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Arrestations controversées de membres de PASTEF lors d’un baptême : Guy Marius Sagna dénonce les actes de répression

Arrestations controversées de membres de PASTEF lors d'un baptême : Guy Marius Sagna dénonce les actes de répression

Le 7 janvier 2024, dans le cadre de l’initiative “Chemin de la Libération”, Guy Marius Sagna et d’autres activistes se sont rendus dans le département de Kër Massar pour exprimer leur soutien aux familles de personnes détenues pour des raisons politiques. Cependant, la mission a été marquée par des arrestations controversées de membres du parti PASTEF, survenues le jour du baptême de leurs enfants.

Guy Marius Sagna, un militant bien connu, a exprimé sa consternation face à ces arrestations, soulignant que des membres de PASTEF ont été appréhendés le jour même où ils célébraient le baptême de leurs enfants, en compagnie de leurs invités. Il a également rapporté que certains membres du parti ont été arrêtés dans leur propre lit, arrachés de chez eux par les forces de défense et de sécurité.

Ces arrestations ont suscité une vive réaction de la part de Guy Marius Sagna, qui a déclaré que de telles actions ne font que renforcer leur détermination à s’opposer au régime de Macky Sall. Selon lui, ces incidents ne font que confirmer la conviction que le système en place n’est pas amendable et qu’un changement radical est nécessaire.

Les familles de détenus politiques dans le département de Kër Massar ont été visitées au cours de cette initiative. Certains des détenus mentionnés dans le message de Guy Marius Sagna comprennent Mouhamed Fall, Abdou Lahad Diop (Coordinateur PASTEF à Jaxaay), Faly Sanè, Mouhamed Ndiaye, Fallou Lô, Yaya Coulibaly, Cheikh Mbaye, Aly Diattara, Awa Diop, Cheikh Oumar Biteye, Amath Biteye, Amadou Fofana, Sora (Mansour), Bamba Cissé, Gora Hann, Sidy Gaye, Mamadou Lamine Diallo (Coordinateur départemental JPS à Keur Massar), et Dr Seydou Diallo (Coordinateur départemental PASTEF à Keur Massar).

Ces événements soulignent les tensions croissantes au sein de la sphère politique au Sénégal, alors que les élections présidentielles de février 2024 se profilent à l’horizon. Les arrestations de membres de l’opposition suscitent des préoccupations concernant la liberté politique et les droits civils dans le pays.


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