La communauté de Saint-Louis, dans le quartier de City Niakh, est plongée dans le deuil suite à la tragique perte de deux jeunes enfants dans un incident d’effondrement de maison survenu ce samedi à l’aube.
Cet événement dévastateur a secoué la ville et soulevé des préoccupations quant à la sécurité des habitations vétustes dans les zones urbaines.
L’incident s’est produit alors que les résidents envisageaient de quitter leur domicile en raison de son état de délabrement avancé. Selon les témoins oculaires, la catastrophe s’est produite aux alentours de 06 heures du matin.
Les deux jeunes filles, âgées de quatre et six ans, étaient présentes avec leur mère au moment du drame. Malheureusement, elles ont perdu la vie sur le coup. Quant à leur mère, grièvement blessée, elle a été immédiatement évacuée vers l’hôpital pour recevoir des soins médicaux.
Cet événement tragique rappelle l’importance cruciale de garantir la sécurité des habitations dans les zones urbaines, en particulier celles qui présentent des signes de vétusté et de fragilité structurelle. Les autorités locales sont appelées à enquêter sur les circonstances exactes de l’effondrement et à prendre des mesures pour prévenir de telles tragédies à l’avenir.
En cette période de deuil, la communauté de Saint-Louis se rassemble pour soutenir la famille endeuillée et exprimer sa solidarité envers ceux qui ont été touchés par cette perte tragique.
La capitale économique du Bénin, Cotonou, a été le théâtre de manifestations samedi, alors que des syndicats et des citoyens exprimaient leur mécontentement face au coût de la vie croissant dans le pays. Les autorités ont réagi en envoyant la police pour disperser les manifestants, utilisant des gaz lacrymogènes pour les disperser. Un correspondant de l’AFP a rapporté que des petits groupes de manifestants ont été encerclés par les forces de l’ordre avant d’être dispersés.
La Confédération des syndicats autonomes du Bénin (CSA Bénin) a déclaré que son dirigeant, Anselme Amoussou, avait été interpellé par la police, et plusieurs manifestants auraient également été arrêtés. Cette répression a suscité des réactions de la part des manifestants et de la population, exprimant leur frustration face à ce qu’ils considèrent comme une répression systématique des manifestations pacifiques dans le pays.
La manifestation de samedi intervient dans un contexte de mécontentement généralisé concernant le coût de la vie au Bénin. Les citoyens se plaignent de l’augmentation des prix des produits de première nécessité et de l’impact négatif sur leur qualité de vie. Certains dénoncent également une atteinte aux droits humains fondamentaux, affirmant que les autorités répriment systématiquement toute forme de dissidence.
Depuis l’arrivée au pouvoir du président Patrice Talon en 2016, le Bénin a été le théâtre d’une répression croissante contre l’opposition politique et la société civile. De nombreux dirigeants de l’opposition ont été emprisonnés ou contraints à l’exil, et la liberté de la presse a été fortement restreinte, selon des organisations de défense des droits de l’homme.
La situation économique du Bénin reste précaire, malgré une économie résiliente en 2023. Les critiques accusent le gouvernement de ne pas répondre efficacement aux préoccupations de la population en matière de coût de la vie et de droits humains, alimentant ainsi un climat de mécontentement et de tension dans le pays.
L’identité de la victime du tragique accident survenu lundi soir sur l’axe Kolda-Dioulacolon a été révélée. Il s’agit de Ibrahima Diallo, un ouvrier du bâtiment plus connu sous le surnom de « Andi Faki ». Agé d’une trentaine d’années, Diallo se déplaçait à vélo au moment de l’accident.
Selon les témoins, Diallo attendait sur le bas-côté de la route que passe un camion benne pour reprendre son chemin. Malheureusement, le chauffeur du camion a effectué une fausse manœuvre et a percuté violemment le cycliste, le traînant sur plusieurs mètres dans sa course.
Les sapeurs-pompiers, appelés sur les lieux, ont retrouvé le corps partiellement déchiqueté de la victime. Quant au chauffeur du camion, il a été arrêté et placé en détention.
Originaire de Guinée-Bissau et célibataire sans enfant, « Andi Faki » résidait à Kolda, dans le quartier Cité Jardin Abdou Diouf, depuis plusieurs années. Sa mort tragique a plongé sa famille et ses proches dans le deuil et l’émotion.
Le chapitre trois de l’axe III du programme de la coalition DiomayePrésident aborde une question centrale et brûlante : l’habitat, l’urbanisme et le cadre de vie. La conciliation entre l’intérêt général et les intérêts particuliers des propriétaires et des constructeurs représente un véritable défi, exacerbé par les pratiques non conformes de ces dernières décennies.
Simpa Kandéty, dans une lettre ouverte adressée au nouveau secrétaire d’État à l’Urbanisme et au Logement, Momath Talla Ndao, exprime l’impatience des Sénégalais face à ces enjeux. Il réclame un accès durable aux plages, la reconquête des terres cédées à des particuliers, et l’aménagement de paysages urbains verts et sains.
Les problèmes soulevés par M. Kandéty sont multiples et touchent à la fois à l’occupation anarchique de l’espace public, aux nuisances sonores et environnementales, à la privatisation sauvage de la voirie, et à l’incohérence des projets d’urbanisme. Il pointe du doigt les dérives qui ont conduit à l’émergence d’un paysage urbain chaotique, dépourvu d’espaces verts et nuisible à la qualité de vie des citoyens.
Face à cette situation alarmante, M. Kandéty appelle à une action urgente et coordonnée. Il invite le secrétaire d’État à réaliser un état des lieux précis, à sensibiliser et former les acteurs concernés, et à faire respecter strictement les règles d’urbanisme et de construction. Il souligne l’importance d’une coopération étroite avec les autorités environnementales et les collectivités locales pour assurer le succès de cette action.
La question de l’habitat, de l’urbanisme et du cadre de vie au Sénégal est cruciale et nécessite une réponse politique forte et cohérente. Il est impératif de mettre fin aux pratiques néfastes qui compromettent la qualité de vie des Sénégalais et de prendre des mesures conservatoires urgentes pour préserver et améliorer notre environnement urbain.
Les défaites s’enchaînent pour l’OM, mais celle-ci a un goût moins amer: malgré un revers 2-1 jeudi à Lisbonne face au Benfica, leur cinquième d’affilée, les Marseillais ont su préserver le rêve d’une qualification pour les demi-finales de la Ligue Europa.
La soirée s’est finie sous les sifflets très nourris des supporters portugais, déçus et frustrés, et par quelques instants de timide communion entre les joueurs de l’OM et leurs supporters, dont la présence au Stade de la Luz est restée très incertaine jusqu’en milieu d’après-midi.
Il faut dire qu’il n’y avait pas non plus de quoi triompher pour les Marseillais, car quand Benfica menait 2-0, un nouveau naufrage semblait en vue –et parce qu’il n’y a pas lieu de fêter une cinquième défaite consécutive.
Mais l’OM a au moins été courageux quand il aurait pu sombrer et il y aura un vrai match à enjeu et à frissons jeudi prochain au Vélodrome, qui n’attend que ça et peut encore imaginer être au rendez-vous d’une nouvelle demi-finale européenne.
« Ce qu’on retient, c’est le fait d’être en vie. On sait où on va jouer, devant qui on va jouer et on sait qu’on est capables de se surpasser quand on est portés par notre public. On a beaucoup d’espoir », a d’ailleurs déclaré l’entraîneur marseillais Jean-Louis Gasset en conférence de presse.
Fragile bricolage
Le début de match a pourtant été pénible pour l’OM et après 10 minutes équilibrées, la supériorité des Portugais s’est faite un peu plus évidente à chaque minute. Elle s’est concrétisée dès la 16e minute via Rafa Silva au bout d’une action collective certes jolie, mais sur laquelle l’OM aurait pu défendre plus durement (1-0).
Malgré tout, l’OM a déjà eu quelques opportunités en première période. Mais c’est alors par son manque de confiance offensive, ou de talent parfois, qu’il a été rattrapé.
Sur quelques corners et sur quelques coups pas très bien joués, par Amine Harit notamment, Marseille aurait pu revenir. Au lieu de cela, c’est sur une énième très mauvaise nouvelle que l’OM est rentré aux vestiaires, avec la blessure de son latéral gauche Quentin Merlin (45e), qui souffre selon son entraîneur d’une entorse à la cheville gauche.
Alors que le retour de Chancel Mbemba avait poussé Gasset à adopter une défense à trois, la sortie de Merlin a replacé Luis Henrique en latéral gauche et Mbemba latéral droit, une organisation baroque et symbolique des difficultés d’effectif de l’OM, accablé cette saison par les blessures.
Dès la reprise, Benfica a d’ailleurs facilement profité du fragile bricolage marseillais avec un contre parfaitement lancé et parfaitement conclu par Angel Di Maria (52e, 2-0), toujours aussi brillant, mais désormais par séquences seulement.
Aubameyang toujours
Sans solution, Gasset a alors lancé Azzedine Ounahi à la place de Faris Moumbagna, comme on lance une pièce en l’air. Dans un premier temps, cela n’a pas spécialement fonctionné et l’OM a alors traversé quelques minutes terribles, en grande détresse technique et à des années-lumière du niveau requis au plan physique.
Mais Marseille a pourtant trouvé un peu de lumière à la 67e minute: une passe enfin bien dosée d’Ounahi pour l’appel tranchant de Pierre-Emerick Aubameyang, qui n’a pas tremblé devant Anatoli Troubine (2-1).
Avec désormais 10 buts en Ligue Europa et 25 toutes compétitions confondues, l’attaquant gabonais est bien le porteur d’espoir de l’OM cette saison, lui qui qualifiait mercredi la Ligue Europa de « rayon de soleil » dans un exercice bien sombre.
Revigoré par ce but et par la perspective d’un match retour de feu dans une semaine, l’OM a ensuite mieux géré la fin de match, montrant au passage que Benfica, qui avait failli chuter contre Toulouse en barrages, n’est sans doute pas si redoutable.
A deux minutes de la fin, les plus de 2.000 supporters marseillais présents à Lisbonne ont donc chanté très fort « Allez l’OM ! ». Eux y croient encore après une journée qui a été pour eux interminable. Pour tout Marseille, c’est la saison qui l’a été. Mais elle n’est pas encore tout à fait finie après le match de Lisbonne et c’est une bonne nouvelle.
Ancien joueur professionnel de football devenu entraîneur, Habib Bèye marque l’histoire avec ses réussites sportives et sa récente histoire d’amour avec Sidonie Biémont, ex-compagne du footballeur Adil Rami.
Né en France, Habib Bèye s’est illustré sur les terrains de football, notamment au sein de clubs prestigieux comme l’Olympique de Marseille et Newcastle United. En parallèle de sa carrière de joueur, il a également représenté le Sénégal au niveau international, participant à des compétitions majeures comme la Coupe d’Afrique des Nations.
Père de trois enfants, Habib Bèye a su concilier vie professionnelle et personnelle malgré les défis. Après sa séparation avec son ancienne compagne, Éva, il a trouvé un nouvel équilibre dans sa carrière d’entraîneur. Depuis 2021, il occupe le poste d’entraîneur du Red Star, une équipe de football basée en banlieue parisienne.
Grâce à ses compétences et à son dévouement, le Red Star a connu un succès remarquable, se positionnant en tête du classement du championnat National. Cette ascension professionnelle a été accompagnée d’une nouvelle romance pour Habib Bèye.
En effet, depuis 2022, il est en couple avec Sidonie Biémont, mannequin de renom et ancienne compagne d’Adil Rami. Leur relation, bien que discrète, n’a pas échappé à l’attention du public, notamment lors de leurs apparitions ensemble lors d’événements sportifs ou sociaux.
Sidonie Biémont, après une période difficile suite à sa séparation avec Adil Rami, a trouvé un nouveau bonheur aux côtés de Habib Bèye. Outre sa carrière de mannequin, elle s’est également illustrée dans l’événementiel et à la télévision, participant notamment à l’émission « Vendredi tout est permis » sur TF1.
Le couple, bien que préférant garder une certaine discrétion, affiche ouvertement son amour et son soutien mutuel, témoignant ainsi d’une relation épanouie et harmonieuse.