Au sein du nouveau gouvernement, dirigé par Sonko, une nomination a suscité des réactions mitigées : celle d’El Malick Ndiaye à la tête du département des Transports. Alors que certains anticipaient sa nomination au ministère de la Communication, en raison de son rôle en tant que secrétaire national chargé de la communication au sein de Pastef, sa nouvelle responsabilité a surpris bon nombre d’observateurs politiques.
El Malick Ndiaye, déjà ministre des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens dans le gouvernement précédent, apporte une expertise significative dans le domaine. Peu de gens savent que Ndiaye possède une expérience professionnelle dans le secteur aéroportuaire, en plus d’être un professionnel certifié du Commerce International et de la Logistique.
Cette nomination a soulevé des questions quant aux motivations derrière ce choix apparemment inattendu. Certains spéculent sur les besoins du gouvernement en matière de compétences techniques spécifiques dans le secteur des transports, tandis que d’autres y voient peut-être une tentative de diversification des responsabilités ministérielles au sein du cabinet.
Quoi qu’il en soit, El Malick Ndiaye se retrouve désormais face à un défi de taille en tant que ministre des Transports. Son expérience antérieure dans le domaine lui confère une base solide, mais il devra également faire face à des attentes élevées de la part du public et du gouvernement en matière de développement et de gestion des infrastructures de transport.
L’avenir de son mandat sera scruté de près, alors que les citoyens s’attendent à des progrès tangibles dans un domaine aussi vital pour l’économie et la connectivité nationale.