Kaolack : Élevage – La région de Kaolack abritera la célébration de la Journée nationale de l’élevage prévue le 22 février 2025

Un Comité Régional de Développement (CRD) préparatoire à la célébration de la Journée nationale de l’élevage, prévue le samedi 22 février 2025 à Kaolack, s’est tenu ce jeudi dans la salle de conférence de la gouvernance de Kaolack. La réunion s’est déroulée en présence des autorités administratives locales et des partenaires du secteur de l’élevage.

Le directeur national de l’élevage, Mamadou Diagne, a annoncé que le thème retenu pour cette édition est “La valorisation des productions pastorales”.

Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a choisi la région de Kaolack pour accueillir les manifestations de cette édition 2025, a déclaré le gouverneur Mouhamadou Moctar Watt, qui a présidé la réunion préparatoire. “C’est pour cette raison qu’il était nécessaire d’organiser cette rencontre afin d’assurer le bon déroulement de cet événement national”, a-t-il souligné.

En prélude à la célébration, un Salon de l’élevage sera organisé. Les travaux de terrassement du site choisi pour la cérémonie débuteront dès ce vendredi, a annoncé le gouverneur.

Les services chargés de l’eau et de l’électricité, ainsi que les forces de défense et de sécurité, ont pris part à cette réunion préparatoire.

Un comité régional des préparatifs a été mis en place sous la direction de la directrice régionale de l’élevage. Ce comité aura pour mission, entre autres, d’identifier les exposants attendus au Salon de l’élevage et de préparer les sites d’hébergement des invités.

Préparation de l’Eid el Kebir : Appel à l’approvisionnement en moutons dans la région de Kaffrine

À l’approche de la célébration de l’Eid el Kebir, communément appelée Tabaski, prévue pour le 16 juin, Mabouba Diagne, ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Élevage du Sénégal, a lancé un appel aux éleveurs et vendeurs de moutons pour qu’ils veillent à bien approvisionner le marché.

Selon les estimations du chef du Service de l’Elevage et des Productions animales, Moustapha Dione, les besoins en moutons pour la fête de la Tabaski sont évalués à 80 000 têtes dans la région de Kaffrine. Cette estimation représente une augmentation par rapport à l’année précédente, où les besoins étaient de 73 700 têtes.

Kaffrine, région d’élevage par excellence, est particulièrement sollicitée pour répondre à cette demande croissante en moutons pour la fête religieuse. En effet, le département est frontalier de la zone de Dahra, réputée pour être une zone d’élevage.

Cet appel du ministre vise à garantir que les populations puissent trouver les moutons nécessaires pour célébrer l’Eid el Kebir dans les meilleures conditions. Il souligne également l’importance de la collaboration entre les éleveurs et les autorités pour assurer une offre adéquate sur le marché et répondre aux besoins des fidèles pour cette fête religieuse majeure.

L’Hivernage s’installe précocement dans la région de Kédougou : Les pluies soulèvent l’espoir des agriculteurs

La saison des pluies semble avoir débuté de manière précoce dans la région de Kédougou, marquant ainsi le début de l’hivernage tant attendu. Les précipitations abondantes enregistrées récemment à Bandafassi, à trois reprises en une seule journée (à 19 heures, 23 heures et minuit), indiquent un changement significatif dans le climat local.

Comparé à l’année précédente où les premières pluies étaient enregistrées en mai dans le département de Salémata, cette année semble présenter un schéma pluviométrique différent, avec un début anticipé de l’hivernage. Cette observation suscite à la fois l’enthousiasme et l’espoir chez les agriculteurs et les habitants de la région, car les pluies précoces peuvent être un présage de bonnes récoltes à venir.

L’impact de ces précipitations anticipées sur l’agriculture pourrait être significatif. Elles offrent la possibilité aux agriculteurs de commencer leurs plantations plus tôt que d’habitude, ce qui pourrait potentiellement augmenter les rendements et améliorer la sécurité alimentaire dans la région. Cependant, cela nécessitera également une planification et une gestion efficaces des ressources agricoles pour maximiser les avantages de cette période propice.

En outre, l’arrivée précoce de l’hivernage souligne l’importance de la préparation et de l’adaptation aux changements climatiques. Les autorités locales et les agriculteurs doivent être attentifs à l’évolution des conditions météorologiques et prendre des mesures pour atténuer les risques liés aux inondations et aux autres défis potentiels associés à la saison des pluies.

Alors que la région de Kédougou accueille l’hivernage avec enthousiasme, il est essentiel de rester vigilant et de mettre en œuvre des stratégies appropriées pour tirer le meilleur parti de cette période cruciale. Avec une planification judicieuse et une gestion efficace, l’hivernage pourrait offrir des opportunités de développement économique et social, renforçant ainsi la résilience des communautés locales face aux défis climatiques à venir.

La région de Thiès : Pilier du secteur minier au Sénégal

Avec une injection de 91 milliards FCFA sur les 275 milliards FCFA du budget de l’État en termes de contribution pour l’année 2022, la région de Thiès confirme sa position de première zone minière au Sénégal.

Selon le directeur des Mines du Sénégal, Muhammadou Ndour, près de 53,33% de la contribution des sociétés du secteur minier proviennent des entreprises basées dans la région de Thiès. Cela témoigne de l’importance de la région dans l’économie nationale, notamment dans le domaine minier.

En outre, le secteur minier régional se distingue également par sa contribution au contenu local, avec une masse salariale de 52 milliards FCFA pour 4399 employés en 2022. Muhammadou Ndour souligne que la contribution totale en termes de contenu local s’élève à environ 762 milliards FCFA, dont 155 milliards FCFA pour les entreprises implantées à Thiès en termes d’acquisition de biens et de fournitures de services.

Cependant, malgré ces avancées, Muhammadou Ndour déplore la non-effectivité des fonds alloués aux collectivités territoriales, qualifiant cela de « fausse note ». Il souligne que les montants alloués aux collectivités territoriales ne sont pas reversés comme prévu, malgré la signature des dossiers interministériels depuis 2019. Les blocages persistent, notamment en ce qui concerne le fonds d’appui au développement local, où les entreprises minières évoquent souvent des clauses de stabilité.

Cette situation met en lumière les défis persistants auxquels est confronté le secteur minier sénégalais, malgré son importance économique. Il est essentiel de résoudre ces problèmes pour garantir une distribution équitable des bénéfices de l’industrie minière et assurer le développement durable des communautés locales et des régions minières.

Accident tragique dans la région de Kédougou : Un mort et six blessés graves dans le renversement d’un minicar

La région de Kédougou est en deuil suite à un tragique accident survenu ce mercredi matin. Un minicar transportant des enseignants du lycée de Mako s’est renversé aux environs de 10 heures, à hauteur du village de Tenkotoding. Selon les informations fournies par la Radiotélévision sénégalaise (RTS), cet accident a entraîné la perte d’une vie et a laissé six personnes gravement blessées parmi les passagers du véhicule.

Les enseignants se rendaient à la cascade de Dindéfélo pour une sortie pédagogique organisée à l’occasion de la fête du Travail. Malheureusement, le trajet a été interrompu par ce dramatique accident, plongeant les passagers dans un état de choc et de détresse.

Les autorités locales ont immédiatement réagi pour prendre en charge les victimes. Les blessés ont été transférés à l’hôpital régional Amat Dansokho de Kédougou afin de recevoir les soins médicaux nécessaires. Cependant, malgré les efforts déployés par les secouristes et le personnel médical, une personne a perdu la vie dans cet accident, tandis que six autres luttaient pour leur survie avec des blessures graves.

Cet événement tragique souligne une fois de plus l’importance cruciale de la sécurité routière et de la vigilance au volant, en particulier lors des déplacements sur des routes potentiellement dangereuses. Les autorités locales et nationales devront mener une enquête approfondie pour déterminer les circonstances exactes de l’accident et prendre des mesures préventives pour éviter de telles tragédies à l’avenir.

En ces moments difficiles, la communauté éducative et l’ensemble de la population de Kédougou expriment leur profonde tristesse face à cette perte tragique. Ils prient également pour le rétablissement rapide des blessés et espèrent que des mesures concrètes seront prises pour garantir la sécurité de tous sur les routes du pays.

Attaques de Drones en Russie : Incendies dans la Région de Smolensk

Mercredi, des sites énergétiques dans la région russe de Smolensk, à environ 400 km des frontières ukrainiennes, ont pris feu après des attaques de drones, a rapporté le gouverneur régional, Vassili Anokhine.

Le gouverneur a déclaré sur Telegram : « Notre région est à nouveau visée par des attaques de drones ukrainiens. » Il a ajouté : « Très probablement, suite à l’attaque ennemie contre des sites civils d’infrastructure énergétique, des incendies se sont déclarés », sans fournir de détails précis sur les sites touchés.

Heureusement, aucune victime n’a été signalée, mais le ministère russe des Situations d’urgence a envoyé des secouristes sur les lieux pour contenir les incendies.

Par ailleurs, une autre attaque de drones a visé la zone économique spéciale de la ville de Lipetsk, située également à environ 400 km des frontières ukrainiennes mais plus au sud. Cette zone abrite notamment des entreprises métallurgiques et pharmaceutiques. Le gouverneur de la région, Igor Artamonov, a déclaré sur Telegram que « le régime criminel de Kiev a tenté de frapper des infrastructures dans la zone industrielle de Lipetsk. » Il a assuré qu’aucune victime n’était à déplorer et que les quartiers résidentiels n’étaient pas menacés.

Ces attaques de drones sur le territoire russe par l’armée ukrainienne se sont multipliées ces derniers mois, ciblant notamment des sites énergétiques. Ces incidents soulignent les tensions persistantes entre la Russie et l’Ukraine, ainsi que les défis sécuritaires auxquels la région est confrontée.

Les Forces Armées Maliennes neutralisent un chef terroriste dans la région de Tombouctou

Le 19 avril dernier, les Forces Armées Maliennes ont remporté une victoire significative en mettant fin à l’activité d’un chef terroriste opérant dans la région de Tombouctou. Alkalifa Sawri, connu pour son implication dans de nombreuses attaques, a été neutralisé lors d’une opération spéciale menée entre Douetire et Acharane.

Ce criminel, responsable d’attaques répétées contre les Forces Armées Maliennes, ainsi que d’incidents violents tels que des tirs d’obus et des braquages contre des civils le long de la route Tombouctou-Goundam, était activement recherché par les autorités.

Cette action s’inscrit dans le cadre d’une offensive plus large lancée il y a quelques mois par les Forces de Défense et de Sécurité du Mali. L’objectif de cette offensive est d’éliminer les groupes armés et les criminels afin de reconquérir le territoire national. Jusqu’à présent, cette initiative a permis de neutraliser plusieurs chefs terroristes et bandits, démontrant ainsi la détermination des autorités maliennes à assurer la sécurité et la stabilité dans la région.

Les États-Unis Acceptent le Retrait de Leurs Soldats du Niger, sur Fond de Présence Russe Croissante dans la Région

Dans un contexte de montée en puissance de la Russie en Afrique de l’Ouest, les États-Unis ont consenti vendredi dernier au retrait de leurs troupes du Niger, suite à la demande émanant du régime de Niamey issu du coup d’État de juillet. Cette décision a été prise lors d’une réunion à Washington entre le numéro deux de la diplomatie américaine, Kurt Campbell, et le Premier ministre nigérien, Ali Mahamane Lamine Zeine.

L’accord prévoit l’envoi d’une délégation américaine au Niger dans les prochains jours pour finaliser les détails du retrait des troupes engagées dans la lutte antijihadiste. Bien que le département d’État américain n’ait pas encore réagi officiellement et que le calendrier du retrait reste à préciser, cette concession marque un tournant significatif dans les relations entre les deux pays.

Depuis le coup d’État qui a renversé le président élu Mohamed Bazoum en juillet dernier, le nouveau régime militaire a rapidement réclamé le départ des forces françaises et s’est rapproché de la Russie, tout comme ses voisins le Mali et le Burkina Faso, également dirigés par des militaires.

Cette évolution a été soulignée par l’arrivée d’instructeurs russes à Niamey en avril, suivie de la confirmation de l’arrivée d’Africa Corps, perçu comme le successeur de la société paramilitaire Wagner en Afrique. La Russie a également entamé la fourniture de matériel militaire au Niger, dans le cadre de la coopération sécuritaire renforcée entre les deux pays.

Cette nouvelle orientation sécuritaire intervient dans un contexte de violence jihadiste persistante dans la région, avec des attaques régulières perpétrées par des groupes affiliés à Al-Qaïda et à l’État islamique. Face à ces menaces, les gouvernements civils ont été renversés par des coups d’État militaires successifs depuis 2020, affectant la stabilité de la région.

En réaction à ces développements, les États-Unis envisagent désormais de déplacer leurs drones vers d’autres pays de la région, confirmant ainsi un changement stratégique dans leur approche de la lutte antijihadiste en Afrique de l’Ouest.

Cette évolution géopolitique soulève des questions sur l’équilibre des pouvoirs et des alliances dans la région, alors que les acteurs internationaux redéfinissent leurs priorités et leurs engagements en Afrique.

L’Élevage comme Solution au Défi de l’Emploi des Jeunes au Sénégal : Une Initiative de la Région de Diourbel

Face au défi persistant de l’emploi des jeunes au Sénégal, des acteurs de la région de Diourbel avancent une solution innovante : le développement de l’élevage. Cette initiative propose une amélioration de la race locale de moutons et la mise en place de fermes villageoises et communales.

Mor Ndao Gueye, retraité de l’éducation et éleveur passionné, souligne que cette réorganisation du secteur de l’élevage pourrait non seulement générer des profits mais aussi créer des emplois substantiels. La Tabaski, période de forte demande en moutons, est perçue comme une opportunité d’auto-suffisance si la race ovine locale est améliorée.

Gorgui Ngom, un jeune entrepreneur de la région, a été touché par la cherté de l’alimentation pour le bétail. Il a donc adopté une stratégie d’autosuffisance en augmentant ses cultures de mil et d’arachides. Cette approche vise à réduire les coûts de production et à assurer une meilleure rentabilité de son élevage.

La distribution étatique d’aliments pour le bétail est une des préoccupations majeures des éleveurs, qui en soulignent le coût élevé. Malgré ces contraintes, Gueye et Ngom voient leur activité comme un tremplin potentiel pour résorber le chômage et contribuer au développement national.

L’élevage est de plus en plus perçu comme un vecteur économique prometteur pour la jeunesse sénégalaise. Cette initiative met en lumière l’importance de valoriser l’agriculture et la zoothérapie pour stimuler l’économie locale et nationale.

Le plaidoyer pour une valorisation de l’élevage dans la région de Diourbel ouvre un débat crucial sur la place de l’agriculture et de la zoothérapie dans l’économie sénégalaise. En adoptant des stratégies innovantes et en exploitant le potentiel de l’élevage, il est possible de créer des opportunités d’emploi pour les jeunes et de contribuer au développement durable du pays

Voici le poids électoral de chaque région et ses départements pour la présidentielle

À l’aube de l’élection présidentielle sénégalaise prévue le 24 mars 2024, l’attention se porte sur la répartition de l’électorat à travers les différents départements du pays. Avec 19 candidats en lice, l’enjeu de chaque vote est de taille. Voici une présentation détaillée des départements et de leur poids électoral, essentielle pour comprendre les dynamiques de cette élection.

Région de Dakar

Dakar: 707 818 inscrits

Guediawaye: 203 274 inscrits

Keur Massar: 249 588 inscrits

Pikine: 391 278 inscrits

Rufisque: 277 865 inscrits

Total Région de Dakar: 1 829 823 inscrits

Région de Diourbel

Bambey: 128 264 inscrits

Diourbel: 124 483 inscrits

Mbacke: 383 046 inscrits

Total Région de Diourbel: 635 793 inscrits

Région de Fatick

Fatick: 171 291 inscrits

Foundiougne: 130 217 inscrits

Gossas: 47 017 inscrits

Total Région de Fatick: 348 525 inscrits

Région de Kaffrine

Birkilane: 51 085 inscrits

Kaffrine: 98 791 inscrits

Koungheul: 77 835 inscrits

Malem Hodar: 40 413 inscrits

Total Région de Kaffrine: 268 124 inscrits

Région de Kaolack

Guinguineo: 58 558 inscrits

Kaolack: 253 830 inscrits

Nioro du Rip: 152 050 inscrits

Total Région de Kaolack: 464 438 inscrits

Région de Kedougou

Kedougou: 41 434 inscrits

Salemata: 11 481 inscrits

Saraya: 19 498 inscrits

Total Région de Kedougou: 72 413 inscrits

Région de Kolda

Kolda: 106 611 inscrits

Medina Yoro Foulah: 46 254 inscrits

Velingara: 112 746 inscrits

Total Région de Kolda: 265 611 inscrits

Région de Louga

Kebemer: 133 832 inscrits

Linguere: 133 089 inscrits

Louga: 193 718 inscrits

Total Région de Louga: 460 639 inscrits

Région de Matam

Kanel: 117 723 inscrits

Matam: 170 744 inscrits

Ranerou Ferlo: 27 396 inscrits

Total Région de Matam: 315 863 inscrits

Région de Saint-Louis

Dagana: 150 197 inscrits

Podor: 237 079 inscrits

Saint-Louis: 176 366 inscrits

Total Région de Saint-Louis: 563 642 inscrits

Région de Sedhiou

Bounkiling: 64 210 inscrits

Goudomp: 73 097 inscrits

Sedhiou: 72 957 inscrits

Total Région de Sedhiou: 210 264 inscrits

Région de Tambacounda

Bakel: 66 767 inscrits

Goudiry: 48 425 inscrits

Koumpentoum: 52 967 inscrits

Tambacounda: 118 990 inscrits

Total Région de Tambacounda: 287 149 inscrits

Région de Thies

Mbour: 351 023 inscrits

Thies: 395 942 inscrits

Tivaouane: 256 345 inscrits

Total Région de Thies: 1 003 310 inscrits

Région de Ziguinchor

Bignona: 140 315 inscrits

Oussouye: 33 287 inscrits

Ziguinchor: 134 658 inscrits

Total Région de Ziguinchor: 308 260 inscrits

La Région de Matam, fierté nationale : Source inépuisable de talents et de cœurs généreux pour l’équipe nationale Sénégalaise de Football

La République du Sénégal, pays situé à l’extrême ouest de l’Afrique, est renommée pour sa diversité culturelle, sa richesse naturelle et, bien sûr, son amour inconditionnel pour le football. Parmi les régions sénégalaises qui ont constamment émergé en tant que pépinière de talents et de passion pour le football, la région de Matam se distingue comme une source inépuisable de joueurs talentueux et de cœurs généreux qui ont marqué l’histoire de l’équipe nationale sénégalaise.

Histoire du Football à Matam :

La passion pour le football est profondément enracinée dans la région de Matam. Depuis des décennies, les jeunes talents émergent des quartiers, des villages et des écoles de la région, contribuant de manière significative au développement du football local. Des tournois inter-quartiers aux compétitions scolaires, Matam a toujours été le terreau fertile où le rêve de devenir un joueur de football professionnel prend vie.

Les Légendes de Matam dans le Football Sénégalais :

Matam a été le berceau de plusieurs légendes du football sénégalais qui ont laissé une empreinte indélébile sur l’histoire de l’équipe nationale. Des noms tels que celui du défenseur emblématique Mamadou Diouf, originaire de Matam, résonnent encore dans le cœur des supporters. Ces joueurs ont non seulement représenté fièrement le Sénégal sur la scène internationale mais ont également inspiré les générations futures de jeunes footballeurs de Matam.

Les Clubs Locaux comme Catalyseurs de Talent :

Les clubs de football locaux à Matam jouent un rôle crucial dans l’identification et le développement des jeunes talents. Les entraîneurs dévoués travaillent sans relâche pour affiner les compétences des joueurs, leur inculquant des valeurs telles que la discipline, le travail d’équipe et le respect. Ces clubs sont souvent le premier tremplin pour les footballeurs talentueux de Matam avant de rejoindre des équipes de niveau national.

Engagement Communautaire et Solidarité :

La région de Matam est également saluée pour son engagement communautaire et sa solidarité envers ses footballeurs. Les familles, les amis et les voisins se rassemblent pour soutenir financièrement et émotionnellement les jeunes joueurs, créant ainsi une atmosphère favorable à l’épanouissement du talent. Cet esprit de solidarité a contribué à forger des liens durables entre les joueurs et la communauté, renforçant le tissu social de la région.

La région de Matam continue de briller comme une étoile dans le firmament du football sénégalais. Son histoire riche, ses légendes emblématiques, ses clubs locaux dynamiques et son engagement communautaire font de Matam une source inestimable de talents et de cœurs généreux pour l’équipe nationale sénégalaise de football. Alors que de nouveaux talents émergent et que l’héritage se perpétue, Matam reste un phare de fierté nationale, rappelant au monde que le Sénégal puise sa force et son amour du football de ses régions dynamiques et passionnées.

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