Tentative d’attaque devant GFM : Badara Gadiaga et l’équipe de Jakarlo ciblés

Une tentative d’attaque a été évitée de justesse hier soir devant les locaux du Groupe Futurs Médias (GFM). Un groupe d’individus s’est rassemblé devant l’entrée principale avec l’intention manifeste de s’en prendre au chroniqueur Badara Gadiaga et aux autres animateurs de l’émission Jakarlo.

Grâce à la vigilance des agents de sécurité, le plan des assaillants a été déjoué avant qu’un incident grave ne se produise. Le dispositif de sûreté mis en place a permis d’interpeller deux individus, présumés agresseurs, qui ont immédiatement été remis à la gendarmerie. Une enquête a été ouverte pour déterminer les motivations exactes de cette tentative d’agression et identifier d’éventuels complices.

Cet incident survient dans un contexte de tensions accrues depuis la dernière édition de Jakarlo, où un échange particulièrement houleux avait opposé Badara Gadiaga au député Amadou Bâ, membre du parti Pastef. Suite à cette confrontation verbale, plusieurs ministres et responsables politiques proches du parti avaient lancé des appels au boycott de GFM, accusant certains chroniqueurs de partialité dans leurs analyses.

Badara Gadiaga est par ailleurs la cible de menaces répétées, émanant notamment de militants engagés sur les réseaux sociaux. Malgré ces intimidations, l’équipe de Jakarlo maintient sa ligne éditoriale et promet de continuer à aborder les sujets d’actualité sans concession.

Face à cet événement, le Groupe Futurs Médias envisage un renforcement des mesures de sécurité pour garantir la protection de ses journalistes et chroniqueurs. Des dispositifs supplémentaires pourraient être mis en place afin d’éviter que de tels incidents ne se reproduisent.

L’opinion publique reste divisée sur cette affaire, certains dénonçant une dérive dangereuse de la violence politique, tandis que d’autres appellent les médias à plus de retenue dans le traitement des débats sensibles.

Liberté de la presse menacée au Sénégal : le CDEPS alerte sur une tentative de mise sous tutelle du secteur médiatique

Le Conseil des Éditeurs et Diffuseurs de Presse du Sénégal (CDEPS) tire la sonnette d’alarme sur ce qu’il qualifie de tentative de mise sous contrôle du secteur médiatique par les autorités sénégalaises. Dans un communiqué relayé par Sud Quotidien, le CDEPS dénonce une série de mesures « brutales et inouïes » qui, selon lui, portent atteinte aux fondements de la liberté de la presse dans le pays.

Parmi les faits les plus préoccupants, le CDEPS pointe du doigt les agissements de Télédiffusion sénégalaise (TDS-SA), accusée d’avoir interrompu ou dégradé le signal de quatorze chaînes de télévision locales, invoquant des retards de paiement supposés. Ces coupures auraient été effectuées sans préavis ni recours possible, créant ainsi une situation d’instabilité pour de nombreuses entreprises de presse audiovisuelle.

Le CDEPS signale également que plusieurs médias ont reçu des injonctions fermes leur ordonnant de cesser immédiatement leurs activités, au motif de non-conformité administrative. Ces médias s’exposeraient désormais à des poursuites pénales, ce que les responsables du CDEPS considèrent comme une volonté manifeste de criminaliser l’activité de presse.

« Cette logique de contrainte administrative semble cacher une volonté plus profonde : celle de soumettre les médias au bon vouloir du pouvoir politique, en remettant en question leur indépendance et leur rôle de contre-pouvoir », a déclaré Mamadou Ibra Kane, président du CDEPS, dans le communiqué.

Le CDEPS déplore également un manque de respect des principes fondamentaux tels que la séparation des pouvoirs et les règles de régulation de la presse, pourtant inscrits dans la Constitution sénégalaise et le Code de la presse. Le Conseil rappelle qu’un recours a été introduit en septembre 2024 contre l’arrêté portant création de la Commission d’examen et de validation des entreprises de presse, mais aucune réponse n’a été apportée à ce jour par les autorités.

Face à cette situation jugée alarmante, le CDEPS annonce une série d’actions fortes pour défendre la liberté de la presse. Parmi celles-ci, un rassemblement symbolique est prévu le 3 mai, à l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse. Le Conseil appelle également à une mobilisation générale, sollicitant l’appui des citoyens, de la société civile, des organisations de défense des droits humains et de la communauté internationale pour faire barrage à ces mesures jugées arbitraires et liberticides.

Le CDEPS insiste sur la nécessité de préserver un environnement médiatique libre, pluraliste et indépendant, garant de la démocratie et de l’État de droit au Sénégal.

Tentative d’escroquerie : Issa Sow jugé pour avoir voulu extorquer 10 millions F CFA à Mo Gates

Le tribunal des flagrants délits de Dakar a jugé, ce lundi, Issa Sow, accusé d’avoir tenté d’extorquer 10 millions F CFA à l’entrepreneur Mamadou Bakara Diallo, alias Mo Gates. Se présentant comme un proche du procureur de la République, le prévenu aurait tenté de convaincre sa victime de lui remettre cette somme en échange de l’annulation d’un prétendu mandat d’arrêt.

Selon l’accusation, Mo Gates n’a pas cédé à la pression et a pris l’initiative de vérifier l’information directement auprès du procureur Ibrahima Ndoye. C’est à ce moment qu’il a découvert la supercherie. Pour confondre Issa Sow, il l’a appelé en présence du procureur et l’a mis sur haut-parleur. Ignorant qu’il était piégé, le prévenu a réitéré ses déclarations, ce qui a conduit à son arrestation immédiate pour tentative d’escroquerie.

Placé sous mandat de dépôt depuis le 30 janvier 2025, Issa Sow a reconnu les faits devant les enquêteurs, mais a adopté une nouvelle ligne de défense lors de son procès. À la barre, il a nié avoir réclamé de l’argent, expliquant qu’il s’était simplement rendu chez Mo Gates pour une médiation impliquant son neveu, Pape Mbaye.

Lors de l’audience, Mo Gates a sollicité un renvoi afin que le procureur Ibrahima Ndoye puisse être entendu comme témoin et pour lui laisser le temps de se constituer un avocat. Le juge a rejeté cette demande, expliquant qu’il était impossible de faire comparaître le procureur en tant que témoin dans cette affaire.

Interrogé sur une éventuelle demande de réparation, Mo Gates a affirmé ne réclamer aucune somme d’argent.

Le ministère public a souligné que cette tentative d’escroquerie portait atteinte à l’image de la justice. Cependant, il n’a requis aucune peine contre Issa Sow, laissant le tribunal seul juge de la répression.

La défense, assurée par Maîtres Ousseynou Gaye, Omar Faty et Maimouna Dièye, a plaidé la relaxe pure et simple, estimant que leur client avait été contraint d’avouer sous la pression. Me Gaye a dénoncé des menaces exercées par le parquet lors de l’interrogatoire. En cas de délibéré différé, Me Faty a demandé la mise en liberté provisoire de son client, ce que le tribunal a refusé pour défaut de garantie de représentation.

Mbour : Une tentative de trafic de drogue déjouée à la prison grâce à la vigilance des gardes pénitentiaires

La vigilance des agents pénitentiaires de la maison d’arrêt et de correction de Mbour a permis de déjouer une tentative audacieuse d’introduction de drogue dans l’établissement carcéral. Lors d’une fouille de routine, deux cornets de chanvre indien ont été découverts, savamment dissimulés dans un plat contenant deux poulets. Ce repas, destiné à un détenu, devait servir de couverture à cet acte illicite.

Le livreur du colis, identifié comme étant A. Wagne, a immédiatement été interpellé par les forces de l’ordre. Il a été placé en garde à vue au commissariat central de Mbour, où une enquête a été ouverte pour élucider les circonstances de cette tentative de trafic. L’opération est menée sous la supervision du commissaire Bara Niang, qui a réaffirmé l’engagement des autorités à lutter contre ce type d’infractions au sein des établissements pénitentiaires.

Par ailleurs, le détenu destinataire présumé de cette livraison illicite sera extrait de sa cellule ce jeudi pour être entendu par les enquêteurs de la Police judiciaire. L’objectif est de déterminer son implication éventuelle et d’identifier d’éventuels complices impliqués dans cette affaire.

Cet incident souligne l’ingéniosité déployée par certains individus pour contourner les règles de sécurité, mais aussi l’importance de la rigueur et de la vigilance des gardes pénitentiaires. La maison d’arrêt et de correction de Mbour renforce ainsi son dispositif de contrôle afin de prévenir toute tentative similaire à l’avenir.

Tentative d’agression à Mermoz : un agresseur mortellement percuté par un véhicule

Un incident dramatique s’est déroulé hier soir près du magasin Auchan de Mermoz, en face de l’ambassade du Maroc à Dakar. Trois individus, impliqués dans une tentative d’agression visant une femme enceinte et un homme, ont vu leur plan virer au cauchemar lorsqu’ils ont été percutés par un véhicule, provoquant des scènes de choc parmi les témoins.

Selon les premières informations recueillies par L’Observateur, l’un des agresseurs est mort sur le coup, tandis qu’un autre a été grièvement blessé et se trouve actuellement dans un état critique. Le troisième suspect a réussi à prendre la fuite et reste activement recherché par les forces de l’ordre.

Les témoignages des riverains soulignent que l’intervention du véhicule a probablement empêché un scénario encore plus tragique. « Si la voiture n’était pas intervenue, les victimes auraient pu subir des blessures graves, voire pire », a déclaré un témoin sous le choc.

Les autorités ont ouvert une enquête afin de faire la lumière sur les circonstances exactes de l’accident et de retrouver le suspect en fuite. Cette agression, survenue dans un quartier pourtant habituellement calme, a plongé les résidents dans la stupeur et ravivé les préoccupations concernant la sécurité.

La scène, marquée par la violence inattendue de la situation, laisse place à de nombreuses questions sur les motivations des agresseurs et les actions décisives du conducteur du véhicule.

Bougane Gueye Dany convoqué à la DSC : Thierno Bocoum dénonce une tentative d’intimidation

Ce matin du 2 octobre 2024, une atmosphère tendue règne à la Cité Gorgui, où le leader du mouvement Gueum Sa Bopp, Bougane Gueye Dany, a été convoqué par la Division spéciale de la cybercriminalité (DSC). Pourtant, malgré l’heure fixée à 9 h, Bougane est toujours chez lui, sous l’œil attentif des journalistes qui campent devant sa résidence. Tous attendent sa sortie pour l’accompagner aux locaux de la cybercriminalité, une étape cruciale dans une affaire qui suscite de vives réactions.

Parmi les soutiens de taille présents ce matin, Thierno Bocoum, président du mouvement Agir et membre de la coalition Sam Sa Kaddu, s’est rendu chez Bougane pour lui témoigner sa solidarité. À sa sortie, Bocoum a vivement dénoncé ce qu’il considère comme une manœuvre d’intimidation, pointant du doigt une série de convocations qui vise, selon lui, des figures influentes de la société sénégalaise. « Je pense que ce qu’ils veulent faire, c’est une intimidation », a-t-il déclaré face à la presse, dénonçant ce qu’il perçoit comme une atteinte à la démocratie. « Ce n’est pas seulement Bougane Gueye qui est convoqué, vous avez vu Cheikh Yérim Seck, Kader Dia et tant d’autres », a ajouté Bocoum.

Pour lui, ces convocations successives constituent une « provocation » à la démocratie sénégalaise. Cependant, il tient à souligner que ni Bougane Gueye Dany ni ses partisans ne se laisseront intimider. « On est venu accompagner le président Bougane Gueye Dany. On respecte la justice, on respecte les forces de l’ordre, on va répondre à la convocation », a-t-il martelé, affirmant la sérénité de Gueye face à la situation.

Ce climat de tensions intervient dans un contexte où plusieurs personnalités médiatiques et politiques du pays sont visées par des enquêtes liées à leurs activités publiques et en ligne. Pour l’instant, Bougane Gueye Dany reste calme et serein, prêt à se conformer aux exigences de la justice, tandis que ses soutiens continuent de dénoncer ce qu’ils perçoivent comme des tentatives de musellement.

Tentative d’Homicide à Dakar : Confrontation de Témoignages au Tribunal

Une affaire délicate de tentative d’homicide volontaire opposant le tailleur L. D. à la dame de 75 ans A. Nd a retenu l’attention de la chambre criminelle du tribunal de Dakar. Après trois heures d’audience, la cour se prépare à rendre son verdict le 21 mai prochain, mettant ainsi fin à un chapitre controversé qui a secoué la communauté.

Les événements présumés remontent au 3 février 2021, lorsque A. Nd accuse L. D. d’être venu chez elle pour régler des cotisations en retard pour une tontine, avant de l’agresser violemment avec un couteau et de lui dérober de l’argent. Les blessures infligées ont conduit A. Nd à une incapacité temporaire de travail.

Cependant, les versions des événements divergent radicalement. Alors qu’A. Nd affirme avoir été attaquée sans provocation après avoir simplement demandé l’argent dû, L. D. soutient que son geste était une réponse à des avances sexuelles non désirées de la part de la plaignante.

La complexité de l’affaire réside dans le fait qu’il s’agit essentiellement d’un témoignage contre un autre, sans preuves tangibles pour étayer les allégations de l’une ou l’autre des parties. Le procureur a requis une requalification des faits en coups et blessures volontaires, mais a également souligné qu’il serait difficile de prouver une tentative d’homicide volontaire sans intention manifeste de tuer.

L. D. risque une peine de cinq ans de prison ferme, bien que le procureur ait admis que la situation aurait pu être bien pire si l’accusé avait réellement eu l’intention de tuer. Cette reconnaissance soulève des questions sur la crédibilité des témoignages et la véritable nature des événements qui se sont déroulés ce jour-là.

La décision finale de la cour le 21 mai prochain apportera des réponses cruciales à ces questions et déterminera le sort de L. D., tout en offrant un éclairage sur les circonstances exactes de cet incident troublant qui a ébranlé la communauté de Dakar.

Deux responsables de la sécurité d’État arrêtés en Ukraine pour tentative d’assassinat de Zelensky

Le journal en ligne « Ukrainska Pravda » a récemment rapporté l’arrestation de deux hauts responsables de l’administration de la sécurité d’État en Ukraine. Les deux individus sont accusés de trahison et de complicité dans un attentat terroriste, mais selon le média, leur véritable intention était l’assassinat du président ukrainien Volodymyr Zelensky.

Selon un communiqué du Service de sécurité ukrainien (SBU), ces deux colonels faisaient partie d’un réseau d’agents supervisés par les services secrets russes (FSB) depuis Moscou. L’objectif principal de ce réseau de renseignement russe était d’identifier des militaires proches de la sécurité du président susceptibles de prendre Zelensky en otage et de le tuer par la suite.

En plus de Zelensky, les autorités ukrainiennes affirment que les agents russes cherchaient également à éliminer d’autres hauts responsables ukrainiens, dont le chef du service de sécurité ukrainien Vasyl Malyuk et le chef de la Direction générale du renseignement du ministère de la Défense ukrainien (GUR) Kirill Budanov.

Le chef du SBU a déclaré qu’un cercle restreint de personnes était au courant de cette opération spéciale qui a permis de démasquer les deux agents ennemis. Il a également souligné que l’élimination de Zelensky devait être un « cadeau fait à Poutine pour son investiture », faisant référence au serment présidentiel de Vladimir Poutine qui a eu lieu le même jour.

Cette tentative d’assassinat met en évidence les tensions persistantes entre l’Ukraine et la Russie, ainsi que les dangers auxquels sont confrontés les responsables politiques ukrainiens. Elle souligne également l’importance de la vigilance et de la sécurité nationale dans un contexte de géopolitique complexe et de conflit en cours.

Adriana Karembeu Révèle une Tentative de Viol par un Réalisateur Français dans son Livre Autobiographique

Dans son livre autobiographique intitulé « Libre », publié cette semaine chez les éditions Leduc, Adriana Karembeu fait une révélation poignante. La célèbre mannequin révèle avoir été victime d’une tentative de viol de la part d’un réalisateur français renommé en 2010.

L’histoire, poignante et troublante, dépeint un après-midi qui aurait pu tourner au cauchemar. Karembeu relate son arrivée chez ce réalisateur pour discuter d’un scénario. Cependant, la rencontre bascule lorsque l’homme, après une brève conversation, se jette sur elle de manière brutale, tentant de l’embrasser de force.

Le récit, empreint de la terreur ressentie par Karembeu, met en lumière le courage dont elle a fait preuve pour se libérer de son agresseur. Malgré son traumatisme, elle dénonce l’attaque avec une force indomptable, affirmant qu’à 35 ans, elle a trouvé la force nécessaire pour repousser son agresseur.

Cependant, elle admet que si elle avait été plus jeune, l’impact aurait été encore plus dévastateur. Son agent, conscient de la réputation douteuse du réalisateur, l’aurait mise en garde après l’incident, soulignant la notoriété de ce dernier pour des comportements inappropriés.

Cette révélation de Karembeu survient dans un contexte où de nombreuses personnalités du cinéma français sont confrontées à des accusations d’agression sexuelle. Des figures bien connues telles que Gérard Depardieu, Jacques Doillon et Benoît Jacquot ont été accusées par plusieurs personnes du milieu cinématographique.

Le témoignage d’Adriana Karembeu s’inscrit dans un mouvement plus large de dénonciation des comportements prédateurs dans l’industrie cinématographique française. Des actrices comme Isild Le Besco et Juliette Binoche ont également pris la parole pour dénoncer ces abus et encourager un changement profond au sein de l’industrie.

Tentative de Fraude Avortée à la Commercial Bank of Ethiopia : L’Union Africaine et la CBE préservent l’intégrité financière

Une récente tentative de fraude à la Commercial Bank of Ethiopia (CBE) a été déjouée avec succès, préservant ainsi les fonds de l’Union Africaine (UA) et maintenant l’intégrité de leurs contrôles financiers intacts. L’incident, survenu le 15 avril dans une succursale de la CBE au siège de l’UA à Addis-Abeba, a été rapidement détecté et maîtrisé grâce à l’action vigilante du personnel de la CBE et du département financier de l’UA.

Selon un communiqué officiel de l’UA, un individu non affilié à l’organisation a tenté de retirer des fonds via de faux ordres de paiement pour des projets de construction et de forage d’eau. Les autorités de sécurité éthiopiennes ont été immédiatement alertées et ont pris des mesures pour identifier et détenir les personnes impliquées conformément aux procédures d’enquête en vigueur.

Bien que l’UA ait exprimé sa gratitude envers la CBE pour son intervention rapide, cette tentative de fraude a soulevé des préoccupations quant aux vulnérabilités potentielles dans les systèmes de sécurité financière en place. En réponse, l’UA a annoncé qu’elle procéderait à une révision des mesures de sécurité pour renforcer sa protection contre de telles tentatives à l’avenir.

Cette tentative de fraude survient dans le contexte d’une autre affaire signalée en mars, où la CBE a été confrontée à des retraits frauduleux effectués par plusieurs milliers de clients, entraînant une perte financière importante pour la banque. Bien que la CBE ait déclaré une perte de 19,5 millions de dollars, certains médias ont estimé que les pertes pourraient atteindre jusqu’à 100 millions de dollars, soulignant ainsi l’ampleur des défis auxquels les institutions financières peuvent être confrontées en matière de sécurité et de prévention des fraudes.

Déjouement d’une tentative d’importation illégale de médicaments et de cannabis par voie maritime

Les agents de la brigade maritime des douanes de Joal, subdivision du littoral Sud, ont récemment mis en échec une tentative d’importation illégale de médicaments par voie maritime. Grâce à une surveillance active en mer et à un dispositif d’interception le long du rivage, une pirogue transportant une cargaison suspecte a été interceptée le 19 avril dernier près de Mbodjène, dans le département de Mbour.

La cargaison saisie se composait de 61 cartons de faux médicaments, comprenant notamment 38 cartons d’aphrodisiaques et 23 cartons de corticoïdes, utilisés pour la dépigmentation et considérés comme une source de cancers mortels. La valeur totale des médicaments saisis est estimée à 403 millions de francs CFA.

En plus des médicaments, une importante quantité de chanvre indien a également été découverte sur le littoral. Les agents de la brigade maritime des douanes de Kayar ont saisi 234 kg de cannabis conditionnés en 30 colis, ainsi qu’une quantité significative de cuisses de poulet sur la même embarcation. La valeur totale de cette saisie est estimée à près de 19 millions de francs CFA.

Ces opérations de saisie ont été menées dans le cadre des efforts de ciblage et d’investigation visant à contrer les réseaux de trafic criminel opérant sur les grands corridors et par voie maritime. La Direction de communication de la douane a souligné l’importance de ces actions dans la lutte contre le trafic illicite de marchandises, contribuant ainsi à la préservation de la santé publique et à la sécurité nationale.

Tentative d’enlèvement déjouée : Un suspect avoue ses intentions suspectes

Une tentative d’enlèvement présumée a été avortée hier dans le quartier animé de Guédiawaye, suscitant l’indignation et la vigilance accrue des résidents locaux. L’incident, qui aurait pu avoir des conséquences tragiques, a été contrecarré grâce à l’intervention prompte d’un passant attentif.

Selon les rapports de police relayés par Les Échos, un individu, identifié comme M. D., aurait ciblé une jeune fille alors qu’elle accomplissait une simple commission pour ses parents au marché Boubess. L’homme aurait tenté d’amadouer la mineure en utilisant une ruse ingénieuse, prétendant vouloir lui offrir des vêtements pour l’anniversaire de sa propre fille, prétendument de la même taille.

Heureusement, la vigilance de la jeune fille a empêché la situation de dégénérer. Malgré les efforts insistants de M. D. pour la persuader de le suivre, elle a sagement mis fin à l’interaction, se méfiant de l’éloignement suspect de l’atelier de couture présumé. C’est à ce moment crucial qu’un passant, remarquant la situation troublante, est intervenu pour protéger la jeune fille et confronter l’individu suspect.

L’arrestation qui a suivi a révélé des déclarations choquantes de la part de M. D., qui aurait avoué ses penchants inquiétants envers les jeunes filles. Ses aveux ont jeté une lumière sinistre sur ses intentions présumées, suscitant l’indignation et l’inquiétude au sein de la communauté.

Cet incident rappelle l’importance de la vigilance collective et de la réactivité face aux menaces potentielles contre les plus vulnérables de notre société. Il souligne également le rôle crucial des autorités et des citoyens ordinaires dans la prévention et la dénonciation de tels actes répréhensibles.

Alors que M. D. fait face à des accusations graves, cet événement devrait servir de rappel poignant de la nécessité de rester vigilants et solidaires dans la protection de nos enfants contre les prédateurs dangereux.

Tentative d’immolation devant le tribunal de Manhattan alors que se poursuit le procès de Donald Trump

Un événement tragique a secoué les abords du tribunal de Manhattan vendredi dernier, alors qu’un individu a tenté de s’immoler par le feu. L’acte, dont les motivations restent encore floues, s’est déroulé peu de temps après que le jury complet a été sélectionné pour le procès de l’ancien président américain Donald Trump.

Selon les rapports, l’homme, dont l’identité n’a pas été révélée, s’est lui-même enflammé devant le tribunal. Des images publiées sur les réseaux sociaux montrent la victime transformée en torche vivante pendant plusieurs secondes avant de s’effondrer au sol. Les forces de l’ordre sont intervenues rapidement, utilisant un extincteur pour éteindre les flammes et porter assistance à l’homme.

Sur les lieux, une ambiance de confusion régnait, avec des vêtements brûlés jonchant le sol et une forte odeur de brûlé flottant dans l’air. Des ambulances étaient présentes pour prendre en charge la victime, dont l’état de santé demeure inconnu à ce stade.

Cet incident tragique s’est produit alors que le juge Juan Merchan proclamait que le jury complet était désormais prêt à juger Donald Trump. Ce dernier fait face à des accusations de paiements dissimulés visant à acheter le silence de l’actrice pornographique Stormy Daniels, juste avant l’élection présidentielle de 2016.

L’ancien président, candidat à sa propre succession, a exprimé son mécontentement quant au déroulement du procès, le qualifiant de « truqué » et dénonçant les restrictions imposées par le juge concernant ses interventions durant le procès.

Le procès de Donald Trump représente un moment crucial dans l’histoire judiciaire américaine, alors qu’il devient le premier ancien président à comparaître dans un procès pénal. Les enjeux sont élevés, avec la possibilité théorique d’une peine de prison pour l’ancien locataire de la Maison Blanche.

Quelle que soit l’issue de ce procès historique, il est indéniable que cela aura un impact sur le paysage politique américain, notamment en vue des prochaines échéances électorales.

Dakarnave : Les Travailleurs Dénoncent une Tentative de Mise à Mort de la Société

Le collectif des sous-traitants de Dakarnave a vivement critiqué, lors d’un point de presse tenu ce samedi, ce qu’il qualifie de « processus de liquidation de la société Dakarnave ». Cette liquidation imminente risque de plonger « près de 500 pères de famille dans la précarité », a déclaré Pape Aly Faye, coordinateur dudit collectif.

Le collectif pointe du doigt l’ancien ministre de la Pêche, Pape Sagna Mbaye, ainsi que le directeur général de la Société des Infrastructures et de Réparation Navale, Saliou Sambou. Selon Pape Aly Faye, ces responsables, en arguant que le contrat entre la société Dakarnave et l’État du Sénégal arrive à terme le 24 juin 2024, tentent de transférer la concession de ce chantier naval à une autre entreprise sans passer par un appel d’offres, violant ainsi de manière flagrante les règles de passation des marchés publics.

Les travailleurs, qui assurent effectuer 70% du travail au sein de la société, sont déterminés à défendre leur emploi. Ils lancent un appel aux nouvelles autorités ainsi qu’au député Guy Mohamet Sagna, connu pour son engagement envers les droits des travailleurs sénégalais, et à tous les citoyens, tant au Sénégal qu’à l’étranger, qui sont attachés à la justice, à se mobiliser pour contrecarrer ce complot contre Dakarnave.

Pour ces travailleurs, les 24 années de collaboration avec Dakarnave démontrent clairement la nécessité d’accorder à cette société un nouveau contrat de concession dans l’intérêt exclusif du Sénégal.

La situation reste tendue et les travailleurs de Dakarnave appellent à une action immédiate pour sauvegarder leurs emplois et préserver l’avenir de la société.

Thiaroye : Tentative d’égorgement sur fond de démence – La famille sous le choc

C. F., un homme de 51 ans, résidant à Thiaroye, est actuellement en garde à vue à la police locale après avoir tenté d’égorger ses deux filles âgées de 5 et 3 ans. L’horreur a été évitée de justesse grâce à l’intervention rapide de la police locale, qui a interrompu l’acte macabre.

Selon des informations exclusives de Seneweb, l’homme aurait séquestré ses deux enfants dans sa chambre avant de commencer à trancher la gorge de sa cadette, A. F. La fillette blessée a été immédiatement conduite aux soins intensifs de l’hôpital de Fann.

Les sources indiquent que C. F. aurait basculé dans la démence après son retour au Sénégal suite à un long séjour en France. Les Échos du jour rapportent que lors de ses crises, il terrorisait sa famille et proférait des menaces. En raison de son état mental, il avait suspendu ses activités commerciales et suivait un traitement à l’hôpital psychiatrique de Thiaroye, avec le soutien de son épouse.

Lors de sa dernière crise, l’homme aurait séquestré ses deux filles, criant le nom d’un membre de sa belle-famille et proférant des menaces. Il aurait accusé la famille de comploter contre lui et aurait averti qu’une tentative de le tuer aboutirait à deux cadavres dans la maison.

L’incident a plongé la famille dans le choc, mettant en lumière les défis liés à la santé mentale et à ses conséquences dévastatrices sur la vie familiale. Les autorités enquêtent sur l’affaire pour comprendre les circonstances exactes et déterminer les actions à entreprendre pour assurer la sécurité de tous les membres de la famille.

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