Détenus (politiques) : Macky éclairé sur le dossier, lueur d’espoir…

Lors de la rencontre entre le collectif des candidats spoliés au parrainage et le président de la République, Macky Sall, une lueur d’espoir s’est manifestée pour les détenus politiques. Les candidats recalés au parrainage ont soulevé la question du sort des détenus politiques dans le contexte de la Présidentielle de 2024.

Bien que le président Macky Sall ait prétendument méconnu cette affaire de détenus politiques, il a demandé au collectif de l’éclairer en fournissant des noms spécifiques. Après avoir été informé sur le cas d’Aliou Sané, coordonnateur du mouvement Y’en a marre, et celui de Bassirou Diomaye Faye, le Président Sall a évoqué la séparation des pouvoirs et a suggéré que les avocats engagent la procédure de demande de liberté provisoire.

Cette déclaration du président laisse entrevoir une possible issue favorable pour les détenus politiques, et elle offre une lueur d’espoir quant à la situation de ces personnes incarcérées dans le contexte politique actuel. La séparation des pouvoirs est soulignée comme un principe clé dans cette démarche.

Aminata Angélique Manga à Victorine Ndéye : “De grâce, cessez de raconter des mensonges”.

Le Ministre Aminata Angélique Manga à Victorine Ndéye: “Quel culot de tenter d’interdire aux militants arborant T-shirts et pancartes à l’effigie de Angélique de mettre les pieds à Niaguis !”

Madame le ministre n’est ni réalité politique ni enjeu électoral!

«Immersion dans sa localité», vous dites ! Immersion : définition simple et facile du dictionnaire : passage, séjour d’une personne dans un autre pays, une autre société, un environnement ou une culture étrangère afin de mieux les comprendre. Merci Thérèse Sammy Boissy.
En voulant défendre l’indéfendable, vous avez fini d’admettre que vous n’êtes pas bien chez nous, à Niaguis, que vous « n’êtes Ziguinchoroise que de nom », tel votre néo politicienne aimait à le rappeler avec beaucoup de mépris envers les Casamançais, avant de se retrouver parachutée à Niaguis, faute d’avoir les reins solides pour la bataille de Ziguinchor. Paradoxalement, celle que vous traitez de « SDF », a son ancrage partout en Casamance. Elle a l’ancrage sociologique, l’ADN socioculturel, le sens élevé de la politique et le vécu qu’il faut pour prétendre parler et agir au nom des populations du Sud du Sénégal, contrairement à votre Apatride qui ne sait pas où mettre les pieds.
Donc subitement, celle qui vient de découvrir la région sans en connaitre nullement les cultures, et comment puisque n’ayant jamais vécu à Ziguinchor, < est devenue une réalité palpable >. Pouff de rires!!! Le cas échéant, elle ne se serait pas fait laminer outrageusement par « une politicienne en perte de vitesse »dont la mobilisation à Niaguis qui semble être votre fief, a bloqué le cortège du Premier ministre à telle enseigne que ce dernier a interpellé Angélique, (nommons la puisque vous êtes assez lâches et peureuses pour ne pas le faire), pour lui demander ce qui se passe. La vidéo dans laquelle le Pm Amadou Ba félicite Angélique pour sa mobilisation exceptionnelle a fini de faire le tour de la toile. Dégustez-la et respirez! Grand bien vous fera. Laminée à Niaguis, malmenée à Fanda, vous avez essayé de prendre votre revanche à Enampor dans son Royaume. Là vous avez reçu la raclée de votre vie, car malgré les millions dépensés pour acheter ses responsables et ses « Calebasses », vous avez appris à vos dépens qu’à Enampor, qu’à Ziguinchor, il n’y a qu’une seule Reine et elle s’appelle Angélique. Et de grâce, cessez de raconter des mensonges! Les « Calebasses de la Solidarité » ont été introduites à Ziguinchor et à Sédhiou depuis 2017 par cette digne fille de la région en partenariat avec la Suisse.
N’oubliez pas comment vous êtes venue à Ziguinchor, comment vous avez gagné Niaguis, comment vous avez été pernicieusement soutenue pour devenir maire! Et malgré tout, vous n’êtes passée que de justesse. Pas besoin de préciser la différence de voix! Vous savez. Nous savons. Et vous savez que nous savons.
Je comprends votre quête de légitimité à tout prix dans le département. Qui n’aurait pas tenté de faire pareil puisque votre électorat ne représente même pas 1% de l’électorat du département.
Mais dites moi Madame, quand vous achetez des militants déjà acquis à la cause du Parti, où est la plus-value que vous nous apportez? Quelle valeur ajoutée? Aucune ! Quand on veut justifier son inutilité, on finit cette fois-ci, oui, par créer la zizanie. Quel culot de tenter d’interdire aux militants arborant T-shirts et pancartes à l’effigie de Angélique de mettre les pieds à Niaguis! Do toko defati dé!
Votre réaction est symptomatique de la peur que vous avez suite à la grande mobilisation de cette dernière à Bignona, Ziguinchor, Enampor, Oussouye et Cap-Skirring.
« Angélique SDF », c’est curieux. Elle dont les parents sont domiciliés à Ziguinchor alors qu’il y en a une qui a été obligée d’acheter un domicile des mains d’un expatrié, juste avant les locales passées, afin de justifier sa résidence dans la commune qu’elle dirige. Thérèse Sammy Boissy, s’il y a SDF, c’est donc bien votre patronne.
Vous étiez où durant les difficiles moments de BBY à Ziguinchor? Vous vous glorifiez d’un bloc maraicher de moins d’un ha? Quel impact sur les centaines de femmes malgré tous les instruments dont vous disposez? Qu’avez-vous fait de concret à Niaguis ? Ce poste de santé inauguré par le Pm n’est-il pas un programme du PUMA bien antérieur à votre sélection à Niaguis? Le magasin de stockage n’est-il pas de la DER? N’êtes-vous pas présentement en train de vous débattre contre dans des problèmes liés au foncier ? Si ces mêmes populations vous adulent comme vous le prétendez, pourquoi importer des parents de Bissau, des personnes de Gambie, de Goudomp, de Bircama, de Simbandy pour vos mobilisations? Qui voulez-vous tromper avec vos folklores et fanfaronnades ? Si vous pensez que le tapis rouge vous sera déroulé à Ziguinchor pour faire votre défilé et déambuler comme bon vous semble, ma chère, c’est faire preuve de naïveté politique innommable ! Quand on pose des actes politiques, faut s’attendre à des réponses politiques.
En attente des prochains et des prochaines. Quand vous voulez, où vous voulez. Comme vous voulez. Cela ne dépend que de vous.
Pour cette fois, nous considérons que vous vous êtes trompée, ça peut arriver, c’est humain. Mais la prochaine fois, vous l’apprendrez à vos dépens. Déjà, retenez cette leçon, ça vous fera de l’expérience.

Mamadou Ba, Enseignant, Membre fondateur APR Ziguinchor,
Chef de Cabinet de Mme le Ministre Angélique MANGA GUEYE.

Les recalés de la Présidentielle rencontrent Macky Sall : Un plaidoyer pour une élection plus juste

Mercredi 24 janvier, une délégation composée de treize candidats recalés à l’élection présidentielle, ainsi que d’un représentant du Parti démocratique sénégalais (PDS), a été reçue en audience au palais de la République par le président Macky Sall. Au cœur des discussions, les dysfonctionnements du processus électoral, avec un accent particulier sur les problèmes liés au parrainage.

Parrainage, Diomaye Faye, Ousmane Sonko, Karim Wade: Ces points évoqués par les recalés devant …

Selon Alioune Sarr, porte-parole de la délégation, l’une des préoccupations majeures concerne les erreurs dans le système de parrainage. Les candidats ont souligné qu’en dehors de l’invalidité de la date de la carte nationale d’identité, qui sert de carte d’électeur, aucune autre raison ne devrait entraîner l’invalidation du parrainage. Ils ont insisté sur la nécessité d’apporter des corrections, affirmant que le Conseil constitutionnel n’est pas au-dessus de la loi.

Un autre point soulevé concerne le problème des candidats dont les parrainages n’ont pas été contrôlés en raison d’un fichier électronique inexploitable. Neuf candidats auraient été affectés par cette situation, entraînant la perte de parrains en raison de régions entières omises par le logiciel défaillant.

Par ailleurs, la délégation a alerté sur le risque que plus d’un million d’électeurs ne puissent pas voter en raison de leur absence sur le fichier électoral. Ils ont qualifié cette situation d’injustice et ont plaidé pour des mesures correctives rapides.

Les candidats recalés ont également évoqué la situation des jeunes compatriotes en prison. Ils ont exprimé le souhait de voir ces détenus libérés, soulignant que cela contribuerait à instaurer un climat électoral plus équilibré.

L’un des cas spécifiques mentionnés a été celui de Bassirou Diomaye Faye, candidat à la présidentielle, dont la libération a été demandée pour lui permettre de mener une campagne équitable avec les autres candidats.

Le porte-parole a également abordé la question de Karim Wade, rappelant qu’il avait été rejeté en 2019 pour des raisons spécifiques, mais que cette situation mérite d’être discutée compte tenu du rôle important joué par son parti, le PDS, sur le plan démocratique.

Concernant la candidature de Ousmane Sonko, la délégation a fait part de son espoir de voir le leader de Pastef revenir dans la course présidentielle si des corrections étaient apportées au processus électoral.

Cependant, le porte-parole a précisé que la question d’un éventuel report de l’élection présidentielle n’a pas été abordée lors de la rencontre avec le président Macky Sall. Les candidats restent optimistes quant à la possibilité de corriger les lacunes du processus sans compromettre la date prévue du scrutin, fixée au 25 février prochain. Une élection présidentielle plus juste et équilibrée demeure leur principal plaidoyer.

Les nominations en conseil des ministres du Mercredi 24 Janvier 2024

Le Président de la République a pris les décisions suivantes :

Madame Fatou Isidora MARA NIANG, Conseiller des Affaires étrangères principal, Ambassadeur, est nommée Secrétaire général du Ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, en remplacement de Monsieur Mame Baba CISSE, appelé à d’autres fonctions.

Monsieur Maguèye GUEYE, Conseiller des Affaires étrangères, précédemment Adjoint au Directeur du Protocole, des Conférences et de la Traduction au Ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, est nommé Directeur du Protocole, des Conférences et de la Traduction au Ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, en remplacement de Monsieur Christian Alain Joseph ASSOGBA, appelé à d’autres fonctions.

Monsieur Bocar Malick MBOW, Ingénieur de Conception en Géologie et Géotechnique, est nommé Secrétaire général de l’Agence des Travaux et de Gestion des Routes (AGEROUTE Sénégal).

Madame Ramata DANFAKHA, Administrateur des services de santé, précédemment en service à la Direction générale des Etablissements de Santé, est nommé Directeur du Centre hospitalier régional Thierno Birahim NDAO de Kaffrine, en remplacement du Monsieur Babakar SENE, appelé à d’autres fonctions.

Monsieur Babakar SENE, Administrateur des services de santé, précédemment Directeur du Centre hospitalier régional Thierno Birahim NDAO de Kaffrine, est nommé Directeur du Centre hospitalier national Seydi El Hadji Malick SY de Tivaouane, poste vacant.

Monsieur Alioune FALL, Conseiller en Travail social, précédemment Responsable des ressources humaines à la Direction générale de l’Action sociale, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Thiès, poste vacant.

Monsieur Modou TINE, Conseiller en Travail social, précédemment Chef du Service départemental de l’Action sociale de kaffrine, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Louga, poste vacant.

Monsieur Modou ANE, Conseiller en Travail social, précédemment en service à la Direction générale de l’Action sociale, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Kolda, poste vacant.

Monsieur El hadji Malick SALLA, Conseiller en Travail social, précédemment Chef du Service départemental de l’Action sociale de Gossas, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Tambacounda, poste vacant.

Monsieur Aliou DIA GUEYE, Conseiller en Travail social, précédemment Chef du Service départemental de l’Action sociale de Linguère, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Saint-Louis, poste vacant.

Monsieur Abdoul Hamady BA, Conseiller en Travail social, précédemment Chef du Service départemental de l’Action sociale de Fatick, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Matam, poste vacant.

Monsieur Mamadou DIEYE, Conseiller en Travail social, précédemment Chef du Service départemental de l’Action sociale de Nioro, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Fatick.

Madame Rokhaya TERA, Titulaire d’un Diplôme supérieur de Comptabilité et de Gestion, est nommée Inspecteur des Affaires administratives et financières au Ministère de l’Artisanat et de la Transformation du Secteur informel, poste vacant.

Monsieur Cheikh BA, Titulaire d’un Doctorat d’Etat en Relations internationales, est nommé Inspecteur technique au Ministère de l’Artisanat et de la Transformation du Secteur informel, poste vacant.

CAN 2024 : Le Sénégal veut maintenir le cap après un parcours sans faute

La Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024 se déroule avec son lot de surprises et de performances exceptionnelles. Dans ce contexte compétitif, le Sénégal, en tant que tenant du titre, s’est illustré dès le début de la compétition avec un parcours sans faute. La formation dirigée par le sélectionneur Aliou Cissé a remporté ses trois premiers matchs du groupe, face à la Gambie, au Cameroun et à la Guinée, démontrant ainsi sa force et sa détermination.

La difficulté du groupe dans lequel les Lions de la Teranga étaient engagés était telle que certains observateurs qualifiaient celui-ci de « groupe de la mort ». La pression était forte, avec la traditionnelle malédiction du champion en titre qui semble hanter cette compétition continentale. Cependant, le Sénégal a su rester concentré, affichant une qualité de jeu collective impressionnante.

Le bilan chiffré des réalisations sénégalaises est tout aussi remarquable. Avec huit buts marqués en trois matchs, l’attaque des Lions de la Teranga démontre une efficacité redoutable. Cette performance offensive a contribué à asseoir la confiance de l’équipe et à écarter les doutes qui peuvent surgir dans une compétition d’une telle envergure.

Aliou Cissé, le sélectionneur, attribue le succès de son équipe à une approche axée sur le collectif. « C’est un jeu qui met en valeur nos milieux de terrain, nos attaquants. Avant, on misait plus sur des individualités, aujourd’hui c’est beaucoup plus sur le collectif que cette équipe a été conçue », explique-t-il.

La déclaration d’Aliou Cissé démontre la philosophie de son équipe, qui privilégie la solidarité et la cohésion de groupe. Cette approche semble porter ses fruits, et le Sénégal se profile désormais comme l’un des favoris pour remporter la CAN 2024.

Bien que l’objectif final avoué soit de conserver le titre remporté lors de l’édition précédente, le sélectionneur préfère adopter une approche pragmatique. « Nous avons envie de rester dans le présent. Le présent, ce sont les huitièmes de finale. En arrivant ici, on s’est promis de jouer sept matchs, on en a joué trois, il nous en reste quatre », souligne Aliou Cissé.

Sadio Mané, la star emblématique de l’équipe sénégalaise, partage cet état d’esprit réaliste en affirmant : « On va prendre match après match pour essayer d’aller au bout. » Cette humilité et cette concentration sur l’instant présent illustrent la maturité et la détermination de l’équipe sénégalaise.

Malgré la réussite actuelle, Aliou Cissé met en garde contre tout excès de confiance en soulignant l’importance de « rester humble et continuer à travailler car tout peut arriver. » Le parcours en phase éliminatoire sera sans aucun doute un nouveau défi, et le Sénégal devra maintenir son niveau de performance élevé pour atteindre ses objectifs.

Le Sénégal, avec son parcours sans faute lors de la phase de groupes, s’affirme comme l’un des principaux prétendants au titre de la CAN 2024. Les attentes sont élevées, mais l’équipe dirigée par Aliou Cissé semble prête à relever tous les défis sur la route de la consécration continentale.

Énigme politique : Mimi Touré reçue nuitamment par Macky Sall

Le paysage politique sénégalais s’est récemment trouvé plongé dans une énigme intrigante, alimentée par des rumeurs persistantes d’une rencontre secrète entre Mimi Touré et le président Macky Sall. Cette mystérieuse audience aurait été en réponse à la requête des collectifs des candidats spoliés, qui sollicitaient l’intervention du chef de l’État pour mettre un terme au processus de parrainage.

L’annonce de cette audience a provoqué des réactions divergentes parmi les candidats recalés, en particulier d’Aminata Touré, qui a catégoriquement refusé de rencontrer le Président. Cette décision soulève des interrogations sur les intentions de Mimi Touré dans ce contexte politique délicat.

Selon des sources dignes de confiance de ledakarois.sn, le Président Macky Sall aurait déjà reçu secrètement un leader des candidats recalés. Cette rencontre nocturne se serait déroulée à Mermoz, dans la nuit du dimanche au lundi, vers 1h30 du matin. La même source indique que le leader en question aurait pris l’engagement de se distancier publiquement dès l’annonce de l’audience présidentielle.

La question qui se pose maintenant est de savoir si Mimi Touré serait également reçue par Macky Sall dans des circonstances similaires? La démarche d’Aminata Touré, initiatrice de la lettre adressée au Président, de se démarquer soulève des interrogations quant aux motivations de ces acteurs politiques.

L’ensemble de ces événements semble indiquer que la rencontre secrète entre le leader des candidats recalés et le Président de la République pourrait être l’élément déclencheur de cette audience, créant ainsi un climat politique encore plus complexe et intrigant au Sénégal. Seule l’annonce officielle de ces acteurs politiques pourrait lever le voile sur cette énigme et apporter des éclaircissements sur les dynamiques en jeu.

URGENT – Accident sur la route de Porokhane : 9 morts et plusieurs blessés dans une collision entre un Toyota « Mbacké-Touba » et un bus Tata (Vidéo)

Un grave accident de la circulation s’est produit aujourd’hui sur la route de Porokhane, à hauteur de Diourbel, laissant un lourd bilan de 9 morts et de nombreux blessés. Les premières informations indiquent qu’un véhicule de type Toyota « Mbacké-Touba » aurait été impliqué dans une collision avec un bus Tata.

Urgent 🚨 Acc!dent sur la Route de Porokhane : 9 M0rts et Plusieurs Blessés

L’accident s’est produit aux alentours de 01h du matin, lorsque le Toyota « Mbacké-Touba » et le bus Tata sont entrés en collision, provoquant un choc violent. Les autorités locales et les services d’urgence ont rapidement été dépêchés sur les lieux pour porter secours aux victimes et gérer la situation.

Malheureusement, le bilan initial de l’accident est tragique, avec neuf personnes déclarées décédées sur les lieux. De plus, plusieurs passagers ont été blessés et ont été transportés d’urgence vers les établissements de santé les plus proches pour recevoir des soins médicaux appropriés.

Les équipes de secours ont travaillé sans relâche pour extraire les victimes des véhicules impliqués, coordonner les opérations de sauvetage et fournir les premiers soins nécessaires. Les blessés ont été évacués vers les hôpitaux de la région, où leur état de santé sera évalué de manière approfondie.

Une enquête approfondie a été lancée pour déterminer les circonstances exactes de l’accident. Les experts en accidentologie et les forces de l’ordre examineront les éléments sur place, recueilleront des témoignages et examineront les données des véhicules impliqués pour comprendre les causes de cette tragédie.

Cet accident tragique souligne l’importance cruciale de respecter les règles de conduite, de rester vigilant sur la route et de prendre toutes les précautions nécessaires pour assurer la sécurité des conducteurs et des passagers. Les autorités lancent un appel à la prudence et rappellent l’importance de respecter les limitations de vitesse et les règles de conduite.

Cet événement douloureux laisse la communauté endeuillée, et nos pensées vont aux familles des victimes ainsi qu’aux personnes touchées par ce drame.

Aliou Cissé Élogieux envers Sadio Mané : « On a le sentiment que… »

Après la victoire du Sénégal face à la Guinée (2-0), où Sadio Mané a joué un rôle décisif en fournissant une passe pour le but d’Ilimane Ndiaye, le sélectionneur Aliou Cissé a exprimé sa satisfaction à l’égard des performances de la star du football sénégalais.

« Sadio Mané monte en puissance depuis le début de la compétition. C’est le propre des grands joueurs. On a le sentiment que plus le match avance, mieux il le sent et on attend qu’il soit décisif », a déclaré Cissé lors de la conférence de presse après le match.

Ces éloges soulignent la montée en puissance de Sadio Mané et son influence grandissante au fil des matches de la Coupe d’Afrique des Nations, renforçant ainsi son statut en tant que joueur clé pour l’équipe sénégalaise dans la quête de défendre son titre de champion d’Afrique.

Aliou Cissé Satisfait après la victoire du Sénégal : ‘On était dans le groupe de la mort

Suite à la victoire convaincante du Sénégal face à la Guinée (2-0) dans le dernier match de poule, le sélectionneur des Lions, Aliou Cissé, exprime sa grande satisfaction envers ses joueurs. Ayant triomphé dans ce qui était qualifié de « groupe de la mort », Cissé souligne la capacité de son équipe à assumer son statut et à sortir victorieuse de cette phase de la compétition.

Aliou Cissé Satisfait après la victoire du Sénégal : "On était dans le groupe de la mort"

« C’est une grosse satisfaction. Je suis satisfait de mes joueurs. C’était un groupe très compliqué et certains disaient même qu’il s’agissait du groupe de la mort. On a pu éviter la malédiction du champion et vraiment je suis satisfait du rendement obtenu sur ces trois matchs. On n’a pas dormi sur nos lauriers (…) », déclare Cissé.

Il évoque également la défaite en finale de 2019 contre l’Algérie, soulignant que cette expérience a permis à l’équipe d’apprendre et de revenir deux ans plus tard pour remporter la CAN au Cameroun. Cissé met en avant la continuité de l’équipe avec la présence de nombreux joueurs qui étaient déjà là en 2019, soulignant le parcours collectif de l’équipe au cours des huit ou neuf dernières années.

« On est ensemble depuis huit ou neuf ans et on a appris dans la souffrance et la douleur. Parfois perdre n’empêche pas de progresser », conclut le sélectionneur, mettant en avant la résilience et l’apprentissage à travers les expériences difficiles de l’équipe.

CAN2023 : Les Lions s’imposent face à la Guinée et assurent un sans-faute historique

Au terme d’une rencontre sans saveur mais marquée par quelques tensions, l’Equipe Nationale du Sénégal est venue à bout de la Guinée (2-0) grâce à des but d’Abdoulaye Seck et d’Iliman Ndiaye. Grâce à cette troisième victoire en trois matches, les Lions terminent en tête de leur groupe et disputeront leur huitième de finale à Yamoussoukro contre un meilleur troisième.

Ce n’était pas grandiose, mais le carton plein tant attendu est bien là. L’Equipe Nationale du Sénégal, certes avec seulement deux changements dans le onze de départ avec l’entrée d’Abdoulaye Seck et de Nampalys Mendy, a patienté mais s’est finalement imposée au Stade Charles Konan Banny pour son troisième match de groupe face à la Guinée (2-0). C’est bien le défenseur du Maccabi Haifa qui met devant son équipe, avant qu’Iliman Ndiaye ne sécurise le succès. Et c’est la première fois de son Histoire que le Sénégal prend 9 points sur 9 en CAN.

S’ils n’ont pas assuré le spectacle comme face à la Gambie et au Cameroun, les hommes d’Aliou Cissé ont fait le travail, en s’imposant pour la troisième fois dans cette Coupe d’Afrique des Nations, sur la plus petite des marges, face à une équipe de la Guinée qui ne s’est jamais montrée dangereuse. Avec deux changements dans son onze de départ, le sélectionneur sénégalais s’attendait forcément à voir ses troupes enchaîner sur le même rythme. Du rythme, il en a longtemps manqué dans cette rencontre entre deux équipes assez calculatrices.

Drame à la SOGAS : L’Égorgement d’Amadou Diaw révèle un différend surprenant

Un acte d’une violence choquante a secoué les abattoirs de la Société de gestion des abattoirs du Sénégal (SOGAS) avec le meurtre brutal d’Amadou Diaw, survenu lundi matin. Les détails macabres du crime commis par Abdou Mbaye commencent à émerger, et le mobile semble être un différend lié à la vente d’un téléphone portable.

Amadou Diaw a perdu la vie de manière tragique, victime d’une agression féroce qui a choqué l’ensemble de la communauté. Son présumé meurtrier, Abdou Mbaye, a été rapidement appréhendé dans le département de Mbour, à Nguékhoh, grâce à une géolocalisation efficace.

Au cœur de cette tragédie, un téléphone portable défectueux devient le point central du différend entre les deux hommes. Selon des sources, le téléphone aurait été vendu par Amadou Diaw à Abdou Mbaye pour 10 000 F CFA, avec un acompte de 2000 F CFA versé. Cependant, le différend éclate lorsque Diaw réclame le reliquat de 8 000 F CFA à Mbaye.

La situation s’est envenimée au point où des échanges d’injures et des menaces ont été proférés entre les deux protagonistes. « Considère désormais que ta vie est entre mes mains », aurait déclaré Abdou Mbaye, présumé meurtrier, à Amadou Diaw.

Le différend sur la somme modeste de 8 000 F CFA a pris une tournure tragique, aboutissant à l’égorgement d’Amadou Diaw. Cette affaire soulève des questions sur la violence extrême qui peut découler de simples désaccords, mettant en lumière la nécessité d’une résolution pacifique des conflits.

Abdou Mbaye est actuellement en route pour Dakar, où il sera interrogé dans le cadre de l’enquête en cours. Les autorités chercheront à comprendre les circonstances exactes de ce drame et à rendre justice à la victime, Amadou Diaw.

Cette tragédie à la SOGAS rappelle la fragilité de la vie face à des disputes qui, dans ce cas, ont conduit à un dénouement extrêmement dramatique. La communauté est en deuil et attend des réponses quant aux circonstances entourant cet acte insensé.

Détermination et Respect : Aliou Cissé mène le Sénégal à la conquête de la CAN 2023

Aliou Cissé, le visionnaire sélectionneur de l’équipe nationale sénégalaise, s’apprête à guider son équipe avec détermination et respect lors du prochain match crucial de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2023 contre la Guinée. Après une brève hospitalisation, Cissé, plein de confiance, partage sa philosophie respectueuse envers l’adversaire tout en révélant ses plans stratégiques pour la suite du tournoi.

Rétablissement et Détermination :
Suite à son récent rétablissement, Aliou Cissé a tenu à souligner l’importance du respect envers l’équipe guinéenne. « Nous abordons chaque match avec un grand respect pour nos adversaires », déclare-t-il. Malgré les défis récents, la détermination de Cissé reste inébranlable, avec pour objectif de jouer un football de qualité et de remporter la victoire.

Gestion Stratégique de l’Effectif :
Qualifié d’ores et déjà pour les phases éliminatoires, Cissé rassure les supporters sur l’équipe à aligner, évoquant la possibilité d’expérimenter tout en maintenant la compétitivité. Cette approche réfléchie vise à offrir du temps de jeu à certains joueurs tout en préservant la fraîcheur physique des cadres pour les étapes cruciales du tournoi.

Reconnaissance envers l’Adversaire :
Dans une déclaration empreinte de fair-play, Aliou Cissé a salué les mérites des joueurs guinéens, soulignant leur talent exceptionnel. Cette reconnaissance s’inscrit dans la vision à long terme du sélectionneur, mettant en avant l’importance de l’échange et du respect mutuel entre les équipes africaines.

Sadio Mané : Le Pilier de l’Équipe :
Dans une autre déclaration, Cissé a mis en lumière le rôle crucial de Sadio Mané, considéré comme le grand joueur autour duquel l’équipe construit son jeu. La confiance envers Mané, non seulement en tant que talent individuel exceptionnel, mais aussi en tant que leader inspirant, témoigne de l’importance du joueur dans les ambitions du Sénégal à la CAN 2023.

Perspectives et Attentes :
À la veille du match contre la Guinée, les supporters sénégalais sont prêts à soutenir leur équipe avec enthousiasme, espérant une performance convaincante malgré les obstacles. Les déclarations d’Aliou Cissé ajoutent une dimension de fair-play et de respect à l’atmosphère compétitive de la CAN 2023, promettant un spectacle mémorable.
Aliou Cissé incarne la détermination, le respect et la vision stratégique, formant ainsi un leader inspirant pour l’équipe sénégalaise à la CAN 2023. Les supporters, fiers de leur équipe, sont prêts à vivre chaque moment de cette aventure sportive passionnante.

Alerte Météo : Mauvaise qualité de l’air et Poussière attendues à partir de mardi

L’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim) a émis une alerte concernant une mauvaise qualité de l’air et la présence de particules de poussière, affectant initialement les régions du Nord du pays à partir de mardi. Cette situation devrait progressivement s’étendre à l’ensemble du territoire.

Selon les informations de l’Anacim, la suspension de particules de poussière débutera dans les régions du Nord dans l’après-midi du mardi 23 janvier 2024. Ce phénomène devrait ensuite se généraliser sur une grande partie du pays, y compris dans les régions intérieures et sur le littoral, au cours de la journée du mercredi et du jeudi. Une réduction significative de la visibilité est anticipée dans ces zones, bien que la partie Sud du pays soit relativement moins touchée.

La mauvaise qualité de l’air devrait persister pendant environ 72 heures, avec une baisse progressive des concentrations de particules à partir du 26 janvier. L’Anacim recommande aux personnes sensibles, notamment celles souffrant de maladies respiratoires, aux jeunes enfants et aux personnes âgées, de prendre des précautions particulières. Il est conseillé de limiter l’exposition à l’air ambiant et de porter un masque pour se protéger des particules en suspension dans l’air.

Les autorités invitent la population à suivre attentivement les mises à jour météorologiques et à prendre les mesures nécessaires pour minimiser les impacts de cette situation sur la santé.

(Photos) – Expulsion des Étudiants de Ziguinchor : Conflit avec la Municipalité

Hier, les étudiants de Ziguinchor ont été brusquement expulsés de leur lieu d’accueil suite à la résiliation du contrat par la municipalité, qui refuse obstinément de le renouveler. Cette décision abrupte a jeté ces jeunes chercheurs dans une situation précaire, soulevant des inquiétudes quant à leur avenir académique.

L’immeuble, qui servait de résidence aux étudiants, a été le théâtre de tensions croissantes ces derniers jours. La municipalité, invoquant des motifs non spécifiés, a mis fin au contrat de location, plongeant les étudiants dans l’incertitude quant à leur hébergement.

Les étudiants ziguinchorois, affectés par cette décision, demandent des explications claires de la part des autorités municipales. Ils soulignent que cette expulsion soudaine perturbe leurs études et compromet leur stabilité pendant la période académique.

Du côté de la municipalité, aucun commentaire n’a été émis pour justifier cette résiliation de contrat. Les raisons derrière cette décision restent floues, alimentant ainsi la perplexité au sein de la communauté étudiante et de la population locale.

Des organisations étudiantes et des représentants de la société civile se mobilisent déjà pour soutenir les étudiants expulsés et plaident en faveur d’une résolution rapide de ce différend. La situation souligne également la nécessité d’un dialogue ouvert entre les autorités locales et les étudiants afin de trouver une solution équitable et de restaurer la stabilité nécessaire pour poursuivre les études dans des conditions optimales.

En attendant des développements futurs, la précarité des étudiants de Ziguinchor demeure une préoccupation urgente qui requiert l’attention des parties impliquées, ainsi que de la communauté éducative et de la société civile.

Secrétaire général du Ministère des Affaires étrangères limogé : Les mystères d’un départ précipité

La scène politique au Sénégal est actuellement agitée par le limogeage inattendu du secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Mame Baba Cissé. Ce départ, survenu de manière inhabituelle en dehors du cadre d’un Conseil des ministres, suscite des interrogations au sein de l’opinion publique. Surnommé « The King », Mame Baba Cissé était une figure influente au sein du ministère, et les raisons de son limogeage restent entourées de mystère.

Contrairement à la procédure habituelle qui veut que les changements au poste de secrétaire général du ministère des Affaires étrangères soient actés lors d’un Conseil des ministres, le départ de Mame Baba Cissé a été décidé de manière exceptionnelle, en urgence. Cette démarche inhabituelle soulève des questions sur la nature précise des circonstances qui ont conduit à cette décision brusque.

Selon les informations fournies par L’Observateur, les raisons du limogeage de Mame Baba Cissé demeurent floues et alimentent diverses spéculations. Dans les couloirs du ministère, certaines rumeurs font état d’un acte de défiance dont Mame Baba Cissé se serait rendu coupable, ce qui aurait motivé la décision du ministre de tutelle, Ismaïla Madior Fall. Cependant, le journal rapporte également une autre version selon laquelle le départ pourrait être lié à une ingérence, sans préciser la nature ni l’origine de cette ingérence.

Mame Baba Cissé, surnommé « The King », jouissait d’une influence notable au sein du ministère des Affaires étrangères. Son limogeage soudain a pris de court bon nombre d’observateurs politiques, et l’absence de transparence quant aux motifs de son départ alimente les spéculations au sein de l’opinion publique.

Le limogeage en urgence du secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Mame Baba Cissé, demeure entouré de mystère, suscitant des conjectures au sein de l’opinion publique sénégalaise. La nature précise des raisons de son départ reste à éclaircir, et la situation souligne l’importance de la transparence dans les décisions politiques, surtout lorsqu’elles touchent des personnalités influentes au sein de l’appareil gouvernemental.

Présidentielle 2024: Karim Wade contestera sa non-admissibilité devant les juridictions internationales

Suite à la déclaration du Conseil constitutionnel rendant irrecevable sa candidature à l’élection présidentielle du 25 février, Karim Wade, fils de l’ancien président sénégalais Abdoulaye Wade, annonce son intention de saisir les juridictions internationales pour défendre son droit à participer au scrutin.

Karim Wade, qui réside au Qatar depuis sa libération de prison en 2016, est le seul parmi les 21 candidats dont la candidature a été déclarée irrecevable par le Conseil constitutionnel. Le rejet est basé sur un recours déposé par un autre candidat contestant la véracité de la déclaration sur l’honneur de Wade concernant sa double nationalité, française et sénégalaise.

Karim Wade dénonce la décision du Conseil constitutionnel comme étant « scandaleuse » et une « atteinte flagrante à la démocratie ». Il conteste le fondement de la décision, affirmant avoir depuis longtemps renoncé à sa nationalité française et considérant que la décision viole son droit fondamental de participer à l’élection présidentielle.

Face à ce qu’il qualifie de « complot judiciaire », Karim Wade annonce son intention de saisir les juridictions internationales, dont la Cour de justice de la CEDEAO, pour contester la décision du Conseil constitutionnel. Il considère que cette démarche est nécessaire pour défendre ses droits et rétablir sa candidature.

La décision du Conseil constitutionnel et la réaction de Karim Wade ajoutent une dimension controversée à un contexte électoral déjà tendu. Avec plusieurs candidats écartés pour diverses raisons, dont des condamnations définitives, l’élection présidentielle au Sénégal s’annonce comme un moment clé avec une vingtaine de candidats en lice.

La contestation de Karim Wade devant les juridictions internationales promet de maintenir la tension autour de l’élection présidentielle sénégalaise. L’issue de cette démarche pourrait avoir des implications significatives sur le déroulement du scrutin et susciter un débat plus large sur les processus électoraux et la participation politique au Sénégal.

Rejet de la candidature d’Ousmane Sonko par le Conseil Constitutionnel pour des raisons légales

Le Conseil constitutionnel du Sénégal a annoncé le rejet de la requête de l’opposant Ousmane Sonko pour participer à l’élection présidentielle de 2024, citant des motifs juridiques. Cette décision découle de la condamnation de Sonko à une peine d’emprisonnement de 6 mois avec sursis dans une affaire de diffamation l’opposant au ministre Mame Mbaye Kan Niang.

Les sept membres du Conseil constitutionnel ont précisé que, conformément à l’article L.125 du Code électoral, ils effectuent toutes les vérifications nécessaires pour s’assurer de la validité des candidatures. La condamnation d’Ousmane Sonko dans une affaire de diffamation le rend inéligible pendant 5 ans, en vertu de l’article L.30 du Code électoral. Ainsi, la requête d’Ousmane Sonko a été rejetée.

Le Conseil constitutionnel a également abordé l’absence de l’attestation confirmant le versement de la caution, un élément qui a conduit à l’irrecevabilité de la candidature de Sonko. Ils ont déclaré que cette absence était imputable à des défaillances de la Caisse des Dépôts et Consignations (Cdc), qui avait reçu le chèque certifié de Sonko mais avait refusé de lui remettre une attestation.

Le Conseil constitutionnel a souligné que, bien que le contrôle des parrainages soit une condition nécessaire pour la recevabilité des candidatures, il n’est pas suffisant en soi. Ils ont noté que le dossier de Sonko ne contenait pas toutes les pièces exigées par la loi, mais que cette lacune ne pouvait pas lui être reprochée, car elle était indépendante de sa volonté.

Ousmane Sonko avait introduit une requête après avoir été écarté de la course à la présidentielle au stade du parrainage. Cette décision du Conseil constitutionnel intervient dans un contexte politique tendu à l’approche des élections présidentielles prévues le 25 février 2024.

Liste définitive des Candidats à la Présidentielle 2024 : Ousmane Sonko et Karim Wade écartés par le Conseil Constitutionnel

Le Conseil constitutionnel du Sénégal a publié sa liste définitive des candidats en vue de l’élection présidentielle prévue en 2024. L’annonce confirme la participation de Bassirou Diomaye Faye et Cheikh Tidiane Dieye, malgré des recours déposés à leur encontre. En revanche, les candidatures d’Ousmane Sonko, leader de l’ex-Pastef, et de Karim Wade, président de la coalition K24, ont été rejetées.

Mamadou Badio Camara, président du Conseil constitutionnel, a présenté les résultats après que lui et son équipe ont quitté les locaux du Conseil, mettant ainsi fin à une période d’incertitude entourant ces candidatures controversées. La décision de déclarer le dossier de Karim Wade irrecevable et de ne pas retenir la candidature d’Ousmane Sonko pourrait avoir des répercussions significatives sur le paysage politique sénégalais.

Parmi les 18 autres candidats dont les dossiers ont été retenus, on retrouve des personnalités bien connues telles que Boubacar Camara, Déthié Fall, Khalifa Ababacar Sall, Idrissa Seck, et d’autres. Cette liste diversifiée reflète la pluralité des acteurs politiques engagés dans la course à la présidence.

La non-inclusion d’Ousmane Sonko, figure majeure de l’opposition, et de Karim Wade, fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, pourrait intensifier les débats politiques dans les semaines à venir. Les partisans de ces deux leaders pourraient exprimer leur mécontentement, tandis que les autres candidats se préparent à une campagne électorale marquée par des enjeux cruciaux pour l’avenir du Sénégal.

Parmi les candidats retenus, des personnalités émergent comme des prétendants sérieux à la magistrature suprême. Les électeurs auront désormais l’opportunité de considérer un large éventail d’options lors du scrutin, chacune représentant des visions et des programmes différents pour le futur du pays.

La scène politique sénégalaise est désormais fixée, ouvrant la voie à une campagne présidentielle pleine de dynamisme, d’anticipations et d’enjeux pour la nation ouest-africaine. Les yeux seront rivés sur les candidats confirmés alors qu’ils cherchent à convaincre les électeurs et à façonner le destin politique du Sénégal pour les années à venir.

Urgent – Can 2023 : Aliou Cissé hospitalisé (Canal Plus)

Le sélectionneur sénégalais, Aliou Cissé a eu un malaise, suite à la victoire (3-1) face aux Lions indomptables, rapporte Canal +. Il a été hospitalisé à l’hôpital de Yamoussoukro, où il a passé la nuit.

Selon Canal+, il va sortir dans les prochaines heures.

Nécrologie – Dernière minute : Décès de Fatou Kiné Diouf Diaga, mère du chanteur Wally Seck

Une très mauvaise nouvelle a encore frappé la famille de feu Thione Seck. Celle qui était son épouse, Fatou Kiné Diouf  »Diaga », maman du célèbre chanteur, Wally Ballago Seck n’est plus.

Plusieurs sources proches de la famille ont confirmé son rappel à Dieu.

Un décès survenu ce samedi 20 janvier à Paris, des suites d’une longue maladie.

Notre rédaction exprime ses condoléances à toute la famille Seck.

Le Dakarois Quotidien N°086 – du 20 et 21/01/24

Le Dakarois Quotidien N°086 – du 20 et 21/01/24
🔴 CAN 2024 – Sénégal-Cameroun: Le choc d’une épopée sportive et émotionnelle

Exploitation Pétrolière et Gazière : Dakar et Nouakchott visent un partage équitable des revenus du champ GTA

Les gouvernements du Sénégal et de la Mauritanie travaillent conjointement sur un mécanisme de partage équitable des profits découlant de l’exploitation des ressources pétrolières et gazières dans le champ Grand Tortue Ahmeyim (GTA). Le ministre sénégalais du Pétrole et des Énergies, Antoine Diome, a souligné l’importance de cet audit des coûts pétroliers pour assurer la transparence dans le partenariat avec British Petroleum.

Antoine Diome a informé lors d’un point de presse qu’un audit des coûts pétroliers est en cours pour examiner en détail les dépenses liées au partenariat avec British Petroleum dans le cadre du projet GTA. Ce processus vise à garantir la transparence et à répondre aux attentes des populations des deux pays concernés.

Le taux d’exécution du projet Grand Tortue Ahmeyim atteint actuellement 91%. Cependant, les ministres des deux pays reconnaissent le retard de vingt-huit mois dans la sortie prévue des premiers barils de pétrole du champ GTA cette année.

Antoine Diome souligne que les deux États ont la responsabilité de veiller au suivi rigoureux du projet et à la préservation des intérêts des populations. Les réunions entre les ministres et leurs collaborateurs ont permis d’évaluer l’impact global du retard et des augmentations de coûts annoncées.

Les ministres rappellent l’existence d’un mécanisme déjà mis en place entre la Mauritanie et le Sénégal pour le partage des revenus du champ GTA. Ce mécanisme devrait assurer une répartition équitable des bénéfices résultant de l’exploitation des ressources pétrolières et gazières communes.

L’accent mis sur la transparence à travers l’audit des coûts pétroliers démontre l’engagement des deux gouvernements à garantir un partage équitable des revenus du champ GTA. Cette collaboration renforcée vise à assurer que les bénéfices tirés de l’exploitation des ressources pétrolières et gazières profitent aux populations des deux nations.

CAN 2023 : Aliou Cissé applaudit la performance des Lions malgré un but encaissé

Après la victoire impressionnante du Sénégal contre le Cameroun avec un score de 3-1, le sélectionneur national, Aliou Cissé, exprime sa satisfaction envers la performance de son équipe tout en soulignant la qualité du jeu. Malgré le succès, Cissé regrette le but encaissé sur un corner, soulignant la nécessité de rester humble alors que les Lions se qualifient pour les huitièmes de finale de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN).

Aliou Cissé se réjouit de la manière dont ses joueurs ont respecté les consignes et ont été réceptifs sur le terrain, qualifiant le match de « gros match ». La victoire confirme la qualification du Sénégal pour les huitièmes de finale avec six points, démontrant la solidité et la détermination de l’équipe nationale.

Malgré la performance globale positive, le sélectionneur exprime des regrets quant au but encaissé sur un corner. Cissé souligne l’importance de rester concentré et de travailler sur les aspects à améliorer, même dans la victoire.

Aliou Cissé explique que son équipe a été solide, ne laissant pas le Cameroun pénétrer leur bloc défensif. Il met en avant la stratégie de pression haute de son équipe, soulignant que le Sénégal ne se contente pas d’attendre mais cherche à imposer son jeu.

Bien que la qualification soit assurée, Aliou Cissé rappelle l’importance de rester humble et mentionne le prochain match contre la Guinée dans la phase des poules. Il tire des leçons des éditions précédentes de la CAN et souligne que la modestie est cruciale pour atteindre les objectifs fixés.

Le sélectionneur évoque le travail entrepris depuis 2015 et commente l’envie de gagner qui anime l’équipe sénégalaise. Il insiste sur l’importance de l’expérience et de la fidélité des millions de supporters sénégalais.

Cissé reconnaît que le Cameroun reste une grande équipe malgré la défaite. Il souligne que l’équipe camerounaise évolue avec de nouveaux profils de joueurs, et il encourage leur adaptation pour maintenir le statut du Cameroun parmi les meilleures équipes du continent.

La réaction positive d’Aliou Cissé après la victoire du Sénégal contre le Cameroun met en avant la qualité du jeu des Lions tout en soulignant la nécessité de rester concentré et humble pour atteindre les objectifs futurs dans la CAN 2023.

Cheikh Kane

Can2023 – Victoire du Sénégal face au Cameroun : Le message de  »fierté » de Macky Sall aux Lions qualifiés en 8es de finale

Can 2023 : La joie immense de Macky Sall dans son vol après la qualification des Lions

Le Tweet n’a pas tardé ! Le président de la République, Macky Sall a félicité les Lions pour leur victoire face aux Lions indomptables, qui leur assure le ticket de qualification pour les 8es de finale de la Can 2023 en terre des Éléphants.

CAN 2024 : Le Sénégal domine le Cameroun et s’assure une Place en 8es avec une victoire convaincante

Le Sénégal a brillamment validé sa place en huitièmes de finale de la Coupe d’Afrique des Nations en remportant une victoire décisive contre le Cameroun sur un score de 2-0. Cette deuxième victoire consécutive place les Lions de la Teranga en tête du groupe C, démontrant leur détermination à défendre leur couronne africaine.

Le match entre le Sénégal, champion d’Afrique en titre, et le Cameroun, détenteur de cinq titres, était l’un des moments les plus attendus de la phase de groupes. Ce duel entre les Lions de la Teranga et les Indomptables du Cameroun a suscité une grande attente, mettant en scène deux puissances du football africain.

L’ouverture du score a été orchestrée par Pape Matar Sarr et Ismaïla Sarr, avec ce dernier marquant après une déviation subtile de Pape Matar Sarr. Cette collaboration a permis aux Sénégalais de prendre l’avantage dès la 12e minute, montrant une maîtrise impressionnante du jeu.

La première mi-temps a été caractérisée par une domination totale des Sénégalais, laissant les Camerounais impuissants. Les Lions de la Teranga ont démontré une coordination exceptionnelle et une maîtrise tactique, laissant entrevoir leur ambition de défendre avec succès leur titre continental.

En tribunes, l’ancien international camerounais Samuel E’too a exprimé sa frustration face à l’impuissance de son équipe. Les Lions indomptables ont eu du mal à répondre à la maîtrise sénégalaise, et les supporters ont ressenti la déception tout au long du match.

La victoire du Sénégal place la pression sur le Cameroun pour la suite du tournoi, soulignant l’importance cruciale de leur prochain match contre la Gambie. Le Sénégal, quant à lui, consolide sa position de favori et renforce sa confiance avant les phases éliminatoires.

Cependant, une ombre plane sur la victoire sénégalaise avec la sortie de Lamine Camara en fin de match, suscitant des interrogations sur une possible blessure ou épuisement. Cette situation pourrait être un point d’attention dans les jours à venir.

La victoire convaincante du Sénégal contre le Cameroun souligne la détermination des Lions de la Teranga à marquer de leur empreinte la CAN 2024. La suite du tournoi promet des confrontations passionnantes, et le Sénégal se positionne comme un sérieux prétendant à la défense de son titre continental.

71′ ⚽ HABIB DIALLO FAIT LE BREAK !

Le Sénégal fait logiquement le break. Dans l’axe, Sadio Mané décale Ismaïla Sarr sur la droite. Ce dernier centre fort à ras de terre vers Habid Diallo qui se jette pour pousser le ballon au fond.

https://twitter.com/i/status/1748412675942449466

Scandale Financier à Guédiawaye: La Gestion douteuse du Maire Ahmed Aïdara

Guédiawaye, une commune paisible de la région de Dakar, se retrouve au cœur d’un scandale financier qui soulève des inquiétudes quant à la rigueur et à l’expérience de gestion du maire Ahmed Aïdara. L’affaire, impliquant un virement par erreur de 79 millions de francs CFA du Trésor public, met en lumière des failles dans la supervision et la transparence au sein de l’administration municipale.

Manque de Rigueur Administrative :
La première faille apparente dans cette affaire est le manque de rigueur administrative. L’erreur dans le virement semble découler d’une confusion lors de l’appel d’offres pour la fourniture de fournitures scolaires. Le secrétaire en charge de cette tâche aurait dû exercer un contrôle plus strict pour éviter de telles erreurs, mettant ainsi en doute la compétence et la rigueur du personnel municipal.

Responsabilité du Comptable de la Mairie :
Une gestion financière appropriée est cruciale pour toute administration municipale. Dans ce cas, la responsabilité du comptable de la mairie est remise en question. Un contrôle financier adéquat aurait dû être effectué pour garantir que les transactions sont conformes aux procédures établies. Le manque de supervision adéquate sur de telles opérations financières soulève des préoccupations sur la gestion des fonds publics.

Opacité et Manque de Transparence :
Le mystère entourant le destinataire du virement de 79 millions de francs CFA et les circonstances qui ont conduit à cette erreur soulève des questions sur la transparence de l’administration municipale. Les citoyens de Guédiawaye méritent de savoir comment de telles erreurs peuvent se produire et qui est responsable de cette confusion financière.

Appels à la Reddition de Comptes :
Face à ces révélations troublantes, la population de Guédiawaye appelle à une reddition de comptes. Le maire Ahmed Aïdara doit non seulement clarifier sa position dans cette affaire, mais aussi prendre des mesures immédiates pour renforcer les procédures administratives et financières au sein de la mairie.
Le scandale financier à Guédiawaye souligne la nécessité urgente d’une gestion plus rigoureuse, transparente et responsable au sein de l’administration municipale. Les citoyens méritent une explication claire sur la manière dont de telles erreurs ont pu se produire et des mesures correctives immédiates doivent être prises pour restaurer la confiance dans la gestion des ressources publiques.


Cheikh Kane

Le Dakarois Quotidien N°085 – du 19/01/24

Le Dakarois Quotidien N°085 – du 19/01/24
🔴 Scandale Financier à Guédiawaye : La Gestion douteuse du Maire Ahmed Aïdara

Coline Fay Libérée et Expulsée : Un acte controversé sans information préalable aux avocats

Dans une tournure inattendue, Coline Fay, militante arrêtée aux côtés d’autres membres de Pastef le 17 novembre dernier, a été libérée et expulsée du Sénégal. Ce rebondissement a été effectué sans la moindre notification à ses avocats, soulevant des préoccupations quant à la transparence du processus.

Selon les informations relayées par Me Khoureïchy Ba, avocat de Coline Fay, la libération et l’expulsion de la militante ont été effectuées de manière discrète, à la « cloche de bois », sans que ses défenseurs ne soient informés au préalable. Cette absence de communication avec les avocats soulève des interrogations sur la légalité et la transparence de la décision.

Coline Fay avait été arrêtée aux côtés d’autres militants de Pastef devant la Cour suprême, lors du recours portant sur la radiation des listes électorales d’Ousmane Sonko. Cette arrestation initiale avait suscité des inquiétudes quant aux droits des militants politiques et à la liberté d’expression dans le pays.

Me Khoureïchy Ba, avocat de Coline Fay, a dénoncé l’expulsion de sa cliente sans préavis, soulignant le caractère secret de cette démarche. Il s’interroge sur les motivations derrière cette expulsion précipitée et sur la manière dont elle a été exécutée.

Cette récente évolution soulève des préoccupations quant au respect des procédures légales et des droits des individus. Les observateurs appellent à la transparence et à la clarification des circonstances entourant la libération et l’expulsion de Coline Fay.

L’affaire de Coline Fay prend une tournure controversée avec sa libération et son expulsion sans notification préalable à ses avocats. La nécessité d’une communication transparente et du respect des droits fondamentaux demeure au centre des débats, mettant en lumière les enjeux liés aux droits civils et politiques au Sénégal.

Modernisation des procédures : lancement Officiel de la plateforme de paiement des amendes forfaitaires au Sénégal

La Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor (DGCPT), en collaboration avec plusieurs partenaires, dont la Police et la Gendarmerie nationales, la Direction générale des Transports terrestres, l’Agence nationale de Sécurité routière (ANASER), et la société Diotali, a officiellement lancé une nouvelle application de paiement digital des amendes forfaitaires. La cérémonie s’est déroulée ce jeudi 18 janvier 2024, marquant une étape majeure dans la modernisation des procédures administratives.

Selon Cheikh tidiane Diop, directeur général de la DGCPT, ce projet s’inscrit dans le cadre du Plan Sénégal émergent et de la Stratégie Sénégal numérique 2025. L’objectif est de faciliter et sécuriser le paiement des contraventions, offrant aux usagers un gain de temps considérable. Cette initiative vise à créer une administration connectée au service du citoyen et des entreprises, mettant en avant la généralisation de la télédéclaration et du télépaiement des impôts et taxes.

Le projet, développé en collaboration avec les forces de l’ordre, permettra aux usagers de payer leurs amendes forfaitaires via des options telles que Orange Money, Wave, ou carte bancaire. Les avantages sont multiples, avec un paiement rapide sur place, la récupération immédiate des documents (permis de conduire, carte grise, assurance, etc.), une célérité dans le traitement et la collecte des fonds pour l’État, et une amélioration de l’efficacité et de la traçabilité des paiements.

Waldiodio Ndiaye, DG des Transports terrestres, souligne l’importance de cette digitalisation pour simplifier les procédures et faciliter la vie des usagers de la route. Mamadou Ndiaye, SG de l’Union des transporteurs du Sénégal, salue cette initiative qui permettra aux transporteurs de gagner du temps et d’éviter des tracas administratifs.

Le général Diop de la Gendarmerie nationale et M. Diagne, directeur adjoint de la police, saluent l’initiative et s’engagent à assurer la bonne réussite de ce projet, le jugeant innovant et rapide, offrant aux agents et aux transporteurs un gain de temps et une plus grande efficacité dans leur travail.

La phase test débutera dans la région de Dakar, avec des plans d’extension à l’ensemble du pays après cette période d’essai. La nouvelle plateforme marque ainsi une avancée significative dans la simplification des démarches administratives au Sénégal.

Sénégal-Cameroun : Nouveaux forfaits de taille chez les Lions, la rencontre sous tension

À la veille de son affrontement contre le Cameroun, le Sénégal est confronté à de nouveaux défis avec l’absence probable de certains de ses joueurs clés. La rencontre, prévue demain vendredi à 17 h au stade Charles Konan Banny de Yamoussoukro, pourrait se dérouler sans Youssouf Sabaly, Moussa Niakhaté, Abdallah Sima, et Cheikhou Kouyaté.

Youssouf Sabaly, déjà absent lors du premier match contre la Gambie, s’est entraîné à l’écart du groupe lors de la séance de veille de match. Le défenseur sénégalais Moussa Niakhaté, touché à une jambe lundi dernier, a été aperçu courant en boitillant avec le préparateur physique pendant les 15 minutes ouvertes au public.

Abdallah Sima, qui souffre au niveau des adducteurs, était absent à l’entraînement, comme annoncé par le sélectionneur Aliou Cissé en conférence de presse. La participation de ces joueurs cruciaux reste incertaine pour le match crucial contre les Lions indomptables.

En outre, Cheikhou Kouyaté, en deuil après la perte de son père, n’a pas encore rejoint le groupe. Sa présence dans le match reste également en suspens, ajoutant une dimension émotionnelle à un contexte sportif déjà tendu.

La pression est donc palpable dans le camp sénégalais, alors que l’équipe nationale se prépare à affronter un adversaire redoutable. Ces forfaits potentiels de joueurs clés soulèvent des interrogations sur la stratégie que le sélectionneur adoptera pour maintenir la cohésion de l’équipe face aux Lions indomptables du Cameroun.

Supposé double nationalité de Karim: Renonciation ou Immixtion Française ?

Le Dakarois Quotidien N°071 – du 03/01/24

Le Dakarois Quotidien a récemment titré sur une controverse entourant l’identité de Karim Wade, un sujet qui a été ravivé par l’intervention de Thierno Alassane Sall. Cette controverse trouve ses racines dans un article publié par Libération le 24 avril 2014, et elle a pris un nouvel élan au cours de la semaine dernière.

Thierno Alassane Sall, une figure politique influente, a déposé un recours au Conseil Constitutionnel, invoquant l’article 28 de la constitution sénégalaise. Ce recours vise à clarifier la situation concernant la nationalité française de Karim Wade. La polémique s’est intensifiée avec les récentes déclarations de ce dernier.
Dans une déclaration publique, Karim Wade a répondu aux accusations en dénonçant la polémique comme étant « stérile et dangereuse ». Il a qualifié les allégations de Thierno Alassane Sall de manœuvres visant à gagner en visibilité, suggérant également que ce dernier agit au nom du Premier ministre Amadou Ba, qu’il accuse de manœuvres déloyales.
Karim Wade a présenté le décret du Ministre de l’Intérieur français, actant sa renonciation à la nationalité française, comme une preuve de sa constance. Il a également accusé la France d’ingérence dans les affaires sénégalaises. Ses déclarations soulèvent des questions sur la politique et les relations internationales entre les deux pays.
Dans un ton incisif, Karim Wade a critiqué Amadou Ba, qualifiant son manque de témérité face à la confrontation de « désormais évident ». Il a appelé à la fin de ces « manœuvres déloyales » et a déclaré qu’il n’avait pas l’intention de déposer de recours devant le Conseil Constitutionnel, estimant que la décision devrait revenir au peuple sénégalais dans le cadre d’une élection présidentielle ouverte et inclusive.
Cette polémique soulève des questions importantes sur la transparence et l’éthique en politique, ainsi que sur les relations diplomatiques entre le Sénégal et la France. Alors que les déclarations publiques se multiplient, l’opinion publique attend avec impatience des clarifications et des éclaircissements sur cette affaire complexe.

Le Dakarois Quotidien N°084 – du 18/01/24

Le Dakarois Quotidien N°084 – du 18/01/24
🔴Supposé double nationalité de Karim: Renonciation ou Immixtion Française ?

Karim Wade affirme sa renonciation à la Nationalité Française : Fin de la polémique sur sa Candidature

Dans une récente déclaration, Karim Wade, candidat potentiel à la présidentielle sénégalaise, a répondu aux allégations entourant sa nationalité. Il a souligné que le décret émis par le Ministre de l’Intérieur français actant sa renonciation à la nationalité française est une preuve tangible de sa constance.

Wade a qualifié la polémique de stérile et dangereuse, accusant Thierno Alassane Sall d’alimenter cette controverse pour gagner en visibilité et agir au nom du Premier ministre Amadou Ba. Il a critiqué les manœuvres déloyales d’Amadou Ba et souligné son manque de témérité face à la confrontation.

Malgré des informations suggérant que d’autres candidats pourraient avoir acquis d’autres nationalités, Karim Wade a annoncé qu’il ne déposerait aucun recours devant le Conseil Constitutionnel. Il a fermement exprimé sa conviction selon laquelle seule la décision du peuple sénégalais devrait prévaloir dans une élection présidentielle ouverte et inclusive.

Cette déclaration intervient dans un contexte politique tendu alors que le Sénégal se prépare pour les élections présidentielles, mettant en lumière les enjeux entourant la citoyenneté des candidats. L’annonce de la renonciation de Wade à sa nationalité française vise à apaiser les préoccupations concernant son éligibilité et à mettre un terme à la controverse.

Ousmane Sonko dément toute implication dans la demande au Président Macky Sall Concernant le Parrainage

Dans un document relayé par plusieurs médias, des candidats recalés au parrainage auraient adressé une demande au Président Macky Sall, soulignant des « irrégularités » et sollicitant son intervention pour faciliter la reprise du contrôle du parrainage. Ousmane Sonko, actuellement détenu, aurait été mentionné comme l’un des signataires de cette lettre. Cependant, le parti politique Pastef, auquel Sonko est affilié, a publié un communiqué démentant toute implication de son leader dans cette démarche.

Selon le communiqué de Pastef, « le Président Ousmane Sonko tient à démentir toute implication dans cette initiative, dont il n’a jamais été informé ». Le parti souligne également que, à cette étape du processus, le président Macky Sall ne dispose d’aucune prérogative, car le Conseil constitutionnel est seul responsable du déroulement des opérations liées au parrainage.

Le communiqué conclut en invitant à ne pas associer le nom d’Ousmane Sonko à des initiatives auxquelles il n’a ni été consulté ni consenti. Cette clarification vise à dissiper toute confusion et à réaffirmer la position du leader de Pastef dans le processus électoral en cours.

Accord Bipartite entre les Forces Armées Gambiennes et Sénégalaises pour la sécurisation des frontières du sud

Ziguinchor a été le cadre d’une avancée significative en matière de coopération sécuritaire entre les forces armées gambiennes et sénégalaises, marquée par la signature d’un accord bipartite visant à contrer le grand banditisme le long de leurs frontières communes. Cette initiative découle du conseil présidentiel d’août 2023 et fait suite à la réunion entre les chefs d’état-major général des deux nations. Les discussions ont abouti à la création d’un comité tripartite de défense, officialisant ainsi le cadre de coopération.

Le général de division Fulgence Ndour, sous-chef d’état-major des armées françaises, a expliqué que le consensus dégagé lors des deux jours de partage à Ziguinchor soulignait l’importance de sécuriser conjointement les frontières pour contrôler les menaces, notamment le grand banditisme, le trafic de drogue et le trafic de bois.

Il a détaillé le plan opérationnel résultant de cet accord, comprenant des programmes élaborés conjointement et des opérations conjointes. Ces actions visent à renforcer la sécurité dans les zones militaires spécifiques, avec une attention particulière portée aux zones 3, 5, et 6.

Le général de division a exprimé sa satisfaction quant à la coopération exemplaire entre les deux délégations et a souligné que l’esprit de collaboration est essentiel pour contrer les diverses menaces aux frontières, garantissant ainsi la libre circulation des personnes et des biens, tout en promouvant le bien-être des populations.

L’objectif ultime de cet accord est de lutter contre les fléaux économiques et sociaux tels que le grand banditisme, créant ainsi un environnement propice au développement économique et à la prospérité des deux nations. L’accord prévoit des patrouilles conjointes régulières avec des objectifs opérationnels spécifiques pour assurer la sécurité et la stabilité dans la région.

AS Le Dakarois Ziguinchor

Le Dakarois Quotidien N°083 – du 17/01/24

Le Dakarois Quotidien N°083 – du 17/01/24
🔴Ansoumana Sané, Maire de Sindian: Le nouvel homme fort de Bignona
🔴Journée Nationale de l’Équité: Le Président Macky Sall salue l’engagement d’Équité de Thérèse Faye Diouf

Bilan et Perspectives : Gestion Budgétaire 2023 et lancement de la Gestion 2024 au Sénégal

Le ministre des Finances et du Budget, Mouhamadou Moustapha Ba, a présidé le 16 janvier un atelier crucial marquant le lancement de la gestion budgétaire de l’année 2024. L’occasion a également été propice pour dresser un bilan de la gestion financière de l’année 2023. Les résultats révèlent une année marquée par des défis majeurs, à la fois d’ordre international et interne.

La gestion budgétaire de l’année 2023 s’est déroulée dans un contexte international complexe, caractérisé par les tensions géopolitiques persistantes liées à la guerre russo-ukrainienne et la crise israélo-palestinienne. Ces événements ont impacté les échanges commerciaux internationaux, entraînant un ralentissement, bien que modéré par rapport à l’année précédente. La contraction des échanges, associée à des conditions financières strictes, a influencé la croissance mondiale et régionale.

Sur le plan interne, des facteurs tels que le report de l’exploitation des ressources pétrolières et gazières ainsi que des tensions socio-politiques ont contribué à la révision à la baisse de la croissance de 2023, établie à 4,1% par rapport aux 10,1% initialement prévus. Malgré ces défis, des ajustements ont permis de réduire le déficit budgétaire à 917,5 milliards FCFA, contre les 1045 milliards prévus, démontrant l’engagement envers la consolidation budgétaire avec l’objectif de ramener le déficit à 3% du PIB d’ici 2025.

Dans ce contexte difficile, l’économie sénégalaise montre des signes de reprise après trois années de résilience remarquable. Avec un taux d’exécution des dépenses budgétaires de 94%, soutenu par une mobilisation efficace des ressources internes et externes, les projets du Plan d’Actions prioritaires II ajusté et accéléré (PAP2A) ont atteint des niveaux de réalisation significatifs.

Le lancement de la gestion budgétaire de l’année 2024 s’inscrit dans un contexte particulier avec un budget record de 7003,6 milliards FCFA. Ce budget prévoit les premières retombées des activités gazières et pétrolières, contribuant à une projection optimiste du taux de croissance du PIB réel à 9,2%. La rencontre avec les acteurs de l’exécution des dépenses permettra d’échanger sur les défis actuels et de partager les orientations pour l’efficacité et l’efficience des dépenses publiques, notamment à travers des réformes telles que le contrôle de gestion et le contrôle interne budgétaire.

En dépit des incertitudes persistantes à l’échelle mondiale, le Sénégal se positionne pour relever les défis économiques avec détermination, mettant en avant la responsabilité républicaine et démocratique du pays. Cet atelier de lancement constitue un moment clé pour harmoniser les efforts et garantir une gestion budgétaire efficiente et transparente en cette nouvelle année.

Candidats recalés sollicitent l’aide de Macky Sall : Appel à la reprise du contrôle des parrainages

Alors que des recours affluent au greffe du Conseil constitutionnel suite au rejet de nombreuses candidatures, un collectif regroupant les candidats recalés sollicite l’aide du président de la République, Macky Sall. Dans une lettre adressée à ce dernier, le « Collectif des Candidats Invalidés au Parrainage » dénonce des « graves manquements » constatés lors du contrôle, pointant notamment du doigt le logiciel utilisé par la commission.

La lettre, rédigée dans un ton respectueux et solennel, souligne les préoccupations du collectif quant à l’équité du processus de contrôle des parrainages. Parmi les principaux points soulevés, on retrouve :

Non-disposition du fichier général des électeurs consolidé de 2023 : Le collectif déplore l’absence du fichier consolidé, un élément crucial pour un contrôle transparent et équitable des parrainages.

Non-fiabilité du fichier des électeurs : Des anomalies sont signalées, notamment des rejets basés sur des critères contestables tels que le statut de « primo-votants ».

Disparition de parrains lors du contrôle : Certains candidats affirment que des parrains enregistrés ont mystérieusement disparu lors du processus de vérification.

Défaillances techniques du logiciel de contrôle : Les candidats dénoncent des problèmes techniques dans le logiciel utilisé, affectant le déversement et l’intégrité des données.

    La lettre conclut en appelant le président Macky Sall à utiliser ses prérogatives pour rétablir les candidats invalidés dans leurs droits. Les signataires estiment que cette démarche contribuera à la transparence et à la régularité du processus électoral, tout en renforçant le respect de l’opposition en tant que composante essentielle du système démocratique.

    Cette initiative souligne les enjeux cruciaux entourant le contrôle des parrainages et met en évidence les tensions présentes dans le processus électoral. La réponse du président Macky Sall à cette requête pourrait influencer la perception de l’équité et de la légitimité du scrutin à venir.

    LA LETTRE

    « Excellence, Monsieur le Président de la République,

    Le « Collectif des Candidats Invalidés au Parrainage », par la Commission 

    de Contrôle et de Validation ad hoc mise en place par le Conseil Constitutionnel dans le cadre de l’élection présidentielle du 25 février 2024, sollicite, auprès de votre haute bienveillance, votre concours pour le rétablissement des candidats invalidés lors dudit contrôle.

    En effet, la présente vous est adressée au regard de vos prérogatives es qualité de « Clé de Voûte » des Institutions et de « Président du Conseil Supérieure 

    de la Magistrature ».

    Le contrôle du parrainage nous a permis de relever, suite aux différentes preuves présentées par une quarantaine de candidats arbitrairement invalidés, des manquements graves notamment :

    La non-disposition du fichier général des électeurs consolidé de 2023 par la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA).

    La non-fiabilité voire la non-mise à jour du fichier général des électeurs, base de contrôle des parrainages des candidats, au regard du nombre excessif de rejets principalement constitués d’électeurs « primo-votants », détenteurs de leurs cartes d’électeurs délivrées en bonne et due forme par le ministère de l’Intérieur.

    Des parrains qui disparaissent, lors du contrôle pour certains candidats, alors qu’ils étaient, bel et bien, enregistrés lors de l’inventaire des pièces déposées et mentionnées dans le procès-verbal du Greffe du Conseil Constitutionnel.

    Le logiciel de contrôle des parrainages qui présente des défaillances techniques sur le déversement et l’intégrité des données.

    Excellence, Monsieur le Président du Conseil Supérieur de la Magistrature, notre Collectif vous saurait gré de bien vouloir user de vos prérogatives afin de rétablir, absolument, les candidats invalidés dans leurs droits. 

    Le cas échéant, cela participera à la transparence et à la régularité du processus électoral dont l’objectif fondamental est de garantir l’expression du libre choix pour une meilleure acceptation du choix de la majorité. 

    Par ailleurs, cela consolidera le principe constitutionnel relatif au respect et à la reconnaissance de l’opposition comme un rouage indispensable au bon fonctionnement du mécanisme démocratique de notre cher pays.

    Veuillez croire, Excellence, Monsieur le Président de la République, à l’assurance de notre très haute considération.

    Les signataires :

    Mohamed Ben DIOP – Pass Pass

    Mamadou NDIAYE – PRDS

    Cheikh Abdou MBACKE – Coalition Nekal.Askan Wi

    Sheikh Alassane SENE – MPG Shasty 2024

    Alioune SARR – CAP 24

    Aminata TOURE – Mimi 2024

    Assome Aminata DIATTA – PSC Jappo

    Ibrahima GUEYE – MPG JR

    Aly Ngouille NDIAYE – Coalition Alyngouille2024

    Babacar GUEYE – Initiative Républicaine

    Bougane Dany GUEYE – Bougane 2024

    Birima MANGARA – Coal. UDP Kiraay

    Ibrahima CISSOKHO – Ibrahima Cissokho 2024

    Bassirou Diomaye FAYE – Diomaye Président

    Ousmane SONKO – Coalition Sonko Président

    Amadou Aly KANE – R 3 D

    Cheikh M. Abiboulaye Bamba DIEYE – FSD BJ

    Elhadji Mamadou DIAO – Coalition DIAO 2024

    Mouhamadou Fadel KONE – ACCES / Coalition KONE

    Alpha THIAM – FN – Dimbale sa Rew

    Sérigne MBOUP – And Nawle

    Abdou Khadre SALL – Mouvement Askanou SN

    Déthié FALL – Déthie 2024

    Babacar DIOP – FDS Leq Guelwwar

    Samba NDIAYE – UDD Liggey SN

    Aïssatou MBODJI – And Saxal Liggèy

    Mansour NDIAYE – UDR Dooley Yaakar

    Cheikh DIENG – Coalition Tawfekh 2024

    Amsatou Sow SIDIBE – Car Leneen 3ème Voie

    Mamadou Decroix DIOP – MDD 2024

    Malick GACKOU – Gakou 2024

    Thierno Alassane SALL – Coalition RV/Reewum Ngor

    Jean Baptiste DIOUF – Coalition JBD 2024

    Mbacké SARR – MAW Mvt Askaan wi

    Serigne Gueye DIOP – PRECEPT

    Habib SY – PEM / Yaakar U Rew Mi

    Mary Teuw NIANE – MTN 2024

    Cheikh Tidiane DIEYE – AVENIR

    Abdourahmane DIOUF

    Cheikh Tidiane GADIO – Mvt poli. Citoyen Luy Jot Jotna

    Mouhamadou Madana KANE – Coalition DOUND

    Lamine GUEYE – Mouvement Xaal Yoon

    Ousmane KANE – Mvt CitoyenUsacrée, Sopi Sénégal

    Moustapha NDIR – Booloo Ligueeyal Sunu Reew

      Contentieux électoral au Conseil Constitutionnel : Amadou Ba dépose des réclamations contre plusieurs candidatures

      À l’approche des élections, le candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar, Amadou Ba, a engagé des démarches juridiques en déposant des réclamations auprès du greffe du Conseil Constitutionnel. Me Amadou Sall, avocat représentant les intérêts d’Amadou Ba au sein de cette coalition, s’est présenté au siège du Conseil Constitutionnel pour officialiser cette procédure et assurer le respect de certains principes électoraux.

      Sans entrer dans les détails, Me Sall a expliqué que ces réclamations visaient à garantir le respect de principes fondamentaux du processus électoral. Cependant, il a choisi de laisser au Conseil Constitutionnel la responsabilité de divulguer les détails spécifiques des réclamations ainsi que les noms des candidats visés.

      Les informations obtenues indiquent que les réclamations d’Amadou Ba concernent les candidatures de Bassirou Diomaye Faye, d’Aly Ngouille Ndiaye et de Mahammed Boun Abdallah Dionne. Ces personnalités politiques, actives au sein de l’arène politique sénégalaise, se retrouvent ainsi au centre d’un contentieux qui promet d’ajouter une dimension supplémentaire à la campagne électorale en cours.

      Le Conseil Constitutionnel, en tant qu’organe chargé de statuer sur les contentieux électoraux, devrait examiner ces réclamations dans les prochains jours et rendre sa décision avant la date limite du 20 janvier. Ces procédures revêtent une importance cruciale, car elles pourraient influencer la configuration finale des candidatures admises pour les élections à venir.

      Ce contentieux électoral souligne l’importance du respect des règles électorales et du rôle crucial joué par le Conseil Constitutionnel dans la préservation de l’intégrité du processus démocratique. Les décisions à venir auront un impact significatif sur le paysage politique sénégalais, suscitant l’attention des citoyens et des observateurs à l’approche du scrutin. L’issue de ces réclamations déterminera également dans quelle mesure les élections se dérouleront dans un climat de transparence et de confiance.

      Mary Teuw Niane Dépose un Recours au Conseil Constitutionnel Après son Recalage au Parrainage

      Le processus électoral au Sénégal connaît des rebondissements alors que Mary Teuw Niane, tête de file de la coalition MTN, a déposé un recours au Conseil constitutionnel après avoir été recalé au parrainage pour la présidentielle.

      Accompagné de son mandataire, Niane a déposé une requête renouvelant une demande initiale déposée en début janvier. Le professeur à l’université a souligné une divergence de 13 parrains entre le procès-verbal de dépôt de dossier et celui du contrôle des parrainages, ce qui, selon lui, justifie la révision de son dossier.

      Dans un contexte où de nombreux candidats contestent leur élimination, Niane insiste sur le devoir du Conseil constitutionnel d’examiner toutes les requêtes, mettant en avant des irrégularités et des constats non satisfaisants.

      Malgré le nombre important de recours, l’opposition de Niane à tout report de l’élection demeure ferme. Il affirme que le Sénégal a une tradition de respect des élections présidentielles et souligne que c’est la seule élection avec très peu de reports dans l’histoire politique du pays.

      Niane, tout en exigeant le respect du droit de tous les candidats, qu’ils soient libres ou en détention, estime que cela permettrait d’éviter des contentieux postélectoraux. Le défi est lancé au Conseil constitutionnel, alors que le pays observe de près ces développements en période préélectorale.

      Affaire des 3 milliards en billets noirs : Les déclarations accablantes de l’imam et ses complices révélées lors de l’enquête

      Le chef religieux S. B. Aïdara et ses complices, déférés devant le tribunal de grande instance de Pikine-Guédiawaye, ont livré des aveux troublants lors de l’enquête menée par le commissariat d’arrondissement de Diamaguène Sicap-Mbao. Le chambellan M. T. a confessé avoir acquis les billets noirs de l’imam A. A. P. et planifié de partager équitablement les 3 milliards F CFA après lavage.

      Interrogé, le chambellan a expliqué avoir été contacté par l’imam pour trouver un technicien capable de laver les billets noirs. Les deux complices avaient convenu de partager la somme lavée, soit un milliard par personne, justifiant leur acte par les difficultés de la vie quotidienne.

      Face aux enquêteurs, le chef religieux S. B. Aïdara a initialement tenté de rejeter la responsabilité sur son chambellan, avant d’admettre son implication. Il a avoué avoir aménagé une chambre dans son domicile pour la réussite de l’opération après que M. T. lui a exposé le business.

      L’imam A. A. P., enseignant à la retraite, a confirmé avoir remis les billets noirs au chambellan, tentant de faire croire qu’il les avait obtenus auprès d’un individu décédé en 2009. L’affaire continue de révéler des détails choquants, laissant entrevoir la face cachée d’une opération criminelle mêlant contrefaçon, association de malfaiteurs et détention d’arme à feu.

      Le Dakarois Quotidien N°082 – du 16/01/24

      Le Dakarois Quotidien N°082 – du 16/01/24
      🔴 tournée économique à Sédhiou : Mohamed Diaîté, DG de la Poste, offre un accueil triomphal à Amadou Ba
      🔴 CAN 2024: Le Sénégal démarre en force en dominant la Gambie

      Aliou Cissé après la victoire des Lions sur la Gambie à la CAN 2023 :  »Je suis fier de mes joueurs… »

      Suite à la victoire de l’équipe nationale du Sénégal sur la Gambie lors de la CAN 2023, l’entraîneur Aliou Cissé s’est exprimé avec fierté sur la performance de ses joueurs. En conférence de presse, il a partagé son sentiment positif envers l’équipe après ce succès marquant.

      Can 2023 - Victoire des Lions sur la Gambie : ''Je suis fier de mes joueurs...'' dixit Aliou Cissé

      « C’est une grande fierté pour moi en tant qu’entraîneur de voir mes joueurs accomplir une performance aussi solide. Je suis fier de leur détermination et de la manière dont ils ont abordé le match », a déclaré Aliou Cissé.

      La victoire contre la Gambie a permis au Sénégal de prendre un bon départ dans la compétition, et Aliou Cissé a souligné l’importance de cette première victoire tout en restant conscient des ajustements nécessaires pour les prochains matches.

      « Il est toujours gratifiant de commencer un tournoi avec une victoire, surtout contre une équipe aussi solide que la Gambie. Mes joueurs ont fait preuve de patience et de concentration. Cependant, nous savons qu’il y a des choses à ajuster, et nous allons travailler là-dessus », a ajouté le sélectionneur sénégalais.

      La satisfaction de Cissé envers ses joueurs et leur performance promet un parcours compétitif pour le Sénégal dans cette édition de la Coupe d’Afrique des Nations. La déclaration du coach souligne l’esprit d’équipe et l’engagement des Lions dans la quête du titre continental.

      Aliou Cissé, sélectionneur du Sénégal : réflexions sur la victoire prometteuse contre la Gambie

      Les Lions du Sénégal ont amorcé leur parcours dans la Coupe d’Afrique des Nations 2023 de manière convaincante, en infligeant une défaite de 3-0 à la Gambie au stade Charles Konan Banny de Yamoussoukro. Malgré cette victoire prometteuse, le sélectionneur Aliou Cissé reconnaît qu’il y a des aspects du jeu qui nécessitent des ajustements avant le prochain affrontement contre le Cameroun.

      « C’est toujours encourageant de débuter une compétition par une victoire, surtout contre une équipe aussi solide que la Gambie. La patience a été cruciale, et marquer tôt a facilité notre tâche. Cependant, il y a des ajustements à apporter, et nous allons travailler dessus », a déclaré Aliou Cissé lors de la conférence de presse qui a suivi le match.

      Bien que le Sénégal ait montré une performance solide, le sélectionneur reste conscient des défis à venir et de la nécessité de perfectionner certains aspects du jeu de son équipe. Les déclarations de Cissé suggèrent un mélange de satisfaction et d’analyse critique, démontrant sa détermination à amener son équipe à son meilleur niveau.

      La victoire contre la Gambie a été marquée par une excellente coordination offensive, soulignant le talent de joueurs tels que Sadio Mané. Cependant, Cissé semble conscient que l’équipe ne peut pas reposer uniquement sur ses lauriers et doit constamment évoluer pour rivaliser dans un tournoi aussi compétitif que la Coupe d’Afrique des Nations.

      « Le but précoce a été un avantage, mais nous devons rester concentrés sur les aspects à améliorer. Chaque équipe évolue au fil du tournoi, et nous devons nous adapter », a ajouté le technicien sénégalais.

      La prochaine confrontation contre le Cameroun sera un test crucial pour les Lions, et Aliou Cissé est déterminé à peaufiner les stratégies et à renforcer les points faibles identifiés lors du match contre la Gambie. La compétition promet d’être intense, et le Sénégal cherche à consolider sa position en tant que prétendant sérieux au titre de la Coupe d’Afrique des Nations 2023.

      Lamine Camara : Modeste après un brillant début à la CAN

      Élu Homme du Match avec une performance remarquable, Lamine Camara, joueur du FC Metz en Ligue 1 (France), reste humble malgré ses deux buts décisifs lors de la victoire du Sénégal sur la Gambie (3-0) à la Coupe d’Afrique des Nations (CAN). En zone mixte, il a partagé ses impressions sur sa prestation et a souligné l’importance de rester concentré pour les prochains défis.

      « Je rends grâce à Dieu. Ça fait plaisir de marquer deux buts, mais cela ne suffit pas », a déclaré Camara. Il a exprimé la conscience de l’équipe sénégalaise quant à la difficulté attendue dans ce match et la pression qui les accompagnera tout au long du tournoi. « On savait que le match serait difficile pour nous. Et nous serons attendus lors du prochain match. Ce n’est que le premier match. Il faut qu’on se concentre pour le reste. »

      La modestie de Camara et son appel à la concentration témoignent de la mentalité de l’équipe sénégalaise qui vise plus loin dans la compétition. Cette attitude pragmatique souligne l’importance de rester humble malgré les succès individuels, renforçant ainsi l’esprit d’équipe et la détermination à exceller dans la suite de la CAN.

      Macky Sall engage 200 Millions de Fcfa pour une chaire sur l’Intelligence Artificielle à l’ANSTS

      Le président sénégalais, Macky Sall, a annoncé l’octroi d’une dotation initiale de deux cent millions de francs CFA à l’Académie nationale des sciences et techniques du Sénégal (ANSTS) pour la création d’une chaire interuniversitaire sur l’intelligence artificielle (IA). Cette annonce a été faite lors de la séance académique solennelle 2024 de l’ANSTS, axée sur le thème « l’IA, enjeux, éthiques et défis humains ».

      Le président Sall a exprimé son soutien au projet de l’ANSTS, soulignant l’importance de la recherche et de l’innovation dans le domaine de l’IA pour la souveraineté numérique du pays. Il a également appelé le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation à renforcer les ressources budgétaires de l’ANSTS tout en travaillant sur la construction rapide d’un siège moderne et fonctionnel pour l’institution.

      Macky Sall a salué l’engagement historique exemplaire de la communauté universitaire et scientifique sénégalaise, soulignant sa contribution significative au développement du système éducatif et à l’avancement du pays vers l’émergence d’ici 2035. Cette initiative vise à positionner le Sénégal en tant qu’acteur majeur dans le domaine de l’IA, renforçant ainsi ses capacités scientifiques et technologiques pour l’avenir.

      Le Sénégal démarre en force à la CAN 2024 en dominant la Gambie

      Le lancement du parcours du Sénégal à la Coupe d’Afrique des Nations 2024 ne pouvait être plus impressionnant. Les champions en titre ont affiché leur détermination à réaliser un doublé, remportant une victoire convaincante contre la Gambie lors du premier match du groupe C.

      Sur le terrain du stade Charles Konan Banny de Yamoussoukro, le Sénégal a rapidement pris les devants. La main assurée d’Edouard Mendy a évité toute fausse note en repoussant une frappe puissante d’lasana Manneh dès la première minute. Puis, le récital des Lions de la Teranga a débuté avec Pape Gueye concluant une action magistralement initiée par Diatta et conclue grâce à une passe intelligente de Sadio Mané (4e minute, 1-0).

      Le Sénégal a ensuite maintenu une maîtrise impressionnante du match, faisant circuler le ballon de manière fluide de Mané à Diatta. Lamine Camara, jeune talent en pleine ascension, a inscrit un doublé, scellant la victoire avec style (3-0).

      Cependant, malgré la victoire éclatante de l’équipe sénégalaise, le stade Charles Konan Banny de Yamoussoukro a connu un début mitigé pour la CAN 2024. Les gradins semblaient vides malgré l’enthousiasme du 12e Gainde sénégalais et l’arrivée précoce des supporters guinéens avant leur match contre le Cameroun. Des problèmes de sonorisation ont également marqué le spectacle, avec des crashs pendant les hymnes des équipes.

      Un tournant crucial s’est produit en fin de première mi-temps lorsque Ebou Adams, de la Gambie, a écopé d’un carton rouge après une intervention sur le jeune Lamine Camara. Cette expulsion a mis la Gambie dans une position difficile, mais malgré cela, l’équipe est retournée sur le terrain avec des intentions positives.

      La Gambie, même réduite à 10 joueurs, a montré de belles intentions en seconde période. Musa Barrow a tenté sa chance de loin, mais Édouard Mendy s’est étiré pour repousser le ballon. Minteh a également eu une occasion de reprendre face au but vide, mais a malheureusement dévié (48e minute).

      Ainsi, le Sénégal commence son parcours à la CAN 2024 avec brio, démontrant une performance dominante qui renforce ses ambitions de conserver son titre de champion. La Gambie, malgré le carton rouge, a montré de la ténacité, laissant présager des matchs intéressants à venir dans ce tournoi passionnant.

      Sadio Mané avertit : « La CAN est pleine de surprises, dès le début, il faut répondre présent, sinon ce sera une élimination »

      Sadio Mané, la star de l’équipe nationale sénégalaise, met en garde contre les pièges de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN), soulignant l’importance de débuter la compétition avec détermination pour éviter une élimination prématurée. En tant que champions d’Afrique en titre, le Sénégal fait face à un groupe compétitif et commence son parcours ce lundi contre la Gambie.

      Mané, double lauréat du Ballon d’Or africain, reconnaît que les matchs contre la Gambie et la Guinée seront des derbies tendus. Concernant le match contre le Cameroun, une grande nation du football, il souligne que la tâche ne sera pas facile.

      Dans un groupe équilibré où chaque équipe est redoutable, Mané insiste sur la nécessité d’une performance solide dès le début. Il rappelle que la CAN réserve souvent des surprises et que l’équipe doit être prête à affronter tous les défis pour éviter une sortie prématurée du tournoi.

      Les Lions du Sénégal visent à défendre leur titre avec détermination et à surmonter tous les obstacles sur leur chemin lors de cette compétition continentale.

      Le Dakarois Quotidien N°081 – du 15/01/24

      Le Dakarois Quotidien N°081 – du 15/01/24
      🔴 Inauguration du BRT: «Un pays se construit avec des bâtisseurs, non des casseurs» dixit Macky Sall

      Inauguration du BRT par Macky Sall : Une Avancée Majeure vers la Modernité du Transport

      Le président Macky Sall a inauguré le Bus Rapid Transit (BRT) à Dakar, un réseau de bus entièrement électriques destiné à révolutionner la mobilité dans la métropole sénégalaise. Accompagné de la Première dame Marième Faye Sall, le président a souligné l’importance de cette avancée dans le secteur du transport, qualifiant le BRT de « pas décisif vers la modernité ».

      Changements Majeurs dans le Transport Public :
      Le président Sall a salué le BRT comme un changement radical dans les règles qui régissent le transport public, soulignant son impact sur la modernité et l’émergence économique du Sénégal. Il a mis en avant la sécurité et la décarbonation totale du transport offert par le BRT.

      Description du Projet BRT :
      Le BRT, conçu pour être un système de bus rapide circulant sur des voies réservées, a débuté ses travaux en 2020. Le projet, d’une valeur de 420 milliards de francs CFA, bénéficie du soutien financier de la Banque mondiale, de la Banque européenne d’investissement et du Fonds vert pour le climat de l’ONU. Avec une capacité de transporter 300 000 passagers par jour sur 18 km de voies dédiées, le BRT vise à réduire significativement la durée des trajets entre Guédiawaye et Dakar.

      Promesse de Réduction des Temps de Trajet :
      Le temps de trajet entre Guédiawaye et Dakar, actuellement de plus d’une heure trente minutes en raison des embouteillages, devrait être réduit à 45 minutes grâce au BRT. Le président a souligné que le projet répond à une stratégie de prise en charge globale du transport à Dakar, avec un focus sur la mobilité organisée, régulière, sécurisée et confortable.

      Impact Environnemental et Création d’Emplois :
      Le BRT, alimenté par l’électricité avec une transition future vers l’énergie solaire, promet de réduire les émissions de CO2 de 60 000 tonnes par an. Le projet devrait également générer 1000 emplois directs, dont au moins 35% seront réservés aux femmes.

      Concession et Gestion :
      L’exploitation et la maintenance du BRT ont été concédées pour 15 ans à Dakar Mobilité, une société détenue majoritairement par Meridiam, une entreprise française spécialisée dans les projets d’infrastructure publique, en partenariat avec le Fonds souverain d’investissements stratégiques du Sénégal. Cette concession comprend l’achat des bus et des bornes de recharge à la société chinoise CRRC.

      L’inauguration du BRT marque une étape significative dans la modernisation du transport public à Dakar, offrant une alternative durable et efficace pour répondre aux défis de mobilité croissants dans la région.

      Inauguration du Bus Rapid Transit (BRT): Un nouveau chapitre dans la mobilité Dakaroise

      Le président Macky Sall a marqué le début d’une ère nouvelle dans le système de transport de masse au Sénégal en inaugurant ce dimanche 14 janvier le Bus Rapid Transit (BRT). Ce projet ambitieux, d’une valeur de 419 milliards de francs CFA, vise à améliorer la mobilité entre Guédiawaye et Dakar, avec la capacité de transporter jusqu’à 300 000 passagers par jour.

      Développement du BRT :

      Le chef de l’État a lancé officiellement ce projet novateur qui représente un investissement majeur dans le réseau de transport public. La première étape de l’inauguration a eu lieu au Centre d’Opération et de Commandement du BRT à Gadaye, une structure ultramoderne s’étendant sur 6 hectares. Cette installation comprend un poste central de communication entre les bus et le centre, deux parkings souterrains à deux niveaux, un centre de maintenance préventive et curative, ainsi qu’une zone de remisage pour la recharge des bus électriques.

      Resilience et Collaboration :

      Le projet, dévoilé avec enthousiasme par le président Sall, porte les marques de l’Ageroute, maître d’œuvre de ce centre moderne. Le Directeur général de l’Ageroute, Mamadou Ndao, a exprimé sa grande satisfaction quant à la résilience démontrée par ce projet emblématique.

      Le Directeur général du Conseil exécutif des transports urbains durables (CETUD), Thierno Birahim Aw, a souligné que ce système de transport innovant traversera les zones les plus densément peuplées et congestionnées de la capitale, offrant mille emplois, dont 35% seront dédiés aux jeunes et aux femmes.

      Parcours inaugural et Arrêts symboliques :

      Le président Sall, accompagné des autorités, a entrepris un périple inaugural à bord du BRT, faisant des arrêts stratégiques à Guédiawaye, Parcelles Assainies, Khar Yalla, Liberté 1, et la place de l’Obélisque. Ces arrêts ont permis aux autorités de saluer le public et de communier avec les populations, marquant ainsi l’importance de ce projet dans la vie quotidienne des citoyens.

      Caractéristiques du BRT :

      Le BRT, l’un des projets phares de l’État sénégalais, constitue un système de transport de masse avec une capacité de convoyer jusqu’à 300 000 passagers par jour. Les 121 véhicules articulés sont conçus pour accueillir jusqu’à 150 passagers par car, offrant une solution efficace et durable pour répondre aux besoins de mobilité de la population.

      L’inauguration du Bus Rapid Transit marque une avancée significative dans l’amélioration des déplacements à Dakar et sa banlieue. Ce projet non seulement offre une solution de transport moderne et efficace, mais contribue également à la création d’emplois et à l’amélioration globale de l’infrastructure de la ville.

      Réponse ferme à l’Ethnicisme : Appel à l’unité nationale et à la protection du modèle Sénégalais

      « Nous irons partout dénoncer la sélection de Macky Sall pour nous imposer son BA. Le Neddo ko banndum ne doit pas continuer »: une inacceptable dérive ethniciste de Bougane Guèye Dany 

      Dans la République du Sénégal, l’ethnie ne donne ni ne prive. 

      Monsieur Bougane Guèye Dany doit être poursuivi et son parti dissout pour haine ethnique envers les Haalpulaar avec ces propos nauséabonds : « Nous irons partout dénoncer la sélection de Macky Sall pour nous imposer son BA. Non, mes chers compatriotes, le Neddo ko banndum ne doit pas continuer. Nous allons lui barrer la route.»

      Pour rester fidèle à sa devise « Un Peuple – Un But – Une Foi » et protéger le modèle sénégalais de coexistence ethnique, l’Etat du Sénégal doit poursuivre Monsieur Bougane Guèye Dany et dissoudre son parti.

      Pour rappel, la plupart des conflits sanglants d’hier à aujourd’hui ont pour cause profonde la haine ethnique et tribale.

      C’est pourquoi, le projet odieux de dissolution de l’unité nationale que véhicule le discours Haalpulaarophobe de Bougane Guèye Dany appelle une réaction ferme de tous ceux qui ont le souci du SENEGAL.

      Devant le péril que représente cette haalpulaarophobie, tout silence est une faute.

      Le péril de la haine ethnique est un danger à absolument éradiquer

      Malheureusement le Sénégal a encore du chemin pour faire NATION.

      Ne faisons pas la fine bouche. Nous sommes tous interpellés. C’est un devoir pour chaque Sénégalais de protéger notre pays du péril de la haine ethnique.

      Il est urgent pour la République de biberonner tous ses citoyens, à travers l’école et dès leur tendre enfance, sur ce que nous avons en commun : le Sénégal.

      Le Sénégal est traversé par des histoires, des modes de vie, des héros, des paysages, des souvenirs, des imaginaires et des desseins dans un destin commun. Nous avons une mission commune, c’est de protéger ce trésor qu’est le Sénégal. Nous ne devons pas seulement le protéger. Nous devons le transmettre à nos enfants ; et en leur passant le témoin, nous devons aussi leur transmettre l’envie et la passion de ce patrimoine dont ils seront les dignes héritiers.

      Défendre le Sénégal, c’est être attaché à toutes ses ethnies, langues, us et coutumes, c’est aimer ses habitants et leurs cultures. Ce n’est pas le repli ethnique ou identitaire.

      Il y a sept valeurs qui doivent habiter chaque leader politique et chaque jour : la devise de la République » Un Peuple, Un But, Une Foi », l’unité́ nationale, la cohésion ethnique, le patriotisme républicain, le respect de toutes les composantes de notre pays, la neutralité ethnique et confessionnelle.

      C’est aussi cela le Sénégal de tous, le Sénégal pour tous et le Sénégal par tous.

      Pour paraphraser Cheikh Anta Diop, le sang qui coule dans les veines de chaque Sénégalais est un mélange de sang Sérère, Peul, Sarakollé et Diola. Le seul comportement d’un leader politique conscient est de se dégager de tout préjugé ethnique et acquérir une forme de fierté débarrassée de toute vanité ethnique, Toucouleur, Naar, Bambara, Wolof, Mandiaque. Un leader politique digne de ce nom et digne de la candidature à l’élection présidentielle doit faire place à la fierté d’être SÉNÉGALAIS, tant qu’il est vrai que ces cloisons ethniques n’existent que par l’ignorance du SÉNÉGAL.

      Monsieur Bougane Guèye Dany a certainement oublié, en envisageant d’organiser une campagne électorale anti Peul, que son Marabout, le Saint homme Cheikh Ahmadou Bamba est un HAALPULAAR .

      Un Peuple – Un But – Une Foi

      A bas l’ethnicisme ! 

      Vive la République !

      Vive le Sénégal !

      Moustapha Diakhaté

      [Exclusif – Document] Liste provisoire pour la Présidentielle 2024 : Sonko écarté

      Le Conseil constitutionnel sénégalais a récemment dévoilé la liste provisoire des candidats en lice pour l’élection présidentielle du 25 février 2024, suscitant déjà des réactions. Parmi les 21 candidatures, on note l’absence attendue d’Ousmane Sonko, emprisonné et acteur d’un contentieux avec l’État. Cependant, la présence de Bassirou Diomaye Faye, considéré comme le plan B du parti dissous de Sonko, apporte une dimension surprenante à la compétition.

      La liste révélée par le Conseil constitutionnel met en avant un éventail diversifié de candidats, parmi lesquels l’actuel Premier ministre Amadou Ba, les anciens chefs de gouvernement Idrissa Seck et Mahammed Boun Abdallah Dionne, ainsi que les opposants notables Khalifa Sall et Karim Wade. La compétition s’annonce intense, avec des personnalités politiques chevronnées cherchant à remporter l’élection présidentielle.

      L’absence d’Ousmane Sonko de la liste n’est guère une surprise, étant donné sa détention et son historique de tensions avec l’État. Sa popularité parmi les jeunes et son statut de favori supposé ne se traduiront pas par sa participation à cette présidentielle. En revanche, la présence de Bassirou Diomaye Faye, le plan B du parti dissous de Sonko, constitue une surprise. Bien que détenu, Faye n’a pas encore été jugé, suscitant des interrogations sur son rôle potentiel dans cette compétition présidentielle.

      La publication de cette liste provisoire par le Conseil constitutionnel éclaire la scène politique en vue de la Présidentielle 2024 au Sénégal. Avec des personnalités politiques majeures en lice, l’exclusion d’Ousmane Sonko et la présence de Bassirou Diomaye Faye ajoutent des nuances imprévues à un scrutin déjà crucial. Les semaines à venir promettent des développements captivants, marquant le début d’une campagne présidentielle qui s’annonce pleine de rebondissements.

      [EXCLUSIF] La BR de Faidherbe réalise une saisie record de 50 millions d’euros en faux billets : Un Guinéen arrêté et incarcéré

      La Brigade de Recherches (BR) de Dakar-Faidherbe vient de marquer un coup exceptionnel au Sénégal en réalisant une saisie record de 50 millions d’euros en faux billets. Les éléments de cette unité d’élite de la gendarmerie nationale ont arrêté le principal auteur de ce trafic, un ressortissant guinéen du nom d’I. Savané, qui a été déféré puis envoyé en prison après une perquisition fructueuse. Seneweb livre en exclusivité les détails de cette opération sensationnelle.

      La BR de Faidherbe a réussi à mettre la main sur ce qui pourrait bien être la plus grande saisie de faux billets jamais réalisée au Sénégal. I. Savané, un ressortissant guinéen, a été appréhendé en possession de 50 millions d’euros en faux billets, 50 millions de francs CFA en billets noirs, 100 dollars, et un arsenal utilisé pour la fabrication de billets non-authentiques, selon des informations de ledakarois.sn.

      Conformément aux instructions du Haut commandant, les gendarmes de la BR de Faidherbe ont intensifié les opérations de sécurisation pour lutter contre les délinquants. Suite à des activités d’investigation, les éléments de la brigade ont identifié I. Savané comme un suspect potentiel. Sous la supervision du Major Babacar Ndiaye, les gendarmes ont surveillé les déplacements du présumé faux-monnayeur.

      L’infiltration d’un agent sous couverture s’est révélée cruciale, permettant d’obtenir des preuves concrètes contre I. Savané. Celui-ci, pensant traiter avec un client potentiel, a promis 50 millions d’euros au gendarme infiltré. L’arrestation en flagrant délit a eu lieu alors qu’I. Savané tentait d’injecter ces faux billets dans le circuit financier entre Nord-Foire, Cité Damel, et le Centre BCEAO.

      La perquisition du domicile de I. Savané à Bargny a permis à la BR de Faidherbe de saisir 50 millions de francs CFA en billets noirs, 100 dollars, ainsi que du matériel de production de billets non-authentiques. Le faux-monnayeur a reconnu son activité lors de son interrogatoire et a également divulgué l’identité de ses complices.

      Au terme de l’enquête de la BR de Faidherbe, I. Savané a été présenté au procureur de la République pour détention et trafic de faux billets de banque. Il a été inculpé et placé sous mandat de dépôt le même jour. Cette arrestation intervient peu de temps après la récente saisie de 1,5 million d’euros par la même brigade, renforçant ainsi l’engagement des autorités dans la lutte contre la criminalité financière.

      Cette opération de la BR de Faidherbe témoigne de la détermination des forces de l’ordre à démanteler les réseaux de faux-monnayeurs opérant sur le territoire sénégalais.

      avec Seneweb

      Les Éléphants de Côte d’Ivoire brillent lors de leur match d’ouverture à la CAN 2024 avec une victoire convaincante de 2-0

      L’équipe nationale de Côte d’Ivoire, les Éléphants, a entamé sa campagne à la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024 avec une performance remarquable lors du match d’ouverture. Les joueurs ont résisté à la pression en ouvrant le score dès les cinq premières minutes, marquant ainsi le ton d’une victoire convaincante de 2-0.

      Dès le coup d’envoi, les Éléphants ont démontré leur détermination en ouvrant le score après seulement cinq minutes de jeu. Cette ouverture précoce a non seulement enthousiasmé les supporters ivoiriens mais a également mis la pression sur leurs adversaires. La rapidité et l’efficacité ont été les maîtres mots de cette première réalisation, propulsant l’équipe dans une position de force.

      La performance des Éléphants n’a pas faibli après le premier but. Au contraire, l’équipe a maintenu son élan offensif et a réussi à inscrire un deuxième but, scellant ainsi une victoire convaincante de 2-0. La solidité défensive et la coordination remarquable entre les joueurs ont été des éléments clés de cette réussite, montrant que l’équipe est prête à affronter les défis de la CAN 2024.

      Les supporters ivoiriens ont célébré avec enthousiasme cette performance impressionnante de leur équipe nationale, créant une atmosphère électrique dans les gradins. Les joueurs, quant à eux, ont exprimé leur satisfaction tout en soulignant l’importance de rester concentrés pour les prochains défis du tournoi.

      Cette victoire d’ouverture envoie un message fort aux autres équipes participantes à la CAN 2024, établissant les Éléphants comme de sérieux prétendants au titre. Les attentes montent alors que l’équipe se prépare pour les prochains affrontements, et les supporters anticipent avec impatience une campagne mémorable de la Côte d’Ivoire dans cette compétition prestigieuse.

      Affaire de torture à la prison de Ziguinchor : Un surveillant pénitentiaire incarcéré, le détenu présumé de viol témoigne

      Un nouveau rebondissement survient dans l’affaire du détenu présumé de viol torturé à la prison centrale de Ziguinchor. Le surveillant pénitentiaire incriminé, M. Diouf, a été envoyé en prison après avoir été placé sous mandat de dépôt. L’agent, désormais prisonnier, est détenu à la maison d’arrêt et de correction (MAC) de Ziguinchor en attendant son comparution devant le juge.

      L’affaire a éclaté lorsque le détenu, E. Mané, a porté plainte contre le surveillant pénitentiaire, l’accusant d’actes de torture et de traitements inhumains. Selon le rapport, M. Diouf aurait sorti le détenu de sa cellule le 29 décembre dernier pour des raisons apparemment futiles. Le surveillant aurait ensuite infligé des sévices au détenu, le forçant à s’agenouiller pendant plusieurs heures, menotté et soumis à des coups violents.

      Le major de l’infirmerie a été alerté des actes de torture par les cris de détresse de la victime. Bien que le responsable de l’infirmerie ait intervenu et ordonné l’arrêt des sévices, le surveillant aurait persisté. L’enquête a révélé que la victime a été ensuite conduite à l’infirmerie pour recevoir des soins.

      Le détenu, E. Mané, a confirmé les faits lors de son audition par les enquêteurs. Le rapport indique que le surveillant incriminé a tenté de nier les accusations lors de son interrogatoire, mais il a finalement été placé sous mandat de dépôt.

      Il est important de noter que E. Mané, âgé de 19 ans, était déjà incarcéré pour une affaire présumée de viol avant cette affaire de torture. Son dossier est en cours d’instruction.

      Cette affaire souligne l’importance de garantir le respect des droits des détenus et de lutter contre toute forme de violence ou de traitement inhumain dans le système pénitentiaire. Le procès du surveillant pénitentiaire incriminé sera un moment crucial pour la justice et la protection des droits de l’homme.

      Pénurie d’eau à Bakel : Des quartiers en proie à des nuits blanches en attente du précieux liquide

      Les habitants de Montagne-Centrale, Diabé-Guidé, Fandalé, Ndiayega, et une partie des HLM subissent les conséquences d’une pénurie d’eau persistante.

      Depuis plusieurs jours, plusieurs quartiers de la commune de Bakel font face à une pénurie d’eau qui perturbe le quotidien des habitants, les contraignant à veiller la nuit pour guetter le retour du liquide précieux, rapporte.

      Les quartiers Montagne-Centrale, Diabé-Guidé, Fandalé, Ndiayega, et une partie des HLM sont particulièrement touchés par cette situation difficile. Les résidents de ces quartiers passent des nuits blanches, dans l’attente que l’eau recommence à couler des robinets.

      Depuis une semaine, le débit d’eau est limité, ne s’écoulant que de 02 heures à 06 heures du matin. Les familles, contraintes d’organiser leur quotidien autour de ces horaires restreints, sont particulièrement impactées.

      Fayèle Sy, une habitante du quartier Montagne-Centrale, exprime sa frustration : « Depuis une semaine, c’est comme ça. L’eau ne coule plus des robinets qu’entre 02 heures et 06 heures du matin. On veille avec nos enfants qui doivent aussi aller à l’école. »

      Le quartier Montagne-Centrale, en raison de son emplacement en altitude, souffre depuis longtemps d’un problème chronique de pénurie d’eau. Certains habitants indiquent même devoir attendre que le quartier voisin, Grimpalé, s’approvisionne avant que la pression de l’eau ne soit suffisante chez eux.

      Bien que des forages aient été mis en place il y a plusieurs années pour pallier cette situation, les résidents soulignent que les solutions mises en œuvre n’ont pas résolu le problème. Certains sont contraints d’acheter de l’eau dans d’autres quartiers pendant la journée.

      Mamadou Cissokho, un habitant de Montagne-Centrale, témoigne de la difficulté quotidienne : « Je dois aller jusqu’au quartier Ndiayega pour remplir des bidons et des seaux. Je dois payer 2000 francs par course. »

      Outre les inconvénients pratiques, les habitants déplorent également le coût élevé des factures d’eau, malgré une consommation limitée en cette période de pénurie. La situation préoccupante soulève des questions sur la gestion de l’approvisionnement en eau dans la région et appelle à des mesures rapides pour résoudre ce problème essentiel.

      Le Dakarois Quotidien N°080 – du 13 et 14/01/24

      Le Dakarois Quotidien N°080 – du 13 et 14/01/24
      🔴 Les évêques d’Afrique rejettent la bénédiction des couples homosexuels
      🔴 Conseil Constitutionnel: La liste arrêtée des candidats

      Saisie record de faux billets à Thiès : Les aveux de l’imam, du chérif et de son chambellan ébranlent la communauté religieuse

      Une affaire sensationnelle a récemment éclaté à Thiès, où la police du commissariat de Diamaguène Sicap-Mbao a réalisé une saisie record de trois milliards de F CFA en faux billets. Des personnalités religieuses éminentes, dont l’imam A. A. P., le chérif S. B. Aïdara, et son chambellan M. T., ont avoué être impliqués dans cette entreprise criminelle. Les détails de l’opération policière et les aveux des suspects ont jeté une ombre sur la réputation de la confrérie religieuse à laquelle appartient le chérif.

      Déroulement de l’opération policière :

      Le commissaire Ousmane Diop a été alerté par un informateur sur l’existence d’un vaste réseau de trafic de faux billets, impliquant un chef religieux et son chambellan domiciliés à Thiès. Selon les investigations, le chambellan servait de couverture à son guide religieux pour dissimuler cette entreprise criminelle. De plus, le bras droit du chérif était suspecté de vouloir blanchir des billets noirs.

      Avec l’approbation du procureur, les policiers de Diamaguène Sicap-Mbao ont mis en place un dispositif de surveillance à Thiès, non loin du domicile de S. B. Aïdara. Après une longue planque, les forces de l’ordre ont observé deux suspects entrer dans la concession du chérif. La descente dans le salon du marabout a abouti à la découverte d’un sac contenant des paquets de billets noirs en coupures de dollars, évalués à trois milliards de F CFA.

      Bien que le duo suspecté ait réussi à s’échapper, le chérif et son chambellan ont été interpellés. Le chambellan a avoué avoir acquis les billets noirs auprès de l’imam A. A. T. La perquisition a également révélé un pistolet automatique dans l’armoire du marabout. Les investigations ont ensuite conduit à l’arrestation du troisième membre du gang.

      Réactions au sein de la communauté religieuse : Cette affaire a provoqué une onde de choc au sein de la communauté religieuse, choquée par l’implication de personnalités respectées dans une activité aussi illégale. Les aveux des suspects soulèvent des questions sur l’intégrité morale au sein de la confrérie religieuse, mettant à l’épreuve la confiance des fidèles.

      L’affaire des trois milliards de faux billets saisis à Thiès met en lumière les failles au sein de la communauté religieuse et souligne l’importance d’une vigilance accrue contre les activités criminelles. Les autorités poursuivent leurs enquêtes pour démanteler tout le réseau et garantir que la justice soit rendue.

      Conseil Constitutionnel : voici la liste arrêtée des candidats

      Le Conseil Constitutionnel vient de rendre publique la liste des candidats déclarés à la présidentielle du 25 février « par décision n 1/E/2024 rendue le vendredi 12 janvier 2024 ». Comme déjà connu, ils sont au nombre de 21. La liste arrêtée est publiée au greffe. 

      A partir de ce vendredi, le Conseil Constitutionnel pourra recevoir les réclamations conformément aux dispositions de l’article L.127 du Code électoral. « Le droit de réclamation contre la liste des candidats est ouvert à tout candidat dans les 48 heures suivant le jour de l’affichage » rappelle t-on. 
      Dans un communiqué parvenu à le Dakarois, l’on précise que « le greffe du Conseil constitutionnel recevra les réclamations les lundi 15 et mardi 16 janvier 2024 de 8 heures à 17 heures ».
      Toutefois, « les réclamations déposées en dehors du délai fixé par l’article L.127 précité sont prématurées ou tardives et ne seront pas examinées »


      Voici la liste des candidats ayant validé officiellement leur parrainage. 
      1) Boubacar CAMARA:
      2) Cheikh Tidiane DIEYE:
      3) Déthié FALL
      4) Daouda NDIAYE:
      5) Karim Meïssa WADE:
      6) Habib SY:
      7) Khalifa Ababacar SALL:
      8) Anta Babacar NGOM,
      9) Amadou BA
      10) Rose WARDINI:
      11) Idrissa SECK:
      12) Aliou Mamadou DIA
      13) Serigne MBOUP,
      14) Papa Djibril FALL.;
      15) Mamadou Lamine DIALLO:
      16) Mahammed Boun Abdallah DIONNE:
      17) El Hadji Malick GAKOU,
      18) Aly Ngouille NDIAYE;
      19) El Hadji Mamadou DIAO:
      20) Bassirou Diomaye Diakhar FAYE:
      21) Thierno Alassane SALL

      Coup de filet historique à Diamaguène Sicap-Mbao : Un imam, un chérif et son chambellan arrêtés avec 3 milliards de faux billets

      L’opération, menée grâce à un renseignement provenant d’une source fiable, a eu lieu la nuit dernière entre Thiès et Sébikotane. Trois individus, identifiés comme le chérif S. B. Aïdara, son chambellan M. T., et l’imam A. A. P., ont été arrêtés lors d’une perquisition fructueuse.

      Au cours de la perquisition, les forces de l’ordre ont également découvert un pistolet automatique dans le domicile du chérif S. B. Aïdara, qui n’était pas en possession d’un permis de port d’arme. Les chefs d’accusation retenus contre le trio comprennent l’association de malfaiteurs, la contrefaçon de faux billets de banque portant sur trois milliards de francs CFA, et la détention d’une arme à feu sans autorisation administrative.

      Le chérif, le chambellan, et l’imam se trouvent actuellement en garde à vue dans les locaux du commissariat de Diamaguène Sicap-Mbao, en attente des suites judiciaires. Cette opération couronnée de succès témoigne de l’efficacité des forces de l’ordre dans la lutte contre la criminalité financière et la contrefaçon de devises.

      Le MFDC Opte pour la Paix en Casamance : Appel à la Négociation et Commémoration de l’Abbé Diamacoune Senghor

      À l’approche de l’anniversaire du décès de l’abbé Diamacoune Senghor, le Mouvement des Forces Démocratiques de Casamance (MFDC) lance un appel fort en faveur de la paix. Le porte-parole du mouvement, Amidou Djiba, a tenu une conférence de presse soulignant l’urgence d’une solution pacifique au conflit, déclarant que la guerre actuelle ne peut perdurer éternellement.

      « Jusque-là, le Sénégal continue ses agressions au nord de Sindian. Il est crucial de mettre en lumière ces événements au niveau national et international. Des atrocités se produisent en Casamance, et il est de notre devoir d’en informer le monde. Cependant, nous croyons fermement que la solution ne se trouve pas au bout du fusil », a déclaré Djiba.

      Le MFDC propose une table de négociation et appelle le Sénégal à rejoindre le processus pour trouver une résolution durable. « Si l’on pense que cette solution peut se trouver au bout du fusil, les gens se trompent, car il n’y aura jamais de solution militaire en Casamance », a ajouté Djiba.

      L’anniversaire de l’abbé Diamacoune Senghor sera marqué par des activités religieuses, festives et culturelles sur plusieurs jours, offrant également une plateforme pour discuter de la crise casamançaise. Le MFDC insiste sur la nécessité d’une approche pacifique pour mettre fin à des années de conflit dans la région.

      AS Le Dakarois Ziguinchor

      Le Président Ablaye Mamadou Guisse plaide pour le report des Élections Présidentielles 2024

      Le président Ablaye Mamadou Guisse a exprimé sa position en faveur du report des élections présidentielles prévues en février 2024, lors d’une rencontre avec la rédaction du journal Ledakarois TV. Il a souligné les enjeux liés aux récentes découvertes de ressources naturelles, telles que le gaz et le pétrole, estimant qu’il est crucial de garantir une élection présidentielle démocratique, inclusive et transparente.

      Le Président Ablaye Mamadou Guisse plaide pour le report des Élections Présidentielles 2024

      Ablaye Mamadou Guisse a mis en avant les récentes découvertes de ressources naturelles, notamment le gaz et le pétrole, comme des éléments qui changent la donne pour le pays. Il estime que ces découvertes nécessitent une gestion méticuleuse par un président bien informé.

      Le président a plaidé en faveur du report des élections présidentielles jusqu’en 2026. Il soutient que le Sénégal a besoin d’un président compétent, familiarisé avec les enjeux des nouvelles ressources, afin d’assurer une gestion optimale et de garantir la stabilité du pays.

      Ablaye Mamadou Guisse a souligné l’importance de la stabilité pour le Sénégal, surtout dans le contexte des découvertes de ressources naturelles. Il a également insisté sur la nécessité d’une élection présidentielle inclusive, démocratique et transparente pour répondre aux aspirations du peuple sénégalais.

        La position du président Ablaye Mamadou Guisse en faveur du report des élections présidentielles de février 2024 met en lumière les préoccupations liées aux nouvelles découvertes de ressources naturelles. Le débat sur la pertinence d’une élection dans ce contexte souligne les enjeux cruciaux auxquels le Sénégal est confronté, tant sur le plan économique que politique.

        Dr Abdourahmane Diouf : « Arrêtez de dire que ma candidature a été recalée »

        Le 11 janvier 2023, lors d’une conférence de presse, Dr Abdourahmane Diouf, candidat à l’élection présidentielle sénégalaise prévue pour le 25 février 2024, a répondu aux rumeurs selon lesquelles sa candidature aurait été recalée par le Conseil constitutionnel.

        Il a vivement critiqué le Conseil constitutionnel pour sa gestion des notifications aux candidats devant régulariser leur parrainage, affirmant que le traitement différencié des candidats a violé le principe d’égalité. Dr Diouf a insisté sur le fait que le document remis par le Conseil constitutionnel était un simple procès-verbal et non une décision de justice, précisant qu’il ne considère pas sa candidature comme recalée.

        Il a souligné les principes du code électoral concernant la publication de la liste des candidats, affirmant que le Conseil constitutionnel devrait annoncer cette liste au plus tard le 12 janvier. Dr Diouf a appelé à cesser de diffuser des informations erronées sur le rejet de sa candidature.

        Évoquant les recours introduits, le candidat a indiqué qu’ils attendent que tous les recours soient considérés comme irrecevables, et que le Conseil constitutionnel annonce la liste définitive des candidats le 20 janvier. Il a affirmé que c’est à partir de cette mention de rejet par le Conseil constitutionnel qu’ils pourront contester la décision.

        L’attente continue, et Dr Abdourahmane Diouf reste déterminé à défendre sa candidature et à contester toute décision contraire aux principes de l’équité et de la justice.

        Images – Prise de contact : Mamadou Djigo reçoit Modou Diagne Fada, Ministre des Collectivités territoriales, de l’Aménagement et du Développement des Territoires

        Le Directeur général de l’Agence nationale d’aménagement du territoire (Anat), Mamadou Djigo a reçu Modou Diagne Fada, Ministre des Collectivités territoriales, de l’Aménagement et du Développement des Territoires pour une prise de contact par rapport aux perspectives de leurs départements respectifs, ce jeudi 11 janvier dans les locaux de l’Anat.

        Retour en image de cette cérémonie solennelle qui vise à consolider les relations intrinsèques entre ces deux entités indissociables pour le développement du Sénégal à partir de ses territoires.

        Vidéo exclusive du retour triomphal de la femme de Sadio Mané à l’école

        Quelques jours après son mariage célébré en grande pompe, la femme de Sadio Mané est de retour à l’école.

        C’est une immense foule qui a acclamé ce Come-back à travers cette vidéo exclusive :

        Vidéo exclusive du retour triomphal de la femme de Sadio Mané à l'école

        Polémique Entre Macky Sall et la Presse: Babacar Fall brise-t-il les Tabous ?

        La tension entre le président sénégalais, Macky Sall, et la presse du pays atteint des sommets après les récentes critiques émises par le chef de l’État lors des assises de la presse francophone à Diamanadio. Les propos de Macky Sall sur la théâtralisation des revues de presse au Sénégal ont déclenché une vive réaction du journaliste Babacar Fall, directeur de la rédaction de Rfm.

        La déclaration de Macky Sall

        Macky Sall a exprimé sa désapprobation envers une catégorie de la presse sénégalaise, qualifiant leur revue de presse de « théâtrale ». Il a même suggéré que les enseignants du CESTI, l’école de journalisme du Sénégal, pourraient théoriser cette nouvelle approche. Ces commentaires ont soulevé des interrogations sur la relation tendue entre le pouvoir politique et les médias dans le pays.

        La riposte de Babacar Fall

        En réponse, Babacar Fall a rappelé le passé du président, soulignant que Macky Sall n’est pas en position de critiquer la qualité de la presse. Il a fait référence au journal « Il Est Midi » et a accusé Macky Sall de faire partie d’un régime qui n’hésitait pas à attaquer violemment l’opposition et les médias critiques.

        Tensions croissantes et menaces de mort

        La polémique a pris une tournure sombre, Babacar Fall, après avoir pris la défense de ses confrères, a été la cible de menaces de mort, de messages audio et écrits injurieux depuis le mercredi matin. Cette réaction extrême souligne l’ampleur des divergences d’opinions sur la liberté de la presse et la responsabilité des dirigeants envers les médias.


        Liberté de la Presse en Question

        Cette polémique met en lumière les tensions persistantes entre le pouvoir politique et la presse au Sénégal. Elle soulève des questions cruciales sur la liberté de la presse et le rôle des dirigeants dans la protection de cette liberté. Alors que les journalistes continuent de jouer leur rôle dans la société, la question de l’équilibre entre critique constructive et respect des institutions reste au cœur du débat.

        Le Dakarois Quotidien continuera à suivre de près l’évolution de cette polémique et à fournir à ses lecteurs des informations objectives sur ce sujet crucial pour la démocratie sénégalaise.

        Cheikh KANE

        Second tour de vérification des parrainages: Anciens Premiers ministres recalés

        A la une aujourd’hui, le Conseil constitutionnel dévoile les résultats du second tour de vérification des parrainages pour l’élection présidentielle. Sur les 23 candidats initialement admissibles, 12 ont réussi à valider leurs tickets, tandis que 8, dont des anciens Premiers ministres, ont été recalés. Trois candidats n’ont pas complété les formalités nécessaires.

        Les candidats ayant validé leurs parrainages :
        Rose Wardini
        Idrissa Seck
        Aliou Mamadou Dia
        Malick Gackou
        Aly Ngouille Ndiaye
        Mamadou Lamine Diallo
        Serigne Mboup
        Pape Djibril Fall
        Bassirou Diomaye Diakhar Faye
        Mame Boye Diao
        Mouhamed Boun Abdalah Dione
        Thierno Allassane Sall
        Les candidats recalés :
        Maître El Hadj Diouf
        Serigne Gueye Diop
        Souleymane Ndene Ndiaye
        Abdoul Mbaye
        Aminata Touré
        Abdourahmane Diouf
        Amadou Ly
        Bougane Gueye Dany

        Candidats n’ayant pas complété les formalités :
        Pape Momar Ngom
        Aliou Camara
        Amadou Seck
        Ces résultats marquent un tournant crucial dans la course présidentielle, avec des personnalités politiques éminentes se trouvant parmi les recalés.

        Analyse des candidats retenus
        Parmi les candidats qui ont réussi à valider leurs parrainages, on retrouve des figures bien connues de la scène politique sénégalaise. Rose Wardini, Idrissa Seck, et Aliou Mamadou Dia font partie des favoris, chacun avec son propre soutien et programme politique.

        Rappel des candidats déjà admis au premier tour
        Rappelons que neuf candidats avaient déjà passé avec succès le premier tour de validation des parrainages. Parmi eux, on retrouve des personnalités telles que Boubacar Camara, Khalifa Ababacar Sall, et Karim Meïssa Wade.

        Les neuf pièces indispensables pour une déclaration de candidature
        Certificat de nationalité sénégalaise
        Carte d’identité nationale Cédéao (35-75 ans)
        Extrait de naissance récent (moins de 6 mois)
        Casier judiciaire vierge (moins de 3 mois)
        Attestation d’investiture (coalition ou candidat indépendant)
        Liste de parrainage avec l’option choisie (élue ou parrainage citoyen)
        Déclaration sur l’honneur (nationalité sénégalaise, capacité de lire et écrire)
        Déclaration sur l’honneur (conformité à la législation fiscale)
        Quittance avec attestation signée par le président de la Caisse de dépôt et de consignation (CDC)
        Le processus de candidature à une élection présidentielle au Sénégal requiert la présentation de neuf pièces essentielles, garantissant la légitimité et l’éligibilité des candidats. Ces pièces comprennent le certificat de nationalité sénégalaise, la carte d’identité nationale Cédéao, un extrait de naissance récent, un casier judiciaire vierge, une attestation d’investiture, une liste de parrainage, deux déclarations sur l’honneur, et une quittance avec attestation de la Caisse de dépôt et de consignation (CDC).

        Restez avec nous pour toutes les mises à jour sur l’évolution de la scène politique sénégalaise en cette période électorale cruciale.

        *Cheikh Kane

        Polémique sur les critiques de Macky Sall envers la presse sénégalaise : Babacar Fall rétorque et rappelle le passé du chef de l’État

        Les propos du président sénégalais, Macky Sall, critiquant la théâtralisation des revues de presse au Sénégal lors des assises de la presse francophone à Diamanadio ont suscité une vive réaction du journaliste Babacar Fall. Ce dernier estime que le chef de l’État est mal placé pour émettre des critiques sur la qualité de la presse sénégalaise.

        Macky Sall a déclaré mardi : « Au Sénégal, on a une catégorie, je ne sais même pas comment la qualifier, qui fait une sorte de revue de presse théâtrale. Alors rien que sa revue fait l’actualité… Et peut-être, les enseignants du CESTI doivent pouvoir théoriser ce nouvel apport. »

        Le journaliste, qui est également directeur de la rédaction de Rfm, a rappelé le passé de Macky Sall, soulignant que le président actuel n’est pas en position de critiquer la qualité de la presse. Il a fait référence au journal « Il Est Midi », qui, selon Babacar Fall, passait son temps à insulter l’opposition d’Abdoulaye Wade et les médias critiquant le régime du PDS, dont Macky Sall faisait partie à l’époque.

        Cette polémique souligne les tensions persistantes entre le pouvoir politique et la presse au Sénégal, mettant en lumière les divergences d’opinions sur la liberté de la presse et la responsabilité des dirigeants envers les médias.

        GABRIEL ATTAL CHEF DE GOUVERNEMENT : LE LOBBY HOMOSEXUEL PREND LE POUVOIR EN FRANCE : Le regard de l’Afrique sur un Premier Ministre gay

        Le jeune Gabriel Attal vient d’être nommé Premier ministre de France à l’âge de 34 ans. Le nouveau Chef du Gouvernement français est l’une des rares autorités de ce pays à avoir reconnu publiquement son homosexualité. Comment les Africains dans leur écrasante majorité homophobes, apprécieront la nomination du Premier ministre homosexuel ?

        Lorsqu’en France, l’accent est mis sur la jeunesse du nouveau Premier Ministre et sur certains caciques du régime qui se seraient opposés à sa nomination, en Afrique, c’est un autre regard que les Africains ont de Monsieur Gabriel Attal homosexuel assumé.

        En Afrique, l’homosexuel est très mal vu. D’ailleurs, plusieurs pays ont refusé de dépénaliser le délit de l’acte contre nature malgré la pression des ONG et des lobbies. Le Sénégal en est un exemple confirmé. L’ancien président américain Barack Obama avait attendu le refus catégorique, du président sénégalais de dépénaliser ce délit.

        En Afrique, les homosexuels se cachent parce qu’ils sont rejetés par la société. Ils sont mal vus. Et ils sont souvent victimes de violences physiques. D’ailleurs, des archevêques africains avaient unanimement rejeté la bénédiction des couples homosexuels en Afrique à la suite de la sortie du Pape sur la question. Donc dans le continent, les élites politiques, religieuses et coutumières bannissent l’homosexualité sous toutes ses formes.

        Alors, il est évident que les prochaines visites de Gabriel Attal en Afrique susciteront de vives polémiques. Certains Chefs d’Etat et de Gouvernement éviteront de l’accueillir de peur de subir les critiques de leur opinion publique locale. Les autorités politiques africaines qui accepteront de recevoir en visite officielle Monsieur Attal pourraient être accusées d’être des promoteurs des LGBT ou d’être homosexuels tout simplement. Car l’opinion publique africaine est très souvent frivole et téméraire. Voilà pourquoi, la nomination de Attal à la tête du Gouvernement pourrait provoquer un coup de froid dans les relations franco africaines, s’il était mis en avant. Les Africains sont systématiquement réfractaires à l’homosexualité.

        D’ailleurs, dans son rapport numéro 1841 intitulé : «Relations entre la France et l’Afrique » réalisé par la commission des affaires étrangères (M. Bruno Fuchs et Mme Michèle Tabarot), des mots importants ont été prononcés sur la question des LGBT en Afrique, et son impact négatif dans les relations entre la France et l’Afrique.

        La commission des Affaires étrangères avait pourtant bien cerné la question. Le rapport a fait remarquer que, «la France multiplie les initiatives qui peuvent être interprétées, aujourd’hui encore, comme une tentative de prolonger son emprise sur l’Afrique, en faisant la promotion de la démocratie tout en défendant ouvertement des régimes équivoques ou encore en cherchant à exporter ses standards, son modèle de société et ses valeurs ». Comme exemple, le rapport a rappelé que «récemment, l’ambassadeur français en charge de la défense des droits des lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres (LGBT) n’a fait que renforcer ce sentiment. Sa visite prévue au Cameroun du 27 juin au 1er juillet 2023 pour discuter de la situation des personnes LGBT dans ce pays où l’homosexualité est criminalisée a dû être annulée après que l’ambassadeur a été déclaré persona non grata, le gouvernement camerounais y voyant une initiative peu respectueuse des lois et des valeurs locales et lui refusant finalement la délivrance d’un visa ». Qu’en sera-t-il lorsque le Premier Ministre homosexuel décidera de se rendre dans ce pays ? Gabriel Attal aura-t-il le privilège d’être reçu avec tous les honneurs dans un palais africain où l’homosexualité est criminalisée ? Ne soyez pas surpris que de jeunes africains lancent des pétitions pour déclarer Attal persona non grata en Afrique. La résistance féroce de l’opinion publique africaine face à ce sujet, est sans commune mesure. Même les acteurs politiques évitent d’aborder ce sujet en public, sauf pour le dénoncer.

        Selon toujours, le rapport de la Commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale française, «la question de l’orientation sexuelle est à l’origine d’une autre incompréhension » entre la France et les pays africains.  Le rapport a rappelé que «l’homosexualité est interdite dans de nombreux pays du continent et passible de lourdes sanctions pénales ; au Soudan, en Somalie ou en Mauritanie, la peine de mort peut être requise pour homosexualité ; en Tanzanie, elle est passible d’une peine de prison de trente ans ; au Tchad, d’une peine de prison pouvant aller jusqu’à trois ans ».

        Par ailleurs, le document des députés français a ajouté que «dans la plupart des pays où l’homosexualité n’est pas explicitement criminalisée, la discrimination, la violence et la stigmatisation à l’encontre des personnes homosexuelles sont courantes ». D’ailleurs, «récemment, le corps d’un jeune homme, suspecté d’avoir une sexualité criminalisée au Sénégal, a été déterré et publiquement brûlé ». Ces actes monstrueux révèlent le niveau de rejet des hommes et des femmes qui assument publiquement leur homosexualité.

        «Les homologues diplomatiques du continent critiquent l’approche française de promotion des droits des personnes LGBT+, jugée intrusive et parfois contre-productive » a indiqué le rapport. Revenant sur l’incident au Cameroun, les auteurs du rapport ont souligné que «la tenue de cette conférence dans un pays où l’homosexualité est passible de six ans d’emprisonnement a été considérée, dans toute l’Afrique, comme une provocation ».

        Les députés ont d’ailleurs précisé «qu’il ne s’agit nullement d’accepter cette situation ni de renier nos valeurs, bien au contraire », mais il faut plutôt, «adapter nos pratiques et nos discours aux contextes locaux pour les rendre audibles et acceptables par les populations locales, afin de ne pas agir, à l’étranger, comme si nous étions en France ».

        «Il faut ainsi reconnaître que le mode opératoire diplomatique de la France n’est pas efficace. En Angola, une tribune engagée, publiée par un diplomate étranger sur ce sujet, a conduit à des arrestations dans la communauté LGBT+, démontrant que l’ingérence n’était pas de mise dans ce pays. C’est là une réalité qu’il faut pleinement prendre en compte » rappellent les auteurs du rapport parlementaire.

        Il faut reconnaitre que, face à cette tendance forte des autorités françaises à promouvoir des valeurs occidentales vues, comme des contrevaleurs en Afrique, la normalisation des relations entre la France et certains pays africains, n’est pas pour demain. Attendons de voir la première visite de Gabriel Attal en Afrique…

        Dakartimes

        Horreur à Keur Mbaye Fall : les yeux de l’enfant retrouvé mort dans la voiture étaient…

        Le quartier Cité Poste de Keur Mbaye Fall a été secoué par un drame horrifiant, après la découverte de deux garçons portés disparus depuis jeudi. Retrouvés cinq jours plus tard, enfermés dans un véhicule en panne et recouverts d’une bâche, l’un des garçons était malheureusement décédé, tandis que l’autre se trouvait dans un état critique.

        Le garçon décédé, nommé Ibra Fall, présentait des blessures graves au niveau du front, mais des détails encore plus choquants ont été révélés par un membre de la famille éplorée : ses yeux étaient crevés, et son corps était en état de décomposition.

        Ces découvertes macabres ont suscité l’indignation et la colère parmi les habitants du quartier. Certains, venus compatir à la douleur de la famille, ont même envisagé de mener une expédition punitive contre la maison devant laquelle le véhicule était garé. Heureusement, l’intervention rapide de la gendarmerie a permis de sécuriser la zone et d’empêcher un déchaînement de violence.

        Le cousin du défunt, I. Dia, grièvement blessé à la cuisse et dans un état comateux, pourrait détenir des informations cruciales pour élucider cette affaire tragique. Les enquêteurs attendent son témoignage pour faire la lumière sur les circonstances entourant la disparition et la mort des deux garçons. faire un article

        Le super calculateur Opta prédit la victoire du Sénégal à la CAN 2024

        Les prévisions sont tombées et selon le super calculateur d’Opta, le Sénégal émerge en tant que favori pour remporter la Coupe d’Afrique des Nations 2024. Les pourcentages attribués aux différentes équipes offrent un aperçu passionnant des probabilités de succès à venir.

        Classement des favoris selon Opta :

        1. Sénégal: 12,8%
        2. Côte d’Ivoire: 12,1%
        3. Maroc: 11,1%
        4. Algérie: 9,7%
        5. Égypte: 8,5%
        6. Nigéria: 8%
        7. Cameroun: 7,4%
        8. Tunisie: 6,3%
        9. Ghana: 5,3%

        Le Sénégal en pole position :

        Avec une impressionnante cote de 12,8%, le Sénégal occupe la première place des prédictions d’Opta, indiquant ainsi une forte probabilité de décrocher le titre tant convoité. L’équipe sénégalaise, forte de sa performance lors des éliminatoires, est perçue comme la mieux positionnée pour briller lors de la compétition continentale.

        La Côte d’Ivoire et le Maroc en embuscade :

        La Côte d’Ivoire et le Maroc suivent de près avec des pourcentages respectifs de 12,1% et 11,1%. Ces deux équipes sont également considérées comme des prétendants sérieux, prêtes à défier le statut de favori du Sénégal.

        L’Algérie, l’Égypte et le Nigéria dans la course :

        L’Algérie, championne en titre, se trouve à la quatrième place avec 9,7%, tandis que l’Égypte et le Nigéria complètent le top 5 avec des pourcentages de 8,5% et 8% respectivement. Ces équipes sont toutes des compétiteurs chevronnés, prêtes à rivaliser pour la suprématie africaine.

        Des surprises à prévoir ?

        Les pourcentages attribués aux autres équipes, y compris le Cameroun, la Tunisie et le Ghana, suggèrent que la compétition sera intense, avec la possibilité de surprises tout au long du tournoi.

        La CAN 2024 s’annonce donc comme une aventure palpitante, avec le Sénégal en tête des pronostics. Cependant, comme le montrent ces prévisions, rien n’est joué d’avance dans le monde du football, et chaque équipe aura à cœur de défier les attentes et de créer sa propre histoire sur le terrain.

        Grève de la faim à la maison d’arrêt de Diourbel : Les détenus protestent contre les longues détentions et la surpopulation carcérale

        Depuis le lundi 8 janvier 2024, les détenus de la maison d’arrêt et de correction de Diourbel observent une grève de la faim pour protester contre les longues détentions préventives et la surpopulation carcérale. Cette action met en lumière les difficultés persistantes auxquelles sont confrontés les établissements pénitentiaires au Sénégal.

        La grève de la faim a des conséquences graves sur la santé de certains détenus, avec 7 d’entre eux évacués vers l’infirmerie de la prison. Cette situation souligne l’urgence d’une intervention des autorités pénitentiaires de l’État pour résoudre la crise, répondre aux préoccupations des détenus et améliorer les conditions de vie en détention.

        Cette protestation souligne également la nécessité d’une réflexion plus large sur la réforme du système judiciaire et pénitentiaire afin de garantir le respect des droits des détenus et de créer des conditions plus humaines dans les prisons du pays.

        Élection Présidentielle 2024 au Sénégal : La liste des candidats ayant validé le parrainage

        Dans le cadre de la course à la présidentielle de 2024 au Sénégal, 21 candidats ont franchi avec succès l’étape cruciale du parrainage, démontrant ainsi un soutien significatif et étendu à travers le pays. Ces candidats, représentant une diversité d’opinions et de mouvements politiques, ont respecté les critères requis pour concourir à la plus haute fonction de l’État.

        La liste complète des candidats ayant validé leur parrainage est la suivante :

        1. Boubacar Camara

        2. Dethié Fall 3.

        Cheikh Tidiane Dièye

        4. Daouda Ndiaye

        5. Karim Wade

        6. Habib Sy

        7. Khalifa Ababacar Sall

        8. Anta Babacar Ngom

        9. Amadou Bâ

        10. Rose WARDINI

        11. Idrissa SECK

        12. Aliou Mamadou DIA

        13. Serigne MBOUP

        14. Papa Djibril FALL

        15. Mamadou Lamine DIALLO

        16. Mahammed Boun Abdallah DIONNE

        17. El Hadji Malick GAKOU

        18. Aly Ngouille NDIAYE

        19. Elhadj Mamadou Diao

        20. Bassirou Diomaye Faye

        21. Thierno Alassane Sall

        Cette liste diversifiée illustre la richesse du paysage politique sénégalais et annonce une compétition électorale dynamique en perspective. Les électeurs sénégalais auront le choix parmi une variété de candidats, chacun apportant sa vision et ses propositions pour le développement futur du pays.

        Bassirou Diomaye faye réussit avec succès l’étape du parrainage pour sa candidature présidentielle

        Dans la course présidentielle sénégalaise de 2024, Bassirou Diomaye Faye, le plan B de l’ex-parti Pastef, a franchi avec succès l’étape cruciale du parrainage, se qualifiant ainsi pour participer à l’élection présidentielle du 25 février. Cette nouvelle apporte un soulagement aux partisans du candidat, en particulier après l’élimination d’Ousmane Sonko en raison d’un dossier incomplet.

        Au départ, Bassirou Diomaye Faye devait régulariser 4 219 parrains sur 6 609 doublons externes. Cependant, il a finalement obtenu 45 729 parrains, dépassant largement le nombre requis. Cette réussite est perçue comme une bouffée d’oxygène pour les partisans qui ont vu leur candidat initial, Ousmane Sonko, éliminé en raison de problèmes de documentation.

        La réussite de Bassirou Diomaye Faye dans le processus de parrainage ajoute un nouveau dynamisme à la compétition présidentielle. Alors que certains candidats ont fait face à des obstacles lors du contrôle des parrainages, d’autres, comme Bassirou Diomaye Faye, ont réussi à répondre aux exigences strictes du Code électoral sénégalais.

        Cette nouvelle souligne l’importance des parrainages dans le processus électoral sénégalais et montre la détermination des candidats à surmonter les obstacles pour participer à la compétition présidentielle. Les semaines à venir promettent d’être intenses, avec les candidats ajustant leurs stratégies et les électeurs sénégalais observant de près chaque développement dans cette course cruciale pour la présidence.

        Abdoul Mbaye inéligible à la Présidentielle 2024 suite à un contrôle de parrainage

        La course présidentielle sénégalaise de 2024 subit un bouleversement majeur avec le rejet de la candidature d’Abdoul Mbaye par le Conseil constitutionnel. La commission en charge du contrôle de parrainage a cité un nombre insuffisant de soutiens, ne parvenant pas à atteindre les 44 231 parrainages requis. Le processus de collecte de parrainages, une étape cruciale pour tout candidat présidentiel, s’est avéré être un obstacle insurmontable pour Abdoul Mbaye.

        Malgré ses efforts et son engagement, le nombre de soutiens obtenus par Abdoul Mbaye n’a pas réussi à franchir le seuil fixé par les autorités électorales, conduisant ainsi au rejet de sa candidature. Cette décision du Conseil constitutionnel souligne l’importance des contrôles de parrainage dans le processus électoral, garantissant que les candidats démontrent un soutien significatif et diversifié avant de pouvoir concourir à la présidence.

        Ancien Premier ministre du Sénégal, Abdoul Mbaye a joué un rôle majeur dans la scène politique sénégalaise. Cependant, cette invalidation de sa candidature représente un défi significatif pour ses ambitions présidentielles en 2024. Alors que la compétition présidentielle se poursuit avec d’autres candidats, cette décision du Conseil constitutionnel marque une étape cruciale dans le paysage politique.

        Les électeurs sénégalais, attentifs à ces développements, verront la compétition évoluer au cours des prochaines semaines. Avec des enjeux importants pour l’avenir du pays, la démocratie sénégalaise s’affirme à travers ces processus électoraux rigoureux. Les candidats restants ajusteront probablement leurs stratégies à la lumière de ces évolutions, et les citoyens auront un rôle clé à jouer dans la détermination du futur leader de la nation.

        Souleymane Ndéné Ndiaye exclut de la course Présidentielle 2024 après un contrôle de parrainage

        La présidentielle sénégalaise de 2024 connaît un rebondissement majeur avec le rejet de la candidature de Souleymane Ndéné Ndiaye par le Conseil Constitutionnel. La commission en charge du contrôle de parrainage a invoqué un déficit de soutien, le nombre de parrainages obtenus par le candidat étant inférieur aux 44 231 requis.

        Selon les dispositions légales en vigueur, chaque candidat à l’élection présidentielle doit rassembler un nombre minimum de parrainages pour être éligible. Pour l’élection de 2024, le seuil a été fixé à 44 231 parrainages. Malheureusement, la candidature de Souleymane Ndéné Ndiaye n’a pas réussi à atteindre ce nombre requis, entraînant son exclusion de la compétition présidentielle par le Conseil Constitutionnel.

        Cette décision souligne l’importance des contrôles de parrainage dans le processus électoral sénégalais, visant à garantir que les candidats démontrent un soutien significatif et diversifié à travers le pays avant de pouvoir concourir pour la plus haute fonction du pays.

        Souleymane Ndéné Ndiaye, ancien Premier ministre du Sénégal, a été une figure influente de la politique sénégalaise, mais cette invalidation de sa candidature constitue un coup dur pour ses ambitions présidentielles en 2024. Alors que la compétition présidentielle se poursuit avec d’autres candidats, cette décision du Conseil Constitutionnel marque une étape importante dans le processus électoral.

        Les électeurs sénégalais observent attentivement ces développements, alors que la scène politique continue d’évoluer en vue de l’élection cruciale de 2024. La concurrence politique s’intensifie, avec des enjeux importants pour l’avenir du pays. Les prochaines semaines promettent d’être riches en débats et en dynamiques politiques, offrant aux citoyens une variété de choix pour façonner le destin de leur nation.

        Trois candidats éliminés d’office par le conseil constitutionnel : Les raisons dévoilées

        La scène politique sénégalaise connaît un nouveau développement majeur alors que la commission instaurée par le Conseil constitutionnel poursuit son examen des parrainages dans le cadre de l’élection présidentielle du 25 février 2024. Après une première vérification des parrainages soumis par les candidats, la commission a dévoilé que certains d’entre eux devaient compléter leurs parrainages pour être éligibles. Cependant, trois candidats n’ont pas réussi à régulariser leur situation dans les délais impartis, les excluant ainsi de la course présidentielle.

        Les candidats Aliou Camara (Docteur Aliou Camara 2024 Jappo Dekkal Yakkar), Papa Momar Ngom (Joyanti 2024) et Amadou Seck (Les AS de la nation / ASN) ont été éliminés d’office, leurs dossiers de régularisation n’ayant pas été déposés avant la date limite fixée par le Conseil constitutionnel, soit le lundi 8 janvier.

        Cette échéance cruciale avait été établie comme un ultimatum pour les candidats afin de mettre à jour et compléter leurs parrainages. Cependant, l’absence de dépôt de dossiers de régularisation de la part des trois candidats signifie qu’ils sont désormais exclus de la liste des prétendants éligibles à l’élection présidentielle.

        Le Conseil constitutionnel, en instaurant ce processus de vérification rigoureux, cherche à garantir la transparence et l’équité dans le processus électoral. Les règles strictes en matière de parrainages visent à s’assurer que les candidats démontrent un soutien significatif et diversifié à travers le pays avant de pouvoir concourir pour la plus haute fonction du pays.

        Alors que les candidats restants poursuivent leur parcours électoral, cette élimination de trois prétendants souligne l’importance de la conformité avec les exigences du Conseil constitutionnel dans le cadre de la compétition présidentielle sénégalaise. Les électeurs pourront désormais concentrer leur attention sur les candidats éligibles, tandis que la campagne électorale continue de gagner en intensité en vue du scrutin crucial du 25 février 2024.

        Incohérences dans le fichier électoral sénégalais : Mary Teuw Niane non identifié, une étrange anomalie persiste

        Un candidat prestigieux, une anomalie étonnante: Le Professeur Mary Teuw Niane, candidat à l’élection présidentielle de 2024, est choqué de découvrir qu’il fait partie des 28 887 non identifiés dans le fichier général des électeurs. Cette situation, bien que ne présentant aucune erreur dans les données fournies par le candidat, soulève des interrogations sérieuses quant à la fiabilité et à l’intégrité du Fichier électoral.

        Les cas successifs de non-identification dans le Fichier électoral sénégalais, impliquant des personnalités telles que Mohamed Ben Diop et Mary Teuw Niane, soulèvent des inquiétudes sérieuses quant à la crédibilité du processus électoral. Alors que les investigations se poursuivent, l’attention nationale se tourne vers la nécessité de garantir la transparence et l’équité dans la gestion du fichier, essentielles pour maintenir la confiance des citoyens dans le processus démocratique.

        Aliou Mamadou Dia, candidat du PUR, valide les 202 parrains manquants : Une étape cruciale franchie avec succès

        Validation des parrains manquants: Face à des défis logistiques et administratifs, la campagne d’Aliou Mamadou Dia avait initialement fait état de 202 parrains manquants pour la validation de sa candidature. Cependant, grâce à des efforts soutenus et une coordination efficace, le candidat a réussi à surmonter ces obstacles et à réunir le nombre requis de signatures dans les délais impartis.

        Réactions de la classe politique: Les réactions à cette réussite ne se sont pas fait attendre. Des membres du PUR, ainsi que des personnalités politiques extérieures au parti, saluent cette réalisation comme un signe de la force et de la cohésion au sein du mouvement. Certains analystes estiment que cette avancée pourrait changer la dynamique de la campagne présidentielle et attirer davantage l’attention des électeurs.

        Idrissa Seck franchit avec succès l’épreuve des parrainages au Conseil constitutionnel

        Le processus de validation des parrainages pour l’élection présidentielle du 25 février 2024 se poursuit au sein de la commission dédiée du Conseil constitutionnel. Ce mardi 9 janvier, Idrissa Seck, candidat de la « coalition Idy 2024 », a réussi à valider ses parrainages, franchissant ainsi une étape cruciale en vue de sa participation à la course présidentielle.

        Le processus de parrainage, réputé exigeant, a été surmonté avec succès par le camp d’Idrissa Seck. Le nombre total de soutiens recueillis dépasse les 45 000, démontrant l’ampleur du soutien populaire en faveur de sa candidature.

        Pour être éligible à l’élection présidentielle, la législation sénégalaise stipule que chaque candidat doit obtenir un minimum de 44 231 parrainages, dont au moins 2 000 parrains répartis sur au moins 7 régions du pays. Idrissa Seck a réussi à dépasser ces seuils, consolidant ainsi sa candidature.

        La validation des parrainages est une étape cruciale pour tous les candidats, et la réussite de ce processus renforce la position d’Idrissa Seck en tant que concurrent sérieux dans la course présidentielle à venir.

        Il est important de souligner que Idrissa Seck se présente également sous la bannière de la « coalition Idy 2024 », illustrant ainsi sa capacité à rassembler différents acteurs politiques autour de sa candidature. La confirmation de ses parrainages marque un jalon significatif dans la préparation de sa campagne électorale, mettant en lumière l’importance de la mobilisation et du soutien populaire dans le paysage politique sénégalais.

        Mamadou Touré, l’homme derrière le logiciel de parrainage controversé du conseil constitutionnel Sénégalais

        Le logiciel de parrainage utilisé par le Conseil constitutionnel du Sénégal pour la vérification des candidatures à l’élection présidentielle de février 2024 suscite des critiques, notamment de la part de l’opposition. Au cœur de cette controverse se trouve Mamadou Touré, chef du service informatique du Conseil constitutionnel et responsable du logiciel en question.

        Peu connu du grand public et du milieu politique, Mamadou Touré a marqué ses débuts académiques dans les années 1980 à l’Université de Dakar avant de poursuivre ses études à l’Université Paris Dauphine en France. C’est là qu’il a obtenu un DESS en Informatique de Gestion, démontrant une expertise approfondie dans l’application informatique aux processus de gestion.

        En 2007, Mamadou Touré a pris un tournant significatif en contribuant au Programme sectoriel justice (CEDAF), où il a piloté des projets métiers et apporté son soutien à la mise en place d’un système d’informations judiciaire performant. Cette expérience a enrichi son expertise, en particulier dans le déploiement de solutions informatiques complexes au sein des institutions étatiques.

        Cependant, malgré son expérience, le logiciel de parrainage supervisé par Mamadou Touré est critiqué pour son manque de transparence et sa fiabilité présumée. Des problèmes ont été signalés, notamment l’incapacité du logiciel à reconnaître certains électeurs, y compris des candidats confirmés comme Mohamed Ben Diop et l’ex-ministre Mary Teuw Niane. Ces problèmes soulèvent des interrogations sur la version du fichier électoral utilisé par le logiciel et suscitent des inquiétudes quant à la crédibilité du processus de vérification des parrainages pour l’élection présidentielle à venir.

        Élections Présidentielles: Un Processus Sous Haute Tension

        À moins de deux mois des élections présidentielles au Sénégal, la clôture de l’examen des dossiers de régularisation des parrainages par le Conseil constitutionnel marque une étape cruciale dans la course présidentielle. Cette période est marquée par des tensions croissantes alors que les candidats cherchent à régulariser leurs parrainages jugés invalides, soulignant les enjeux et les défis auxquels est confronté le processus électoral sénégalais.

        La Course aux Parrainages:
        Parmi les 93 candidats initiaux, seuls neuf ont réussi à passer le premier tour. La candidate Mimi Touré, porte-étendard de la coalition Mimi2024, dirige les efforts pour la régularisation de parrainages invalides. Cette lutte acharnée pour assurer la présence sur la liste finale des candidats révèle l’importance critique des parrainages dans le processus électoral.
        Les neuf candidats retenus, dont Boubacar Camara, Déthie Fall, Cheikh Tidiane Dièye, Amadou Ba, Anta Babacar Ngom, Habib Sy, Karim Wade, Khalifa Sall et Pr Daouda Ndiaye, représentent une diversité d’aspirations politiques. Les 62 candidats recalés alimentent la contestation, suscitant des interrogations sur les critères de sélection et l’équité du processus.

        Fiabilité du Fichier Électoral:
        Les déclarations divergentes sur la fiabilité du fichier électoral alimentent les inquiétudes. Théodore Chérif Monteuil affirme que le fichier est fiable, citant un audit en 2021. Cependant, les préoccupations d’Aly Ngouille Ndiaye quant aux anomalies détectées soulignent la nécessité d’une correction rapide pour préserver l’intégrité du processus électoral.
        L’audit effectué en 2021 doit être évalué à la lumière des développements actuels, et la question de la mise à jour régulière du fichier électoral est cruciale pour garantir des élections transparentes et démocratiques. Les appels à la transparence dans la gestion du fichier électoral se multiplient à mesure que les candidats expriment leurs inquiétudes.

        Contestations et Recours:
        Les contestations, telles que celle d’Aminata Touré dénonçant le manque de mise à jour du fichier, et le recours d’Alioune Sarr après l’invalidation de sa candidature, ajoutent une complexité supplémentaire. Les candidats recalés cherchent à faire valoir leurs droits, mettant en lumière l’importance cruciale des institutions dans la résolution de ces contentieux.
        Les recours au Conseil constitutionnel, tels que celui d’Alioune Sarr, soulèvent des questions sur la cohérence des critères d’acceptation des parrainages. L’expertise en systèmes informatiques de M. Sarr souligne la nécessité d’une évaluation minutieuse des processus de validation des parrainages pour éviter des contestations futures.

        Enjeux de Candidatures Rejetées:
        La candidature de Ousmane Sonko, rejetée par le Conseil constitutionnel, suscite des tensions majeures. Moustapha Sarré de l’ex-Pastef insiste sur l’éligibilité de Sonko, illustrant les controverses entourant les critères de sélection des candidats et la nécessité de clarifications.
        La controverse autour de la candidature de Sonko met en lumière les défis liés à la participation équitable des candidats, en particulier ceux qui sont en détention. Les implications politiques et sociales de telles décisions suscitent des débats animés au sein de la société sénégalaise.

        Éclairage sur les Dernières Déclarations:

        Moustapha Sarré de l’Ex-Pastef :
        La contestation de la candidature de Ousmane Sonko met en lumière les tensions et les contestations entourant le processus électoral, soulignant l’importance de garantir une participation équitable.

        Aly Ngouille Ndiaye :
        Les inquiétudes d’Aly Ngouille Ndiaye concernant le fichier électoral soulignent les défis actuels et l’importance de résoudre rapidement les anomalies pour maintenir la crédibilité du processus.

        Alioune Sarr :
        Sa contestation de l’invalidation met en avant les défis liés à la validation des parrainages et souligne la nécessité d’une évaluation minutieuse des critères de sélection.

        Aminata Touré :
        La dénonciation du manque de mise à jour du fichier électoral met en évidence les inquiétudes persistantes quant à la transparence et la sincérité du scrutin.


        Le Sénégal se trouve à un moment critique de son processus électoral, avec des enjeux élevés en termes de légitimité et de confiance démocratique. Les prochaines semaines seront cruciales pour résoudre les défis liés aux parrainages, à la fiabilité du fichier électoral et aux contestations, afin d’assurer des élections justes, transparentes et acceptées par tous. Le monde observe avec attention, conscient de l’impact que ces élections auront sur la stabilité démocratique du pays. La consolidation de la confiance dans le processus électoral demeure un défi central à surmonter pour garantir la légitimité des résultats et la stabilité post-électorale.


        Cheikh Kane

        Sadio Mané célèbre son mariage avec Aicha Tamba : Un heureux chapitre dans la vie du Champion d’Afrique

        Le célèbre footballeur sénégalais, Sadio Mané, est actuellement aux anges après avoir célébré son mariage avec sa compagne Aicha Tamba. L’absence remarquée de Mané lors du match amical de l’équipe nationale du Sénégal contre le Niger trouve désormais son explication dans cette heureuse occasion. L’international sénégalais a préféré être aux côtés de sa nouvelle épouse pour ce moment spécial.

        Absence lors du Match Amical :

        La décision de Sadio Mané de manquer le match amical contre le Niger a suscité des interrogations parmi les fans et les observateurs du football sénégalais. La confirmation de son mariage explique désormais son absence sur le terrain, soulignant l’importance qu’il accorde à sa vie personnelle.

        Un Heureux Chapitre dans la Vie du Champion :

        Ce mariage marque un chapitre significatif dans la vie de Sadio Mané, qui a connu un immense succès sur les terrains de football à travers le monde. L’international sénégalais, reconnu pour son talent exceptionnel et son engagement social, partage désormais sa vie avec Aicha Tamba, créant ainsi un foyer rempli de bonheur.

        Réactions et Félicitations :

        Les réseaux sociaux ont été inondés de messages de félicitations à l’égard du couple. Les fans et les collègues footballeurs ont exprimé leurs vœux de bonheur et de prospérité pour Sadio Mané et Aicha Tamba. La célébration de ce mariage a également renforcé le statut de Mané en tant que personnalité influente et aimée au-delà du monde du football.

        Prochains Chapitres pour Sadio Mané :

        Alors que Sadio Mané entre dans ce nouveau chapitre de sa vie en tant que marié, les supporters anticipent avec enthousiasme les prochains développements tant sur le plan professionnel que personnel pour le champion d’Afrique. Les yeux seront certainement rivés sur les prochaines performances de Mané sur le terrain et sur les moments qu’il partagera avec son épouse Aicha Tamba.

        En fin de compte, cette union apporte une note de bonheur et de célébration à la vie de Sadio Mané, démontrant une fois de plus que le succès sur le terrain s’accompagne souvent de moments de joie et de bonheur dans la vie personnelle. Toutes nos félicitations à Sadio Mané et Aicha Tamba pour ce nouveau départ dans leur vie ensemble.

        Exploit tardif : Le Sénégal remporte l’amical international contre le Niger 1-0 à la 95e minute

        Dans un match amical international palpitant, le Sénégal s’impose face au Niger avec un but crucial inscrit à la 95e minute. Une victoire in extremis qui soulève l’enthousiasme des supporters sénégalais et marque un moment mémorable dans cette rencontre.

        Restez avec nous pour tous les détails sur cette performance captivante du Sénégal contre le Niger, une rencontre qui démontre la détermination et la ténacité de l’équipe nationale. Suivez le récit de ce match en direct pour revivre chaque instant intense de cette victoire 1-0.

        Aminata Touré dénonce le manque de mise à jour du fichier électoral par la CENA

        La polémique autour du processus électoral au Sénégal s’intensifie alors que de nombreux candidats à l’élection présidentielle de 2024 sont recalés ou invalidés en raison de parrainages jugés non conformes à la loi. Aminata Touré, une des candidates, exprime son indignation face à l’annonce de la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) selon laquelle la dernière version du fichier électoral n’est pas encore disponible, à moins de deux mois de l’élection présidentielle.

        Réaction d’Aminata Touré : Sur le réseau social X, Aminata Touré a qualifié la situation de « véritable scandale » que la CENA annonce ne pas avoir la dernière version du fichier électoral à jour pour l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024. Elle a souligné l’importance du fichier électoral à jour pour garantir la transparence du processus électoral.

        Questions Soulevées : Aminata Touré a posé des questions pertinentes sur le fichier dont dispose le Conseil Constitutionnel pour vérifier les parrainages des candidats, en l’absence d’une version à jour du fichier électoral par la CENA. Elle a exprimé sa préoccupation quant à la nébulosité entourant l’organisation de l’élection présidentielle, soulignant que cela compromet sérieusement la transparence et la sincérité du scrutin.

        Appel à la Mobilisation Citoyenne : L’ancienne Première ministre a appelé les démocrates et les citoyens sénégalais à se mobiliser massivement pour garantir une élection inclusive et transparente. Sa déclaration reflète les préoccupations croissantes quant à la crédibilité du processus électoral et à la nécessité d’assurer une participation équitable de tous les candidats.

        Cette dénonciation d’Aminata Touré met en lumière les défis actuels auxquels est confronté le processus électoral au Sénégal et souligne l’importance de la transparence pour maintenir la confiance du public dans le système démocratique.

        Exclusif – Présidentielle de 2024 : Serigne Modou Kara propose le report du scrutin du 24 février 2024

        Reporter l’élection présidentielle comme le voulait le candidat Boubacar Camara, est l’avis du guide religieux, Serigne Modou Kara Mbacké.

        Dans une conversation téléphonique avec le journaliste-chroniqueur, Yamoussa Camara, ce dimanche soir, le général de Bamba propose le report de l’élection présidentielle du 25 février 2024 au Sénégal.

         » Le gouverneur général d »’Al Xadiimiya », Serigne Modou Kara m’a appelé vers 22h. Au menu des échanges, il m’a fait savoir qu’il porte à l’attention des Sénégalais, de la presse nationale et internationale qu’il propose le report de la présidentielle pour le bien tous les citoyens.  » Fait-il savoir d’emblée.

        Ambassadeur international de la paix, Serigne Modou Kara Mbacké pense que le pays ne mérite pas de renouer avec les tensions politiques et appelle à une reprise du scrutin sous un nouveau format.

         »Je suis un visionnaire, on doit reporter ces élections et les reprendre sous format d’élection générale et inclusive avec la participation de tous ceux qui doivent y figurer. Je le propose sur inspiration divine. Je sais de quoi je parle. Non seulement elle doit être reportée mais elle doit être reprise et très bien préparée sur des bases claires. Mieux vaut prévenir que guérir pour épargner le Sénégal d’une crise post-électorale majeure.  » a-t-il expliqué au journaliste et promet que si rien n’est fait, une sortie médiatique sera prévue pour plus de détails.

        (Vidéo et Images) Mariage de Sadio Mané: Voici les images exclusives de sa belle femme qui affolent la toile

        l’identité de la femme qui a volé le cœur de Sadio Mané enfin dévoilée par Mag Vision ce dimanche 7 janvier sur sa page Facebook.

        🥳✨Mariage Sadio Mané : (en images)découvrez l'heureuse élue !

        Voici les premiers clichés de celle qui a fait chavirer le cœur du fils de Bambali, notre Nianthio national.

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