribuer au rayonnement du parti et à son renforcement.

La réaction de Lat Diop témoigne de son attachement au service public et à son engagement envers le parti, mettant en avant sa détermination à contribuer à la réussite du candidat soutenu par le camp présidentiel.

Réaction de la plateforme F24 aux décisions du conseil constitutionnel et à la loi d’amnistie

La Plateforme F24, dans un communiqué officiel, a exprimé sa satisfaction suite aux décisions prises par le Conseil constitutionnel lors de sa dernière communication. Le mouvement a salué le rôle crucial du Conseil constitutionnel dans le rétablissement des principes démocratiques au Sénégal.

F24 a souligné l’importance de mettre en œuvre les décisions du Conseil constitutionnel afin de garantir la tenue de l’élection présidentielle à la date prévue. Le mouvement a appelé les autorités compétentes à prendre toutes les mesures nécessaires pour concrétiser ces décisions et assurer la stabilité démocratique au Sénégal.

Parallèlement, la Plateforme F24 a manifesté son inquiétude face à la récente loi d’amnistie votée à l’Assemblée nationale. Le mouvement a qualifié ce vote de « mascarade » et a exhorté le président à suspendre la promulgation de la loi. F24 a plaidé en faveur d’une enquête approfondie visant à déterminer les responsabilités liées à cette loi controversée.

F24 a réaffirmé son engagement en faveur de la paix et a souligné que la vérité devrait être le pilier de toute démarche visant à préserver la stabilité et la démocratie au Sénégal. Le mouvement a également appelé les candidats à s’unir pour garantir la sécurité du scrutin, assurant ainsi une élection libre, transparente et démocratique.

En conclusion, le communiqué de la Plateforme F24 a mis en avant le principe fondamental de « La paix avant tout ! La Paix au-dessus de tout ! La paix adossée à la vérité ! » soulignant ainsi la nécessité d’une approche pacifique et basée sur la vérité pour surmonter les défis actuels et préserver la démocratie au Sénégal.

Réaction des États-Unis à l’annulation du report de la Présidentielle au Sénégal

Les autorités consulaires des États-Unis ont exprimé leur satisfaction suite à la décision du Conseil Constitutionnel du Sénégal d’annuler le report de l’élection présidentielle, acté précédemment par le président Macky Sall et l’Assemblée nationale. Dans un communiqué publié par l’Ambassade américaine à Dakar, cette décision a été saluée comme un pas positif vers le rétablissement de la tenue de l’élection présidentielle dans les délais constitutionnels.

« Nous nous réjouissons de la décision du Conseil Constitutionnel de remettre le Sénégal sur la voie d’une élection présidentielle dans les délais. Nous espérons que les citoyens sénégalais auront l’occasion de se rendre aux urnes très bientôt », a déclaré l’ambassade américaine à Dakar.

L’Ambassadeur Raynor a également eu une réunion avec le professeur Babacar Gueye du COSCE et M. Moundiaye Cissé de l’ONG3D pour discuter de la situation politique au Sénégal et du chemin vers des élections libres et équitables dans les meilleurs délais. Cette rencontre témoigne de l’engagement continu des États-Unis à soutenir la démocratie sénégalaise en collaborant avec une variété de représentants politiques et de la société civile.

Cette réaction des États-Unis souligne l’importance de respecter les principes démocratiques et constitutionnels dans le processus électoral au Sénégal, tout en encourageant un environnement propice à des élections libres et équitables. La déclaration de l’Ambassade américaine renforce également le soutien international à la stabilité politique et à la démocratie dans le pays.

Dialogue, loi d’amnistie : La surprenante réaction de Khalifa Sall

Selon plusieurs médias, le Président de la République, Macky Sall, prépare une loi d’amnistie générale pour l’apaisement du climat socio-politique. Une nouvelle qui rend sceptique Khalifa Ababacar Sall, le leader du mouvement politique « Taxawu », qui lance des critiques à l’encontre d’Ousmane Sonko, leader du parti ex-Pastef. S’exprimant lors d’un point de presse ce lundi, Khalifa Sall a exprimé son doute quant aux intentions réelles derrière ces concertations en vue.

« Ce dont parle depuis ce matin (lundi) (l’amnistie Ndlr) relève de la spéculation. Puisque jusqu’à présent, ce n’est pas clair. Dans ce pays, malheureusement, il ne faut jamais avoir raison très tôt. Maintenant ce n’est pas seulement une question de loi d’amnistie. Il y a aussi les dessous. Nous, ça nous avait coûté un bashing pendant 3 mois, de juin à septembre. Tout le monde s’en souvient« , a déclaré Khalifa Sall.

Le candidat à la Présidentielle dit non pour le moment et appelle à l’action. «Même quand j’étais en prison, nous avions toujours été au dialogue tant que l’intérêt de la nation est en jeu. Mais dans ce contexte, on doit d’abord parler de la question du report avant toute chose. On doit combattre jusqu’à mettre à terme l’idée de report de l’élection présidentielle. Ensuite on pourra dialoguer« , a fait savoir l’ancien maire de Dakar.

La réaction de Khalifa Sall met en lumière les divergences d’opinions et les incertitudes entourant les propositions de dialogue et d’amnistie dans le contexte politique actuel au Sénégal.

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