Affaire d’avortement clandestin à Pikine-Guédiawaye : Un animateur condamné, un suspect en cavale

Le quartier Hamo 4 à Pikine-Guédiawaye est sous le choc après une affaire d’avortement clandestin qui a conduit à des arrestations lors des funérailles de la nommée F.F. Les éléments de la police locale ont interpellé plusieurs personnes, dont le copain de la défunte, J. L. Mendy, connu sous le nom de Loulou.

L’animateur, malgré ses protestations d’innocence, a été reconnu coupable de complicité d’avortement clandestin et condamné à une peine d’un an de prison, dont trois mois ferme, selon les informations rapportées par L’Observateur. Cependant, un individu nommé Aziz est actuellement en fuite, faisant l’objet de recherches par les autorités.

L’affaire a révélé que F.F. entretenait des relations avec les deux hommes avant de tomber enceinte. Alors qu’elle approchait de sa 16e semaine de grossesse et réalisant qu’elle ne pouvait plus cacher son état à sa mère, elle a partagé son secret avec Loulou, qui lui a promis son soutien.

Lorsque la jeune fille a commencé à éprouver des saignements au cours de la deuxième semaine d’avril, l’animateur l’a conduite chez un infirmier. Ce dernier a découvert que la jeune fille avait pris des comprimés abortifs et lui a prescrit un traitement pour arrêter les saignements, en recommandant à son copain de l’emmener au centre de santé le plus proche.

Cependant, F.F., désireuse de protéger son secret, a refusé et est retournée chez elle. Malheureusement, elle a perdu la vie dans des circonstances non élucidées.

Cette tragédie met en lumière les risques et les conséquences graves des avortements clandestins et souligne l’importance d’un accès sûr et légal à des services de santé reproductive pour toutes les femmes.

Mort d’un Suspect dans des Circonstances Troublantes aux Parcelles Assainies : Soupçons sur l’Intervention Policière

Une tragédie secoue les Parcelles Assainies ce vendredi, alors qu’un suspect est décédé dans des circonstances troubles lors d’une violente perquisition menée par la police dans sa chambre. Les informations relayées par Les Échos soulignent que l’homme aurait perdu la vie sous les coups lors de l’intervention des éléments du commissariat d’arrondissement de la commune.

Les soupçons se concentrent désormais sur les agents de police impliqués dans cette perquisition, certains allant jusqu’à accuser les forces de l’ordre d’avoir battu à mort le suspect. Cette situation alarmante soulève des questions sur les méthodes employées par les autorités dans le cadre de leurs opérations de maintien de l’ordre.

Selon les informations disponibles, il est envisagé que l’enquête soit confiée à la Division des investigations criminelles (DIC), afin de faire la lumière sur les événements survenus lors de cette intervention policière. Cependant, des voix s’élèvent pour dénoncer une possible manœuvre visant à étouffer l’affaire et à dissimuler la vérité sur les circonstances du décès du suspect.

Cette affaire souligne l’importance d’une enquête approfondie et transparente pour garantir la justice et la responsabilité dans de tels incidents. Il est crucial que toute la lumière soit faite sur cette tragédie et que les responsables présumés soient tenus de rendre compte de leurs actions. En attendant, la communauté locale et l’opinion publique restent en attente de réponses et de mesures concrètes pour prévenir de telles tragédies à l’avenir.

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