Élections législatives au Sénégal : la Commission nationale de recensement des votes entame ses travaux

La Commission nationale de recensement des votes a démarré ce mercredi 20 novembre ses travaux au palais de justice de Dakar, marquant une étape clé dans la validation des résultats provisoires des élections législatives.

Selon les premières tendances, la coalition Pastef se démarque largement, obtenant plus de 130 sièges sur les 165 que compte l’Assemblée nationale. Ce résultat, s’il est confirmé, octroie une majorité absolue à cette coalition, consolidant ainsi son influence sur la scène politique sénégalaise.

Derrière Pastef, la coalition Takku – Wallu Sénégal se positionne avec 16 sièges, tandis que Jamm Akk Njarin en obtient 7. Ces résultats traduisent une nette domination de Pastef, laissant peu de marge aux autres forces politiques pour peser dans les futures décisions parlementaires.

Plusieurs autres coalitions se sont retrouvées avec un seul siège gagné. Ce résultat fragmenté pour ces formations reflète la difficulté pour les petites coalitions d’émerger face à des partis mieux organisés et dotés de bases électorales plus solides.

La Commission nationale de recensement des votes a désormais la tâche délicate de valider ces résultats et de statuer sur d’éventuelles contestations. Les annonces officielles sont attendues avec impatience par les partis politiques et les citoyens sénégalais.

Ces élections marquent une étape décisive pour l’avenir politique du Sénégal. La nette avance de Pastef confirme une volonté de changement exprimée par une majorité d’électeurs, mais les défis restent nombreux pour maintenir un équilibre dans un paysage politique désormais dominé par une seule coalition.

Ziguinchor : Aissatou Ndiaye, coordonnatrice nationale des agropoles, satisfaite de l’état d’avancement des travaux d’infrastructures

En tournée à Ziguinchor pour évaluer l’état d’avancement de l’Agropole-Sud dans le cadre du suivi de la mise en œuvre des Agropoles du Sénégal, Aissatou Ndiaye, la nouvelle coordonnatrice nationale du Programme National de Développement des Agropoles du Sénégal (PNDAS), a exprimé sa satisfaction quant aux progrès réalisés dans les travaux d’infrastructures. Cette évaluation s’est déroulée lors de sa visite dans la zone sud, couvrant les régions de Ziguinchor, Sédhiou et Kolda.

« À Adéane, nous avons atteint un taux d’exécution de 65 %. Toutes les infrastructures sont en phase de finalisation, y compris le château d’eau, le hangar de stockage, le centre de santé, le centre d’excellence, les parkings et les chambres froides. La voirie intérieure est bien avancée, avec une bonne prise en charge de l’assainissement. À Kolda, où les travaux ont débuté en avril, le rythme est satisfaisant. Nous sommes à 40 % de taux d’exécution physique. Le hangar de stockage, l’atelier mécanique, le bâtiment administratif et l’infirmerie de la plateforme agro-industrielle sont en cours de finalisation », a-t-elle déclaré.

Ces propos ont été tenus au terme d’une tournée dans les régions de Ziguinchor, Sédhiou et Kolda pour évaluer l’état d’avancement des chantiers et des programmes du projet Agropole-Sud, en compagnie du coordonnateur de l’Agropole-Sud, Ousseynou Konaté.

Aissatou Ndiaye a expliqué que le PNDAS a œuvré pour remobiliser les entreprises après la pause liée aux pluies, dans le but de finaliser rapidement toutes les infrastructures. Elle a précisé que « les agropoles constituent une priorité pour l’État du Sénégal, comme en témoigne la place qu’elles occupent dans les pôles de développement économique ».

Elle a également souligné que le projet Agropole-Sud contribue considérablement à l’amélioration des rendements des producteurs grâce à la distribution d’environ 87 tonnes de semences certifiées, 1 340 tonnes d’engrais et plus de 504 000 plants fruitiers.

Lors de sa visite à Ziguinchor, la coordonnatrice a visité des entreprises spécialisées dans la transformation des produits agricoles et des parcelles de production de mangues et d’anacardes, ainsi que des parcelles de production situées à Goudomp, dans la région de Sédhiou. À Kolda, elle s’est rendue dans les villages de Kankiling et de Manoto Sakho pour inspecter des parcelles de manguiers et de maïs.

« Cette visite a été l’occasion de rencontrer et d’échanger avec les parties prenantes du projet et, surtout, de recueillir leurs préoccupations et attentes », a-t-elle ajouté.

Elimane Dramé, directeur général d’une unité de transformation de noix de cajou, a exprimé sa gratitude envers les responsables de l’Agropole-Sud pour le soutien apporté aux producteurs de noix de cajou. Il a indiqué que son unité dispose d’une capacité de production de 2 400 tonnes de noix de cajou, mais que depuis quatre à cinq ans, elle n’a jamais dépassé 800 tonnes, soulignant ainsi les difficultés rencontrées pour approvisionner l’usine en matière première.

Mise à jour du cadre juridique du Sport au Sénégal : Vers une réforme ambitieuse

Le ministre sénégalais des Sports, Khady Diène Gaye, a récemment lancé les travaux visant à moderniser le cadre juridique régissant le secteur sportif dans le pays. Lors d’un atelier clé tenu cette semaine, elle a présidé la présentation préliminaire d’un projet de loi relatif aux activités physiques et sportives, marquant ainsi le début d’une étape cruciale dans cette refonte législative.

Dans son discours inaugural, Mme Gaye a souligné l’importance de ce rendez-vous en ces termes : « Aujourd’hui, nous nous réunissons pour examiner et redéfinir les contours des textes législatifs et réglementaires qui encadrent le sport au Sénégal, afin de répondre aux nouveaux défis et enjeux du secteur. » Cette initiative s’inscrit dans une démarche continue amorcée il y a plus de dix ans, visant à adapter le cadre juridique aux exigences évolutives du sport moderne.

La ministre a également mis en lumière les lacunes actuelles de la loi 84-59, pierre angulaire de la Charte du Sport sénégalais, en soulignant que celle-ci ne répond plus adéquatement aux besoins d’une pratique sportive contemporaine. « Il est urgent d’adapter notre législation au contexte actuel de l’évolution de la pratique sportive », a-t-elle affirmé.

L’atelier a rassemblé des cadres du ministère, des représentants des fédérations sportives et des experts du domaine, marquant ainsi une volonté collective de parvenir à un consensus sur les orientations futures du sport au Sénégal. Un comité spécial a été formé pour piloter ce processus de réforme, dont l’objectif est de finaliser rapidement un nouveau cadre juridique conforme aux aspirations et aux besoins actuels du secteur.

Pour Mme Gaye, cette initiative revêt une importance stratégique dans le cadre du Projet de transformation systémique du Sénégal, soulignant que le sport est devenu un élément central non seulement pour le bien-être physique, mais aussi pour l’éducation, la politique et l’économie.

En conclusion, cette démarche ambitieuse vise à moderniser et à optimiser la gestion et le développement du sport au Sénégal, en assurant une conformité aux normes internationales tout en tenant compte des spécificités nationales. Le gouvernement sénégalais, par le biais de ce processus de réforme, cherche à consolider sa position en tant que pilier du sport dans la région, prêt à relever les défis futurs avec rigueur et vision à long terme.

Avancée significative des travaux au Stade Demba Diop

Me Augustin Senghor, président de la Fédération Sénégalaise de Football (FSF), a récemment effectué une visite d’inspection sur le chantier du stade Demba Diop. Fermé en 2017 suite à une tragédie ayant coûté la vie à huit supporters, ce stade emblématique est en cours de rénovation depuis plus d’une année.

Satisfaction et Appel à l’Accélération

Lors de sa visite, Me Senghor s’est déclaré satisfait des progrès réalisés tout en soulignant l’importance d’accélérer la cadence des travaux. Les tribunes nord et sud, ainsi que les vomitoires, escaliers et coursives sur deux niveaux, sont en voie de finalisation. Les installations administratives, techniques et sportives prennent également forme.

Mise en Valeur de l’Expertise Locale

Me Senghor a profité de l’occasion pour saluer l’expertise locale sénégalaise engagée dans ce projet de rénovation. Il a souligné que ce chantier était un véritable laboratoire permettant à l’expertise locale de démontrer ses capacités et de relever les défis des grands chantiers, tant dans le domaine des travaux publics que dans celui des équipements sportifs.

Prochaines Étapes et Visite Anticipée

Le président de la FSF a annoncé une nouvelle visite dans un mois, accompagné du ministre des Sports et de représentants de la FIFA. Cette visite vise à constater l’avancement des travaux et à s’assurer que tous les engagements pris sont respectés. Me Senghor a également souligné l’importance de rouvrir le stade Demba Diop d’ici la fin de la saison prochaine.

Collaboration avec la FIFA

Me Senghor a exprimé sa satisfaction quant à l’avancement global des travaux mais a également insisté sur la nécessité d’augmenter le rythme pour respecter les délais prévus. Il a annoncé que la deuxième phase des travaux bénéficiera de l’accompagnement de la FIFA.

La rénovation du stade Demba Diop constitue un projet majeur pour le sport et la société sénégalaise. La visite de Me Augustin Senghor et l’annonce des prochaines étapes témoignent de l’engagement des autorités sportives à fournir aux supporters un stade moderne et sécurisé. La collaboration avec la FIFA renforce la dimension internationale de ce projet et ouvre de nouvelles perspectives pour le développement du football au Sénégal.

AGEROUTE accélère les travaux sur l’axe Kidira-Bakel avant l’hivernage

L’Agence des travaux et de gestion des routes (AGEROUTE) intensifie ses efforts sur l’axe Kidira-Bakel, long de 65 kilomètres, à moins de deux mois du début de la saison des pluies. Cet axe est réputé pour sa sensibilité en raison des grands cours d’eau qu’il traverse, ce qui en fait une priorité en matière d’entretien routier.

Les travaux avancent à un rythme soutenu, avec un taux d’exécution très élevé, et sont presque achevés. Ingénieurs, conducteurs de chantier, techniciens et ouvriers travaillent sans relâche, de jour comme de nuit, y compris les week-ends, pour garantir la qualité et la rapidité des travaux. Cette initiative réjouit particulièrement les populations de la région orientale du Sénégal.

Plusieurs anciens ponts et dalots ont été démolis et reconstruits selon les normes requises par le projet. Au total, 109 ouvrages ont été rénovés, dont 11 grands ponts, tandis que la chaussée a été élargie pour répondre aux normes de gabarit.

Ce dimanche 12 mai 2024, malgré des conditions météorologiques difficiles avec une température atteignant les 47 degrés Celsius, le chef de projet, Massamba Diop, a effectué une visite surprise pour évaluer l’avancement des travaux. Plusieurs ponts ont été inspectés, notamment celui de Béma, crucial pour relier la commune de Gabou à la ville de Bakel.

Les populations locales et les conducteurs de transport en commun expriment déjà leur satisfaction quant à ces réalisations, qui amélioreront la sécurité et la qualité des infrastructures routières dans la région.

La junte burkinabè suspend les travaux à la résidence de l’ambassadeur de France

La junte au pouvoir au Burkina Faso a pris la décision de suspendre les travaux de construction de bâtiments et d’ouvrages de stockage de carburant à la résidence de l’ambassadeur de France à Ouagadougou. Selon les autorités, l’ambassade française n’a pas obtenu les autorisations nécessaires pour entreprendre ces chantiers.

À ce jour, trois blocs de bâtiments comprenant 28 logements ont déjà été construits, et la soute a déjà été approvisionnée en carburant par Total Burkina.

Le gouvernement qualifie ces travaux de « travaux clandestins », soulignant que l’ambassade de France n’a pas obtenu de permis de démolition, de permis de construire, ni de permis pour fournir du carburant. Aucun privilège diplomatique ne peut justifier cette situation, a-t-il affirmé.

Selon le site d’informations « Burkina 24 », les entreprises impliquées dans les travaux et Total Burkina ont été interrogées à la fin du mois d’avril. Elles auraient toutes reconnu ne pas avoir vérifié les autorisations nécessaires avant de commencer les travaux.

Une source diplomatique citée par RFI explique que l’ambassade prévoyait initialement de rénover les bâtiments existants à la résidence de l’ambassadeur. Cependant, en raison de l’ampleur des travaux, elle aurait décidé de démolir les anciens bâtiments et de reconstruire des logements plus modernes pour le personnel diplomatique et les délégations en mission au Burkina Faso.

Cette affaire soulève des questions sur la gestion des autorisations de construction et des relations diplomatiques entre le Burkina Faso et la France. Les prochaines étapes de cette affaire pourraient avoir un impact sur les liens entre les deux pays.

Le Maire de Dakar lance les travaux d’extension du Collège d’Enseignement Moyen de Cambérène Seydina Issa Laye

Le Maire de Dakar, M. Barthelemy Dias, a récemment inauguré les travaux d’extension du Collège d’Enseignement Moyen (CEM) de Cambérène Seydina Issa Laye. Ces travaux, représentant un investissement total de 341 millions de francs CFA, marquent une étape importante dans le renforcement du système éducatif de la région en offrant à la jeunesse un cadre propice à son développement académique.

L’extension prévue permettra d’accueillir un nombre accru d’élèves dans des conditions optimales, avec des salles de classe modernes et équipées des dernières technologies. Cette initiative reflète l’engagement de la municipalité envers l’éducation et l’avenir de la jeunesse, considérant l’éducation comme la clé de la prospérité de la ville de Dakar.

En investissant dans ces infrastructures éducatives, la municipalité de Dakar démontre sa volonté de garantir à chaque enfant l’accès à une éducation de qualité, favorisant ainsi l’égalité des chances et le développement socio-économique de la région. Ces travaux témoignent de la vision à long terme du Maire et de son administration pour faire de Dakar un pôle d’excellence éducative.

Cette initiative a été chaleureusement accueillie par la communauté éducative et les habitants de Cambérène Seydina Issa Laye, illustrant leur volonté collective de construire un avenir meilleur pour la jeunesse de Dakar. En unissant leurs efforts, les autorités locales, les enseignants, les élèves et les parents contribuent à faire de l’éducation une priorité absolue, garantissant ainsi un avenir prometteur pour la ville et ses habitants.

Arrêt des travaux du programme de 100 000 logements à Diass : Une décision motivée par des conflits fonciers

Les travaux du programme de 100 000 logements situé dans la Commune de Diass ont été interrompus sur ordre du Gouverneur de la région de Thiès, informé des agissements notés et des menaces à l’ordre public. Cette décision fait suite à des tensions et des oppositions rencontrées lors de l’exécution du projet.

Le chef de division régionale de l’urbanisme, du logement et de l’hygiène publique, Jules Bernard Cabo, a pris cette mesure en se référant à l’arrêté N°024204 du 04 juillet 2023, émis par le ministre de l’Urbanisme du Logement et de l’Hygiène Publique. Cet arrêté autorisait le projet de lotissement dans la zone de Diass, sous réserve du droit des tiers.

Cependant, lors de l’exécution des travaux de lotissement, la société dénommée « Quality vegetable Senegal » ainsi que les populations exploitant la zone se sont opposées à la réalisation du projet. Cette opposition a conduit à des tensions et à des menaces potentielles à l’ordre public, ce qui a conduit les autorités à prendre la décision d’arrêter temporairement les activités du programme de logements.

Dans un communiqué adressé au représentant de la SCI de la Nouvelle ville, Tidiane Diawa, le Chef de Division a annoncé cette suspension des travaux, en attendant de trouver des solutions pour régler le conflit foncier. Cette mesure vise à prévenir toute escalade des tensions et à permettre aux autorités compétentes de trouver une issue pacifique et équitable au différend.

Il est essentiel de résoudre les conflits fonciers de manière transparente et conforme à la loi, tout en garantissant les droits des différentes parties concernées. La suspension temporaire des travaux témoigne de la volonté des autorités de préserver la sécurité et la stabilité dans la région, tout en cherchant des solutions durables pour permettre la poursuite du projet de logement dans le respect des lois et des droits des citoyens.

Inquiétudes à Nguinth Thiès : Les Travaux de Réhabilitation du Canal au Ralenti

À quelques mois de l’hivernage, les habitants du quartier Nguinth, dans la commune de Thiès-Nord, expriment leur inquiétude face aux retards observés dans les travaux de réhabilitation du canal à ciel ouvert, censé s’étendre jusqu’au pont 5.

Massamba Diop, ingénieur résidant dans la zone Nord, soulève l’alarme quant à la lenteur des travaux. « Mieux vaut prévenir que guérir », lance-t-il, notant que seulement 300 mètres de travaux ont été réalisés sur un linéaire d’environ 4 kilomètres. Cette situation suscite des préoccupations légitimes alors que l’hivernage approche à grands pas.

« Bientôt l’hivernage et cette situation risque de causer d’énormes problèmes aux populations, sans compter les problèmes de santé publique que les eaux pluviales peuvent engendrer », prévient Massamba Diop. Il appelle ainsi les autorités compétentes, dont le ministre-maire de la commune, Birame Soulèye Diop, à prendre des mesures urgentes pour accélérer les travaux et garantir la sécurité et le bien-être des habitants de Nguinth et des environs.

Cette alerte met en lumière l’importance cruciale de l’achèvement rapide des projets d’infrastructure, surtout ceux liés à la prévention des inondations, afin de protéger les communautés contre les risques liés aux intempéries. Les autorités sont donc appelées à agir rapidement pour éviter toute catastrophe potentielle et assurer la tranquillité d’esprit des résidents de Nguinth Thiès.

Découverte macabre à Birkelane : Des ossements humains trouvés sur un chantier, les travaux suspendus

Une découverte sinistre a perturbé les travaux sur un chantier dans la commune de Ségré Gatta, région de Kaffrine, à Birkelane. Des ossements humains ont été mis au jour, forçant la suspension immédiate des opérations et l’ouverture d’une enquête par les autorités compétentes, notamment la gendarmerie.

L’équipe de l’Ageroute, chargée du chantier dans le cadre du projet de construction de la route Mabo – Birkelane, a été confrontée à cette trouvaille macabre alors qu’elle prévoyait l’implantation d’un marché sur le site désigné par la mairie de Ségré Gatta.

Les ouvriers, creusant le sol dans le cadre de leurs activités, ont découvert des ossements humains enfouis. Alertée par cette découverte troublante, l’entreprise en charge du chantier a immédiatement informé les autorités compétentes, conduisant à l’intervention de la brigade territoriale de Birkelane, sous le commandement du capitaine Abdoulaye Samba Bâ.

Les premières constatations ont révélé que le site désigné par la mairie pour le marché était autrefois un cimetière, abandonné depuis les années 1924. Cette révélation a suscité des réactions parmi les habitants, certains d’entre eux ayant des liens personnels avec ce lieu chargé d’histoire.

Un notable local, A. Niass, a témoigné aux autorités que son grand-père avait été enterré sur ce site en 1952, et qu’il avait lui-même érigé une tombe à cet endroit en 2008. Ces informations ont souligné l’importance historique du site et ont mis en lumière la nécessité de traiter cette découverte avec respect et précaution.

Dans l’attente d’une solution concertée entre la mairie et l’Ageroute, les travaux sur le chantier ont été interrompus. Cette découverte rappelle l’importance de prendre en compte l’histoire et la signification des sites avant d’entreprendre des projets de développement, soulignant la nécessité de protéger et de préserver le patrimoine historique et culturel de la région.

Malicounda: Maguet Sene lance les travaux de deux axes routiers de la commune

La Commune de Malicounda démarre un programme de construction de routes sur une durée de 3 ans. Ce programme triennal débute ce mercredi 13 décembre 2022 à 15H lors d’une petite cérémonie prévue devant l’école de Takhoum 1 où doivent débuter les travaux. Deux axes sont prévus pour le compte des années 2023 et 2024, il s’agit de relier: Takhoum à Keur Meissa et Mbouleme à la Ville de Mbour. Ce programme financé sur le budget municipal concernera en plus des 2 villages cités Malicounda Ngogom, Fandane, Roff, Sinthiou Mbadane et Gagnabougou. A Malicounda, l’émergence se construit secteur par secteur !

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