Polémique autour de l’émission Quartier Général : Bouba Ndour réagit et clarifie la position de la TFM

Une vive polémique a éclaté suite aux propos tenus par Badara Gadiaga lors de son passage dans l’émission Quartier Général, diffusée sur la TFM. Des déclarations jugées déplacées à l’encontre des personnalités politiques Ousmane Sonko et Amadou Ba ont suscité une vague d’indignation sur les réseaux sociaux et dans l’opinion publique.

Face à cette controverse, Bouba Ndour, directeur des programmes de la TFM, est sorti de son silence dans une interview accordée à IGFM pour apporter des éclaircissements sur la position du Groupe Futurs Médias (GFM).

Bouba Ndour a tenu à rappeler que Quartier Général fête cette année ses dix ans d’existence, et s’est toujours démarquée par sa rigueur et son sérieux. « Depuis sa création, Quartier Général n’a jamais été le théâtre de dérapages, que ce soit de la part des présentateurs ou des chroniqueurs », a-t-il affirmé, tout en reconnaissant avoir été interpellé par de nombreux téléspectateurs après la diffusion de l’émission.

Il a toutefois relativisé l’ampleur des réactions en soulignant la grande popularité de l’émission, qui pourrait selon lui justifier l’intensité des réactions observées.

Le directeur des programmes a insisté sur la responsabilité individuelle des intervenants. « Chacun doit répondre de ses paroles », a-t-il déclaré. Toutefois, il a également reconnu que la chaîne avait un rôle à jouer dans la gestion de ces situations : « Nous avons aussi une part de responsabilité, et nous devons en tirer les enseignements. »

Bouba Ndour a tenu à réaffirmer les valeurs du Groupe Futurs Médias, rappelant que le respect des personnes et des institutions reste un principe fondamental. « Le propriétaire du groupe a toujours été clair : il n’apprécie pas les insanités. Malgré les attaques dont il fait souvent l’objet, il n’a jamais cédé à la provocation », a-t-il souligné.

Enfin, Bouba Ndour a exprimé le souhait d’apaiser les tensions et de rétablir la confiance avec le public. « Ceux qui connaissent la philosophie de notre groupe savent que nous ne sommes pas là pour manquer de respect à quiconque », a-t-il conclu, espérant ainsi clore cette polémique et recentrer l’attention sur les missions essentielles du média.

Polémique autour des propos du porte-parole du gouvernement sur le décès de Mamadou Moustapha Ba : Madiambal Diagne réagit vivement

La sortie du porte-parole du gouvernement, Moustapha Sarré, continue de faire des vagues au sein de l’opinion publique. En réaction à ses propos jugés ambigus sur les circonstances du décès de l’ancien ministre des Finances, Mamadou Moustapha Ba, le journaliste Madiambal Diagne n’a pas tardé à exprimer son indignation.

Dans un tweet publié mercredi, Madiambal Diagne a critiqué la teneur des déclarations de Moustapha Sarré, estimant qu’elles laissaient entendre que les autorités françaises — pays où le défunt est décédé — auraient couvert un acte criminel.

« Cette affirmation, du porte-parole du gouvernement du Sénégal, laisserait croire que les autorités de la France, pays où Moustapha Ba est mort, auraient fermé les yeux sur un meurtre ! », a écrit le journaliste, visiblement préoccupé par la gravité d’une telle insinuation.

Face à la polémique, Moustapha Sarré a tenté de nuancer ses propos à travers un post sur les réseaux sociaux, évoquant des manipulations et une mauvaise interprétation de ses déclarations. Pourtant, l’affaire continue de susciter de vives réactions, et son nom reste au cœur des discussions.

Plus inquiétant encore, les avocats de la veuve de Mamadou Moustapha Ba ont réclamé l’audition immédiate du porte-parole du gouvernement, exigeant qu’il fournisse les preuves de ses allégations. Ils estiment que de tels propos, s’ils ne sont pas étayés, sont de nature à semer le doute et à blesser la mémoire du défunt ainsi que sa famille.

Cette affaire met une fois de plus en lumière la responsabilité des autorités publiques dans la maîtrise de leur communication, surtout lorsqu’il s’agit de sujets aussi sensibles que le décès d’une personnalité publique.

Alors que l’émotion reste vive, une clarification officielle du gouvernement est attendue pour calmer les esprits et éviter tout malentendu diplomatique ou judiciaire.

Sénégal : Le gouvernement réagit au rapport de la Cour des comptes sur les finances publiques

Le gouvernement sénégalais a tenu une conférence de presse pour répondre aux conclusions du Rapport de la Cour des comptes sur la situation des finances publiques de 2019 à 2023. Lors de cette rencontre, le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba, a insisté sur la nécessité d’agir rapidement pour corriger les déséquilibres mis en évidence par le document.

Selon la Cour des comptes, la gestion des finances publiques sur la période examinée révèle un déséquilibre financier notable, nécessitant des ajustements urgents. « Ce rapport est une photographie fidèle de la situation économique du pays. Il met en lumière des ajustements qu’il est impératif de mettre en œuvre », a déclaré le ministre.

Parmi les principaux points soulevés, le rapport met en avant une augmentation significative de la dette publique, un déficit budgétaire persistant et une gestion des dépenses nécessitant des améliorations. Ces constats font écho aux préoccupations soulevées ces derniers mois par plusieurs experts économiques et institutions financières internationales.

Face à ces constats, Cheikh Diba a tenu à rassurer l’opinion publique en affirmant que le gouvernement a pris toute la mesure de la situation et s’engage à apporter des corrections. « Il y a un réel déséquilibre financier qui nous impose d’agir vite, avec efficacité et méthode », a-t-il insisté.

Le ministre des Finances a également mis en avant les efforts déjà entrepris pour rétablir l’équilibre budgétaire. Parmi les mesures annoncées figurent :

• Un renforcement du contrôle des dépenses publiques pour limiter le gaspillage et améliorer l’efficacité des investissements.

• Une meilleure mobilisation des recettes fiscales afin d’accroître les ressources de l’État sans alourdir la pression fiscale sur les citoyens.

• Une révision de la gestion de la dette publique pour garantir sa soutenabilité à long terme.

Vers un débat national sur la gestion des finances publiques ?

Les conclusions du rapport de la Cour des comptes risquent d’alimenter le débat sur la gouvernance économique du pays, notamment à l’approche de décisions budgétaires cruciales. Certains analystes estiment que ces constats pourraient inciter à une réforme en profondeur de la politique budgétaire afin de garantir une plus grande transparence et une meilleure gestion des ressources publiques.

Migration circulaire : Le ministre de l’Agriculture réagit à l’afflux massif de jeunes dans les BAOS

Lors d’une rencontre tenue ce matin avec l’Autorité de Régulation des Marchés Publics (ARCOP) pour analyser le cadre d’application du code des marchés publics dans les acquisitions agricoles, le ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté Alimentaire et de l’Élevage, le Dr Mabouba Diagne, s’est exprimé sur la récente vague de jeunes ayant pris d’assaut les Bureaux d’Accueil, d’Orientation et de Suivi (BAOS). Ces jeunes s’étaient mobilisés dans le cadre du programme de migration circulaire vers l’Espagne, créant des scènes qui ont marqué l’opinion publique.

Le ministre n’a pas caché sa préoccupation face à cette situation. « Ce sont des images qui nous désolent tous et nous interpellent. Deuk Bi, Ñun Ñokay defar : c’est nous qui devons construire ce pays », a-t-il déclaré avec gravité. Pour le Dr Diagne, ces scènes traduisent un paradoxe dans un contexte où de nombreuses initiatives sont mises en œuvre pour offrir des opportunités aux jeunes.

Ces derniers jours, les images de jeunes envahissant les BAOS pour s’inscrire à des opportunités de migration circulaire vers l’Espagne ont suscité des débats sur les perspectives d’emploi et de développement dans le pays. Ces scènes traduisent un désir profond de mobilité et d’épanouissement, mais elles révèlent aussi des inquiétudes quant à la capacité des politiques publiques à répondre aux attentes de la jeunesse.

Le ministre a souligné que des efforts conséquents sont déployés pour offrir des opportunités dans les secteurs agricoles et pastoraux. Selon lui, ces domaines recèlent un potentiel énorme, capable de retenir les jeunes sur place tout en participant à la construction d’une économie souveraine et durable.

Dans son intervention, le Dr Mabouba Diagne a lancé un appel à la jeunesse et aux acteurs publics et privés pour une mobilisation collective en vue de créer un environnement propice à l’épanouissement. « La migration ne doit pas être vue comme une solution unique. Nous devons tous travailler pour faire du Sénégal un pays d’opportunités, où nos jeunes trouveront les moyens de réaliser leurs rêves », a-t-il insisté.

Le ministre a par ailleurs évoqué l’importance des partenariats pour attirer des investissements dans les zones rurales, avec un accent particulier sur l’accès aux terres agricoles, aux financements et à l’innovation technologique.

Cette situation vient rappeler les nombreux défis liés à la jeunesse, à l’emploi et à la migration. Bien que la migration circulaire puisse être une opportunité pour certains, elle ne saurait remplacer des politiques structurelles en faveur d’une économie inclusive et résiliente.

Politique au Sénégal : Farba Ngom réagit aux propos d’Ousmane Sonko à Agnam

Dans un contexte électoral tendu, le passage du cortège de Ousmane Sonko à Agnam, fief historique de Farba Ngom, a suscité une réaction marquée de ce dernier. Le député, ancien allié et lieutenant du président Macky Sall, est enfin sorti de sa réserve face aux attaques de la tête de liste de Pastef.

Farba Ngom a débuté sa prise de parole en dénonçant les propos de Sonko. « Vous êtes venus jusqu’ici à Agnam pour dire du mal de moi, en affirmant que ce sera ma dernière élection. Ce n’est pas vrai », a-t-il déclaré avec assurance, répondant ainsi aux rumeurs propagées par l’opposant. En continuant sur sa lancée, le député a rappelé à son adversaire que « passer deux jours à Matam ne suffit pas à renverser la tendance ».

Fidèle à son style provocateur, Farba Ngom n’a pas manqué de rappeler son ancrage politique dans la région de Matam. « Ici, c’est le fief de Macky Sall », a-t-il martelé. Selon lui, aucun des responsables présents dans la région ne peut être influencé ou acheté par les adversaires politiques. « Il ne reste que 72 heures pour vous montrer que le département est solidement acquis à Macky Sall », a-t-il affirmé, avec la conviction que Sonko sera battu à Matam et sur l’ensemble du territoire national.

Farba Ngom a également évoqué l’avenir politique du pays, prédisant une défaite pour Ousmane Sonko et envisageant la formation d’un gouvernement d’union nationale. « Dimanche, vous serez battu à Matam, au Sénégal, et il y aura un gouvernement d’union nationale. En ce moment, on va vous renvoyer de la Primature », a-t-il lancé avec défiance, faisant allusion à la probable perte de pouvoir de Sonko.

Conscient des différences de parcours entre lui et Ousmane Sonko, Farba Ngom a conclu en reconnaissant la supériorité académique de son adversaire tout en se posant en mentor politique. « Vous avez certes beaucoup plus de diplômes que moi, mais je peux dire qu’en politique, je suis votre maître », a-t-il ironisé, affirmant sa longue expérience et son expertise sur le terrain.

Cette sortie de Farba Ngom intervient dans un climat de campagne où les échanges verbaux entre les différents candidats se multiplient. La région de Matam, perçue comme un bastion de la coalition de l’ancien président Macky Sall, pourrait bien être le théâtre d’un affrontement décisif dans le cadre de ces élections.

L’attente est palpable à quelques jours du scrutin, et la confrontation entre Ousmane Sonko et Farba Ngom s’annonce comme un des moments forts de cette élection. La population de Matam reste divisée, tandis que les déclarations des deux camps continuent d’alimenter les débats.

Ousmane Sonko réagit à la polémique autour de la nomination de Samba Ndiaye et appelle ses partisans à la vigilance

« Chers militants et sympathisants,

Nous accusons réception des multiples expressions de votre indignation suite à une nomination intervenue récemment.

En tant que président du parti, je me réjouis de votre vigilance qui témoigne de la maturité de notre démocratie interne et prend sa source de ce douloureux souvenir des épreuves auxquelles nous avons été soumis pour en arriver là où Dieu a bien voulu.
Soyez convaincus que ce souvenir est plus vivant et tenace en nous qu’en chacun de vous.
Je puis vous assurer que le Président Diomaye, qui a certainement pris la décision sur proposition alliée, n’avait aucune connaissance des faits dénoncés.

Je rappelle la position historique de notre parti : il reste ouvert à collaborer avec tous les Sénégalais convaincus par le projet et soucieux de son succès. En revanche, il reste fermé à toute personne impliquée dans une gestion scandaleuse d’une responsabilité publique, ou ayant fait montre d’un zèle excessif dans l’inimitié contre le parti, ses leaders ou ses membres.

Je ne doute pas que les mesures correctives idoines seront apportées au plus vite.

Chers militants et sympathisants,

À 48 heures du début de la campagne pour les élections législatives, je vous demande à tous de rester mobilisés et concentrés pour garantir une victoire éclatante et une majorité écrasante au soir du 17 novembre 2024. »

Amadou Ba réagit aux accusations d’accaparement des biens publics par Ousmane Sonko

Le climat politique au Sénégal s’est une nouvelle fois enflammé après que le Premier ministre, Amadou Ba, a été la cible d’accusations formulées par le leader de l’opposition, Ousmane Sonko. Ce dernier l’accuse d’avoir profité de sa position pour s’approprier des biens publics. Des accusations que le Premier ministre a formellement rejetées lors de sa dernière intervention.

Dans une déclaration publique, Amadou Ba a tenu à clarifier sa position et à répondre fermement aux allégations. « Depuis mon entrée au gouvernement en septembre 2013, aucun terrain ne m’a été attribué, aucun immeuble, aucun appartement, aucune villa de l’État ne m’a été cédée ou octroyée sous quelque forme que ce soit », a affirmé le leader de la Nouvelle Responsabilité.

Visiblement irrité par ces accusations, le Premier ministre a qualifié ces propos de « calomnie », déplorant leur caractère infondé. « Ces accusations d’accaparement de biens publics me concernant sont injustifiantes et relèvent de la pire calomnie. Je n’ai jamais détourné les biens de l’État, ni failli à ma mission de service public », a-t-il ajouté, affirmant son engagement envers l’éthique et la transparence dans la gestion des affaires publiques.

Cette sortie intervient dans un contexte politique tendu, marqué par une escalade de critiques et de contre-critiques entre les partisans du pouvoir et ceux de l’opposition. Ousmane Sonko, figure clé de l’opposition, a intensifié ses attaques contre le gouvernement en vue des élections prochaines, alimentant ainsi les débats sur la transparence et la gestion des ressources publiques.

Amadou Ba, quant à lui, se présente comme un serviteur de l’État irréprochable, et affirme qu’il ne laissera pas de telles accusations entacher son parcours. Sa défense vigoureuse laisse entendre que ces allégations ne sont que des manœuvres politiques destinées à nuire à son image à l’approche des échéances électorales.

Le Premier ministre a conclu son intervention en réitérant sa fidélité aux valeurs de la République et son engagement à œuvrer pour le bien commun, malgré les tentatives de déstabilisation. Reste à voir comment cette nouvelle bataille politique influencera la scène publique sénégalaise dans les semaines à venir.

L’APR Réagit à la Dissolution de l’Assemblée Nationale et Annonce ses Stratégies

LAlliance pour la République (APR) a organisé une conférence de presse suite à l’annonce par le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, de la dissolution de l’Assemblée nationale et de la tenue des élections législatives prévues pour le 17 novembre prochain. Face à cette décision, le parti de l’ancien président Macky Sall a exprimé son refus de se laisser faire et a annoncé son plan pour contrer le régime actuel.

Lors de la conférence, Seydou Gueye, porte-parole de l’APR, a dénoncé ce qu’il considère comme des « dérives dictatoriales » du gouvernement actuel. Il a souligné plusieurs problèmes qui, selon lui, démontrent l’échec du régime : l’inflation croissante, la criminalité galopante, les accidents de la circulation, ainsi que l’absence de solutions pour la jeunesse, les marchands ambulants et les conducteurs de moto-taxi. Il a également mis en avant le mépris du régime envers un peuple souffrant, notamment à cause de l’émigration clandestine.

L’APR a annoncé la mise en place de plusieurs stratégies pour faire face au régime de Bassirou Diomaye Faye. Parmi ces mesures, le parti prévoit de former un front large avec les forces démocratiques, républicaines et sociales afin de garantir la transparence des prochaines élections législatives. En l’absence d’un consensus avec les autres acteurs politiques, l’APR envisage également de créer une vaste coalition de l’opposition pour imposer la cohabitation politique aux nouvelles autorités après les élections.

Le porte-parole de l’APR a appelé tous les militants et responsables du parti à se mobiliser et à poursuivre leurs efforts politiques et électoraux. Le parti espère ainsi remporter une large victoire le 17 novembre 2024 et imposer un changement de cap politique pour le bien du Sénégal.

Avec ces déclarations, l’APR affiche clairement son ambition de s’opposer fermement au régime actuel, tout en cherchant à rassembler les forces vives de la nation pour une transformation politique.

Affaire Force-Covid : Mansour Faye Réagit aux Accusations

Suite à la publication du rapport de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) portant sur la gestion des fonds Force-Covid, l’ancien ministre du Développement communautaire, Mansour Faye, se retrouve au cœur de la tourmente. Le rapport de 2022 met en lumière son implication présumée dans cette affaire controversée, suscitant une réaction immédiate de sa part.

Sur les ondes de Rfm, Mansour Faye a vigoureusement réfuté les accusations portées contre lui, affirmant n’avoir jamais été convoqué ni entendu par aucune institution concernant le programme d’appui alimentaire de la Covid-19. Il rejette toutes les allégations de surfacturation, soulignant que le référentiel évoqué par le vérificateur était caduc en 2020, rendant ainsi impossible toute accusation de ce genre.

L’ancien ministre affirme également n’avoir aucune crainte de poursuites judiciaires, soulignant que son implication dans la gestion de la crise de la Covid-19 s’était déroulée sans incident majeur et qu’il est toujours présent au Sénégal.

Rappelons que le gouvernement sénégalais avait distribué 145 000 tonnes de riz, évaluées à un milliard de francs CFA, dans le cadre de l’atténuation des effets de la pandémie de Covid-19 sur la population. Mansour Faye était chargé de l’acquisition et du transport des vivres pendant cette période tumultueuse.

L’affaire Force-Covid avait déjà suscité des remous, notamment avec les recommandations de la Cour des comptes dans son rapport de 2021, demandant des poursuites contre les personnes impliquées. Aujourd’hui, avec la transmission du rapport de l’Ofnac au procureur de la République, les personnes mentionnées dans l’affaire sont susceptibles de faire l’objet de poursuites judiciaires, selon les informations contenues dans le rapport.

Cette affaire, qui continue de faire grand bruit, souligne l’importance de la transparence et de la responsabilité dans la gestion des fonds publics, ainsi que la nécessité pour les autorités compétentes d’agir en toute impartialité pour faire la lumière sur de telles allégations de corruption et de fraude.

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