Créance de 150 millions F CFA à la BICIS : Les proches de Rose Wardini précisent et contre-attaquent

Depuis sa candidature à l’élection présidentielle de 2024 et les controverses qui l’ont accompagnée, Dr Rose Wardini demeure au cœur des débats politiques. Cette fois-ci, face à de nouvelles allégations concernant une supposée créance envers la Banque Bicis, l’ex-candidate ne s’est pas laissée accabler. Ses proches ont vigoureusement réfuté ces accusations et ont contre-attaqué, rejetant toute implication de sa part dans cette affaire.

Dans un communiqué diffusé par sa cellule de communication, il est catégoriquement précisé que « Dr Rose Wardini n’a rien à voir dans cette affaire ». La créance en question serait plutôt liée à la structure Keyna Spa Sarl, appartenant à des particuliers. En outre, le communiqué dément formellement toute allégation selon laquelle Rose Wardini serait placée sous contrôle judiciaire. La cellule de communication affirme qu’elle est libre de tout mouvement et dispose de preuves établissant sa bonne foi.

Le communiqué exprime également le regret du mouvement Sénégal Nouveau face aux attaques persistantes et aux accusations infondées dirigées contre sa présidente depuis l’annonce de sa candidature à l’élection présidentielle. Face à cet « acharnement répétitif », le mouvement affirme qu’il ne restera pas les bras croisés et qu’il réagira fermement contre toute attaque injustifiée à l’encontre de Rose Wardini.

Il convient de rappeler que ces déclarations interviennent suite à la publication d’un article de presse rapportant une prétendue créance de 150 millions de Francs CFA que Rose Wardini aurait envers la Banque Bicis, avec une menace de saisie de son immeuble situé à la Cité Belle Vue.

En définitive, cette réponse cinglante des proches de Rose Wardini vise à défendre son intégrité contre toute accusation infondée et à réaffirmer sa détermination à faire face aux attaques politiques qui visent à la discréditer.

Nouveaux ennuis judiciaires pour Rose Wardini : La Bicis réclame le remboursement d’un prêt

Rose Wardini, ancienne candidate à la présidentielle sénégalaise et présidente du mouvement Sénégal Nouveau, fait face à de nouveaux défis juridiques. Après son retrait de la course présidentielle suite à son arrestation et son placement sous contrôle judiciaire pour parjure concernant sa nationalité, voici qu’elle se retrouve confrontée à une demande de remboursement de la part de la Bicis.

Selon des sources, un huissier aurait servi à Rose Wardini un commandement de saisie réelle à la requête de la Bicis. Cette banque réclame à l’ex-candidate la somme de 95 millions de francs CFA, représentant le solde d’un prêt initial de 150 millions de francs CFA.

Le quotidien L’Observateur rapporte que Rose Wardini dispose de 20 jours pour régler cette dette, faute de quoi son immeuble situé à la cité Bellevue pourrait être saisi et mis en vente.

La Bicis, dans sa démarche, affirme avoir rencontré des difficultés à récupérer le montant dû malgré plusieurs tentatives de règlement. Après de nombreuses mises en demeure restées sans réponse, la banque a pris la décision de passer à l’action légale.

Cependant, l’avocat de Rose Wardini, Me Abou Abdoul Daff, a déclaré à L’Observateur n’avoir reçu aucun document officiel concernant sa cliente dans cette affaire précise. Il précise que le seul document qu’il a reçu concerne une affaire opposant la Bicis à la société Keyna Spa Sarl, dont Rose Wardini est la gérante.

Cette nouvelle péripétie juridique s’ajoute à une série de déboires pour Rose Wardini, qui doit désormais jongler entre les affaires judiciaires et son engagement politique.

Présidentielle 2024 : Rose Wardini se retire de la course et décide de jouer un rôle clé

Rose Wardini, présidente du mouvement « Sénégal Nouveau », a pris la décision de se retirer de la course à la présidentielle de 2024 suite à des accusations d’irrégularités liées à sa nationalité franco-sénégalaise. Malgré son retrait officiel, elle a annoncé son intention de continuer sa campagne en vue de l’élection présidentielle, avec pour objectif de jouer un rôle influent dans le processus électoral à venir.

Arrêtée le 2 février pour des accusations d’escroquerie au jugement, de faux en écriture authentique et publique, ainsi que d’inscription sous une fausse qualité, Rose Wardini a été libérée sous contrôle judiciaire quatre jours plus tard. Ces accusations découlent du fait qu’elle aurait omis de mentionner sa double nationalité au moment du dépôt de sa candidature, seule la nationalité sénégalaise étant éligible pour les candidats à la présidence selon la loi.

Bien que sa candidature ait été retirée, Rose Wardini a décidé de poursuivre sa campagne, désormais en tant que faiseur de roi. Son directeur de campagne, Cheikhou Diakhaté, a affirmé lors d’une conférence de presse que malgré ce revers, leur mouvement continue de mobiliser et de briguer le maximum de suffrages. Leur objectif principal est de sensibiliser sur la question de la double nationalité, qu’ils estiment être victimes.

Contestant les accusations portées contre elle, Rose Wardini a affirmé avoir initié la procédure de renoncement à sa nationalité française dès le 1er août. Cependant, des retards dans le traitement de cette demande, notamment en raison des congés du personnel de l’ambassade française, ont entravé le processus.

Quant à ses intentions de soutien à un candidat, Rose Wardini n’a pas encore fait de choix formel, mais elle recherche un candidat partageant les principes et les objectifs de son mouvement pour lui accorder sa consigne de vote.

Ainsi, bien que retirée de la course à la présidence, Rose Wardini reste une figure à suivre dans le paysage politique sénégalais, avec une influence potentielle sur le résultat de l’élection à venir.

Retrait de la candidature de Rose Wardini : Le Conseil Constitutionnel ajuste la liste des candidats

Suite au retrait de la candidature de Rose Wardini, présidente du mouvement « Sénégal Nouveau », le Conseil Constitutionnel s’est prononcé en prenant acte de cette décision et en ajustant sa liste initiale de 20 candidats à présent 19.

Cette décision intervient alors que la date de l’élection présidentielle reste à être fixée, mais elle marque un tournant dans le processus électoral en cours.

Les 19 candidats qui demeurent en lice pour la présidentielle sont les suivants :

  1. Boubacar CAMARA
  2. Cheikh Tidiane DIEYE
  3. Déthié FALL
  4. Daouda NDIAYE
  5. Habib SY
  6. Khalifa Ababacar SALL
  7. Anta Babacar NGOM
  8. Amadou BA
  9. Idrissa SECK
  10. Aliou Mamadou DIA
  11. Serigne MBOUP
  12. Papa Djibril FALL
  13. Mamadou Lamine DIALLO
  14. Mahammed Boun Abdallah DIONNE
  15. El Hadji Malick GAKOU
  16. Aly Ngouille NDIAYE
  17. El Hadji Mamadou DIAO
  18. Bassirou Diomaye Diakhar FAYE
  19. Thierno Alassane SALL

Ces 19 candidats représentent une diversité d’opinions et de visions pour l’avenir du Sénégal, et leur présence sur la liste électorale souligne l’importance du processus démocratique dans le pays.

La suite des événements reste à être déterminée, mais cette décision du Conseil Constitutionnel marque une étape significative dans la préparation de l’élection présidentielle et dans le déroulement de la campagne électorale à venir.

Le Dakarois Quotidien N°112 – du 20/02/24

Le Dakarois Quotidien N°112 – du 20/02/24
🔴Retrait de Rose Wardini : Un acte de responsabilité pour la Paix Nationale

Rose Wardini renonce à sa candidature présidentielle suite à la révélation de sa double nationalité

Dans un revirement politique inattendu, Rose Wardini, candidate à l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal, a annoncé son retrait de la course à la présidence lors d’une conférence de presse tenue ce lundi. Cette décision fait suite à la découverte de sa double nationalité, révélée après la publication de la liste officielle des candidats.

L’annonce de ce retrait de candidature intervient dans un contexte politique déjà tendu, où les enjeux de démocratie et de gouvernance sont au centre des débats. Elle souligne également l’importance du respect des lois électorales et des principes démocratiques fondamentaux pour assurer l’intégrité des élections et la crédibilité du processus démocratique.

En attendant de plus amples informations et réactions, le pays retient son souffle, observant avec attention les développements à venir dans cette élection présidentielle qui s’annonce désormais encore plus imprévisible.

Le sort de Rose Wardini entre incertitude et révision de liste : Analyse du Pr Ameth Ndiaye

Le Conseil constitutionnel appelé à clarifier la candidature controversée dans un contexte de double nationalité

La candidature de Rose Wardini continue de susciter des débats et des interrogations au sein de la classe politique sénégalaise. Dans une récente intervention lors de l’émission JDD sur IRadio, le Pr Ameth Ndiaye, spécialiste en droit public à l’Ucad, a abordé la question de l’admissibilité de Wardini en tant que candidate à la présidence, en soulignant l’importance de la compétence du Conseil constitutionnel dans ce dossier.

Selon le Pr Ndiaye, le Conseil constitutionnel dispose de la compétence et de la prérogative de revoir la liste des candidats si un empêchement définitif est constaté. En ce qui concerne l’affaire Wardini, qui a été initialement validée en tant que candidate avant que des questions sur sa double nationalité ne soient soulevées, le Pr Ndiaye estime que le Conseil constitutionnel devrait avoir la capacité de clarifier la situation.

« Le Conseil a les ressources pour mettre de l’ordre »

« Si le Conseil a constaté l’empêchement définitif, je pense sincèrement que si on avait le numéro de Rose Wardini et qu’on l’appelle là pour lui demander si elle est encore candidate, elle vous dirait non », a déclaré le Pr Ndiaye. Il souligne que si Wardini ne peut pas fournir des justificatifs suffisants pour témoigner de sa nationalité exclusive, le Conseil pourrait décider de l’écarter de la liste des candidats remaniée.

Le Pr Ndiaye a également remis en question la pertinence de l’article 28 de la Constitution, qui exige que les candidats à la présidence aient une nationalité exclusivement sénégalaise. Il a souligné que ces dispositions pourraient être considérées comme dépassées à la lumière des évolutions récentes en matière de nationalité dans d’autres pays, telles que l’Allemagne.

Dans l’attente d’une décision du Conseil constitutionnel, l’incertitude plane sur la candidature de Rose Wardini et sur la manière dont cette affaire sera résolue dans le contexte électoral actuel.

Rose Wardini placée sous contrôle judiciaire

Après avoir été inculpée par le Doyen des juges pour plusieurs délits, Rose Wardini, leader du mouvement Senegal Nouveau, a été remise en liberté sous contrôle judiciaire. Cette décision fait suite à une audience devant le premier cabinet d’instruction, dirigé par le juge Oumar Makham Diallo.

Les chefs d’accusation retenus contre Rose Wardini incluent l’escroquerie au jugement, le faux en écriture authentique et publique, ainsi que d’autres délits liés à des inscriptions sous une fausse qualité et à des déclarations jugées inexistantes ou trompeuses.

Malgré ces accusations, Rose Wardini a été placée sous contrôle judiciaire, ce qui signifie qu’elle est autorisée à rentrer chez elle tout en étant soumise à certaines restrictions et obligations imposées par les autorités judiciaires. Ce contrôle judiciaire vise à garantir sa présence lors des audiences ultérieures et à assurer le respect des conditions fixées par le tribunal.

Cette décision marque une étape importante dans le processus judiciaire entourant l’affaire de Rose Wardini, qui continuera à être examinée par les autorités compétentes.

Rose Wardini placée sous contrôle judiciaire

Suite à son inculpation par le patron du premier cabinet d’instruction, Rose Wardini, chef de file du mouvement Senegal Nouveau, a été placée sous contrôle judiciaire par le Doyen des juges. Cette décision marque un nouveau développement dans l’affaire qui secoue l’opinion publique sénégalaise.

Le juge Oumar Makham Diallo a remis en liberté Rose Wardini tout en lui reprochant plusieurs délits. Parmi ceux-ci figurent l’escroquerie au jugement, le faux en écriture authentique et publique, l’inscription sous une fausse qualité, l’inscription tendant à dissimuler une incapacité, ainsi que la souscription à une déclaration inexistante sur son inégalité et sa présence sur une liste.

Cette décision de placer Rose Wardini sous contrôle judiciaire soulève des questions et des interrogations quant aux accusations portées contre elle. Le contrôle judiciaire implique généralement une série de restrictions et d’obligations imposées à la personne concernée, notamment l’interdiction de quitter le territoire ou l’obligation de se présenter régulièrement aux autorités judiciaires.

L’affaire attire l’attention de l’opinion publique sénégalaise en raison de la position de Rose Wardini en tant que chef de file du mouvement Senegal Nouveau. Les développements à venir dans cette affaire seront scrutés de près, alors que la justice poursuit son enquête sur les accusations portées contre elle.

Nous nous engageons à fournir des mises à jour régulières sur cette affaire en cours, alors que la situation évolue et que de nouveaux éléments sont révélés par les autorités judiciaires.

Affaire Rose Wardini : Le dossier confié au Doyen des juges

Le feuilleton judiciaire autour de Rose Wardini prend une nouvelle tournure avec le passage du dossier entre les mains du juge d’instruction du premier cabinet du Tribunal de grande instance de Dakar, Oumar Makham Diallo. Le procureur de la République a requis l’ouverture d’une information judiciaire contre cette candidate à la présidentielle prévue initialement pour le 25 février 2024.

Rose Wardini, leader du mouvement « Sénégal nouveau », se retrouve ainsi au cœur d’accusations graves, notamment d’escroquerie au jugement, de faux en écriture authentique et publique, d’inscription sous une fausse qualité, et d’autres délits connexes. Son sort repose désormais entre les mains du juge d’instruction, qui devra décider de la suite à donner à cette affaire.

La procédure a été enclenchée après son arrestation par la Division des investigations criminelles (Dic) le vendredi 2 février 2024. Elle est accusée d’avoir dissimulé sa double nationalité au Conseil constitutionnel lors du dépôt de sa candidature à la présidentielle. Depuis lors, Rose Wardini a été déférée au parquet de Dakar, où elle a passé une journée avant de bénéficier d’un retour de parquet.

Cette affaire fait écho aux enjeux politiques et juridiques entourant les élections présidentielles et soulève des questions cruciales sur l’intégrité du processus électoral. Alors que le Sénégal traverse une période de turbulence politique, cette affaire met en lumière les défis auxquels sont confrontées les institutions judiciaires du pays pour garantir la transparence et la légitimité des élections.

Rose Wardini devant la justice : Retour de parquet après des accusations d’escroquerie et de faux en écriture

La candidate à l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal, Rose Wardini, a été déférée au parquet de Dakar le 05 février 2024, suite à des accusations d’escroquerie au jugement, de faux en écriture authentique et publique, d’inscription sous une fausse qualité, et d’inscription tendant à dissimuler une incapacité. Après une journée passée dans la cave du palais de justice, elle a bénéficié d’un retour de parquet.

Le dossier de Rose Wardini, qui était entre les mains du procureur, pourrait désormais être confié à une juge d’instruction. Cette étape pourrait marquer le début d’une enquête plus approfondie sur les charges qui pèsent contre la candidate.

L’arrestation de Rose Wardini a eu lieu le 02 février 2024, par la Division des investigations criminelles (Dic). Les accusations portent sur le fait d’avoir prétendument « caché » sa double nationalité au Conseil constitutionnel lors du dépôt de sa candidature.

Les chefs d’accusation comprennent l’escroquerie au jugement, le faux en écriture authentique et publique, l’inscription sous une fausse qualité, et l’inscription tendant à dissimuler une incapacité. Des allégations sérieuses qui pourraient avoir des conséquences importantes sur la candidature de Rose Wardini à l’élection présidentielle.

La candidate devra désormais patienter pendant que la procédure judiciaire suit son cours. L’issue de cette affaire pourrait avoir un impact significatif sur le paysage politique sénégalais, en particulier à l’approche de l’élection présidentielle.

Il est à noter que la double nationalité est un sujet délicat dans le contexte politique, et toute allégation de dissimulation de cette information peut susciter des débats intenses et des répercussions juridiques. La justice sénégalaise sera désormais chargée d’examiner attentivement les éléments de l’affaire et de prendre des décisions éclairées conformes à la loi.

Affaire de la « Double Nationalité » : Rose Wardini accusée d’escroquerie et de faux en écriture

La présidente du mouvement « Sénégal Nouveau », Rose Wardini, actuellement en garde à vue à la Division des Investigations Criminelles (DIC), fait face à des charges sérieuses à la suite de son interrogatoire. Les enquêteurs ont retenu contre elle plusieurs chefs d’accusation, notamment « escroquerie au jugement, faux en écriture authentique et publique, inscription sous une fausse qualité et inscription tendant à dissimuler une incapacité (L91 du Code électoral) et souscription à une déclaration inexistante sur son inégalité et sur sa présence sur une liste (L102 du Code électoral) ».

Rose Wardini a affirmé devant les enquêteurs avoir renoncé à sa nationalité française. Cependant, la DIC a confirmé que jusqu’au 2 février 2024, le nom de Soham Wardini, la candidate, figurait toujours sur le fichier électoral français. Une information révélatrice, puisque la candidate aurait obtenu la nationalité française par le biais de son ex-époux, un ressortissant français.

Le dossier s’est encore compliqué avec la découverte que Rose Wardini a récemment effectué un voyage en utilisant son passeport français. Ces développements pourraient avoir des implications significatives sur sa candidature et soulèvent des questions sur la légitimité de sa participation à l’élection présidentielle.

L’affaire de la « double nationalité » de Rose Wardini prend une tournure judiciaire complexe, mettant en lumière les enjeux entourant la transparence des candidatures et la crédibilité du processus électoral au Sénégal. Restez informés pour les développements à venir dans cette affaire.

Présidentielle : Thierno Alassane Sall dément avoir enclenché un recours contre Rose Wardini

Thierno Alassane Sall, candidat à la présidentielle au Sénégal, a catégoriquement démenti les rumeurs circulant selon lesquelles il aurait initié un recours contre la candidature de Rose Wardini, alléguant une possible non-conformité avec l’exigence de nationalité exclusive sénégalaise. Dans un communiqué officiel, Thierno Alassane Sall a réfuté ces allégations et a clarifié sa position.

« Nous tenons à clarifier qu’il n’y a aucune vérité dans ces allégations. Avec la publication de la liste définitive des candidats, la période de dépôt de toute réclamation est révolue, conformément aux dispositions constitutionnelles », a déclaré Thierno Alassane Sall.

Il a souligné qu’il restait attentif et vigilant, respectant le processus électoral en cours. Thierno Alassane Sall a exprimé son rejet de toute idée de report des élections, soulignant qu’une telle proposition ne reposait sur aucune base juridique. Il a critiqué le Parti démocratique sénégalais (PDS) pour son engagement dans ce qu’il a qualifié de « forcing infondé et insensé » visant à réintroduire Karim Wade dans la course présidentielle.

Le candidat a rappelé que, conformément à la Constitution, l’élection présidentielle était prévue pour le 25 février 2024, et il a souligné que tout arrangement en coulisses ou toute forfaiture contre l’intérêt du peuple ne serait pas toléré.

La scène politique au Sénégal reste tendue, alimentée par des débats intenses autour de la validité des candidatures et des appels à un possible report du scrutin. Les jours à venir s’annoncent cruciaux pour la stabilité politique du pays.

URGENT – Rose Wardini en Garde à Vue : Nouveau Rebondissement dans le Processus Électoral

La candidate à la présidentielle du 25 février 2024, Rose Wardini, présidente du mouvement « Sénégal Nouveau », a été convoquée à la Division des Investigations Criminelles (DIC), ajoutant un nouveau chapitre à l’affaire de sa supposée double nationalité.

La convocation intervient dans un contexte où la question de la nationalité des candidats à la présidentielle est devenue un sujet brûlant, suite au rejet de la candidature de Karim Wade par le Conseil constitutionnel en raison de sa nationalité française.

Selon des informations provenant du site service-Public.fr et relayées par Dakaractu, le numéro national d’électeur de Rose Wardini est inscrit sur la liste consulaire de Dakar. Cette révélation soulève des interrogations sur sa nationalité et alimente les spéculations sur la conformité de sa candidature aux critères énoncés par le Conseil constitutionnel.

Par ailleurs, la garde à vue de Rose Wardini, révélée par ledakarois.sn, ajoute une dimension complexe à cette affaire. Les circonstances exactes de sa mise en garde à vue demeurent encore à préciser, mais cet épisode pourrait potentiellement avoir des répercussions significatives sur la dynamique politique à l’approche des élections présidentielles.

Cette situation souligne une fois de plus l’importance des questions liées à la nationalité dans le processus électoral sénégalais et met en exergue la nécessité de transparence pour maintenir la confiance du public. Les développements ultérieurs autour de la garde à vue de Rose Wardini seront scrutés de près, car ils pourraient avoir des implications importantes sur le paysage politique du Sénégal. Restez informés pour des mises à jour sur cette affaire en évolution.

Polémique sur la Double Nationalité de Rose Wardini au Sénégal

La scène politique sénégalaise est secouée par une nouvelle controverse impliquant Rose Wardini, une figure influente du mouvement Sénégal Nouveau. La polémique tourne autour de la prétendue détention de la double nationalité par Wardini, qui aurait la nationalité française en plus de la nationalité sénégalaise.

Cette situation est perçue comme une violation de l’article 28 de la Constitution sénégalaise, qui exige que les candidats aux élections possèdent exclusivement la nationalité sénégalaise. Thierno Alassane Sall, leader de la République des Valeurs, a réagi en annonçant son intention de déposer une plainte contre Rose Wardini. Il souligne le maintien de l’inscription de Wardini sur le registre électoral en France, ce qui soulève des questions sur sa conformité avec la législation électorale sénégalaise.

La polémique rappelle d’autres situations similaires dans le passé, notamment celle de Karim Wade, qui avait été exclu de certaines élections en raison de questions de nationalité. Les débats sur la double nationalité continuent d’influencer le paysage politique sénégalais, soulignant l’importance des questions de citoyenneté dans le processus électoral.

Rose Wardini franchit avec succès l’étape des parrainages : Une avancée notable dans la course présidentielle

La commission chargée du contrôle des parrainages pour l’élection présidentielle du 25 février 2024, mise en place par le Conseil constitutionnel, poursuit son processus de vérification. Après une première évaluation de l’ensemble des parrainages soumis par les candidats, certains ont été invités à compléter leurs dossiers pour répondre aux critères d’éligibilité.

Cette avancée notable pour Rose Wardini la place dans une position solide pour la prochaine étape de la compétition présidentielle. Son succès dans la collecte des parrainages démontre une adhésion significative à sa candidature et ajoute une dynamique positive à sa campagne électorale. Les regards restent désormais tournés vers les prochains développements de la campagne et les défis qui attendent les candidats dans la course vers l’élection présidentielle de février 2024.

Validation sous condition : Rose Wardini doit rectifier des doublons en urgence

Le Conseil constitutionnel a approuvé le dossier de la candidate Rose Wardini, marquant ainsi une étape cruciale dans sa course électorale. Cependant, l’examen minutieux du dossier a révélé la présence de quelques doublons, mettant en lumière la nécessité d’une régularisation dans un délai strict de 48 heures.

Le mandataire de Mme Wardini, Ousmane Badiane, a pris acte de cette situation et s’est engagé à travailler en étroite collaboration avec les autorités compétentes pour rectifier ces anomalies dans les plus brefs délais.

« Je viens de sortir du Conseil constitutionnel il y’a des détails à retenir mais ce n’est pas important mais notre dossier a été bien validé. C’est une question de petit nombre de doublons externes. Nous avons un bref délai de 48 heures pour régler ce détail », a fait savoir le mandataire du candidat Rose Wardini. Il a préfèré ne pas communiquer sur les chiffres.

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