L’arrestation de Oumar Sow, membre de la Cojer et figure politique, conduit à la brigade de Thiong, a suscité une réaction immédiate de la part de l’ancien capitaine Seydina Oumar Touré. M. Touré, également membre de la coalition Diomaye Président, a vivement critiqué cette action, soulignant que de telles pratiques doivent cesser dans la République.
Dans une déclaration, Seydina Oumar Touré a exprimé son désaccord avec la convocation de Oumar Sow par la gendarmerie de Thiong, apprenant la nouvelle par le biais de la presse. Pour lui, si cette convocation découle des positions politiques de Oumar Sow, alors il devrait être relâché immédiatement.
« Si cette convocation est la résultante de ses positions politiques, il doit être relâché immédiatement », a déclaré Seydina Oumar Touré. Il a également ajouté que lui et ses collègues se battent pour que de telles pratiques soient bannies à jamais dans leur République.
Cette réaction de Seydina Oumar Touré reflète une préoccupation croissante concernant les arrestations potentiellement politiquement motivées et les atteintes à la liberté d’expression au Sénégal. Les appels à la libération de Oumar Sow se multiplient alors que la situation politique du pays reste tendue.
Oumar Sow, le coordinateur du Cojer, se retrouve dans une situation délicate après ses déclarations incendiaires suite à la défaite d’Amadou Ba à l’élection présidentielle du 24 mars 2024. Accusant ouvertement le président Macky Sall d’avoir versé des milliards à Ousmane Sonko, leader du Parti Pastef, pour soutenir la campagne de Bassirou Diomaye Faye, il est convoqué à la Brigade de Thiong pour s’expliquer.
Sur sa page Facebook, Oumar Sow a annoncé qu’il était en route vers la Brigade de Thiong, assumant pleinement ses propos et affirmant sa détermination à se battre pour ses convictions. Ses déclarations ont créé une onde de choc dans le paysage politique sénégalais, jetant une lumière crue sur les coulisses de la campagne électorale.
Selon Oumar Sow, c’est Macky Sall lui-même qui aurait dirigé la campagne de la coalition Sonko et Diomaye, allant jusqu’à débourser des sommes colossales en faveur d’Ousmane Sonko. Ces allégations sont explosives, remettant en question l’intégrité et l’impartialité du processus électoral.
Les révélations de Oumar Sow ne s’arrêtent pas là. Il affirme également qu’Ousmane Sonko aurait sollicité les prières de Marième Faye, l’épouse du président Macky Sall, en faveur de Bassirou Diomaye Faye. Ces révélations soulèvent des questions sur les liens entre les différents acteurs politiques et la nature des alliances qui se sont formées en coulisses.
Alors que Oumar Sow se prépare à faire face aux autorités, ses déclarations laissent planer un voile de suspicion sur la politique sénégalaise. Les prochains jours pourraient révéler davantage de détails sur ces allégations explosives, qui pourraient avoir des répercussions importantes sur la stabilité politique du pays.
Eumeu Sène, lutteur bien connu de Pikine, continue de réfléchir sur ses deux défaites contre Modou Lô, le Roc des Parcelles Assainies. Malgré ses attentes initiales, il admet que Modou Lô s’est révélé être un adversaire coriace et redoutable. Dans une récente interview avec Bantamba TV, il a partagé ses réflexions sur ses rencontres avec son rival.
Lors du premier combat, Eumeu Sène avait confiance en sa victoire, croyant pouvoir soulever Modou Lô avant de le terrasser. Cependant, il a été confronté à une réalité différente sur le ring. Le deuxième combat a également été une expérience déconcertante pour lui. Il révèle avoir choisi de prendre sa revanche contre Modou Lô, malgré une offre alléchante de 450 millions FCFA pour participer à un tournoi des VIP. Cette décision montre à quel point il était déterminé à vaincre son adversaire.
Néanmoins, malgré ses efforts et son engagement, Eumeu Sène reconnaît que Modou Lô est devenu sa bête noire. Il admet qu’il est encore perplexe quant à la façon dont il a pu être battu par son rival. Bien qu’il ait remporté des victoires contre d’autres grands noms de la lutte sénégalaise, tels que Gris Bordeaux, Lac de Guiers 2, Bombardier et Balla Gaye, il reste étonné de ses échecs face à Modou Lô.
Cette réflexion honnête de la part d’Eumeu Sène souligne la complexité et l’imprévisibilité du sport de la lutte sénégalaise. Malgré ses compétences et son expérience, il reconnaît l’importance du facteur chance et du destin dans ses rencontres sur le ring. Ces mots reflètent la humilité et la sagesse d’un champion qui continue de chercher à comprendre et à apprendre de ses défaites.
Une lueur d’espoir se profile à l’horizon pour les usagers de la liaison maritime Dakar-Ziguinchor, avec la reprise imminente des activités. Cette nouvelle, attendue avec impatience, promet un soulagement bienvenu pour de nombreux voyageurs et acteurs économiques de la région.
Selon les informations rapportées par Libération, le navire Diambogne effectue aujourd’hui, le 29 mars, un trajet de test jusqu’à Ziguinchor, sans passagers à bord. Cette étape de vérification est cruciale pour assurer la sécurité et le bon fonctionnement du service avant sa remise en service officielle.
La suspension temporaire de cette liaison maritime a eu un impact significatif sur l’économie de la Casamance, une région essentielle du Sud du Sénégal. Les activités commerciales et les déplacements des habitants ont été entravés, causant des difficultés et des perturbations pour de nombreuses personnes.
La reprise de la liaison Dakar-Ziguinchor est donc attendue avec impatience, offrant une bouffée d’oxygène bienvenue pour la région. Non seulement elle facilitera les déplacements des personnes, mais elle contribuera également à dynamiser les échanges commerciaux et à stimuler l’activité économique dans toute la région.
La perspective du redémarrage de cette liaison maritime est une nouvelle positive pour le Sénégal, démontrant l’engagement des autorités à répondre aux besoins de la population et à soutenir le développement régional.
Dans une interview émouvante avec nos confrères de Rewmi Net, Samba Faye, le père de Bassirou Diomaye Faye, actuel président du Sénégal, a partagé des réflexions profondes sur l’histoire de sa famille marquée par la lutte contre l’injustice. Âgé de 84 ans, Samba Faye a rappelé une anecdote poignante sur le combat de sa famille pour la justice, remontant jusqu’à son propre grand-père.
Il a révélé que le grand-père de Diomaye avait été emprisonné pendant sept mois à Podor pour avoir défendu les principes de justice, notamment lors de la construction d’une école à Ndiagagnao après son retour de la Première Guerre mondiale. Cette histoire familiale révèle un héritage de lutte contre l’injustice et un engagement profond envers les valeurs d’égalité et de dignité humaine.
Samba Faye a souligné que cette lutte pour la justice a également marqué son propre engagement politique, qui l’a conduit à être emprisonné à Thiès dans le cadre de son activisme au sein du parti socialiste. Ces sacrifices personnels témoignent de l’engagement indéfectible de la famille Faye envers les idéaux de justice et de liberté.
Malgré les épreuves rencontrées, Samba Faye a appelé à la patience envers le nouveau gouvernement, soulignant que résoudre tous les problèmes prend du temps et demande un effort collectif. Il a également encouragé la population à soutenir les décisions prises par les autorités pour contribuer au bien-être et au développement du pays.
Enfin, Samba Faye a partagé les sages conseils qu’il a transmis à son fils, le président Diomaye Faye, soulignant la responsabilité immense qui repose désormais sur ses épaules. Il l’a exhorté à travailler avec détermination pour répondre aux attentes des Sénégalais et à faire progresser le pays dans une direction de justice et de prospérité pour tous.
Les paroles sincères de Samba Faye révèlent l’héritage précieux d’une famille dévouée à la cause de la justice et de l’égalité, et rappellent l’importance de rester fidèle à ces valeurs dans la conduite des affaires publiques.
Dans le sillage de sa prise de fonction, le nouveau président du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, s’apprête à franchir une étape importante dans les relations franco-sénégalaises. Un entretien téléphonique est prévu avec le président français Emmanuel Macron, où des sujets de grande importance pour les deux nations seront abordés.
Au cœur de cet échange se trouve la question de la transition monétaire, avec la sortie du franc CFA et l’établissement d’une monnaie africaine indépendante. Cette transition vers une nouvelle dynamique économique entre la France et le Sénégal nécessite une coopération étroite et une compréhension mutuelle, faisant de cet entretien une opportunité cruciale pour aligner les positions et les intérêts des deux pays.
L’engagement exprimé par la France à travailler avec les nouvelles autorités sénégalaises souligne l’importance de cette rencontre. Cela ouvre la porte à une collaboration renforcée dans des domaines clés tels que le commerce, l’investissement et la coopération sécuritaire, offrant ainsi des perspectives positives pour les relations bilatérales.
Parallèlement aux questions économiques, le président Faye et Emmanuel Macron auront à cœur de discuter des défis internes du Sénégal. De la sécurité alimentaire à la lutte contre la corruption, en passant par la réforme institutionnelle, de nombreux sujets seront sur la table pour définir les priorités et les actions à entreprendre pour le développement du pays.
La formation du nouveau gouvernement, qui déterminera la direction future de l’administration sénégalaise, sera également un sujet d’intérêt majeur lors de cet entretien.
En définitive, cet entretien téléphonique représente bien plus qu’une simple conversation entre deux dirigeants. Il s’agit d’une occasion capitale de forger des liens solides et de collaborer sur des questions essentielles pour l’avenir du Sénégal et de sa relation avec la France.
Suite à la victoire dès le premier tour de Bassirou Diomaye Faye à l’élection présidentielle du 24 mars 2024, Bamba Fall, maire de la commune de Médina, a réagi avec véhémence en pointant du doigt son propre camp. Dans une déclaration incendiaire, il accuse directement les membres du pouvoir d’être responsables de cette déroute électorale.
Pour Bamba Fall, la défaite cuisante de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) ne résulte pas seulement de la performance de l’opposition, mais plutôt d’une série de manœuvres orchestrées en interne pour nuire à leur propre candidat, Amadou Bâ. Selon lui, depuis la désignation de Bâ comme candidat, celui-ci aurait été confronté à des obstacles et des attaques venant de ses propres alliés politiques, notamment au sein du parti au pouvoir, l’APR.
Le maire de Médina pointe également du doigt le président Macky Sall, chef de l’APR, qu’il accuse de ne pas avoir soutenu suffisamment Amadou Bâ sur le terrain lors de la campagne électorale. Cette absence de soutien aurait contribué à la défaite de la coalition BBY, selon Bamba Fall.
Pour l’édile de Médina, ces actions au sein même du pouvoir ont constitué un véritable sabotage de la candidature d’Amadou Bâ et ont conduit à la déroute électorale de la coalition BBY.
Cette déclaration de Bamba Fall met en lumière les divisions et les rivalités internes au sein du parti au pouvoir, ainsi que les tensions politiques qui peuvent émerger au sein d’une coalition. Elle souligne également les enjeux stratégiques et les défis auxquels sont confrontés les partis politiques dans leur lutte pour le pouvoir, mettant en évidence les implications potentielles de ces dissensions sur la stabilité politique du pays.
La récente visite de Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko au Palais a suscité des réactions contrastées au Sénégal. Alors que certains saluent cette rencontre comme un geste de réconciliation politique, d’autres critiquent la participation de Sonko, estimant qu’il devrait adopter une attitude plus humble envers le président nouvellement élu.
Parmi les voix critiques figure Alain St Pierre Mwamba, un journaliste congolais, qui a exprimé son désaccord avec la présence de Sonko lors de la rencontre au Palais. Ses commentaires ont déclenché une réaction immédiate de la part des Sénégalais, qui n’ont pas hésité à exprimer leur mécontentement.
Doudou Jacques Faty, ancien footballeur international sénégalais, a répondu à Mwamba en l’invitant à ne pas manquer de respect envers le chef de l’État sénégalais. Chérif Sadio, ancien directeur de Casa Sport, a également critiqué les commentaires de Mwamba, soulignant son ignorance et appelant à une réflexion plus nuancée.
Les réactions sur les réseaux sociaux ont été nombreuses et virulentes. Certains ont accusé Mwamba de jalousie et de manque d’intelligence, tandis que d’autres ont souligné l’importance de respecter la démocratie sénégalaise. En réponse aux critiques, Mwamba a tenté de rectifier le tir en publiant une vidéo de la visite de Sonko et Faye au Palais, exprimant ainsi son respect pour le Sénégal.
Cependant, la moquerie de certains utilisateurs sur les réseaux sociaux montre que les commentaires de Mwamba ont eu un impact significatif. Il semble que ce différend ait attiré l’attention sur les tensions politiques et sociales persistantes au Sénégal, mettant en lumière les divisions et les opinions divergentes au sein de la société.
En fin de compte, cet épisode souligne l’importance du respect mutuel et du dialogue dans le débat politique, ainsi que la nécessité de rechercher des solutions constructives pour surmonter les différences et promouvoir l’unité nationale.
La fièvre de la Coupe du Sénégal senior est à son comble après le tirage au sort des 32èmes de finale effectué ce vendredi par la Fédération Sénégalaise de Football. Parmi les affiches les plus attendues de cette étape, deux rencontres entre des poids lourds de la Ligue 1 se démarquent : Génération Foot affrontera Sonacos de Diourbel, tandis que Diambars se mesurera à Casa Sport.
Ces chocs entre clubs de première division promettent des confrontations intenses et passionnantes, avec à la clé une place pour les 16èmes de finale de la compétition. Les supporters sont déjà en effervescence à l’idée de voir s’affronter les meilleures équipes du pays dans des duels d’une rare intensité.
Le Jaraaf, tenant du titre, se prépare quant à lui à un affrontement contre l’équipe d’Assane Seck Université Club de Ziguinchor (ASUC), évoluant en National 1. De son côté, le Stade de Mbour, finaliste malheureux de l’édition précédente, devra se mesurer à Gazelle de Kédougou.
À noter également que Teungueth FC, détenteur de la Coupe de la Ligue et actuel leader de la Ligue 1, affrontera le vainqueur du match entre Builders FC et Académie Darou Salam/USPA.
Les rencontres des 32èmes de finale se dérouleront les 16, 17 et 18 avril 2024, et les amateurs de football du Sénégal sont impatients de vivre ces moments de compétition passionnante et de voir quelles équipes réussiront à franchir cette étape cruciale sur la route vers la gloire de la Coupe du Sénégal.
Le monde du football retient son souffle alors que le jeune prodige sénégalais, Mikayil Faye, se prépare à faire ses débuts tant attendus sous les couleurs du FC Barcelone. L’excitation est à son comble parmi les fans alors que le joueur de l’académie Diambars s’apprête à franchir une étape majeure dans sa carrière.
Les rumeurs circulant dans la presse catalane laissent entendre que Mikayil Faye pourrait être titularisé par l’entraîneur emblématique du Barça, Xavi Hernandez, lors du match crucial contre Las Palmas, programmé pour ce samedi. Cette opportunité représenterait un moment historique pour Faye, confirmant ainsi son ascension fulgurante dans le monde du football professionnel.
Xavi, soucieux de gérer judicieusement l’effectif du Barça, envisage un roulement d’effectif stratégique pour ce match. Avec un affrontement crucial contre le Paris Saint-Germain en Ligue des champions à l’horizon, l’entraîneur pourrait opter pour du repos pour certains piliers de la défense, ouvrant ainsi la voie à Faye pour sa première apparition avec l’équipe première.
Pour le jeune joueur sénégalais âgé de [insérer l’âge], cette occasion représente bien plus qu’un simple match de football. C’est le résultat d’années de dévouement, de travail acharné et de sacrifices consentis pour atteindre le sommet du football mondial. Portant avec lui les espoirs d’une nation, Faye est prêt à saisir cette opportunité et à démontrer son talent sur la scène internationale.
Si Mikayil Faye endosse effectivement le maillot blaugrana contre Las Palmas, ce sera le début d’une nouvelle ère pour le jeune joueur sénégalais. Sa présence sur le terrain symbolisera non seulement la réalisation d’un rêve personnel, mais également le potentiel immense qu’il représente pour l’avenir du FC Barcelone.
Les supporters du Barça et les amateurs de football du monde entier attendent avec impatience de voir si Mikayil Faye pourra inscrire son nom dans les annales du club catalan lors de son premier match avec l’équipe première. Ce rendez-vous historique promet d’être un moment inoubliable pour le jeune prodige sénégalais et pour tous ceux qui croient en lui.
Les espoirs du football guinéen sont en ébullition alors que l’équipe nationale des moins de 23 ans se prépare pour un match de barrage déterminant dans la course aux Jeux Olympiques de Paris 2024. Sous la direction de l’entraîneur Morlaye Cissé, la Guinée U23 affrontera une équipe asiatique dont le nom reste encore à être déterminé. Cette confrontation se tiendra le 9 mai 2024 au Centre National du Football, situé à Clairefontaine dans les Yvelines.
L’heure exacte du match reste à confirmer, mais selon le communiqué officiel de la Fédération Guinéenne de Football (FGF), le coup d’envoi est prévu pour 14h TU. Ce match revêt une importance capitale pour la sélection guinéenne, car l’enjeu est un billet tant convoité pour la prestigieuse compétition de football des Jeux Olympiques de Paris.
Pour les jeunes joueurs guinéens, cette rencontre représente une opportunité unique de briller sur la scène internationale et de représenter fièrement leur pays aux Jeux Olympiques. La pression sera à son comble alors que l’équipe se prépare à affronter une adversité inconnue, mais la détermination et l’engagement des joueurs sont à leur apogée.
Ce match de barrage s’annonce comme un moment clé dans le parcours de la Guinée U23, et tous les regards seront tournés vers Clairefontaine pour voir si l’équipe pourra décrocher son billet pour Paris 2024. Les supporters guinéens et les amateurs de football du monde entier attendent avec impatience cette confrontation palpitante qui déterminera l’avenir de la sélection dans cette compétition prestigieuse.
Monsieur Dani Al-Achkar, ambassadeur de la paix aux Nations Unies et président du groupe Prince Invest, a adressé ses félicitations à Bassirou Diomay Faye pour son élection en tant que président de la République du Sénégal. Dans ses propos, il a également transmis ses vœux les plus chaleureux au peuple sénégalais, soulignant ainsi l’importance du processus démocratique et du vote comme fondements de la démocratie.
De nationalité sénégalaise d’origine libanaise, l’Ambassadeur Al-Achka s’est dit prêt à soutenir activement le nouveau président dans la réussite de son mandat. Il a notamment exprimé son engagement à contribuer à la promotion de l’emploi des jeunes et des femmes, reconnaissant ainsi l’importance cruciale de ces enjeux pour le développement durable du pays.
Par ailleurs, l’Ambassadeur Al-Achka a souligné l’importance de faciliter les échanges et la coopération économique entre le Sénégal et la Turquie. Il a exprimé sa disponibilité à accompagner Bassirou Diomay Faye dans la réalisation de ses projets, non seulement au niveau national, mais également dans la sous-région et au-delà, en particulier en Occident.
Cette déclaration de soutien de la part de l’Ambassadeur Al-Achka témoigne de la confiance et de l’optimisme suscités par l’élection de Bassirou Diomay Faye à la présidence du Sénégal. Elle souligne également l’importance du partenariat international dans la promotion du développement économique et social du pays, ainsi que dans la consolidation de la paix et de la stabilité dans la région.
L’accolade échangée entre le président nouvellement élu du Sénégal, Diomaye Faye, et son prédécesseur Macky Sall lors de leur rencontre au palais présidentiel le jeudi 28 mars dernier, a été bien plus qu’un simple geste de courtoisie. Ce moment a été chargé de significations non verbales qui reflètent les dynamiques de pouvoir en jeu dans la transition politique du pays.
L’observation minutieuse de cette accolade révèle des indices subtils mais puissants sur les intentions et les positions des deux hommes. Selon les principes de la synergologie, une discipline qui étudie le langage corporel, le geste de Diomaye Faye de placer sa main gauche sur l’épaule droite de Macky Sall est significatif. Dans cette analyse, la main posée sur l’épaule est interprétée comme un signe de contrôle ou de volonté de transmettre un message. Joseph Messinger, un expert en synergologie, souligne que l’épaule droite est associée à l’ambition, ce qui renforce l’idée que celui qui place sa main sur cette épaule démontre une forme de domination ou de prise de pouvoir.
Cette accolade revêt également une dimension symbolique plus large, surtout dans le contexte de la diplomatie internationale. Elle rappelle les gestes utilisés par les présidents américains, tels que Bush et Obama, pour symboliser leur leadership et leur influence sur la scène mondiale.
Dans le cas de Diomaye Faye et Macky Sall, cette accolade semble illustrer la transition effective du pouvoir. En plaçant sa main sur l’épaule de son prédécesseur, Faye a envoyé un message clair : il assume désormais le rôle de dirigeant du pays. Ce geste, chargé de symbolisme, témoigne de sa détermination à prendre en charge les rênes du pouvoir et à diriger le Sénégal vers l’avenir.
Au-delà des mots et des discours politiques, cette analyse non verbale de l’accolade entre Diomaye Faye et Macky Sall offre un aperçu fascinant des dynamiques de pouvoir et de leadership à l’œuvre dans la transition politique du Sénégal.
Dans un geste de défense de leurs ressources naturelles et de leur environnement, les habitants du village de Djibeba, dans le département de Bakel au Sénégal, ont pris une position résolue contre l’exploitation illégale de l’or par des entreprises chinoises dans le fleuve Falémé.
Le jeudi 28 mars dernier, les villageois de Djibeba ont mis fin aux opérations minières menées par ces entreprises chinoises, dénonçant ainsi une pratique qui menace leur écosystème et leurs moyens de subsistance. Pour ces communautés locales, protéger leur environnement est une priorité absolue, et l’exploitation de l’or dans le lit de la Falémé constitue une atteinte inacceptable à cet équilibre naturel.
En effet, au-delà de représenter une violation flagrante des réglementations environnementales en vigueur, cette exploitation minière non autorisée entraîne des conséquences désastreuses pour l’écosystème local. La dégradation de l’habitat aquatique et la contamination de l’eau figurent parmi les effets néfastes les plus alarmants de cette activité, mettant en péril la biodiversité de la région.
Un habitant de la région a exprimé sa préoccupation face à la détérioration rapide du site de la Falémé, soulignant que l’intervention des autorités compétentes est urgente et indispensable pour mettre un terme à cette exploitation illicite. Il appelle à des mesures immédiates telles que des campagnes de sensibilisation, le renforcement des patrouilles de surveillance, et des sanctions sévères à l’encontre des contrevenants, afin de restaurer l’ordre et de protéger les droits des communautés locales.
Face à cette menace persistante, les habitants de Djibeba demandent instamment à ce que des actions concrètes soient prises pour garantir la protection des ressources de la Falémé ainsi que le bien-être des populations autochtones. Ils appellent à une réponse rapide et efficace des autorités afin de mettre fin à cette exploitation illégale et préserver l’intégrité environnementale de la région pour les générations futures.
Dans les coulisses discrètes d’un hôtel luxueux sur la corniche-Ouest de Dakar, Bassirou Diomaye Faye, le président élu du Sénégal, se prépare méticuleusement à prendre les rênes du pays. À la suite des résultats préliminaires du scrutin du 24 mars, qui lui ont largement donné la victoire, Faye mène une transition dynamique vers son nouveau rôle de chef d’État.
Depuis son élection, Faye s’est plongé dans un emploi du temps surchargé, marqué par des réunions stratégiques et des rencontres protocolaires. Dans l’intimité de sa suite, il orchestre des briefings avec son équipe, composée en grande partie de personnes de confiance qui jusqu’à présent étaient restées dans l’ombre. Ces individus, pour la plupart, ont travaillé aux côtés de Faye et d’autres leaders politiques, y compris Ousmane Sonko, le leader du mouvement Pastef.
Des vidéos et des photos circulant sur les réseaux sociaux montrent Faye en train de discuter avec son équipe de transition, planifiant minutieusement la prestation de serment et la passation de pouvoir qui devraient avoir lieu au plus tard le 2 avril. Des rencontres clés avec des figures politiques importantes, telles que le président sortant Macky Sall, soulignent l’engagement de Faye à assurer une transition harmonieuse vers le pouvoir.
En parallèle, les discussions sur la composition du nouveau gouvernement sont déjà en cours, avec une emphase particulière sur la compétence, l’intégrité et le patriotisme des futurs ministres. Faye s’est engagé à former un gouvernement représentatif, composé d’hommes et de femmes tant du Sénégal que de sa diaspora, connus pour leurs qualités et leur engagement envers le pays.
Malgré l’intensité de son emploi du temps, Faye reste accessible aux félicitations et aux prières de ses proches et partisans. Cependant, il est prévu que son accessibilité diminue après son installation officielle le 2 avril, en raison des responsabilités accrues de sa nouvelle fonction présidentielle.
Les résultats préliminaires indiquent une victoire écrasante de Faye, avec plus de 54 % des suffrages exprimés, selon la Commission nationale de recensement des votes. Cette élection marque le début d’une nouvelle ère pour le Sénégal, avec Faye prêt à diriger le pays vers un avenir prometteur.
Bassirou Diomaye Faye se profile comme un leader méthodique et déterminé, prêt à relever les défis qui l’attendent à la tête du Sénégal. Sa transition vers la présidence est empreinte de sérieux et de préparation, signe d’un engagement ferme envers le bien-être et la prospérité de la nation sénégalaise.
Après la conclusion de l’élection présidentielle du 24 mars 2024 au Sénégal, l’Union pour le renouveau démocratique (URD) a exprimé ses félicitations au président élu, Bassirou Diomaye Faye, pour sa victoire éclatante. Lors d’une réunion de la Direction politique exécutive (Dpe) tenue le mercredi 27 mars au siège du parti à Bopp, sous la présidence du secrétaire général, le professeur Diégane Sène, l’Urd a adressé ses vœux pour un quinquennat fructueux au nouveau président.
Dans un communiqué publié à l’issue de la réunion, l’Urd a exprimé son soutien au président élu dans les défis à venir, priant pour que sa tâche difficile porte les fruits des grands espoirs que les citoyens ont placés en lui.
Parallèlement, l’Urd a également tenu à saluer le peuple sénégalais pour sa participation active dans le processus électoral et pour avoir contribué au triomphe de la démocratie dans le pays.
Au cours de la réunion, Diégane Sène et les membres de l’Urd ont également adressé leurs félicitations au président Macky Sall pour le succès de l’organisation du scrutin, ainsi qu’à l’administration territoriale pour son rôle dans le processus électoral.
Enfin, l’Urd a tenu à reconnaître l’esprit fair-play du candidat Amadou Ba, qui a dignement reconnu sa défaite et a félicité le président élu. Cette attitude a été saluée comme perpétuant une tradition démocratique sénégalaise, renforçant ainsi la cohésion et la stabilité du pays.
Cette déclaration de l’Urd reflète l’importance de l’unité et du respect des valeurs démocratiques dans le pays, tout en exprimant un espoir pour l’avenir sous la direction du nouveau président.
Dans le sillage de l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal, marquée par la victoire de Bassirou Diomaye Faye dès le premier tour, les analyses politiques et les réactions des différents acteurs se multiplient. Parmi eux, Aly Ngouille Ndiaye, ancien ministre de l’Intérieur, s’est exprimé sur le déroulement du scrutin et ses implications.
Pour Aly Ngouille Ndiaye, cette élection restera gravée dans les annales en raison de ses multiples rebondissements. De l’annulation initiale de l’élection à son report par l’Assemblée nationale, en passant par les recours devant le Conseil constitutionnel et la brève période de campagne électorale, le processus électoral a été une véritable montagne russe émotionnelle pour tous les acteurs impliqués.
Interrogé sur son propre score lors de cette élection, Aly Ngouille Ndiaye a admis qu’il espérait un meilleur résultat. Cependant, il a souligné les défis auxquels il a dû faire face, notamment le manque de soutien politique et les contraintes logistiques liées à la tenue rapide de l’élection.
Concernant la défaite d’Amadou Ba, candidat de la coalition BBY (Benno Bokk Yaakaar), Aly Ngouille Ndiaye a déclaré qu’il n’était pas surpris. Il a affirmé que la coalition n’était plus majoritaire dans le pays depuis 2022, et que les controverses entourant Amadou Ba ainsi que les difficultés rencontrées pendant la campagne ont joué un rôle dans ce résultat.
S’adressant au nouveau Président élu, Bassirou Diomaye Faye, Aly Ngouille Ndiaye a recommandé de réaliser un état des lieux exhaustif de la situation du pays. Il a souligné les attentes des Sénégalais en matière de santé, d’éducation et de sécurité, et a insisté sur l’importance de la reddition des comptes en démocratie.
Les propos d’Aly Ngouille Ndiaye reflètent les enjeux politiques et sociaux qui ont entouré l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal. Ils offrent également des perspectives sur les défis et les priorités à venir pour le nouveau gouvernement dirigé par Bassirou Diomaye Faye.
Dans un discours prononcé lors du dernier Conseil des ministres, le Président sénégalais sortant, Macky Sall, a lancé un appel vibrant à ses partisans, les exhortant à maintenir la dignité politique en toutes circonstances. Cette déclaration intervient dans un contexte marqué par l’élection présidentielle récente et les perspectives de changement politique qui en découlent.
Le Président Sall a souligné l’importance pour ses alliés de se préparer mentalement et politiquement à assumer le rôle d’opposant, tout en maintenant leur intégrité et leur résilience. Cette recommandation revêt une signification particulière alors que le paysage politique sénégalais est en pleine évolution.
En rappelant à ses partisans l’obligation de rester fidèles à leurs convictions et à leur engagement politique, même dans l’opposition, le Président Sall met en lumière l’importance de maintenir la dignité politique et de résister aux tentations de transhumance politique.
La transhumance politique, le passage d’un camp politique à un autre, est un phénomène courant dans de nombreux pays, y compris au Sénégal. En appelant à la dignité politique en toutes circonstances, le Président Sall cherche à contrer cette tendance et à encourager la loyauté envers les idéaux et les valeurs du parti.
Le message « Weet goré wetelikoo goré », traduit par « rester digne en toutes circonstances », résonne comme un appel à l’intégrité et à la fermeté face aux pressions politiques. Le Président Sall exhorte ses partisans à ne pas céder aux tentations de rejoindre d’autres « prairies », soulignant les conséquences souvent néfastes d’un tel changement.
L’appel du Président Macky Sall à la dignité politique en toutes circonstances reflète son engagement envers l’éthique et les principes démocratiques. Dans un paysage politique en évolution, cette déclaration rappelle l’importance de maintenir l’intégrité et la loyauté envers les idéaux du parti, quelle que soit la situation politique.
Avec l’avènement de Bassirou Diomaye Faye à la tête de l’État sénégalais, une figure émerge progressivement, celle de Papa Mada Ndour. Ce dernier est appelé à devenir le chef de protocole du président nouvellement élu, apportant avec lui une expertise remarquable acquise à la fois au sein de l’appareil d’État et dans les cercles diplomatiques, notamment grâce à son précédent rôle de Premier Secrétaire à l’ambassade du Sénégal au Maroc.
Papa Mada Ndour se distingue par sa proximité évidente avec le président élu. Il est souvent observé à ses côtés, orchestrant ses déplacements et veillant au bon déroulement de ses engagements officiels. Ce rôle en coulisses annonce les responsabilités qui lui incomberont en tant que chef de protocole, nécessitant une connaissance approfondie des protocoles nationaux et internationaux ainsi qu’une capacité organisationnelle hors pair.
Mais l’ascension de Papa Mada Ndour ne se limite pas à son futur rôle protocolaire. Militant engagé du parti Pastef depuis ses débuts, il a fait face à des défis majeurs, notamment des répressions ciblées envers les membres du parti. Son rappel de l’ambassade du Sénégal à Rabat en juin 2023, attribué à son affiliation au Pastef, a été un moment décisif dans sa trajectoire politique. Cet événement, largement médiatisé, a renforcé sa détermination à défendre ses convictions et son engagement politique.
Sa nomination annoncée en tant que chef de protocole du président Diomaye Faye représente un tournant significatif dans sa carrière. Elle symbolise non seulement une reconnaissance de son engagement politique et professionnel, mais aussi une transition générationnelle dans les cadres dirigeants au Sénégal. Papa Mada Ndour incarne cette évolution, enracinée dans la tradition de service public tout en étant ouverte aux dynamiques politiques contemporaines.
L’officialisation de sa nomination interviendra après l’investiture du président élu, marquant ainsi le début d’une nouvelle ère sous l’administration de Diomaye Faye. Cette transition souligne l’importance des compétences, de l’engagement et de la loyauté dans la gouvernance d’un pays en pleine évolution politique.
Le président élu, Bassirou Diomaye Faye, s’apprête à franchir une étape majeure de son parcours politique en prêtant serment au Centre International de Conférences Abdou Diouf (CICAD) de Diamniadio, mardi à 11 heures. Cette cérémonie solennelle marquera le début de son mandat présidentiel, succédant ainsi à Macky Sall, le président sortant.
Selon une source officielle rapportée par l’Agence de Presse Sénégalaise (APS), la prestation de serment de Bassirou Diomaye Faye sera suivie d’une passation de pouvoir avec Macky Sall, qui aura lieu au Palais de la République. Ce moment symbolique de transition démontre la continuité démocratique et l’engagement envers un processus électoral pacifique et transparent.
Dans une déclaration empreinte de reconnaissance et de soutien, l’Union Africaine a adressé ses félicitations chaleureuses à Bassirou Diomaye Faye pour sa victoire dès le premier tour de l’élection présidentielle au Sénégal, le 24 mars dernier. Au travers des mots du président de sa Commission, Moussa Faki Mahamat, l’Union Africaine a exprimé ses vœux de réussite à Faye dans ses nouvelles fonctions présidentielles.
Le président de la Commission de l’Union Africaine, Moussa Faki Mahamat, a souligné l’importance significative de cette élection pour le Sénégal et pour l’ensemble du continent africain. Dans un communiqué dont l’Agence de Presse Sénégalaise (APS) a pris connaissance, il a salué la proclamation officielle de l’élection de Bassirou Diomaye Faye dès le premier tour, le confirmant ainsi comme président du Sénégal.
À l’approche de la célébration de Pâques, l’ancien maire de Dakar, Khalifa Sall, a adressé un message empreint d’unité et de réflexion à la communauté chrétienne du Sénégal. Dans un geste symbolique de solidarité interreligieuse, Sall a tenu à partager des mots de paix et d’encouragement, soulignant l’importance de l’harmonie et de la compréhension mutuelle entre les différentes croyances.
Dans son message, Khalifa Sall a rappelé les valeurs fondamentales de compassion, de tolérance et de partage qui sont au cœur de la célébration de Pâques. Il a souligné que, quelle que soit notre religion, nous partageons tous un engagement envers la justice sociale et la fraternité humaine. En ces temps de divisions et de tensions, Sall a exhorté chacun à puiser dans ces valeurs communes pour renforcer les liens qui nous unissent en tant que société.
Le geste de Khalifa Sall revêt une signification particulière dans un contexte où les différences religieuses peuvent parfois être exploitées pour semer la discorde et la méfiance. En choisissant de s’adresser à la communauté chrétienne à l’approche de Pâques, Sall envoie un message fort d’inclusion et de respect envers toutes les croyances.
Ce message de solidarité interreligieuse vient également à un moment où le Sénégal, comme de nombreux autres pays, est confronté à des défis socio-économiques et politiques. Khalifa Sall, qui a été emprisonné pour des accusations qu’il a toujours niées et qui a été libéré en septembre 2019 après trois ans de détention, continue de jouer un rôle important en tant que figure politique respectée, en promouvant des valeurs d’intégrité, de justice et de dialogue.
Alors que les fidèles chrétiens se préparent à célébrer la résurrection de Jésus-Christ, le message d’unité de Khalifa Sall résonne comme un appel à transcender les barrières de la division et à travailler ensemble pour construire un avenir plus juste et plus inclusif pour tous. En cette période de Pâques, que les paroles de Khalifa Sall inspirent non seulement la communauté chrétienne, mais aussi l’ensemble de la société sénégalaise à renforcer les liens de fraternité et de solidarité, et à œuvrer ensemble pour un avenir meilleur.
Le commissariat central de Saint-Louis a procédé à l’arrestation de S. Dia, un apprenti chauffeur soupçonné d’avoir violé une étudiante dans un bâtiment en construction à Louga. Cette affaire a suscité l’indignation et a mis en lumière les dangers auxquels sont confrontées les femmes dans les transports en commun.
L’étudiante Y. F. S., âgée de 21 ans, a été victime de cette agression alors qu’elle se rendait de Kébémer à Saint-Louis dans la nuit du dimanche au lundi dernier. Elle a embarqué dans un bus en compagnie de S. Dia, présenté comme un apprenti chauffeur.
Le trajet a pris une tournure terrifiante lorsque, arrivé à Louga, l’apprenti chauffeur a changé de direction et conduit la victime dans un endroit isolé, un bâtiment en construction inachevé. Sous la menace et l’intimidation, il a alors commis l’acte abject de viol sur l’étudiante.
Après avoir perpétré cet acte odieux, S. Dia a pris un autre véhicule pour se rendre à Saint-Louis. Une fois arrivée à destination, Y. F. S. a courageusement relaté les détails de son calvaire à ses proches. Son grand frère a rapidement localisé le suspect à la gare routière de la vieille ville de Saint-Louis, où il a été appréhendé par les autorités.
Une enquête a été menée par le lieutenant Bachir Ndao, chef de la sûreté urbaine, et le présumé violeur a été déféré au tribunal de grande instance de Saint-Louis à l’issue de celle-ci.
Cette affaire révèle la vulnérabilité des femmes dans les transports en commun et souligne la nécessité de renforcer les mesures de sécurité pour protéger les passagers, en particulier les femmes et les jeunes filles. Elle met également en lumière l’importance de la sensibilisation et de l’éducation pour lutter contre les violences sexuelles et garantir la sécurité de tous.
Un récent coup de filet mené par les forces de l’ordre a abouti au démantèlement d’un gang redoutable sévissant dans les quartiers de Keur Gorgui, Sacré-Cœur, et d’autres zones de la capitale sénégalaise. Selon les informations relayées par L’Observateur, cette bande, composée d’un transitaire et d’étudiants en Licence issus de milieux aisés, a été prise pour cible après une série de braquages violents et audacieux.
L’histoire a débuté avec le coup raté d’un des cerveaux du groupe, le transitaire P. A. Kanouté. Le 11 mars dernier, Kanouté est entré dans une station d’essence à Liberté 5 et a demandé à faire le plein pour un montant de 20 000 F CFA. Une fois le plein fait, il s’est enfui sans régler la note, déclenchant une réaction immédiate de la part du pompiste et des résidents du quartier.
Poursuivi par une foule en colère, Kanouté a été acculé dans une impasse où il a sorti une arme à feu pour se défendre. Il a finalement été appréhendé avec l’aide d’un Agent de sécurité de proximité (ASP) et conduit au commissariat de police de Dieuppeul. Là, son arme à feu et deux machettes ont été saisies.
Les investigations ultérieures ont révélé que Kanouté avait loué un véhicule pour commettre un braquage. Ce mode opératoire correspondait à celui utilisé lors de deux braquages précédents à Sacré-Cœur et à Keur Gorgui. Les victimes de ces braquages avaient déposé plainte pour vol en réunion avec violence au même commissariat.
Interrogé par les autorités, Kanouté a avoué ses crimes et a donné des informations sur ses complices, E. H. M. Ndiéguéne alias Momo et S. A. Fall, tous deux résidant à Keur Gorgui. Momo a été identifié par une des victimes comme celui qui les avait menacées avec une arme à feu pendant que Kanouté vidait la caisse.
Les perquisitions menées ont permis de découvrir un véhicule Hyundai Elantra, un Ford Fusion 2014 sans plaque d’immatriculation, une arme à feu, trois couteaux, un téléviseur écran plat, un ordinateur et trois téléphones portables.
Les trois suspects ont été présentés au parquet de Dakar pour association de malfaiteurs, vol en réunion avec violence à bord de moyen de transport, détention d’armes, mise en danger de la vie d’autrui et complicité.
Ce démantèlement met en lumière les dangers posés par la criminalité urbaine et souligne l’importance d’une action concertée des autorités pour assurer la sécurité des citoyens et lutter contre le crime organisé.
Une dispute virulente entre les influenceuses populaires Mame Ndiaye Savon et Mamy Cobra a récemment défrayé la chronique sur les réseaux sociaux. Leur échange d’insultes et de propos offensants a déclenché une série d’événements dont les répercussions touchent désormais un large public.
Les deux tiktokeuses ont été convoquées à la Division spéciale de cybersécurité en raison de leurs échanges inappropriés en ligne. Cette confrontation devant les autorités vise à mettre un terme à ce conflit qui a attiré une attention considérable depuis son éclatement mercredi dernier.
Cependant, les conséquences de cette querelle vont au-delà des protagonistes eux-mêmes. En effet, les récentes restrictions imposées aux Lives sur TikTok ont entravé l’accès direct au jeune public. Cette mesure a eu un impact direct sur le nombre de spectateurs en ligne, entraînant ainsi une baisse significative des revenus, étant donné que les jeunes constituent une part importante des acheteurs sur les réseaux sociaux.
Cette situation a également touché de plein fouet les entrepreneurs du web, qui se retrouvent désormais avec leurs marchandises invendues. Face à ce dilemme, des acteurs du secteur, dont Black Fatwa, appellent à une plus grande responsabilité de la part de leurs pairs.
En outre, Mamy Cobra devra répondre de ses actes devant les patrouilleurs du web ce vendredi 29 mars, dans le cadre de cette affaire.
Cette querelle expose les défis et les dangers de l’utilisation des réseaux sociaux, mettant en lumière la nécessité pour les utilisateurs d’adopter des comportements responsables et respectueux en ligne. Elle souligne également l’importance pour les autorités et les plateformes sociales de prendre des mesures efficaces pour réguler et contrôler les interactions en ligne, afin de garantir un environnement sûr et respectueux pour tous les utilisateurs.
« Une image vaut mille mots » ! L’expression trouve tout son sens, voyant les photos de la visite du nouveau président de la République, Bassirou Diomaye Faye, accompagné de son mentor Ousmane Sonko, au chef de l’État sortant, Macky Sall, ce jeudi.
En effet, des images émanant de la Présidence de la République ont capturé les les moments de complicité des quatrième et cinquième chefs d’État sénégalais, en compagnie du farouche opposant d’antan de Macky Sall, Ousmane Sonko.
De telles prises laissent voir qu’il n’y a aucune animosité entre les trois hommes qui se sont mêmes faits des accolades, tout sourire. Au contraire, de ces clichés fusent la joie et une entende profonde qui, elle, n’est possible qu’entre des personnes qui se sont fréquentées pendant au moins un bout de temps. Ces portraits donnent raison aux personnes qui annonçaient qu’ils y avait des pourparlers entre Macky Sall, Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye avant que les deux derniers ne soient affranchis de prison.
Sur ces photos, les regards que portent Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko sur leur aîné, Macky Sall, montrent la profonde admiration qu’ils ont pour le président de la République sortant, Macky Sall qu’ils ont presque adoubé dans leur première déclaration quand ils ont été libérés, préférant s’attaquer au candidat de Benno Bokk Yakaar (BBY), Amadou Ba, sorti deuxième du scrutin présidentiel.
Cette réunion empreinte de courtoisie entre Macky Sall et Bassirou Diomaye Faye, ainsi que des préparatifs pour la passation de pouvoirs, met en lumière l’importance de cette transition politique qui s’est faite dans la douceur.
La cérémonie de passation de service prévue pour le 2 avril revêt une signification symbolique et institutionnelle cruciale, marquant le transfert formel des responsabilités présidentielles.
Les protocoles solennels, discours officiels et gestes symboliques qui accompagnent habituellement cette passation visent à garantir une transition paisible et transparente du pouvoir.
Un désir de renouveau et de leadership axé sur les défis actuels et les aspirations de la jeunesse sénégalaise a immensément contribué à l’élection du président de la République, Bassirou Diomaye Faye, ce 24 mars. Les Sénégalais reposent leur espoir sur le nouveau chef d’État pour apporter des changements positifs et répondre aux besoins et préoccupations les plus urgent.
Depuis l’élection du successeur du président de la République, Macky Sall, les travailleurs de beaucoup de secteurs lui ont soumis leurs doléances, alors que le cinquième président n’a même pas encore pris fonction.
Le secteur de la Santé demande à Diomaye de ne pas répéter les erreurs de son prédécesseur
Les défis prioritaires pour le nouveau président de la République dans le secteur de la santé incluent une gestion adéquate des ressources humaines, la résolution des problèmes liés aux contractuels, et la lutte contre le népotisme. Les syndicats insistent sur la nécessité de réformes pour une meilleure répartition des infrastructures et une gestion plus équitable des ressources humaines afin d’améliorer la qualité des services de santé et la satisfaction des populations.
Les syndicats du secteur de la santé au Sénégal, notamment le SAMES et le SDT3S, expriment leurs préoccupations concernant la gestion des ressources humaines, le traitement des contractuels, et la lutte contre le népotisme dans les structures sanitaires. Ils appellent à une réforme pour une meilleure répartition des infrastructures et une gestion plus équitable des ressources humaines, soulignant l’importance de ces mesures pour améliorer la qualité des services de santé et la satisfaction des populations.
Pour le Syndicat autonome des médecins, pharmaciens, chirurgiens et dentistes du Sénégal (SAMES) met l’accent sur la nécessité d’une nouvelle réforme, en particulier en ce qui concerne une gestion adéquate des ressources humaines. Cette priorité reflète les préoccupations des syndicalistes quant à l’amélioration des conditions de travail et des services de santé dans le pays. Par ailleurs, le Syndicat autonome des médecins, pharmaciens, chirurgiens et dentistes du Sénégal (SAMES) exprime son désaccord avec les politiques antérieures de gestion de la santé sous le régime de Macky Sall. Les syndicats exigent davantage de considération et élaborent des chartes que le gouvernement de Bassirou Diomaye Faye devra respecter. Mamadou Ndour, secrétaire général du SAMES, souligne que les principales priorités résident dans une répartition équitable des infrastructures de santé et une gestion appropriée des ressources humaines. Il insiste sur le fait que ces mesures sont essentielles pour garantir l’accès aux services de santé à la population et ainsi améliorer leur satisfaction globale.
Quant au Syndicat démocratique des travailleurs de la santé et du secteur social (SDT3S), il souligne l’urgence de résoudre la question des contractuels dans les établissements de santé. Les professionnels de la santé tirent des leçons du régime précédent et insistent sur l’importance de ne pas répéter les mêmes erreurs. Cheikh Seck, secrétaire général du SDT3S, met en évidence les effets néfastes du népotisme dans les établissements de santé, soulignant que cela a considérablement affaibli le secteur. Il insiste sur la nécessité d’agir fermement contre cette pratique, soulignant que certaines structures sont infiltrées par des proches de politiciens, ce qui compromet gravement leur fonctionnement. Il évoque également des cas où des individus sans expérience dans le domaine de la santé ont été placés dans des postes, notamment dans le cadre du programme « Xeyu Ndaw Yi » destiné à l’employabilité des jeunes, ce qui nuit à la qualité des services de santé.
Les deux syndicalistes susmentionnés sont d’accord sur le fait que la gestion adéquate des ressources humaines est essentielle pour restaurer la réputation du secteur de la santé. Mamadou Demba Ndour souligne que les professionnels de la santé sont souvent sous-estimés dans ce système, notamment en ce qui concerne la hiérarchie et les régimes indemnitaires. Il donne l’exemple de l’indemnité de logement, où les travailleurs de la santé reçoivent moins que d’autres catégories de fonctionnaires, ce qui contribue à leur sentiment de défavorisation.
Les travailleurs du tourisme demande la reconduction des équipes
Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, est dès à présent, confronté à une demande pressante du Comité de défense des intérêts du secteur du Tourisme, qui plaide pour une restructuration et une organisation structurelle du ministère du Tourisme. Cette demande inclut la réforme des textes, un audit du secteur pour garantir l’application des politiques de l’État, dans le but de redorer l’image de la destination Sénégal. La gestion efficace de ces demandes pourrait être cruciale pour l’avenir du secteur du tourisme dans le pays.
Après avoir adressé ses félicitations au président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, le président du comité, Mohamed Faouzou Dème, est revenu sur leurs aspirations pour le secteur du tourisme, en se concentrant sur trois points principaux. Ces points pourraient inclure des domaines tels que la promotion touristique, le développement des infrastructures et la formation du personnel. Il a également plaidé pour le maintien du personnel même s’il y a eu un changement du régime en ces termes : « nous avons vécu en 12 ans, huit ministres dans ce même département, donc nous voulons une sérénité, une constance dans ce ministère mais également que nous mettions l’homme qu’il faut à la place qu’il faut », souligne le président Mohamed Faouzou Dème.
Le deuxième programme concerne la restructuration du secteur privé, considéré comme un élément crucial par M. Dème. Il met en avant l’importance d’une organisation claire du secteur privé, notamment en identifiant les acteurs clés et en définissant leurs rôles respectifs. Cette clarification permettrait de mieux aligner les actions du secteur privé sur les politiques définies par le Chef de l’État, afin de répondre aux attentes et aux objectifs du gouvernement dans le domaine du tourisme.
Pour conclure, le président du Comité de défense insiste sur la nécessité de réformer les textes régissant le secteur du tourisme, en se concentrant notamment sur la règlementation, les aspects liés au crédit et à la formation. Il a aussi parlé de l’urgence de réaliser un audit organisationnel pour déterminer le type de ministère nécessaire et pour organiser le secteur privé de manière à ce qu’il contribue de manière efficace à la création de richesse et au paiement des impôts. L’objectif est de garantir la clarté, la transparence et l’équilibre dans le fonctionnement du secteur touristique.
Ces recommandations du secteur touristique pourraient servir de guide pour le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, et son gouvernement dans leurs efforts pour répondre aux besoins de cette branche de l’économie sénégalaise qui subit beaucoup de problèmes accentués par la pandémie liée au Covid-19.
La 18e journée de la Ligue 1 sénégalaise a été marquée par des matchs palpitants et des résultats significatifs. Voici un résumé des principaux événements de cette journée passionnante :
Teungueth FC reprend la première place : Le Teungueth FC a récupéré la tête du classement en battant Dakar Sacré-Cœur sur un score de 2-0. Avec cette victoire, le club rufisquois totalise désormais 34 points, reprenant ainsi la première place devant le Jaraaf, tenu en échec par Sonacos (0-0).
Les Crages du Guédiawaye FC ont continué leur impressionnante série de victoires en battant le Stade de Mbour sur un score de 3-1. Avec cette quatrième victoire consécutive, Guédiawaye FC s’installe à la troisième place du classement avec 31 points.
Autres résultats : L’US Gorée a remporté une victoire convaincante de 2-0 contre le Casa Sports, tandis que l’US Ouakam et Génération Foot ont partagé les points avec un match nul 1-1. De plus, Jamono Fatick a obtenu un précieux point en tenant en échec la Linguère sur un score de 1-1, tandis que l’AS Pikine a rapporté un bon point de son déplacement chez Diambars avec un score nul 0-0.
Classement des buteurs : Abdoulie Kassama, auteur du premier but de Guédiawaye lors de leur victoire contre le Stade de Mbour, est désormais le meilleur buteur de la Ligue 1 avec 7 buts à son actif.
Au total, 12 buts ont été marqués lors de cette journée passionnante, illustrant la compétitivité et l’excitation de la Ligue 1 sénégalaise.
Voici les résultats complets de la 18e journée de la Ligue 1 :
Dakar Sacré-Cœur / Teungueth FC : 0-2
Sonacos / Jaraaf : 0-0
US Gorée / Casa Sport : 2-0
Guédiawaye FC / Stade de Mbour : 3-1
US Ouakam / Génération Foot : 1-1
Linguère / Jamono Fatick : 1-1
Diambars / AS Pikine : 0-0
Cette journée a confirmé une fois de plus le niveau de compétition élevé et la passion qui animent la Ligue 1 sénégalaise, promettant ainsi une fin de saison captivante pour les fans de football du pays.
Le mardi 26 mars, le Bureau des Douanes de Dakar Port Centre a reçu une visite importante de la part du Directeur Général des Douanes, Dr Mbaye Ndiaye. Cette initiative s’inscrit dans le cadre des efforts continus visant à évaluer et à renforcer les performances des différentes unités douanières.
Lors de sa visite, le Dr Mbaye Ndiaye a pu constater de première main la dynamique et les progrès constants réalisés par le Bureau des Douanes de Dakar Port Centre dans la lutte contre la fraude et la sécurisation des opérations douanières. Cette performance remarquable a été attribuée à l’engagement exceptionnel des Chefs en charge de l’unité, ainsi qu’au dévouement et au professionnalisme de l’ensemble du personnel.
Parmi les personnalités saluées pour leur contribution essentielle figurent le Colonel Faye, Directeur régional de Dakar Port, le Lt-Colonel El Hadji Ndiaga Gueye, Chef de Bureau, et d’autres membres de l’équipe dirigeante tels que le Chef de Visite, le Lt-Colonel Alpha Touré Diallo, et le Chef des Sections, le Lt-Colonel Abdou Faye. Leur leadership éclairé et leur engagement ont été déterminants dans les succès récents de l’unité.
Les vérificateurs ont également été mis en avant pour leur rôle crucial en tant que cheville ouvrière de l’unité, assurant la qualité et l’intégrité des opérations douanières au quotidien.
La visite du Dr Mbaye Ndiaye a permis d’échanger sur les défis rencontrés par le Bureau des Douanes de Dakar Port Centre et sur les stratégies envisagées pour les surmonter. Le Directeur Général des Douanes a souligné l’importance de maintenir une vigilance constante face aux défis actuels et futurs, tout en encourageant l’équipe à poursuivre ses efforts dans la voie de l’excellence et de l’efficacité.
Cette visite a été l’occasion pour le Dr Mbaye Ndiaye de saluer les performances exceptionnelles du Bureau des Douanes de Dakar Port Centre et de réaffirmer l’engagement de l’administration douanière à soutenir ses équipes dans leur mission essentielle au service de la nation.
Dans le cadre de la 16ème journée du championnat national de première division, l’AS Kaffrine a réalisé un exploit en décrochant une victoire précieuse sur un score étriqué de 1-0 face à Cayor Foot. Ce résultat renforce la position de l’équipe dans la course au titre.
L’unique but de la rencontre a été inscrit par le capitaine de l’AS Kaffrine, Lamine Mbaye, dans un geste technique remarquable qui a su faire la différence. Son leadership et son talent ont permis à son équipe de prendre l’avantage et de sécuriser les trois points de la victoire.
Cette victoire revêt une importance capitale pour l’AS Kaffrine dans sa quête pour le titre de champion. Elle démontre la détermination et la ténacité de l’équipe à rivaliser au plus haut niveau, ainsi que sa capacité à saisir les opportunités qui se présentent sur le terrain.
L’AS Kaffrine peut désormais envisager la suite du championnat avec confiance, tout en continuant à travailler dur pour maintenir son élan et sa performance. Cette victoire contre Cayor Foot constitue un moment fort de la saison et motive l’équipe à poursuivre ses efforts dans la compétition.
Les supporters de l’AS Kaffrine peuvent être fiers de leur équipe qui continue de progresser et de défendre fièrement ses couleurs sur le terrain. Cette victoire est un témoignage de l’engagement et du talent des joueurs, ainsi que de la cohésion et de la stratégie mises en place par l’encadrement technique.
À mesure que la saison avance, l’AS Kaffrine poursuivra son chemin avec détermination, cherchant à atteindre ses objectifs et à marquer l’histoire du football national par ses performances remarquables.
À la suite du match opposant le Teungueth FC à Dakar Sacré-Coeur au stade Alassane Djigo de Pikine, le bus de l’équipe rufisquoise a été la cible d’une attaque de la part de jeunes, provoquant des dommages matériels importants. Le club a immédiatement réagi en déposant des plaintes auprès des autorités compétentes, y compris la police de Pikine et la Ligue de football.
Cette attaque, survenue à la fin du match de la 18e journée de la Ligue 1, a suscité l’indignation au sein du Teungueth FC, qui a tenu à condamner fermement cet acte de vandalisme. Malgré la victoire de l’équipe face à Dakar Sacré-Cœur sur le score de 2-0, l’incident a entaché la célébration du succès sportif.
Le Teungueth FC exprime sa déception et sa consternation face à cette attaque inexcusable, soulignant que de tels actes de violence n’ont pas leur place dans le sport. Le club appelle à des mesures fermes pour assurer la sécurité des équipes et des supporters lors des événements sportifs, afin que de tels incidents ne se reproduisent plus à l’avenir.
Le Teungueth FC reste déterminé à poursuivre sa participation dans la Ligue 1 avec intégrité et fair-play, tout en espérant que les responsables de cette attaque soient identifiés et traduits en justice.
Le chauffeur impliqué dans l’accident tragique ayant coûté la vie à un conducteur de moto-Jakarta à Matam le dimanche 17 mars dernier a été condamné à cinq mois de prison ferme par le tribunal d’instance de la ville, jeudi dernier. En plus de cette peine d’emprisonnement, le chauffeur devra également payer une amende et voir son permis de conduire suspendu pour une durée de cinq mois.
Cet accident avait déclenché des émeutes dans la commune de Matam, entraînant trois jours de violents affrontements entre des jeunes du quartier Soubalo et les forces de l’ordre. La nouvelle de la mort du jeune conducteur de moto-Jakarta, impliquant apparemment un indicateur de la douane, avait suscité la colère et le désarroi parmi les habitants de la région.
Les manifestations avaient rapidement dégénéré en actes de violence, avec des pneus brûlés et des bâtiments incendiés, dont le bureau de la douane situé à la frontière entre le Sénégal et la Mauritanie, ainsi qu’un véhicule de la police des frontières.
L’intervention des gendarmes de l’escadron du camp de Thiambé avait été nécessaire pour contenir les manifestants en colère et empêcher d’autres attaques contre les installations douanières.
Suite à ces événements, des responsables douaniers avaient nié toute implication de leur institution dans l’accident, soulignant qu’aucune opération officielle de la douane n’était en cours au moment des faits. Ils ont également précisé que le chauffeur impliqué dans l’accident n’était pas un agent des douanes, mais plutôt un « pisteur » effectuant des tâches personnelles dans un véhicule privé.
Le gouverneur, accompagné du chef des douanes de la zone nord, a exprimé ses condoléances à la famille du défunt lors de son inhumation au cimetière de Soubalo. Il a également clarifié que le conducteur impliqué dans l’accident ne travaillait pas pour les douanes et était simplement occupé à des affaires personnelles au moment de l’incident.
Dans une journée marquée par des rencontres serrées et des rebondissements, le Teungueth FC a repris le contrôle de la Ligue 1 sénégalaise avec une victoire convaincante contre le Dakar Sacré Cœur. Pendant ce temps, le Jaraaf de Dakar a été freiné dans sa course au titre par un match nul contre Sonacos.
Le Teungueth FC, après avoir subi une défaite amère contre le Guédiawaye FC lors de la dernière journée, avait à cœur de se racheter. Ils ont réalisé cet objectif avec brio en battant le Dakar Sacré Cœur sur un score de 2-0. La première mi-temps s’est avérée équilibrée, mais c’est en seconde période que le Teungueth FC a fait la différence. Youssou Sanyang a ouvert le score à la 60e minute, suivi par Sidy Sow qui a inscrit le deuxième but à quinze minutes du coup de sifflet final. Avec cette victoire, le Teungueth FC s’installe seul en tête du classement avec 34 points, mettant ainsi fin à la série de succès de son rival, le Jaraaf de Dakar.
De leur côté, les joueurs du Jaraaf ont été tenus en échec par Sonacos lors d’une rencontre qui s’est soldée sur un score nul et vierge. Malgré leurs efforts, le Jaraaf n’a pas réussi à trouver la faille dans la défense adverse et a dû se contenter d’un point. Cette contre-performance les relègue à la deuxième place du classement, juste derrière le Teungueth FC.
La compétition pour le titre de champion de la Ligue 1 s’intensifie alors que la saison avance. Le Teungueth FC affiche sa détermination à décrocher le titre, tandis que le Jaraaf de Dakar reste un concurrent redoutable, prêt à saisir la moindre opportunité pour reprendre la tête du classement. Les prochaines journées promettent d’être palpitantes alors que les deux équipes continuent leur course pour la gloire.
Le latéral droit Jonathan Clauss s’est blessé lors du match amical entre la France et le Chili et devrait donc être indisponible entre 3 et 4 semaines.
Le match amical France-Chili de mardi s’est terminé sur une mauvaise nouvelle pour Marseille. Dès la 11e minute, Jonathan Clauss est sorti sur blessure pour céder sa place à Jules Koundé.
Le latéral droit a été touché à la cuisse gauche en début de match et a dû quitter le terrain. La réaction du joueur et même sa démarche n’incitent pas à l’optimisme au sein de l’OM.
Bien qu’il n’y ait pas de confirmation officielle, la presse affirme que la blessure de Clauss est effectivement grave. Selon La Provence, le joueur devrait manquer trois à quatre semaines en raison d’une lésion musculaire.
Si la blessure est confirmée, cela signifie que Jonathan Clauss manquera au moins le quart de finale aller de Ligue Europe contre Benfica, qui aura lieu à LIsbonne le 11 avril.
Cette absence est un coup dur pour Marseille puisque Clauss n’est ni plus ni moins que le joueur le plus utilisé par le club cette saison (37 matches).
Les prestations de Mbappé contre l’Allemagne et le Chili ont déçu la presse française, dont Christophe Dugarry, l’ancien international français champion d’Europe en 2000 et vainqueur de la Coupe du monde en 1998.
Christophe Dugarry, l’ancien international français champion d’Europe en 2000 et champion du monde en 1998, a sévèrement critiqué Kylian Mbappé pour ses performances lors des matches amicaux contre l’Allemagne (0-2) et le Chili (3-2).
La star du Paris SG n’a pas vraiment brillé lors de ces deux matches de préparation, avec seulement une passe décisive et beaucoup de ballons perdus. Il n’a donc pas été épargné par les médias français.
« Évidemment qu’il choisit ses matchs. Après ce que je lui reproche, ce n’est pas de choisir ses matchs, c’est de mal les choisir. Tous les joueurs choisissent leurs matchs, je le comprends. Mais tout le monde n’est pas capitaine de l’équipe de France, tout le monde n’a pas fait des pieds et des mains pour l’être. (…) On est habitué à un Mbappé qui marche, qui n’a pas envie de revenir, qui n’est pas concerné par le côté défensif. Là, on a carrément un Mbappé qui s’en fout. Alors quand tu as le brassard de l’équipe de France, je trouve que c’est inadmissible, tu as un minimum à faire dans l’attitude. Et ça, ça n’a rien à voir avec le fait que tu ne sois pas dans un bon soir. L’attitude est capitale. Je crois que Mbappé n’a pas compris quel était le rôle de capitaine », a-t-il confié au micro de RMC Sport.
Le joueur italien de Newcastle Sandro Tonali a été inculpé pour infraction aux règles britanniques sur les paris pour 50 mises illégales sur des matches, a annoncé la fédération anglaise du football jeudi.
Ces paris violent les règles édictées par la FA et auraient été placés entre le 12 août et le 12 octobre 2023. Le joueur, âgé de 23 ans, a désormais jusqu’au 5 avril pour présenter sa défense.
Tonali avait été suspendu pour dix mois, à la fois en club et en sélection nationale, après que la Fifa ait entériné une décision en ce sens de la fédération italienne. Il ratera en conséquence l’Euro-2024 (14 juin-14 juillet) qui verra l’Italie défendre son titre.
L’agent du joueur avait précédemment indiqué que celui-ci, arrivé à Newcastle en provenance de l’AC Milan en juillet 2023 pour environ 64 millions d’euros, souffrait d’une addiction au jeu.
Outre sa suspension, Tonali avait également écopé d’une amende de 20.000 euros et s’était vu prescrire une thérapie de huit mois, aux termes d’un accord conclu avec les autorités judiciaires et la fédération italiennes.
« Newcastle United admet les chefs de délit prononcés contre Tonali en raison des infractions aux règles sur les paris », a indiqué jeudi son club. « Sandro continue de coopérer avec les enquêtes et conserve le plein soutien du club », a indiqué celui-ci jeudi dans un communiqué.
Un autre joueur italien, Nicolo Fagioli, milieu de terrain de la Juventus, avait également été suspendu pour sept mois en octobre dernier pour les mêmes motifs.
Tonali a été sanctionné le plus durement car il a reconnu avoir parié sur des matches de ses anciennes équipes, Brescia et l’AC Milan, lorsqu’il portait leur maillot.
Les joueurs avaient été identifiés dans le cadre d’enquêtes ouvertes par la police italienne sur des plateformes de paris illégales.
Dans une initiative visant à renforcer la sécurité et à combattre la criminalité, la police nationale a mené une vaste opération durant la nuit précédente, sous la supervision de la Direction de la Sécurité Publique. Cette action d’envergure a mobilisé plus de 500 agents, en uniforme et en civil, déployés dans les zones à risque du pays de 21 heures à 5 heures du matin.
L’objectif principal de cette mission était de traquer les activités criminelles et d’assurer la protection des citoyens. Les résultats de cette opération sont significatifs, avec un total de 401 interpellations.
Parmi les personnes appréhendées, les motifs varient, mettant en lumière la diversité des infractions constatées. En effet, 257 individus ont été arrêtés pour vérification d’identité, tandis que 54 autres étaient sous l’emprise de l’alcool en public. Des infractions liées à la drogue ont également été relevées, avec notamment la détention de chanvre indien et d’ecstasy, ainsi que des cas de trafic et d’usage de substances illicites.
Outre les délits liés aux drogues et à l’alcool, d’autres crimes et infractions ont été constatés au cours de cette opération. Des cas d’escroquerie, de jeux de hasard sur la voie publique, de vol en réunion, de rixe, d’homicide involontaire et de destruction de biens publics ont également été rapportés.
Ces résultats soulignent l’importance des actions préventives et répressives menées par les forces de l’ordre pour assurer la sécurité et le bien-être des citoyens. En agissant de manière proactive contre la criminalité, la police nationale démontre son engagement ferme à maintenir l’ordre public et à protéger la population.
Cette opération marque ainsi une étape significative dans la lutte contre la délinquance et la criminalité, tout en rappelant l’importance de la collaboration entre les autorités et la communauté pour promouvoir un environnement sûr et sécurisé pour tous.
Le paysage politique sénégalais voit un changement significatif au sein du Parti démocratique sénégalais (PDS), avec la nomination d’un nouveau porte-parole du Secrétariat Général National. Le lundi 25 mars 2024, le Président Abdoulaye Wade a pris la décision de désigner Bachir Diawara pour occuper cette fonction stratégique au sein du parti.
Cette nomination intervient suite au départ de Tafsir Thioye, précédent porte-parole, appelé à d’autres responsabilités au sein de l’appareil politique. Bachir Diawara prend donc la relève avec pour mission de représenter le PDS dans les communications officielles et de promouvoir les positions du parti auprès du public et des médias.
En plus de cette nomination, le Président Abdoulaye Wade a également désigné deux porte-paroles adjoints, à savoir Serigne Abo Mbacké Thiam et Gallo Tall. Ces nominations témoignent de la volonté de renforcer l’équipe de communication du PDS et d’assurer une représentation efficace et cohérente du parti.
Bachir Diawara apporte sans aucun doute son expertise et son engagement au service du PDS, dans un contexte politique où la communication et la représentation jouent un rôle crucial dans la consolidation du soutien populaire et la défense des idéaux du parti.
Cette nomination marque ainsi une étape importante dans la stratégie de revitalisation et de consolidation du PDS, sous la direction de son fondateur et leader, Abdoulaye Wade. Elle reflète également la capacité du parti à s’adapter aux défis politiques du moment et à renforcer son organisation interne pour mieux répondre aux attentes de ses membres et de ses sympathisants.
Le climat est tendu à l’hôpital régional de Ziguinchor (sud du Sénégal) où le Syndicat national des travailleurs de la santé (SYNTRAS) a organisé un sit-in jeudi dernier pour exprimer son mécontentement face à ce qu’il qualifie de mauvaise gestion de l’établissement. Revêtus de brassards rouges et de blouses blanches, les membres du SYNTRAS ont abandonné leurs postes pour se rassembler dans l’enceinte de l’hôpital, dénonçant une série de problèmes.
Parmi les griefs portés contre le directeur de l’hôpital régional, Ndiamé Diop, figurent la création de postes jugés inutiles, un déficit de fonctionnement des services, le recours à des marchés de gré à gré, ainsi que le départ à la retraite de travailleurs sans accompagnement adéquat. Boubacar Diémé, représentant du bureau du SYNTRAS de l’hôpital, a exprimé son inquiétude quant à l’impact de ces problèmes sur la qualité des soins prodigués aux populations locales.
Il a notamment pointé du doigt la non-fonctionnalité de certains services essentiels, comme la radiographie, transformant ainsi l’établissement en un centre d’évacuation plutôt qu’en un hôpital de référence. Malgré des tentatives de négociations antérieures avec la direction de l’hôpital, les travailleurs affirment que leurs préoccupations ont été ignorées et que le directeur ne respecte pas les accords précédemment conclus. Ils accusent également le conseil d’administration de l’hôpital de manquer de considération envers le personnel et les patients.
Le directeur de l’hôpital, Ndiamé Diop, a réagi en déclarant que les progrès réalisés en matière d’infrastructures, de matériel et de ressources humaines démontrent son engagement envers l’amélioration de l’établissement. Il a qualifié la grève de « illégale », affirmant que les problèmes soulevés faisaient déjà l’objet d’un suivi via un protocole d’accord signé précédemment.
Cette situation met en lumière les tensions persistantes entre la direction de l’hôpital et son personnel, mettant en péril la qualité des soins médicaux dispensés dans cette région du Sénégal. En attendant, les travailleurs restent déterminés à faire entendre leurs revendications pour un meilleur fonctionnement de l’établissement et une prise en charge adéquate des patients.
Abdoul Aziz Faye, coordinateur de la Plateforme des organisations de la société civile sur l’eau et l’assainissement (POSCEAS) au Sénégal, a souligné une nette amélioration des taux d’accès à l’eau potable et à l’assainissement dans le pays.
Lors d’un atelier de validation du rapport provisoire du « Livre bleu » du Sénégal, Abdoul Aziz Faye a noté que les progrès étaient significatifs, se basant sur les données issues de la réunion annuelle conjointe du ministère de l’Eau et de l’Assainissement, tenue en avril 2023.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : en ce qui concerne l’eau potable, les taux d’accès se sont établis à 98,7 % en milieu urbain et à 96,9 % en milieu rural. Cependant, Abdoul Aziz Faye a également mis en lumière des disparités importantes, notamment en ce qui concerne l’assainissement, avec un taux d’accès de 88 % en milieu urbain contre seulement 62,2 % en milieu rural, soit une moyenne nationale de 74 %.
Ces inégalités persistent davantage dans les régions de Kédougou, Kolda et Sédhiou, comme l’a souligné Abdoul Aziz Faye. Cependant, il a souligné l’importance d’analyser ces disparités régionales afin d’orienter les actions futures visant à améliorer la situation.
La POSCEAS, en collaboration avec le Secrétariat international de l’eau (SIE), a lancé le processus d’élaboration du « Livre bleu 2 (LB-II) » au début du second semestre de l’année 2022. Cette initiative vise à fournir des orientations claires pour améliorer l’accès à l’eau et à l’assainissement au Sénégal, en tenant compte des réalités régionales et des défis spécifiques rencontrés par les populations.
Adoptée lors d’une réunion de l’Assemblée mondiale des sages de l’eau en 2003, cette initiative témoigne de l’engagement international à trouver des solutions durables pour garantir l’accès à l’eau potable et à des installations sanitaires adéquates pour tous.
Deux gradés de l’Administration pénitentiaire, l’inspecteur I. S. et l’adjudant I. N., ont été libérés de prison vers midi, selon une source proche du dossier. Ils étaient sous mandat de dépôt depuis le 13 novembre 2023, soupçonnés d’être impliqués dans la fuite du bulletin médical d’Ousmane Sonko lors de son arrestation.
Leurs avocats, parmi lesquels figuraient Maitres Assane Dioma Ndiaye, Moussa Sarr, Seny Ndione, Me Cheikh Sy, Arona Bass, Moussa Konaté, Amadou Danfa et Magatte Sène, avaient demandé leur mise en liberté provisoire. Cependant, le procureur de la République a estimé qu’ils ne pouvaient pas bénéficier de la loi d’amnistie.
Ainsi, le parquet a choisi de les libérer d’office, une décision qui a suscité des réactions mitigées de la part des avocats de la défense. Ces derniers considèrent que l’arrestation des agents I. S. et I. N. était liée à l’affaire Ousmane Sonko et qu’ils auraient donc dû bénéficier de cette loi d’amnistie.
Pour rappel, les deux agents de l’Administration pénitentiaire avaient été arrêtés, inculpés et placés en détention par le juge d’instruction du 2e cabinet, Mamadou Seck, pour violation du secret professionnel, détournement de données à caractère personnel et actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique.
Le commissariat central de Louga a récemment annoncé l’arrestation d’une bande de sept individus soupçonnés d’être impliqués dans une série de cambriolages visant des commerces de matériel électronique dans la région. Cette opération de police fait suite à une enquête minutieuse déclenchée en réponse aux plaintes déposées par les propriétaires des commerces affectés.
Les six membres présumés de cette bande sont accusés d’avoir perpétré les cambriolages qui ont ciblé plusieurs établissements commerciaux à Louga. Leurs activités criminelles présumées ont causé des pertes importantes pour les propriétaires des commerces, qui ont rapidement alerté les autorités.
Selon les informations fournies dans un procès-verbal d’enquête de la police, les suspects sont soupçonnés d’avoir utilisé un modus operandi similaire lors de leurs méfaits. Ils auraient notamment utilisé des outils sophistiqués pour faire sauter les cadenas des portails, leur permettant ainsi d’accéder à l’intérieur des commerces en toute discrétion.
La commissaire de police, Gnima Diédhiou, a ordonné le déferrement des suspects devant le parquet, estimant qu’il existe des indices sérieux ou concordants liant les suspects aux cambriolages. Trois des suspects ont été inculpés pour association de malfaiteurs et vol avec effraction commis la nuit en réunion avec usage de moyen de locomotion, tandis que les trois autres ont été inculpés pour recel.
Les faits incriminés se seraient déroulés au cours de l’année 2023, principalement dans des commerces vendant des appareils téléphoniques. Les propriétaires des commerces, au nombre de sept personnes, ont déposé plainte auprès des autorités, ce qui a conduit à l’ouverture d’une enquête approfondie pour résoudre ces crimes.
Cette opération réussie de la police démontre l’engagement des forces de l’ordre à assurer la sécurité des citoyens et des entreprises dans la région de Louga. Elle envoie également un message fort aux criminels potentiels, indiquant que les autorités sont déterminées à mettre fin à leurs activités illégales et à préserver la paix sociale dans la région.
Des organisations de défense des Droits de l’homme ont exigé l’ouverture d’une enquête dans l’affaire Mouhamed Diop, un jeune homme qui aurait été battu à mort par la police de Pikine.
« Nous avons plusieurs fois eu des informations des victimes et de leurs proches qui disent que lorsque des gens sont interpellés par la police de Pikine, ils sont conduits au Technopole pour être battus. Si cette information est avérée, c’est extrêmement grave et nous voudrions l’intervention de l’autorité policière pour que cette violence cesse », a déclaré sur Rfm Seydi Gassama, directeur exécutif d’Amnesty International/Section Sénégal.
Gassama a ajouté : « Le Sénégal est très endeuillé par cette violence qui semble endémique au sein de la police et ça ne peut pas continuer. Il faudrait que les nouvelles autorités qui arrivent sanctionnent toutes ces bavures policières, mais surtout s’attellent à élaborer de nouvelles règles que la police devra suivre en cas d’opérations sur le terrain ou pour le maintien de l’ordre. »
De son côté, Babacar Ba, président du Forum du justiciable, a exigé une enquête minutieuse. « Nous pensons qu’en tant qu’organisation de défense des Droits de l’homme, les circonstances de son décès doivent être élucidées. Déjà, il y a sa famille qui accuse la police d’être à l’origine de son décès. Donc, je pense qu’aujourd’hui, les accusations avancées par la famille méritent l’ouverture d’une enquête minutieuse et indépendante, pour situer les responsabilités, afin que les gens sachent ce qui s’est réellement passé. »
Pour rappel, Mouhamed Diop a été interpellé par la police qui l’aurait battu à mort dans son domicile, selon sa famille.
L’ancien président guinéen Alpha Condé a adressé ses félicitations à Bassirou Diomaye Faye pour sa « brillante élection à la magistrature suprême du Sénégal ». Cette déclaration a été faite à travers une publication sur sa page Facebook.
Pour le vétéran de la politique guinéenne, la victoire du candidat du Pastef représente également le triomphe d’une « Afrique libre, unie et fraternelle. Une Afrique capable de prendre son destin en main et prête à défendre sa souveraineté nationale, contre toute ingérence extérieure qui menace aujourd’hui son développement économique et social ».
Une « jeunesse éclairée »
Alpha Condé a salué cette victoire comme étant « un exemple de progrès pour toute l’Afrique », une « traduction de notre attachement à la légitimité du pouvoir, à l’ordre constitutionnel et démocratique ». Il s’est également réjoui de voir à la tête du Sénégal une « jeunesse éclairée ».
En conclusion, l’ancien dirigeant guinéen a exprimé ses vœux de « plein succès » à Diomaye Faye dans « l’exercice du mandat que le peuple sénégalais vient de (lui) confier », tout en l’invitant à « accueillir le soutien de tous les citoyens amoureux de la paix et de la justice ».
La communauté Niassène du Sénégal est plongée dans la douleur et le chagrin suite au décès de Seyda Mame Amy Ba, épouse bien-aimée de Serigne Mbaye Niass. Cette perte laisse un vide immense dans le cœur de tous ceux qui ont eu la chance de la connaître et de partager leur vie avec elle.
L’annonce de son décès a été accueillie avec une profonde tristesse à Médina Baye, où Seyda Mame Amy Ba était respectée et aimée de tous pour sa gentillesse, sa bienveillance et son dévouement envers sa famille et sa communauté.
Selon les informations relayées par Barham Universel MÉDIA TV, l’inhumation de la défunte était prévue pour le jeudi 28 mars 2024, en même temps que la prière de Takussan à Médina Baye. Cet événement tragique a plongé la ville dans une atmosphère de deuil et de recueillement, alors que la communauté se rassemble pour rendre hommage à une femme exceptionnelle.
En ces moments difficiles, la rédaction offre ses plus sincères condoléances à la famille éprouvée, ainsi qu’à tous ceux qui ont été touchés par cette perte. Que Seyda Mame Amy Ba repose en paix et que son souvenir reste toujours vivant dans nos cœurs et nos esprits.
Entre l’Enfer du Trajet et l’Horreur de la Réalité, Leur Rêve Vire en Cauchemar
Ils ont tous un parcours. Une histoire à raconter. Partis du Sénégal, du Mali, de la Guinée, du Burkina Faso, du Nigéria, de la Côte d’Ivoire, du Cameroun, de la Tunisie, du Maroc, entre autres pays de l’Afrique subsaharienne, ces populations, à la recherche d’un avenir meilleur, prennent des risques énormes, au péril de leur vie. En pirogue, ils bravent la mer pour se rendre en Europe.
Serigne Mor Mbaye, Psychologue : « Si les jeunes vont jusqu’à dire « Barça Wala Barsak » (Réussir ou la mort), c’est parce qu’ils ont atteint le summum du désespoir. Une situation, source de beaucoup de douleur et de dépression chez plusieurs d’entre eux.»
Durant ce voyage suicidaire, tout peut arriver. Certains meurent en mer. Et sont abandonnés dans les eaux. C’est le cas de l’activiste sénégalais Papitot Kara, décédé quatre jours après son départ à bord d’une pirogue, qui a embarqué de «Kayar». D’autres disparaissent. Et ne donnent aucun signe de vie ! Mame Cheikh Diouf, parti depuis le 28 octobre 2023, en fait partie.
Amy Fall : « Mon fils a pris la pirogue et depuis lors, on n’a aucune nouvelle de lui. Il nous a caché son voyage. C’est trois jours après que le mari de ma fille, Mame Diarra, a appelé cette dernière pour lui dire que Lamp lui avait laissé deux messages vocaux. Il lui disait avoir embarqué pour l’Espagne tout en demandant à ce que l’on prie pour lui.»
Dans cette quête pour rejoindre l’eldorado européen, de nombreuses tentatives se soldent par des échecs sans pour autant décourager les candidats malheureux.
Etienne Kadam, 23 ans, Pêcheur à Bargny : « La jeunesse sénégalaise a longtemps été dans la galère. On travaille sans pouvoir épargner le moindre sou. On a même du mal à satisfaire nos besoins. On ne se retrouve plus dans ce pays. C’est pourquoi on a tenté l’aventure. Aujourd’hui, si c’était à refaire, on le ferait encore parce que l’on manque d’espoir. »
Les plus chanceux réussissent la traversée. Un groupe de jeunes Sénégalais, croisés à la plage de «Las Canteras» de «Las Palmas» en Espagne, nagent dans le bonheur.
Malick Bâ, 45 ans : « Je suis enfin en Europe. Je rêvais d’être ici et je ferai tout pour m’en sortir. Cet homme (la mer), nous en a fait voir de toutes les couleurs mais il a aidé beaucoup de personnes. Et on prie beaucoup pour lui. Comme il nous a aidés à faire ce voyage, que le Seigneur l’aide aussi. »
Après l’euphorie des premières semaines, la réalité gifle en pleine figure. Il faudra être fort pour sortir de l’univers des «sans papiers». Entre la vie dans la rue et celle dans les squats, certains sombrent vite dans la délinquance.
Sano Diaby alias Nakata : « Je suis en France depuis 4 ans. Et je vis dans un squat. La vie de squat n’est pas facile… On ne pensait pas que l’on vivrait de telles situations une fois en Europe. On pensait qu’une fois en Europe, on aurait plus de difficultés. Mais, c’est tout le contraire… »
Mais, la réussite est bien possible. Il faudra être résilient pour espérer voir le bout du tunnel.
Moussa Koita : « Actuellement, j’ai ma licence en attaché commercial, j’ai deux ans d’expérience en sociologie, une année d’expérience en linguistique sans compter mes expériences du bled. J’ai quitté le squat, j’ai épousé ma femme, j’ai changé mon réseau, j’ai eu mes papiers et j’ai demandé ma nationalité. Mon décret est sorti et j’attends ma carte de nationalité. Comme disent les Toofan, on peut passer de zéro à héros même si je ne suis pas un héros. »
Le phénomène de l’émigration irrégulière a ses échecs et ses réussites. Depuis 1994, les pirogues affluent en Espagne. Aujourd’hui, le phénomène est devenu incontrôlable.
610 pirogues, transportant 39 910 personnes, sont arrivées en 2023. La tendance de 2024 fait peur. Le 29 février, 181 embarcations, transportant 11 932 personnes, sont arrivées, soit une hausse de 53,8%. En plus de la féminisation de l’émigration !
Pourtant, des efforts ont été faits pour trouver des solutions à ce drame social.
Me Lamine Dobassy, Avocat au Barreau de Toulouse : « Son objectif était de connaître ce fléau migratoire qui frappe l’Afrique. Lors de cette conférence, il a donné des suggestions et des orientations à faire. Au mois d’août, il terminait naturellement sa mission au niveau de la Médiature de la République du Sénégal. Malheureusement, il a été terrassé. »
Une situation de tension règne à l’hôpital principal de Dakar alors que près de 7000 agents de santé revendiquent le paiement de leurs indemnités, selon des informations relayées par la Rfm. Ces agents dénoncent le non-respect des engagements pris lors d’une rencontre tripartite impliquant l’ancien Premier ministre Amadou Bâ, le ministre de la Santé Marie Khemess Ngom Ndiaye et le ministre des Finances Mouhamadou Moustapha Ba.
Selon Abou Ba, coordinateur national des contractuels des établissements publics de santé, les indemnités de logement et les indemnités spéciales complémentaires accordées aux agents contractuels des établissements publics de santé depuis mai 2023 ne leur ont toujours pas été versées. Malgré le décaissement de fonds par le ministère des Finances et du Budget, l’argent n’a pas été transféré sur les comptes des agents, ce qui a suscité la frustration et l’incompréhension parmi le personnel.
Abou Ba a souligné le paradoxe selon lequel les fonds décaissés pour le paiement des indemnités ont été réintégrés dans le budget, malgré les attentes des agents de santé. Malgré les espoirs suscités par des rencontres entre les autorités gouvernementales et les centrales syndicales, aucune solution n’a été trouvée jusqu’à présent.
Face à cette impasse, les agents de santé envisagent de porter l’affaire devant les instances de contrôle compétentes. Ils appellent également le nouveau gouvernement à intervenir pour résoudre leurs problèmes, espérant que leurs doléances seront enfin prises en compte.
Abordant cette question lors du passage du ministre de la Santé devant l’Assemblée nationale en décembre dernier, le député Guy Marius Sagna avait déjà attiré l’attention sur cette situation. Les agents de santé espèrent que leur cause sera entendue et que des mesures seront prises pour répondre à leurs préoccupations légitimes.
Dans l’arrondissement de Tendouck, la coalition Diomaye 2024 a remporté une victoire écrasante lors de l’élection présidentielle, consolidant ainsi sa position politique sans équivoque dans le sud de la région de Ziguinchor. Les cinq maires affiliés à PASTEF, à savoir Dr. Sékouna Diatta à Mangagoulack, Dr. Youssouph Sane à Balinghor, Dr. Ibrahima Coly à Karthiack, Moustapha Badji à Diegoune et Souleymane Diatta à Thionck Essyl, ont joué un rôle crucial dans cette réussite.
De Mangagoulack à Karthiack, en passant par Thionck Essyl, Balinghor et Diegoune, la coalition Diomaye 2024 a remporté une victoire éclatante. Cette domination politique sans précédent démontre que les habitants de Tendouck ont placé leur confiance en la vision et le leadership de la coalition, incarnés par le président Diomaye Faye. Cette confiance a été soutenue par un engagement inébranlable et une détermination sans faille.
Les cinq maires et leurs équipes expriment leur gratitude envers les populations de l’arrondissement de Tendouck pour leur soutien indéfectible. Les habitants, tout comme ceux du reste du Sénégal, fondent de grands espoirs sur le nouveau gouvernement dirigé par la coalition Diomaye 2024, sous la direction de son leader, Ousmane Sonko. Ils espèrent que ce gouvernement saura prendre en compte leurs préoccupations dans tous les secteurs, notamment l’agriculture, la pêche, l’élevage, l’éducation, la santé, les infrastructures, et bien d’autres encore.
Cette victoire électorale marque un tournant majeur pour l’arrondissement de Tendouck et souligne l’importance croissante de la coalition Diomaye 2024 dans la politique sénégalaise. Elle témoigne également du désir profond des habitants de voir des changements significatifs et des progrès tangibles dans leur vie quotidienne. En tant que moteur de ce changement, les cinq maires ont un rôle crucial à jouer dans la réalisation de ces aspirations et dans la construction d’un avenir meilleur pour tous les citoyens de Tendouck.
Le Sénégal écrit une nouvelle page de son histoire politique avec l’élection de Bassirou Diomaye Faye, âgé de seulement 44 ans, en tant que président, le plus jeune dans l’histoire du pays. Cependant, alors que cette réalisation mérite d’être célébrée sur le plan national, sur le continent africain, Diomaye Faye ne se classe qu’à la quatrième place des présidents les plus jeunes en exercice.
Selon un classement établi par Seneweb, le nouveau président sénégalais est devancé par trois autres dirigeants africains, tous arrivés au pouvoir à la suite de coups d’État. En tête de ce classement se trouve Ibrahim Traoré du Burkina Faso, âgé de 36 ans, suivi de près par Mahamat Idriss Déby du Tchad, âgé de 40 ans, et Assimi Goita du Mali, qui a 41 ans.
Pourtant, malgré sa quatrième position sur cette liste, Bassirou Diomaye Faye reste le plus jeune président démocratiquement élu en Afrique. Cette distinction souligne l’importance de la démocratie au Sénégal, où le peuple a exprimé sa confiance envers Diomaye Faye pour diriger le pays vers un avenir prospère.
Le classement met également en lumière une tendance émergente où de jeunes dirigeants accèdent au pouvoir sur le continent, témoignant d’un changement générationnel au sein des gouvernements africains.
Dans ce contexte, la présence de Diomaye Faye parmi les jeunes dirigeants africains illustre une transition significative vers une nouvelle ère de leadership en Afrique, caractérisée par la valorisation de la jeunesse et de la dynamique dans les plus hautes sphères du pouvoir politique.
En prenant les rênes du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye incarne l’espoir et les aspirations d’une nation en pleine évolution, prête à relever les défis du XXIe siècle avec audace et détermination.
Après une pause bien méritée pour les rencontres internationales, les clubs se préparent à replonger dans l’effervescence de la compétition. Samedi, à 20 heures, le FC Barcelone recevra Las Palmas, et pour cette occasion, l’entraîneur Xavi Hernandez pourrait bénéficier du retour de ses deux joueurs sénégalais.
Selon les rapports de Mundo Deportivo, Xavi a convoqué Mikayil Faye et Mamadou Mbacké Fall à l’entraînement ce jeudi. Mikayil Faye, de retour de ses engagements internationaux, s’est joint à l’équipe première pour la séance, tout comme son compatriote Mamadou Mbacké Fall. Il est possible que les deux joueurs fassent partie de la sélection de Xavi pour affronter Las Palmas ce samedi.
Leur probabilité d’être convoqués a été renforcée ces derniers jours, notamment en raison des circonstances. Ronald Araujo, revenu lundi de ses obligations internationales, et Christensen, récemment blessé et indisponible pour le match contre l’Atletico Madrid ainsi que pour l’équipe nationale danoise, ne devraient pas être alignés contre Las Palmas. Ils devraient bénéficier d’un repos bien mérité en vue du match crucial contre le PSG en quart de finale aller de la Ligue des champions, dans environ dix jours.
Pour les deux joueurs sénégalais, cette opportunité représente une occasion de prouver leur valeur et leur capacité à contribuer à l’équipe du FC Barcelone. Leur présence pourrait apporter une dynamique nouvelle et un renfort appréciable à l’équipe alors qu’elle se prépare à affronter un adversaire coriace dans le cadre de la compétition nationale. Les regards seront tournés vers Mikayil Faye et Mamadou Mbacké Fall pour voir s’ils peuvent saisir cette chance et la transformer en une performance remarquable sur le terrain.
Le stade Santiago Bernabéu de Madrid a été le théâtre d’un moment particulièrement touchant lors du match amical entre l’Espagne et le Brésil, le mardi 26 mars. Alors que les deux équipes se livraient à une confrontation passionnante, c’est en dehors du terrain que les spectateurs ont été témoins d’une scène qui a capturé leur cœur.
Après un match qui a vu les deux équipes se séparer sur un score de parité, 3-3, le jeune prodige brésilien Endrick a attiré l’attention en montant dans les tribunes du stade pour rejoindre sa petite amie, le mannequin Gabriely Miranda. Ce geste romantique a profondément ému les spectateurs présents et a rapidement fait le tour des réseaux sociaux.
Endrick, qui avait inscrit le deuxième but pour le Brésil au cours de la rencontre, a offert à Gabriely le maillot qu’il portait lors de son exploit sur le terrain. Cette démonstration d’affection a été chaleureusement accueillie par le public, ajoutant une touche de romantisme à une soirée déjà chargée en émotions.
Sur Instagram, Gabriely a partagé une vidéo du tendre baiser échangé avec Endrick, accompagnée d’une déclaration d’amour touchante : « J’aimerais que tu puisses voir à travers mes yeux, combien je t’aime. Merci pour chaque mot, attitude, regard, câlin, baiser, prière. C’est comme si c’était les premiers, à chaque fois. »
Agée de seulement 20 ans, Gabriely Miranda est une personnalité reconnue dans le monde du mannequinat, comptant plus de 519 000 abonnés sur Instagram. Son idylle avec Endrick, âgé de 17 ans, a suscité l’admiration et l’attention des fans du monde entier, les deux jeunes incarnant un couple glamour et populaire.
Endrick Felipe Moreira de Souza, en plus de sa réputation grandissante en tant qu’attaquant de Palmeiras, a également fait sensation sur la scène internationale en signant avec le Real Madrid en décembre 2022, à l’âge de seulement 16 ans. Son transfert vers le prestigieux club espagnol est prévu pour la saison prochaine, promettant un avenir brillant pour ce talent prometteur.
Au-delà de ses prouesses sur le terrain, Endrick a montré une sensibilité et une affection remarquables envers sa partenaire, créant ainsi un moment inoubliable qui restera gravé dans les mémoires des fans de football et des romantiques du monde entier.
Une onde de choc a frappé la communauté du football sierra-léonais avec la nouvelle du décès soudain de l’ancien international Lamin Bangura, survenu dans un tragique accident de la route le mardi 26 mars. Âgé de 59 ans, Bangura a été tué lorsque le bus transportant les joueurs de son équipe, Ports Authority FC, est entré en collision avec un camion à l’arrêt près du village de Konta Line, dans la province du Nord.
La violence de l’impact a été impitoyable, ne laissant aucune chance à Bangura, qui a été transporté d’urgence à l’hôpital de Freetown, où il a finalement succombé à ses blessures. Son décès a plongé la communauté du football sierra-léonais dans une profonde tristesse et a été ressenti comme une perte irréparable.
Idrissa Tarawally, secrétaire général de Ports Authority, a exprimé son chagrin et sa consternation, déclarant à la BBC : « C’est un jour triste pour le football sierra-léonais. C’est choquant et je suis dévasté. Je suis sans voix. Il était une légende et un bon entraîneur parti si tôt. »
Bangura était bien plus qu’un simple joueur de football. En plus de sa brillante carrière en tant que joueur international, au cours de laquelle il avait contribué à qualifier les Leone Stars pour les CAN 1994 et 1996, il avait également marqué le monde du football en tant qu’entraîneur. Après sa retraite en tant que joueur, Bangura avait partagé son expertise en tant qu’entraîneur, guidant des clubs en Guinée et en Sierra Leone.
Son héritage dépasse largement ses réalisations sur le terrain. Bangura était respecté et aimé de ses pairs pour son leadership, son dévouement et sa passion pour le jeu. Sa disparition laisse un vide immense dans le football sierra-léonais et il sera à jamais rappelé comme une figure emblématique du sport dans le pays.
La Fédération sierra-léonaise de football a présenté ses condoléances les plus sincères à la famille de Bangura, ainsi qu’à ses proches, son club et ses amis, dans cette période de deuil. Alors que la communauté du football pleure sa perte, les souvenirs et l’héritage de Lamin Bangura continueront de briller à travers les générations, témoignant de son impact durable sur le sport qu’il aimait tant.
Le commissariat central de Louga a récemment mené une opération fructueuse aboutissant à l’arrestation d’une bande de sept individus soupçonnés d’être impliqués dans une série de cambriolages de commerces de matériel électronique dans la région. Ces arrestations interviennent après une enquête approfondie menée en réponse aux plaintes déposées par les propriétaires des commerces affectés.
Les six membres présumés de cette bande sont soupçonnés d’être les auteurs des cambriolages qui ont ciblé plusieurs magasins de matériel électronique à Louga. Leurs activités criminelles présumées ont causé des dommages significatifs et ont semé la peur parmi les propriétaires de ces commerces.
La commissaire de police Gnima Diédhiou a pris la décision de déférer les suspects devant le parquet, en raison des preuves solides recueillies au cours de l’enquête. Ils sont inculpés pour association de malfaiteurs, vol avec effraction commis la nuit en réunion avec usage de moyen de locomotion, ainsi que pour recel.
Les crimes allégués se sont produits tout au long de l’année 2023, principalement dans des commerces vendant des appareils téléphoniques. Les propriétaires de ces établissements ont fait part de leur préoccupation à la police, déposant des plaintes qui ont initié cette enquête.
Les autorités ont constaté que les cambrioleurs utilisaient un modus operandi similaire, utilisant des outils sophistiqués pour forcer les cadenas et accéder à l’intérieur des commerces. Ces actes criminels ont eu un impact significatif sur les commerçants locaux, perturbant leurs activités et causant des pertes financières importantes.
Cette opération de police réussie démontre l’engagement des forces de l’ordre à assurer la sécurité des citoyens et des entreprises dans la région de Louga. Elle envoie également un message fort aux criminels potentiels, indiquant que les autorités restent vigilantes et déterminées à traduire en justice ceux qui enfreignent la loi et perturbent la paix sociale.
Dans le cadre du Projet d’appui à la réduction des inégalités (Pari genre), financé par l’Agence française de développement (AFD), vingt-quatre femmes de la commune de Tomboronkoto et du village aurifère de Kharakhena à Kédougou ont récemment bénéficié d’une formation en teinture et en saponification. Cette initiative vise à renforcer les compétences entrepreneuriales des femmes dans les zones minières, ouvrant ainsi la voie à des opportunités économiques durables.
La clôture de cette formation, qui a eu lieu ce jeudi à Tomboronkoto, dans l’arrondissement de Bandafassi, a marqué une étape importante dans l’autonomisation économique des participantes. Encadrées par Women in Mining (WIM), un réseau dédié à l’autonomisation des femmes dans le secteur minier, ces femmes leaders ont acquis des compétences pratiques en teinture et en saponification, ainsi que des connaissances essentielles en collecte de fonds.
Khadim Fall, chargé de projet de Pari Genre à Women in Mining, a souligné l’importance de cette formation en tant qu’outil de développement économique local. Douze femmes ont été formées en teinture, tandis que douze autres ont suivi une formation en saponification, élargissant ainsi leur éventail de compétences et renforçant leur capacité à créer et à gérer leurs propres entreprises.
Parallèlement à ces formations, WIM a également organisé des sessions de sensibilisation auprès de 156 élèves des villages de Mako et Bandafassi, dans le but de promouvoir l’éducation des filles et de lutter contre les facteurs sociaux entravant leur réussite scolaire. Cette initiative reflète l’engagement de WIM à soutenir le développement holistique des communautés minières, en mettant l’accent sur l’éducation, l’autonomisation économique et la création d’opportunités d’emploi pour les femmes.
En sensibilisant les femmes des zones minières aux opportunités d’affaires et en les dotant des compétences nécessaires pour réussir dans des domaines tels que la teinture et la saponification, WIM contribue à créer une communauté solidaire de femmes entrepreneures, prêtes à surmonter les défis et à prospérer dans un environnement économique en évolution. Cette initiative illustre la valeur de l’autonomisation économique des femmes dans la construction d’un avenir plus inclusif et prospère pour tous au Sénégal.
Après des mois derrière les barreaux, l’ancienne star du FC Barcelone, Daniel Alves, a retrouvé la liberté provisoire. Libéré après le paiement d’une caution d’un million d’euros, Alves a immédiatement embrassé la vie hors des murs de la prison en organisant une fête extravagante chez lui.
Condamné en première instance à une peine de quatre ans et demi pour le viol présumé d’une jeune femme dans une boîte de nuit de Barcelone fin 2022, Alves attend désormais son jugement en appel. Mais cela ne l’a pas empêché de célébrer sa liberté retrouvée avec enthousiasme.
Le lendemain de sa libération, Alves a transformé sa maison familiale, située dans la province de Barcelone, en lieu de festivités. La raison officielle de cette célébration était l’anniversaire de son père. Cependant, ce qui aurait pu être une affaire discrète s’est rapidement transformé en une soirée animée en compagnie de nombreux amis proches.
Selon les rapports, la fête a débuté dans un restaurant avant que la famille d’Alves et ses amis ne se retirent chez lui. La soirée se serait prolongée jusqu’aux premières heures du matin, avec des invités restant jusqu’à 5 heures du matin pour continuer à célébrer.
Ces réjouissances, bien que destinées à marquer l’anniversaire du père d’Alves, ne manqueront pas de raviver les critiques et les controverses entourant sa libération. Malgré les restrictions qui lui sont imposées, notamment l’interdiction de quitter l’Espagne et l’obligation de se présenter régulièrement au tribunal de Barcelone, Alves semble déterminé à profiter de sa liberté autant que possible.
Pour l’ancien joueur de football, cette soirée de fête pourrait également servir de répit temporaire dans l’attente de son procès en appel, dont la date reste encore inconnue. En attendant, Daniel Alves continue à vivre sa vie, confrontant les défis judiciaires avec le même esprit compétitif qui l’a caractérisé sur le terrain.
Le Tribunal d’instance de Matam (nord) a rendu son verdict jeudi dernier, condamnant un automobiliste à cinq mois de prison ferme pour son implication dans un accident mortel survenu le dimanche 17 mars. L’accident, qui a coûté la vie à un conducteur de moto « Jakarta », a déclenché des échauffourées entre les jeunes et les forces de l’ordre, exacerbant les tensions dans la région.
En plus de la peine d’emprisonnement, le tribunal a ordonné au condamné de payer une amende de 26 000 francs CFA et a suspendu son permis de conduire pour une durée de cinq mois. Cette décision marque une tentative de la justice sénégalaise de rétablir l’ordre et de rendre justice à la victime de cet accident tragique.
L’accident s’est produit vers 20 heures, non loin du pont à l’entrée de la ville de Matam. Sa survenance a été le catalyseur de violences et d’émeutes, où des jeunes du quartier Soubalo ont affronté les forces de l’ordre. Ces affrontements ont entraîné des dommages matériels, notamment le saccage d’une voiture appartenant à la Police des frontières et d’un bureau des Douanes à Matam.
Il a été révélé que le conducteur responsable de l’accident était un pisteur des Douanes, circulant à bord d’une voiture privée. Sa condamnation à une peine de prison ferme et à une amende reflète la gravité de son acte et vise à dissuader d’autres comportements irresponsables sur les routes.
Cette affaire met également en lumière la nécessité d’une sensibilisation accrue à la sécurité routière et à la responsabilité des conducteurs sur les routes du Sénégal. Alors que la nation pleure la perte tragique d’un de ses citoyens, cette décision judiciaire représente un pas vers la réparation et la prévention des accidents similaires à l’avenir.
Vingt-cinq jeunes du département de Kédougou ont récemment eu l’opportunité de se former en pâtisserie lors d’un programme de quinze jours, initié par le conseil départemental en partenariat avec la société minière Petowal Mining Company (PMC). Cette initiative vise à doter les jeunes de compétences pratiques et à les préparer à saisir les opportunités d’emploi dans divers secteurs.
Lors de la cérémonie de clôture de la formation, Amadou Sega Keïta, premier vice-président du conseil départemental de Kédougou, a souligné l’importance de cette initiative pour le développement socio-économique de la région. Il a encouragé les jeunes à mettre en pratique leurs nouvelles compétences et à envisager de devenir des formateurs pour les générations futures.
Outre la formation en pâtisserie, le conseil départemental de Kédougou et PMC ont également lancé des programmes de formation dans d’autres domaines tels que la plomberie, l’électricité, le bâtiment, la mécanique automobile et la restauration, représentant un investissement de 40 millions de francs CFA pour cent vingt jeunes de la région.
Selon M. Keïta, ces formations sont destinées à répondre aux besoins du marché du travail local et à renforcer les compétences des jeunes dans des secteurs clés. Il a également souligné que d’autres programmes de formation, notamment en restauration, seront lancés prochainement dans le cadre du Fonds d’Investissement Social et Environnemental (FISE) de PMC.
James Kaba, représentant de PMC, a encouragé les jeunes à saisir les opportunités d’emploi en se regroupant en Groupements d’Intérêt Économique (GIE) pour maximiser leurs chances d’accéder aux offres d’emploi proposées par les entreprises minières de la région.
Cette initiative conjointe entre le conseil départemental de Kédougou et PMC démontre l’engagement envers le développement économique local et la promotion de l’emploi des jeunes. Elle offre aux participants une chance précieuse d’acquérir des compétences professionnelles et de contribuer à la croissance durable de la région de Kédougou.
Le parti Pastef a publié un démenti catégorique en réponse à des informations circulant dans certains médias concernant la sécurité d’Ousmane Sonko. El Malick Ndiaye, chargé de communication du parti, a tenu à rectifier ces allégations erronées.
« Selon les informations divulguées par une certaine presse du jour, il est mentionné que le Président Ousmane SONKO bénéficierait d’une protection assurée par les services de sécurité de l’État. Cependant, nous tenons à démentir catégoriquement ces allégations », a déclaré M. Ndiaye.
Il est clair pour le parti Pastef que Ousmane Sonko n’a jamais sollicité ni bénéficié d’une quelconque protection de la part des services de sécurité de l’État. Cette clarification vise à dissiper toute confusion ou malentendu qui pourrait découler des informations erronées circulant dans les médias.
« Il est important de souligner que les informations diffusées dans ce quotidien sont totalement erronées », a souligné M. Ndiaye, insistant sur l’importance de fournir des informations précises et vérifiées pour éviter toute confusion ou manipulation de l’opinion publique.
La sécurité des membres du parti et de ses dirigeants est une préoccupation majeure pour Pastef, mais il est essentiel de clarifier que toute protection éventuelle dont pourrait bénéficier Ousmane Sonko ne provient pas des services de sécurité de l’État.
Ce démenti vise à rétablir la vérité et à mettre fin aux spéculations infondées qui pourraient nuire à la réputation du parti et de son leader. Pastef reste engagé à défendre les intérêts de ses membres et à œuvrer pour un dialogue constructif et transparent dans le pays.
Le président américain Joe Biden a adressé ses félicitations à Bassirou Diomaye Faye pour son élection en tant que prochain président de la République du Sénégal. Dans un message chaleureux, M. Biden a également exprimé ses meilleurs vœux au peuple sénégalais, saluant sa démonstration de l’importance fondamentale du droit de vote dans une démocratie.
« Je félicite Bassirou Diomaye Faye pour son élection comme prochain président de la République du Sénégal. J’adresse mes vœux les plus chaleureux au peuple sénégalais, qui a démontré que le droit de vote – et le fait que ce vote soit pris en compte – reste le seuil de liberté de la démocratie », a déclaré M. Biden, dont les propos ont été partagés sur le compte officiel de l’ambassade américaine à Dakar.
Joe Biden a souligné les liens solides qui unissent le Sénégal et les États-Unis depuis plus de six décennies. Il a mis en avant la coopération entre les deux nations dans divers domaines, notamment la lutte contre le terrorisme, la sécurité alimentaire, la crise climatique et la lutte contre la corruption. Il a également rappelé l’importance de la démocratie dans le bénéfice de tous les citoyens.
« Dans les années à venir, je me réjouis à l’idée de renforcer encore ces liens, pendant que nous continuons à travailler ensemble pour forger un avenir plus pacifique et plus prospère pour tous », a conclu M. Biden, soulignant ainsi l’engagement des États-Unis à soutenir le développement et la prospérité du Sénégal.
Cette reconnaissance de la part du président américain témoigne de l’importance du Sénégal sur la scène internationale et de la valeur accordée à la démocratie et à la stabilité politique dans la région. Elle ouvre également la voie à un approfondissement des relations bilatérales entre les deux pays dans les années à venir, dans un esprit de coopération et de partenariat mutuellement bénéfique.
Suite à la publication des résultats provisoires de l’élection présidentielle au Sénégal du 24 mars dernier, le gouvernement français a affirmé sa volonté d’être « pleinement mobilisé » pour collaborer avec les nouvelles autorités sénégalaises sur des priorités communes, dans l’intérêt des deux peuples.
Dans une déclaration rendue publique, le ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères a souligné l’engagement de la France à travailler en étroite collaboration avec les nouveaux dirigeants sénégalais. « La France est pleinement mobilisée pour travailler avec les nouvelles autorités sur l’ensemble de nos priorités communes et au service de nos peuples », a-t-il déclaré.
Bassirou Diomaye Diakhar Faye, 44 ans, un opposant, a été déclaré vainqueur avec 54,28% des voix par la Commission nationale de recensement des votes. Cette victoire a été reconnue par le gouvernement français, qui a adressé ses félicitations au nouveau président élu.
Dans un message partagé sur les réseaux sociaux, la diplomatie française a exprimé ses « chaleureuses félicitations » à M. Bassirou Diomaye Faye pour son élection à la présidence du Sénégal. Paris a également salué l’engagement de tous ceux qui ont contribué à la bonne tenue de l’élection, soulignant la forte participation des électeurs et le respect de la tradition démocratique sénégalaise.
La transition vers le nouveau gouvernement se fera dans les prochains jours, avec la proclamation des résultats définitifs du scrutin présidentiel par le Conseil constitutionnel. Le nouveau président entrera en fonction officiellement lors d’une prestation de serment devant les sept sages de cette institution.
Le mandat de Macky Sall, au pouvoir depuis 12 ans, prendra fin officiellement le 2 avril, marquant ainsi une nouvelle ère politique pour le Sénégal. La coopération entre la France et le Sénégal, enracinée dans une histoire commune et des intérêts partagés, semble prometteuse sous la nouvelle administration, avec un engagement réaffirmé à travailler ensemble pour le bien-être des deux nations.
Dans une analyse perspicace des récentes élections présidentielles au Sénégal, le fondateur d’Afrikajom Center, Alioune Tine, a souligné un élément crucial : ces élections ne sont pas simplement un exercice démocratique traditionnel, mais plutôt un référendum pour ou contre le « Système » en place.
« Nous n’avons pas eu une élection présidentielle, mais un référendum pour ou contre le ‘Système’ et la ‘rupture' », a déclaré avec conviction Alioune Tine. Cette vision éclaire d’un jour nouveau le paysage politique sénégalais, où les candidats comme Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko incarnent cette volonté exprimée par le peuple en faveur d’un changement radical.
Alioune Tine rejette l’idée que les résultats faibles de cette élection présidentielle traduisent une légitimité réduite. Au contraire, ils sont interprétés comme l’expression d’un désir profond de rupture avec le statu quo. Ces résultats témoignent d’une volonté collective de renverser les structures établies et d’instaurer un nouveau paradigme politique, économique et social.
En effet, ces élections ne se limitent pas à un simple choix entre des candidats, mais représentent un véritable moment de réflexion pour la nation sénégalaise. Elles sont le reflet d’un sentiment de frustration face aux inégalités persistantes, à la corruption endémique et à l’absence de véritable progrès dans de nombreux domaines.
Dans ce contexte, chaque voix exprimée lors de ces élections est un appel vibrant à un changement radical, à une refonte totale du système en place. Les candidats qui incarnent cette aspiration sont perçus comme des agents de ce changement, des figures capables de conduire le pays vers un avenir plus juste, plus équitable et plus prospère pour tous les Sénégalais.
Il est désormais impératif pour les dirigeants politiques de comprendre et de répondre à cet appel du peuple. Ignorer cette volonté de changement serait non seulement irresponsable, mais aussi dangereux pour la stabilité et la cohésion sociale du pays.
En conclusion, les élections présidentielles au Sénégal ne sont pas simplement un exercice de démocratie formelle, mais plutôt un moment décisif dans l’histoire du pays. Elles représentent un référendum pour ou contre le « Système » en place, et un appel pressant à une rupture profonde avec les pratiques du passé. Les défis sont nombreux, mais l’espoir d’un avenir meilleur reste vibrant dans le cœur de chaque citoyen sénégalais.
Une querelle en ligne entre Mame Ndiaye Savon et Mamy Cobra a pris une tournure judiciaire alors que les autorités de cybersécurité ont été alertées sur des échanges injurieux sur les réseaux sociaux. Selon des sources de Seneweb, les patrouilleurs du web de la Division spéciale de cybersécurité ont remarqué ces échanges et ont agi en conséquence.
Une convocation a été émise à l’encontre des deux protagonistes ce jeudi. Cependant, l’une des parties a demandé un report de convocation, préférant répondre à l’appel demain vendredi.
Mame Ndiaye Savon et Mamy Cobra pourraient faire face à des accusations d’outrage public aux bonnes mœurs, selon nos informations.
Cette affaire met en lumière les défis croissants posés par les échanges en ligne et souligne l’importance croissante pour les autorités de prendre des mesures contre les comportements répréhensibles sur Internet.
Après sa victoire dès le premier tour des élections, Bassirou Diomaye Faye s’apprête à prendre les rênes du pouvoir avec une série de changements radicaux qui pourraient remodeler le paysage politique sénégalais. Inspiré par le projet Pastef, son programme ambitieux prévoit des réformes profondes touchant à divers aspects de la gouvernance.
Parmi les points saillants de son programme figurent la suppression des fonds politiques présidentiels, ainsi que des organes tels que le HCCT, le CESE et le HCDS. Cette volonté de réduire l’influence politique et de promouvoir une plus grande transparence marque un tournant significatif dans la manière dont le pays est dirigé.
En matière de gouvernance, une indépendance totale des organismes de contrôle est prévue, avec notamment le détachement de l’IGE de la tutelle présidentielle. L’autonomie de l’IGE, de l’OFNAC, de la CENTIF et de la Cour des Comptes dans la définition et la mise en œuvre de leurs programmes est également envisagée, avec le pouvoir de saisir directement le procureur et le juge d’instruction.
Le recrutement pour les postes civils et militaires sera désormais basé sur des concours et des appels à candidatures pour les postes de directeurs généraux, marquant ainsi une rupture avec les pratiques antérieures.
Les femmes ne sont pas oubliées dans ce programme, avec des mesures visant à favoriser leur autonomie économique et à étendre le congé de maternité à six mois. De plus, la renonciation à tous les contrats défavorables pour le Sénégal dans les secteurs des hydrocarbures et de la pêche est annoncée.
Dans le domaine de l’éducation et de la formation, des initiatives telles que la promotion du bilinguisme en introduisant l’anglais dès l’école primaire, la lutte contre les inégalités salariales, et une réflexion sur l’intégration de l’enseignement religieux et des langues nationales sont envisagées. De plus, la création d’un ministère du Numérique est prévue pour répondre aux défis de la société numérique moderne.
En somme, le programme de Bassirou Diomaye Faye promet une ère de changements profonds et de réformes audacieuses qui pourraient redéfinir le paysage politique et social du Sénégal pour les années à venir. Attendons avec impatience de voir comment ces promesses se concrétiseront et quels impacts elles auront sur la vie des citoyens sénégalais.
Dans le sillage de récentes élections, les discours passionnés et les étiquettes volent bas. Accuser, qualifier de traître, ou louer sans réserve semble être la norme. Mais dans ce tumulte d’opinions polarisées, il est crucial de faire un pas en arrière, de respirer, et d’explorer les nuances qui échappent souvent à la surface.
La politique, souvent tumultueuse et complexe, offre rarement des réponses simples. Les alliances d’hier peuvent se briser aujourd’hui, les actions bien intentionnées peuvent être mal interprétées, et les motivations peuvent être sujettes à des interprétations divergentes.
La question de la trahison, soulevée avec véhémence, nous pousse à nous interroger sur les véritables dynamiques à l’œuvre. Qui a réellement trahi qui, et à quel prix ? Est-ce une question de loyauté envers la patrie ou le parti ? Ou bien y a-t-il des forces cachées qui manipulent les marionnettes du pouvoir ?
Le président SALL, objet de tant de louanges et d’accusations, reste au cœur de ce débat. Est-il vraiment surpris par les résultats des urnes ? Peut-être que derrière ses actions, il y a des stratégies et des calculs politiques qui échappent à la vue du public.
Dans ce tourbillon d’opinions, une vérité demeure : la patrie importe plus que le parti. C’est une maxime qui résonne avec force pour ceux qui prennent le temps d’observer et de comprendre les enjeux réels.
Peut-être que demain, à la lumière de l’histoire, les véritables motivations du président SALL seront éclaircies. Peut-être que les témoins futurs seront en mesure de discerner la véritable victime de la trahison, s’il y en a une.
En fin de compte, alors que nous naviguons à travers les eaux tumultueuses de la politique, gardons à l’esprit l’importance de perdre avec dignité et d’avancer. Car c’est dans la compréhension mutuelle et le respect des différences que réside le véritable progrès vers un avenir meilleur pour tous.
Ce jeudi, le Président Macky SALL a accueilli son successeur fraîchement élu, le Président Bassirou Diomaye Faye, pour une rencontre importante marquant le début d’une transition politique au Sénégal. Faye a été élu lors du premier tour de l’élection présidentielle du 24 mars 2024, et cette rencontre entre les deux dirigeants revêt une grande importance pour l’avenir du pays.
L’atmosphère de la rencontre était empreinte de courtoisie, illustrant le respect mutuel entre les deux hommes ainsi que leur engagement envers une transition pacifique et ordonnée du pouvoir. Au cours de cette rencontre, des discussions approfondies ont eu lieu sur les grands dossiers de l’État, mettant en lumière les défis et les opportunités qui attendent le nouveau gouvernement.
Parmi les sujets abordés figuraient notamment les questions économiques, sociales, et politiques auxquelles le Sénégal est confronté, ainsi que les priorités du nouveau gouvernement en matière de développement et de progrès pour le pays. La cérémonie de prestation de serment et la passation de service ont également été évoquées, soulignant l’importance de ces étapes symboliques dans le processus de transition démocratique.
Après cette rencontre, une visite du palais présidentiel a été organisée, offrant aux deux dirigeants l’occasion de poursuivre leurs discussions dans un cadre solennel et officiel. Cette visite marque le début d’une transition politique significative, où les anciens et les nouveaux dirigeants collaborent pour assurer la continuité et la stabilité de l’État.
En conclusion, la rencontre entre le Président Macky SALL et son successeur, le Président Bassirou Diomaye Faye, symbolise le passage harmonieux du pouvoir au Sénégal. Dans un esprit de coopération et de respect mutuel, les deux dirigeants s’engagent à travailler ensemble pour le bien-être et le progrès du pays, marquant ainsi le début d’une nouvelle ère pour la nation sénégalaise.
Les résultats officiels de l’élection présidentielle au Sénégal ont été proclamés, confirmant la victoire écrasante de Bassirou Diomaye Faye dès le premier tour, avec 54,28% des voix. Ces résultats ont été annoncés mercredi par le président de la Commission nationale de recensement des votes, Amady Diouf.
Bassirou Diomaye Faye a largement devancé les autres candidats, notamment Amadou Ba, candidat du pouvoir, qui a obtenu 35,79% des voix. La participation électorale s’est élevée à 61,30%, légèrement inférieure à celle de 2019 mais supérieure à celle de 2012.
Cette victoire marque un tournant historique, puisqu’il s’agirait de la première fois depuis l’indépendance du pays en 1960 qu’un opposant remporte la présidence dès le premier tour.
Malgré les craintes concernant la possibilité d’une investiture avant la fin officielle du mandat du président sortant Macky Sall, le transfert de pouvoir semble désormais réalisable dans les délais, sous réserve d’éventuels recours devant le Conseil constitutionnel.
La mission d’observation de l’Union africaine a salué la maturité démocratique du peuple sénégalais et le climat pacifique qui a entouré le déroulement de l’élection présidentielle.
La célébration de la fête de l’Indépendance du Sénégal, le 4 avril prochain, prend une tournure inattendue avec le maintien du plan initialement prévu par le président sortant, Macky Sall. Initialement prévue à la Place de l’Indépendance et devant être présidée par le président élu, Bassirou Diomaye Faye, la cérémonie de prise d’armes sera finalement organisée au Palais.
Cette décision marque une continuité avec les projets déjà établis par l’administration sortante, soulignant une transition en douceur entre les anciennes et les nouvelles autorités. Selon les informations fournies par Libération, ce changement de lieu a été décidé par les nouvelles autorités, affirmant ainsi leur respect pour les plans déjà en place.
Cette prise d’armes revêt une importance symbolique particulière, marquant l’anniversaire de l’accession du Sénégal à la souveraineté internationale. Elle sera présidée par le nouveau chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye, qui entrera en fonction deux jours auparavant, le 2 avril.
Une transition sécuritaire majeure s’opère au Sénégal avec le changement de garde pour la sécurité des personnalités politiques clés. Les éléments de la garde rapprochée privée de Bassirou Diomaye Faye et d’Ousmane Sonko laissent place aux forces dédiées des forces de défense et de sécurité, avec le Groupement d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) prenant en charge la sécurité de ce dernier.
Cette transition témoigne du passage à une nouvelle ère, où la sécurité des dirigeants politiques est désormais assurée par l’État lui-même. Pour le président élu Bassirou Diomaye Faye, cette évolution est naturelle compte tenu de la charge suprême qu’il assume depuis son élection le 24 mars.
Concernant Ousmane Sonko, leader de Pastef, le choix du GIGN pour assurer sa sécurité pourrait surprendre étant donné qu’il n’occupe pas encore de fonction officielle connue. Cependant, selon des sources citées par le journal Source A, il est fort probable que Sonko joue un rôle dans le nouveau dispositif de sécurité en cours de mise en place.
Cette transition marque un tournant significatif dans le paysage sécuritaire sénégalais, soulignant l’importance accordée à la protection des personnalités politiques et le rôle accru des forces de défense et de sécurité dans ce domaine.
Le président de la République, Macky Sall, prépare activement la transition du pouvoir en vue de l’installation de son successeur Bassirou Diomaye Faye, élu le 24 mars dernier. Hier, le chef de l’État sortant a demandé au Gouvernement de tout mettre à la disposition de son successeur.
Ce mercredi, lors du dernier Conseil ministériel avec son Gouvernement, Macky Sall a donné des instructions claires pour réunir tous les dossiers à l’attention dunouveau chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye. Cela inclut la préparation minutieuse des dossiers de passation de pouvoirs afin que l’installation se déroule dans les meilleures conditions possibles.
Macky Sall a ainsi demandé au Gouvernement, au Ministre, Secrétaire général de la Présidence de la République et au Ministre, Secrétaire général du Gouvernement de faire prendre toutes les dispositions requises pour assurer, notamment, la préparation des dossiers de passation de pouvoirs.
Il est noté que le Chef de l’État sortant, Macky Sall, a exprimé à nouveau ses félicitations au candidat Bassirou Diomaye Diakhar Faye pour sa victoire dès le premier tour, faisant de lui le cinquième président de la République du Sénégal depuis son indépendance.
Macky Sall a exprimé sa satisfaction quant à la participation élevée des électeurs, tant nationaux qu’internationaux, ainsi qu’à la transparence du processus électoral, soulignant ainsi le respect continu de l’État de droit au Sénégal.
De plus, il s’est réjoui du bon déroulement de l’élection présidentielle du 24 mars 2024 et a félicité le Ministre de l’Intérieur, l’administration territoriale, l’administration électorale, la Commission Électorale Nationale Autonome (CENA) ainsi que les forces de défense et de sécurité pour leur travail remarquable qui a permis la conduite du scrutin dans le calme et la sérénité.
Macky Sall a également mentionné qu’il a rencontré les missions d’observateurs, au nombre de 2462, qui ont donné des retours positifs sur l’organisation du scrutin. Cela témoigne de la maturité et de la solidité démocratique du Sénégal, où, depuis l’an 2000, en 24 ans, trois alternances au pouvoir se sont déroulées dans la paix et la stabilité.
Le Chef de l’État a continué ses travaux avec son équipe en abordant la conclusion de la mission du Gouvernement et en exprimant sa satisfaction pour les réalisations accomplies dans le cadre du Plan Sénégal Émergent (PSE). Il a saisi cette occasion, représentant le dernier Conseil des Ministres de son mandat pour exprimer sa gratitude envers le peuple sénégalais pour la confiance accordée pendant douze ans à la plus haute fonction de la République.
Le président de la République a exprimé sa reconnaissance envers les pays amis, les partenaires techniques et financiers, ainsi que tous ceux qui l’ont soutenu depuis 2012 dans son engagement envers les Sénégalais. Il a également mis en avant les réalisations importantes du Plan Sénégal Émergent dans divers domaines, soulignant ainsi son impact positif sur la vie économique, sociale, culturelle et environnementale du pays, et son importance en tant qu’héritage pour les générations présentes et futures.
Le président de la République a également rendu hommage aux forces de défense et de sécurité, à l’administration sénégalaise, au secteur privé, aux leaders religieux et coutumiers, ainsi qu’aux jeunes, aux femmes et à toutes les forces actives du pays. Il a appelé à poursuivre les efforts pour construire un Sénégal pacifique, réconcilié, prospère et solidaire.
En outre, il a discuté de la célébration de la fête nationale du 4 avril, demandant au Ministre des Forces Armées de coordonner avec les acteurs institutionnels pour garantir une organisation adéquate des événements à travers le pays.
Le chef de l’État sortant a exprimé sa satisfaction quant au déroulement de l’élection et a remercié le peuple sénégalais ainsi que les partenaires internationaux pour leur soutien. De plus, il a souligné les réalisations du Plan Sénégal Émergent et a appelé à la continuité du travail pour un Sénégal prospère et solidaire. Enfin, il a abordé la célébration de la fête nationale du 4 avril, soulignant l’importance d’une organisation adéquate des événements à travers le pays.
Le président américain Joe Biden a officiellement félicité Bassirou Diomaye Faye pour son élection en tant que prochain président du Sénégal. Dans une déclaration, il a également adressé ses vœux chaleureux au peuple sénégalais pour avoir démontré que le droit de voter et de faire compter ce vote demeure la liberté fondamentale de la démocratie.
Cette déclaration reflète la profondeur de la relation entre le Sénégal et les États-Unis, qui s’est renforcée sur plus de six décennies. Elle met en lumière les divers efforts communs entre les deux pays, notamment la lutte contre le terrorisme, la sécurité alimentaire, la crise climatique et la lutte contre la corruption, tout en veillant à ce que la démocratie bénéficie à tous.
Le président Biden exprime également son désir de renforcer ces liens dans les années à venir, tout en travaillant ensemble pour créer un avenir plus paisible et prospère pour tous.
Cette déclaration témoigne de l’importance accordée par les États-Unis au partenariat avec le Sénégal et de leur engagement à soutenir le processus démocratique dans le pays et à travers le continent africain.
Dans le cadre des festivités de Pâques et de la Korité, l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis prend des mesures pour permettre à ses étudiants de célébrer ces événements religieux dans les meilleures conditions. Ainsi, les cours seront suspendus pendant une période de 18 jours, du jeudi 28 mars jusqu’à la reprise prévue le lundi 15 avril 2024 à 08 heures.
Cette décision de suspendre les cours vise à permettre aux étudiants et au personnel de l’université de se consacrer pleinement aux célébrations religieuses de Pâques et de la Korité. Les amphithéâtres de l’UGB seront donc fermés pendant cette période, offrant ainsi une pause bien méritée à la communauté universitaire.
Cette initiative témoigne de l’engagement de l’UGB à respecter et à soutenir les pratiques religieuses de ses étudiants et de son personnel, tout en favorisant un environnement propice à la diversité culturelle et religieuse. La reprise des cours le 15 avril permettra à chacun de revenir rafraîchi et motivé pour poursuivre ses études et ses activités académiques dans les meilleures conditions.
Le délégué général au Pèlerinage à La Mecque, Dr Aboubacar Sarr, dévoile les grandes innovations mises en place pour le Hajj 2024, marquant ainsi une étape significative dans l’organisation de ce rituel majeur pour les musulmans sénégalais.
Tout d’abord, Dr Sarr souligne le changement de calendrier pour les inscriptions au pèlerinage, qui désormais doivent être finalisées avant la fin du mois de Ramadan. Cette avancée vise à éviter les problèmes logistiques et à assurer une meilleure gestion des pèlerins. Cette année, les inscriptions ont été ouvertes dès le 25 décembre, un nouveau processus pour les Sénégalais, mais qui touche à sa fin.
En ce qui concerne le nombre de pèlerins, la Délégation générale au pèlerinage (DGP) approche de son objectif de 1 860 pèlerins, avec seulement les voyagistes privés qui poursuivent leurs inscriptions. Dr Sarr encourage donc tous ceux qui souhaitent accomplir le Hajj cette année, en particulier ceux qui prévoient de voyager dans le secteur privé, à s’inscrire avant la clôture des inscriptions.
Parmi les grandes nouveautés, le délégué général annonce une décentralisation partielle des procédures, avec la possibilité pour les pèlerins de réaliser les examens médicaux et les paiements bancaires dans leur région d’origine, en partenariat avec le ministère de la Santé et la Banque islamique. Cette approche vise à réduire les rassemblements massifs à la DGP et à faciliter les démarches pour les pèlerins.
De plus, une durée limitée du séjour à La Mecque est prévue, avec pour objectif d’éviter les dépenses excessives et de permettre aux pèlerins de retourner rapidement dans leur pays. Cette mesure répond également aux besoins de certains fonctionnaires ou professionnels qui préfèrent reprendre rapidement leurs activités après le Hajj.
Enfin, une autre innovation majeure concerne le transport des pèlerins, avec la participation de deux compagnies aériennes, y compris la compagnie nationale Air Sénégal. Cette diversification des options de transport offre plus de flexibilité aux pèlerins et renforce la collaboration avec les compagnies aériennes sénégalaises.
En résumé, les innovations introduites pour le Hajj 2024 témoignent de l’engagement continu des autorités sénégalaises à améliorer l’expérience des pèlerins et à garantir un pèlerinage plus sûr, plus efficace et plus organisé.
Serigne Mbaye Thiam, reconduit au sein du dernier gouvernement du régime de Macky Sall, détient désormais le record de longévité au sein de l’exécutif sénégalais. En tant que ministre de l’Eau et de l’Assainissement, et ancien chef du département de l’Éducation nationale, il a accumulé 12 ans de service, soit la durée correspondant aux deux mandats cumulés du Président sortant.
Cette remarquable longévité au sein du gouvernement souligne la confiance et l’estime que lui ont témoignées successivement deux administrations présidentielles. Serigne Mbaye Thiam a su faire preuve de compétence et de dévouement dans l’exercice de ses responsabilités, ce qui lui a valu cette continuité au sein du gouvernement.
Il rejoint ainsi un petit cercle de ministres ayant accompli une telle performance. Avant lui, des figures emblématiques telles que Robert Sagna, qui a occupé plusieurs fois des postes ministériels sous les présidences de Senghor et d’Abdou Diouf, ont marqué l’histoire politique du Sénégal par leur longévité au pouvoir.
Le maintien de Serigne Mbaye Thiam dans le gouvernement souligne également l’importance de l’expérience et de la stabilité au sein de l’appareil gouvernemental, surtout dans des postes clés tels que l’éducation et l’assainissement. Sa capacité à s’adapter aux défis en constante évolution et à apporter des solutions durables en font un pilier essentiel de l’administration publique sénégalaise.
Alors que le Sénégal entre dans une nouvelle ère politique avec l’élection d’un nouveau président, Serigne Mbaye Thiam incarne la continuité et la persévérance dans le service public. Son record de longévité témoigne de son engagement envers le développement et le progrès de son pays, et son expérience continue d’être un atout précieux pour le gouvernement et pour le peuple sénégalais.
Faisant suite à l’élection du nouveau Président de la République, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA) félicite le peuple sénégalais d’avoir encore une fois montré à la face du monde que le Sénégal est une grande Nation, que ses hommes et ses femmes le sont davantage, à travers leur maturité, leur tolérance, leur sens de l’acceptation de l’État de Droit et de la démocratie.
L’ADHA félicite le tout nouveau Président de la République, ainsi que l’ancien Président Monsieur Macky SALL pour avoir organisé les élections dans les meilleurs délais, avec une organisation matérielle satisfaisante dans l’ensemble.
L’ADHA félicite par ailleurs tous les autres candidats qui étaient en compétition et qui ont su reconnaitre la victoire de la coalition DIOMAYE PRÉSIDENT 2024 dès les premières heures suivant la clôture des opérations électorales.
L’ADHA invite ensuite toutes les forces vives de la nation à accompagner le nouveau Président de la République, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, pour une prise de fonction honorable.
Enfin, l’ADHA annonce qu’un mémorandum qui reprendra les points jugés essentiels ainsi que les possibles réformes qui s’imposent afin d’opérer une rupture, sera présenté à la future nouvelle équipe gouvernementale, en guise de contribution sur les attentes les plus cruciales du peuple Sénégalais.
Fait à Dakar, le 27 Mars 2024
Le Bureau exécutif de l’Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA)
Dans un Sénégal vibrant d’espoir et de dynamisme, la promesse du changement s’incarne dans l’ascension politique du Président Bassirou Diomaye Faye. Sa récente élection est le reflet d’un peuple en quête d’équité et de justice, aspirant à remodeler le paysage politique et économique du pays.
Le Sénégal, avec son économie en croissance, fait face à des défis structurels significatifs. La répartition des richesses et des opportunités économiques reste un sujet de préoccupation, avec une tendance observée où les ressources nationales sont souvent gérées par une fraction de la population. Cette situation a contribué à un déficit public de 6,5% en 2022 et à une augmentation de la dette nationale à 75% du PIB. Ces indicateurs soulignent l’importance d’une gestion budgétaire plus équilibrée pour assurer un développement durable et inclusif pour tous les Sénégalais
La violence économique, résultat de cette disparité, est de plus en plus rejetée par les citoyens. Les urnes ont parlé, appelant à un changement radical face à un État budgétivore où moins de 200 000 fonctionnaires (171 634 agents en 2023 avec une masse salariale de 1 273 milliards) absorbent une part significative du budget national, laissant le secteur informel, qui représente 97% des entreprises, dans une précarité persistante.
L’élection du Président Bassirou Diomaye Faye marque un tournant dans l’histoire politique du Sénégal. Au-delà de la personne du nouveau président, elle traduit le désir ardent de la majorité des Sénégalais de mettre fin à des pratiques ancrées : le “took mouy dokh”, la captation des ressources par une minorité politique et sociale. Ces pratiques ont longtemps alimenté une économie de privilèges et d’exclusion.
La victoire du Président Faye, avec plus de 75% des voix concentrées sur les deux candidats de tête, révèle une volonté populaire de voir émerger un duel politique clair, signe d’une maturité démocratique grandissante. Cette physionomie des résultats appelle à une réorganisation du jeu politique, axée sur l’efficience et la rationalisation des ressources. Un contrôle rigoureux du financement politique et une structuration du pôle de l’opposition sont impératifs pour assurer une gouvernance transparente et responsable.
Le poids de la jeunesse sénégalaise, véritable bombe à retardement, ne peut être ignoré. Ces jeunes, qui ont majoritairement rejeté l’ancien régime, aspirent à une économie dynamique et inclusive. Il est crucial de favoriser l’adaptation des formations professionnelles aux besoins réels de l’économie et d’impulser un élan de consommation locale pour stimuler la production interne.
Enfin, la citoyenneté sénégalaise se trouve à un point d’inflexion. L’engouement des jeunes et leur expression populaire constituent une base solide pour construire un sentiment national fort. À partir de cette effervescence, il est possible de développer de nouveaux réflexes axés sur la propreté, le civisme et l’ordre, répondant ainsi aux besoins quotidiens des Sénégalais.
Alors que le Sénégal se tient à l’aube d’un renouveau, le mandat confié au Président Faye porte en lui le potentiel de transformer radicalement notre pays. Nous lui souhaitons de réussir à réconcilier les Sénégalais, et de relever les immenses défis qui se dressent sur son chemin.
La ville de Pikine, au Sénégal, est le théâtre de tensions exacerbées suite à la mort tragique de Mouhamed Diop, également connu sous le nom de Taya. Alors que la communauté pleure la perte de leur proche, la colère et la frustration se sont transformées en actes de violence et d’incendie criminel.
Après l’inhumation de Mouhamed Diop, des amis et des proches ont exprimé leur douleur en attaquant le commissariat de police local. Leur révolte, alimentée par le désir de justice, a rapidement dégénéré en affrontements violents avec les forces de l’ordre. Des véhicules ont été vandalisés et incendiés, plongeant la région dans le chaos.
La famille de la victime, confrontée à cette tragédie, a lancé un appel pressant pour que justice soit rendue. Ils réclament une enquête approfondie sur les circonstances entourant la mort de Mouhamed Diop et demandent que les responsables de cet acte soient traduits en justice. Pour eux, il est impératif que la lumière soit faite sur cet événement douloureux et que les coupables soient tenus pour compte.
Cependant, la situation reste tendue à Pikine, avec une communauté secouée par la violence et l’injustice. Les autorités locales travaillent sans relâche pour rétablir l’ordre et apaiser les tensions, tout en promettant une enquête rigoureuse sur l’incident.
Dans ce climat de désarroi et de désolation, la quête de justice de la famille de Mouhamed Diop reflète le besoin urgent de réponses et de réparation au sein de la communauté. Alors que Pikine cherche à se remettre de ces événements tragiques, l’appel à la justice résonne comme un cri de détresse pour une communauté en deuil.
L’ambassade des États-Unis au Sénégal a réagi à la victoire de Bassirou Diomaye Faye lors de l’élection présidentielle, exprimant sa volonté de collaborer avec le nouveau gouvernement sénégalais.
Sur X, l’ambassade a déclaré : « Nous sommes prêts à travailler avec le nouveau gouvernement du Sénégal », soulignant ainsi leur disposition à établir une relation de coopération avec l’administration dirigée par Bassirou Diomaye Faye.
Dans leur message, les États-Unis ont félicité le président élu Faye pour sa victoire électorale, tout en saluant la participation du peuple sénégalais à un processus électoral pacifique, transparent et inclusif. Cette reconnaissance de l’engagement démocratique du Sénégal souligne l’importance accordée par les États-Unis à la stabilité et à la démocratie en Afrique de l’Ouest.
En affirmant leur disponibilité à travailler avec le nouveau gouvernement sur des priorités communes, l’ambassade des États-Unis témoigne de son engagement envers le renforcement des relations bilatérales entre les deux pays. Cette coopération pourrait notamment concerner des domaines tels que la sécurité, le développement économique, la santé publique et d’autres enjeux régionaux et internationaux.
La réaction positive des États-Unis à la victoire de Bassirou Diomaye Faye souligne l’importance de la stabilité politique et de la bonne gouvernance pour les relations internationales. Alors que le Sénégal s’apprête à entamer un nouveau chapitre avec un président élu, cette volonté de collaboration internationale offre des perspectives encourageantes pour l’avenir du pays.
Abdoulaye Sow et ses partisans ont accepté leur défaite lors de l’élection présidentielle, mais affirment qu’ils poursuivront le combat politique dans l’opposition aux côtés de l’Alliance pour la République (APR). Cette réaction fait suite à la victoire de Bassirou Diomaye Faye dès le premier tour du scrutin.
Le ministre de l’Urbanisme, du Logement et de l’Hygiène publique a exprimé son respect pour la démocratie sénégalaise et a salué le président sortant, Macky Sall. Il a également rendu hommage à tous les membres des comités électoraux qui ont travaillé ardemment. Abdoulaye Saydou Sow a félicité les partis alliés de Benno Bokk Yaakar et les responsables de la coalition Diomaye pour leur victoire.
Cependant, il a clairement affirmé que lui et ses partisans allaient continuer à jouer un rôle politique dans l’opposition. Il a tenu à saluer Sinna Amadou Gaye et Baye Cheikh Guèye, principaux responsables de la campagne victorieuse, tout en soulignant leur intention de continuer à défendre leurs idées politiques au sein de l’opposition.
De même, Abdoulaye Willane, repris par Dakarmatin, a également imputé la défaite de leur camp aux querelles internes au sein de Benno Bokk Yaakar. Il a affirmé sa loyauté envers le Parti socialiste (PS) et s’est dit prêt à collaborer avec les autres alliés de Benno pour poursuivre leur engagement politique.
Ces déclarations soulignent la détermination des perdants à rester actifs sur la scène politique et à continuer à défendre leurs idéaux dans le cadre de l’opposition. Alors que le Sénégal célèbre une transition pacifique du pouvoir, ces propos mettent en lumière la vitalité de la démocratie et la diversité des voix politiques dans le pays.
À Ndiaganiao, la population est empreinte de fierté suite à l’élection d’un de leurs concitoyens à la plus haute fonction de l’État. Dans un communiqué adressé à Seneweb, le maire, les conseillers municipaux ainsi que l’ensemble des habitants de la commune de Ndiaganiao expriment leur fierté de voir l’un des leurs accéder à la présidence de la République du Sénégal.
Le communiqué souligne que Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar Faye, élu président de la République du Sénégal le 24 mars 2024, est originaire du village de Ndiandiaye, situé dans la commune de Ndiaganiao. Cette élection est donc perçue comme un honneur pour toute la commune, qui se réjouit du parcours et de la réussite de l’un de ses fils.
Au nom de toute la communauté, le maire de Ndiaganiao adresse ses félicitations au nouveau président et lui souhaite plein succès dans sa nouvelle mission. Les habitants de la commune expriment leur volonté de soutenir Bassirou Diomaye Diakhar Faye dans ses nouvelles fonctions et l’assurent de leurs prières et de leur accompagnement tout au long de son mandat.
Cette déclaration témoigne de l’unité et de la solidarité au sein de la commune de Ndiaganiao, ainsi que de la reconnaissance de la communauté envers l’un de ses membres qui a atteint des sommets dans sa carrière politique. Alors que le nouveau président prend ses fonctions, il bénéficie du soutien et des encouragements de sa communauté d’origine, ce qui renforce le lien entre lui et les habitants de Ndiaganiao.
Cheikh Thioro Mbacké a tenu à exprimer sa satisfaction à l’égard du ministre de l’Intérieur pour son rôle lors du récent scrutin présidentiel. En tant que coordonnateur de l’ex-Pastef à Touba, il a salué les efforts déployés par Mouhamadou Makhtar Cissé, soulignant qu’il a réussi le pari de l’organisation de ce scrutin crucial pour le pays.
Cette déclaration de satisfaction témoigne de la reconnaissance du travail accompli par le ministre de l’Intérieur dans la planification et la gestion du processus électoral. Mouhamadou Makhtar Cissé a su relever les défis logistiques et organisationnels pour assurer le bon déroulement du scrutin présidentiel, malgré les contraintes et les enjeux inhérents à une telle opération.
La réussite de ce scrutin est cruciale pour la démocratie sénégalaise, et le rôle du ministre de l’Intérieur dans son organisation revêt une importance capitale. En saluant son engagement et son efficacité, Cheikh Thioro Mbacké reconnaît l’importance d’une administration électorale compétente et professionnelle pour garantir des élections libres, justes et transparentes.
À travers cette déclaration, Cheikh Thioro Mbacké exprime également sa confiance dans les institutions chargées de l’organisation des élections et renforce l’unité autour du processus démocratique au Sénégal. Alors que le pays entre dans une nouvelle ère avec l’élection d’un nouveau président, il est essentiel de souligner le travail acharné des acteurs impliqués dans la conduite de ce processus électoral.
Bassirou Diomaye Diakhar Faye est le nouveau président de la République du Sénégal, et depuis son élection le 24 mars dernier, les messages de félicitations affluent de partout. Parmi ceux-ci, les États-Unis se sont exprimés, affirmant leur volonté de travailler en collaboration avec le nouveau gouvernement sénégalais.
L’ambassade des États-Unis au Sénégal a félicité le président élu Faye pour sa victoire électorale et le peuple sénégalais pour sa participation à un processus électoral pacifique, transparent et inclusif. Dans un communiqué publié ce mercredi, l’ambassade a déclaré : « Nous sommes prêts à travailler avec le nouveau gouvernement du Sénégal sur nos priorités communes ».
De même, le bureau des Affaires africaines des États-Unis a exprimé ses félicitations au nouveau chef de l’État pour sa victoire électorale au Sénégal. Sur les réseaux sociaux, il a salué les millions de Sénégalais qui ont participé au processus électoral et a reconnu le rôle crucial de la commission électorale et du pouvoir judiciaire dans la préservation de la Constitution sénégalaise.
Ces messages de félicitations et d’engagement à coopérer soulignent l’importance des relations entre les États-Unis et le Sénégal, ainsi que leur désir commun de travailler ensemble sur des questions d’intérêt mutuel. Alors que Bassirou Diomaye Diakhar Faye entame son mandat présidentiel, ces déclarations témoignent de l’ouverture à la collaboration et au partenariat entre les deux pays.
Dakar Dem Dikk (DDD) suspend temporairement ses services de transport dans la banlieue, suite à un incident survenu mercredi dernier. La direction de cette société de transport public a pris cette décision afin de limiter les dommages et d’identifier les responsables de l’attaque contre l’un de ses nouveaux bus.
Selon les explications fournies par la direction de DDD, le mercredi 27 mars 2024, l’un de leurs bus a été pris pour cible lors d’un incident impliquant des jeunes et la police à Pikine. Le véhicule a été attaqué, caillassé, puis incendié, dans ce qui est décrit comme un acte de vandalisme regrettable. La société de transport condamne fermement cet incident et appelle à la retenue de la part des populations.
Cet événement fait suite à des manifestations de jeunes Pikinois réclamant justice après le décès tragique de Seydina Mouhamed Diop, un homme de 33 ans. Les manifestants accusent la police d’être responsable de sa mort, affirmant qu’il aurait été battu à mort lors d’une altercation avec les forces de l’ordre.
Face à cette situation tendue, Dakar Dem Dikk a jugé nécessaire de suspendre temporairement ses activités dans la banlieue, en attendant que la situation se calme et que les responsabilités soient établies. Cette mesure vise à garantir la sécurité des passagers et du personnel de la société, tout en évitant tout nouvel incident.
En attendant des développements ultérieurs, la suspension du réseau de transport dans la banlieue souligne l’impact des tensions sociales sur les services publics essentiels, mettant en lumière la nécessité d’une résolution pacifique des conflits et d’un dialogue ouvert entre toutes les parties concernées.
Après la proclamation des résultats provisoires de l’élection présidentielle plaçant Bassirou Diomaye Faye à la tête du pays, le président du parti Bes du niakk, Serigne Mansour Sy Djamil, s’est joint à de nombreux acteurs politiques, religieux et de la société civile pour adresser ses chaleureuses félicitations au nouveau président de la République.
Dans une note adressée à Bassirou Diomaye Faye, Serigne Mansour Sy Djamil lui présente ses meilleurs vœux de succès dans l’exercice de ses nouvelles fonctions au service du peuple sénégalais. Il exprime sa confiance en Allah SWT, espérant que sa sagesse infinie l’aidera à diriger le pays avec bienveillance, compétence et intégrité.
Dans ce contexte crucial pour le Sénégal, le président de Bes du Nakk exprime son espoir sincère que le mandat de Bassirou Diomaye Faye soit marqué par la prospérité, le progrès social et la concorde nationale. Il réaffirme également son engagement pour la démocratie, la justice et le développement du pays.
Serigne Mansour Sy Djamil tient également à saluer le peuple sénégalais pour son comportement civique exemplaire tout au long du processus électoral. Cette démarche témoigne de l’importance de l’unité et de la coopération de tous les acteurs pour assurer un avenir meilleur pour le Sénégal.
En adressant ses félicitations à Bassirou Diomaye Faye, Serigne Mansour Sy Djamil marque ainsi son soutien au nouveau président tout en rappelant l’importance des valeurs démocratiques, de la justice et du développement pour l’avenir du pays.
À l’approche de la passation de pouvoir et de l’arrivée du président élu Bassirou Diomaye Faye, les partisans de l’ex-Pastef ont lancé un défi citoyen ambitieux intitulé « Dakar Ville Propre et Colorée ». Animés par un fort sentiment patriotique et déterminés à marquer le début d’une nouvelle ère, ces citoyens ont décidé de prendre en main l’embellissement de la capitale sénégalaise.
Sous le slogan inspirant « Impossible n’est pas patriote », les membres de la coalition gagnante, regroupés sous le label DiomayePrésident, veulent symboliser leur engagement en faveur du renouveau en appliquant le vrai sens du patriotisme. Ils considèrent que la propreté et l’attrait esthétique de la ville constituent des éléments essentiels pour accueillir dignement le nouveau président et pour témoigner de leur attachement à leur patrie.
L’objectif de cette initiative est clair : rendre Dakar propre et accueillante avant le 2 avril, date de la passation de pouvoir. Cependant, au-delà de cette échéance historique, les partisans de l’ex-Pastef ont l’intention de démocratiser et de pérenniser cette action de nettoyage, baptisée « set-setal », dans toutes les régions du Sénégal. Ils souhaitent ainsi exprimer leur profond attachement à leur patrie et contribuer activement à son développement.
Pourtant, ces citoyens déplorent le manque de liberté d’expression dont ils ont souffert par le passé, comme en témoigne l’interdiction d’une précédente action visant à sauver des vies en organisant un don de sang. Malgré ces obstacles, ils restent déterminés à faire entendre leur voix et à agir pour le bien-être de la communauté.
Afin de mobiliser un large soutien pour cette initiative citoyenne, un appel est lancé sur les réseaux sociaux pour inviter tous les Sénégalais à se joindre à cette journée de nettoyage. La date reste à définir, mais l’engagement et la volonté de contribuer à un changement positif sont déjà palpables.
En somme, « Dakar Ville Propre et Colorée » incarne l’esprit de solidarité et de responsabilité citoyenne qui anime les partisans de l’ex-Pastef. Leur défi est non seulement de transformer leur environnement immédiat, mais aussi de participer à la construction d’un Sénégal meilleur, où chacun peut contribuer à façonner un avenir plus lumineux et prospère.
Après le récent scandale impliquant 6 milliards de francs CFA, Orabank se retrouve à nouveau au centre d’une affaire financière retentissante. Cette fois, selon les révélations de L’Observateur, un montant de 400 millions a été détourné du compte Wave au sein de l’établissement financier.
Selon les informations fournies, 11 suspects ont été appréhendés par la Division des investigations criminelles (DIC) et inculpés pour une série de délits, notamment l’association de malfaiteurs, le vol aggravé, l’intrusion frauduleuse dans un système bancaire, le faux et l’usage de faux en écritures privées de banque, ainsi que la complicité de ces mêmes chefs d’accusation.
L’enquête a été déclenchée suite à une plainte déposée par le directeur juridique et contentieux d’Orabank, Aliou Watt. Les investigations ont révélé que plusieurs membres du groupe de malfaiteurs étaient titulaires de comptes bancaires dans l’établissement, avec comme cerveau présumé le chef d’agence d’Orabank de Diamniadio, E. C. Dia.
Selon le mode opératoire détaillé par L’Obs, le chef d’agence aurait transféré les fonds volés dans 14 comptes différents afin d’éviter de soulever des suspicions chez les contrôleurs. Les clients de la banque étaient alors en mesure de retirer l’argent détourné. Par exemple, l’un des détenteurs de compte, P. D. Ka, aurait reçu un virement de 28 millions.
Lorsqu’il a été interrogé par son gestionnaire de compte sur l’origine de cette somme, le suspect a prétendu qu’elle provenait des États-Unis. Il aurait ensuite utilisé une partie de cet argent pour acheter un véhicule, avant de confier le reste à un ami, S. Keita, pour éviter les questions embarrassantes de son gestionnaire de compte. Ce dernier a été arrêté sur place par les autorités.
D’autres individus, tels que S. I. Sarr, A. Ciss, et G. O. A. Simba, également arrêtés, sont accusés d’avoir reçu des sommes allant de 7 à 27 millions.
Ce nouveau scandale financier secoue une fois de plus le secteur bancaire et soulève des questions sur la sécurité des fonds déposés dans les institutions financières. Il met également en lumière l’importance d’une surveillance accrue et de mécanismes de contrôle plus rigoureux pour prévenir de tels abus à l’avenir.
Suite à l’élection du président Bassirou Diomaye Faye et à son engagement en faveur du développement agricole, le Syndicat national des techniciens et travailleurs de l’agriculture du Sénégal (SYNTTAS) exprime son soutien tout en appelant à des réformes profondes dans la gouvernance du secteur agricole.
Le SYNTTAS reconnaît l’importance accordée à l’agriculture dans le programme du nouveau président, mais souligne la nécessité d’un changement de paradigme et de ruptures significatives dans la gestion du secteur. Parmi les mesures proposées, le syndicat appelle à une meilleure implication des services déconcentrés dans l’identification des gros producteurs pour une gestion transparente des subventions des intrants agricoles.
En outre, le SYNTTAS réclame un audit exhaustif de l’ensemble du personnel du ministère de l’Agriculture, avec la participation du syndicat, afin d’assurer une gestion efficace des effectifs et la mise en place d’un programme de régularisation des contractuels. Cette démarche vise à garantir une administration plus efficiente et à répondre aux besoins du secteur agricole de manière plus adéquate.
Parallèlement, le syndicat demande la reprise immédiate des négociations avec les partenaires sociaux pour une prise en charge correcte de leurs revendications, notamment la généralisation de l’indemnité de logement et la mise en place des fonds communs. Ces mesures sont essentielles pour améliorer les conditions de travail des travailleurs agricoles et assurer leur bien-être.
En conclusion, le SYNTTAS félicite le président Bassirou Diomaye Faye pour son élection et adresse ses félicitations au peuple sénégalais pour son engagement en faveur de la démocratie et de la paix. Tout en exprimant son soutien au nouveau président, le syndicat appelle à des réformes audacieuses pour un secteur agricole plus dynamique, transparent et inclusif, au service du développement économique et social du Sénégal.
Des scènes de violence ont éclaté ce mercredi à Pikine, où des affrontements violents ont opposé des jeunes manifestants aux forces de l’ordre. Ces événements surviennent suite à des allégations selon lesquelles la police aurait battu à mort l’un des leurs.
La tension a atteint son paroxysme lorsque des individus en colère, accusant la brigade de Pikine d’être responsable de cette tragédie, ont pris pour cible un bus de la compagnie Dakar Dem Dikk, l’incendiant dans un geste de représailles.
Ces affrontements soulignent les profondes tensions et le mécontentement au sein de la population de Pikine, exacerbés par des allégations de brutalité policière et d’abus de pouvoir. Les manifestations et les émeutes qui en résultent mettent en lumière les préoccupations croissantes concernant le respect des droits de l’homme et la justice sociale dans la région.
La situation demeure volatile et évolutive, avec des informations supplémentaires attendues dans les heures à venir. Il est crucial que les autorités locales et nationales agissent avec diligence pour apaiser les tensions et rechercher une solution pacifique à cette crise.
Les événements à Pikine rappellent l’importance cruciale d’une réforme policière et d’un dialogue ouvert entre les autorités et la population pour répondre aux préoccupations légitimes et restaurer la confiance dans les institutions publiques.
Le roi Mohammed VI du Maroc a formulé un message chaleureux de félicitations au président élu, Bassirou Diomaye Faye, exprimant sa détermination à renforcer le partenariat stratégique entre les deux nations.
Dans ce message transmis mardi, le souverain marocain a souligné son engagement envers la diversification et le renforcement du partenariat stratégique existant, visant à servir les jeunes générations des deux pays et à promouvoir une Afrique unie et prospère. L’Agence Marocaine de Presse (MAP) a relayé ces propositions, rapportées par l’Agence de Presse Sénégalaise (APS).
« Le peuple sénégalais vous a confié le soin de présider aux destinées de votre Nation en vous élisant, dès le premier tour, à la présidence de la République du Sénégal. Je vous félicite et vous adressez mes vœux les meilleurs de plein succès dans l’exercice de vos hautes fonctions », a déclaré le roi Mohammed VI dans son message.
Le souverain a également mis en avant les valeurs communes partagées par les peuples marocain et sénégalais, basées sur une tradition culturelle et spirituelle solide qui a toujours été au cœur des relations bilatérales.
« Le lien privilégié qui unit le Maroc et le Sénégal est un héritage précieux que nos deux pays ont toujours su honorer. Vous pouvez compter sur la fidèle disposition du Roya
Une nouvelle situation urgente s’ajoute aux défis du président nouvellement élu, Bassirou Diomaye Faye. L’ONG Horizon sans frontières (HSF) a sonné l’alarme sur le sort précaire des Sénégalais en détresse au Maroc.
Dans un appel pressant prévu aux autorités sénégalaises, le président de l’organisation, Boubacar Sèye, a informé que ces compatriotes sont au nombre de 48, parmi lesquels figurent 6 femmes.
« Ils sont tous enfermés dans une maison à 300 km de la capitale marocaine », précise la déclaration du spécialiste des questions migratoires, rapportée par Vox Populi.
La note continue : « D’après notre interlocuteur, qui a eu au téléphone l’un d’entre eux, ils seraient très fatigués et très mal nourris depuis des jours. Ils souhaitent que tous soient rapatriés ».
Cette situation critique nécessite une action rapide et coordonnée des autorités sénégalaises pour assurer la sécurité et le bien-être de ces concitoyens en détresse. Leur rapatriement et leur prise en charge doivent être une priorité absolue.
Il est également essentiel que la communauté internationale soit sensibilisée à cette situation et apporte son soutien pour garantir un dénouement rapide et à cette crise humanitaire.
Le président Bassirou Diomaye Faye et son gouvernement sont appelés à agir promptement pour venir en aide à ces Sénégalais en détresse au Maroc et à prendre les mesures nécessaires pour prévenir de telles situations à l’avenir.
La victoire contre le Chili (3-2) ne fait pas oublier la déconvenue contre l’Allemagne (2-0), mais l’équipe de France a réagi, mardi à Marseille, pour son dernier match amical avant de se tourner vers l’Euro-2024.
Tout n’a pas été parfait, avec encore un départ manqué coûtant un but de Marcelino Nuñez (6), un match quelconque de Kylian Mbappé, sifflé par une partie du Vélodrome, et de nouvelles frayeurs en défense.
Mais les Bleus ont marqué de jolis buts par Youssouf Fofana (19), Randal Kolo Muani (25) et Olivier Giroud (73), son 57e en sélection, et rendu une copie plus convaincante que contre l’Allemagne, samedi. Ce n’était pas difficile.
C’est une victoire « importante car on a pris une petite claque contre l’Allemagne », pour le défenseur Ibrahima Konaté. « Il fallait finir en beauté, même s’il y a eu du déchet, on garde le positif et la victoire ».
Les hommes de Didier Deschamps bouclent leur mois de mars sur une victoire, avant la liste pour l’Euro, dévoilée à la mi-mai.
Elle est connue pour l’essentiel des 23 joueurs, mais certains ont marqué des points à Marseille, à commencer par les deux premiers buteurs.
Youssouf Fofana a égalisé d’une frappe enveloppée du gauche, sur un ballon décalé par Mbappé, son seul coup d’éclat d’une performance terne.
Excellent Kolo Muani
Le Monégasque a signé son troisième but en 17 sélections, des buts marqués sur ses quatre derniers matches, signe de sa montée en puissance. Il avait déjà fait apprécier sa puissante frappe de balle pour égaliser en Grèce (2-2), cette fois du droit.
Kolo Muani aussi avait marqué à Athènes, où il avait ouvert le score, et il a signé son troisième but en Bleu en 15 sélections d’un maître coup de tête en sautant bien au-dessus de la charnière chilienne, sur un bon centre de Théo Hernandez.
« Ah, vous ne l’aimez pas Kolo, vous êtes trop sévère avec lui », déplorait Deschamps en novembre.
Excellent, RKM a réalisé son meilleur match en Bleu. Il avait déjà amorcé l’action du premier but, a offert le troisième à Giroud et a été un poison constant pour la défense sud-américaine, qui a commis de nombreuses fautes pour le stopper.
Mais la défense a encaissé deux buts pour la troisième fois d’affilée.
Au rayon des mauvaises nouvelles, on peut ajouter les deux joueurs sortis sur blessure en première période, Jonathan Clauss et Eduardo Camavinga.
Encore deux buts encaissés
Le premier qui avait une chance de défendre à domicile sa candidature au poste d’arrière-droit titulaire, n’a joué que dix minutes, avant de sortir blessé derrière la cuisse gauche.
Il a laissé sa place à son concurrent, Jules Koundé (11), guère plus incisif qu’à Décines.
La sortie de Clauss est un coup dur pour l’Olympique de Marseille, déjà décimé avant le clasico contre le Paris Saint-Germain dimanche.
Le cheville gauche de Camavinga a tourné sur un tacle de Mauricio Isla, Marseillais en 2015-2016. Le Madrilène a été remplacé par un autre ancien de l’OM, Mattéo Guendouzi (44), ovationné par le Vélodrome.
Le stade a aussi salué un dribble d’Alexis Sanchez (5) qui portait les couleurs de l’OM la saison dernière.
Juste après, les Bleus se sont montrés trop passifs, laissant Mauricio Isla centrer pour Nuñez et l’ouverture du score. Contre la Mannschaft, ils avaient encaissé le premier but au bout de sept secondes, cette fois ils ont tenu un peu plus de cinq minutes…
Mais les Français, étrennant leur deuxième maillot, blanc à fines rayures bleues, ont repris le contrôle du match et renversé le score.
La « Roja » a contesté jusqu’au bout, avec notamment un tir d’Eduardo Vargas sur le poteau (50) et un but de Dario Osorio (82) sur un mauvais renvoi de la défense française.
Certes, le Chili n’est pas un adversaire du calibre de l’Allemagne, mais cette victoire, avec ses bémols, fait du bien au moral avant de plonger vers l’Euro dans un peu plus deux mois.
« Pour être performant en juin, il faudra faire beaucoup plus », a conclu Deschamps.
Mardi lors du match France-Chili, Kylian Mbappé a été sifflé par une partie des supporters marseillais. Cela n’a pas plu à Didier Deschamps, qui a qualifié cela de décevant.
Kylian Mbappé a de nouveau fait chou blanc lors de la victoire de la France contre le Chili (3-2), après sa mauvaise performance contre l’Allemagne (0-2) trois jours plus tôt.
Le capitaine de l’équipe de France a été sifflé par les supporters lors du deuxième match, qui s’est déroulé au Vélodrome, le stade de l’Olympique de Marseille, rival honni du PSG
Après le coup de sifflet final, Didier Deschamps a admis qu’il était déçu de l’attitude des supporters à l’égard de la star française : « Je ne suis pas surpris, malheureusement. Tout le monde connaît la rivalité avec le PSG et le match qu’il y a dimanche. Ça ne devrait pas arriver, c’est l’équipe de France, c’est le capitaine. Après, ce n’est pas tout le stade non plus. Mais ce n’est pas spécifique à Marseille. Ailleurs en province, d’autres joueurs ont pu être sifflés. En compétition, ici, il n’y a pas de soucis. Mais ça ne devrait pas. Allez, je vais être gentil : c’est décevant, pour ne pas dire autre chose. »
Mbappé est actuellement le troisième meilleur buteur de l’histoire des Bleus, avec 46 buts en 77 matches, juste derrière Thierry Henry (51 en 123) et Olivier Giroud (57 en 131), qui a marqué l’un des trois buts contre les Chiliens.
COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU MERCREDI 27 MARS 2024 Le Conseil des ministres s’est tenu ce mercredi 27 mars 2024 au Palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Macky SALL. A l’entame de sa communication, le Président de la République a salué le bon déroulement de l’élection présidentielle du 24 mars 2024, en félicitant le Ministre de l’Intérieur, l’administration territoriale, l’administration électorale, la CENA, ainsi que les forces de défense et de sécurité dont l’engagement et le travail de qualité ont permis la tenue du scrutin dans le calme et la sérénité. Le Chef de l’Etat s’est aussi félicité de la forte mobilisation des électeurs sur l’étendue du territoire national et à l’étranger, ainsi que de la transparence du scrutin qui confirment que le Sénégal demeure un Etat de droit. Le Président de la République est aussi revenu sur l’audience qu’il a accordée aux missions d’observateurs, au nombre de 2462, et qui ont porté une appréciation positive sur l’organisation du scrutin, confirmant ainsi la maturité et l’ancrage républicain de la démocratie sénégalaise, qui va connaître, depuis 2000, en 24 ans, trois (3) alternances au pouvoir qui se sont déroulées dans la paix et la stabilité. Le Chef de l’Etat a également réitéré ses félicitations au candidat Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, élu au premier tour Président de la République du Sénégal, le 5ème du Sénégal indépendant. En vue de l’installation dans les meilleures conditions du nouveau Président de la République élu, le Chef de l’Etat a demandé au Gouvernement, au Ministre, Secrétaire général de la Présidence de la République et au Ministre, Secrétaire général du Gouvernement de faire prendre toutes les dispositions requises pour assurer, notamment, la préparation des dossiers de passation de pouvoirs. Poursuivant sa communication sur la fin de mission du Gouvernement et sa satisfaction du travail accompli avec la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent, le Chef de l’Etat a saisi l’occasion de ce dernier Conseil des Ministres de son magistère, pour remercier le peuple sénégalais qui lui a fait confiance durant douze années, à la plus haute fonction de la République. Le Président de la République a, en outre, remercié et félicité les pays amis, les partenaires techniques et financiers, l’ensemble des Gouvernements, son Cabinet, le Secrétariat général de la Présidence de la République et toutes les personnes civiles et militaires qui l’ont accompagné, depuis 2012, dans son action au quotidien au service des sénégalaises et des sénégalais. Le Chef de l’Etat a rappelé sa satisfaction quant au bilan remarquable de la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent (PSE) avec des réalisations fondamentales dans tous les secteurs de la vie économique, sociale, culturelle et environnementale. Ce qui constitue un legs notable aux générations actuelles et futures. Le Président de la République a, enfin, rendu un vibrant hommage aux forces de défense et de sécurité, à l’administration sénégalaise dans toutes ses composantes, au secteur privé, aux notabilités religieuses et coutumières, aux jeunes, aux femmes et à toutes les forces vives de la Nation qui doivent continuer à travailler ensemble pour un Sénégal apaisé, réconcilié, résilient, prospère et solidaire. Revenant sur la célébration de la Pâques, le Chef de l’Etat a adressé ses chaleureuses félicitations et sa solidarité à la communauté chrétienne, à l’occasion de la Semaine sainte, et de la célébration de la Pâques. Sur le climat social, le suivi et la gestion des affaires intérieures, le Président de la République a évoqué la célébration de la fête nationale du 4 avril, en demandant au Ministre des Forces armées, de prendre toutes les dispositions avec les acteurs institutionnels concernés, pour la bonne organisation de la levée des couleurs au palais de la République et les célébrations sur l’étendue du territoire national. Dans sa communication, le Premier Ministre a rendu un hommage appuyé et formulé ses remerciements sincères à l’endroit du Chef de l’Etat et à l’ensemble des membres du gouvernement qui, avec loyauté, force et détermination, se sont évertués, sans relâche, à la mise en œuvre des orientations du Président de la République. Le Premier Ministre est aussi revenu sur le bilan élogieux du Chef de l’Etat à la tête du Sénégal, fait de progrès incontestables et de réalisations majeures au grand bénéfice des populations.
AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES • le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait une communication sur la situation internationale et le bilan de l’action diplomatique du Président de la République ces douze dernières années ; • le Ministre de l’Agriculture, de l’Equipement rural et de la Souveraineté alimentaire a fait une communication sur le suivi de la campagne de commercialisation de l’arachide 2023/2024, la campagne de contre saison froide 2023/2024, les exportations de produits horticoles et le matériel agricole.
AU TITRE DES TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES Le Conseil a examiné et adopté : • le projet de décret fixant les règles d’organisation et de fonctionnement de l’Office des forages ruraux (OFOR) ; • le projet de décret portant composition et fonctionnement du Conseil consultatif des Arts, des Lettres et de la Culture ; • le projet de décret portant dénomination du Lycée scientifique d’excellence de Diourbel, « Lycée scientifique d’excellence Abdoul Aziz Wane de Diourbel »; • le projet de décret portant dénomination du Lycée d’intégration nationale pour l’équité et la qualité (LINEQ) de Sédhiou « Lycée d’intégration nationale pour l’équité et la qualité Moctar Kébé de Sédhiou » ; • le projet de décret portant dénomination du Lycée d’intégration nationale pour l’équité et la qualité (LINEQ) de Kaffrine « Lycée d’intégration nationale pour l’équité et la qualité Momar Talla Cissé de Kaffrine » ; • le projet de décret portant dénomination du Lycée d’intégration nationale pour l’équité et la qualité (LINEQ) de Ndioum « Lycée d’intégration nationale pour l’équité et la qualité Ibra Mamadou Wone de Ndioum » ; • le projet de décret portant dénomination du Lycée de Coki « Lycée Sacoki Ndiaye de Coki » ; • le projet de décret portant dénomination du Lycée d’enseignement général de Kolda sis au quartier Bouna Kane à Kolda « Lycée Alassane Oumar Baldé de Kolda ».
Toni Kroos, dont le contrat devait expirer le 30 juin 2024, restera finalement à Madrid pour une année supplémentaire.
Le Real Madrid a profité de la trêve internationale pour traiter le dossier Toni Kroos. Selon Fabrizio Romano, l’international allemand s’est mis d’accord verbalement avec le club pour prolonger d’un an, soit jusqu’en 2025.
Après plusieurs jours de négociations, Kroos et le géant espagnol ont enfin trouvé un terrain d’entente. Il ne reste plus que la signature du joueur, ce qui ne saurait tarder.
Kroos réalise une excellente saison avec les Merengue. Il a disputé 38 matches depuis le début de la campagne, pour 1 but et 7 passes décisives.
Le joueur de 34 ans est arrivé à Madrid à l’été 2014 en provenance du Bayern. Dix ans plus tard, il a encore beaucoup à offrir à l’entrejeu du Real.
Les résultats provisoires de l’élection présidentielle du 24 mars 2024 ont été annoncés par la Commission nationale de recensement des votes, confirmant la victoire de Bassirou Diomaye Faye dès le premier tour avec une solide majorité.
Selon les chiffres communiqués par la commission, Bassirou Diomaye Faye a remporté un total de 2 434 751 voix, représentant une impressionnante proportion de 54,28% des voix exprimées. Cette performance électorale remarquable consacre la popularité et le soutien dont bénéficie le nouveau président élu parmi les électeurs sénégalais.
Ces résultats viennent consolider la position de Bassirou Diomaye Faye en tant que leader politique émergent, prêt à prendre les rênes du pays pour répondre aux défis et aux aspirations de la population sénégalaise. Sa victoire dès le premier tour témoigne de la confiance accordée par les citoyens en sa capacité à diriger le pays vers un avenir meilleur.
Cette élection marque un moment historique pour le Sénégal, avec l’élection d’un nouveau président qui devra faire face à une multitude de défis, allant de la gestion de l’économie à la promotion de la justice sociale et de la stabilité politique. Les attentes sont élevées, mais Bassirou Diomaye Faye semble avoir reçu un mandat fort et clair de la part du peuple sénégalais.
Alors que le pays se prépare à une nouvelle ère sous la présidence de Bassirou Diomaye Faye, il est crucial que tous les acteurs politiques et la société civile s’unissent pour soutenir les efforts visant à promouvoir le progrès et le développement dans le respect des valeurs démocratiques et des droits fondamentaux.
En conclusion, la victoire écrasante de Bassirou Diomaye Faye au premier tour de l’élection présidentielle de 2024 témoigne de sa popularité et de sa légitimité en tant que nouveau leader du Sénégal. Les défis à relever sont nombreux, mais avec le soutien du peuple, il est prêt à guider le pays vers un avenir meilleur et plus prometteur.
Une photo datant de 2016, récemment ressurgie sur les réseaux sociaux, offre une perspective fascinante sur les parcours politiques des personnalités sénégalaises qui y figurent. Parmi elles, Bassirou Diomaye Faye, aujourd’hui élu président de la République, est au centre de l’attention, entouré d’Ousmane Sonko, Birame Souleye Diop, Djiby Ndiaye et de l’archevêque de Dakar.
Cette image, empreinte de sourires et de camaraderie, semble capturer un moment de détente et de complicité entre ces figures politiques. Les visages radieux témoignent d’une ambiance chaleureuse, où les échanges et les rires ont probablement animé la séance photo.
Cependant, le destin a réservé à chacun de ces hommes des trajectoires politiques remarquables depuis lors. Huit années se sont écoulées depuis cette capture, et Bassirou Diomaye Faye, autrefois simplement présent sur cette photo, est aujourd’hui investi de la plus haute fonction de l’État sénégalais.
Cette évolution, de la simple présence sur une photo à la présidence de la République, souligne la nature imprévisible et dynamique de la vie politique. Elle témoigne également des opportunités et des défis que peut offrir l’engagement politique dans un pays démocratique comme le Sénégal.
La signification de cette photo s’en trouve magnifiée par le contexte actuel, alors que Bassirou Diomaye Faye s’apprête à prendre les rênes du pays. Elle symbolise non seulement son parcours personnel, mais aussi les transformations profondes qui surviennent dans la vie politique sénégalaise.
À travers cette image, on peut contempler l’évolution des destins individuels, mais aussi méditer sur les implications plus larges de l’engagement politique. Elle rappelle que dans le domaine de la politique, chaque instant peut être un tournant décisif, et que chaque individu peut jouer un rôle crucial dans la direction prise par son pays.
Ainsi, cette photo devient un témoignage vivant de l’histoire politique du Sénégal et une invitation à réfléchir sur le chemin parcouru et celui qui reste à parcourir.
L’opposant Bassirou Diomaye Diakhar Faye, âgé de 44 ans, a été officiellement déclaré vainqueur de l’élection présidentielle qui s’est déroulée le 24 mars au Sénégal. La Commission nationale de recensement des votes a proclamé mercredi les résultats provisoires du scrutin, attribuant à Faye un pourcentage de 54,28 % des voix.
Son adversaire principal, le candidat du pouvoir sortant, Amadou Ba, a obtenu la deuxième place avec un score de 35,79 %, selon les résultats annoncés par la Commission qui a siégé à la Cour d’appel de Dakar.
Les résultats officiels et définitifs de l’élection présidentielle seront annoncés dans les prochains jours par le Conseil constitutionnel. Cette étape sera suivie par la prestation de serment du président élu et la passation officielle du pouvoir avec le président sortant, Macky Sall, dont le mandat prend fin le 2 avril.
Le scrutin, qui a vu la participation de plus de 7,3 millions d’électeurs, a mis en lice dix-neuf candidats pour élire un cinquième président de la République. La Commission nationale de recensement des votes a rapporté un taux de participation provisoire de plus de 61,30 %, soulignant ainsi l’engagement citoyen et l’intérêt pour le processus démocratique au Sénégal.
La victoire de Bassirou Diomaye Diakhar Faye marque un tournant politique majeur dans l’histoire du Sénégal, ouvrant la voie à une nouvelle ère de gouvernance. Les attentes sont grandes quant aux projets et aux politiques que son administration mettra en place pour répondre aux défis socio-économiques du pays et pour promouvoir le bien-être de ses citoyens.
La démocratie sénégalaise continue ainsi de s’affermir, avec des élections libres et transparentes qui permettent aux citoyens de choisir leurs dirigeants en toute liberté et dans le respect des principes démocratiques fondamentaux.
Le 22 mars 2024, une étape cruciale a été franchie dans le renforcement de la coopération entre la Direction générale des Douanes (DGD) et la Direction générale des Impôts et des Domaines (DGID) du Sénégal. Cette journée a été marquée par la visite du Dr Mbaye Ndiaye, Directeur général des Douanes, à la DGID, où il a rencontré Abdoulaye Diagne, Directeur général des Impôts et des Domaines. Cette rencontre a été l’occasion de célébrer les liens solides entre les deux administrations et de consolider leur partenariat à travers la signature d’un Protocole d’accord sur les échanges automatisés de données.
Dans un contexte de transition fiscale vers une fiscalité intérieure, cette collaboration revêt une importance capitale. Elle se caractérise par des avancées significatives en matière de transmission des données et de contrôle conjoint, facilitées par la plateforme d’interconnexion DGD-DGID, communément appelée « banque de données fiscales ». Cette plateforme numérique novatrice compile les données des Douanes sur les importations et exportations, ainsi que les informations financières et comptables de la DGID sur ses contribuables.
Depuis sa création en 2011, la Brigade mixte de Contrôle Impôts et Douanes (BMCID) joue un rôle crucial dans le contrôle du respect des régimes fiscaux et douaniers, ainsi que dans l’examen de l’utilisation des acquisitions exonérées. La BMCID renforce le dispositif institutionnel de collaboration entre la DGD et la DGID, contribuant activement au Comité de suivi hebdomadaire des recettes du Ministère de l’Économie, des Finances et du Plan.
La mutualisation des procédures dans la lutte contre la fraude renforce l’efficacité des administrations fiscale et douanière. Le Prélèvement de Conformité fiscale (PCF) permet à la DGID de régulariser les personnes ne respectant pas leurs obligations déclaratives et de paiement.
Dans un environnement complexe marqué par l’interdépendance croissante et la découverte de ressources gazières et pétrolières, le renforcement de la collaboration entre la DGID et la DGD est une nécessité. Les actions envisagées incluent l’automatisation de l’échange des données, l’extension des missions de la BMCID à des secteurs stratégiques et le renforcement des capacités des agents de la BMCID.
Ce rapprochement s’inscrit dans le thème de l’Organisation Mondiale des Douanes (OMD) pour l’année 2024 : « pour une Douane mobilisant ses partenaires historiques et nouveaux autour d’objectifs clairs ».