URGENT – Après une longue absence sur les réseaux sociaux : Ousmane Sonko réapparaît avec un discours percutant

Ousmane Sonko, leader politique influent au Sénégal, a fait son grand retour sur les réseaux sociaux après une période de silence prolongée. Dans un discours percutant, il a abordé des sujets brûlants et livré ses perspectives sur l’actualité nationale.

Sonko, connu pour ses prises de position fortes, a touché à des thèmes variés, allant de la situation économique du pays aux récentes décisions gouvernementales. Cette réapparition suscite déjà de vives réactions parmi ses partisans et les observateurs politiques.

Nous vous tiendrons informés des développements ultérieurs et des retombées de cette intervention.

Urgent : Le Parquet Requiert une Sentence Ferme pour Bah Diakhaté et Imam Ndao

Le procureur du tribunal de grande instance de Dakar a requis aujourd’hui une sentence ferme pour Bah Diakhaté et Imam Cheikh Tidiane Ndao. Lors de l’audience des flagrants délits, le procureur a demandé une peine de six mois de prison ferme pour les deux prévenus.

Bah Diakhaté et Imam Cheikh Tidiane Ndao sont accusés de diffamation publique et d’incitation à la haine contre le Premier ministre Ousmane Sonko. Les faits remontent à plusieurs semaines, lorsque des déclarations incendiaires avaient été faites à l’encontre du Premier ministre, suscitant une large polémique.

Le procureur a souligné la gravité des propos tenus par les prévenus, qui, selon lui, constituent une atteinte sérieuse à l’ordre public et à la dignité du Premier ministre. “Ces déclarations ne peuvent rester impunies. Elles ont pour but de semer la division et la haine dans notre société”, a-t-il affirmé.

En plus de la peine de prison, le procureur a requis des dommages et intérêts pour la partie civile, en l’occurrence le Premier ministre Ousmane Sonko. Il a demandé que chaque prévenu verse une somme de 100 000 FCFA à titre de compensation pour le préjudice subi.

La défense de Bah Diakhaté et Imam Cheikh Tidiane Ndao a plaidé pour la clémence, arguant que leurs clients n’avaient pas l’intention de causer du tort et qu’ils regrettent profondément leurs déclarations. “Il s’agit de propos mal interprétés et amplifiés par les médias”, a déclaré l’avocat de la défense.

De son côté, Ousmane Sonko, par l’intermédiaire de ses avocats, a exprimé sa satisfaction quant à la réquisition du procureur, estimant que “la justice doit être ferme face à de tels comportements pour préserver la paix sociale et la cohésion nationale”.

Le juge des flagrants délits rendra son verdict dans les prochains jours. L’affaire continue de susciter un vif intérêt au sein de l’opinion publique, qui attend avec impatience la décision du tribunal.

En attendant, la situation reste tendue, et les appels à la modération et au respect des institutions se multiplient. Le procès de Bah Diakhaté et Imam Cheikh Tidiane Ndao est perçu comme un test pour la justice sénégalaise dans sa capacité à gérer des affaires sensibles impliquant des personnalités publiques et religieuses.

Cette affaire met en lumière les défis auxquels sont confrontées les autorités judiciaires et politiques du Sénégal dans un contexte de polarisation croissante. La décision du tribunal sera scrutée de près et pourrait avoir des répercussions importantes sur la scène politique et sociale du pays.

Situation précaire des Sénégalais en Turquie : L’ONG Horizons sans Frontières lance un appel urgent aux autorités

Selon Boubacar Sèye, président fondateur de l’ONG Horizons sans Frontières, de nombreux ressortissants sénégalais se trouvent dans une situation précaire en Turquie, avec plus d’une vingtaine actuellement incarcérés dans les prisons turques.

La principale préoccupation réside dans les difficultés administratives rencontrées par ces Sénégalais. En effet, ils doivent s’acquitter de frais élevés, soit plus de 700 dollars, pour obtenir ou renouveler leurs cartes de séjour. Malgré cela, 90% des demandes sont rejetées sans aucun remboursement. De plus, ceux qui obtiennent ces cartes de séjour ne reçoivent qu’une durée de validité de trois mois, alors qu’ils ont souscrit à une assurance d’un an.

L’ONG rapporte également que ces cartes de séjour ne garantissent pas la libre circulation des détenteurs sur le territoire turc. Les autorités turques peuvent les annuler à tout moment via leur site web officiel, ce qui a conduit à des situations où des Sénégalais se sont retrouvés bloqués à l’aéroport lors de leur retour de voyage.

En outre, M. Sèye évoque des conditions de détention précaires pour les ressortissants sénégalais. Ceux qui voient leurs cartes de séjour annulées sont souvent arrêtés dans des lieux publics, stations de bus ou de métro, lieux de travail ou même à leur domicile. Ils peuvent être détenus pendant jusqu’à 12 heures dans des conditions déplorables, sans accès à l’eau ni à la nourriture.

Selon les informations recueillies par Horizons sans Frontières, les autorités turques établissent de faux rapports médicaux pour regrouper les étrangers dans des centres de détention, où ils sont traités de manière inhumaine.

L’ONG appelle donc les autorités consulaires du Sénégal en Turquie à intervenir rapidement pour soulager la situation de ces compatriotes et à vérifier les allégations concernant les conditions de détention. Par ailleurs, elle souligne que les prisons turques sont surchargées, citant l’exemple de la prison d’Iroum Askale où plus de 20 Sénégalais sont actuellement incarcérés, et où les détenus sont dépouillés de leurs biens personnels.

Face à cette situation alarmante, l’ONG Horizons sans Frontières lance un appel urgent aux nouvelles autorités sénégalaises pour prendre des mesures appropriées afin d’assurer la protection et le bien-être des Sénégalais établis en Turquie. Elle exprime également ses vœux de réussite aux autorités dans leurs efforts visant à garantir un meilleur avenir pour la diaspora sénégalaise, qui joue un rôle crucial dans l’économie du pays.

Urgent : Azoura Fall et Hannibal Djim libérés

Le 16 février 2024, plusieurs détenus politiques, dont Azoura Fall et Hannibal Djim, ont été libérés sous liberté provisoire.

Ces libérations interviennent dans le cadre d’une série de vagues de libération des détenus politiques détenus à la prison de Reubeuss.

Hannibal Djim, arrêté en février 2023, était en attente de son procès pour avoir organisé des campagnes de financement participatif.

Azoura Fall, membre du parti Pastef les Patriotes, était quant à elle poursuivie pour diffusion de fausses nouvelles sur la santé mentale du Chef de l’État et pour des menaces de mort sans ordre ni condition sur la personne de R. A. Sarr.

Il est à rappeler qu’une vague de libérations d’opposants a été amorcée depuis le jeudi 15 février, dans un contexte d’apaisement politique.

Urgent – Explosion de mine à Ziguinchor : Quatre militaires sénégalais tués

Dans la région de Ziguinchor, au sud du Sénégal, une tragédie a frappé l’armée nationale. Vendredi, une source sécuritaire a confirmé à l’Agence de Presse Sénégalaise (APS) la mort de quatre militaires, suite à l’explosion d’une mine à Diaboudior, un village situé dans la commune de Djibidione, nord de Sindian. L’incident, survenu vers 19 heures, a également fait sept blessés parmi les forces armées.

L’explosion a eu lieu alors que les militaires, à bord d’un véhicule, menaient une opération de sécurisation dans cette partie sensible du pays. Cet événement tragique met en lumière les risques constants auxquels sont exposés les forces de sécurité dans leur lutte contre l’insécurité dans la région.

La situation reste tendue dans cette zone, où l’armée sénégalaise est régulièrement engagée dans des opérations pour maintenir la paix et la sécurité.

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