TAS sur l’amendement de la loi d’amnistie : « Cette modification prouve que Pastef a compris le rejet de sa manipulation par les Sénégalais »

La proposition de loi interprétative de la loi d’amnistie, portée par le député Amadou Ba, membre de Pastef, suscite débat dans le paysage politique. L’initiateur souhaite modifier certains aspects du texte à travers un amendement, qui a fait réagir son collègue député Thierno Alassane Sall.
Dans une publication sur son compte Facebook, le leader du parti La République des Valeurs considère cet amendement comme un rejet exprimé par les Sénégalais.

Voici l’intégralité de sa publication.


PASTEF ET LE FEUILLETON DE L’AMNISTIE : SUITE D’UNE HISTOIRE DE TROMPERIE

Nous avons pris connaissance de la nouvelle proposition de loi d’interprétation de la loi d’amnistie de PASTEF qui prend la forme d’un amendement. Dans un document de six pages, le régime PASTEF réécrit substantiellement le texte initial. Cette modification est le signe que PASTEF a compris le rejet de leur manipulation par les Sénégalais. En revanche, au lieu de se résoudre définitivement à réaliser la demande claire du peuple Sénégalais d’une abrogation totale de l’amnistie, PASTEF continue dans la tromperie à travers la nouvelle mouture de sa proposition.

Contrairement à ce qu’ils racontent dans les médias depuis deux jours, la nouvelle proposition de loi interprétative demeure dans le même esprit que l’ancienne : PASTEF veut une abrogation partielle de la loi d’amnistie. Leur « interprétation » s’inscrit dans cette logique en visant la modification du champ d’application de la loi d’amnistie. Leur faux débat sémantique sur la rétroactivité concerne alors également leur texte.

Nous y reviendrons dans les jours à venir dans une réponse détaillée à ce nouvel épisode du feuilleton de la tromperie.

Thierno Alassane Sall

Le Dakarois Quotidien & Le Dakarois Sports N°418 – 12/03/2025

🔴 MÉPRIS DE LA SOMMATION INTERPELLATIVE ENVOYÉE À L’ASER : AEE POWER SENEGAL NE LÂCHE PAS L’AFFAIRE
🔴 AMNISTIE / TAS SUR LA PROPOSITION DE LOI INTERPRÉTATIVE DE « PASTEF » : UNE « FARCE » !

🔴 BUDGET DES JOJ 2026 : UN MILLIARD DE FRANCS CFA SUR LA TABLE
🔴 SÉLECTIONNEUR DE LA LIBYE : CISSÉ ENRÔLE DABO DANS SON STAFF

ASSEMBLÉE NATIONALE : Sonko accusé de « halalisation » des fonds politiques par Thierno Alassane Sall

Lors de la session de questions-réponses à l’Assemblée nationale ce vendredi 21 février, le Premier ministre, Ousmane Sonko, a été interpellé sur la question des fonds politiques, un sujet qui avait alimenté les débats lorsqu’il était dans l’opposition. Thierno Alassane Sall, député et leader de la coalition « Sénégal Kese », lui a demandé des explications sur son maintien des fonds politiques après les avoir critiqués et haramisés par le passé.
Dans une réponse sans équivoque, Ousmane Sonko a réaffirmé son opposition au principe de fonds exclusivement alloués à une seule personne, même s’il s’agit du président de la République. « J’ai toujours dit que dans un pays, avoir des fonds exclusivement dédiés à une personne, fût-elle Président, ce n’est pas normal », a-t-il déclaré, insistant sur la nécessité d’une gestion transparente des finances publiques.
Cependant, le Premier ministre a également reconnu l’existence de fonds dits « secrets », utilisés pour des opérations sensibles liées à la sécurité ou à la diplomatie. « Par contre, dans tous les pays, il y a des fonds qu’on appelle secrets qui permettent de régler des questions importantes en toute discrétion », a-t-il expliqué. Une nuance qui n’a pas convaincu Thierno Alassane Sall, lequel a dénoncé un double discours.
Faisant référence aux promesses de Sonko de supprimer ces fonds s’il arrivait au pouvoir, TAS a raillé ce changement de position en lançant une pique ironique : « C’est comme celui qui disait : ‘Je bois du vin qui, une fois ingéré, se transforme en lait’ ». Une allusion à ce qu’il perçoit comme une volte-face du Premier ministre sur une question qui avait été au cœur de son engagement politique.
Face à cette attaque, Sonko a tenu à clarifier sa position : « Je n’ai jamais dit que c’est haram », réfutant l’idée qu’il aurait diabolisé ces fonds pour ensuite les légitimer une fois en fonction. Il a conclu en adressant un message à son opposant du jour : « Parfois, il faut savoir applaudir », sous-entendant que certaines réalités du pouvoir imposent des ajustements, même aux engagements pris dans l’opposition.
La Dakaroise

Le Dakarois Quotidien & Le Dakarois Sports N°305 – du 24/10/2024

🔴 PRÉSENCE MILITAIRE EN AFRIQUE DE L’OUEST : MACRON RÉDUIT SES EFFECTIFS AU SÉNÉGAL
🔴 RUSE POLITIQUE : TAS BAPTISE DÉTHIÉ FALL « JUDAS » ET DÉNONCE LE « MACHIAVÉLISME PASTÉFIEN »

🔴 LIGUE DES CHAMPIONS / DÉFAITE CUISANTE DU BAYERN (4-1) : LE BARÇA RENOUE AVEC LA MAJESTUOSITÉ
🔴 OUVRAGES SUR L’ATHLÉTISME SÉNÉGALAIS : MBAYE JACQUES DIOP CÉLÈBRE NOS CHAMPIONS

LÉGISLATIVES 2024 : Sonko, Amadou Ba et TAS prêts à débattre à la télévision

Le contexte politique au Sénégal s’oriente peut-être vers un moment décisif avec la possibilité d’un débat public entre Ousmane Sonko, Amadou Ba, potentiellement Thierno Alassane Sall et probablement les autres têtes de liste. À l’approche des élections législatives anticipées du 17 novembre 2024, ces échanges pourraient offrir aux électeurs une occasion précieuse dévaluer les les visions des principaux candidats.

La scène politique sénégalaise est sur le point de franchir une nouvelle étape vers une confrontation directe et démocratique par voue de presse entre ses leaders.

Tout semble indiquer qu’un débat public entre Ousmane Sonko, Amadou Ba, et peut-être Thierno Alassane Sall, est en préparation.

Peu de temps après la conférence de presse donnée hier par Amadou Ba, Ousmane Sonko a pris la parole sur ses réseaux sociaux pour réagir aux propos de son adversaire.

Dans une intervention directe, le Premier ministre s’est montré satisfait de la prise de parole du leader de la coalition « Jamm Ak Njariñ », lançant : « enfin, les choses bougent ». Il n’a pas hésité à critiquer le fait que son opposant se serait longtemps caché « derrière ses mercenaires de la plume et autres chroniqueurs », avant de lui proposer un débat public. « Je lui offre une belle opportunité de s’expliquer devant le peuple : un débat public contradictoire entre lui et moi sur la situation économique et financière dans laquelle ils ont plongé le pays », a déclaré le président de « Pastef ».

Il convient toutefois de préciser que cette idée de débat ne vient pas de Sonko lui-même, mais plutôt de l’entourage d’Amadou Ba. En effet, il y a quelques jours, Madiambal Diagne avait affirmé que l’ancien Premier ministre était « prêt à débattre avec Ousmane Sonko sans condition aucune », une déclaration qui n’avait pas laissé indifférents les observateurs.

Cependant, ce face-à-face ne sera peut-être pas limité à ces deux figures politiques. Thierno Alassane Sall, leader de la coalition « République des Valeurs », a tenu à s’inviter dans la discussion. Via un post sur X (anciennement Twitter), il a réagi aux déclarations de Sonko en rappelant que plusieurs sujets méritent également d’être débattus, notamment les dossiers liés à l’ONAS, l’ASER, ou encore JP Morgan. Il a insisté sur l’importance d’un échange collectif, au-delà d’un simple duel entre Sonko et Amadou Ba. Thierno Alassane Sall a aussi interpellé Pape Alé Niang, journaliste et DG de la RTS, en lui proposant d’organiser un débat entre toutes les têtes de liste pour offrir aux citoyens un véritable panorama des programmes électoraux. « La démocratie s’épanouit à travers le débat », a-t-il martelé, en lançant un défi direct à Ousmane Sonko et aux autres candidats.

La proposition de Thierno Alassane Sall n’est pas passée inaperçue. Jean Michel Sène, Directeur général de l’ASER (Agence Sénégalaise d’Électrification Rurale), a rapidement réagi en se disant prêt à débattre avec Thierno Alassane Sall sur le dossier de l’ASER, une affaire que ce dernier avait évoquée à plusieurs reprises. Sur ses réseaux sociaux, Sène a écrit : « Monsieur Thierno Alassane Sall, j’ai constaté votre grand intérêt pour éclaircir le soi-disant dossier ASER et vous en remercie grandement. Je vous informe de ma disponibilité entière à en débattre avec vous selon le format de votre convenance, pour éclairer la lanterne des Sénégalais. »

Alors que les élections législatives anticipées du 17 novembre 2024 se rapprochent, l’enjeu est de taille : une confrontation directe entre les principaux candidats pourrait influencer la manière dont les électeurs perçoivent leurs projets, leurs compétences et leur vision pour le pays. Si ces débats venaient à se concrétiser, ils offriraient aux électeurs une opportunité inédite d’assister à des échanges approfondis sur les questions clés qui vont définir l’avenir du Sénégal.

Le Dakarois

Calomnie et dérapage : La descente de Thierno Alassane Sall dans l’imposture politique (Mouhamadou Lamine Massaly)

Un TAS d’immondices !

La sortie méchante de Thierno Alassane Sall sur le Président Macky Sall n’a été aussi basse et écervelée. Lorsqu’en débat politique, un favorisé du hasard se retrouve exsangue d’accuser sans preuve tangible et d’user de mots abjects qui frise l’outrage, seul le langage impudent s’impose à lui.

Sans génie politique, dépourvu de bon sens, exsangues de civilité et sans mesure, TAS verse dans une abominable spirale de calomnie et d’imposture pour salir un homme qui a tout donné au Sénégal.

Ses accusations viles et répugnantes attribuant au Président Macky Sall (il utilise le conditionnel) « qu’il aurait effectué un déplacement de 3 jours à Abidjan à bord d’un jet privé », illustre que le jeu politique plonge dans l’abîme de l’imposture juste par haine contre un adversaire.

Mais quand on ne croit en rien, on est prêt à tout faire, même à couvrir d’une bave immonde le réseau télématique pour atteindre un Président qui mérite respect et considération.

Cette accusation de Thierno Alassane Sall est une insulte inadmissible à l’esprit public sénégalais, à un esprit lucide et bien averti pour distinguer les fatras d’ordures qui égarent les imposteurs dans des gouffres empestés.

La tragédie du Sénégal est l’immixtion de la calomnie, du complot, de la conspiration et de la haine dans le jeu politique, un jeu perverti par des favorisés du hasard dont la carence atavique est leur incapacité de hausser leur petitesse.

Au lieu de cogiter sur les responsabilités qui sont les leurs, ce politicien et député élu au plus fort reste, donne une image abjecte au jeu politique, rivalisant d’exorcisme, de pratiques occultes, de mensonges, de calomnie et de diabolisation sur fond d’inimitié et de haine devant lesquelles reculerait même un malade mental.

Cette accusation erronée n’est que le signe d’une veulerie, d’un manque de courage et d’une triste inintelligence politique : se cacher derrière le réseau télématique pour salir méchamment un adversaire n’est pas, en politique, un acte courageux.

Le jeu démocratique est totalement perverti. La politique est dépravée. Les acteurs politiques n’excellent que dans l’imposture.

Mouhamadou Lamine Massaly
Président de l’Union pour une Nouvelle République (UNR)
Membre du Bloc des Libéraux et des Démocrates Bld / Takku (se mobiliser, en wolof)

Thierno Alassane Sall accuse : Les dessous d’un prétendu « dialogue inclusif »

Dans le contexte tendu des préparatifs électoraux au Sénégal, les récentes déclarations du candidat à la présidentielle Thierno Alassane Sall ont jeté une lumière crue sur les manœuvres politiques en coulisses. Le représentant de la République des Valeurs (RV) a vivement critiqué ce qu’il qualifie de « mascarade » orchestrée par le président Macky Sall sous le prétexte d’un dialogue inclusif avec les candidats recalés.

Dans une déclaration publique, Thierno Alassane Sall a vertement dénoncé les prétendues négociations souterraines qui, selon lui, visaient en réalité à saper le processus électoral en cours. Il affirme que ces discussions étaient une façade pour justifier ce qu’il considère comme un « coup d’État constitutionnel » perpétré par Macky Sall. Le candidat TAS accuse certains acteurs d’avoir proposé des compromis « coupables », notamment l’échange d’amnisties contre une élection plus inclusive.

Pour Thierno Alassane Sall, ces manœuvres dissimulées ne sont rien de plus qu’une tentative délibérée de déstabiliser le pays et de saper la démocratie sénégalaise. Il met en garde contre les conséquences potentiellement désastreuses de ces compromis politiques, soulignant que la paix durable ne peut être fondée sur le mépris des lois et des institutions démocratiques.

Dans un contexte où les tensions politiques sont déjà à leur comble, ces révélations mettent en lumière les enjeux cruciaux des prochaines élections présidentielles. Alors que le Sénégal s’apprête à prendre des décisions historiques pour son avenir politique, il est essentiel que le processus électoral reste transparent, juste et démocratique. Les déclarations de Thierno Alassane Sall soulignent l’urgence d’un engagement sincère en faveur d’un dialogue ouvert et honnête pour garantir l’intégrité du processus démocratique au Sénégal.

TAS critique sévèrement certains hommes politiques : Complices de la déstabilisation orchestrée par Macky Sall

Thierno Alassane Sall (TAS), leader de la République des Valeurs, n’a pas mâché ses mots dans une récente déclaration sur les réseaux sociaux, pointant du doigt certains hommes politiques qu’il accuse d’être complices de la déstabilisation orchestrée par le Président Macky Sall.

Dans cette déclaration percutante, TAS met en lumière les discussions entre Macky Sall et les candidats recalés, qu’il qualifie de mascarade visant à justifier un coup d’État constitutionnel. Il révèle également l’existence de rencontres discrètes ayant pour objectif le report de l’élection présidentielle. Pour TAS, ceux qui ont proposé des compromis coupables, comme l’amnistie contre une élection inclusive, sont responsables de la déstabilisation en cours et du cycle de violence auquel le Sénégal est confronté.

TAS souligne l’importance du respect des lois et affirme que la paix durable ne peut être fondée sur le mépris des principes démocratiques. Il exprime également sa prudence quant aux promesses de Macky Sall, rappelant le revirement du Président concernant le report de l’élection présidentielle. Pour TAS, Macky Sall a démontré sa capacité à ne pas respecter ses engagements, remettant ainsi en question sa crédibilité en tant que garant de l’ordre constitutionnel.

En conclusion, la déclaration de Thierno Alassane Sall met en lumière les tensions et les divisions qui règnent dans le paysage politique sénégalais. Elle soulève des questions cruciales sur la légitimité et l’intégrité des processus électoraux, ainsi que sur l’engagement des acteurs politiques envers les principes démocratiques fondamentaux.

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