Kylian Mbappé : Adieux sous tension au Parc des Princes

Dimanche marquera le dernier match de Kylian Mbappé sous les couleurs du Paris Saint-Germain au Parc des Princes, contre Toulouse pour la 33e journée de Ligue 1. Après sept saisons dans le club de la capitale, l’officialisation de son départ a été annoncée récemment, avec des adieux qui se déroulent dans un climat tendu entre la direction et la superstar.

Bien que le titre de Ligue 1 soit déjà acquis, l’entraîneur Luis Enrique a confirmé que Mbappé jouerait dimanche soir, malgré ses récents passages sur le banc. Cependant, aucune cérémonie spécifique n’a été annoncée en l’honneur du joueur, le club considérant l’événement comme un non-événement, ayant été informé de la décision de Mbappé dès février.

Dans une vidéo diffusée vendredi, Mbappé a annoncé son départ, sans dévoiler sa destination, bien que le Real Madrid soit largement pressenti pour l’accueillir. Cette annonce met fin à une période de suspense qui a pesé sur la saison du PSG, notamment lors de performances décevantes en Ligue des champions.

Les adieux de Mbappé interviennent également après une rencontre avec le Collectif Ultras Paris vendredi soir, où il a exprimé sa gratitude envers le club et les supporters. Cependant, tous les fans ne seront pas nécessairement unis dans leur adieu, certains étant déçus par le dénouement de cette saga et les performances mitigées de Mbappé cette saison.

Malgré les controverses entourant son départ, Mbappé laisse derrière lui un héritage indéniable au PSG, étant devenu le meilleur buteur de l’histoire du club et ayant contribué à de nombreuses victoires mémorables. Son départ marque la fin d’une ère pour le PSG, mais le club se prépare déjà pour l’avenir, espérant rester compétitif même sans sa superstar.

La frontière mauritano-malienne sous tension : l’armée mauritanienne prête à défendre son territoire

Le porte-parole du gouvernement mauritanien, Nani Ould Chrouga, a exprimé jeudi des préoccupations quant à l’instabilité croissante le long de la frontière avec le Mali. Il a souligné les nombreux mouvements entre les groupes armés et l’armée malienne, mettant en lumière une situation potentiellement dangereuse pour la sécurité régionale.

L’armée mauritanienne, a-t-il affirmé, est entièrement préparée à défendre l’intégrité territoriale du pays, que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur de ses frontières. Cette déclaration intervient après des attaques répétées contre des civils mauritaniens en territoire malien, ce qui a suscité une réaction ferme des autorités mauritaniennes.

Le gouvernement mauritanien suit la procédure internationale en matière d’incidents transfrontaliers, tout en soulignant sa détermination à protéger ses citoyens à l’étranger. Des démarches diplomatiques ont été entreprises, notamment la convocation de l’ambassadeur malien à Nouakchott pour protester contre les attaques contre des civils mauritaniens.

Le ministre mauritanien de la Défense s’est également rendu à Bamako pour discuter de solutions avec les autorités maliennes, soulignant l’importance de préserver les liens entre les deux pays. Toutefois, la gestion des frontières reste un défi, en particulier dans les zones où les frontières géographiques et démographiques se chevauchent.

Actuellement, le chef de l’état-major mauritanien des armées visite les unités déployées le long de la frontière avec le Mali, témoignant de l’importance accordée par les autorités à la surveillance et à la sécurité de cette zone sensible.

Face à une situation volatile et en évolution constante, la Mauritanie affirme sa détermination à protéger son territoire et ses citoyens, tout en cherchant des solutions diplomatiques pour apaiser les tensions le long de sa frontière avec le Mali.

La Senelec finalise une nouvelle ligne à très haute tension pour renforcer le réseau électrique à Touba

La Senelec a achevé dimanche les travaux de construction d’une nouvelle ligne à très haute tension (225 KV) reliant l’ancien poste électrique Touba 1 au nouveau poste Touba 2, dans le cadre du projet « Boucle du Ferlo ». Abdou Khadre Ndiaye, coordonnateur des travaux, a confirmé la conclusion réussie de ce projet majeur, estimé à 106 millions d’euros.

L’objectif principal de cette nouvelle ligne est de renforcer le réseau électrique dans la région de Touba, en vue de garantir une distribution continue et fiable de l’électricité, en particulier en préparation du Magal de Touba, un événement religieux majeur qui attire des millions de pèlerins chaque année.

Les travaux se sont déroulés sans encombre et dans des conditions optimales, a souligné Abdou Khadre Ndiaye. La nouvelle ligne, d’une capacité de 2×40 MVA, permettra une interconnexion efficace entre les postes Touba 1 et Touba 2, renforçant ainsi la capacité de transmission entre Touba et Ndioum.

Cependant, le processus de raccordement a entraîné des coupures temporaires d’électricité dans plusieurs localités de la zone de Touba-Mbacké tout au long du week-end. Ces interruptions étaient nécessaires pour permettre le bon déroulement des travaux de raccordement.

La nouvelle ligne devrait être opérationnelle d’ici la fin du mois de juin, marquant ainsi une étape importante dans l’amélioration de l’infrastructure électrique de la région. En plus de la nouvelle ligne, trois nouveaux postes de transformation ont été incorporés dans le réseau, ce qui contribuera à améliorer la fiabilité et la stabilité du système électrique dans la région de Touba.

Ce projet s’inscrit dans le cadre des efforts continus de la Senelec pour moderniser et renforcer le réseau électrique du Sénégal, afin de répondre aux besoins croissants en électricité et de soutenir le développement économique et social du pays.

Manifestation réprimée au Bénin : la tension persiste autour du coût de la vie et des droits humains

La capitale économique du Bénin, Cotonou, a été le théâtre de manifestations samedi, alors que des syndicats et des citoyens exprimaient leur mécontentement face au coût de la vie croissant dans le pays. Les autorités ont réagi en envoyant la police pour disperser les manifestants, utilisant des gaz lacrymogènes pour les disperser. Un correspondant de l’AFP a rapporté que des petits groupes de manifestants ont été encerclés par les forces de l’ordre avant d’être dispersés.

La Confédération des syndicats autonomes du Bénin (CSA Bénin) a déclaré que son dirigeant, Anselme Amoussou, avait été interpellé par la police, et plusieurs manifestants auraient également été arrêtés. Cette répression a suscité des réactions de la part des manifestants et de la population, exprimant leur frustration face à ce qu’ils considèrent comme une répression systématique des manifestations pacifiques dans le pays.

La manifestation de samedi intervient dans un contexte de mécontentement généralisé concernant le coût de la vie au Bénin. Les citoyens se plaignent de l’augmentation des prix des produits de première nécessité et de l’impact négatif sur leur qualité de vie. Certains dénoncent également une atteinte aux droits humains fondamentaux, affirmant que les autorités répriment systématiquement toute forme de dissidence.

Depuis l’arrivée au pouvoir du président Patrice Talon en 2016, le Bénin a été le théâtre d’une répression croissante contre l’opposition politique et la société civile. De nombreux dirigeants de l’opposition ont été emprisonnés ou contraints à l’exil, et la liberté de la presse a été fortement restreinte, selon des organisations de défense des droits de l’homme.

La situation économique du Bénin reste précaire, malgré une économie résiliente en 2023. Les critiques accusent le gouvernement de ne pas répondre efficacement aux préoccupations de la population en matière de coût de la vie et de droits humains, alimentant ainsi un climat de mécontentement et de tension dans le pays.

Tension après le match : Mbappé provoque les joueurs catalans

La presse catalane rapporte une petite altercation dans les couloirs du stade olympique de Montjuïc après la qualification du Paris Saint-Germain contre le FC Barcelone en Ligue des champions. Kylian Mbappé aurait lancé une phrase chambreuse en espagnol, irritant certains joueurs catalans.

Titulaire lors du quart de finale retour et auteur d’un doublé, Mbappé a été un élément clé de la victoire du PSG à Barcelone (1-4), propulsant l’équipe en demi-finale de la Ligue des champions. Cependant, selon Mundo Deportivo, la star parisienne aurait déclenché une petite altercation dans les couloirs du stade après le match.

Après les célébrations avec ses coéquipiers et les supporters parisiens présents, Mbappé aurait lancé une pique aux joueurs du Barça : « C’est le football et c’est sur le terrain qu’il faut parler ». Cette phrase, prononcée en espagnol, aurait été entendue par plusieurs joueurs catalans, déclenchant une confrontation verbale.

Malgré les tensions, aucun geste violent n’aurait été signalé. Après l’incident, Mbappé aurait rejoint le président du PSG, Nasser Al-Khelaïfi, pour une accolade, avant de continuer les célébrations avec son équipe.

Cette altercation intervient dans un contexte où Mbappé est pressenti pour rejoindre le Real Madrid lors de la prochaine intersaison, ce qui aurait irrité les joueurs du Barça, déjà engagés dans une rivalité avec le club madrilène.

Tension Protocolaire à Touba : Le Maire Abdou Lahat Ka Bloqué à la Résidence de Serigne Bassirou Mbacké

Une scène inhabituelle s’est déroulée devant la résidence de Serigne Bassirou Mbacké à Darou Miname. Le maire de la commune de Touba, Abdou Lahat Ka, a été momentanément bloqué par le protocole présidentiel, l’empêchant d’assister à l’audience entre le chef de l’État, Son Excellence Bassirou Diomaye Faye, et le khalife général des mourides, Serigne Mountakha Mbacké.

L’incident est survenu en raison du retard d’Abdou Lahat Ka. Arrivant en retard à la résidence du khalife, le maire a trouvé les forces de défense et de sécurité sur place qui lui ont refusé l’accès. La raison invoquée était que le chef de l’État était déjà en audience dans le salon du saint homme.

Ce n’est qu’après les discours de Bassirou Diomaye Faye et de Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre que des instructions ont été données pour permettre au maire de Touba d’accéder à l’intérieur de la résidence.

Cet incident soulève des questions sur le respect du protocole et des règles de courtoisie entre les différentes autorités. Bien que l’incident se soit résolu rapidement et sans incident majeur, il met en évidence l’importance du respect des protocoles et des formalités lors de tels événements officiels.

L’incident protocolaire survenu devant la résidence de Serigne Bassirou Mbacké illustre l’importance du respect des règles et des protocoles lors des rencontres officielles entre autorités. Malgré le retard du maire de Touba, la situation a été rapidement résolue, permettant à Abdou Lahat Ka d’assister à l’audience entre le chef de l’État et le khalife général des mourides.

Tension Croissante entre le Syntras et la Direction du Centre Hospitalier Régional de Ziguinchor

La relation entre les membres du Syndicat national des travailleurs de la Santé (Syntras) et la direction du Centre hospitalier régional de Ziguinchor s’est considérablement détériorée ces derniers temps. Après une grève de 24 heures organisée récemment, le syndicat annonce une nouvelle grève, cette fois-ci de 72 heures, pour la semaine à venir.

Les membres du secrétariat du Syntras reprochent à la direction de l’hôpital de ne pas respecter le protocole d’accord signé en mars dernier. Selon le syndicat, la direction fait la sourde oreille et use de tactiques dilatoires pour éviter de satisfaire les revendications des travailleurs.

Parmi les points contestés figurent la matérialisation des cotisations à verser à l’IPRES, l’avancement des travailleurs, ainsi que la signature de contrats de prestation de service pour 20 stagiaires, conformément aux dispositions du vote du budget 2024 et du protocole d’accord signé en 2023.

Outre ces points, le Syntras réclame également l’audit et la rationalisation du personnel, la liquidation et le paiement des indemnités de départ à la retraite, ainsi que la réorganisation des responsabilités au sein des services en fonction des grades des employés. Le syndicat met aussi en avant la nécessité d’améliorer la qualité et la quantité des repas de garde.

Face au non-respect de ces accords par la direction de l’hôpital, le Secrétariat général du Syntras, section Centre hospitalier régional de Ziguinchor, a donc décidé d’observer une grève totale de 72 heures dès le début de la semaine prochaine.

Cette situation témoigne d’une impasse croissante entre le Syntras et la direction de l’hôpital, mettant en lumière les tensions persistantes autour des conditions de travail et des revendications des travailleurs de la santé. Les deux parties devront rapidement trouver un terrain d’entente pour éviter que cette situation ne s’envenime davantage et n’affecte la qualité des soins dispensés aux patients.

Nous espérons que des négociations constructives pourront être engagées afin de résoudre ces différends et de garantir un environnement de travail serein et respectueux des droits des travailleurs de la santé à Ziguinchor.

Tension persistante entre la SOMIVA et les propriétaires terriens à Kanel – Hamady-Ounaré

La Commune de Hamady-Ounaré, située dans le département de Kanel, est le théâtre d’un conflit croissant entre la Société Minière de la Vallée du Fleuve Sénégal (SOMIVA) et les propriétaires terriens. Cette tension s’intensifie alors que les propriétaires terriens rejettent fermement l’accord proposé par la société minière et appellent à une intervention urgente des autorités pour résoudre le différend.

Dans un communiqué récent adressé à Senego, la Commission de défense des impactés de la commune a catégoriquement démenti toute conclusion d’accord entre la SOMIVA et les propriétaires terriens. Selon les représentants de la Commission, aucune entente n’a été atteinte, et ils affirment que la confrontation est inévitable à moins d’une intervention rapide des autorités pour trouver une solution juste et équitable.

La SOMIVA envisage d’exploiter un nouveau site après l’épuisement d’un site précédent, pour une période de 25 ans. Cependant, les propriétaires terriens des communes de Hamady-Ounaré, Ndendory et Orkhadiere rejettent fermement l’offre d’indemnisation de la SOMIVA, estimant qu’elle est nettement insuffisante par rapport à la valeur réelle des terres.

En effet, la proposition de la SOMIVA consiste en une indemnisation de seulement 90 000 FCFA par propriétaire terrien, alors que la valeur marchande du phosphate extrait des terres est bien plus élevée sur le marché international. Les propriétaires terriens estiment que cette offre est dérisoire compte tenu du potentiel économique des terres en question, qui abritent une réserve de phosphates importante.

Malgré les bénéfices considérables générés par l’exportation de phosphates par la SOMIVA, la société refuse de consentir à une indemnisation plus substantielle pour les trois communes impactées, qui réclament collectivement une somme de 3 milliards de FCFA. Cette impasse persistante suscite l’indignation des propriétaires terriens, qui appellent à la solidarité et à la mobilisation pour faire respecter leurs droits.

Dans cette atmosphère de tension croissante, les autorités sont appelées à intervenir de manière urgente pour faciliter un dialogue constructif entre la SOMIVA et les propriétaires terriens. Seule une résolution équitable et mutuellement acceptable permettra de prévenir d’éventuels affrontements et de garantir la paix sociale dans la région de Kanel – Hamady-Ounaré.

Tension entre la FECAFOOT et le gouvernement camerounais suite au choix du sélectionneur Marc Brys

La décision du gouvernement camerounais de nommer le technicien belge Marc Brys comme sélectionneur des Lions indomptables du Cameroun a suscité une vive tension avec la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT). Cette nomination, accompagnée de ses assistants Joachim Mununga et Giannis, a été perçue comme un affront par l’instance dirigeante du football camerounais.

Dans un communiqué officiel, le président de la FECAFOOT, Samuel Eto’o, a dénoncé cette décision comme étant « dénuée de tout fondement légal ». Il a souligné que la fédération n’a pas été consultée ni impliquée dans le processus de sélection des candidats pour ces postes clés. En conséquence, la FECAFOOT refuse de reconnaître ces nominations qui vont à l’encontre des règlements nationaux et internationaux régissant le football.

Cette situation crée un véritable imbroglio, alimenté par les déclarations médiatiques de Samuel Eto’o, laissant entendre son intention de nommer un nouveau staff technique dirigé par un sélectionneur local. Cette perspective risque de compliquer davantage la situation et de créer des obstacles supplémentaires pour le football camerounais.

Cette confrontation entre la FECAFOOT et le gouvernement souligne les tensions persistantes au sein de la gouvernance du football au Cameroun. Si elle n’est pas rapidement résolue, cette crise pourrait avoir des répercussions néfastes sur le développement et la performance des équipes nationales, compromettant ainsi les aspirations sportives du pays sur la scène internationale.

Tension entre la FECAFOOT et les autorités camerounaises : Réaction surprise à la nomination du nouveau sélectionneur des Lions Indomptables

La récente annonce de la nomination de Marc Brys au poste de sélectionneur-Manager de l’équipe nationale de football du Cameroun a suscité une réaction inattendue de la part de la Fédération Camerounaise de Football (FECAFOOT). Cette dernière a exprimé son étonnement quant à cette décision, soulignant qu’elle n’avait pas été consultée au préalable, comme le stipule pourtant le Décret N°2014/384 régissant l’organisation des sélections nationales de football.

Dans un communiqué diffusé peu après l’annonce officielle du ministère des Sports et de l’Éducation physique, la FECAFOOT a manifesté son étonnement face à cette décision prise de manière unilatérale. Dirigée par Samuel Eto’o, elle a regretté que cette annonce intervienne alors même qu’elle collabore étroitement avec les autorités pour assurer l’avenir des Lions Indomptables.

La réaction de la FECAFOOT souligne un malaise latent entre la fédération et les autorités gouvernementales, et met en lumière les tensions qui persistent dans la gestion du football camerounais. Alors que la collaboration entre les deux entités semblait s’améliorer, cette décision unilatérale a ravivé les frustrations et les désaccords.

La fédération a annoncé son intention de donner son point de vue sur cette situation dans les prochains jours, laissant planer le doute sur la nature de sa réaction et sur les éventuelles conséquences pour la nomination de Marc Brys et son équipe technique.

Cette réaction surprise de la FECAFOOT soulève des interrogations quant à la cohésion et à la collaboration au sein du football camerounais, et met en lumière les défis persistants auxquels est confrontée l’organisation sportive dans le pays.

Tension à Pikine : La Famille de Mouhamed Diop Réclame Justice

La ville de Pikine, au Sénégal, est le théâtre de tensions exacerbées suite à la mort tragique de Mouhamed Diop, également connu sous le nom de Taya. Alors que la communauté pleure la perte de leur proche, la colère et la frustration se sont transformées en actes de violence et d’incendie criminel.

Après l’inhumation de Mouhamed Diop, des amis et des proches ont exprimé leur douleur en attaquant le commissariat de police local. Leur révolte, alimentée par le désir de justice, a rapidement dégénéré en affrontements violents avec les forces de l’ordre. Des véhicules ont été vandalisés et incendiés, plongeant la région dans le chaos.

La famille de la victime, confrontée à cette tragédie, a lancé un appel pressant pour que justice soit rendue. Ils réclament une enquête approfondie sur les circonstances entourant la mort de Mouhamed Diop et demandent que les responsables de cet acte soient traduits en justice. Pour eux, il est impératif que la lumière soit faite sur cet événement douloureux et que les coupables soient tenus pour compte.

Cependant, la situation reste tendue à Pikine, avec une communauté secouée par la violence et l’injustice. Les autorités locales travaillent sans relâche pour rétablir l’ordre et apaiser les tensions, tout en promettant une enquête rigoureuse sur l’incident.

Dans ce climat de désarroi et de désolation, la quête de justice de la famille de Mouhamed Diop reflète le besoin urgent de réponses et de réparation au sein de la communauté. Alors que Pikine cherche à se remettre de ces événements tragiques, l’appel à la justice résonne comme un cri de détresse pour une communauté en deuil.

Tension lors de l’audition de Ngagne Demba Touré : Solidarité des greffiers et report de l’audience

Une scène inhabituelle s’est déroulée hier au bureau du juge du deuxième cabinet lors de l’audition de Me Ngagne Demba Touré, greffier en fuite depuis septembre 2023 et membre actif du parti politique Pastef. Arrêté par la Division des Investigations Criminelles (DIC) conformément à un mandat d’arrêt délivré à son encontre, Me Touré était censé être inculpé et placé sous mandat de dépôt pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ainsi que pour offense au chef de l’État.

Cependant, l’audition a été retardée en raison d’une mobilisation remarquable des collègues greffiers de Me Touré. Réunis devant le bureau du juge, ils ont formé un front uni pour exiger sa libération immédiate. Cette démonstration de solidarité, soutenue par les syndicats Sytjust, UNTJ et AGS, a souligné l’unité et la détermination de la profession face à l’arrestation d’un des leurs.

De plus, le greffier désigné pour assister à l’audition de Me Touré a refusé de participer à la procédure. Ce geste a contraint le juge à reporter l’audience, espérant que le greffier reconsidérerait sa position ou qu’un remplaçant serait désigné pour siéger.

Tension entre Macky Sall et Barthélemy Dias : menace sur les JOJ 2026 à Dakar

Le maire de Dakar avertit : Pas d’inclusion, pas de Jeux Olympiques de la Jeunesse

Suite à la réunion présidentielle du mardi 26 décembre 2023, où le président Macky Sall a exhorté le gouvernement à impliquer fortement les jeunes, les acteurs culturels, et les collectivités territoriales dans l’organisation des JOJ 2026, Barthélemy Dias, maire de Dakar, a exprimé son mécontentement en dénonçant son absence à la rencontre au Palais présidentiel.

Dans un communiqué, l’édile de Dakar a averti le gouvernement en ces termes : « Si une autre réunion se tient sans la ville de Dakar, il n’y aura pas de Jeux Olympiques de la Jeunesse à Dakar. » Barthélemy Dias, se sentant mis à l’écart, revendique sa place dans l’organisation de cet évènement sportif mondial. Demande de Transparence et Respect de l’Esprit Olympique

Barthélemy Dias estime que l’État doit faire preuve de transparence et respecter l’esprit du mouvement olympique en s’engageant dans une démarche inclusive et participative. Le maire de Dakar souligne l’importance d’impliquer la ville dans toutes les étapes de la préparation des Jeux Olympiques de la Jeunesse afin d’assurer leur succès et leur légitimité.

Réclamation de sa Place dans l’Organisation

Le maire de Dakar revendique ainsi son droit à être partie prenante dans les prises de décision liées à l’évènement et à la préparation des infrastructures nécessaires. Barthélemy Dias met en garde contre toute tentative de tenir des réunions sans la participation de la mairie de Dakar, sous peine de compromettre la tenue même des JOJ 2026 dans la capitale sénégalaise.

Recours Possible au Comité International Olympique (CIO)

Barthélemy Dias n’exclut pas de saisir le Comité International Olympique (CIO) si nécessaire pour faire valoir les droits de la ville de Dakar dans l’organisation des Jeux Olympiques de la Jeunesse. Cette menace souligne les tensions persistantes entre le gouvernement et la municipalité de Dakar, mettant en péril la coopération nécessaire pour le succès de cet évènement international majeur.

Tribunal de Dakar : La tension monte entre les avocats de Sonko et le juge dès l’ouverture du procès

L’audience très attendue opposant Ousmane Sonko à l’État du Sénégal a débuté ce mardi au Tribunal de première instance de Dakar, avec pour enjeu la radiation ou la réintégration de l’opposant sénégalais sur les listes électorales.

Dès le début, des malentendus ont marqué le début de l’audience, principalement dus à une confusion sur le lieu de l’audience. Les avocats de Sonko, conduits par Me Bamba Cissé, se sont initialement rendus à la Salle 4, entraînant un retard dans le démarrage des débats.

Le juge, en charge de l’audience, a accordé quatre heures de temps de parole à chaque partie. Les avocats de l’opposant, au nombre de plus de trente, ont réclamé cinq heures, sans succès, donnant lieu à des échanges tendus. Me Ousseynou Fall, avocat de Sonko, a accusé le juge de partialité, provoquant une réplique ferme de ce dernier, qui a exigé le retrait des propos.

On note la présence de figures politiques, notamment des alliés de Sonko comme Déthié Fall. Alors que les débats se poursuivent, notre équipe suit l’évolution de l’audience minute par minute, s’engageant à fournir des mises à jour en temps réel sur les développements de cette affaire cruciale pour Ousmane Sonko.

Tension financière à la Sonacos : Thierno Alassane Sall avait raison sur le PCA

Quelques heures après la publication du nouveau gouvernement « Amadou BA 2 », l’honorable député Thierno Alassane Sall, candidat à l’élection présidentielle de 2024, a critiqué la nomination de l’ancien directeur de la Sonacos dans le gouvernement. Selon lui, cette nomination équivaut à une promotion, alors que la Sonacos traverse des difficultés financières.

Le président du conseil d’administration de la Sonacos, Youssou Diallo, a réagi en défendant les performances de l’équipe de Diagne Fada à la tête de la Sonacos. Cependant, quelques jours plus tard, des informations indiquent que la Sonacos fait face à des crises économiques graves, confirmant ainsi les inquiétudes exprimées par Thierno Alassane Sall. Le nouveau directeur général de la Sonacos doit effectuer une visite des usines pour évaluer la situation, et les syndicalistes craignent même la fermeture de l’entreprise si des mesures adéquates ne sont pas prises.

Quitter la version mobile