Report des examens du CFEE et du Concours d’entrée en sixième : Nouveaux délais annoncés par le ministère de l’éducation

Le ministre de l’Éducation nationale du Sénégal, Moustapha Mamba Guirassy, a annoncé le report des dates des examens du Certificat de Fin d’Études Élémentaires (CFEE) et du Concours d’Entrée en classe de Sixième pour la session 2024. Initialement prévus pour les jeudi 20 et vendredi 21 juin 2024, ces examens se tiendront désormais les mardi 25 et mercredi 26 juin 2024.

Motifs du Report

Dans une déclaration officielle, M. Guirassy a précisé que ce report vise à “garantir une meilleure organisation et un déroulement serein des épreuves”. Le ministre n’a pas détaillé les raisons spécifiques de ce changement de calendrier, mais il est courant que des ajustements de ce type soient effectués pour des raisons logistiques, administratives ou en réponse à des imprévus affectant l’ensemble du système éducatif.

Réactions des Parties Prenantes

La décision a suscité diverses réactions parmi les enseignants, les élèves et les parents. Si certains ont accueilli favorablement cette mesure, espérant que le délai supplémentaire permettra une meilleure préparation des élèves, d’autres ont exprimé des préoccupations quant à l’impact de ce report sur les calendriers scolaires et familiaux.

Fatou Ndiaye, enseignante dans une école primaire à Dakar, a déclaré : “Ce délai supplémentaire est une bonne chose pour les élèves. Cela leur donne quelques jours de plus pour se préparer et réviser leurs leçons. Toutefois, il est crucial que cette période soit utilisée de manière efficace.”

Mesures d’Accompagnement

Le ministère de l’Éducation nationale prévoit de mettre en place des mesures d’accompagnement pour faciliter la transition vers les nouvelles dates. Des directives seront envoyées aux établissements scolaires pour ajuster les calendriers et s’assurer que les préparatifs nécessaires soient effectués sans encombre. Des séances de révision supplémentaires pourraient être organisées pour soutenir les élèves durant cette période.

Importance des Examens

Le Certificat de Fin d’Études Élémentaires (CFEE) et le Concours d’Entrée en classe de Sixième sont des étapes cruciales dans le parcours éducatif des élèves sénégalais. Le CFEE marque la fin de l’enseignement élémentaire, tandis que le concours détermine l’entrée au cycle secondaire. La réussite à ces examens est essentielle pour les élèves, leur permettant de poursuivre leur éducation et d’ouvrir des portes vers de nouvelles opportunités académiques.

Le report des examens du CFEE et du Concours d’Entrée en Sixième à la fin juin 2024 est une décision significative prise par le ministère de l’Éducation nationale pour assurer la bonne organisation et le succès de ces épreuves cruciales. Les élèves, les enseignants et les parents sont encouragés à utiliser ce temps supplémentaire de manière constructive pour garantir une préparation optimale et un déroulement harmonieux des examens.

Pour de plus amples informations et les dernières mises à jour, les parties intéressées sont invitées à consulter les communications officielles du ministère de l’Éducation nationale.

Demande de Report de l’Audience pour la Levée de l’Immunité de Mohamed Bazoum : Les Avocats Contestent les Conditions de Procédure

Les avocats du président nigérien déchu, Mohamed Bazoum, retenu captif par les militaires ayant pris le pouvoir en juillet dernier, ont soumis une requête à la plus haute juridiction du pays pour reporter l’audience concernant la levée de son immunité présidentielle. Cette demande, détaillée dans un courrier consulté par l’AFP ce mardi, soulève des préoccupations majeures quant au respect des droits de la défense et à la validité de la procédure en cours.

La cour d’Etat, nouvellement instituée par le régime militaire en novembre dernier, est chargée de se prononcer le 10 mai sur la levée de l’immunité de Mohamed Bazoum, accusé de “haute trahison” et d'”atteinte à la sûreté” du pays depuis mi-août. Cependant, les avocats affirment que leur client n’a pas été informé correctement de la procédure en cours et n’a pas eu la possibilité de communiquer librement avec eux, ce qui constitue une violation flagrante des droits de la défense.

Dans leur courrier daté du 23 avril, les avocats de Mohamed Bazoum ont insisté sur l’importance fondamentale du respect de ce principe, soulignant que le non-respect de ces droits par la cour d’Etat constituerait une grave injustice. Ils ont également exprimé leurs craintes quant aux conséquences d’une éventuelle décision de lever l’immunité présidentielle de leur client, affirmant que cela légitimerait des actes de complicité et dissimulerait les événements entourant le coup d’État de juillet 2023.

Les avocats ont également remis en question la prétendue “qualité d’ancien président” de Mohamed Bazoum, soulignant qu’il n’avait jamais formellement démissionné de ses fonctions.

Cette demande de report de l’audience intervient après une série d’actions entreprises par les avocats de M. Bazoum pour défendre ses droits et contester les conditions de sa détention. En avril, ils ont sollicité l’intervention de la Cour de justice de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) pour exiger sa libération.

La semaine dernière, une fille de Mohamed Bazoum a publiquement accusé son prédécesseur, Mahamadou Issoufou, d’être le cerveau du coup d’État militaire.

Alors que Mohamed Bazoum et son épouse, Haziza Bazoum, restent détenus dans des conditions difficiles à la résidence présidentielle de Niamey, leur fils, Salem Bazoum, a été libéré en janvier dernier.

Report des Élections au Togo et Tensions Politiques : Une Nouvelle Donne

La scène politique togolaise est secouée par un nouveau rebondissement alors que les élections législatives et régionales prévues pour le 20 avril sont reportées au 29 avril, suite à une décision prise lors du Conseil des ministres du mardi 09 avril.

Le processus électoral révisé fixe la période de campagne électorale du samedi 13 avril au samedi 27 avril. Cependant, cette annonce intervient dans un contexte de tension, alors qu’une proposition de réforme constitutionnelle visant à transformer le régime semi-présidentiel en un régime parlementaire a été adoptée par les députés sortants.

Cette initiative a déclenché des réactions hostiles de la part de certains citoyens et de l’opposition, qui prévoient des manifestations les 11, 12 et 13 avril, malgré l’interdiction formelle du ministère en charge de l’Administration territoriale.

Face à cette situation, les autorités togolaises ont mis en garde les partis d’opposition et les groupes civils, notamment l’ADDI, l’ANC, le PSR, le FDR et le Front Citoyen Togo Debout, contre toute contravention à la loi.

Cette période de turbulence politique soulève des préoccupations quant à la stabilité et à la légitimité du processus électoral au Togo. Alors que le report des élections vise probablement à apaiser les tensions et à garantir un déroulement pacifique du scrutin, la résurgence des manifestations et les réformes constitutionnelles proposées soulignent les divisions et les défis auxquels le pays est confronté sur la voie de la démocratie et de la gouvernance inclusive.

Il reste à voir comment les autorités togolaises et l’opposition parviendront à résoudre leurs différends et à assurer un processus électoral transparent et équitable dans les semaines à venir.

Togo : Appel à la Manifestation de l’Opposition suite au Report des Élections Législatives

Après l’annonce du report des élections législatives et régionales au Togo, plusieurs partis d’opposition et groupes de la société civile ont lancé un appel à la mobilisation pour manifester contre cette décision. Cette mobilisation, prévue pour les 11, 12 et 13 avril, vise à exprimer leur désaccord face à cette mesure et à exiger la poursuite des campagnes électorales sur l’ensemble du territoire national.

Cette décision de report survient dans un contexte politique tendu, marqué par l’adoption d’une nouvelle Constitution fin mars. Cette Constitution, qui entraîne une transition vers un régime parlementaire, a suscité des critiques et des inquiétudes au sein de l’opposition, craignant qu’elle ne favorise la prolongation du président Faure Gnassingbé au pouvoir.

L’opposition dénonce le manque de transparence et d’engagement démocratique dans le processus électoral, soulignant le mépris manifesté envers les candidats et les électeurs. Elle exprime également son refus de voir les élections politiquement manipulées au détriment de la volonté populaire.

Les manifestations sont particulièrement significatives dans un contexte où les rassemblements publics sont interdits depuis 2022, après un incident tragique au grand marché de Lomé. Malgré cette interdiction, l’opposition reste déterminée à faire entendre sa voix et à défendre les principes démocratiques et les droits des citoyens à participer librement au processus électoral.

Face à cette situation, le gouvernement togolais tente de justifier le report des élections en invoquant la nécessité pour l’Assemblée nationale de réexaminer la nouvelle Constitution. Cependant, cette explication ne convainc pas l’opposition, qui perçoit cette mesure comme une tentative de manipulation politique visant à maintenir le statu quo au détriment du progrès démocratique.

Dans un contexte régional marqué par l’instabilité politique et les coups d’État, le Togo se trouve confronté à des défis multiples, y compris la montée du jihadisme dans la région nord du pays. Dans ce contexte, l’opposition togolaise entend maintenir la pression pour défendre les principes démocratiques et garantir un processus électoral libre et équitable.

Alors que les tensions politiques persistent et que les manifestations s’intensifient, l’avenir politique du Togo demeure incertain. Les prochains jours seront déterminants pour l’évolution de la situation politique et l’issue des contestations en cours.

Report de la Présidentielle : Le Parti Socialiste se montre ouvert au dialogue

Suite au report controversé de l’élection présidentielle au Sénégal, le Parti Socialiste (PS) a tenu une session exceptionnelle de son Secrétariat Exécutif National (SEN) le mardi 6 février 2024. Cette réunion a été l’occasion pour le parti de prendre acte de la décision prise par le président Sall, soutenue par l’Assemblée nationale, et d’exprimer son ouverture au dialogue inclusif initié par le chef de l’État.

Le report de l’élection a été accompagné de manifestations violentes à travers le pays, ayant entraîné la perte de trois vies humaines et de nombreux blessés. Face à cette situation délicate, le PS a appelé à la retenue et à la sérénité de tous les acteurs politiques, soulignant l’importance de préserver la paix civile pour le bien-être du pays.

Dans un communiqué officiel, le SEN du PS a déclaré : « Nous prenons acte du report de l’élection présidentielle et exprimons notre ouverture au dialogue inclusif lancé par le chef de l’État. Nous sommes prêts à aborder toutes les préoccupations politiques et à remédier aux dysfonctionnements constatés pour garantir une résolution efficace des problèmes auxquels notre nation est confrontée ».

Le Parti Socialiste a également réaffirmé son engagement au sein de la coalition Bennoo Bokk Yaakaar, exhortant ses militants et ses responsables à maintenir une dynamique constructive pour assurer la stabilité politique et institutionnelle du pays.

Cette déclaration du PS marque un pas vers la résolution des tensions politiques actuelles et souligne l’importance du dialogue et de la collaboration entre toutes les parties prenantes pour surmonter les défis auxquels le Sénégal est confronté.

Report de l’élection présidentielle au Sénégal : Une décision critiquée comme le sommet d’une dérive autoritaire selon un député français

La décision du président sénégalais Macky Sall de reporter l’élection présidentielle continue de susciter des réactions internationales, avec des voix critiques qui dénoncent ce qu’ils considèrent comme un acte autoritaire sans précédent dans l’histoire du pays.

En France, le groupe parlementaire “LFI-NUPES” a exprimé sa solidarité avec le peuple sénégalais, décrivant le report électoral comme le point culminant d’une tendance autoritaire qui sévit depuis un certain temps. Selon ces députés, cette décision est l’aboutissement d’une dérive autoritaire régulièrement dénoncée par la population sénégalaise et les oppositions politiques, notamment depuis l’emprisonnement du principal représentant de l’opposition.

Dans un post sur les réseaux sociaux, le député français Arnaud Le Gall a souligné que cette décision constitue le sommet d’une dérive autoritaire de longue date. Il rappelle avoir dénoncé cette tendance dès janvier 2023, lorsqu’un accord de coopération judiciaire et d’extradition avec le Sénégal a été ratifié par l’Assemblée nationale française, sur proposition des partisans du président Emmanuel Macron.

Le député LFI-NUPES du Val d’Oise affirme que La France Insoumise s’était opposée à ce texte. Il insiste sur le fait que, un an plus tard, le report de l’élection présidentielle par Macky Sall semble confirmer leurs préoccupations initiales. Il critique également les atermoiements diplomatiques du président Macron, soulignant que la France n’a pas encore tiré les leçons de son intervention au Sahel.

Ces commentaires soulignent la préoccupation croissante au niveau international concernant la situation politique au Sénégal et mettent en lumière les tensions entre les gouvernements français et sénégalais. Alors que la France continue de jouer un rôle majeur dans la région du Sahel, ces critiques soulignent l’importance de maintenir des normes démocratiques et de respecter les droits de l’homme dans toutes les interactions politiques internationales.

Réajustement du calendrier électoral au Sénégal : Diop Sy explique son amendement

Lors d’une conférence de presse du parti Benno Bokk Yaakaar ce mardi, le député-maire de Tivaouane, Diop Sy, est revenu sur les motivations qui l’ont poussé à proposer un amendement au calendrier électoral sénégalais. Cet amendement, qui a été voté par 104 députés, a pour but de réajuster la date de l’élection présidentielle, initialement prévue pour le 25 février, au 15 décembre.

Diop Sy a souligné que le choix du 15 décembre était stratégique, prenant en compte plusieurs facteurs essentiels. Tout d’abord, il a rappelé que le mandat présidentiel actuel prend fin le 2 avril prochain, et non le 25 février. Par conséquent, les six mois supplémentaires proposés devraient être calculés à partir de cette date, garantissant ainsi une transition en douceur jusqu’à la fin du mandat.

En outre, le député a mis en lumière l’impact des événements religieux majeurs, tels que le Magal de Touba et le Gamou, sur le calendrier électoral. Ces célébrations importantes nécessitent une prise en compte dans la planification des élections afin de respecter les traditions et les sensibilités religieuses du pays.

En proposant cet amendement, Diop Sy a également cherché à éviter toute polémique ou controverse entourant la transition présidentielle. En clarifiant et en ajustant le calendrier électoral de manière transparente, il espère contribuer à maintenir la stabilité et l’ordre public tout en garantissant un processus électoral démocratique et équitable.

L’explication fournie par Diop Sy lors de cette conférence de presse vise à dissiper les malentendus et à clarifier les raisons derrière l’amendement. En fin de compte, il s’agit de garantir la légitimité et la crédibilité du processus électoral au Sénégal, tout en tenant compte des réalités sociales, religieuses et constitutionnelles du pays.

Report de la Présidentielle, audience annoncée des candidats recalés avec Macky Sall : Les vérités crues de Djibril Diop

Le Président Front pour la République du Sénégal et ex membre de Yewwi Askan, Djibril Diop a profité d’une tribune sur sa page Facebook pour recadrer une certaine opposition qui n’est intéressée que par ses propres intérêts.

” On ne doit pas confier ce pays à des gens qui n’ont pas d’expérience ni de carnet d’adresses que passer tout leur temps a parlé et manipulé les gens” a réagi le leader politique, homme fort de l’opposition dans la banlieue Dakaroise.

Face à la rumeur qui fait état d’une probable rencontre entre le président Macky Sall et les candidats “spoliés” et l report probable de la présidentielle, Djibril Diop est catégorique :

”Pas de report pour les élections présidentielles de 2024. Les recalés ! aller soutenir vos camarades candidats c’est plus cohérent.” , mieux ”Opposant recalé! Écrire et accepter d’aller à la rencontre du Président Macky Sall veut dire que le Président Macky a raison sur toute la ligne” a t-il écrit sur ses réseaux

Va t-on vers un report de la présidentielle ? : Pape Alé Niang alerte et appelle à la vigilance

Pape Alé Niang est contre tout report de la présidentielle du 24 février 2024. Le patron du site d’informations Dakarmatin l’a fait savoir dans une publication ce mardi soir

” Des personnes tapies dans l’ombre des lambris dorés du pouvoir manœuvrent pour un report des élections uniquement pour leurs propres intérêts. Restons fermes et vigilants. Le peuple a vraiment hâte de tourner cette page. ” a réagi le journaliste-chroniqueur

Exclusif – Présidentielle de 2024 : Serigne Modou Kara propose le report du scrutin du 24 février 2024

Reporter l’élection présidentielle comme le voulait le candidat Boubacar Camara, est l’avis du guide religieux, Serigne Modou Kara Mbacké.

Dans une conversation téléphonique avec le journaliste-chroniqueur, Yamoussa Camara, ce dimanche soir, le général de Bamba propose le report de l’élection présidentielle du 25 février 2024 au Sénégal.

” Le gouverneur général d”’Al Xadiimiya”, Serigne Modou Kara m’a appelé vers 22h. Au menu des échanges, il m’a fait savoir qu’il porte à l’attention des Sénégalais, de la presse nationale et internationale qu’il propose le report de la présidentielle pour le bien tous les citoyens. ” Fait-il savoir d’emblée.

Ambassadeur international de la paix, Serigne Modou Kara Mbacké pense que le pays ne mérite pas de renouer avec les tensions politiques et appelle à une reprise du scrutin sous un nouveau format.

”Je suis un visionnaire, on doit reporter ces élections et les reprendre sous format d’élection générale et inclusive avec la participation de tous ceux qui doivent y figurer. Je le propose sur inspiration divine. Je sais de quoi je parle. Non seulement elle doit être reportée mais elle doit être reprise et très bien préparée sur des bases claires. Mieux vaut prévenir que guérir pour épargner le Sénégal d’une crise post-électorale majeure. ” a-t-il expliqué au journaliste et promet que si rien n’est fait, une sortie médiatique sera prévue pour plus de détails.

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