Enquête sur l’Incident de l’Avion de Transair à l’AIBD : Implication Internationale pour la Vérité

Le Bureau d’enquête et d’analyse pour la sécurité de l’aviation civile (BEA) a été chargé de mener une enquête approfondie sur la sortie de piste de l’avion de Transair à l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD) dans la nuit de mercredi à jeudi. Cet incident, survenu au moment du décollage de l’appareil affrété par Air Sénégal à destination de Bamako, au Mali, a fait 11 blessés, dont 4 graves.

Dans un développement récent rapporté par L’Observateur dans son édition de ce samedi, il est indiqué que le BEA ne sera pas seul dans sa mission d’éclaircir les circonstances de cet accident. Les pays d’origine des victimes non sénégalaises seront également impliqués dans l’enquête. Ces pays comprennent la France, l’Arabie saoudite, l’Australie et le Mali.

Cette décision témoigne de la volonté de garantir une enquête transparente et exhaustive, impliquant les autorités des pays concernés pour établir la vérité sur les causes de l’incident. En intégrant les pays d’origine des victimes dans le processus d’enquête, on garantit une approche collaborative et internationale pour identifier les facteurs contributifs et prendre les mesures nécessaires pour prévenir de futurs incidents.

L’implication de plusieurs nations dans cette enquête souligne l’importance de la coopération internationale en matière de sécurité aérienne. Alors que l’aviation civile est un domaine mondialisé, il est essentiel que les pays travaillent ensemble pour assurer la sécurité des passagers et des équipages, où qu’ils voyagent à travers le monde.

En attendant les résultats de l’enquête, les autorités et les experts continueront à travailler de manière diligente pour comprendre les circonstances exactes de l’incident de l’avion de Transair à l’AIBD, afin d’apporter des réponses aux familles des victimes et de renforcer la sécurité de l’aviation civile dans la région et au-delà.

AIBD SA Rétablit la Vérité sur l’Acquisition de 2AS à l’Aéroport de Diass

Suite aux récentes allégations parues dans le journal Le Témoin concernant l’acquisition de la société 2AS par AIBD SA, la société AIBD SA a souhaité apporter des éclaircissements sur cette transaction, démentant ainsi toute forme de scandale ou d’irrégularité.

Face aux informations diffamatoires et malveillantes circulant dans les médias, AIBD SA estime nécessaire de rétablir les faits afin de dissiper tout malentendu et de corriger les informations erronées.

Selon le communiqué de la cellule de communication de AIBD SA, la société 2AS a obtenu, conformément à l’arrêté n°19419 du Ministre des Transports aériens et du Développement des infrastructures aéroportuaires du Sénégal en date du 20 septembre 2017, le droit exclusif d’exercer l’activité d’assistance en escale à l’aéroport international Blaise Diagne de Diass.

AIBD SA, détenant 51% du capital social de 2AS depuis sa création, a procédé au rachat de la part de LAS SA, également actionnaire de 2AS, conformément aux dispositions prévues dans le pacte d’actionnaires de 2AS. Ce pacte autorise en effet le transfert libre des actions entre actionnaires et filiales sans nécessité de consentement préalable des autres actionnaires.

L’objectif principal de cette acquisition est la nationalisation de 2AS, faisant d’elle une société 100% sénégalaise, détenue à 76% par AIBD SA et à 24% par AIR SENEGAL SA. Cette démarche s’inscrit dans la stratégie de développement du hub aérien sénégalais et vise à améliorer la satisfaction client à travers d’importants investissements en matériels de handling et de maintenance.

La démarche d’acquisition des actions de LAS SA par AIBD SA a été entamée il y a plusieurs mois, en accord avec les directives de la plus haute autorité étatique et sous la supervision de la tutelle ministérielle. Les négociations ont abouti le 21 mars 2024 à la signature d’un accord de cession de parts entre AIBD SA et LAS SA, qui précise les modalités de paiement de cette transaction.

En résumé, AIBD SA insiste sur le caractère légitime et transparent de cette acquisition, réalisée dans le respect des lois et réglementations en vigueur et dans l’intérêt du développement du secteur aérien au Sénégal.

Révélation choquante : Geremi demande le divorce après avoir découvert la vérité sur les jumeaux qu’il a élevés

L’ancien footballeur international camerounais, Geremi Njitap, a récemment secoué le Cameroun en demandant le divorce à sa femme après une révélation dévastatrice. La saga a commencé lorsque Geremi a découvert, par le biais d’un test ADN, que les jumeaux qu’il avait élevés ne sont pas ses enfants biologiques. Une nouvelle qui a fait grand bruit dans tout le pays.

Geremi Njitap, âgé de 45 ans et ayant représenté son pays à 119 reprises sur les terrains de football, est une figure respectée au Cameroun. Son parcours au Real Madrid et à Chelsea a fait de lui une personnalité admirée dans le monde du sport. Cependant, cette nouvelle révélation a jeté une ombre sur sa vie personnelle.

En couple avec Toukam Fotso Laure depuis 16 ans, Geremi pensait être le père des jumeaux nés en juin 2008. Cependant, un test ADN a révélé que ces enfants étaient en réalité les enfants du précédent mariage de sa femme. Cette découverte a été un véritable choc émotionnel pour Geremi, qui a été contraint de réévaluer sa relation et sa vie de famille.

Dans sa demande de divorce, Geremi a dénoncé les mensonges et le mépris de son épouse, ainsi que le comportement jugé abject de celle-ci. Malgré une vie de couple apparemment harmonieuse avant leur mariage en 2012, la révélation de cette vérité troublante a bouleversé leur relation de manière irréversible.

La situation a atteint son paroxysme lorsque la fille de la compagne de Geremi aurait proféré des menaces à son encontre, le forçant à quitter le domicile familial. Cette affaire a suscité une forte réaction publique, mettant en lumière les défis émotionnels et familiaux auxquels sont confrontées même les personnalités publiques.

À ce stade, Geremi n’a pas encore commenté publiquement cette affaire délicate, mais elle continue de faire la une des journaux et de susciter des discussions animées au Cameroun et au-delà.

Quitter la version mobile