Drame à Golf Sud : Mort tragique lors de la Tabaski

La célébration joyeuse de la Tabaski dans la commune de Golf Sud a été ensombrie par un événement tragique qui a coûté la vie à M. Mbengue, un carreleur de 23 ans. Alors que sa famille s’apprêtait à terminer les festivités religieuses, l’incident s’est déroulé sur la plage de Malibu, laissant la communauté locale sous le choc.

Le jour sacré avait commencé comme tant d’autres pour la famille Mbengue, avec le sacrifice rituel d’un bélier suivi de prières. Cependant, après avoir jeté les restes du mouton à la mer, M. Mbengue ne revint pas à temps, provoquant l’inquiétude croissante de ses proches. Une recherche désespérée a mené à la découverte tragique de son corps, enveloppé dans une toile en plastique sur la plage.

Les autorités locales, alertées promptement, ont constaté qu’aucune blessure apparente ne marquait le corps de la victime. Cela a conduit à l’ouverture d’une enquête approfondie pour éclaircir les circonstances exactes de sa mort. Plusieurs théories ont été avancées, notamment une possible noyade accidentelle, une agression non déclarée, ou même un malaise soudain pendant l’élimination des déchets du mouton.

L’autopsie à venir devrait jouer un rôle crucial dans la recherche de réponses pour la famille endeuillée et la communauté bouleversée de Golf Sud. En attendant, le mystère persiste sur ce qui aurait pu causer la fin prématurée de M. Mbengue lors d’une journée traditionnellement empreinte de célébration et de recueillement.

Les Échos continuera de suivre de près l’évolution de cette affaire et fournira de nouveaux détails dès qu’ils seront disponibles.

Tragédie à Kaolack : Mort d’un peintre lors d’une altercation avec un ingénieur en génie civil

La quiétude de Koutal, une paisible localité de Kaolack, a été brutalement ébranlée par un événement tragique qui a plongé ses habitants dans la consternation. Le peintre I. Sangharé a été grièvement blessé lors d’une altercation avec l’ingénieur en génie civil, M. Faye, une dispute qui a malheureusement conduit à la perte de vie de Sangharé.

L’incident, survenu récemment, a rapidement pris une tournure tragique lorsque les tensions entre les deux hommes ont escaladé, entraînant des blessures fatales pour I. Sangharé. Malgré les efforts déployés par les médecins de l’hôpital local pour le sauver, Sangharé a succombé à ses blessures, plongeant la communauté locale dans un profond deuil.

Suite à cette tragédie, M. Faye a été placé en garde à vue par les autorités locales, accusé de coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Cette affaire pourrait avoir des conséquences juridiques sérieuses pour l’ingénieur en génie civil.

Les circonstances précises de l’altercation demeurent encore floues, et une enquête approfondie est en cours pour éclaircir les événements ayant conduit à cette issue tragique. Les autorités locales et les proches de la victime appellent à la justice et à la vérité dans cette affaire poignante qui a bouleversé la petite communauté de Koutal.

Horreur à Kaffrine : Une fillette de 2 ans égorgée par son oncle

La petite ville de Kaffrine est sous le choc après un acte d’une violence inouïe : un jeune homme, identifié comme étant l’oncle de la victime, a égorgé une fillette âgée seulement de 2 ans. Selon les rapports de Bës Bi le jour, l’individu, qui était étudiant à l’UGB, aurait des antécédents de troubles psychiatriques, ce qui laisse penser à un acte commis dans un état de déséquilibre mental.

L’incident a plongé la communauté locale dans la consternation et l’incompréhension. Le corps sans vie de la petite fille a été transporté à l’hôpital régional Thierno Brahim Ndao de Kaffrine, tandis que l’auteur présumé de cet acte abominable a été appréhendé et placé en détention.

Les autorités locales ainsi que la population de Kaffrine sont profondément choquées par cette tragédie, et des questions sur la sécurité et la santé mentale de l’agresseur présumé commencent à émerger. Une enquête approfondie est attendue pour comprendre les circonstances exactes de ce crime atroce et pour assurer que justice soit rendue pour la jeune victime innocente.

Risque de dix ans de réclusion pour un récidiviste de vol avec arme à Diourbel

Modou Awa Balla Seck, déjà condamné à cinq ans de prison ferme pour des actes de vol avec violence et usage d’arme à Touba, pourrait voir sa peine s’alourdir. Accusé cette fois-ci de vol avec usage d’arme et association de malfaiteurs, il risque jusqu’à dix ans de réclusion criminelle. Face au juge de la Chambre criminelle de Diourbel ce mardi 28 mai, Seck et son gang ont nié les faits qui leur sont reprochés, notamment le cambriolage d’une station-service “MKA Excellence” à Touba en octobre 2019. Lors de cette opération, une importante somme d’argent ainsi qu’un véhicule 4×4 ont été dérobés au gérant de la station. Le verdict sera rendu le 24 juin prochain, mettant fin à l’incertitude pesant sur le sort de ces accusés.

Tragédie à Sébikotane : Deux jeunes périssent dans un accident de la circulation

La commune de Sébikotane est plongée dans le deuil après un tragique accident de la circulation survenu dimanche soir, le 26 mai 2024, aux alentours de 22 heures, dans le quartier de Sebi Ponty. Cet incident a coûté la vie à deux jeunes habitants du quartier de Sebi Thiokho : Dieylani Ciss et son compagnon Assane Diop.

Les deux amis circulaient à bord d’une moto lorsqu’ils ont été violemment heurtés par une voiture roulant à vive allure. Dieylani Ciss est décédé sur le coup, tandis que Assane Diop, grièvement blessé, a succombé à ses blessures peu après. Selon une source familiale, la collision a été d’une telle violence que les jeunes n’ont eu aucune chance de survie.

La nouvelle de l’accident a profondément bouleversé la communauté de Sébikotane. Les habitants de Sebi Thiokho pleurent la perte de deux jeunes prometteurs, dont les vies ont été tragiquement écourtées. Dieylani et Assane étaient bien connus et appréciés dans leur quartier, et leur disparition laisse un vide immense au sein de la communauté.

Les proches des victimes et les témoins de l’accident sont encore sous le choc. Une source familiale a décrit la scène comme “horrible” et a exprimé sa profonde tristesse face à la perte de ces jeunes vies. “C’est une tragédie indescriptible. Nous sommes tous bouleversés. Dieylani et Assane étaient comme des frères pour nous tous ici”, a déclaré un voisin ému.

Cet accident tragique met en lumière une fois de plus les dangers de la route et l’importance de la prudence en matière de conduite. Les autorités locales et les organisations de sécurité routière ont renouvelé leurs appels à la vigilance et au respect des règles de circulation. La communauté de Sébikotane espère que ce drame servira de rappel aux conducteurs pour qu’ils adoptent une conduite responsable afin d’éviter de telles tragédies à l’avenir.

Les forces de l’ordre ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de l’accident. Des témoins sont interrogés et des relevés de la scène de l’accident sont effectués pour établir les responsabilités. Les familles des victimes espèrent que l’enquête permettra de faire toute la lumière sur cet événement tragique et d’apporter une forme de justice pour Dieylani et Assane.

Les préparatifs des funérailles sont en cours, et la communauté s’organise pour soutenir les familles des victimes dans cette épreuve difficile. Des collectes de fonds et des cérémonies de commémoration sont prévues pour rendre hommage à Dieylani Ciss et Assane Diop, dont la mémoire restera gravée dans le cœur des habitants de Sébikotane.

Tragédie à Dahra Djoloff : Un Enfant de Trois Ans Mortellement Fauché par un Véhicule “Wopouyaha”

Un drame a secoué le quartier de Loumbal à Dahra Djoloff ce jeudi après-midi. Un enfant de trois ans a été mortellement heurté par un véhicule de type “wopouyaha” (signifiant “laisse le s’en aller” en pulaar), alors qu’il traversait une piste latéritique en chantier pour se rendre dans une boutique du quartier.

Selon des sources sécuritaires, l’accident est survenu aux environs de 14 heures. Le véhicule en cause roulait à vive allure sur la piste latéritique en cours de construction. L’enfant, en traversant cette route dangereuse, a été violemment percuté.

Le conducteur du véhicule a immédiatement réagi en évacuant l’enfant vers le centre de santé de Dahra Djoloff. Malheureusement, malgré les efforts des médecins, l’enfant a succombé à ses blessures peu après son admission. Le Dr Abdou Ndiaye, médecin-chef du district sanitaire de Dahra Djoloff, a confirmé le décès tragique.

L’accident a plongé la communauté de Loumbal dans l’effroi et la consternation. Les résidents du quartier, bouleversés par cette perte tragique, se sont rassemblés sur les lieux de l’accident, exprimant leur douleur et leur colère face à cet événement tragique.

Le conducteur du véhicule a été immédiatement placé en garde à vue par les autorités pour les besoins de l’enquête. Les circonstances exactes de l’accident seront scrutées pour déterminer les responsabilités et éventuellement tirer les leçons nécessaires pour éviter de tels drames à l’avenir.

Cet accident soulève une fois de plus la question cruciale de la sécurité routière, en particulier dans les zones en chantier et sur les pistes non bitumées. Les autorités locales et les associations de sécurité routière sont appelées à intensifier leurs efforts de sensibilisation et de prévention pour éviter de nouvelles tragédies.

La perte de cet enfant rappelle tragiquement l’importance de la vigilance et de la prudence sur les routes, surtout dans les zones résidentielles et en chantier où les risques d’accidents sont élevés.

La communauté de Dahra Djoloff est en deuil suite à cette tragédie qui a coûté la vie à un jeune enfant. Alors que l’enquête se poursuit, il est crucial de renforcer les mesures de sécurité routière pour protéger les plus vulnérables, notamment les enfants, et prévenir de tels drames à l’avenir. Les autorités locales doivent travailler en étroite collaboration avec les résidents pour améliorer la sécurité des infrastructures routières et assurer la protection de tous.

Tragédie à la plage de Mermoz : Un adolescent emporté par les vagues

Une vague de tristesse a submergé la communauté de Mermoz alors qu’un jeune élève, M.F. Touré, âgé d’une quinzaine d’années, a tragiquement perdu la vie, emporté par les flots hier à la plage de Mermoz. Ce drame, survenu lors d’une sortie entre camarades de classe, a laissé la communauté en deuil et sous le choc.

Selon les informations recueillies par Les Echos, M.F. Touré et plusieurs de ses camarades avaient décidé de profiter d’une journée ensoleillée pour se rendre à la plage de Mermoz, un lieu prisé des jeunes pour ses belles étendues de sable et ses eaux accueillantes. Cependant, cette journée de détente a tourné au cauchemar.

Alors que le groupe d’amis se baignait, des vagues puissantes ont subitement frappé la côte, emportant M.F. Touré vers le large. Malgré les tentatives désespérées de ses camarades et des personnes présentes sur la plage pour le secourir, le jeune garçon a rapidement disparu sous les vagues. Les services de secours, alertés immédiatement, ont entamé des recherches intensives, mais n’ont pu retrouver le jeune adolescent à temps.

Cette tragédie a plongé la communauté scolaire de M.F. Touré dans une profonde tristesse. Ses camarades de classe, ses enseignants et l’ensemble du personnel éducatif sont bouleversés par cette perte soudaine. “C’était un élève brillant et plein de vie, toujours prêt à aider les autres. Sa disparition est un choc pour nous tous”, a déclaré un de ses enseignants.

Les autorités locales ont exprimé leur solidarité avec la famille de M.F. Touré en cette période difficile. “Nous sommes tous attristés par ce tragique événement. Nos pensées et nos prières vont à la famille du jeune Touré. Nous devons rester unis en ces moments de douleur”, a déclaré un responsable municipal.

Cette tragédie met également en lumière les dangers potentiels des activités nautiques, en particulier pour les jeunes. Les autorités locales et les services de secours rappellent l’importance de la vigilance et de la prudence lorsqu’on se rend à la plage, en insistant sur la nécessité de respecter les consignes de sécurité et de surveiller les conditions météorologiques et maritimes.

La communauté de Mermoz se mobilise pour apporter son soutien à la famille de M.F. Touré. Des veillées de prière et des collectes de fonds sont organisées pour aider ses proches à traverser cette épreuve. “C’est dans ces moments de tristesse que notre solidarité et notre compassion doivent s’exprimer pleinement”, a souligné un membre de la communauté.

La plage de Mermoz, habituellement un lieu de joie et de détente, est désormais marquée par cette tragédie. Les habitants et les visiteurs sont invités à faire preuve de prudence et à veiller les uns sur les autres pour prévenir de tels drames à l’avenir.

Incendies mystérieux ravagent le village de Thiemping

Les habitants du village de Thiemping, dans le département de Matam, sont plongés dans l’angoisse alors que des flammes dévastatrices continuent de réduire en cendres plusieurs maisons depuis maintenant 21 jours. Malgré leurs efforts désespérés, utilisant des sceaux et des bassines pour tenter d’éteindre les incendies, l’absence des sapeurs-pompiers est vivement dénoncée.

Des témoins ont partagé leurs inquiétudes avec Sud Quotidien, exprimant leur frustration face à la situation catastrophique. “Nous utilisons tous les moyens à notre disposition pour lutter contre les flammes”, témoigne l’un des habitants. “Mais sans l’intervention des sapeurs-pompiers, nos efforts sont vains.”

Face à l’impuissance des autorités, les populations locales se sont organisées temporairement pour faire face à cette crise sans précédent. Cependant, l’origine de ces incendies demeure un mystère, alimentant les spéculations et les interrogations au sein de la communauté.

Alors que le village de Thiemping lutte pour sa survie, les habitants restent sur le qui-vive, redoutant chaque nouvelle flambée. En attendant des réponses, l’incertitude règne, laissant planer une atmosphère de peur et d’incertitude sur cette communauté autrefois paisible.

Tragédie à la gare routière de Keur Massar : Un homme s’effondre et meurt subitement

Une atmosphère de tristesse et de consternation enveloppe la gare routière des cars Ndiaga Ndiaye de Keur Massar suite au décès subit d’un homme survenu dans la nuit du samedi dernier.

Selon les informations recueillies par Seneweb, la victime, un homme dont l’identité reste encore inconnue, a été retrouvée morte avec un sac à dos contenant ses effets personnels.

Les autorités ont été alertées vers 21 heures, et les gendarmes de la Brigade territoriale du 46e département du Sénégal se sont rapidement rendus sur les lieux pour procéder au constat.

D’après les témoignages recueillis par les forces de l’ordre, la victime marchait dans la gare routière avant de s’écrouler subitement. Âgé entre 30 et 40 ans, l’homme n’avait ni pièce d’identité ni téléphone portable sur lui.

Son corps sans vie a été transporté à la morgue du centre de santé de Keur Massar, où il reste en attente d’identification.

Une enquête a été ouverte pour élucider les circonstances exactes de ce décès brutal, alors que la communauté locale est plongée dans le deuil et cherche des réponses à cette tragédie inattendue.

Les tirs de joie au Tchad : entre liesse et tragédie, la liberté de la presse en question

Les réjouissances qui ont suivi l’élection de Mahamat Idriss Déby au Tchad ont été entachées par une série de tirs d’armes automatiques, provoquant la mort d’au moins une dizaine de personnes et de nombreux blessés. Dans un climat d’effervescence et de tension, ces événements ont mis en lumière les défis auxquels est confrontée la liberté de la presse dans le pays.

Malgré l’ampleur de la tragédie, le ministère de la Santé a émis une circulaire interdisant aux hôpitaux de divulguer des informations aux médias concernant les victimes. Cette décision a suscité l’indignation des syndicats de la presse, qui dénoncent une grave menace à la liberté d’expression et au droit du public à l’information.

Le patronat de la presse tchadienne a exprimé sa consternation face à cette mesure, soulignant l’importance cruciale de la transparence et de l’accès à l’information dans un contexte aussi critique. De même, l’Union des journalistes tchadiens a dénoncé cette action comme une entrave flagrante à la liberté de la presse, mettant en garde contre les conséquences d’une telle restriction sur le pluralisme médiatique et la démocratie.

Face à ces critiques, le ministre Abderaman Koulamallah, porte-parole du gouvernement, a justifié cette décision en invoquant le secret médical et le respect de la dignité humaine. Toutefois, il a reconnu que les “tirs de joie” étaient excessifs et a exprimé des regrets, promettant la publication d’un bilan complet dans les prochaines 24 heures.

Cette réponse du gouvernement n’a cependant pas dissipé les inquiétudes quant à la transparence et à la liberté d’information dans le pays. Alors que la situation reste tendue, il est impératif que les autorités tchadiennes prennent des mesures pour garantir la sécurité des citoyens et la liberté des médias dans cette période critique.

Tragédie à Saint-Louis : Deux enfants perdent la vie dans l’effondrement d’une maison à City Niakh

La communauté de Saint-Louis, dans le quartier de City Niakh, est plongée dans le deuil suite à la tragique perte de deux jeunes enfants dans un incident d’effondrement de maison survenu ce samedi à l’aube.

Cet événement dévastateur a secoué la ville et soulevé des préoccupations quant à la sécurité des habitations vétustes dans les zones urbaines.

L’incident s’est produit alors que les résidents envisageaient de quitter leur domicile en raison de son état de délabrement avancé. Selon les témoins oculaires, la catastrophe s’est produite aux alentours de 06 heures du matin.

Les deux jeunes filles, âgées de quatre et six ans, étaient présentes avec leur mère au moment du drame. Malheureusement, elles ont perdu la vie sur le coup. Quant à leur mère, grièvement blessée, elle a été immédiatement évacuée vers l’hôpital pour recevoir des soins médicaux.

Cet événement tragique rappelle l’importance cruciale de garantir la sécurité des habitations dans les zones urbaines, en particulier celles qui présentent des signes de vétusté et de fragilité structurelle. Les autorités locales sont appelées à enquêter sur les circonstances exactes de l’effondrement et à prendre des mesures pour prévenir de telles tragédies à l’avenir.

En cette période de deuil, la communauté de Saint-Louis se rassemble pour soutenir la famille endeuillée et exprimer sa solidarité envers ceux qui ont été touchés par cette perte tragique.

Nouvelle Tragédie en Mer : 32 Passagers Secourus, Deux Morts Retrouvés près de Gandiole

La mer continue de représenter un danger mortel pour ceux qui entreprennent le voyage périlleux à travers les eaux tumultueuses. Aujourd’hui, une nouvelle tragédie a été évitée de justesse grâce à l’intervention rapide de l’équipe de la Base navale Nord.

Une pirogue a été repérée à l’approche de Gandiole cet après-midi, déclenchant une réponse immédiate des autorités maritimes. À leur arrivée sur les lieux, les secouristes ont découvert 32 passagers à bord, ainsi que deux corps sans vie. Les occupants semblaient exténués après avoir passé une semaine entière en mer, exposés aux éléments.

Les survivants ont été rapidement pris en charge et transférés vers des structures hospitalières pour recevoir les soins nécessaires. Cependant, cette tragédie souligne une fois de plus les dangers mortels auxquels sont confrontés les migrants qui tentent la traversée périlleuse de la mer, souvent dans des conditions extrêmement précaires.

Malgré les efforts déployés par les autorités pour prévenir de telles catastrophes et pour sauver des vies en mer, le phénomène du Barsa ou Barsakh reste une réalité tragique. Ces événements rappellent l’importance de renforcer les mesures de sécurité en mer et de lutter contre les réseaux de trafic d’êtres humains qui exploitent la vulnérabilité des migrants.

Alors que nous pleurons les pertes de vies humaines et exprimons notre solidarité envers les survivants, il est impératif de redoubler d’efforts pour mettre fin à cette tragédie qui continue de se jouer en mer.

Tragédie en Mer : Plus de 1 500 Morts dans la Migration Irrégulière au Cours des Quatre Premiers Mois de l’Année

La crise de la migration irrégulière continue de faire des ravages, avec un bilan déchirant de plus de 1 500 décès signalés au cours des quatre premiers mois de cette année. Ces chiffres poignants soulignent les dangers mortels auxquels sont confrontés les migrants qui entreprennent des voyages périlleux à travers les frontières, souvent dans des conditions extrêmement précaires et dangereuses.

En parallèle de ces pertes humaines tragiques, près de 15 000 survivants ont été recensés, mettant en lumière l’ampleur de la crise humanitaire qui se déroule sur les routes migratoires. Ces survivants portent les cicatrices physiques et émotionnelles des épreuves endurées lors de leur voyage, souvent marquées par la violence, la peur et la détresse.

Pourtant, malgré ces drames déchirants, la vague d’arrivées de migrants ne montre aucun signe d’essoufflement. Un autre bateau, en provenance d’Afrique subsaharienne, a accosté hier, jeudi 3 mai 2024, au port d’Arguinegun, situé au sud de Las Palmas. Cette nouvelle arrivée témoigne de la persistance des flux migratoires massifs, malgré les dangers et les obstacles rencontrés en mer.

Cette situation soulève des préoccupations humanitaires majeures et appelle à une action concertée au niveau international. Il est impératif de s’attaquer aux causes profondes de la migration forcée, de fournir une assistance humanitaire aux personnes en détresse en mer et de renforcer la coopération entre les pays d’origine, de transit et de destination. Seule une approche coordonnée et solidaire peut permettre de promouvoir des solutions durables et respectueuses des droits de l’homme pour les migrants, tout en évitant de nouvelles tragédies en mer.

Tragédie maritime au large des côtes d’El Hierro : Mbour pleure la perte de ses résidents

Une nouvelle des plus déchirantes a frappé la communauté de Mbour alors qu’elle pleure la perte de plusieurs de ses propres résidents dans une tragédie maritime au large des côtes d’El Hierro, en Espagne.

Les habitants de Mbour sont plongés dans le deuil alors qu’ils pleurent la perte de leurs proches et compatriotes dans cette catastrophe. Le quartier Tefess de Mbour, d’où sont originaires de nombreux disparus, est désormais empreint de douleur et de chagrin, ayant vu partir tant d’espoirs en quête d’un avenir meilleur.

Selon Mbour Justice, la majorité des victimes étaient des habitants du quartier Tefess de Mbour, mettant en lumière le lourd tribut que les communautés côtières paient souvent dans leur quête de nouvelles opportunités et d’une vie meilleure.

D’après cette même source, la pirogue partie de Mbour il y a plus d’une semaine a chaviré au large d’El Hierro, en Espagne. Ce drame souligne les dangers inhérents aux traversées maritimes effectuées par de nombreuses personnes dans l’espoir de trouver une vie meilleure, et rappelle la nécessité de mesures pour prévenir de telles tragédies à l’avenir.

Nouvelle tragédie pour la communauté sénégalaise au Brésil : Mortalla Mbaye retrouvé mort après une perquisition policière

Une perquisition policière à São Paulo, au Brésil, a pris une tournure tragique avec la mort de Mortalla Mbaye, un émigré sénégalais âgé d’une trentaine d’années, originaire de Touba. Le drame a suscité l’indignation parmi ses compatriotes résidant au Brésil, qui accusent les autorités policières d’avoir tué Mbaye et d’avoir tenté de dissimuler leur crime en simulant un suicide.

El Hadj Ndiaye et d’autres membres de la communauté sénégalaise au Brésil ont vivement réagi à cet événement tragique, appelant les nouvelles autorités sénégalaises à prendre des mesures fermes face à ce qu’ils qualifient de série de bavures policières dans le pays sud-américain. Selon leurs témoignages, Mortalla Mbaye aurait été retrouvé au niveau du 6e étage, dans des circonstances troublantes, sans qu’aucun mandat de perquisition ne soit présenté par les policiers.

Les accusations portées par la communauté sénégalaise au Brésil font écho à un précédent incident survenu le 11 février 2024, lorsque Mamadou Touré, un autre ressortissant sénégalais, avait été assassiné dans la ville de Caxias do Sul. Ces événements soulèvent des préoccupations croissantes quant à la sécurité et au traitement des émigrés sénégalais au Brésil.

Face à ces allégations graves, il est impératif que les autorités brésiliennes mènent une enquête approfondie et transparente pour faire toute la lumière sur les circonstances entourant la mort de Mortalla Mbaye. De même, il est essentiel que les autorités sénégalaises prennent des mesures pour protéger leurs ressortissants et garantir leur sécurité à l’étranger.

En ces temps difficiles, nos pensées vont à la famille et aux proches de Mortalla Mbaye, ainsi qu’à toute la communauté sénégalaise au Brésil, qui est confrontée à cette douloureuse épreuve.

Tragédie à Yeumbeul-Sud : Un Enfant de 6 Ans Retrouvé Mort Sous les Décombres

Dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 avril 2024, un événement tragique a secoué le quartier Médinatoul Mounawara de la commune de Yeumbeul-Sud. Le corps sans vie de Mbaye Guèye, âgé de seulement 6 ans, a été découvert sous les décombres après l’effondrement d’une dalle.

Selon les premières informations recueillies, le drame s’est déroulé dans l’une des chambres situées au rez-de-chaussée de la maison où résidait la famille Guèye. La dalle s’est écroulée subitement, prenant au dépourvu tous les membres de la famille présents à l’intérieur. Le père et la mère de l’enfant ont miraculeusement survécu, bien que grièvement blessés. Le père souffre de fractures à la tête et de blessures aux côtes, tandis que la mère a été blessée au pied droit.

Le corps de Mbaye Guèye a été transporté à la morgue de l’hôpital de Pikine pour les procédures nécessaires. La police a ouvert une enquête afin de déterminer les circonstances exactes de cet accident tragique.

Cette terrible tragédie endeuille la communauté de Yeumbeul-Sud et suscite une profonde émotion parmi les habitants. Nos pensées et nos prières accompagnent la famille Guèye dans cette période de deuil et de douleur.

Tragédie en mer à Yeumbeul Nord : Deux collégiens emportés par les vagues

La commune de Yeumbeul Nord est plongée dans le deuil après avoir été frappée par deux tragédies en mer. Après quatre jours de recherches intenses, le corps sans vie de Faty Sy a été retrouvé ce matin sur la plage de Gadaye. Elle et Pape Cheikh ont été emportés par les vagues de l’océan, laissant derrière eux un sentiment de chagrin et de désolation.

La disparition de ces deux collégiens a provoqué une onde de choc à Yeumbeul, plongeant les familles et les amis dans un état de consternation et de douleur profonde. Malgré les efforts acharnés des équipes de recherche, l’issue est tragique pour les deux familles, confrontées à la perte insurmontable de leurs proches.

En ces moments difficiles, la communauté de Yeumbeul Nord se rassemble pour soutenir les familles endeuillées et pour exprimer sa solidarité. Nos pensées vont aux proches de Faty Sy et de Pape Cheikh, ainsi qu’à tous ceux qui sont touchés par cette tragédie.

Tragédie sur un chantier à Keur Massar : Un maçon trouve la mort dans des circonstances déchirantes

Un drame s’est déroulé sur un chantier de construction à Keur Massar, plongeant la communauté du bâtiment dans la consternation. Un maçon a perdu la vie dans des circonstances déchirantes, mettant en lumière les risques inhérents au métier et l’importance cruciale de la sécurité sur les lieux de travail.

Selon des sources proches de l’enquête rapportées par Seneweb, le tragique incident s’est produit après une intense activité au deuxième étage d’un immeuble en chantier. Après des heures de labeur, le maçon aurait trouvé un moment de repos et s’est endormi sur son lieu de travail.

Au réveil, alors qu’il tentait de rejoindre le rez-de-chaussée en empruntant les escaliers, le maçon aurait chuté accidentellement, ce qui lui aurait été fatal. Les circonstances exactes de l’accident restent encore à déterminer, mais cette tragédie a laissé une famille en deuil et un chantier bouleversé.

Les autorités locales ont rapidement réagi à cet événement en envoyant sur place les gendarmes de la brigade territoriale de Keur Massar. Leur intervention a permis de constater les faits et d’ouvrir une enquête afin de faire la lumière sur les circonstances de ce drame et d’établir d’éventuels manquements à la sécurité sur le chantier.

Le corps sans vie du maçon a été pris en charge par les pompiers et transféré à la morgue, tandis que l’enquête se poursuit pour comprendre les tenants et les aboutissants de cette tragédie. Cet incident rappelle cruellement les dangers auxquels sont exposés les travailleurs du bâtiment et souligne l’urgence de renforcer les mesures de sécurité sur les chantiers de construction pour prévenir de telles tragédies à l’avenir.

Une tragédie frappe Kédougou : Décès d’une lycéenne dans un accident de la route

La ville de Kédougou est endeuillée suite à un accident d’une rare violence survenu mardi, ayant entraîné la perte tragique d’une lycéenne nommée Mamy Cissokho. L’adolescente, élève en classe de terminale, a perdu la vie dans cet accident dévastateur qui a également laissé deux personnes grièvement blessées et hospitalisées en urgence au centre hospitalier régional Amath Dansokho.

Les détails entourant les circonstances de cet accident restent encore à déterminer, mais selon les premières informations, la jeune Mamy Cissokho se trouvait à bord d’une moto conduite par son frère lorsqu’ils sont entrés en collision avec un véhicule. Malheureusement, l’adolescente est décédée sur le coup, plongeant sa famille, ses proches et la communauté scolaire dans une profonde consternation.

Les habitants de Kédougou sont choqués par cette perte tragique, décrivant Mamy Cissokho comme une élève exemplaire, ambitieuse, disciplinée, toujours souriante et d’une générosité débordante. Sa disparition laisse un vide immense dans le cœur de tous ceux qui l’ont connue et aimée.

Les autorités locales, représentées par les éléments du commissariat central de Kédougou, ont ouvert une enquête pour éclaircir les circonstances exactes de cet accident et déterminer les responsabilités éventuelles. En attendant les conclusions de cette enquête, la communauté de Kédougou pleure la perte tragique de Mamy Cissokho et apporte son soutien à sa famille et à ses proches dans cette période de deuil difficile.

Tragédie à Yeumbeul Nord : Un Jeune Homme Victime d’une Agression Mortelle

Dans la nuit du 16 au 17 avril, une scène d’horreur a ébranlé la quiétude de Yeumbeul Nord, plus précisément dans le quartier Alou Baay Niaakh, alors qu’un jeune homme répondant au nom de P. Diaw a été violemment agressé, entraînant tragiquement sa mort. L’événement a plongé la communauté locale dans le deuil et l’indignation face à cette perte inattendue et inexcusable.

Selon les informations rapportées par Yeumbeul TV, les détails entourant les circonstances de cette agression demeurent encore flous, laissant la communauté dans l’incertitude quant au motif de ce crime abominable. Cette situation laisse un sentiment de vulnérabilité et de peur parmi les habitants, confrontés à la réalité brutale de la violence qui a frappé leur quartier.

Dans de tels moments de tragédie, il est essentiel que les autorités prennent des mesures immédiates et décisives pour enquêter sur cet acte criminel, identifier les coupables et les traduire en justice. La sécurité des résidents de Yeumbeul Nord doit être une priorité absolue, et des efforts concertés doivent être déployés pour prévenir de futurs incidents similaires et garantir la tranquillité publique.

La perte d’un jeune membre de la communauté est une tragédie incommensurable, et nos pensées vont à la famille et aux proches de la victime, confrontés à une douleur inimaginable. Dans ces moments de deuil, il est impératif que la solidarité et le soutien se manifestent au sein de la communauté pour surmonter cette épreuve ensemble.

Nous espérons que les autorités compétentes prendront rapidement des mesures pour résoudre cette affaire et que la lumière sera faite sur cette tragédie afin que justice soit rendue. En attendant, la communauté de Yeumbeul Nord reste unie dans le deuil et dans la détermination à faire en sorte que de tels actes de violence ne se reproduisent plus dans leur quartier paisible.

Tragédie au Mozambique : Deux naufrages en une semaine, plus d’une centaine de victimes

Au Mozambique, une nouvelle tragédie frappe durement une famille, avec la disparition de huit de ses membres dans un naufrage sur le fleuve Zambèze. Les autorités locales de la province centrale de Sofala ont confirmé l’accident survenu en début de semaine. Sur les douze personnes à bord de l’embarcation, seules deux ont réussi à échapper à la mort. Les recherches se poursuivent intensivement pour retrouver les deux disparus.

Ce drame survient à peine une semaine après un autre naufrage dévastateur. Le chavirement d’un bateau de pêche surchargé avait alors causé la mort de 98 passagers, entraînant une période de deuil national et suscitant une vague d’émotion à l’échelle internationale. Parmi les victimes figuraient de nombreux enfants. Selon certaines informations, les passagers tentaient de fuir des rumeurs de propagation du choléra, une épidémie qui sévit au Mozambique et qui a affecté près de 15 000 personnes depuis octobre dernier.

La situation au Mozambique est d’autant plus préoccupante que le pays fait déjà face à une épidémie de choléra qui a touché une grande partie de sa population. La crise sanitaire, combinée à la pauvreté endémique du pays, contribue à l’aggravation de ces catastrophes maritimes.

Ces tragédies répétées soulèvent des questions urgentes sur la sécurité maritime et les conditions de vie des populations au Mozambique. Il est essentiel que des mesures soient prises rapidement pour améliorer la sécurité des embarcations et renforcer la prévention des risques, tout en fournissant un soutien adéquat aux victimes et à leurs familles.

Le Mozambique traverse une période particulièrement sombre, avec deux naufrages majeurs en l’espace d’une semaine. Face à ces tragédies, il est crucial que la communauté internationale apporte son soutien au pays pour faire face à ces crises, tant sur le plan humanitaire que sanitaire.

Une tragédie sur la route de Dialico : Une jeune fille de 9 ans fauchée par un camion à Gouloumbou

Ce lundi, une terrible tragédie s’est produite sur la route de Dialico, près des plantations de bananeraies de Gouloumbou. T.D, une fillette de seulement 9 ans, a perdu la vie dans un accident de la route alors qu’elle rentrait chez elle après une partie de cueillette de mangues avec ses amis.

Le drame s’est déroulé aux alentours de 16 heures. La jeune victime, traversant la route pour rejoindre sa maison, a été mortellement fauchée par un camion. Les autorités locales, alertées rapidement, se sont rendues sur les lieux de l’accident. Après les constatations d’usage, le corps sans vie de la fillette a été transporté à la morgue du centre hospitalier universitaire régional de Tambacounda.

Le chauffeur du camion impliqué dans l’accident a été arrêté et placé sous mandat de dépôt pour homicide involontaire. Cette arrestation souligne l’importance de la prudence et de la responsabilité des conducteurs sur nos routes, particulièrement dans les zones fréquentées par des enfants.

Chaque accident de ce type rappelle la vulnérabilité des piétons, en particulier des enfants, et l’urgence de renforcer les mesures de sécurité routière. Les plantations de bananeraies et autres zones agricoles sont souvent le théâtre d’activités pour les enfants après l’école ou pendant les vacances. Il est crucial que des mesures de sécurité appropriées soient mises en place pour protéger ces zones et réduire les risques d’accidents.

En cette période de deuil pour la communauté de Gouloumbou, notre pensée va à la famille et aux proches de la jeune T.D. Cet accident tragique doit servir de rappel à tous sur l’importance de la sécurité routière et de la prudence lors de la conduite, pour éviter de telles tragédies à l’avenir.

Tragédie à Thiombé : Une soirée entre amis tourne au drame, plongeant un village dans le deuil

La quiétude habituelle de Thiombé, petit village sénégalais, a été brusquement troublée par un événement tragique qui a endeuillé toute la communauté. Ce qui aurait dû être une soirée paisible autour d’un thé s’est transformé en cauchemar lorsque l’échange tendu entre deux amis a basculé dans l’horreur, entraînant la mort de M. Ba, âgé de seulement 28 ans.

L’atmosphère de convivialité qui régnait initialement a rapidement laissé place à une dispute de plus en plus acerbe entre M. Ba et K. Ka, se transformant finalement en altercation physique fatale pour M. Ba. Cette soudaine escalade de violence a laissé la communauté de Thiombé sous le choc, confrontée à un deuil inattendu et dévastateur.

Les autorités locales, représentées par la Gendarmerie de Linguère, ont rapidement réagi en arrêtant le suspect présumé, tandis que le corps de la victime a été rapidement inhumé, plongeant le village dans une atmosphère de tristesse et de consternation.

Cet événement tragique met en lumière la fragilité de la cohésion sociale au sein des communautés rurales et rappelle les conséquences dévastatrices que peuvent avoir les conflits interpersonnels. Une simple soirée entre amis a pris une tournure irréparable, laissant derrière elle des questions sans réponse et une communauté en deuil, cherchant à comprendre comment une situation si banale a pu aboutir à une perte aussi tragique.

Dans cette période de deuil et de questionnements, il est essentiel que la communauté de Thiombé se soutienne mutuellement et cherche des réponses, tout en œuvrant à renforcer les liens qui les unissent et à prévenir de futurs drames de cette nature.

Tragédie à Baye Laye : Un tailleur poignardé à mort lors d’une altercation

Une tragédie a frappé le quartier de Baye Laye, situé dans la commune de Wakhinane Nimzatt à Guédiawaye, dans la banlieue de Dakar. Selon le journal Les Échos, un tailleur du nom de Ndioula Guèye a été mortellement poignardé par un individu en fuite identifié comme P. M. Cissé, décrit comme un drogué notoire dans le quartier.

Les faits se sont déroulés suite à une altercation entre le suspect et une vendeuse de petit-déjeuner du quartier. P. M. Cissé aurait demandé à la gérante de lui éplucher des oignons devant sa gargote, mais celle-ci, occupée par d’autres tâches, aurait ignoré sa demande. L’homme, visiblement ivre, aurait réitéré sa demande de manière agressive, avant de proférer des menaces et des insultes envers la vendeuse.

Face à cette situation tendue, la vendeuse a riposté, ce qui a provoqué une réaction encore plus violente de la part de Cissé. Le tailleur, qui avait son atelier à proximité, est intervenu pour calmer les esprits. Malheureusement, cela lui a coûté la vie.

En effet, dans un accès de rage, P. M. Cissé aurait sorti un couteau et aurait porté un coup violent au niveau du cœur de Ndioula Guèye. Après cet acte terrible, l’agresseur a pris la fuite, laissant la victime, âgée de 35 ans, succomber à ses blessures.

Malgré son évacuation rapide, le tailleur n’a pas survécu à ses blessures. La police locale a ouvert une enquête pour élucider les circonstances exactes de ce drame. Les autorités sont activement à la recherche du fugitif, décrit comme un malfaiteur connu et un consommateur de drogues dans le quartier.

Ce tragique incident souligne une fois de plus les défis auxquels sont confrontées les communautés locales en matière de sécurité et de coexistence pacifique, mettant en évidence la nécessité d’une intervention rapide et efficace des autorités pour prévenir de tels drames à l’avenir.

Tragédie à Wakhinan Nimzatt : Un Jeune Poignardé Mortellement lors d’une Altercation

Une scène tragique a secoué le quartier Baye Laye de Wakhinan Nimzatt, où un jeune homme dans la vingtaine a perdu la vie suite à une altercation qui a dégénéré en acte de violence mortel. Selon les rapports de Seneweb, le drame a débuté par une dispute entre la victime et un autre individu, culminant avec ce geste irréversible.

La situation a pris une tournure fatale lorsque son antagoniste, dans un élan de violence, lui a porté un coup de couteau, entraînant des blessures graves. Malgré les tentatives désespérées des secours pour stabiliser son état, la victime a succombé à ses blessures peu de temps après son admission à l’hôpital.

Face à cette tragédie, les autorités policières locales de Wakhinane Nimzatt ont immédiatement ouvert une enquête afin de retrouver le présumé meurtrier. L’objectif est de traduire en justice l’auteur présumé de cet acte choquant et de garantir que la lumière soit faite sur les circonstances exactes de cette altercation tragique.

Cette douloureuse affaire soulève une fois de plus la nécessité de promouvoir la résolution pacifique des conflits et de sensibiliser sur les conséquences dévastatrices de la violence. Elle met également en évidence le rôle crucial des autorités pour assurer la sécurité et le bien-être des citoyens, ainsi que l’importance d’une réponse rapide et efficace face à de tels événements.

En ces moments de deuil et de chagrin pour la famille et les proches de la victime, la communauté dans son ensemble exprime sa solidarité et son soutien. Tous espèrent que des mesures appropriées seront prises pour éviter de nouvelles tragédies similaires à l’avenir, tout en appelant à la réflexion collective sur la nécessité d’une société plus paisible et respectueuse.

Tragédie à Kanel : Une jeune femme de 26 ans se suicide après la mort de son troupeau

Dans un village de la commune de Wouro Sidy, située dans le département de Kanel, un drame épouvantable a frappé la communauté, laissant une famille dans le deuil et le désespoir. Dieynaba Sow, une jeune femme âgée d’environ 26 ans, s’est tragiquement suicidée en se jetant dans un puits, après avoir vu son troupeau décimé.

Le malheur a commencé lorsqu’un animal sauvage est mort dans le puits du village, provoquant la pollution de l’eau. Malheureusement, les moutons et les chèvres de Dieynaba Sow ont bu ce liquide toxique et ont péri.

Profondément traumatisée par la perte soudaine de ses bêtes, Dieynaba Sow a élaboré un plan désespéré pour mettre fin à sa vie. Le vendredi 29 mars, vers 14 heures, elle a confié son enfant à son mari sous prétexte d’aller prendre une douche. Cependant, elle s’est rendue au puits du village où elle s’est jetée. Le bruit de sa chute a alerté son mari, qui a découvert le corps de sa femme sans vie.

Les sapeurs-pompiers, assistés des gendarmes de la brigade territoriale de Kanel, ont repêché le corps de Dieynaba Sow. Une enquête a été ouverte pour comprendre les circonstances exactes de sa mort. Selon le certificat de genre de mort, son décès serait dû à une hémorragie interne résultant de sa chute dans le puits.

Cette tragédie souligne les conséquences dévastatrices que peuvent avoir les événements traumatiques sur la santé mentale des individus, ainsi que l’importance d’une prise en charge psychologique et sociale dans de telles situations. La communauté locale est profondément attristée par cette perte et exprime ses condoléances à la famille de Dieynaba Sow.

Tragédie à Yeumbeul-Layènne : Un homme âgé décède après une chute mortelle

Une tragédie s’est abattue ce mardi 26 mars sur la paisible route de Yeumbeul Layenne, laissant une communauté en deuil et des questions sans réponses. Aux alentours de [heure], un homme marchant paisiblement a chuté subitement, succombant sur le coup.

Les sapeurs-pompiers, alertés rapidement, ont réagi avec diligence pour récupérer le corps sans vie et entamer les procédures nécessaires. Cependant, malgré leurs efforts, le décès de l’homme âgé est survenu de manière brutale, laissant un profond sentiment de choc et de tristesse dans la région.

Les circonstances exactes de cette chute fatale demeurent floues. Les autorités locales ont ouvert une enquête pour éclaircir les événements ayant conduit à cette tragédie et pour identifier les proches de la victime afin de leur offrir le soutien nécessaire en cette période difficile.

L’ensemble de la communauté de Yeumbeul Layenne est plongé dans la consternation et exprime ses condoléances à la famille et aux amis de la victime. En ces moments de deuil, les pensées et les prières sont tournées vers ceux qui ont perdu un être cher de façon si soudaine et tragique.

Témoignage Poignant du Consul du Sénégal à Barcelone : Une Tragédie de l’Émigration Clandestine au Maroc


Aliou Diao, actuel consul du Sénégal en Catalogne, a partagé son expérience déchirante en tant que vice-consul au Maroc pendant sept ans. Dans un récit bouleversant, il expose les horreurs de l’émigration clandestine, notamment l’histoire tragique de l’enterrement de son propre neveu dans un état de décomposition, une réalité poignante qui illustre les souffrances endurées par de nombreux migrants.


Diao décrit l’enfer vécu au Maroc, témoignant de jeunes désespérés abandonnant tout pour entreprendre un voyage périlleux vers l’inconnu. Il évoque des histoires de professionnels qualifiés, y compris des instituteurs et des diplômés universitaires, embrassant l’émigration clandestine par désespoir. Son récit révèle les conditions de vie précaires et les risques mortels encourus par les migrants en transit.

Le moment le plus déchirant de son séjour au Maroc, selon Diao, fut l’enterrement de son neveu en état de décomposition avancée, qu’il était incapable de rapatrier au pays. Cette expérience personnelle met en lumière la détresse et la vulnérabilité des migrants, confrontés à des situations désespérées et dépourvus de toute assistance.


Outre les tragédies individuelles, Diao révèle avoir accueilli chez lui des migrants malades mentaux et paralysés, offrant un refuge dans un contexte de détresse physique et psychologique. Son engagement humanitaire témoigne de la compassion et de la solidarité face à la souffrance des migrants, même au prix de ses propres sacrifices.


Le récit poignant d’Aliou Diao offre un aperçu émotionnel des réalités brutales de l’émigration clandestine au Maroc, soulignant l’urgence d’une action humanitaire et politique pour atténuer les souffrances des migrants et prévenir de nouvelles tragédies.

Tragédie sur l’Axe Dakar – Diourbel : Un passager décède dans un bus en route vers Touba

Un voyage qui devait être ordinaire s’est transformé en une tragédie déchirante pour un passager sur l’Axe Dakar – Diourbel. M. Lo, âgé de 69 ans, avait entrepris un périple depuis Mbao, à Dakar, en direction de Touba à bord d’un bus. Cependant, son voyage a été brutalement interrompu par la mort.

La scène poignante s’est déroulée à l’entrée de Diourbel, lorsqu’un autre passager a alerté le chauffeur du bus de l’état critique de M. Lo. Malgré les tentatives de réanimation et les appels aux secours, les efforts pour sauver M. Lo se sont avérés vains, et il a rendu son dernier souffle en cours de route.

Confronté à cette tragédie soudaine, le conducteur du bus a pris la décision déchirante d’acheminer le corps de M. Lo devant les locaux de la 22e compagnie d’incendie et de secours du Baol, à Diourbel. Les autorités locales ont été rapidement informées de la situation et ont ouvert une enquête pour comprendre les circonstances exactes de ce décès survenu en transit.

Les forces de l’ordre, représentées par les éléments du commissariat central de Diourbel, ont été dépêchées sur les lieux pour effectuer les constatations d’usage et démarrer une enquête approfondie. Selon les premières constatations médicales, le décès de M. Lo serait attribué à des causes naturelles, bien que les autorités poursuivent leurs investigations pour confirmer cette hypothèse.

Cette tragédie rappelle de manière poignante la fragilité de la vie et souligne l’importance de rester vigilant même lors de voyages routiers apparemment banals. Nos pensées vont à la famille et aux proches de M. Lo, tandis que les autorités continuent de rechercher des réponses et de comprendre pleinement les événements qui ont conduit à cette perte déchirante.

Tragédie à Bembou : 8 morts dans un accident de la route

Le village de Massa-Massa, dans la commune de Bembou, a été le théâtre d’une tragédie déchirante ce mercredi, alors qu’un accident de la route a coûté la vie à huit personnes et fait plusieurs blessés. La collision, survenue à environ 7 kilomètres de Bembou, impliquait un camion et un véhicule de transport “7 places”. Les conséquences de cet accident ont été particulièrement dévastatrices pour les passagers du véhicule de transport, dont un enfant, ainsi que pour plusieurs autres personnes qui ont été blessées dans le choc.

L’incident s’est produit sur une portion de route qui avait suscité des promesses de rénovation de la part du gouvernement. Lors d’un Conseil des ministres délocalisé, le président Macky Sall avait annoncé des projets visant à améliorer l’état des routes de la région. Cependant, jusqu’à présent, aucun travail de réfection n’a été entrepris sur cette route, laissant les usagers exposés aux dangers potentiels.

Cette tragédie met en lumière l’urgence d’agir pour améliorer la sécurité routière dans la région de Bembou et dans l’ensemble du Sénégal. Les autorités locales et nationales sont appelées à intensifier les efforts pour rénover les infrastructures routières et à mettre en place des dispositifs de sécurité adéquats pour protéger les usagers de la route.

En outre, il est impératif de mener des enquêtes approfondies afin de déterminer les circonstances exactes de cet accident et d’identifier les éventuelles responsabilités. Les familles des victimes méritent des réponses claires sur les événements qui ont conduit à cette tragédie, et des mesures doivent être prises pour éviter qu’une telle catastrophe ne se reproduise à l’avenir.

En ces temps de deuil et de douleur pour la communauté de Massa-Massa et de Bembou, nos pensées vont aux familles des victimes et à tous ceux qui ont été touchés par cette perte irréparable. La sécurité routière demeure une priorité absolue pour assurer la protection de tous les citoyens sur les routes du Sénégal.

Tragédie à Médina Alpha : Un enfant de deux ans décède dans un incendie, les récoltes dévastées

Une tragédie a frappé le village de Sinthiang Guiro, plus communément appelé Médina Alpha, ce samedi, alors qu’un violent incendie s’est déclaré, coûtant la vie à un enfant âgé de deux ans.

Selon les témoignages recueillis sur place, la victime se trouvait seule dans sa case pendant que sa mère était absente, occupée à chercher des condiments pour préparer le repas de midi. C’est à ce moment que le feu a éclaté à proximité, se propageant rapidement aux cases avoisinantes. Malheureusement, malgré les efforts des habitants pour circonscrire les flammes, le jeune enfant n’a pas pu être sauvé.

Outre cette tragique perte en vie humaine, l’incendie a également ravagé les récoltes, les stocks de nourriture, les vêtements, les lits et les couvertures des habitants du village. Les sinistrés, dans une situation désespérée, ont lancé un appel à l’aide aux autorités compétentes, alors que la lutte contre le feu était entravée par les moyens rudimentaires disponibles et le vent violent qui balayait la région.

Le village de Médina Alpha se trouve dans la commune de Kerewane, dans le département de Médina Yoro Foulah, région de Kolda. Cette tragédie met en lumière les défis auxquels sont confrontées les populations rurales, en particulier en matière de prévention et de lutte contre les incendies, ainsi que la nécessité d’une réponse rapide et efficace des autorités locales et nationales face à de telles situations d’urgence.

Tragédie à Ouakam : Un moniteur sportif se suicide par pendaison

Une tragédie a frappé le quartier Bira de Ouakam, mardi dernier, lorsque M. Sarr, un moniteur sportif de 32 ans, s’est donné la mort par pendaison. Selon les informations rapportées par Libération, le drame s’est déroulé dans la chambre de la victime, où il s’était isolé pour mettre fin à ses jours.

Le terrible événement a été découvert par l’un des frères de M. Sarr, alerté par un bruit provenant de sa chambre. Malheureusement, toutes les tentatives de le sauver ont été vaines.

Il est rapporté que vers 23 heures ce jour-là, M. Sarr s’est servi d’un câble d’antenne pour se pendre, en reliant son cou aux poutres en bois de la toiture de sa chambre. La victime, célibataire et sans enfant, était connue pour souffrir de troubles psychiatriques, ayant été internée à plusieurs reprises à l’hôpital de Fann.

Cette tragédie a profondément choqué la communauté locale et a mis en lumière la nécessité de sensibiliser sur les problèmes de santé mentale et l’importance de fournir un soutien adéquat aux personnes confrontées à de telles difficultés.

Tragédie à Colobane : Un accident mortel plonge une famille dans le deuil

Une tragédie s’est abattue ce samedi à Colobane, lorsque qu’un camion a mortellement fauché deux hommes, M. Ndiaye et M. Kane, tous deux marchands ambulants. Le choc brutal a entraîné la perte tragique de ces deux membres de la communauté, laissant derrière eux des familles dévastées par le chagrin et le deuil.

«Sama dome camion mo diar si kawam mou…» Accident à Colobane, La mère de la victime raconte les fait

L’accident a également laissé M. Diouf avec des blessures légères, tandis que l’autre rescapé, C. Ndiaye, âgé de 35 ans, se bat toujours pour sa vie dans un état critique.

Dans une vidéo poignante, les parents de l’une des victimes, M. Ndiaye, sont filmés dans un état d’inconsolabilité. Les mots semblent leur manquer alors qu’ils tentent de revenir difficilement sur les événements tragiques qui ont bouleversé leur vie en un instant.

La douleur palpable dans leurs yeux et dans leurs gestes témoigne de l’ampleur de la perte et de la souffrance qu’ils ressentent face à la disparition soudaine de leur être cher. Leurs sanglots déchirants résonnent dans l’air, reflétant le profond désarroi et la détresse qui les envahissent.

Cette tragédie rappelle de manière poignante les dangers auxquels sont confrontés les travailleurs de la rue, souvent exposés à des risques élevés dans leur quotidien. Elle soulève également des questions sur la sécurité routière et la nécessité de prendre des mesures pour prévenir de tels accidents à l’avenir.

En cette période de deuil et de tristesse, la communauté de Colobane se rassemble pour soutenir les familles endeuillées et pour honorer la mémoire des victimes. Leur présence et leur solidarité offrent un semblant de réconfort dans cette épreuve insoutenable.

Alors que les familles pleurent la perte de leurs proches, la société dans son ensemble est confrontée à une douloureuse prise de conscience de la fragilité de la vie et de la nécessité de redoubler d’efforts pour assurer la sécurité de tous sur les routes.

“Tragédie à Thiès : Un maçon perd la vie après une chute sur un chantier”

“Le quartier Keur Issa endeuillé par le décès d’un travailleur suite à un accident survenu lors de travaux de rénovation”

Une tragédie a frappé le quartier Keur Issa de Thiès hier vendredi, alors qu’un maçon est décédé des suites d’un accident de travail sur un chantier de rénovation. M. Guèye, chargé de remplacer des ardoises vétustes par des morceaux de zinc sur une toiture, a fait une chute tragique vers 16 heures, selon des informations relayées par Seneweb.

Le maçon a été immédiatement pris en charge et évacué à l’hôpital régional de Thiès, mais malheureusement, ses blessures se sont avérées fatales. Il a succombé à ses blessures vers 18 heures, plongeant sa famille, ses proches et la communauté locale dans le deuil.

Cet accident met en lumière les risques auxquels sont confrontés les travailleurs du bâtiment et de la construction au quotidien. Malgré les mesures de sécurité mises en place sur les chantiers, les accidents peuvent malheureusement survenir, rappelant ainsi l’importance de la vigilance et de la prudence à tout moment.

En ces moments difficiles, la communauté de Thiès se mobilise pour soutenir la famille du défunt et lui apporter réconfort et solidarité. Ce tragique événement rappelle également l’importance de garantir des conditions de travail sûres et sécurisées pour tous les travailleurs, afin d’éviter de telles pertes inutiles à l’avenir.

Tragédie à Bambey : Un Homme s’immole par le feu au cimetière

La ville de Bambey est plongée dans la douleur et le choc suite à un acte tragique survenu au cimetière local. Un homme a délibérément mis fin à ses jours en s’immolant par le feu, provoquant un profond sentiment de tristesse et de désolation parmi les habitants.

L’individu, identifié comme le commerçant Assane Diallo, a choisi le cimetière de Léona comme le théâtre de son geste fatal. Se versant de l’essence sur le corps, il a ensuite allumé le feu, mettant ainsi fin à sa propre vie de manière violente.

La nouvelle de cet événement tragique a rapidement circulé dans la ville, laissant la communauté locale sous le choc et la peine. Assane Diallo, qui était un commerçant bien connu travaillant au marché Syndicat de Bambey, a choisi un acte aussi extrême pour des raisons encore inconnues.

Le corps sans vie de Assane Diallo a été transporté à la morgue de l’hôpital de Bambey afin de procéder à une autopsie, selon les informations rapportées par rfm.

Cet incident laisse derrière lui des questions sans réponse et une communauté endeuillée, confrontée à la triste réalité de la détresse humaine et de la souffrance mentale

Infanticide aux Parcelles-Assainies : Une tragédie révélée par l’horreur

Une terrible tragédie secoue la communauté des Parcelles-Assainies, où une femme de ménage, identifiée comme K. Diouf, a été arrêtée pour avoir dissimulé son nouveau-né dans un sac en plastique, causant ainsi sa mort.

L’affaire a été révélée lorsque K. Diouf s’est rendue au centre de santé Nabil Choucair de la Patte d’Oie pour recevoir des soins médicaux après l’accouchement. Elle a tenté de tromper le personnel médical en prétendant avoir laissé son bébé avec son conjoint. Toutefois, ses déclarations ont éveillé les soupçons d’un médecin généraliste, qui a alerté les autorités policières.

Interpellée par la police, K. Diouf a avoué avoir enveloppé son nouveau-né dans un sac en plastique et l’avoir caché dans la coiffeuse d’une chambre. Lors de la perquisition de son domicile, les autorités ont découvert le corps sans vie du nourrisson, enveloppé dans le sac en plastique, confirmant ainsi les horribles détails de l’infanticide.

Cette révélation choquante a suscité l’indignation et l’effroi au sein de la communauté locale, confrontée à la dure réalité de la violence et de la tragédie. Le corps du bébé a été transporté à la morgue de l’hôpital par les sapeurs-pompiers.

À la suite de l’enquête, K. Diouf a été présentée au procureur pour répondre de ses actes. Cette affaire poignante met en lumière les conséquences dévastatrices de la désespoir et de la détresse face à une grossesse non désirée, tout en soulignant l’importance cruciale d’un soutien et d’une assistance adéquats pour les femmes en situation de vulnérabilité.

En cette période de deuil et de chagrin, il est essentiel que la société offre un soutien et une compassion à tous ceux qui ont été touchés par cette tragédie. Il est également impératif que des mesures soient prises pour prévenir de tels drames à l’avenir et pour garantir que chaque individu reçoive l’aide dont il a besoin dans les moments de crise.

Tragédie à Thiaroye-Sur-Mer : Deux sœurs décèdent après avoir été exposées à un produit anti-cafards

L’enquête révèle une utilisation tragique de poudre insecticide par la mère.

Le père, visiblement bouleversé, a expliqué aux gendarmes que ses filles ont commencé à vomir au milieu de la nuit. Le 26 janvier, elles ont été emmenées au poste de santé de Thiaroye-Sur-Mer, où elles ont été libérées après une consultation. Cependant, S. Diop est décédée au matin du 28 janvier, après avoir été évacuée à l’hôpital de Sicap-Mbao. Sa sœur cadette a également perdu la vie le même jour, après son transfert à l’hôpital de Fann.

Cette tragédie a suscité une onde de choc dans la communauté locale, soulignant l’importance de la vigilance quant à l’utilisation de produits chimiques domestiques. Les autorités continuent leur enquête pour déterminer les circonstances exactes de cette terrible perte et évaluer d’éventuelles responsabilités. Les résultats de l’autopsie et les conclusions de l’enquête pourraient jeter une lumière supplémentaire sur cette affaire dévastatrice.

Tragédie à Khar Yalla : Bilan alarmant de l’effondrement d’un immeuble, 7 victimes identifiées

Dans la nuit du lundi au mardi, un drame a secoué le quartier de Khar Yalla, à proximité de Liberté 6, avec l’effondrement d’un immeuble de trois étages. Alertés vers une heure du matin, les sapeurs-pompiers ont immédiatement mobilisé leurs équipes pour intervenir sur les lieux.

Le bilan de cette tragédie s’avère malheureusement lourd, avec sept corps sans vie récupérés des décombres par les services de secours. Au total, on déplore 27 victimes, comprenant 6 décès confirmés, une personne traitée sur place, et les autres évacuées vers des structures sanitaires de Dakar.

Les noms des victimes identifiées parmi les corps retrouvés dans les décombres sont les suivants : Aliou, Ameth, Joie, Marie, Gabriella, Nafissatou B. La perte de ces vies a plongé la communauté dans une profonde tristesse et des prières pour les familles endeuillées sont formulées dans tout le quartier.

Un rayon d’espoir émerge cependant dans ce tragique événement, avec le sauvetage miraculeux d’un bébé de 9 mois qui a été extrait des décombres sans aucune égratignure, grâce à l’intervention rapide et efficace des sapeurs-pompiers. Cet acte héroïque offre un éclat de soulagement au milieu de la sombre réalité.

Cependant, quatre personnes restent introuvables, et des engins de chantier sont actuellement déployés pour explorer minutieusement les débris à la recherche de toute trace d’espoir. Les autorités locales ont lancé une opération de secours d’envergure pour retrouver les disparus et apporter un soutien aux familles affectées.

Cette tragédie met en lumière l’importance de la sécurité des structures immobilières et soulève des questions sur les normes de construction en vigueur. Une enquête approfondie sera certainement lancée pour déterminer les causes exactes de cet effondrement et éventuellement éviter de futures tragédies similaires. La communauté locale et le pays tout entier sont unis dans le deuil, appelant à la solidarité et à des actions concrètes pour prévenir de tels incidents à l’avenir.

Tragédie de la migration irrégulière au Sénégal : Treize jeunes de Bounkiling perdent la vie sur les routes

Le sud du Sénégal pleure la perte de treize jeunes originaires de la commune de Bounkiling, décédés récemment sur les routes de la migration irrégulière. L’annonce a été faite par Daffé Bayo, président du conseil régional de la jeunesse de Sédhiou, soulignant l’ampleur du drame.

La tragédie a touché principalement le village de Kégnéto, avec onze des victimes, et le village chef-lieu de Bounkiling, qui compte les deux autres décès. Ces jeunes aventuriers sont partis le 30 octobre dernier, mais l’absence de nouvelles pendant deux mois a laissé les familles dans l’angoisse.

Les autorités locales expriment leur inquiétude face à la recrudescence de l’émigration irrégulière et appellent à une action urgente pour endiguer ce phénomène. Le président du conseil régional de la jeunesse de Sédhiou souligne l’impératif de renforcer la lutte contre ce fléau, mettant en avant la nécessité d’une coopération étroite entre les autorités, la société civile et les communautés locales.

Tragédie à Bantako, Kédougou : Un incendie dévastateur ravage une vingtaine d’habitations

31 décembre 2023, Kédougou, Sénégal – Une catastrophe a frappé le village de Bantako, situé dans le département de Kédougou, ce dimanche en début d’après-midi, lorsque des flammes incontrôlables ont englouti une vingtaine d’habitations. L’origine de l’incendie demeure encore un mystère, laissant la communauté locale sous le choc.

L’Agence de Presse Sénégalaise (APS) a rapporté que l’incendie, d’une intensité redoutable, a consumé rapidement les habitations, créant une scène de désolation dans le village. Les premières informations indiquent que plusieurs familles ont été touchées, perdant non seulement leurs biens matériels, mais également une partie de leurs souvenirs et de leur histoire.

Dans de telles situations d’urgence, la solidarité communautaire et l’aide humanitaire sont cruciales. Les autorités locales et les organisations humanitaires travaillent de concert pour coordonner les secours et apporter un soutien immédiat aux victimes.

La population de Kédougou se mobilise également pour soutenir les personnes touchées par cette tragédie, montrant la résilience et la force de la communauté face à l’adversité. Des appels à la solidarité et aux dons ont été lancés pour aider les familles sinistrées à se reconstruire après cette épreuve dévastatrice.

En ces moments difficiles, le village de Bantako fait face à la tâche ardue de la reconstruction, tandis que le reste de la nation se tient solidaire avec les habitants touchés par cette tragédie inattendue.

Tragédie à Bignona : Huit personnes arrêtées, dont le chef de village, après l’explosion meurtrière d’une mine antichar

Une onde de choc a secoué la tranquillité de la ville de Bignona le 15 décembre dernier, lorsque quatre militaires ont perdu la vie dans l’explosion dévastatrice d’une mine antichar. Alors que la nation pleure la perte de ces héros, une enquête approfondie est en cours pour élucider les circonstances de cet attentat meurtrier.

Huit individus, dont le chef du village de Diaboudior, ont été appréhendés dans le cadre de cette enquête. Selon les autorités, le chef du village est suspecté d’être un complice du principal poseur de la mine. Cette implication locale soulève des questions cruciales sur la sécurité de la région et la possible connivence entre des membres de la communauté et des forces hostiles.

L’explosion a eu lieu dans le département de Bignona, créant un climat d’inquiétude au sein de la population. Les autorités ont rapidement réagi en déployant des équipes d’enquête spécialisées pour faire toute la lumière sur cet acte de violence inouï.

Tous les individus appréhendés, y compris le chef de village, ont été placés en garde à vue pour approfondir les investigations. Les enquêteurs cherchent à déterminer le degré de complicité et les motivations derrière cet attentat, soulignant l’importance de la coopération de la population pour garantir le succès de l’enquête.

Le ministère de la Défense a exprimé ses condoléances aux familles endeuillées des militaires et a promis de prendre toutes les mesures nécessaires pour traduire en justice les responsables de cet acte odieux. Dans un communiqué officiel, le ministre a déclaré : “Nous ne tolérerons pas que le sacrifice de nos soldats soit vain. Chaque effort sera déployé pour identifier et poursuivre en justice ceux qui sont impliqués dans cette attaque lâche.

Alors que la nation pleure la perte de ces courageux défenseurs, l’enquête se poursuit avec détermination. Les autorités s’engagent à renforcer la sécurité dans la région et à prévenir de futurs actes de violence. La coopération de la population est cruciale dans la quête de justice et pour assurer la sécurité durable de la communauté de Bignona.

Tragédie à Keur Massar : décès du secrétaire général de magui PASTEF suite à une agression

Le parti politique ex-Pastef, dirigé par Ousmane Sonko, est plongé dans le deuil suite au décès tragique d’Ibrahima Seye, Secrétaire général de Magui PASTEF dans le département de Keur Massar. La nouvelle de sa disparition a été confirmée ce mardi vers 17h, alors qu’il était hospitalisé à la suite d’une agression survenue dans le quartier Montage le 24 décembre.

Les circonstances entourant cette attaque restent floues, mais selon les informations recueillies par Seneweb, la victime aurait quitté son domicile tôt le matin pour se rendre à la mosquée lorsque les assaillants ont perpétré leur acte odieux.

La communauté politique et les membres de Magui PASTEF sont choqués par cette tragédie, perdant un membre actif et engagé. Les autorités locales et les forces de l’ordre sont appelées à faire toute la lumière sur cette agression et à traduire les responsables en justice.

Cette douloureuse épreuve met en évidence les défis sécuritaires auxquels peuvent être confrontés les membres de partis politiques et les citoyens ordinaires. La nécessité de renforcer la sécurité dans les quartiers et de garantir la protection des citoyens devient une préoccupation majeure dans le contexte actuel. La famille d’Ibrahima Seye ainsi que ses collègues et amis sont en deuil, et le pays attend des réponses rapides et efficaces pour faire face à cette tragédie.

40 ANS DE LUTTE CONTRE LE VIH EN AFRIQUE: De la tragédie à l’espérance

La commémoration des 40 ans de la découverte du virus d’immunodéficience
humaine (VIH) invite à jeter un regard rétrospectif sur quatre décennies de lutte
contre ce fléau dans l’Afrique au sud du Sahara. Cette région a payé le plus lourd
tribut à la pandémie.
Au début des années 2000, les trois quarts des adultes mourant du sida et 80 % des
enfants vivant avec le VIH étaient des Africains. La création en 2001-2002
du Fonds mondial, à l’initiative du secrétaire général de l’ONU, le Ghanéen Kofi
Annan, va contribuer à l’accès universel au traitement et à désamorcer la bombe du
sida. Lors du lancement officiel du Fonds mondial à New York en 2001, moins de
1 % des patients africains ont accès aux traitements. À cette époque où des
chercheurs militants parlent de « crime contre l’humanité » pour dénoncer l’apathie
de la communauté internationale face à la pandémie, la naissance du Fonds
inaugure une réponse d’envergure au niveau mondial.

Aujourd’hui, l’Afrique subsaharienne abrite 65 % du nombre total de personnes
vivant avec le VIH dans le monde, soit 25,6 millions d’individus sur 39 millions.
Le continent a également connu des progrès non négligeables en matière d’accès
au traitement : les trois quarts des personnes vivant avec le VIH en Afrique
subsaharienne suivent désormais un traitement antirétroviral.
Au cœur des drames causés par la maladie dite du syndrome d’immunodéficience
acquise (sida), l’Afrique subsaharienne a aussi contribué à faire avancer la
connaissance et à générer des mobilisations collectives inédites, associatives et
politiques, certains de ses médecins et chercheurs ayant mené leurs combats
jusqu’au sommet des programmes internationaux. La lutte contre le sida en
Afrique représente un combat global, transnational, auquel ont significativement
contribué quelques personnalités parfois insuffisamment connues.
Premières années : le tout-prévention
Le virus d’immunodéficience humaine est officiellement découvert en 1983 par
une équipe de l’Institut Pasteur (pour cela, Françoise Barré-Senoussi et Luc
Montagnier seront récompensés par le prix Nobel de médecine 25 ans plus
tard, après moult controverses). Initialement diagnostiqué en France et aux États-
Unis dans les milieux gays, le VIH va se propager et devenir une pandémie.
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L’Afrique subsaharienne va vite devenir la région du monde la plus touchée par
cette maladie. La mise à disposition du test diagnostique Elisa intervient en 1985 et
la majorité des pays peut déclarer officiellement les premiers cas de sida. Pour
autant, quelques cas sont détectés avant la généralisation du test Elisa grâce à des
réseaux d’instituts de recherche, notamment la présence d’antennes américaines du
Center for Disease Control (CDC) dans plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest, au
Sénégal et en Côte d’Ivoire par exemple. Les premiers cas sont également
diagnostiqués au sein de la communauté homosexuelle en Afrique du Sud. Des
ONG vont aussi permettre de diagnostiquer des cas de sida, comme la Croix-
Rouge dans l’ex-Zaïre.
Des médecins travaillant sur les maladies infectieuses dans les hôpitaux des
grandes villes africaines seront les précurseurs de la lutte contre le sida dans leurs
pays, en mettant en place des comités de suivi ou des ersatz de veille
épidémiologique, avec ou sans l’aide de partenaires internationaux, suivant les
concours de circonstances. Ils deviendront des fers de lance officiels de la riposte
au sida dans leurs pays lorsque l’OMS mettra en place le premier programme
mondial de lutte contre le sida, le Global Programme on AIDS (GPA), en 1986.
Sous la direction d’un professeur de santé publique de l’Université de Harvard,
Jonathan Mann, le GPA va inciter à la mise en place des Programmes nationaux de

lutte contre le sida (PNLS) en Afrique. Le Sénégal en Afrique de l’Ouest et
l’Ouganda en Afrique australe seront parmi les premiers pays à mettre en place ces
PNLS, dès 1986. Ils vont également illustrer, de manière différente, le rôle du
leadership politique et le lien entre les sommets des États et les associations.
En l’absence de traitements efficaces et du fait des moyens modiques affectés à la
riposte dans cette première décennie des années sida, les PNLS vont être tournés
vers le « toute prévention ». La thématique des « populations à risque » va orienter
le ciblage des campagnes de prévention : les « prostituées », rebaptisées plus tard
« les professionnelles du sexe » ; les transporteurs par car, réputés comme étant
vulnérables au « risque sida » du fait de leur surexposition aux relations sexuelles
non protégées ; et plus largement « les jeunes ».
Après une petite période de relativisation ou de déni politique de la maladie, les
slogans vont passer à la vitesse supérieure dès la fin des années 1980. Ils mettent
alors en avant la lutte contre « le vagabondage sexuel » et s’accompagnent de
discours catastrophistes. Les campagnes de prévention affichent des images de
malades du sida en phase terminale accompagnées du message abrupt : « Le sida
tue. » Ces pratiques vont se heurter à la réalité cognitive des représentations des
plus jeunes : personne ne s’infecte avec des malades squelettiques en phase
terminale.
Les précurseurs africains évoqués plus haut vont avoir un rôle pionnier et des
carrières connectées aux réseaux internationaux, entre hasard et nécessité.
L’histoire du jeune docteur Pierre M’Pelé est aussi emblématique qu’elle est peu
connue au-delà des spécialistes.
Pierre M’Pelé du Congo-Brazzaville, au cœur du combat
initial
Après des études de médecine à la faculté des sciences de la santé de Brazzaville,
en République du Congo, Pierre M’Pelé poursuit sa formation à Paris, dans un
service de maladies infectieuses et de médecine tropicale. Au sein de l’Hôpital de
la Salpêtrière à Paris, il intègre le département de médecine tropicale et de santé
publique au moment même où apparaissent les premiers cas de sida en France.

Sous la direction du professeur Marc Gentilini, il sera confronté à cette
« nouvelle » maladie qui ne faisait partie ni de son projet de formation ni des
activités de ce service. Il va donc vite découvrir l’expérience de la prise en charge
du VIH/sida en même temps que ses pairs médecins, notamment les docteurs Willy
Rozenbaum et Jean-Claude Chermann et leur patron Marc Gentilini.
C’est à partir d’un prélèvement effectué par Willy Rozenbaum sur le ganglion d’un
patient que Françoise Barré-Senoussi va isoler ce qui sera désigné comme étant le
VIH. Pierre M’Pelé est présent dans l’équipe, avec laquelle il travaille au
quotidien. Dans un ouvrage publié en 2019, il revient sur l’histoire de la
découverte du VIH :
« C’est Willy qui orienta les biologistes de l’Institut Pasteur à la recherche
étiologique d’origine virale de la maladie chez BRU, les trois premières lettres de
ce jeune malade français, fébrile, épuisé mais sympathique, admis dans le service
depuis quelques semaines et dont le ganglion adressé à l’équipe du Pr Luc
Montagnier permettra la découverte en 1983 du rétrovirus “LAV-BRU”
responsable du sida. Bru mourut en 1988 […]. »
Au-delà du cycle de la découverte du VIH, le docteur M’Pelé effectuera une autre
découverte dont sa paternité est connue et peu reconnue en tant que telle.
Il commence à distinguer des symptômes spécifiques aux patients originaires
d’Afrique, précisément du Zaïre (actuelle République démocratique du Congo) et
du Congo-Brazzaville. Par rapport aux autres patients, il révèle une prédominance
de la coïnfection avec la tuberculose et une faible prédominance chez les patients

africains d’une pathologie pulmonaire fréquente chez les autres patients,
le Pneumocystis carinii.
La revue de référence Lancet ne publiera pas son article alors que ces spécificités
vont être reconnues par ailleurs autour de ce qui sera appelé « le sida africain »,
dont la présentation a été effectuée en 1985 lors d’une conférence organisée à
Bangui (en République centrafricaine), sous la houlette de Françoise Barré-
Senoussi. M’Pelé explique que le Lancet n’a pas publié son article, « peut-être
parce que venant d’un Africain inconnu, premier sur la liste des auteurs sur ce
constat qui différencie le sida des Américains, des Européens de celui des
Africains et c’est dommage et injuste ».
Fort de cette expérience, M’Pelé rentre à Brazzaville en juin 1986 et devient le
« Monsieur sida du Congo » comme d’autres pionniers africains, riches de leurs
collaborations internationales dans leurs pays respectifs.

Abdourahmane Sow, un précurseur de Dakar à Genève
Dans la majorité des pays africains, les premiers cas de sida sont diagnostiqués à
partir de 1985, date de la mise à disposition par l’OMS des tests Elisa. Dans
certains pays, comme le Sénégal, des relations entretenues avec les partenaires
internationaux, dont le Center for Disease Control, vont permettre de reconnaître
plus tôt la présence du VIH. C’est dans cette logique qu’à l’issue d’une recherche
clinique menée par une équipe sénégalaise du Pr. Souleymane M’Boup de l’hôpital
Le Dantec à Dakar, une équipe française et une équipe américaine révèlent dès
1984 l’existence en Afrique de l’Ouest d’un second sous-type du VIH, le VIH2,
diffèrent du sous-type 1 (le VIH1, le plus répandu dans le monde) et présent au
Sénégal, au Cap-Vet et en Guinée-Bissau. Le VIH2 se révèle moins pathogène et
moins virulent que le VIH1.
Abdourahmane Sow est un médecin formé à la faculté de médecine de Dakar puis
à Paris, où il est lauréat du concours d’agrégation en maladies infectieuses et
tropicales. Il fait partie des jeunes médecins qui diagnostiquent les premiers cas de
sida au Sénégal, au CHU de Dakar. Il prend la tête de la lutte contre le sida en tant
que chef du service des maladies infectieuses de Dakar en 1986. Il est appelé à
Genève en 1989, suite à la création du Global Programme on AIDS en 1986. Ce
programme est dirigé par un professeur de santé publique issu de l’école de santé
publique de Harvard, le professeur Jonathan Mann, qui s’entoure d’une petite
équipe d’une dizaine de spécialistes venus du monde entier.
Le Pr. Sow s’inscrit dans cette dynamique internationale où il est question de
répondre à un péril mondial avec des moyens thérapeutiques d’une grande
modicité jusqu’au milieu des années 1990. Au sein de cette équipe, il va
s’impliquer dans la mise en place des PNLS en Afrique, notamment au Togo, au
Bénin et au Gabon. Il restera au GPA jusqu’à la fin de cette structure, qui sera

remplacée par l’organisation inter-agences des Nations unies sur le sida
(ONUSIDA) en 1996.
Au Sénégal, dont les bases de la riposte au sida ont été fixées par le Pr. Sow, la
relève sera assurée par le docteur Ibra Ndoye, qui restera à la tête du PNLS
sénégalais de 1986 à son départ à la retraite en 2014. Un record de longévité en
Afrique dans la lutte contre le sida, et un mandat marqué par la mise en place dès
2002 du premier programme d’accès aux ARV en Afrique francophone.
Une distribution inégale du VIH en Afrique

Prévalence du VIH en Afrique, 2021. Cliquer pour zoomer.  Polaert/Wikipedia , CC BY-NC-SA
À la fin des années 1980, explique Philippe Denis, « l’épidémie était solidement
installée dans les territoires “pionniers” (Côte d’Ivoire, République centrafricaine,
Rwanda, Burundi, Ouganda, Tanzanie, Zambie, Zimbabwe)_ ». Il poursuit : « La
décennie 1990 vit l’embrasement de l’Afrique australe. Alors que le nombre de cas
nouveaux semblait plafonner dans plusieurs sites d’Afrique centrale, orientale et
occidentale, il explosait au sud où des taux inégalés étaient atteints. »
En 2003, la géographe française Jeanne-Marie Amat-Roze montre de manière
magistrale cette distribution et cette progression inégales de la maladie sur le
continent africain. L’Afrique australe va constituer l’épicentre de la maladie.
L’Afrique du Sud compte à ce jour près de 9 millions de personnes vivant avec le
VIH, mais également un des taux d’accès aux médicaments parmi les plus élevés
en Afrique.
Du sida sans médicaments à l’accélération de l’accès aux
antirétroviraux en Afrique
L’annonce officielle de l’efficacité des molécules antirétrovirales (ARV), les
trithérapies, intervient lors de la Conférence mondiale sur le sida à Vancouver en

1996, peu après la promulgation, en janvier 1995, de l’Accord sur les aspects des
droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce (ADPIC) qui protège
ces médicaments sur 20 ans. L’ADPIC est la première résolution adoptée par
l’Organisation mondiale du Commerce, créée en 1994. La bonne nouvelle de
l’efficacité des ARV rend amers les militants pour l’accès aux médicaments et aux
soins en Afrique. Le slogan employé ces militants lors de la Conférence mondiale
de Genève en 1998 est clair : « Les médicaments sont au Nord, les malades sont au
Sud. » C’est la thématique du « droit contre la morale ».
Après bien des atermoiements et de vraies-fausses concessions des laboratoires
pharmaceutiques sur l’élargissement de l’accès aux médicaments pour les patients
du Sud, dont la Côte d’Ivoire et l’Ouganda vont être les “pilotes” en Afrique dans
les années 1990, le combat va se poursuivre au niveau international.
L’ambassadeur américain à l’ONU, Richard Holbrooke, inscrit la question du sida
en Afrique à l’agenda du Conseil de Sécurité en janvier 2000. L’oligopole de 39
laboratoires pharmaceutiques qui avaient déposé des plaintes contre le Brésil et
l’Afrique du Sud pour non-respect des brevets est contraint de retirer ses plaintes
en avril 2001 sous la pression des ONG internationales, dont MSF et Act’Up, qui
rebaptisent les laboratoires en question « Marchands de mort ».
Sous la houlette du secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan, le Fonds
mondial de lutte contre le sida, le paludisme et la tuberculose est fondé en 2001 et
les premières subventions sont accordées avec les contributions des pays du G8 en
2002 à Gênes en Italie. Les copies des médicaments antirétroviraux fabriqués avant
2005 peuvent être distribuées via des financements du Fonds mondial et le passage
à l’échelle peut devenir réalité sur le continent africain. Entre 2002 et 2012, la
prévalence et la mortalité liées au VIH chutent de manière significative en Afrique.
Et le Fonds mondial peut se targuer d’avoir sauvé plusieurs dizaines de millions de
vies depuis sa création. Le programme américain, lancé en 2003 sous la houlette du
président George W. Bush ( President Emergency Plan fo AIDS relief – PEPFAR ),
suit la cadence. Les présidents Lula et Chirac lancent en 2006 un fonds
complémentaire, l’Unitaid.

Les années 2000-2010 vont représenter une remarquable inversion de paradigme
qui rend effective la prise en charge des patients africains vivant avec le VIH.
Dans ce registre, le président du Botswana, Festus Mogae, va incarner un modèle
achevé d’engagement pour l’accès universel aux ARV. Il lance en 2000 le premier
programme d’accès gratuit aux ARV en Afrique avec 80 % des financements
domestiques. C’est « l’État militant ».
Reste la question des maladies non transmissibles qui posent la question de « la
santé globale ». Celle-ci vise à promouvoir, au niveau international, l’inscription
sur les agendas internationaux des principaux chocs épidémiologiques et des
questions majeures de santé. Autrement dit, il s’agit de rompre avec la

« biopolitique » définie par Michel Foucault comme « le droit de faire vivre et de
laisser mourir » pour privilégier ce que Didier Fassin nomme « les politiques de la
vie ». C’est encore un autre chantier. Source : The Conversation

Dakartimes

Tragédie lors d’un voyage Dakar-Ziguinchor : Une fille de 14 ans demande un arrêt momentané à Gamboul et décède

Une découverte macabre a été faite au village de Gamboul, dans l’arrondissement de Ngothie (département de Kaolack). Le corps sans vie d’une fille de 14 ans a été retrouvé.

Selon les informations de Dakaractu, la victime avait quitté Dakar pour se rendre à Ziguinchor à bord d’un bus. Mais arrivée à hauteur de Gamboul, elle aurait demandé un arrêt momentané pour satisfaire un besoin pressant. Après plusieurs minutes, les passagers du bus, qui ne l’ont pas vu revenir, ont décidé d’aller à sa recherche. Malheureusement, ils ont retrouvé son corps non loin, étalé à même le sol.

Rapidement, les éléments de la brigade Polyvalente de Gandiaye ont été informés et ils se sont très vite rendus sur les lieux du drame. Après constat, le corps a été déposé à la morgue de l’hôpital régional de Kaolack par les sapeurs-pompiers.

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