Suite à l’enquête de la Brigade de protection sur la pouponnière « Ker Yeurmandé » et sa propriétaire, Ndella Madior Diouf, des révélations choquantes ont émergé, jetant une lumière crue sur des pratiques horribles au sein de l’établissement.
Les enquêteurs ont visé Ndella Madior Diouf pour plusieurs chefs d’accusation graves, notamment les « homicides involontaires, maltraitance d’enfants, mise en danger de la vie d’autrui, exercice illégal de la profession de médecin, ouverture et exploitation d’une pouponnière sans autorisation administrative, traite de personnes, etc. »
Au cours de son audition, l’assistant de Ndella Madior Diouf, Cheikh Tidiane Ndiaye, a révélé avoir assisté la « docteur » lors de trois accouchements. Des noms de bébés, tels que « Youssou Ndour », « bébé Akon », « bébé Zouleika Ndella Madior Diouf », « bébé Mouhamed Samba Ndiobéne Ka », « bébé Maréma », et « bébé Bijou Ngoné I » sont cités parmi ceux décédés dans des conditions atroces.
Les révélations incluent la dissimulation du corps sans vie de « bébé Akon » dans une bassine remplie de glace, et l’incertitude quant à la localisation des bébés « Madické Niang », « Mbaye Dièye Faye 1 » et « Reine de Saba ».
Enfin, une nounou a révélé l’utilisation d’un biberon avec de l’eau de robinet mélangée à du sel pour nourrir les bébés. Ndella Madior Diouf et ses complices font l’objet de poursuites pour association de malfaiteurs et complicité des autres chefs d’accusation, et une ouverture d’une information judiciaire est prévue
À la clôture du dépôt des dossiers de candidature au Conseil constitutionnel pour l’élection présidentielle de 2024, le nombre de prétendants a considérablement diminué. Alors que 266 individus avaient initialement retiré les fiches de parrainages, seulement une cinquantaine s’est effectivement présentée pour le dépôt des dossiers.
Cette baisse notable s’explique en partie par des désistements spontanés, où certains candidats ont choisi de ne pas poursuivre leur candidature. Cependant, la plupart des retraits se sont faits de manière discrète, sans annonce officielle.
Le processus de sélection a déjà commencé avec le versement de la caution de 30 millions de francs CFA. Sur les 266 candidats initiaux, seuls 77 ont effectivement versé la caution, indiquant une première réduction du nombre de prétendants
La commune de Diourbel, au cœur du Sénégal, a franchi une étape cruciale dans son développement en adoptant un budget record de 2 907 996 233 francs lors d’une session du conseil municipal tenue ce mardi. Cette allocation financière marque une augmentation significative de plus de 7 millions par rapport à l’exercice précédent, soulignant l’engagement continu de la commune à répondre aux besoins croissants de sa population et à soutenir le développement local.
Les autorités municipales considèrent cette hausse budgétaire comme une réponse proactive aux défis auxquels la communauté est confrontée. Les dépenses prévues couvriront une gamme étendue de domaines, englobant l’éducation, la santé, les infrastructures, et d’autres services publics essentiels. Cette diversification témoigne de la volonté de la municipalité de promouvoir un développement intégré et équilibré, prenant en compte les besoins variés de ses résidents.
L’adoption de ce budget historique reflète les efforts concertés des responsables locaux pour optimiser l’utilisation des ressources financières au profit de la collectivité. Les autorités municipales se sont engagées à assurer une gestion transparente et efficace de ces fonds, renforçant ainsi la confiance des citoyens dans la gouvernance locale.
Les membres du conseil municipal soulignent l’importance de la participation active de la population aux consultations publiques et aux discussions sur l’affectation de ces fonds. Cette démarche démocratique vise à garantir que les besoins et les priorités de la communauté sont pris en compte dans le processus décisionnel.
En adoptant ce budget substantiel, la Mairie de Diourbel pose un jalon significatif dans son engagement envers le bien-être de ses habitants et la promotion du progrès local. Ce geste démontre la volonté de la commune d’investir judicieusement dans des projets et des services qui auront un impact durable sur la qualité de vie de ses résidents.
Lors de l' »Open press » organisé ce mardi au stade Allasane Djigo, Eumeu Sène, ancien roi des arènes, a apporté son soutien indéfectible à Boy Niang, le fils de la localité, qui s’apprête à affronter Modou Lô le 1er janvier prochain. Battu à deux reprises par Modou Lô lui-même, Eumeu Sène a exprimé sa confiance en la capacité de Boy Niang à surmonter ce défi de taille.
Eumeu Sène a symboliquement remis le drapeau de Pikine à Boy Niang, exprimant ainsi la confiance de la communauté envers le lutteur local. Malgré la renommée indiscutable de Modou Lô en tant que champion confirmé, Eumeu Sène a souligné que Boy Niang possède les qualités nécessaires pour battre n’importe quel adversaire.
Cette déclaration d’encouragement de la part d’Eumeu Sène a ajouté une dimension supplémentaire à l’événement à venir, renforçant le soutien de la communauté de Pikine à leur représentant. Le combat entre Boy Niang et Modou Lô promet d’être un spectacle palpitant, avec le poids symbolique du drapeau de Pikine confié à Boy Niang, qui tentera de décrocher le titre de roi des arènes. Les amateurs de lutte sénégalaise attendent avec impatience cet affrontement qui s’annonce épique
Arouna Sangante, défenseur international sénégalais évoluant au sein du Le Havre AC, est devenu l’une des sensations du mercato hivernal. Grâce à ses performances exceptionnelles tout au long de la saison, le joueur est désormais au centre des convoitises de plusieurs clubs européens.
L’excellent parcours d’Arouna Sangante en Ligue 2 française avec Le Havre AC a attiré l’attention de nombreux clubs du Vieux Continent. Selon les informations obtenues auprès d’Ekrem Konur, le défenseur sénégalais serait dans le viseur de plusieurs écuries européennes prestigieuses.
Parmi les prétendants intéressés par les services d’Arouna, on compte l’Olympique Lyonnais, West Ham, Fulham, Newcastle et même la Juventus, selon la même source. Cette liste illustre l’ampleur de l’intérêt suscité par le talent du joueur sur la scène européenne.
Cette attention croissante envers Arouna Sangante suggère la possibilité d’un départ vers de nouveaux horizons pour cet espoir sénégalais. Les négociations et les tractations pourraient s’intensifier dans les prochaines semaines, redéfinissant potentiellement le parcours professionnel du jeune talent sénégalais sur la scène internationale. Les amateurs de football suivront de près l’évolution de cette histoire lors du mercato.
La 24ème édition du comité de pilotage du Programme national de développement (PNDL) s’est tenue à Saly, offrant l’occasion au Ministre des Collectivités Territoriales, de l’Aménagement et du Développement des Territoires, Modou Diagne Fada, de présenter les résultats significatifs du programme en 2023.
Selon le ministre, les activités mises en œuvre dans le cadre de l’exécution des projets ont eu un impact positif sur la vie d’au moins 402 627 000 personnes réparties dans 914 villages. Un bilan impressionnant qui témoigne de l’efficacité des projets initiés dans le cadre du PNDL.
Modou Diagne Fada a souligné que 123 conventions datant de 2002 ont été honorées, représentant un montant de 2 905 000 000 FCFA. De plus, 110 nouvelles notifications ont été signées en faveur des collectivités territoriales pour un montant total de 3 547 500 000 FCFA. Ces actions témoignent d’une gestion proactive des engagements pris dans le cadre du programme.
Le Programme de Développement des Zones Prioritaires (PDZP) a également enregistré 771 sous-projets, notamment des bergeries, des poulaillers, des périmètres maraîchers et des magasins de stockage, illustrant la diversité des interventions entreprises.
En ce qui concerne les infrastructures, 484 kilomètres de linéaire de piste ont été réceptionnés, améliorant la mobilité de 402 627 personnes réparties dans les 914 villages desservis par ces pistes. Le montant de 19 897 094 784 FCFA a été décaissé au profit des entreprises, démontrant l’engagement financier sérieux du PNDL dans la réalisation de ces infrastructures.
Sur le plan financier, le programme a enregistré un taux de couverture budgétaire de 51,18%, mobilisant efficacement des ressources d’un montant de 7 350 186 600 FCFA sur un budget de 14 360 789 779 FCFA au 15 décembre 2023.
Dans le cadre de la composante « Promotion du développement territorial », 30 communes ont déployé des dispositifs pour l’insertion des jeunes dans leur tissu économique, tandis que 145 micro-entreprises fonctionnent actuellement, résultat des efforts déployés dans l’appui à la restructuration des chaînes de valeur.
Au total, 443 sous-projets d’infrastructures et d’équipements de soutien aux chaînes de valeur ont été réceptionnés en 2023, portant ainsi le nombre total à 934.
Le ministre a également abordé les défis persistants, notamment les conventions en souffrance, soulignant la nécessité de maintenir l’élan positif du PNDL pour garantir un développement continu au niveau des collectivités territoriales.
Le parti politique ex-Pastef, dirigé par Ousmane Sonko, est plongé dans le deuil suite au décès tragique d’Ibrahima Seye, Secrétaire général de Magui PASTEF dans le département de Keur Massar. La nouvelle de sa disparition a été confirmée ce mardi vers 17h, alors qu’il était hospitalisé à la suite d’une agression survenue dans le quartier Montage le 24 décembre.
Les circonstances entourant cette attaque restent floues, mais selon les informations recueillies par Seneweb, la victime aurait quitté son domicile tôt le matin pour se rendre à la mosquée lorsque les assaillants ont perpétré leur acte odieux.
La communauté politique et les membres de Magui PASTEF sont choqués par cette tragédie, perdant un membre actif et engagé. Les autorités locales et les forces de l’ordre sont appelées à faire toute la lumière sur cette agression et à traduire les responsables en justice.
Cette douloureuse épreuve met en évidence les défis sécuritaires auxquels peuvent être confrontés les membres de partis politiques et les citoyens ordinaires. La nécessité de renforcer la sécurité dans les quartiers et de garantir la protection des citoyens devient une préoccupation majeure dans le contexte actuel. La famille d’Ibrahima Seye ainsi que ses collègues et amis sont en deuil, et le pays attend des réponses rapides et efficaces pour faire face à cette tragédie.
Sadio Mané s’est illustré ce mardi soir lors de l’écrasante victoire d’Al Nassr sur Al Ittihad. L’attaquant sénégalais s’est offert un doublé alors que son équipe s’est imposée sur le score de 5 buts à 2.
Pour l’avant dernier match de l’année avec son club Al Nassr, Sadio Mané a été plus que décisif pour les Jaune et Bleu de la Saudi League Pro. Le champion d’Afrique a pris part au fulgurant succès des siens sur la formation de Karim Benzema et Fabinho, Al Ittihad (5-2). Si la star portugaise, CR7 s’est offert un doublé notamment sur penalty, Mané lui a fait trembler les filets à deux reprises (75’ et 82’) soit les deux dernières réalisations de son équipe.
Ces deux buts viennent porter le nombre de réalisations de la star sénégalaise à 8 après 17 matchs disputés en championnats. Une première partie de saison digne des meilleures saisons de sa carrière jusqu’ici alors qu’il reste un match en 2023. Al Nassr disputera son dernier match de l’année samedi prochain contre Al Taawon.
Le processus électoral au Sénégal prend une tournure intrigante avec le dépôt discret du dossier de candidature d’Ousmane Sonko au Conseil constitutionnel. Malgré le refus catégorique de la Direction générale des élections (Dge) de lui délivrer les fiches de parrainages, l’opposant a réussi à franchir cette étape cruciale.
L’information a été confirmée par Ayib Daffé, mandataire d’Ousmane Sonko, lors d’une déclaration à nos confrères de Radio France Internationale (RFI). «Nous avons bien déposé notre dossier au Conseil constitutionnel ! », a déclaré Daffé. Cependant, il reste évasif sur l’identité du dépositaire de ce dossier, gardant ainsi le mystère autour de cette démarche, tenue secrète depuis dimanche dernier. Même les journalistes postés devant le siège du Conseil constitutionnel n’ont pas pu obtenir des informations directes du mandataire officiel d’Ousmane Sonko. Cette discrétion contraste avec les pratiques habituelles où les mandataires commentent généralement le dépôt après leur sortie du bureau du greffe du Conseil. Une stratégie délibérée, semble-t-il, selon des sources du parti dissout Pastef. Selon ces sources, cette discrétion aurait pour objectif de « détourner les attentions de l’administration centrale qui a même refusé d’accepter la caution de notre candidat et les fiches de parrainage ». Cette attitude énigmatique soulève des questions sur les défis auxquels Sonko fait face dans sa quête présidentielle et les stratégies déployées pour les surmonter. Le refus de la Dge de délivrer les fiches de parrainages a été un obstacle majeur, mais le dépôt du dossier au Conseil constitutionnel suggère que l’opposant a trouvé une voie alternative pour répondre aux exigences du processus électoral. Cette situation souligne également les enjeux élevés de la campagne électorale et la détermination des acteurs politiques à naviguer dans un contexte souvent complexe et contesté. L’attente demeure quant à la réaction officielle du Conseil constitutionnel et la manière dont cette démarche particulière sera perçue par les différents acteurs politiques et la population sénégalaise. En somme, le dépôt discret du dossier de candidature d’Ousmane Sonko ajoute une dimension intrigante à la course présidentielle, mettant en lumière les défis et les tactiques utilisées dans un processus électoral en constante évolution.
L’objectif premier de cette plateforme est de fournir aux jeunes des informations essentielles, démystifiant ainsi le monde professionnel. Elle offre une panoplie de modules de formation couvrant des aspects cruciaux tels que la communication professionnelle, la gestion du temps et des compétences techniques sectorielles. Ces modules visent à armer les jeunes d’aptitudes pertinentes et à les préparer efficacement au marché du travail. La plateforme mise sur la diversité des modules pour développer les compétences clés demandées par le marché. Des formations sur mesure seront proposées, couvrant des domaines variés tels que la création d’entreprise, la gestion financière et les stratégies marketing. En favorisant l’acquisition de compétences polyvalentes, la plateforme ambitionne de créer une génération de jeunes professionnels et d’entrepreneurs compétents et confiants. Un élément central de la plateforme est sa flexibilité, permettant aux utilisateurs de suivre les modules à leur propre rythme. Cette approche autonomise les apprenants, leur permettant de concilier formation, travail, et autres engagements. Les cours interactifs, comprenant des vidéos, des quiz et des forums de discussion, garantissent une expérience d’apprentissage immersive et engageante. Chaque utilisateur bénéficiera d’un suivi personnalisé, recevant des conseils adaptés à son parcours et à ses aspirations professionnelles. Cette approche individualisée renforce l’efficacité de la plateforme en fournissant un soutien continu tout au long du parcours d’apprentissage. La plateforme sera régulièrement mise à jour pour refléter les tendances du marché du travail. Cela garantit que les utilisateurs acquièrent des compétences alignées sur les exigences actuelles et futures, assurant ainsi leur pertinence sur le marché de l’emploi. En plus des cours interactifs, la plateforme offrira une variété de ressources, notamment des documents PDF, des webinaires en direct, des podcasts, des QCM et des études de cas. Cette diversité vise à répondre aux différents styles d’apprentissage et à maximiser l’accessibilité pour tous les utilisateurs. En somme, la Plateforme d’Accompagnement en Ligne se positionne comme un catalyseur essentiel dans le renforcement de l’employabilité des jeunes, offrant une voie claire vers le succès professionnel et entrepreneurial. Grâce à cette initiative novatrice, la direction de l’emploi démontre son engagement envers la croissance et le développement de la jeunesse, élément clé pour le progrès économique et social.
Sans entrer dans les détails de sa décision, TOURE met en avant les valeurs qui lui ont valu l’amour et le respect des Sénégalais. Il exprime également sa détermination à continuer son engagement politique aux côtés de ce qu’il considère comme la « vraie opposition ».
Bien que les raisons précises de son retrait restent floues, des indices laissent entendre que des difficultés pour rassembler les parrainages nécessaires et pour payer la caution de 30 millions de FCFA pourraient être à l’origine de cette décision. Ces étapes sont cruciales pour officialiser une candidature, selon les informations recueillies sur le site Walf-groupe.com.
Seydina Oumar TOURE ne fait pas explicitement référence à ces obstacles financiers, mais appelle à la mobilisation et à la vigilance des citoyens, soulignant l’importance du respect de la loi et de la volonté du peuple. Son retrait soulève des questions sur les défis financiers auxquels peuvent être confrontés certains candidats, mettant en lumière les obstacles qui subsistent dans le processus démocratique au Sénégal. L’évolution de la situation politique sera suivie de près par les observateurs et les citoyens engagés dans le processus électoral.
Une communauté de Sénégalais en provenance du Nicaragua traverse une période de grande précarité. Ces individus, sans papiers et sans emploi, font face à des difficultés considérables pour se loger et subvenir à leurs besoins. Ils expriment ouvertement leur frustration quant au manque de solidarité de la part de leurs compatriotes, en particulier des autorités établies aux États-Unis.
Au cœur des plaintes de cette communauté se trouve un manque de solidarité de la part des Sénégalais établis aux États-Unis, une situation qui contraste avec l’entraide observée entre d’autres nationalités. Certains dénoncent même des cas d’exploitation de la part de compatriotes plus établis.
Cette situation souligne également l’importance d’un dialogue ouvert sur les problèmes auxquels sont confrontés les migrants, ainsi que la nécessité d’une solidarité accrue au sein de la diaspora sénégalaise aux États-Unis. Les autorités et les organisations de la société civile sont appelées à jouer un rôle crucial dans l’adresse de ces préoccupations et dans la création de solutions durables pour cette communauté en difficulté.
La communauté de Jaxaay est secouée par une affaire de viols présumés impliquant Oustaz Bayo, un éducateur religieux renommé dans la région. Accusé d’avoir commis des actes odieux sur neuf jeunes filles parmi les 96 pensionnaires de son établissement, Oustaz Bayo est actuellement en détention et fait face à des accusations graves.
Les détails de l’affaire, révélés par le quotidien « l’Observateur », indiquent que les examens médicaux effectués sur les victimes présumées ont mis en lumière « de multiples déchirures anciennes », témoignant silencieusement des sévices subis par ces jeunes filles âgées de 12 à 14 ans.
Malgré les preuves médicales accablantes, Oustaz Bayo nie vigoureusement toutes les accusations portées contre lui. Cependant, plutôt que de fournir des preuves tangibles en sa faveur, sa défense prend une tournure inhabituelle en lançant des menaces de malédictions envers les enquêteurs, selon des sources rapportées par « Les Echo ».
Cette stratégie de défense peu orthodoxe semble être une tentative désespérée de détourner l’attention des preuves accablantes. Les enquêteurs, cependant, n’ont pas été intimidés par ces menaces inhabituelles et ont poursuivi leurs investigations avec détermination.
À côté de la
L’affaire continue d’évoluer, et les autorités judiciaires s’efforcent de garantir que tous les faits soient éclaircis et que la justice soit rendue dans cette affaire choquante de violences sexuelles sur des mineures.
Au cours d’une cérémonie grandiose, Amadou Bâ, entrepreneur émérite et candidat à la présidence de la République en 2024, a lancé officiellement sa campagne à la jeunesse sénégalaise. Dans un discours passionné, le leader charismatique a exprimé sa vision d’un Sénégal prospère, soutenu par l’implication active et l’innovation des jeunes.
Mon ambition, c’est d’être le président de l’émergence des jeunes », a affirmé Amadou Bâ, promettant de placer la jeunesse au cœur de son programme politique. Il a souligné l’importance de l’entrepreneuriat et de l’éducation pour libérer le potentiel des jeunes, affirmant que le développement du pays dépend de l’implication active de cette génération dynamique.
Le candidat a lancé plusieurs initiatives destinées à stimuler l’entrepreneuriat chez les jeunes. Il a annoncé la création d’un fonds national pour soutenir les jeunes entrepreneurs et encourager l’innovation. « Nous devons investir dans la créativité et l’esprit d’entreprise de nos jeunes pour bâtir une économie forte et dynamique », a déclaré Amadou Bâ.
Amadou Bâ a également insisté sur la nécessité de réformer le système éducatif afin de mieux préparer les jeunes à affronter les défis du monde moderne. Il a promis d’investir massivement dans l’éducation, en mettant l’accent sur les compétences techniques et professionnelles, tout en renforçant l’accès à l’enseignement supérieur.
Dans son allocution, le candidat a appelé à l’unité nationale et à la collaboration de toutes les forces vives de la nation pour bâtir un avenir meilleur. Il a exhorté la jeunesse à s’impliquer activement dans le processus démocratique et à défendre leurs droits avec détermination.
La candidature d’Amadou Bâ a suscité un vif enthousiasme parmi les jeunes, qui voient en lui un leader capable de transformer le pays et de créer des opportunités pour leur avenir. La campagne du candidat mettra l’accent sur l’autonomisation des jeunes, la création d’emplois et le renforcement de l’économie nationale.
En conclusion, Amadou Bâ se positionne comme un catalyseur du changement, promettant de placer la jeunesse sénégalaise au cœur du développement du pays. Son engagement envers l’émergence des jeunes et son programme ambitieux font de lui un candidat à suivre de près dans la course à la présidence de 2024.
Le Parti SET (Sénégal En Tête) a dévoilé ce dimanche son candidat pour l’élection présidentielle de 2024. Il s’agit de Ousmane Sonko, leader du mouvement politique « La Patrie en Tête » depuis 2024. La décision a été annoncée lors d’une cérémonie officielle organisée dans la capitale, en présence de nombreux partisans et responsables du parti.
Le Parti SET, sous la direction charismatique de Moustanapha Guirassy, a choisi de miser sur Ousmane Sonko en raison de sa vision progressiste et de son engagement envers le développement inclusif du Sénégal. Sonko, connu pour son discours axé sur la lutte contre la corruption et l’injustice sociale, a été acclamé par les membres du parti et les sympathisants présents.
En tant que candidat officiel du Parti SET, Ousmane Sonko s’est adressé à la nation lors de son discours d’investiture. Il a déclaré : « Je suis honoré de recevoir la confiance du Parti SET pour représenter notre vision commune d’un Sénégal prospère et équitable. Notre engagement envers la transparence, la justice sociale et le développement durable guidera notre action politique. »
L’annonce de la candidature d’Ousmane Sonko a été précédée par une longue période de consultation au sein du parti. Moustanapha Guirassy, le leader du SET, a souligné l’importance de l’unité au sein du parti pour relever les défis à venir. « Nous devons tous nous unir autour de la vision de progrès et de changement que représente Ousmane Sonko. Il incarne les valeurs de la Patrie en Tête et saura conduire le Sénégal vers un avenir meilleur. »
Le SET a également dévoilé son slogan de campagne, défini comme « le célèbre la victoire de la justice et de la vérité, du magnifique et du digne de foi, du sage et du puissant. » Ce slogan symbolise la volonté du parti de promouvoir des principes éthiques et de lutter contre les maux qui entravent le développement du pays.
Ousmane Sonko a conclu son discours en appelant à l’unité nationale et à la participation citoyenne. « Ensemble, nous pouvons construire un Sénégal où chaque citoyen a sa place, où la justice prévaut, et où le progrès est partagé par tous. Je compte sur vous, chers concitoyens, pour nous rejoindre dans cette quête commune. »
Ainsi, avec l’investiture d’Ousmane Sonko, le Parti SET lance officiellement sa campagne pour l’élection présidentielle de 2024, cherchant à incarner le changement tant attendu par la population sénégalaise.
Cinq jours après les élections générales en RDC, l’armée vient d’instaurer un important dispositif militaire à Lubumbashi, fief de Moïse Katumbi, le challenger important du président sortant Félix Tshisekedi. Ce qui inquiète plus d’un habitant dans la ville du cuivre. Les autorités administratives, quant à elles, assurent que l’armée est déployée pour assurer la sécurité en cette fin d’année.
Avec notre correspondante à Lubumbashi,Denise Maheho
Depuis ce dimanche, des dizaines de militaires de la Garde républicaine sont visibles dans plusieurs endroits stratégiques de Lubumbashi. C’est notamment au cœur de la ville, à la place de la poste, à la RTNC et à l’entrée Nord de la ville ….Lourdement armés, ces soldats sillonnent certaines avenues. Ce qui inquiète Gislain Kalwa, président de la société civile locale :
« La présence renforcée des militaires crée la panique et soulève des questions. Qu’est-ce qui se passe ?Pourquoi déployer autant des militaires ? La peur gagne du terrain et cela crée de la panique».
Pour sa part, le maire de la Ville, Martin Kazembe, se veut rassurant. La population de Lubumbashi n’a rien à craindre :
« Ce sont nos militaires. Ils sont là pour assurer la sécurité. Ils remplissent leur mission régalienne pendant ces fêtes de fin d’années. La population de Lubumbashi doit vaquer paisiblement à ses activités.».
D’autres sources estiment que ce dispositif militaire est renforcé afin de barrer la route à toute réaction violente de la part des militants de Moïse Katumbi à la suite de la publication des résultats partiels de l’élection présidentielle.
Alors que l’armée a, dans son communiqué de ce dimanche, accusé la chaîne de télévision Nyota, proche de Katumbi, de diffuser des informations tendant à démoraliser et déstabiliser les militaires, ce média a formellement rejeté ces accusations.
Le bilan humain des violences du week-end dans l’État du Plateau au Nigeria a continué à s’alourdir. Lundi soir 25 décembre, les autorités locales de cet État du centre du pays évoquaient au moins 160 morts, victimes d’attaques perpétrées dans trois circonscriptions : Mangu, Bokkos et Barkin-Ladi.
Les premières violences ont été signalées samedi soir, elles se sont poursuivies dimanche et encore ce lundi. Des attaques perpétrées par des hommes armés contre des communautés rurales, selon Amnesty International Nigeria. L’organisation dénonce l’incapacité des autorités fédérales à protéger la population.
Au niveau local, d’après le président du conseil gouvernemental de Bokkos, les assaillants sont des membres de bandes criminelles, appelés au Nigeria « bandits ». Ils ont attaqué plus de vingt villages entre samedi soir et lundi matin dans sa circonscription, selon Monday Kassah.
Des attaques « coordonnées », dit-il, qui ont fait au moins 160 morts, mais aussi plus de trois cents blessés transférés vers les hôpitaux à Bokkos, de Barkin-Ladi et de la capitale de l’État du Plateau, Jos, qui se trouve au nord des circonscriptions meurtries.
Dans celle de Barkin-Ladi, un élu de l’Assemblée locale, évoquait au moins quatre villages attaqués.
Amnesty demande au président Bola Ahmed Tinubu une enquête impartiale et efficace pour comprendre ce qui a motivé ces attaques dans un État du Plateau déjà endeuillé à plusieurs reprises par le passé par des violences meurtrières entre communautés chrétiennes et musulmanes ou entre éleveurs et agriculteurs.
L’armée israélienne poursuit, ce mardi 26 décembre, ses combats à Gaza, après avoir annoncé lundi l’intensification de son offensive visant à détruire le Hamas. Le Premier ministre d’Israël, Benyamin Netanyahu, affirme que la paix ne sera obtenue que si l’enclave est « démilitarisée » et « déradicalisée ».
Ce qu’il faut retenir :
■ De nouveaux bombardements ont été menés par l’armée israélienne. Le camp de réfugiés de Nur Shams, mais aussi une maison et le secteur avoisinant l’hôpital Nasser dans la ville de Khan Younès en ont été les cibles.
■ La quasi-totalité de la population de Gaza est en situation d’insécurité alimentaire aiguë. D’ici quelques semaines, près d’un demi-million de personnes pourraient être dans une situation équivalente à la famine.
■ Après une visite à Gaza, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, a annoncé une intensification des combats et a estimé que la paix ne sera obtenue que si Gaza est « démilitarisée » et « déradicalisée »
■ Le ministère de la Santé du Hamas palestinien a annoncé, mardi 26 décembre, que les opérations militaires israéliennes dans la bande de Gaza avaient fait 20 915 morts depuis le début de la guerre, le 7 octobre, et plus de 54 918 blessés. 1140 personnes ont été tuées lors de l’attaque du Hamas du 7 octobre, selon les données fournies par le gouvernement israélien. L’armée israélienne a affirmé jeudi avoir tué plus de 2000 combattants palestiniens depuis la fin de la trêve début décembre.
14h28 : Une explosion filmée par l’armée israélienne à Tulkram, en Cisjordanie
L’agence Reuters a publié mardi 26 décembre les photos d’une explosion dans la ville de Tulkram, en Cisjordanie.
14h12 : L’ensemble des télécommunications de nouveau coupées à Gaza
La compagnie palestinienne des télécommunications, Paltel, a annoncé mardi 26 décembre une nouvelle coupure des télécommunications dans la bande de Gaza, la quatrième depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas le 7 octobre.
« Nous regrettons d’annoncer une interruption totale des services de télécommunications fixes et d’internet […] dans la bande de Gaza en raison de la poursuite de l’agression », a indiqué la compagnie dans un communiqué, ajoutant que ses équipes techniques « travaillent pour rétablir les services malgré la dangerosité des conditions sur le terrain ».
14h09 : Explosions et missiles au large du Yémen
Des explosions ont été entendues et des missiles ont été aperçus mardi 26 décembre à proximité d’un navire transitant par la mer Rouge, a indiqué l’agence de sécurité maritime britannique UKMTO.
« Des explosions ont été entendues et des missiles vus » à proximité de Hodeida, port de l’ouest du Yémen sous contrôle des rebelles yéménites Houthis, a-t-elle ajouté en précisant que le navire et son équipage étaient en sécurité. Plus tôt mardi, deux autres explosions ont retenti à proximité d’un autre navire, également au large de Hodeida, a dit l’agence maritime britannique, sans faire état de dégâts ou de victime. Ces attaques n’ont pas été revendiquées.
Ces dernières semaines, les Houthis ont multiplié les attaques près du détroit stratégique de Bab el-Mandeb, qui sépare la péninsule arabique de l’Afrique et par lequel transite 12% du commerce mondial, d’après l’International Chamber of Shipping (ICS). Les rebelles yéménites soutenus par l’Iran, ont prévenu qu’ils viseraient, en solidarité avec Gaza, des navires naviguant en mer Rouge au large des côtes du Yémen ayant des liens avec Israël.
Selon le Pentagone, les Houthis, qui contrôlent des pans entiers du territoire yéménite, dont la capitale Sanaa, ont lancé des dizaines d’attaques de drones et de missiles, ciblant 10 navires marchands impliquant plus de 35 pays. Ces attaques, menaçant de perturber les flux du commerce mondial, ont poussé les Etats-Unis à mettre en place une force multinationale de protection maritime en mer Rouge.
13h48 : L’ONU « profondément inquiète » des frappes israéliennes à Gaza
« Nous sommes profondément inquiets des bombardements continus sur le centre de Gaza par les forces israéliennes. […] Toutes les attaques doivent strictement respecter les principes du droit humanitaire international, notamment la distinction (entre civils et militaires, NDLR), la proportionnalité et la précaution », a déclaré mardi le porte-parole du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’Homme, Seif Magango, dans un communiqué.
13h42 : Israël salue la décision du Japon de geler les avoirs du Hamas
Dans un message publié sur Twitter en japonais, le ministre des Affaires étrangères israélien, Eli Cohen, a salué la décision du Japon de geler les avoirs de trois dirigeants du Hamas, Yahya Sinwar, Muhammad Deif et Marwan Isa. « Israël apprécie le ferme engagement du Japon dans la lutte contre le terrorisme », a écrit Eli Cohen.
Le Japon, qui avait immédiatement condamné les attaques menées par le Hamas le 7 octobre, s’était toutefois abstenu de qualifier l’organisation de « terroriste » comme la plupart des autres pays occidentaux.
13h34 : Une visite du président iranien en Turquie prévue début janvier
Le président iranien Ebrahim Raïssi se rendra à Ankara le 4 janvier pour rendre visite à son homologue turc Recep Tayyip Erdogan, une rencontre qui devrait être axée autour de la situation dans la bande de Gaza et en Syrie, et sur le renforcement des liens bilatéraux entre les deux pays, selon un officiel turc.
La visite du président Raïssi, prévue en novembre, avait été repoussée en raison de difficultés d’agenda, toujours selon une source officielle turque. La Turquie, qui soutient la solution à deux États au sujet du conflit israelo-palestinien, est très critique au sujet des opérations menées par Israël à Gaza. Le pays a toutefois maintenu ses échanges commerciaux avec Israël, s’attirant des critiques de la part de l’Iran.
13h15 : Un « objet volant » abattu au large du Sinaï égyptien
Un « objet volant » a été abattu au large du Sinaï égyptien frontalier d’Israël, ont rapporté mardi 26 décembre le média égyptien proche des renseignements Al-Qahera News et des témoins. La scène se serait déroulée « à deux kilomètres au large de la côté de Dahab », ville balnéaire située dans le Sinaï à 150 kilomètres au sud de la frontière avec Israël, a indiqué la chaîne de télévision Al-Qahera News. « On a entendu le bruit sourd d’une explosion provenant de la mer et on a ensuite vu un objet étrange tomber dans la mer », ont rapporté des témoins à l’AFP.
L’Egypte, médiateur historique entre Palestiniens et Israéliens et qui tient l’unique ouverture sur le monde de Gaza qui ne soit pas aux mains d’Israël, se retrouve en première ligne depuis l’attaque sanglante du Hamas en territoire israélien le 7 octobre et la riposte israélienne qui a suivi. Mi-décembre, un drone « d’origine inconnue » avait été abattu par les forces aériennes égyptiennes au large de Dahab, d’après une source sécuritaire.
13h02 : L’armée israélienne accuse le Hezbollah d’une frappe de missile dans le nord du pays
L’armée israélienne a publié sur X un message accusant le Hezbollah d’avoir tiré un missile sur une église du village d’Iqrit, au nord d’Israël près de la frontière libanaise. L’attaque aurait touché un civil, toujours selon l’armée.
12h54 : Des habitants de la bande de Gaza évacuent la zone de Bureij après l’ordre de l’armée israëlienne
12h45 : L’attaque contre un chef iranien en Syrie a fait trois autres morts, selon une ONG
Une frappe israélienne qui a visé lundi en Syrie un important commandant des Gardiens de la Révolution, l’armée idéologique de l’Iran, a fait trois autres morts, des combattants pro-iraniens, a indiqué une ONG mardi.
« Trois autres combattants pro-iraniens, un Syrien et deux étrangers, ont également été tués dans cette frappe », a indiqué L’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), basé au Royaume-Uni et qui dispose d’un vaste réseau de sources en Syrie, précise l’AFP.
12h39 : Un nouveau bilan de 20 915 morts depuis le début de la guerre, selon le Hamas
Le ministère de la Santé du Hamas palestinien a annoncé mardi que les opérations militaires israéliennes dans la bande de Gaza avaient fait 20 915 morts depuis le début de la guerre, le 7 octobre. Ce bilan comprend 241 personnes tuées lors des 24 dernières heures, a précisé le ministère, qui a également fait état de plus de 54 918 blessés depuis le 7 octobre.
12h35 : « Nous sommes dans une guerre multi-fronts », déclare le ministre israélien de la Défense
Yoav Gallant, ministre de la Défense, a déclaré qu’Israël était engagé dans « une guerre multi-fronts, et sous les assauts de sept théâtres d’opérations : Gaza, le Liban, la Syrie, la Judée-Samarie (Cisjordanie), l’Irak, le Yémen et l’Iran ».
« Nous avons déjà répliqué et mené des actions dans six de ces sept théâtres », a ajouté le ministre.
11h49 : Plus d’une cinquantaine d’arrestations par l’armée israélienne en Cisjordanie occupée, dont la députée palestinienne Khalida Jarrar
Au moins 55 personnes ont été arrêtées ce mardi matin par l’armée israélienne, parmi eux de hauts responsables mais aussi la députée palestinienne Khalida Jarrar, l’une des figures du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), arrêtée chez elle.
Députée au Parlement palestinien suspendu depuis 2007, Khalida Jarrar avait été libérée en septembre 2021 après avoir purgé une peine de deux ans dans une prison israélienne. Elle avait été arrêtée en octobre 2019 dans la foulée de la mort d’une Israélienne de 17 ans, tuée dans une attaque en Cisjordanie occupée imputée par l’armée israélienne au FPLP, mouvement d’obédience marxiste considéré comme « terroriste » par Israël, les États-Unis et l’Union européenne.
La municipalité de Tivaouane a récemment approuvé un budget de 3,6 milliards de francs CFA pour l’exercice financier de l’année 2024. Cette décision a été prise lors d’une réunion du conseil municipal, reflétant les priorités et les projets envisagés pour le développement de la collectivité au cours de la prochaine année.
Le budget, élaboré en concertation avec les autorités locales et les parties prenantes, vise à soutenir divers secteurs clés tels que l’infrastructure, l’éducation, la santé, et d’autres initiatives visant à améliorer la qualité de vie des résidents de Tivaouane.
Les détails spécifiques du budget, y compris la répartition des fonds entre les différents secteurs et projets, n’ont pas encore été divulgués dans le communiqué de presse. Cependant, cette allocation financière témoigne de l’engagement continu de la municipalité envers le développement économique, social et culturel de Tivaouane.
Les citoyens de Tivaouane ainsi que les observateurs attentifs à la gestion des collectivités locales dans la région suivront de près la mise en œuvre de ce budget afin d’évaluer son impact sur la communauté et son développement global au cours de l’année 2024.
La Marine nationale du Sénégal a réalisé une saisie spectaculaire de 690 kg de cocaïne au large de Saint-Louis, vendredi dernier. Les trafiquants, un groupe de cinq Espagnols, voyageaient à bord d’un zodiac « Go-Fast » équipé de 4 à 5 moteurs, selon des sources citées par L’Observateur.
L’intervention des marins sénégalais n’a pas été de tout repos. Les trafiquants ont refusé d’obtempérer aux sommations des autorités maritimes. Conscients de la légèreté et de la rapidité de leur embarcation par rapport aux bateaux patrouilleurs, les Espagnols ont pris la fuite en direction de l’Europe, déclenchant une longue course-poursuite en mer.
Face à cette situation, le patrouilleur sénégalais a décidé d’opter pour une méthode plus dissuasive en ouvrant le feu. Cette tactique a porté ses fruits, forçant l’équipage du Go-Fast à se rendre. Cependant, les trafiquants ont tenté de jeter à l’eau plusieurs sacs soupçonnés de contenir de la drogue. Les forces de la marine ont rapidement réagi pour empêcher cette manœuvre, prenant ainsi possession du Go-Fast.
Les cinq membres de l’équipage ont été identifiés comme J. M. C. Regual, J. Antonio, M. A. A. Corris, Is. Nogale, et J. M. M. Lorenzo. Après leur capture, ils ont été conduits à la base navale Amiral Faye Gassama. Cependant, en raison d’une prétendue maladie, ils ont ensuite été transférés dans un hôpital local pour observation. Il est prévu qu’ils soient remis aux enquêteurs de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis) ce mardi pour la poursuite de l’enquête, selon les informations de L’Observateur.
Cette opération marque une victoire significative dans la lutte contre le trafic de drogue en mer et souligne l’efficacité des forces de sécurité maritimes dans la région.
À la suite d’une enquête menée par la brigade des mœurs de la Sûreté urbaine du commissariat central de Dakar, Ndella Madior Diouf et une dizaine d’autres personnes ont été déférées ce mardi au parquet de Dakar, selon les informations fournies par Me Aboubacry Barro à Seneweb.
Le groupe en question est actuellement retenu dans la cave du tribunal de grande instance hors-classe de Dakar, en attendant de comparaître devant le procureur de la République. Les détails précis concernant les charges retenues contre Ndella Madior Diouf et les autres individus ne sont pas encore disponibles.
L’enquête menée par la brigade des mœurs s’inscrit probablement dans le contexte des affaires liées aux comportements ou activités contraires aux normes sociales et morales. L’implication de Ndella Madior Diouf, personnalité publique et animatrice, pourrait attirer une attention particulière sur cette affaire.
Cette situation soulève des interrogations quant à la nature exacte des faits reprochés et à l’issue judiciaire potentielle de cette affaire. Les prochains développements seront surveillés de près par le public et les médias alors que l’affaire est portée devant le parquet de Dakar.
Ramallah, Cisjordanie – L’armée israélienne a appréhendé mardi la députée palestinienne Khalida Jarrar, une éminente figure du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), à son domicile à Ramallah. Agée de 60 ans, Jarrar avait été libérée en septembre 2021 après avoir purgé une peine de deux ans dans une prison israélienne.
Son arrestation en octobre 2019 était liée à une attaque en Cisjordanie occupée, attribuée au FPLP, au cours de laquelle une jeune Israélienne de 17 ans avait perdu la vie. Le FPLP, qualifié de « terroriste » par Israël, les États-Unis et l’Union européenne, a réagi en dénonçant une « vaste campagne d’arrestations » visant ses dirigeants et membres en Cisjordanie.
L’armée israélienne a confirmé l’arrestation de Khalida Jarrar, la qualifiant de « cheffe du FPLP » en Cisjordanie et la recherchant pour des accusations de « terrorisme ». Cette arrestation s’inscrit dans le cadre d’une intensification des actions de l’armée israélienne en Cisjordanie depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza le 7 octobre. Depuis cette date, environ 4 700 Palestiniens ont été arrêtés, selon le Club des Prisonniers.
Cette nouvelle arrestation ravive les tensions dans la région déjà marquée par les récents événements. Les autorités israéliennes attribuent la guerre dans la bande de Gaza à une attaque du Hamas, tandis que le bilan des pertes côté palestinien, fourni par le ministère de la Santé du Hamas, recense plus de 20 600 morts, principalement des civils, en grande partie des femmes, adolescents et enfants. La situation demeure tendue, et les arrestations de personnalités politiques palestiniennes continuent de susciter des inquiétudes quant à l’évolution de la stabilité régionale.
Ayib Daffé, le mandataire d’Ousmane Sonko, a annoncé le dépôt du dossier de candidature de ce dernier au Conseil Constitutionnel, malgré l’absence de certains documents requis. La fiche de parrainage de la Direction Générale des Elections (DGE) et le quitus de la Caisse des Dépôts et des Consignations (CDC) manquaient. Ousmane Sonko a choisi de laisser le sort de sa candidature entre les mains des sept sages du Conseil Constitutionnel, dirigés par Mamadou Badio Camara.
Dans le passé, le Conseil Constitutionnel s’est penché sur des cas similaires, offrant des précédents susceptibles d’influencer le verdict à venir. Seybani Sougou, expert en Marchés Publics, souligne que les entraves posées par l’administration ne devraient pas constituer un obstacle juridique à la recevabilité de la candidature d’Ousmane Sonko, se basant sur une décision datant du 15 avril 1998 (Décision N°/E/3/98, du 5 avril 1998, Insa Sankharé, Mandataire R.P.J.S.). À l’époque, le Conseil Constitutionnel avait validé la candidature du Rassemblement pour le Progrès, la Justice et le Socialisme malgré l’absence d’un récépissé du Trésor Général.
Un autre précédent récent, la décision n°9/C/2023 du 14 décembre 2023, pourrait également jouer en faveur d’Ousmane Sonko. Salif Saney, professeur de droit à l’Université Gaston Berger, estime que cette décision est un « bon augure » pour Sonko. Il fait référence à une affirmation selon laquelle « un constat d’huissier, établi après que le requérant ait accompli toutes les diligences utiles, peut remplacer le refus de l’administration de livrer des documents demandés. »
Ngouda Mboup, juriste proche de PASTEF, ajoute que la jurisprudence constante du Conseil Constitutionnel justifie une réponse justifiée et motivée, permettant de déclarer recevable la candidature d’Ousmane Sonko. Il souligne que le Conseil constitutionnel a régulièrement précisé que les refus et agissements de l’administration non-imputables au(x) concerné(s) doivent conduire au rétablissement de leurs droits.
Le sort de la candidature d’Ousmane Sonko repose désormais entre les mains des sages du Conseil Constitutionnel, qui devront évaluer les arguments présentés et se prononcer sur la recevabilité de sa candidature à l’élection présidentielle de 2024. Le dénouement de cette affaire sera suivi de près par la population sénégalaise, alors que le pays se prépare pour un scrutin crucial.
Keur Massar, Sénégal – A. Diouf, M. D., et B. T., trois résidents de Keur Massar, ont été appréhendés lors d’une tentative de retrait frauduleux d’une somme colossale de 100 millions de francs CFA à partir d’un chèque dérobé au groupe hôtelier Decameron Baobab, basé à Somone. L’incident a été rapporté par L’Observateur, qui a relayé les détails de l’arrestation.
Selon les informations recueillies, les trois amis ont été interceptés par les agents de la Brigade de recherche de Keur Massar au moment où ils tentaient de valider la transaction douteuse dans une agence de la Cbao. Le chèque en question avait été volé au sein du groupe hôtelier Decameron Baobab, ajoutant une dimension de criminalité complexe à l’affaire.
Les suspects ont été immédiatement placés en détention et ont comparu devant le tribunal des flagrants délits de Pikine-Guédiawaye le vendredi dernier. Les chefs d’accusation auxquels ils font face sont particulièrement sérieux, incluant « association de malfaiteurs », « tentative d’escroquerie », « vol », « faux et usage de faux en écriture privée de banque », ainsi que « l’usage de chèque volé ».
La justice se prononcera sur le sort des accusés le mercredi 27 décembre. Le dénouement de cette affaire retient l’attention de nombreux citoyens, alors que le tribunal évalue les preuves et détermine la culpabilité des individus impliqués dans cette affaire de fraude financière d’envergure.
L’arrestation de ce trio met en lumière les risques associés aux crimes financiers et souligne l’importance du rôle des forces de l’ordre dans la préservation de l’intégrité du système financier. L’affaire continuera d’évoluer au fil des audiences et du verdict à venir, suscitant l’intérêt du public qui attend de connaître les détails et les implications finales de cette tentative de fraude spectaculaire.
Notre candidature a été déposée ce matin au Conseil Constitutionnel. Je félicite notre mandataire national, nos délégués régionaux, tous les responsables et militants de #Mimi2024″, a-t-elle écrit, soulignant l’importance de l’effort collectif dans sa démarche présidentielle.
Au-delà de la simple officialisation de sa candidature, Mimi Touré a également souligné son engagement envers une élection inclusive et transparente. Elle a affirmé son intention de poursuivre la lutte pour garantir un processus électoral ouvert à tous et caractérisé par une transparence accrue.
Cette déclaration s’inscrit dans le contexte d’une atmosphère politique où la question de l’équité électorale et de la transparence revêt une importance cruciale. Mimi Touré, forte de son expérience en tant que première ministre, semble vouloir placer ces principes au cœur de sa campagne présidentielle.
Dans une récente apparition sur l’émission « Sous la lumière en mode CAN », Sadio Mané, la star de l’équipe d’Al Nassr, a partagé ses perspectives sur les ambitions du Sénégal de reconquérir la Coupe d’Afrique des Nations lors de l’édition 2023. Bien que l’équipe soit actuellement tenante du titre, le joueur a souligné la difficulté de cette entreprise.
Oui, nous sommes les tenants du titre, mais ça, c’est derrière nous maintenant… », a déclaré Mané, mettant en lumière la nécessité pour l’équipe nationale de se concentrer sur les défis à venir. Malgré la pression inhérente à la défense d’un titre, l’attaquant sénégalais demeure optimiste quant aux chances de son équipe.
Mané a reconnu ouvertement les obstacles qui se dressent sur le chemin de la reconquête, mais il a également souligné l’importance de rester positif. « La prochaine CAN représentera un enjeu encore plus élevé », a-t-il ajouté, laissant entendre que le niveau de compétition a évolué depuis ses débuts dans le tournoi.
Et je dirai plutôt que j’ai commencé à jouer la CAN, cette CAN sera la plus élevée », a confié Mané. Cette déclaration suggère non seulement une prise de conscience de l’intensité accrue de la compétition, mais aussi une détermination à relever le défi avec une attitude positive.
Alors que le Sénégal se prépare à affronter les meilleures équipes du continent, Sadio Mané émerge comme un leader confiant, prêt à guider son équipe vers de nouveaux sommets. La CAN 2023 promet d’être une compétition féroce, mais avec des joueurs tels que Mané à bord, le Sénégal est certainement prêt à relever le défi et à défendre son statut de champion en titre.
L’élection présidentielle sénégalaise est marquée par l’incertitude alors que les candidats déposent leurs dossiers de candidature au Conseil Constitutionnel. Ousmane Sonko, actuellement en prison, a déposé son dossier, mais il est incomplet selon les exigences du code électoral. Il aurait omis de retirer ses fiches de parrainages, rendant son dossier potentiellement inadmissible. Les 7 sages du Conseil Constitutionnel effectueront une vérification des dossiers le 27 décembre, avec un tirage au sort prévu le 28 décembre pour déterminer l’ordre de traitement des candidatures. Ousmane Sonko risque d’être éliminé de la course présidentielle si son dossier est jugé incomplet. Le contexte politique sénégalais reste tendu à l’approche des élections.
L’enquête sur l’affaire de la pouponnière Ndella Madior Diouf révèle des détails choquants. Les dernières informations indiquent qu’au moins 5 décès de bébés ont été recensés dans la pouponnière, certains sur place, tandis que d’autres ont été enterrés clandestinement. Ndella Madior Diouf aurait été impliquée dans la gestion des accouchements au sein de la pouponnière. Les policiers ont également découvert que les 48 bébés retrouvés dans la pouponnière n’avaient reçu aucun vaccin. Le personnel, qui n’était pas qualifié, a confirmé que deux nourrissons étaient décédés de dénutrition. Des révélations ont également émergé sur des avortements clandestins pratiqués dans la pouponnière, avec des demandes de paiement important pour la restitution des bébés. Ndella Madior Diouf, en garde à vue prolongée, sera déférée au parquet avec le personnel de la pouponnière aujourd’hui.
À moins de deux mois du scrutin présidentiel prévu pour le 25 février, la journée d’aujourd’hui est cruciale au Conseil constitutionnel. Les candidats déposent leurs dossiers pour évaluation de leur recevabilité, et la date limite de dépôt est fixée à minuit. Hier, les mandataires de plusieurs candidats, dont Anta Babacar Ngom, Mary Teuw Niane,
Mame Boye Diao, Ousmane Sonko, Bassirou Diomaye Faye et Mimi Touré, étaient présents pour soumettre les documents nécessaires. Le Conseil constitutionnel a également fixé la date du 28 décembre pour le tirage au sort déterminant l’ordre de traitement des dossiers, une étape cruciale pour résoudre les problèmes potentiels de doublons dans les parrainages. Cette nouvelle procédure vise à éviter les frictions et le désordre qui ont eu lieu lors de la présidentielle de 2019.
Les récentes révélations de l’enquête de la Sûreté urbaine dans l’affaire de la pouponnière ‘Keur Yeurmandé’ mettent en cause Ndella Madior Diouf de manière accablante. L’enquête indique que, sur les six bébés décédés, certains sont morts à la pouponnière, tandis que d’autres sont décédés à divers endroits tels que l’hôpital Albert Royer, Dalal Jamm, Samu Municipal ou la clinique Amitié. Les investigations montrent que ces décès ont eu lieu en octobre 2023, et les bébés ont été enterrés clandestinement. L’animateur de la radio Saphir FM, EL Sène, était chargé de l’inhumation des nourrissons, tandis que Ndella Madior Diouf signait les actes de décès à travers sa structure de santé SOS. Le scandale secoue la pouponnière et soulève des questions sur la gestion et les pratiques au sein de l’établissement.
Dans le cadre de sa candidature à l’élection présidentielle, Ousmane Sonko a déposé son dossier au Conseil constitutionnel, contournant ainsi l’administration sénégalaise qui lui refusait certains documents. Le parti Sénégal En Tête (SET) de Moustapha Guirassy a porté la candidature du maire de Ziguinchor après un parrainage parlementaire. Le dossier comprend un mémorandum détaillant les péripéties juridiques traversées par le mandataire d’Ousmane Sonko, Ayib Daffé, depuis la décision du juge du tribunal de Ziguinchor jusqu’à la récente ordonnance du tribunal de Dakar.
D’autre part, le dossier de Bassirou Diomaye, également écroué, a été déposé après un parrainage citoyen. Sa candidature est portée par une coalition. Ces développements surviennent à quelques heures de la fin des dépôts de candidature au Conseil constitutionnel, marquant une étape importante dans le processus électoral sénégalais.*
À dix-huit jours du coup d’envoi de la CAN 2023, une révélation a suscité l’indignation : le sélectionneur national, Aliou Cissé, serait sans salaire depuis six mois. Cette information a provoqué une réaction quasi générale sur les réseaux sociaux. Malgré son statut de champion d’Afrique en titre et la deuxième place du Sénégal au classement FIFA, le pays peine à respecter ses engagements envers le technicien qui a conduit l’équipe à ses plus grandes victoires en football.
Aliou Cissé, qui nourrit de grandes ambitions pour la Coupe d’Ivoire en 2024, se dit consterné par ce débat. En novembre dernier, interrogé sur ces rumeurs, il avait esquivé la question en déclarant : « Je ne veux vraiment pas parler de cela ! Je suis concentré sur la préparation pour défendre notre titre de champion d’Afrique ». La préparation des Lions débutera le 30 décembre à Dakar, avec un match amical contre le Niger le 8 janvier, la veille du départ pour Yamoussoukro, leur camp de base.
Le Sénégal évoluera dans le groupe C de la CAN, aux côtés de la Gambie (son premier adversaire le 15 janvier à 14h GMT), du Cameroun et de la Guinée.
Huit ressortissants sénégalais vivent actuellement un véritable calvaire à Tataouine, en Tunisie, où ils sont bloqués depuis plus d’un mois. L’Association internationale pour Médina-Mary (AIMM), relayée par Les Échos, rapporte cette situation désespérée et lance un appel aux autorités sénégalaises pour faciliter leur rapatriement.
Selon l’AIMM, ces huit personnes font partie d’un groupe de migrants qui a échoué en Tunisie alors qu’il tentait de rejoindre l’Europe par la Méditerranée. Parmi eux, quatre sont originaires de Tamba, deux de Sédhiou, et les deux derniers sont de Kolda et de Kaolack.
Les Échos soulignent que ces Sénégalais avaient entrepris cette expédition en compagnie de migrants gambiens, maliens et guinéens. Alors que la Gambie a déjà pris des mesures pour rapatrier ses citoyens en affrétant trois avions, les ressortissants sénégalais appellent également à une action rapide pour mettre fin à leur situation précaire en Tunisie.
La récente déclaration du dicastère pour la Doctrine de la foi autorisant la possibilité pour des prêtres catholiques de bénir des couples homosexuels a suscité des réactions au sein de l’Église sénégalaise. L’archevêque de Dakar, Mgr Benjamin Ndiaye, a tenu à apporter des précisions sur cette question, critiquant au passage le traitement médiatique qui, selon lui, a entraîné une lecture biaisée du document.
Dans une interview accordée à « Senenews », Mgr Benjamin Ndiaye a exprimé son mécontentement quant à la manière dont les médias ont interprété la déclaration du dicastère. Il a appelé à une approche plus objective, soulignant l’importance de prendre le temps de lire le document avant de formuler un avis.
« Je dois battre ma coulpe, d’abord parce qu’avant même de lire le document, j’étais pris un peu par les résumés qui sont donnés par la presse. Je me suis dit mais dans quoi le Pape nous engage encore ? Avec des controverses comme si on voulait valider le mariages des unions qui ne sont pas admises dans la vie chrétienne. Les médias nous ont fait du tort en amenant à une lecture avec œillères. Il faut donc prendre le temps de lire d’abord le document, avant de vouloir se prononcer. Et à mon avis, le document est très équilibré », a déclaré Mgr Benjamin Ndiaye dans l’entretien avec Oficom.
L’archevêque a insisté sur le fait que le Pape François n’a pas expressément pris position en faveur de la bénédiction des couples homosexuels. Il a plaidé en faveur d’une compréhension approfondie du document, mettant en garde contre des interprétations hâtives et partielles.
Dans ce contexte, Mgr Benjamin Ndiaye a qualifié le document de « très équilibré » et a souligné l’importance de comprendre la nuance apportée par le dicastère pour la Doctrine de la foi. Cette clarification de l’archevêque de Dakar vise à dissiper toute confusion potentielle et à encourager une réflexion plus approfondie sur la position de l’Église catholique concernant la bénédiction des couples homosexuels.
Le Sénégal est plongé dans une crise électorale majeure alors que des allégations explosives émergent, suggérant que la moitié des candidats à l’élection présidentielle auraient obtenu frauduleusement des parrainages par le biais d’agents corrompus. L’affaire a pris un tournant judiciaire avec l’arrestation d’Amadou Diallo, ancien opérateur de saisie à la Direction de l’autonomisation du fichier (DAF), soupçonné de tentative de manipulation du fichier électoral.
Un prétendu marché de parrainages impliquant Amadou Diallo et un individu se faisant passer pour le mandataire d’un candidat a été révélé, jetant ainsi des doutes sur l’intégrité du processus électoral. Cette affaire met en lumière les défis auxquels le Sénégal est confronté pour assurer la transparence et la légitimité de ses élections présidentielles.
Le défenseur du FC Barcelone, Jules Koundé, a exprimé son soutien à un programme sénégalais d’accompagnement des joueurs en dehors du terrain. En tant qu’ambassadeur de ce programme initié par l’organisation sénégalaise Siboo, spécialisée dans le marketing sportif, Koundé a rencontré la presse à Dakar pour partager son engagement.
Koundé a souligné l’importance de ce projet, faisant écho à ses propres expériences en tant que joueur professionnel. Il a partagé son plaisir de visiter le Sénégal pour la première fois et a mis en avant les aspects cruciaux de la formation dans le football, en particulier chez les jeunes.
Le projet lancé par Siboo vise à inspirer la jeunesse grâce à la présence d’un joueur professionnel renommé, tout en encourageant le développement communautaire par le biais du football. Jules Koundé agira en tant qu’ambassadeur pour ce programme qui marque le début d’une aventure visant à catalyser le potentiel sportif et communautaire au Sénégal.
Des responsables de l’Initiative de Réflexion et d’Action Socialiste (IRAS) ont exprimé leur colère lors d’un point de presse à Thiès. Ils ont vivement critiqué le récent congrès d’investiture du Parti socialiste, le qualifiant de farce qui ne représente pas la volonté des militants à la base. Selon l’IRAS, certains militants dévoués ont été ignorés, et leur voix a été étouffée au profit d’une manœuvre politique calculée.
Les leaders de l’IRAS estiment avoir été exclus du processus de consultations et dénoncent une absence de démocratie interne au sein du Parti Socialiste. Ils ont exprimé leur désolation face à l’érosion des valeurs progressistes et égalitaires qui étaient chères au père fondateur du parti, Léopold Sédar Senghor.
Le porte-parole de l’IRAS, Daour Sagna, a souligné que la Secrétaire générale par intérim Aminata Mbengue Ndiaye et son groupe de responsables ont livré le parti à une coalition révolue. Cette dénonciation intervient lors de la commémoration du 23ème anniversaire de la disparition de Léopold Sédar Senghor, un moment de réflexion et de recueillement pour les membres de l’IRAS.
La Confédération africaine de football (CAF) a officiellement annoncé le calendrier complet des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) 2025. Les matchs du tour préliminaire sont prévus du 18 au 26 mars 2024, tandis que le premier et le deuxième tour se dérouleront du 2 au 10 septembre 2024. Les matchs du troisième tour et du quatrième tour sont programmés du 7 au 15 septembre 2024, avec le dernier tour des qualifications prévu du 11 au 19 novembre 2024.
L’édition de la CAN 2025 se déroulera au Maroc en juin 2025, marquant le retour du tournoi dans le pays après trente-sept ans. Le Maroc avait été choisi pour organiser la CAN 2015, mais la CAF avait retiré l’organisation en raison de la demande de report de la compétition en raison de l’épidémie d’Ebola.
Les équipes nationales africaines s’affronteront avec passion dans ces éliminatoires pour décrocher leur place pour la prestigieuse CAN 2025, qui promet d’être un événement majeur dans le calendrier footballistique continental.
La tension monte chez les amateurs de football marocain alors que la liste des joueurs sélectionnés pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2023 sera dévoilée ce jeudi 28 décembre par le sélectionneur Walid Regragui. La présélection initiale de 55 noms sera réduite à 27 joueurs qui représenteront les Lions de l’Atlas lors de ce prestigieux tournoi.
Le sélectionneur devra prendre des décisions cruciales concernant des joueurs clés, notamment Noussair Mazraoui, blessé récemment, et Sofiane Boufal, éloigné des terrains depuis plusieurs mois. Les performances récentes d’Abderrazak Hamdallah, en dépit de sa saison réussie avec Al-Ittihad, suscitent également des interrogations quant à sa sélection.
L’annonce de la liste officielle sera faite lors d’une conférence de presse à l’Auditorium du Complexe Mohammed VI de Football. En parallèle, des détails sur le programme de préparation, qui devrait débuter le 2 janvier au Complexe Mohammed VI de football à Maâmora, seront également révélés.
La liste des candidats à l’élection présidentielle sénégalaise du 25 février 2024 s’allonge avec le dépôt des dossiers de plusieurs personnalités politiques. Parmi les candidats de l’opposition figurent Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko du parti dissous Pastef-Les patriotes. Les dossiers d’autres personnalités, dont Mary Teuw Niane, Anta Babacar Ngom, Thione Niang, et Aminata Touré, ont également été déposés.
Selon un proche des opposants Sonko et Faye, les dossiers ont été soumis au greffe du Conseil constitutionnel. Le mandataire de la coalition MTN2024, Tabouré Agne, a confirmé le dépôt du dossier de candidature de Mary Teuw Niane, ancien ministre, précisant que la caution a été payée par les étudiants formés par ce dernier. De même, le mandataire de la coalition soutenant Thione Niang, Youssouph Diallo, a annoncé avoir déposé le dossier avec plus de 52 000 parrains.
Anta Babacar Ngom, soutenue par le mouvement Alternative pour la relève citoyenne (ARC), a également déposé sa candidature avec succès selon un communiqué de la direction de la communication de l’ARC. Enfin, Aminata Touré a confirmé le dépôt de sa candidature en remerciant tous les Sénégalais qui l’ont parrainée.
La présidentielle de 2024 promet d’être un scrutin hautement concurrentiel avec la participation de divers candidats issus de différents horizons politiques.
Alberto Antuna, le nouveau sélectionneur des Lionnes, affiche de grandes ambitions pour l’équipe nationale sénégalaise de basketball. Il vise d’abord la qualification aux Jeux Olympiques de Paris 2024 et se montre confiant quant aux capacités de son équipe. « Je ne serais pas ici si nous ne pouvons pas battre le Nigeria », déclare-t-il, soulignant la détermination à réussir dans les prochaines compétitions.
Le technicien espagnol exprime ainsi sa confiance en la qualité et le potentiel de l’équipe sénégalaise, affirmant que la victoire contre le Nigeria est un objectif réaliste.
Dans un autre registre, l’archevêque de Dakar, Monseigneur Benjamin Ndiaye, a appelé les fidèles à travailler pour la promotion d’un pays de justice et de paix lors de la veillée de Noël à la cathédrale Notre-Dame des Victoires de Dakar. Il a encouragé la prière pour la venue du « Prince de Paix », Jésus-Christ, tout en exprimant ses vœux pour la fin du terrorisme et de la guerre, notamment dans les régions touchées par les conflits au Moyen-Orient.
La nuit de Noël a été l’occasion pour l’archevêque de prier pour une bonne gouvernance et de souhaiter que la lumière prévale sur les ténèbres au Sénégal et ailleurs dans le monde.
La fédération de football des Champions d’Afriques est fin prête pour rallier Yamoussoukro et effectuer la 30e participation du Sénégal au plus grand évènement de football dans le continent africain.
Augustin Senghor et son équipe ont tenu une réunion du comité exécutif de la FSF. A la suite de cette rencontre ils ont informe le public des dispositions prises pour la reconquête du trophée continental. « Nous allons en Côte d’ivoire avec l’ambition de conserver notre trophée. Mais en sachant que nous serons très attendus par les 23 autres nations. Nous avons pris l’habitude de bien nous préparer et nous avons passé en revue l’ensemble des activités liés aux préparatifs. Et nous avons rendu compte au Comex des réunions tenues avec le ministre des sports et son équipe. Puis qu’aujourd’hui, ce qui est important de retenir c’est qu’il s’agit d’une cellule mixte, un comité de suivi compose du ministère et de la fédération qui va être à l’œuvre pour réussir cette mission importante de conservation du trophée continentale ».
Le regroupement des Lions va démarrer le 30 décembre à Dakar. Il est prévu un dernier match amical face au Niger avant le départ pour Yamoussoukro. «Nous souhaitons que cela soit l’occasion pour nos Lions de dire au revoir au public. Nous espérons que les supporters viendront en masse pour pousser les Lions vers la victoire » explique Augustin Senghor qui espère aussi que le discours du Chef de l’Etat aux Lions lors de la cérémonie de remise du drapeau servira aussi à « galvaniser les joueurs et l’ensemble de la délégation pour rééditer la prouesse en 2022 ».
Concernant le voyage à Yamoussoukro et les mesures sur place, la FSF informe être prêt. « Tous les aspects sont maitrisés. Concernant le transport aérien nous sollicitons la compagnie nationale AIR Senegal pour un vol direct vers Yamoussoukro le 9 janvier. Pour les Lions, la CAF a choisi un hôtel que nous avons visité. Nous sommes d’ailleurs en train d’y faire le branding aux couleurs du Sénégal. Une entreprise a déjà été choisi pour cela. Sur place, nous avons pris toutes les dispositions pour bloquer les hôtels pour le reste des délégations. Avec le ministère on est en train de prendre les dispositions nécessaires pour les besoins en ticketing ».
Le vendredi 22 décembre 2023, la 3e édition des Mbour Elite Awards a distingué Guedji Diouf, Coordonnateur du cadre Unitaire de la jeunesse Départementale de Mbour (CUJEM), en tant que Jeune le plus influent du Département de Mbour.
Cette récompense vient saluer l’engagement exceptionnel de Guedji Diouf dans le développement de la jeunesse locale. À la tête du CUJEM, il a joué un rôle crucial dans la mobilisation des jeunes pour des projets sociaux et des initiatives communautaires, contribuant ainsi de manière significative au progrès de la communauté.
La soirée des Mbour Elite Awards a été l’occasion de célébrer l’excellence de Guedji Diouf, mais également de mettre en lumière le dynamisme et l’ingéniosité de la jeunesse de Mbour. L’événement a ainsi servi de vitrine pour les talents et les réussites locales, soulignant le rôle inspirant de jeunes leaders comme Guedji Diouf pour les générations futures de Mbour.
En ce mois de décembre, la capitale sénégalaise, Dakar, se métamorphose en un tableau éblouissant de lumières et de couleurs pour célébrer les fêtes de Noël. Habituée à être vibrante et animée, Dakar revêt désormais ses plus beaux atours, créant une atmosphère féérique qui transporte les habitants dans un univers magique digne des contes de Noël.
Les rues de Dakar s’illuminent d’une manière spectaculaire, transformant la ville en un spectacle visuel éblouissant. L’explosion de lumières crée une ambiance chaleureuse et festive, capturant l’esprit joyeux de la saison des fêtes.
Les habitants de Dakar et les visiteurs sont invités à se plonger dans cette magie éphémère, à déambuler dans les rues illuminées, et à profiter de l’atmosphère unique qui règne dans la capitale sénégalaise pendant cette période spéciale de l’année. Les photos témoignent de la splendeur de Dakar parée de ses décorations festives, créant ainsi des souvenirs inoubliables pour tous ceux qui ont la chance de vivre cette expérience enchantée.
Depuis plus de quinze ans, les membres du regroupement national des cheminots, anciens travailleurs de l’ex-SNCS et de l’ex-FCS, se battent pour obtenir le règlement d’un contentieux social avec l’État s’élevant à 13 milliards FCFA. Réunis en assemblée générale à Thiès, les cheminots ont exprimé leur mécontentement et ont appelé le Président de la République, Macky Sall, à intervenir en donnant des instructions au ministre des Finances et aux autorités compétentes concernées.
Les cheminots, visiblement en colère, ont décidé de mettre en place un plan d’action pour manifester leur mécontentement de manière récurrente face à une situation qui perdure depuis trop longtemps. Ils appellent à des mesures rapides pour résoudre leurs préoccupations, soulignant l’urgence d’une prise en charge de ce dossier longtemps en suspens.
Lors de cette assemblée générale, des représentants venus de différentes régions du pays ont rappelé au ministre des Finances l’annonce antérieure concernant le paiement des indemnités forfaitaires s’élevant à 13 milliards FCFA. Les cheminots exigent désormais que cette promesse soit concrétisée, mettant en avant leurs droits légitimes et leur contribution passée au fonctionnement du secteur ferroviaire.
L’année 2023 au Sénégal a été riche en événements marquants, surtout dans la sphère politique, avec des personnalités qui ont attiré l’attention par leurs discours percutants et leurs actions controversées. Seneweb offre un récapitulatif de quelques figures qui ont particulièrement animé le pays.
Moussa Bocar Thiam, le « censeur » des réseaux sociaux
En tant que ministre de la Communication, des Télécommunications et de l’Économie numérique, Moussa Bocar Thiam a été au cœur d’une décision controversée en 2023 : la restriction des réseaux sociaux. Cette mesure, prise en juillet après des violences liées à l’affaire Ousmane Sonko, a suscité des critiques pour son impact sur la liberté d’expression. La suspension de l’application TikTok demeure également, posant des questions sur sa levée après les élections présidentielles de février.
Juan Branco, l’avocat tonitruant
L’avocat franco-espagnol Juan Branco s’est révélé au Sénégal en 2023 en représentant Ousmane Sonko. Son discours fort et ses actions, y compris une plainte contre le président sénégalais pour « crimes contre l’humanité », ont attiré l’attention. Son intrusion surprise lors d’une conférence de presse a déclenché une série d’événements qui ont conduit à son arrestation et à son expulsion du Sénégal.
Les « pyromanes de la diaspora »
Le ministre de l’Intérieur, Antoine Félix Abdoulaye Diome, a pointé du doigt des citoyens sénégalais vivant à l’étranger, les accusant d’appeler à des manifestations violentes depuis leurs positions confortables. Des activistes, dont Tounkara, Mollah Morgun, et Kyz Fof, ont été cités et accusés de fournir des informations sur les déplacements des autorités sénégalaises en Europe.
Clash Ngaka Blindé vs Akhlou Brick, quand l’injure prend le pas
Le clash entre Ngaka Blindé et le duo Akhlou Brick a marqué l’année, mais plus pour les insultes proférées que pour la créativité artistique. Les « diss tracks » ont été critiqués pour leur langage vulgaire, soulignant les limites de l’acceptabilité culturelle.
En résumé, ces figures ont contribué à rendre l’année 2023 inoubliable au Sénégal, mêlant politique, justice, et divertissement avec des épisodes parfois controversés.
L’affaire entourant la réintégration d’Ousmane Sonko sur les listes électorales continue de susciter des débats houleux. Samba Sy, ministre du Travail, du dialogue social, des organisations professionnelles et des relations avec les institutions, a pris la parole pour répondre aux critiques sur le respect de la justice dans cette affaire.
Selon le ministre, les décisions de justice doivent suivre un parcours rigoureux pour être considérées comme telles. Il a réagi aux commentaires de certaines personnes affirmant que le gouvernement ne respecte pas la justice et ses décisions.
« J’entends certaines personnes que je salue, que je respecte, dirent que le Gouvernement ne respecte pas la justice et les décisions de justice. Cela me fait un peu sourire parce qu’il y a une nouvelle religion et c’est bien parce que mieux vaut tard que jamais. Cette religion maintenant de dire oui on essaie de nous fier à la justice et d’être d’accord avec elle », a déclaré Samba Sy lors d’une intervention sur Iradio.
Le ministre a souligné que la justice, bien que parfois critiquée, doit être respectée, et il a appelé à reconnaître le temps nécessaire pour que les procédures judiciaires soient menées à bien. Il a soulevé une question philosophique sur l’application du droit, même aux personnes qui choisissent de ne pas le respecter.
« Est-ce qu’il faut appliquer le droit, y compris aux gens qui ont choisi de ne pas appliquer le droit ? » a ajouté le ministre.* *Pour rappel, le Tribunal d’instance de Dakar a ordonné la réintégration d’Ousmane Sonko dans les listes électorales. Cependant, l’État a annoncé son intention de former un pourvoi en cassation, prolongeant ainsi la controverse autour de cette affaire.
Dans une démarche singulière, les figures emblématiques de l’ex-parti Pastef, Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye, ont récemment franchi une étape cruciale en déposant leurs candidatures au Conseil Constitutionnel en vue des prochaines élections présidentielles au Sénégal. Cette stratégie vise à maintenir la présence du parti dissous dans la course électorale, en espérant que l’une des deux candidatures soit validée.
Malgré l’absence de communication officielle de la part de la formation politique sur ces dépôts, des sources proches du mouvement ont révélé que cette manoeuvre tactique vise à maximiser les chances de participer au scrutin présidentiel.
Ousmane Sonko, actuellement incarcéré, fait face à des obstacles administratifs significatifs dans le processus électoral. La collecte des parrainages et le dépôt de la caution requise sont entravés, principalement en raison de controverses entourant son éligibilité, liée à son statut sur les listes électorales. Malgré les ordonnances de réinscription émises par les tribunaux de Ziguinchor et Dakar, les autorités restent inflexibles.
La démarche de Sonko, bien que courageuse, soulève des questions quant à sa capacité à surmonter ces obstacles et à participer pleinement à la compétition présidentielle.
Liste des candidats enregistrés au Conseil Constitutionnel
À la date du 24 décembre 2023, voici la liste ordonnée des individus ayant franchi cette étape cruciale :
1. Abdoulaye Sylla
2. Abdourahmane Diouf
3. Ada Coundoul
4. Aida Mbodj
5. Aliou Mamadou Dia
6. Alioune Sarr
7. Amadou Ba
8. Amadou Seck
9. Babacar Ndiaye
10. Bara Doly Mbacké
11. Bassirou Diomaye Faye
12. Birima Mangara
13. Boun Abdallah Dionne
14. Daouda Ndiaye
15. Dethié Fall
16. Hamidou Dème
17. Idrissa Seck
18. Jean Batiste Diouf
19. Karim Wade
20. Khalipha Ababacar Sall
21. Mame Boye Diao
22. Mamadou Lamine Diallo
23. Malick Gakou
24. Momar Ndao
25. Ousmane Sonko
26. Pape Djibril Fall
27. Serigne Mboup
28. Thierno Alassane Sall
L’inclusion d’Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye dans cette liste soulève des interrogations sur la manière dont les défis juridiques auxquels ils font face seront résolus dans le contexte électoral.
À mesure que la campagne électorale se profile, l’issue de ces candidatures controversées suscite l’attention nationale, ajoutant une dimension supplémentaire à un processus déjà complexe.
Kassé a débuté l’entretien en citant le philosophe allemand Nietzsche, soulignant l’importance de l’enfance en tant que « oui » absolu, un commencement dénué de tout péché. Il a exprimé sa consternation face à tout acte qui pourrait compromettre cette innocence fondamentale, mettant en évidence les circonstances qui ont mené à des situations préjudiciables pour la petite enfance.
Insistant sur le caractère sacré de l’enfant en Afrique, Kassé a expliqué que, culturellement, l’enfant représente une forme de divinité, étant encore préservé de la corruption du monde extérieur. Il a souligné la pratique de donner à l’enfant le nom du parent le plus proche, témoignant de l’affection et de l’amour pour cette nouvelle vie.
El Hadji Hamidou Kassé a plaidé pour des actions concrètes, soulignant que la protection de la petite enfance devrait être une priorité absolue pour la société sénégalaise. Il a appelé à l’unité et à la mobilisation de tous les secteurs de la société pour garantir un environnement sûr et protecteur pour chaque enfant, insistant sur le caractère sacré de cette phase cruciale de la vie.
Deux mille vingt-trois, une année tumultueuse sur le plan politique : trois procès au moins concernant Ousmane Sonko, la suppression de son parti politique et sa détention, les violences politiques et les arrestations de centaines de manifestants font partie des événements politiques mémorables de cette année.
La décision de Macky Sall de ne pas briguer un nouveau mandat présidentiel et la désignation d’Amadou Ba comme candidat de la majorité à l’élection présidentielle de 2024 font également partie des faits majeurs.
Le 30 avril, l’opposant Ousmane Sonko est condamné pour diffamation envers le ministre du Tourisme et des Loisirs, Mame Mbaye Niang. Ce dernier se plaint d’avoir été accusé, par le maire de Ziguinchor (sud), de malversations financières liées à sa gestion d’un budget destiné à créer des emplois agricoles. L’opposant est condamné en même temps à payer 200 millions de francs CFA au ministre en guise de dommages et intérêts.
Le 6 mai, Ousmane Sonko est condamné en appel à six mois de prison avec sursis pour diffamation et injures publiques et doit payer 200 millions de francs CFA au plaignant. Pour dommages et intérêts. Pour rappel, ce procès s’est tenu sans la présence du prévenu, qui a déclaré : ‘’J’ai décidé, dans le cadre de ma campagne de désobéissance civile, de ne plus collaborer avec cette justice.’’
Il sera jugé également par contumace dans une affaire judiciaire contre la jeune dame Adji Sarr. Cette employée d’un salon de beauté l’accusait depuis février 2021 de viol et de menaces de mort, des accusations dont Ousmane Sonko a été blanchi. Mais dans la même affaire, il est condamné, le 1er juin, à deux ans de prison ferme pour ‘’corruption de la jeunesse’’.
De violentes manifestations éclatent le jour où cette décision est rendue et font 16 morts, selon le gouvernement. L’organisation de défense des droits de l’homme Amnesty International parle de 23 morts, Pastef-Les patriotes, le parti politique d’Ousmane Sonko, faisant état d’une trentaine de personnes tuées.
Accusée d’avoir tiré à balles réelles sur des manifestants, la Police nationale s’en défend.
‘’Des entreprises du secteur privés du pétrole et du gaz, de la grande distribution, des télécommunications et du numérique ont été brûlées, pillées et vandalisées. Il s’en est suivi un arrêt quasi-généralisé des activités économiques pendant trois jours. Au total, des centaines de milliards de francs CFA ont été perdus en investissements et en chiffre d’affaires’’, déclare Baïdy Agne, le président du CNP, l’une des principales organisations patronales du pays.
‘’On viole la loi, on brûle et on pille’’
Les villes de Dakar, Guédiawaye, Keur Massar, Pikine, Rufisque et Ziguinchor paient le plus lourd tribut, avec le plus grand nombre de morts, d’arrestations et de pillages.
Le parquet de Dakar annonce l’arrestation de plus de 400 personnes, dont des mineurs, soupçonnées d’avoir pris part aux violentes manifestations survenues après la condamnation d’Ousmane Sonko à deux ans de prison pour ‘’corruption de la jeunesse’’.
L’année 2023 a également connu un important dialogue national auquel le chef de l’État a invité les leaders politiques, religieux et coutumiers. Le but visé est, selon lui, de décrisper la situation politique, qui a valu à l’opposition des centaines d’arrestations. Ousmane Sonko déclare que plus de 700 militants de son parti ont été arrêtés et placés en détention.
Le chef de l’opposition et d’autres leaders politiques rejettent l’appel au dialogue du président de la République en estimant que les précédents, tenus entre 2016 et 2021, n’ont servi à rien.
‘’On nous parle de dialogue. Mais celui qui a entrepris le dialogue a dit qu’on n’a pas besoin de dialoguer […] Il dit qu’il n’y a aucun problème au Sénégal, qu’il n’y a pas de prisonniers politiques, que les institutions fonctionnent bien’’, a argué M. Sonko.
‘’On viole la loi, on brûle et on pille. Tout individu qui fait cela est arrêté […] Ça n’a rien à voir avec les droits de l’homme. Personne n’est détenu au Sénégal pour ses opinions politiques’’, a soutenu Macky Sall dans une interview accordée à la Radio Futurs Médias (privée).
D’autres opposants prennent part au dialogue. Au terme de la concertation, un projet de loi est adopté le 6 août par l’Assemblée nationale pour ‘’réhabiliter’’ les responsables politiques condamnés à des peines de prison déjà purgées. Cette modification du code électoral a permis à Khalifa Sall, ancien maire de Dakar, et à l’ancien ministre Karim Wade de participer légalement au scrutin présidentiel du 25 février 2024.
La loi votée ‘’permet […] au condamné ayant purgé sa peine de recouvrer ses droits, avec sa réintégration dans le fichier électoral’’, explique le ministre de l’Intérieur aux députés.
Le 3 juillet, à la surprise de nombreux Sénégalais, Macky Sall, élu en 2012 et réélu en 2019, annonce sa décision de ne pas être candidat à l’élection présidentielle de 2024. Auparavant, il avait défendu la légalité de sa candidature en 2024.
‘’Mes chers compatriotes, ma décision longuement et mûrement réfléchie est de ne pas être candidat à la prochaine élection du 25 février 2024’’, a-t-il déclaré dans un discours diffusé par la RTS.
Cette décision de Macky Sall est saluée par de nombreux chefs d’État et de gouvernement.
‘’De lourdes conséquences’’
Le président de la République fait en même temps part de sa ferme volonté de garantir la sécurité publique et de mettre hors d’état de nuire tous ceux qui tenteraient de la compromettre.
En juin aussi, l’opposant Ousmane Sonko est cueilli de l’intérieur du pays et assigné à résidence. Son domicile fait l’objet d’un blocus pendant près de deux mois. Le 28 juillet, il est arrêté en rentrant de la mosquée de son quartier, à Dakar.
‘’Il sera poursuivi pour appel à l’insurrection, association de malfaiteurs, atteinte à la sûreté de l’État, complot contre l’autorité de l’État, actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique et à créer des troubles politiques graves, association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste, mais également vol de téléphone portable’’, annonce le procureur du tribunal de grande instance de Dakar, Abdou Karim Diop, le lendemain de son arrestation.
Les faits présumés de ‘’vol d’un téléphone portable appartenant à une gendarme […] sont juste un élément déclencheur de son arrestation qui était d’ailleurs imminente’’, précise M. Diop.
Le 31 juillet, le ministre de l’Intérieur annonce la dissolution de Pastef-Les patriotes, le parti politique du maire de Ziguinchor. ‘’Le parti politique Pastef est dissous par décret n° 2023-1407 du 31 juillet 2023’’, écrit-il dans un communiqué, ajoutant que cette formation politique ‘’a fréquemment appelé ses partisans à des mouvements insurrectionnels’’, lesquels ont engendré ‘’de lourdes conséquences incluant de nombreuses pertes en vies humaines, de nombreux blessés, ainsi que des actes de saccage et de pillage de biens publics et privés’’.
Ousmane Sonko se livre ensuite à des grèves de la faim. Le khalife général des mourides, Serigne Mountakha Mbacké, lui demande de s’alimenter et lui envoie des dattes, selon des leaders de l’opposition proches du détenu, qui ont rencontré le guide religieux. M. Sonko poursuit sa grève de la faim et est admis plusieurs fois en réanimation.
Le 9 septembre, Macky Sall met fin à un autre suspense en déclarant avoir choisi le Premier ministre comme candidat de Benno Bokk Yaakaar (BBY), la majorité présidentielle, à l’élection présidentielle de 2024. Cette décision entraîne la démission de BBY de l’ancien Premier ministre Mahammed Dionne, du ministre de l’Agriculture, Aly Ngouille Ndiaye, et du directeur général de la Caisse des dépôts et consignations, Elhadji Mamadou Diao, dit Mame Boye. Ce dernier est vite démis de ses fonctions par Macky Sall.
Ces trois personnalités, pour contester le choix fait par le leader de la majorité présidentielle, font acte de candidature. Amadou Ba, lui, entame rapidement des tournées économiques, que certains analystes considèrent comme une campagne électorale anticipée.
Une vive polémique
Plusieurs mois après l’arrestation d’Ousmane Sonko s’ouvre un retentissant procès au cours duquel ses avocats plaident sa réintégration dans le fichier électoral. Le 12 octobre, un tribunal de Ziguinchor annule sa radiation du fichier électoral et ordonne sa réintégration. Cette décision est ‘’cassée’’ et ‘’annulée’’ par la Cour suprême, le 17 novembre.
Chargé à son tour de juger l’affaire, le tribunal hors classe de Dakar prend la même décision que celui de Ziguinchor, mais la Direction générale des élections continue de refuser au mandataire de l’opposant, le député Mohamed Ayib Daffé, la fiche et les autres outils avec lesquels l’opposant en prison doit faire collecter des parrains en vue de sa candidature à l’élection présidentielle.
Au milieu de cette bataille judiciaire, quatre personnalités proches d’Ousmane Sonko, dont le député Guy Marius Sagna, annoncent avoir investi candidat Bassirou Diomaye Faye, le numéro 2 du Pastef dissous, en prison lui aussi.
Le président de la République, de son côté, nomme 12 personnalités chargées de diriger la Commission électorale nationale autonome, dont son nouveau président, l’inspecteur général d’État Abdoulaye Sylla. Une décision qui déclenche une vive polémique, certains experts du droit électoral estimant que Macky Sall n’a pas le droit de nommer en même temps les 12 membres de l’institution chargée du contrôle et de la supervision des élections.
Début octobre, Macky Sall a mis fin aux fonctions du gouvernement d’Amadou Ba, qu’il reconduit au poste de Premier ministre quelques jours après , le chargeant de ‘’répondre aux défis de la souveraineté’’, d’‘’assurer une bonne organisation de l’élection présidentielle du 25 février 2024’’, de ‘’prendre en charge les urgences économiques et sociales, notamment la consolidation de la croissance, l’amélioration du pouvoir d’achat des populations, la lutte contre la vie chère, l’insertion, et l’emploi des jeunes’’.
L’année tirant à sa fin a vu éclater la coalition Yewwi Askan Wi (YAW), dont certains leaders ont déclaré avoir procédé à l’‘’expulsion’’ de Khalifa Sall, lui reprochant notamment de soutenir BBY en allant participer au dialogue national organisé par Macky Sall. Conséquence de cette décision : le groupe parlementaire YAW vole en éclats et ses représentants au bureau du conseil municipal de Dakar se font virer par le maire, Barthélémy Dias, l’un des plus fidèles alliés politiques de Khalifa Sall.
Le juriste Ngouda Mboup demeure optimiste quant à la candidature d’Ousmane Sonko à l’élection présidentielle du 25 février 2024. Il affirme avec conviction que le Conseil constitutionnel rétablira les droits du leader du parti ex-Pastef, mettant en lumière des points juridiques cruciaux.
Confiance en la Candidature de Sonko Selon Ngouda Mboup, Ousmane Sonko sera rétabli dans ses droits par le Conseil constitutionnel, à l’instar des juges de Ziguinchor et de Dakar. Le constitutionnaliste affirme que la délivrance des fiches de collecte de parrainages ne devrait pas être un prétexte à la discrimination ou à la confiscation des droits constitutionnels d’un candidat.
Légitimité de la Candidature Ngouda Mboup soulève la question de principe quant au refus de délivrer des fiches de collecte de parrainages à Ousmane Sonko par la Direction Générale des Elections (DGE). Il insiste sur le caractère problématique de ce refus dans un État de droit, soulignant la jurisprudence constante du Conseil constitutionnel.
Précédents Juridiques Se référant à des décisions antérieures du Conseil constitutionnel, Ngouda Mboup rappelle que le refus de l’administration, non imputable au concerné, conduit généralement au rétablissement des droits de la personne. Il met en avant l’importance du procès-verbal d’huissier pour démontrer la carence et la défaillance imputables à l’administration.
La Fiche de Parrainage comme Expression de Choix Le juriste insiste sur le fait que la fiche de collecte de parrainage est le support de l’expression d’un choix et ne devrait pas être détournée de son objectif. Il considère que le refus de la DGE d’émettre ces fiches constitue une atteinte à la liberté de candidature.
Verdict Attendu du Conseil Constitutionnel Ngouda Mboup conclut en exprimant sa confiance dans une réponse justifiée et motivée du Conseil constitutionnel, permettant de déclarer recevable la candidature d’Ousmane Sonko. Il affirme avec conviction qu’Ousmane Sonko participera à l’élection présidentielle de février 2024 et souligne que partout où le droit sera dit, Sonko aura raison et triomphera.
Appel à la Prudence La conclusion de Ngouda Mboup sert d’avertissement, mettant en lumière les enjeux juridiques dans un État se déclarant démocratique. La confiance du juriste dans le processus juridique laisse entrevoir des développements intéressants quant à la candidature d’Ousmane Sonko.
La Coalition ABDOUL 2024 a franchi une étape cruciale en déposant le dossier de candidature d’Abdoul Mbaye pour l’élection présidentielle du 25 février 2024 auprès du Conseil constitutionnel. La cérémonie d’investiture du candidat a eu lieu le 9 décembre 2023, marquant le début d’une campagne prometteuse.
La Coalition ABDOUL 2024, constituée de divers partis et mouvements politiques, a choisi Abdoul Mbaye, président de l’Alliance pour la Citoyenneté et le Travail (ACT), comme candidat à la présidence. Ancien Premier ministre et économiste de renom, M. Mbaye a été sélectionné en raison de son profil exaltant et de ses compétences avérées. La cérémonie d’investiture a été l’occasion de souligner ses qualités et son engagement envers le développement du Sénégal.
Le dépôt officiel du dossier de candidature constitue une avancée majeure pour la Coalition ABDOUL 2024. Cette coalition exprime sa reconnaissance envers les électeurs sénégalais qui ont apporté leur parrainage à la candidature d’Abdoul Mbaye. La mobilisation de tous les citoyens est désormais appelée pour soutenir activement la campagne d’Abdoul Mbaye, et les détails des prochaines activités seront communiqués ultérieurement, selon le communiqué de la coalition.
La Coalition ABDOUL 2024 a lancé un appel fort à la mobilisation, soulignant l’importance de l’unité et du soutien populaire. Alors que la campagne présidentielle prend de l’ampleur, la coalition prévoit de partager davantage d’informations sur les initiatives et les activités prévues pour galvaniser le soutien en faveur d’Abdoul Mbaye.
Avec le dossier de candidature officiellement déposé, la campagne électorale entre dans une nouvelle phase. La Coalition ABDOUL 2024 se prépare à mener une campagne dynamique, mettant en avant la vision et les compétences d’Abdoul Mbaye pour le Sénégal. Les électeurs peuvent s’attendre à des événements passionnants et informatifs dans les semaines à venir, alors que la nation se dirige vers l’élection présidentielle de février 2024.
Les fruits et le riz, des éléments clés de l’alimentation quotidienne, nécessitent une approche équilibrée pour les personnes atteintes de diabète. Le docteur Ngoné Diaba Diack, diabétologue nutritionniste et professeur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, partage des conseils essentiels pour une alimentation saine en marge du pré-congrès de la Société sénégalaise d’endocrinologie diabétologie et nutrition (SOSEDIAN).
Les fruits, recommandés pour leur rôle dans la prévention des maladies, sont également encouragés pour les personnes diabétiques. Cependant, le docteur Diack souligne l’importance de ne pas en abuser. Bien que cinq portions de fruits par jour soient autorisées, il est crucial de faire des choix judicieux. Certains fruits étant plus sucrés que d’autres, il est primordial de respecter les recommandations pour éviter de déséquilibrer la glycémie.
La variété des fruits autorisés comprend la pomme verte, les clémentines, les oranges et la poire, moins sucrés que d’autres options telles que la mangue, la pastèque, la papaye, le melon et les raisins. La demi-mangue par jour est recommandée, mais si le choix se porte sur une mangue entière, il est essentiel de limiter la consommation d’autres fruits sucrés. Un équilibre entre le plaisir de manger des fruits et la gestion du diabète est fondamental.
Au Sénégal, où la consommation de riz est élevée, le diabétique doit aborder cet aliment avec modération. Le riz frais, non parfumé et complet est recommandé pour éviter des pics de glycémie. Il est conseillé de le consommer en association avec des légumes, du poisson ou du poulet. Ces ajouts non seulement améliorent le goût du repas mais ralentissent également l’absorption des glucides, contribuant ainsi à maintenir une glycémie stable.
La docteure Diack souligne l’importance de l’éducation des personnes diabétiques sur les choix alimentaires. Pendant la période des mangues, il est crucial de sensibiliser sur les quantités consommées pour éviter des impacts négatifs sur la gestion du diabète. Une approche éclairée de la nutrition peut considérablement contribuer à maintenir un équilibre dans la vie des personnes atteintes de diabète. Ainsi, en faisant des choix alimentaires réfléchis, les personnes diabétiques peuvent profiter des bienfaits des fruits et du riz tout en maintenant un contrôle efficace de leur glycémie.
Mamoudou Ibra Kane, figure émérite du journalisme sénégalais, a tracé un parcours singulier qui le mène de la sphère médiatique à l’arène politique. Retour sur l’histoire captivante de cet homme, depuis son enfance marquée par la résilience jusqu’à son passage remarqué dans le monde politique.
L’Éveil d’une Vocation : Du Football au Commentaire Sportif
Polyvalent sur le terrain de football, Mamoudou a rapidement découvert que sa véritable passion résidait dans le commentaire sportif. Inspiré par Abdoulaye Diaw lors des matchs inter-villages, il a affiné ses compétences linguistiques tout en développant un amour profond pour le journalisme.
Son parcours académique et journalistique l’a conduit du Cesti à la RTS, en passant par des médias tels que Walf FM et La Nouvelle. Cependant, son aventure à la RTS fut écourtée suite à un commentaire controversé sur le crash d’Air Sénégal « Casamance ». Malgré cette déconvenue, il a continué à contribuer au domaine en rédigeant des reportages.
L’Aventure E-Media : Un Nouveau Chapitre
En 2018, Mamoudou Ibra Kane et ses collaborateurs lancent E-Media, un groupe médiatique diversifié comprenant un site internet, une radio, une télévision, et le quotidien « Bes Bi ». L’entreprise se distingue par son engagement à promouvoir non seulement l’information mais aussi son groupe de presse dans un contexte médiatique en pleine expansion.
Un Homme de Défis et d’Innovations
Ainsi, l’histoire de Mamoudou Ibra Kane s’écrit entre résilience, succès médiatique, et engagement politique, reflétant un parcours exceptionnel au cœur de la société sénégalaise.
Dans une ambiance chaleureuse empreinte de générosité, l’Association « Marie, Groupe d’action pour une citoyenneté solidaire » a célébré Noël en apportant la joie aux enfants du ‘Village d’Enfants SOS’ de Dakar. Cette initiative solidaire a permis de distribuer des cadeaux et de partager des moments de bonheur, marquant ainsi la période festive de fin d’année.
La présidente de l’association, Valérie Ndione, a partagé le contexte de cette action altruiste, soulignant que l’idée de collecter et de distribuer des jouets aux enfants dans le besoin a pris forme l’année précédente. Elle a exprimé le désir profond de contribuer à la joie des enfants tout en offrant un peu de réconfort à ceux qui vivent des situations difficiles.
Sous le thème inspirant « Protégeons et éduquons les enfants avec amour, préservons leur innocence, seul gage pour l’émergence de citoyens équilibrés, responsables et solidaires », l’événement a pris une dimension éducative, mettant en avant l’importance de préserver l’innocence des enfants pour bâtir une société équilibrée.
La directrice du ‘Village d’Enfants SOS’, Bernadette Senghor, a exprimé sa reconnaissance envers l’association « Marie » pour son geste significatif, soulignant que Noël est avant tout une période de partage, de cadeaux, et de bonheur pour les enfants.
La présence de Pape Mahawa Diouf, directeur général de l’Agence sénégalaise de promotion touristique, a ajouté une dimension particulière à l’événement. Il a salué l’importance de cette initiative, décrivant ces activités comme une véritable marque de solidarité et de construction d’un équilibre social. Ces gestes viennent ainsi enrichir l’esprit de Noël, en répandant la joie et la générosité au sein de la communauté.
La ministre du Développement communautaire, de la Solidarité nationale, de l’Équité sociale et territoriale, Thérèse Faye Diouf, a loué les retombées positives du Programme d’Urgence de Développement Communautaire (PUDC), du Programme d’Urgence de Modernisation des Axes et Territoires Frontaliers (PUMA) et du Programme de Modernisation des Villes (PROMOVILLES) sur la vie quotidienne des populations sénégalaises.
Lors de la dernière réunion du Comité de pilotage unique supervisant ces trois programmes gouvernementaux, la ministre a souligné l’impact significatif de ces initiatives sur la vie quotidienne des citoyens. Elle a rapporté que jusqu’au 30 septembre 2023, ces programmes ont généré 90 776 emplois, démontrant ainsi leur contribution à la création d’opportunités économiques.
La réunion visait à définir les orientations stratégiques des programmes et à assurer l’efficacité de leur mise en œuvre. Thérèse Faye Diouf a également noté que le manuel de procédures administratives, financières et comptables du programme PROMOVILLES avait été révisé et soumis à l’adoption des membres.
Parmi les réalisations notables, la ministre a mentionné la construction de 827 km de pistes pour désenclaver des régions, l’installation de 328 systèmes d’alimentation en eau potable, et l’électrification de 857 villages, dont 539 dans le cadre du projet d’électrification de 2000 villages par le PUDC.
Le PUMA a, de son côté, accompli la construction de 249 km de pistes, 5 ouvrages sociaux de base, électrifié 97 localités frontalières et désenclavé 284 villages. Il a également contribué à la réinstallation de 261 familles dans des régions comme Ziguinchor et Kédougou, tout en soutenant la délivrance de 33 910 actes d’état civil.
Le programme PROMOVILLES, axé sur les zones urbaines et périurbaines, a réalisé 197,6 km de voies, bénéficiant à 3 millions de personnes, ainsi que 123 km de réseau d’éclairage comprenant 3 998 lampadaires. En outre, le programme a joué un rôle clé dans la formation et l’insertion professionnelle des jeunes, avec 1 547 jeunes formés en BTP et 1 809 jeunes recrutés jusqu’à présent.
La ministre a conclu en assurant que l’année 2024 apportera un renforcement des acquis, soulignant les budgets alloués à chaque programme pour l’année à venir.
Au Sénégal, la situation carcérale connaît un nouveau coup de projecteur, avec des révélations stupéfiantes provenant du Secrétaire général de l’Ordre des avocats, Me Ibrahima Ndiéguène. Sur une population carcérale estimée à environ 15 000 prisonniers, pas moins de 6 000 détenus se trouvent actuellement en détention provisoire, une situation inquiétante qui a suscité des préoccupations au sein de la communauté juridique.
Les détails de cette révélation ont été partagés lors de la conférence annuelle des chefs de parquets à Diamniadio, au cours de laquelle Me Ndiéguène a interpellé le ministre de la Justice, Aissata Tall Sall. L’avocat a souligné le besoin urgent de s’attaquer à la question de la détention provisoire excessive, qualifiant ce phénomène de « fléau » et soulignant son impact négatif sur la confiance des citoyens envers le système judiciaire du pays.
Lors de son intervention, Me Ndiéguène a exhorté les autorités à trouver des solutions concrètes lors de cette conférence, déclarant : « En 2023, vous avez eu le courage de vous interroger sur la réduction de la durée de la détention provisoire. Puissent vos assises trouver la solution à ce fléau qui constitue le mal le plus profond de notre système répressif et l’une des causes de la rupture de la confiance du citoyen envers la justice de notre pays. »
Le Conseil constitutionnel du Sénégal a confirmé la période de dépôt des candidatures pour l’élection présidentielle, fixée jusqu’au 26 décembre à minuit. Malgré l’enthousiasme suscité par le retrait de près de 200 fiches de parrainage, indispensables pour obtenir les soutiens nécessaires à une candidature valide, une affluence modérée a été constatée au niveau du dépôt effectif des dossiers au Conseil constitutionnel. Selon les informations relayées par des associations et activistes sur les réseaux sociaux, seulement une douzaine de candidatures ont été déposées jusqu’à présent.
En plus des fiches de parrainage, les candidats doivent également verser une caution de 30 millions de francs CFA à la Caisse de dépôt et de consignation, accompagnée de divers documents requis. À ce jour, près de 40 candidats ont satisfait à cette exigence financière, témoignant de leur sérieux et de leur engagement dans la course présidentielle.
Parmi les dossiers déjà soumis au Conseil constitutionnel figurent des personnalités politiques notoires telles qu’Idrissa Seck et Karim Wade. Cependant, le camp présidentiel, représenté par Amadou Ba, récemment investi par les mouvances présidentielles, n’a pas encore officialisé son dépôt de dossier. De même, la situation d’Ousmane Sonko, actuellement détenu mais représenté par son mandataire Ayib Daffé, demeure incertaine, notamment en ce qui concerne la soumission des parrainages et de l’attestation de caution.
Le Conseil constitutionnel est chargé de filtrer, valider et vérifier la conformité de tous les dossiers avant leur publication officielle prévue pour le 20 janvier. On estime que le nombre de candidats validés pourrait se situer entre 8 et 10, un chiffre modeste par rapport aux plus de 200 retraits de fiches de parrainage enregistrés. Ce processus de sélection rigoureux garantit une compétition électorale sérieuse et conforme aux exigences constitutionnelles.
La question qui se pose maintenant est de savoir s’il y aura un afflux de dépôts de candidature de dernière minute au Conseil constitutionnel. La réponse dans moins de deux jours suscite une anticipation palpable.
Samedi dernier, le président américain Joe Biden a intensifié les appels à la protection des civils dans la bande de Gaza en contactant le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu. Cette initiative survient à un moment où Israël intensifie ses bombardements et son offensive terrestre, augmentant ainsi les inquiétudes concernant la sécurité des résidents de la région.
Dans un communiqué publié par la Maison Blanche, il a été annoncé que le président Biden a souligné l’impératif de sauvegarder la population civile, y compris ceux qui participent aux opérations humanitaires. Il a également insisté sur l’importance de permettre aux civils de quitter en toute sécurité les zones encore touchées par les combats.
La déclaration de Joe Biden intervient alors que la situation à Gaza devient de plus en plus préoccupante en raison de l’escalade des hostilités. Les inquiétudes internationales quant aux conséquences humanitaires de ces affrontements ont conduit le président américain à exercer une pression diplomatique sur Israël pour atténuer les risques pour les civils.
Les appels de Biden reflètent la nécessité de prendre des mesures immédiates pour garantir la sécurité des populations civiles, y compris ceux qui travaillent dans des opérations humanitaires cruciales. L’accent mis sur le départ sécurisé des civils des zones de conflit souligne l’importance de minimiser les pertes civiles et de faciliter l’accès à l’aide humanitaire dans une région déjà confrontée à des défis considérables.
Cette interaction entre Joe Biden et Benyamin Netanyahu marque un effort continu de la part des États-Unis pour jouer un rôle actif dans la résolution de la crise en cours à Gaza. L’issue de ces échanges diplomatiques reste incertaine, mais l’appel de Biden met en lumière l’urgence d’une action concertée pour prévenir une détérioration supplémentaire de la situation humanitaire dans la région.
Le mandataire de la coalition ‘’Diao 2024’’, Massène Papa Gueye, a annoncé samedi à Dakar le dépôt officiel du dossier de candidature d’Elhadji Mamadou Diao, maire de Kolda, à l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024. Devant le siège du Conseil constitutionnel, Massène Papa Gueye a informé la presse de la soumission du dossier de candidature, affirmant avoir réuni 58 975 parrains, conforme aux exigences légales.
« Nous avons déposé 58 975 parrains qui sont exigés par les textes », a déclaré M. Guèye lors de ce point de presse, précisant également que toutes les pièces requises pour le dépôt des dossiers de candidature étaient incluses. Il a rappelé que le Conseil constitutionnel avait convoqué les représentants de la coalition pour le tirage au sort de l’ordre des candidatures, prévu le 28 décembre.
Les candidatures à l’élection présidentielle doivent être jugées recevables par le Conseil constitutionnel, et les candidats doivent recueillir entre 0,6 % et 0,8 % des électeurs inscrits sur le fichier électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs. En plus des parrains citoyens, les candidats ont la possibilité de collecter des parrainages auprès des maires et des présidents de conseils départementaux. Ils peuvent également opter pour le parrainage parlementaire, nécessitant au moins 13 signatures de députés.
Dans le cadre de l’enquête sur la vente présumée des codes d’accès au fichier électoral, des sources proches du parquet ont informé que le commissariat d’arrondissement de Yeumbeul-Comico a réussi à mettre fin à la cavale du présumé cerveau de cette supposée mafia.
L’individu en question a été identifié comme étant Amadou Diallo, un ancien agent de la Direction de l’automatisation des fichiers (DAF). Il aurait été arrêté dans son lieu de refuge à Niague par les forces de l’ordre, dirigées par le commissaire Cheikh Ahmed Tidiane Diallo.
L’ancien opérateur de saisie à la DAF aurait fait croire au mandataire Amadou Sow qu’il était en mesure de lui remettre le fichier électoral pour les besoins du parrainage de son candidat à la présidentielle. Après des négociations, un accord aurait été conclu pour un montant de 500 000 francs CFA.
Amadou Sow aurait versé une avance de 80 000 francs CFA à Amadou Diallo avant de lui remettre un disque dur pour récupérer le document électoral, selon des sources proches du dossier.
Cependant, après avoir encaissé l’argent, l’ancien vacataire à la DAF n’aurait pas honoré son engagement. Amadou Diallo, accompagné de son témoin, s’est ensuite présenté dans les locaux du commissariat de Yeumbeul-Comico pour dénoncer le présumé détenteur du fichier électoral.
Les deux individus ont été arrêtés et placés en garde à vue pour les besoins de l’enquête.
Amadou Diallo aurait affirmé que « Amadou Sow lui avait confié qu’il avait vendu le fichier électoral, moyennant 500 000 francs CFA, à A.T et M.B.D, deux célèbres candidats à la présidentielle de 2024. » Cependant, lors de son interrogatoire, Amadou Diallo aurait nié être le détenteur du fichier électoral, déclarant qu’il tentait simplement de soutirer de l’argent à Amadou Sow. Les perquisitions menées à son domicile auraient conduit à la saisie de documents et de données à caractère personnel.
Au terme de l’enquête, le trio, composé d’Amadou Diallo, Amadou Sow et le mandataire de ce dernier, a été déféré au parquet pour association de malfaiteurs, escroquerie, complicité d’escroquerie portant sur un document électoral, etc. Amadou Diallo et Amadou Sow ont été inculpés puis placés sous mandat de dépôt par le juge d’instruction chargé du dossier. L’enquête se poursuit pour faire toute la lumière sur cette affaire sensible.
Le Conseil Municipal de Keur Massar Sud a annoncé le remplacement provisoire du Maire Bilal Diatta par le Premier adjoint Ousmane Diop, affilié au parti Pastef. Cependant, cette décision a suscité une vague d’indignation au sein de la commune.
Selon des informations de Seneweb, Bilal Diatta n’aurait pas été informé de cette décision du conseil municipal, ce qui a alimenté les protestations. Les partisans du Maire contestent la légalité de cette décision et suggèrent qu’elle est soutenue par les autorités administratives.
La situation à la Mairie de Keur Massar Sud semble être tendue, et des développements ultérieurs sont attendus alors que les parties concernées réagissent à cette décision controversée.
Le Bus Rapid Transit (BRT) s’apprête à entrer en service à Dakar le 27 décembre prochain, mais le mouvement ‘Dolel Transport’ lance déjà un avertissement sur les conséquences potentielles de cette introduction. Modou Seck, président du mouvement, dénonce ce qu’il qualifie de « concurrence injuste du BRT par rapport au transport local ».
Le président de ‘Dolel Transport’ estime que le renouvellement du parc automobile local aurait dû précéder l’introduction du BRT, soulignant la vétusté du parc actuel par rapport au nouveau mode de transport. Il rappelle également que les promesses de renouvellement du parc des taxis faites par l’État depuis 2016 n’ont pas été tenues, constituant un manque à gagner.
Modou Seck dénonce en outre le transport irrégulier et l’absence d’action de l’État pour faire respecter les régulations en place, notamment l’interdiction totale du transport de motos à Dakar. Ces préoccupations soulignent les défis potentiels auxquels le BRT pourrait être confronté lors de son déploiement à Dakar.
Le milieu de terrain sénégalais d’Everton en Premier League anglaise Idrissa Gana Gueye est sorti, samedi, sur blessure à la 22e minute du match de la 18e journée qui opposait son équipe à celle de Tottenham de son compatriote, Pape Matar Sarr .
L’international sénégalais est remplacé par le Portugais André Gomes.
Son équipe était déjà menée, 2-0, sur des réalisations du Brésilien Richarlison (9e) et du Coréen Heung-min Son (18e).
Idrissa Gana Gueye, 34 ans était de retour d’une suspension.
L’ancien joueur du Paris Saint-Germain (2019-2022) fait partie des 55 joueurs présélectionnés par le sélectionneur des Lions, Aliou Cissé en vue de la Coupe d’Afrique des nations de football prévue du 13 janvier au 11 février 2024 en Côte d’Ivoire.
Présent en équipe national depuis 2011, Gana Gueye est le joueur sénégalais le plus capé avec 104 sélections
La sélection nationale du Sénégal est confrontée à une crise financière majeure, avec le sélectionneur Aliou Cissé et son staff technique n’ayant reçu aucun salaire depuis six (6) mois, révèle le site Dsports dirigé par le journaliste sportif Bakary Ciss.
Cette situation difficile, bien que déjà vécue au début du mandat d’Aliou Cissé à la tête des Lions, a pris une tournure inattendue avec l’absence de rémunération depuis le mois de juin dernier. Les membres du staff technique, y compris le sélectionneur, font face à une période difficile, où les contraintes financières peuvent potentiellement impacter leur engagement et leur motivation.
Aliou Cissé aurait pris des mesures pour garder cette information confidentielle, probablement conscient de son impact potentiel sur la préparation de l’équipe nationale à la 34e biennale du football africain. La crise financière soulève des questions sur la gestion des ressources dans le domaine du football sénégalais, mettant en lumière les défis auxquels sont confrontés même les figures éminentes du monde sportif.
Les supporters et les observateurs du football sénégalais surveilleront de près les développements futurs, espérant une résolution rapide de cette crise financière afin de maintenir la stabilité et la performance de l’équipe nationale.
La récente loi d’amnistie a ouvert la voie à la participation de Khalifa Sall à la course présidentielle. Cependant, la situation juridique de Barthélémy Dias, potentiel parrain de Khalifa Sall, soulève des questions stratégiques cruciales dans la course aux parrainages, essentiels pour valider la candidature présidentielle.
Cette situation met en lumière la complexité du paysage politique sénégalais, où chaque détail et alliance peuvent influencer le résultat de l’élection présidentielle. Les prochains développements dans cette affaire seront suivis de près alors que le Sénégal se prépare pour un processus électoral crucial.
Les arrestations de membres de Pastef, parti dissous, se poursuivent avec l’interpellation d’Abdou Talha Camara, enseignant et adhérent du parti, par la Section de Recherches de Dakar. L’arrestation a eu lieu hier et est liée à un message publié sur Facebook dans lequel il s’adressait au Président de la République suite au refus de la Direction générale des élections (DGE) de recevoir le mandataire d’Ousmane Sonko.
Selon les informations relayées par Libération, Abdou Talha Camara aurait exprimé son point de vue sur la situation politique actuelle dans son message sur le réseau social. Cela aurait conduit à son interpellation par les autorités.
Cette arrestation s’inscrit dans un contexte où plusieurs membres de Pastef ont été appréhendés ces dernières semaines, suite à la dissolution du parti. Les autorités prennent des mesures fermes envers les membres ou sympathisants de Pastef, suscitant des préoccupations quant aux libertés d’expression et de participation politique au Sénégal.
L’arrestation d’Abdou Talha Camara souligne la tension persistante dans le pays et la sensibilité entourant les discussions politiques, notamment sur les plateformes de médias sociaux. Les détails précis de l’incident et les motifs de l’arrestation devraient émerger au fur et à mesure de l’enquête en cours.
Karim Wade, figure emblématique du Parti Démocratique Sénégalais (PDS), actuellement en exil à Doha, a franchi une étape décisive dans sa course à la présidence en déposant sa candidature pour l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024. L’annonce a été faite de manière officielle par le secrétariat à la communication du PDS.
Cette démarche importante intervient après un autre geste significatif dans la quête électorale de Karim Wade : le dépôt, le lundi 27 novembre 2023, d’une caution de 30 millions de francs CFA à la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC). Suite à cette étape, Maguette Sy, l’autorité compétente, a remis à l’intéressé son récépissé ainsi qu’une convocation pour le contrôle des parrainages, une étape cruciale dans la validation de sa candidature.
Dans une déclaration enthousiaste, Karim Wade a partagé sa joie : « Je suis heureux de vous annoncer que j’ai officiellement déposé ma candidature pour l’élection présidentielle de 2024. C’est un moment historique et je suis reconnaissant envers tous ceux qui soutiennent notre vision pour l’avenir du Sénégal. »
La candidature de Karim Wade représente un événement majeur dans le paysage politique sénégalais et marque le retour actif de l’ancien ministre d’État sur la scène politique nationale. Le contrôle des parrainages et les étapes à venir seront scrutés de près alors que la campagne électorale prendra progressivement de l’ampleur dans les mois à venir.
La brigade de gendarmerie de Ndiaganiao a réussi un coup de maître en mettant fin aux activités du célèbre dealer Ngor Sène, considéré comme l’un des plus grands trafiquants de drogue de la région. L’opération a eu lieu dans l’après-midi du mardi 19 décembre, lors d’une opération de sécurisation dans la commune de Ndiaganiao.
Vers 18 heures, les gendarmes ont été alertés de la présence suspecte d’un individu à bord d’une moto HLX150 dans le quartier Both Escale, en train de livrer du chanvre indien à un client. Réagissant rapidement, les gendarmes se sont rendus sur les lieux pour interpeller le trafiquant de drogue.
Malheureusement, le client a réussi à prendre la fuite au moment de l’opération.
Le mis en cause, Ngor Sène, avait dissimulé la drogue dans un sac qu’il portait sur le dos. Une fouille corporelle minutieuse a permis de découvrir une quantité impressionnante de 2,5 kilogrammes de chanvre indien, conditionnée dans des sachets, ainsi que la somme de 21 000 francs CFA provenant de la vente de cette substance prohibée.
Ngor Sène a été déféré au parquet de Mbour le vendredi 22 décembre pour détention et trafic de chanvre indien. Cette opération représente une victoire significative dans la lutte contre le trafic de drogue dans la région, soulignant l’efficacité des forces de l’ordre dans la préservation de la sécurité publique.
L’affaire impliquant Ndella Madior Diouf prend une tournure grave avec des révélations accablantes émanant du personnel de la pouponnière « Keur Yeurmandé ». Actuellement en garde à vue pour homicides involontaires, Ndella Madior Diouf est confrontée à des accusations liées à la mort de deux pensionnaires de la pouponnière, décédés de dénutrition, selon les conclusions de l’enquête menée par la Sûreté urbaine (Su).
L’enquête a été déclenchée après que Ndella Madior Diouf ait refusé de répondre à une convocation suite à une plainte déposée par une femme. La plaignante réclamait son bébé, donné après accouchement à la pouponnière, et aurait été confrontée à une demande de 5 millions de francs CFA pour les frais, selon les informations fournies par une source proche de l’affaire.
Cette affaire choquante met en lumière des pratiques alarmantes au sein de la pouponnière et soulève des questions sérieuses sur la gestion et les conditions de vie des enfants confiés à l’établissement. L’enquête en cours devrait permettre de faire toute la lumière sur ces allégations et d’établir les responsabilités dans cette affaire délicate.
Une terrible tragédie s’est déroulée à Guédiawaye, où un jeune talibé, âgé entre 7 et 8 ans, a perdu la vie dans des circonstances choquantes. Selon les informations rapportées par L’Observateur, le garçon s’était glissé sous un bus de transport scolaire la veille pour y dormir, mais il a été malheureusement écrasé par les pneus du véhicule sans jamais se réveiller.
Des témoins, dont un vendeur de café, ont expliqué que le jeune talibé avait l’habitude de fréquenter les environs près du stade Ibrahima Boye. Un matin, il avait été réveillé bruyamment par un chauffeur de camion de ramassage d’ordures, mais malgré cet incident, le talibé est retourné la nuit suivante, choisissant de dormir sous un bus stationné au même endroit que le camion.
Le lendemain matin, ignorant la présence du jeune garçon sous le bus, le chauffeur a démarré. L’impact a été si violent que la tête du talibé a été complètement écrasée, rapporte le journal. Les riverains ont découvert la scène macabre après le départ du véhicule, alertant immédiatement la police de Wakhinane Nimzatt.
Suite au constat d’usage, le corps a été transporté à la morgue de l’hôpital Idrissa Pouye en vue d’une autopsie. Une enquête a été ouverte pour identifier la victime, retrouver son maître coranique, et éventuellement, localiser ses parents.
Cette tragédie souligne la vulnérabilité des talibés, souvent confrontés à des conditions de vie difficiles, et met en lumière la nécessité de mesures visant à assurer leur sécurité et leur bien-être.
En célébration des réalisations académiques de ses étudiants, l’Institut Santé Service (ISS) a organisé une cérémonie de graduation d’envergure le Jeudi 21 Décembre 2023 à l’hôtel King Fahd Palace. L’événement a été marqué par la remise de plus de 150 diplômes à des étudiants issus de cinq promotions différentes. Pour souligner cette occasion significative, une conférence pédagogique intitulée « Universalisation des Licences en Sciences Infirmières et Obstétricales (LSIO) : Enjeux et perspectives » a été tenue, rassemblant des personnalités éminentes du monde académique et scientifique de la santé.
L’Institut Santé Service, établi en 1987 par le Dr Daouda SOW, ancien Président de l’Assemblée Nationale du Sénégal, s’est distingué par son engagement indéfectible dans les domaines de l’éducation et de la santé. Avec la réforme du système LMD en cours au niveau national, caractérisée par une professionnalisation accrue des enseignements, l’ISS joue un rôle central en tant qu’acteur majeur dans le paysage de la formation en santé, en licences et masters.
La question actuelle de la passerelle du diplôme d’infirmier d’État et de Sage-femme d’État vers la Licence des Sciences Infirmières et Obstétricales LSIO est au cœur des débats dans le secteur de la santé. Cette discussion reflète la volonté de l’ISS de rester à la pointe des évolutions du secteur et d’adapter ses programmes de formation en conséquence.
La Directrice Générale, Mme BADIANE Kowry SOW, a saisi cette occasion solennelle pour rendre un vibrant hommage aux pères fondateurs de l’établissement, notamment feu le Président Dr Daouda SOW et Mr Assane NDIAYE, ancien cadre de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Elle a exprimé sa gratitude envers le personnel et le corps professoral de l’Institut Santé Services, soulignant leur contribution précieuse à la mission de l’institution.
Félicitant chaleureusement les récipiendaires, Mme BADIANE Kowry SOW leur a souhaité une bonne insertion dans leur vie professionnelle, soulignant l’importance de leur rôle futur dans le secteur de la santé. Elle a affirmé que « l’Institut Santé Service, par son engagement continu, demeure un acteur prépondérant dans la formation de professionnels de la santé, contribuant activement aux discussions cruciales sur l’évolution des normes académiques, cherchant toujours à élever les standards dans le secteur de la santé. »
En conclusion, cette cérémonie de graduation et la conférence pédagogique qui l’accompagne symbolisent le dévouement de l’Institut Santé Service envers l’excellence académique et la progression constante du secteur de la santé. Les diplômés, désormais armés de connaissances et d’expériences, sont prêts à jouer un rôle vital dans la promotion de la santé et du bien-être de la société.
Le boulevard Dial Diop de la commune de Tambacounda (est), sera rebaptisé au nom du président Macky Sall à la suite d’une délibération de cette municipalité qui a enregistré 72 voix pour et quatre contre cette mesure, a constaté l’APS.
Le changement de nom du boulevard Dial Diop a été inscrit dans l’ordre du jour de la session budgétaire tenue récemment à la municipalité de Tambacounda.
‘’Cela a fait l’objet d’un long débat contradictoire ente les conseillers municipaux avant son adoption à 72 voix pour et 4 contre’’, a renseigné le maire de la commune.
Bientôt l’ex boulevard Dial Diop localisé sur la nationale 1, va porter le nom du président Macky Sall.
‘’Cela fait cinq mois qu’on a consulté d’abord, les populations de Tambacounda, les sages et les jeunes. Et ils nous ont donnés l’idée de baptiser ou de rebaptiser les boulevards, les rues et ruelles de la commune’’, a souligné Papa Balla Dieye.
Ainsi, poursuit le maire, ‘’les populations consultées nous ont suggérés de prendre des personnalités remarquables qui ont œuvré pour le développement de notre région pour rebaptiser les boulevards, rues et ruelles de la ville’’.
Le maire de la commune de Tambacounda n’a pas de donné de date pour l’officialisation de cette mesure. ’’Il faut laisser le temps suivre son cours, parce que, ce sont des procédures dont la première étape était la délibération qui a été acceptée et adoptée par l’équipe municipale’’, a-t-il fait remarquer.
‘’Le président (Macky Sall) sera informé de cet acte fort que les populations de Tambacounda, à travers leurs conseillers municipaux, viennent de poser’’, a-t-il informé.
L’Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA) assure être en mesure de produire 150 tonnes de semences certifiées d’arachide pour le renouvellement du capital semencier du pays, d’ici à août prochain.
La promesse a été faite par son directeur général, Momar Talla Seck, au terme d’une mission d’évaluation des espaces de production de semences de Ndiol, dans la région de Saint-Louis (nord).
L’ISRA cherchait à produire 65 tonnes de semences d’arachide d’ici à juillet-août 2024, mais l’État lui a assigné la mission d’en produire 150 tonnes en raison de la stratégie de souveraineté alimentaire, selon M. Seck.
‘’L’ISRA a également revu sa stratégie pour répondre aux besoins du programme de compétitivité de l’agriculture et de l’élevage’’ mis en œuvre par le ministère de l’Agriculture, de l’Équipement rural et de la Souveraineté alimentaire, a-t-il signalé.
Les centres et les unités de production de semences sont les leviers qu’utilise l’ISRA pour produire la quantité nécessaire, a-t-il dit.
Selon Momar Talla Seck, à Ndiol, 15 tonnes de semences pré-base – semences d’un niveau de pureté élevé, souvent produites par la recherche – sont déjà disponibles.
L’ISRA a emblavé 12 hectares supplémentaires pour atteindre 75 hectares, a-t-il signalé, espérant que le dernier hivernage et la contre-saison pourraient permettre d’atteindre l’objectif fixé.
M. Seck a invité les centres de production de semences à coopérer avec les sélectionneurs de semences en vue de l’atteinte de la quantité de semences demandée.
‘’Ce que nous avons vu sur le terrain nous autorise à penser que l’objectif de souveraineté alimentaire sera atteint, car les producteurs vont disposer de bonnes semences’’, a assuré Ndèye Coumba Ndiaye Faye, de la direction régionale du développement rural de Saint-Louis, lors de la visite du directeur général de l’ISRA.
Le Sénégal va améliorer la qualité de ses semences dans quelques années, a promis Mamadou Ndoye, le chef de la division chargée des semences au ministère de l’Agriculture, de l’Équipement rural et de la Souveraineté alimentaire.
Le navire de production, de stockage et de déchargement, baptisé « Léopold Sédar Senghor », a quitté le chantier naval de Seatrium à Singapour ce vendredi, en direction du territoire maritime du Sénégal. Ce voyage marque un jalon crucial pour le projet pétrolier Sangomar, avec le navire prévu pour contribuer à la production pétrolière sénégalaise au cours du premier semestre de 2024, selon la Société des pétroles du Sénégal (PETROSEN).
Le départ du navire est décrit comme « l’un des éléments clés du projet Sangomar » par PETROSEN, représentant un pas décisif vers le first-oil, soit le début de la production du projet pétrolier. Le projet Sangomar est un effort majeur dans le secteur des hydrocarbures au Sénégal.
Le navire, portant le nom du premier président du Sénégal, Léopold Sédar Senghor, est qualifié de « véritable joyau technique ». Sa construction a nécessité quarante-deux mois de travail acharné impliquant des milliers d’ingénieurs et d’ouvriers spécialisés. Avec une longueur de 372 mètres, une largeur de 58 mètres et une capacité de stockage de 1.300.000 barils, le navire sera amarré dans le champ Sangomar à une profondeur d’eau d’environ 780 mètres.
La construction du navire a été confrontée à des défis, notamment les restrictions liées à la pandémie de Covid-19. Les contraintes ont entraîné le déplacement du navire des chantiers navals de Cosco en Chine à Singapour. La conjoncture économique résultant de la crise russo-ukrainienne a également impacté le chantier en raison de l’inflation sur le marché international et des dysfonctionnements dans les chaînes d’approvisionnement.
L’APR a marqué un tournant politique en investissant Amadou Ba en tant que candidat pour une élection à venir. Cette décision a des implications majeures pour le parti au pouvoir, et elle est déjà à l’origine de débats et de réflexions au sein de ses membres.
Le ministre Elhadji Oumar Youm a abordé les perspectives politiques à venir, mettant en avant les défis et opportunités qui se présentent à l’APR. Il a appelé à la solidarité et à la cohésion au sein du parti pour assurer le succès du candidat investi et pour continuer à œuvrer en faveur du développement du Sénégal.
La réaction du ministre Elhadji Oumar Youm souligne les enjeux cruciaux pour l’avenir politique du Sénégal. Alors que l’élection approche, l’unité au sein de l’APR devient une priorité pour maintenir la stabilité et poursuivre les initiatives politiques et économiques en cours.
La réaction d’Elhadji Oumar Youm s’inscrit dans un contexte plus large de réactions diverses au sein de l’APR. Les membres du parti expriment leurs opinions sur cette investiture, créant un dialogue interne sur les orientations politiques et les choix stratégiques de l’APR.
L’investiture d’Amadou Ba par l’APR marque une étape importante dans la dynamique politique du Sénégal. Les réactions, notamment celle du ministre Elhadji Oumar Youm, donnent un aperçu des débats internes et des ajustements nécessaires au sein du parti au pouvoir. L’avenir politique du pays dépendra en partie de la manière dont l’APR gère ces dynamiques internes dans les mois à venir.
Pour son dernier match à domicile avec Al-Nassr avant la CAN, Sadio Mané a été reçu par les supporters de son club avec un magnifique tifo déployant dans les gradins lors du match contre Al-Ettifaq ce vendredi.
Le roi Sadio Mané? En tout cas, l’image parle d’elle-même. Alors que l’attaquant sénégalais disputait son dernier match à domicile avant le début du rassemblement du Sénégal pour la CAN, à l’occasion de la réception d’Al-Ettifaq ce vendredi, un tifo spectaculaire a été déployé dans l’enceinte d’AL-AWWAL PARK Stadium par les supporters d’Al-Nassr pour saluer leur international sénégalais.
Ce dernier n’aura pas réussi à marquer lors de cette victoire 3 buts à 1 face à l’équipe de Steven Gerrard. Mais il aura tout de même été très généreux sur son côté gauche, provoquant d’ailleurs le penalty du troisième but d’Al-Nassr. Devant les 25 000 spectateurs, l’ancien joueur de Liverpool a salué ce geste, avec quasiment tous ses partenaires à ses côtés de lui au moment de son tour vers le tifo.
Lors du récent affrontement entre Salernitana et l’AC Milan, l’attaquant vedette Boulaye Dia a dû quitter le terrain prématurément en raison d’une blessure, suscitant des préoccupations au sein de l’équipe et parmi les supporters. La nature et la gravité de la blessure de Boulaye Dia restent à déterminer, mais sa sortie prématurée pourrait avoir un impact sur le reste de la saison pour Salernitana.
Boulaye Dia a été contraint de sortir du terrain lors du récent match opposant Salernitana à l’AC Milan, un moment critique qui a attiré l’attention des supporters et des observateurs du football. Son départ prématuré a suscité des inquiétudes quant à l’impact potentiel sur la performance de l’équipe et sur la santé du joueur lui-même.
La nature exacte de la blessure de Boulaye Dia n’a pas encore été révélée, laissant les supporters dans l’incertitude quant à la durée de son absence sur le terrain. Les communiqués officiels du club et du staff médical sont attendus pour fournir des détails sur la blessure et sur la période de récupération prévue.
Boulaye Dia est une figure clé pour Salernitana, apportant son talent et son expérience en tant qu’attaquant. Sa contribution sur le terrain a été cruciale pour l’équipe, et sa présence est synonyme de dynamisme offensif. Ainsi, toute absence prolongée pourrait représenter un défi pour Salernitana dans les prochains matchs.
Les supporters de Salernitana attendent avec impatience des mises à jour sur la condition de Boulaye Dia, espérant des nouvelles rassurantes concernant sa blessure. Le soutien de la communauté sportive et des fans sera essentiel dans les semaines à venir, alors que l’équipe cherche à surmonter les éventuels obstacles liés à l’absence de leur attaquant de premier plan.
Les répercussions de la blessure de Boulaye Dia sur la saison de Salernitana dépendront de la gravité de la blessure et de la durée de son absence. Les prochains matchs seront scrutés de près pour évaluer la capacité de l’équipe à maintenir son élan sans la présence de l’attaquant vedette.
L’inquiétude règne à Salernitana après la sortie sur blessure de Boulaye Dia lors du match contre l’AC Milan. Les prochains développements seront cruciaux pour déterminer l’impact sur l’équipe et pour assurer le prompt rétablissement de l’attaquant talentueux.
Grâce à sa victoire sur Abha FC (7-0), Al-Hilal de Kalidou Koulibaly accentue son avance en tête de la Saudi Pro League. Al-Nassr de Sadio Mané, qui accueille Al-Ettifaq, ce vendredi, essayera de réduire l’écart qui le sépare de la formation de Kalidou Koulibaly. Al-Ahli FC de Edouard Mendy ira défier Al-Hazem.
Soirée parfaite pour Al-Hilal de Kalidou Koulibaly. Dans un premier temps en s’imposant largement face à Abha FC (7-0) et dans un deuxième en profitant du match en moins de son dauphin, Al-Nassr. De quoi conforter sa place de leader en creusant l’écart qui le sépare de la formation de Sadio Mané.
En s’imposant 7-0 contre le 16ème de la Saudi Pro League, hier jeudi, les coéquipiers de « KK », leaders et toujours invaincus en championnat, ont décroché leur plus large victoire à domicile cette saison. Cette nouvelle victoire de la formation du roc sénégalais a été acquise à l’issue d’un match dominé de fond en comble. C’est le 11ème succès consécutif de Al-Hilal en Championnat. Le club de Riyadh (50pts) reprend provisoirement 13 points d’avance sur le dauphin, Al-Nassr (37pts).
Toujours dans la cadre de la 18ème journée de la Saudi Pro League, Al-Nassr (2ème, 37 pts) accueille Al-Ettifaq (8ème, 24 pts), ce vendredi. Les coéquipiers de Cristiano Ronaldo, avec un match en moins, tenteront de réduire l’écart qui les sépare du leader, avant la trêve hivernale.
Edouard Mendy vise un 5ème clean sheet en championnat
Le gardien sénégalais, Edouard Mendy, et ses coéquipiers de Al-Ahli FC (3ème, 34pts) se rendront à l’Al-Hazem Club Stadium (Ar Rass) pour affronter le 18ème du Championnat d’Arabie Saoudite. C’est la première fois que ces deux équipes vont s’affronter.
Auteur de son quatrième clean sheet de la saison face à Al-Feiha, jeudi dernier, le portier sénégalais aura à cœur de préserver cet après-midi sa cage vierge face à Al-Hazem SC, une manière de soigner ses statistiques 6 matchs (TCC) sans prendre le moindre but.
En Serie A, l’AC Milan se déplacera, ce vendredi, sur la pelouse de la Salernitana de Boulaye Dia, lanterne rouge du championnat italien. L’attaquant sénégalais a disputé douze rencontres de Championnat sous le maillot de Salernitana et a marqué quatre buts. Il vise une 5ème réalisation en championnat.
Il faut noter que plusieurs clubs de Premier League ont essayé ces derniers jours de convaincre Boulaye Dia à rejoindre leurs rangs. Mais son club n’a pas encore confirmé l’intention de se séparer de lui.
Après avoir battu Balla Gaye 2 il y’a presque un an, Boy Niang 2 veut poursuivre sur cette lancée en s’attaquant cette fois ci à l’autre grand champion Modou Lô. Sur Lutte TV, le « Thiapathioly » a d’abord loué les qualités de l’actuel roi des arènes avant de rappeler qu’il n’est pas « invincible » et qu’il a les qualités pour lui arracher la couronne le 1er janvier prochain.
« C’est un combat qui s’imposait. Quand on a affronté Balla Gaye, on doit logiquement pouvoir croiser Modou Lô qui est aussi un grand champion. Je me prépare avec sérénité pour le combat avec mes entraîneurs et sparring-partners comme Zambala, Ordinateur. J’ai vraiment des coéquipiers d’entraînement formidables. Ils sont de véritables techniciens et j’estime que m’entraîner avec eux me bonifie. L’adversaire Modou Lô ? C’est un fin technicien et un travailleur acharné. Tout le monde le sait. Donc c’est un adversaire de taille et je connais la valeur du combat. Père Bourkhane me dit souvent qu’il faut que je connaisse la valeur de mes combats pour pouvoir les remporter. J’ai des qualités à faire valoir et j’espère que je vais battre Modou Lô le 1er janvier. Il n’est pas invincible au même titre que Balla Gaye 2 que j’ai battu. C’est l’occasion de dire se préparer à affronter Balla Gaye est plus difficile qu’affronter Modou Lô parce que Balla a plus de soutien et il est le plus adulé (…) Les gens qui croient que Modou Lô est meilleur bagarreur que moi se trompent largement et le jour J ils en auront le cœur net. Je dois démontrer aux sceptiques que je suis un champion en battant les deux meilleurs lutteurs de l’arène [Balla Gaye et Modou Lô] ».
Karim Wade, ancien ministre et fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, demeure actuellement au Qatar, où il gère les affaires politiques du PDS. Malgré son exil loin du Sénégal, sa candidature à la Présidentielle de 2024 semble prendre forme, marquant un deuxième pas important vers le scrutin de février.
Le dépôt de la candidature de Karim Wade a été effectué au Conseil constitutionnel par ses proches, selon une note du secrétariat à la communication du PDS. Cette étape vient renforcer son positionnement en tant que candidat officiel pour la course présidentielle.
Cette nouvelle étape de la candidature de Karim Wade devrait susciter des réactions diverses au sein de la scène politique sénégalaise. Les partisans exprimeront probablement leur soutien, tandis que des interrogations pourraient émerger quant aux implications pratiques de sa participation à la campagne électorale depuis l’étranger.
Avec le dépôt de sa candidature, Karim Wade trace un chemin politique clair en vue de la Présidentielle de 2024. Son engagement financier et administratif depuis l’étranger souligne sa détermination à jouer un rôle actif dans le paysage politique sénégalais, malgré les défis liés à son exil. Les développements futurs de sa campagne et les réactions au sein de l’opinion publique restent à observer dans les mois à venir.
Le Sénégal termine l’année 2023 à la deuxième place du classement africain de la FIFA, publié jeudi, les hommes d’Aliou Cissé restent 20e dans le monde.
Le classement mondial publié jeudi 21 décembre par la FIFA n’a pratiquement connu pas d’évolution. Le top 20 mondial, notamment, n’a pas changé avec les Lions du Sénégal qui restent coller à la 20e position et deuxième en Afrique derrière le Maroc qui termine l’année en tête du classement en Afrique. Les demi-finalistes de la dernière Coupe du Monde sont classés 13e dans le monde. La Tunisie (28ème) complète ainsi le même podium. L’Algérie (30e) et Egypte (33e) sont respectivement positionnées à la 4e et 5e place.
A noter que seule la Côte d’Ivoire, classée 49ème, a pu remonter légèrement dans le classement. Ce changement est principalement dû à la suppression de certains résultats passés plutôt qu’aux performances actuelles. Elle est 8e en Afrique devant le Mali (9e) et le Burkina (10e).
Un an après son sacre en finale de la Coupe du monde 2022, l’Argentine est solidement installée à la première place. Derrière, la France qui occupe la seconde marche du podium. De son côté, l’Angleterre complète le trio de tête et demeure au troisième rang tandis que la Belgique, quatrième, et le Brésil, cinquième, se tiennent dans un mouchoir de poche.
La ville de Kolda, dans le sud du Sénégal, réclame avec insistance la reprise des travaux de construction de son aéroport, qui sont à l’arrêt depuis plus de 19 mois. Des citoyens et membres de la société civile de la région se sont mobilisés pour exprimer leur inquiétude face à cette situation et ont appelé les autorités à fournir des explications claires sur les raisons de cet arrêt inattendu.
Jeudi dernier, des forces vives de Kolda se sont réunies pour exprimer leur mécontentement face à l’arrêt prolongé des travaux de construction de l’aéroport. Boubacar Camara, coordinateur du forum civil de Kolda, a déclaré à l’Agence de presse sénégalaise (APS) : « Nous sommes réunis avec toutes les forces vives de Kolda pour constater avec amertume l’arrêt des travaux de l’aéroport de Kolda mais aussi réclamer leur reprise. »
L’un des points de préoccupation majeurs exprimés par la population concerne l’absence d’informations sur les raisons de l’arrêt des travaux. Boubacar Camara a souligné que les travaux auraient dû être achevés depuis longtemps et que l’absence d’explications claires crée une frustration croissante parmi les citoyens. Il a également noté que les personnes directement impactées par le chantier attendent toujours des explications sur le paiement des indemnités compensatoires.
L’impact de l’arrêt des travaux se fait ressentir au niveau local, avec des citoyens ayant perdu des terres cultivables. Beaucoup d’entre eux ne peuvent plus mener d’activités agricoles, ce qui affecte directement leur moyen de subsistance. Dans une région enclavée comme Kolda, l’aéroport était perçu comme un espoir pour désenclaver la région et stimuler le développement économique.
Les travaux de construction de l’aéroport de Kolda ont été lancés en mai 2022, avec une date prévue de fin en décembre 2023. Le coût estimé du projet s’élève à plus de 20 milliards de francs CFA.
Les citoyens de Kolda appellent les autorités compétentes à fournir des explications transparentes sur la raison de l’arrêt des travaux et à prendre des mesures concrètes pour assurer la reprise rapide de la construction de l’aéroport. Le projet est perçu comme essentiel pour le développement local, et la population reste en attente de réponses claires et d’une action immédiate.
Lors de la Conférence Nationale des Chefs de Parquets, Me Ciré Aly Ba, éminent avocat et défenseur des droits de l’homme, a prononcé un discours percutant mettant en lumière les enjeux liés aux détentions provisoires au Sénégal. Son plaidoyer en faveur d’une réforme du système judiciaire a captivé l’auditoire, soulignant l’importance cruciale de repenser les pratiques actuelles pour garantir une justice équitable et respectueuse des droits fondamentaux.
La Conférence Nationale des Chefs de Parquets réunit des professionnels du droit et des membres du système judiciaire pour discuter des défis actuels et des opportunités d’amélioration. Cette année, l’attention s’est concentrée sur la question des détentions provisoires, un sujet sensible suscitant un débat national sur la nécessité d’une réforme.
Me Ciré Aly Ba a souligné le problème de la durée excessive des détentions provisoires, mettant en lumière les conséquences néfastes de cette pratique sur les droits des prévenus et sur la surpopulation carcérale.
L’avocat a mis en avant l’impact négatif des détentions prolongées sur la présomption d’innocence, soulignant que chaque individu a le droit d’être traité comme innocent jusqu’à preuve du contraire.
Me Ciré Aly Ba a plaidé en faveur d’une réforme structurelle du système judiciaire, appelant à des mesures concrètes pour réduire les détentions provisoires injustifiées et garantir des procès équitables.
L’avocat a insisté sur l’importance de protéger les droits fondamentaux de chaque citoyen, mettant en garde contre les violations qui pourraient survenir en raison de détentions prolongées sans fondement.
Le discours de Me Ciré Aly Ba a suscité des réactions diverses au sein de la communauté juridique et du public. Certains applaudissent son plaidoyer pour la réforme, tandis que d’autres soulignent l’urgence d’agir pour remédier aux lacunes du système judiciaire.
Le discours de Me Ciré Aly Ba à la Conférence Nationale des Chefs de Parquets souligne la nécessité impérieuse d’une réforme du système judiciaire, particulièrement en ce qui concerne les détentions provisoires. Son appel en faveur d’une justice équitable et respectueuse des droits fondamentaux constitue un jalon vers des changements significatifs dans le paysage juridique du Sénégal.
Suite au rejet du pourvoi de Barthélemy Dias par la Cour Suprême dans l’affaire l’opposant à la famille de feu Ndiaga Diouf, le camp de Ndiaga Diouf maintient sa détermination à obtenir justice. L’avocat de la famille exprime sa satisfaction quant à la décision de la Cour Suprême, soulignant que cela confirme la véracité des faits pour lesquels Barthélemy Dias a été jugé. Me Papa Mor Niang, avocat de la famille Diouf, partage son sentiment de satisfaction en déclarant : « La justice a été rendue, une fois de plus. On a toujours déclaré et soutenu que les faits pour lesquels Barthélemy Dias a été acté pour justice, ce sont des faits qui sont avérés et la confirmation vient de tomber aujourd’hui. »
Interrogé sur la question des dommages et intérêts, l’avocat confirme que, compte tenu de la confirmation de l’arrêt par la Cour Suprême, Barthélemy Dias devra payer les dommages et intérêts à la famille de Ndiaga Diouf. Cette étape est considérée comme cruciale par la famille Diouf, symbolisant une reconnaissance de la responsabilité dans la tragédie survenue en 2011.
Malgré la victoire judiciaire, Me Papa Mor Niang souligne que la famille Diouf ne compte pas s’arrêter là. Il affirme : « Nous allons suivre l’affaire, exécuter une décision de justice qui a été rendue. C’est tout ce qui reste. Ce n’est pas une affaire d’acceptation ou de refus, c’est une décision ; on doit l’exécuter. »
Les prochaines étapes dans cette affaire seront scrutées de près alors que la famille Diouf cherche à obtenir justice et réparation pour la perte tragique de Ndiaga Diouf. La détermination affichée par la famille souligne l’importance de la poursuite du processus judiciaire pour les parties impliquées.
le rejet du pourvoi de Barthélemy Dias par la Cour Suprême marque une étape significative dans l’affaire, mais la quête de justice de la famille Diouf se poursuit. La décision de la Cour Suprême renforce l’importance du système judiciaire dans la recherche de vérité et de responsabilité dans des affaires aussi complexes.
La Cour Suprême a rendu une décision historique en rejetant le pourvoi introduit par le maire de Dakar, Barthélémy Dias, dans l’affaire qui l’oppose à la famille de feu Ndiaga Diouf. Cette affaire, qui remonte à la fusillade tragique de 2011 devant la mairie de Dakar, a connu de nombreux rebondissements judiciaires, aboutissant finalement à une décision défavorable pour Barthélémy Dias.
La Cour Suprême a rejeté le pourvoi de Barthélémy Dias, confirmant ainsi la décision de la Cour d’appel de Dakar. Cette dernière avait condamné le maire de Dakar à deux ans de prison, dont 6 mois ferme, et l’avait également obligé à verser des dommages et intérêts de 25 millions de FCFA à la famille de Ndiaga Diouf. La décision de la Cour Suprême représente un coup dur pour Barthélémy Dias, qui contestait la peine prononcée en appel.
Le procureur général a déclaré infondés les quatre moyens défendus par les avocats de Barthélémy Dias dans le cadre de leur pourvoi. Les motifs du rejet n’ont pas été immédiatement détaillés, mais la décision du procureur général renforce la validité de la condamnation précédente.
L’affaire Ndiaga Diouf remonte à l’année 2011, lorsque Ndiaga Diouf a été tué lors d’une fusillade devant la mairie de Dakar. Barthélémy Dias, maire de la ville à l’époque, a été impliqué dans les événements qui ont conduit à cette tragédie. Les différentes étapes judiciaires ont été marquées par des rebondissements, mais la décision de la Cour Suprême semble désormais mettre un terme à cette longue saga judiciaire.
Les réactions à la décision de la Cour Suprême ne se sont pas fait attendre, suscitant des commentaires divergents au sein de l’opinion publique. Alors que certains saluent la justice pour son intégrité et sa fermeté, d’autres expriment des inquiétudes quant aux implications politiques de cette affaire. Les prochaines étapes pour Barthélémy Dias et sa défense restent incertaines, mais cette décision marquera à coup sûr l’histoire judiciaire du pays.
Le rejet du pourvoi de Barthélémy Dias par la Cour Suprême dans l’affaire Ndiaga Diouf représente un jalon historique dans le contexte judiciaire du Sénégal. Cette décision souligne l’importance de l’indépendance et de l’impartialité du système judiciaire, tout en ouvrant de nouvelles perspectives pour l’avenir de l’affaire et ses implications politiques.
La présidence de la République a atteint un jalon significatif en matière de gestion de qualité en recevant le prestigieux certificat ISO 9001. Cette distinction témoigne de l’engagement exceptionnel de l’institution envers l’amélioration continue, la transparence et l’efficacité dans ses opérations, renforçant ainsi sa réputation en tant qu’instance gouvernementale modèle.
L’obtention du certificat ISO 9001 par la présidence de la République est une reconnaissance internationale de l’engagement envers les normes les plus élevées de qualité de gestion. Cette certification, délivrée par l’Organisation internationale de normalisation (ISO), est une preuve tangible de la mise en place de processus et de pratiques de gestion exceptionnels au sein de l’institution présidentielle.
La démarche de certification ISO 9001 démontre l’engagement de la présidence envers l’excellence opérationnelle, la satisfaction des parties prenantes et l’optimisation continue de ses processus internes. Ce faisant, elle renforce la confiance du public envers l’administration présidentielle, soulignant un modèle de gouvernance axé sur la qualité et l’efficacité.
La présidence de la République a souligné que la quête de la certification ISO 9001 était guidée par les principes de transparence et de responsabilité envers les citoyens. Les processus de gouvernance clairs et documentés, mis en œuvre pour répondre aux exigences strictes de l’ISO, renforcent la confiance du public dans la manière dont l’institution est gérée.
Le processus d’obtention de la certification ISO 9001 a été rigoureux, impliquant une évaluation approfondie des pratiques de gestion, des audits internes et externes, ainsi que des efforts substantiels pour améliorer les processus existants. L’ensemble du personnel de la présidence a été mobilisé pour contribuer à cette démarche, illustrant un engagement collectif envers l’excellence.
Les réactions positives à l’annonce de la certification ISO 9001 de la présidence de la République ont afflué, soulignant l’importance de cette réalisation pour l’image du pays et la confiance dans ses institutions. L’impact anticipé de cette certification est considérable, tant au niveau national qu’international, renforçant la crédibilité de l’administration présidentielle.
La certification ISO 9001 marque une étape importante, mais la présidence de la République s’engage également à maintenir et à améliorer continuellement ses normes de gestion. Cette démarche réaffirme la volonté de l’institution de demeurer un exemple d’excellence dans la prestation de services publics et la gouvernance.
L’obtention du certificat ISO 9001 par la présidence de la République est un témoignage de son engagement envers la qualité et l’efficacité dans ses opérations. C’est un accomplissement significatif qui souligne la volonté de l’institution de répondre aux normes internationales les plus élevées en matière de gouvernance et de gestion.
L’affaire impliquant Ndella Madior Diouf a pris une nouvelle tournure alors qu’une pétition a été lancée, appelant à la fermeture immédiate de la pouponnière au cœur de la controverse. Cette initiative citoyenne souligne les préoccupations croissantes autour des conditions de vie des enfants dans cet établissement et réclame des mesures décisives pour garantir leur bien-être.
L’affaire a éclaté lorsque Ndella Madior Diouf, une personnalité publique éminente, a attiré l’attention sur des allégations de négligence et de mauvais traitements envers les enfants résidant dans une pouponnière spécifique. Ses déclarations ont suscité un débat national sur la protection des droits des enfants et la qualité des soins dispensés dans ces établissements.
Face à cette controverse, des citoyens engagés ont lancé une pétition en ligne appelant à la fermeture immédiate de la pouponnière concernée. La pétition souligne les préoccupations quant aux conditions de vie des enfants, alléguant un manque de soins adéquats, des infrastructures inadéquates et des cas présumés de négligence.
La pétition vise à mobiliser un soutien significatif en faveur de la fermeture de la pouponnière, soulignant l’urgence de garantir la sécurité et le bien-être des enfants qui y résident. Les signataires appellent également à une enquête approfondie sur les allégations de maltraitance et à l’évaluation des normes de fonctionnement de l’établissement.
Les autorités concernées ont été interpellées par cette initiative citoyenne, et des appels ont été lancés pour une action rapide. Des organisations de la société civile ont exprimé leur soutien à la pétition, soulignant l’importance de garantir un environnement sûr et sain pour les enfants vulnérables.
La pétition a rapidement gagné en visibilité grâce aux médias sociaux, devenant une plateforme pour exprimer des inquiétudes et un appel à l’action collective. Les partages, les commentaires et les témoignages en ligne ont renforcé la pression publique en faveur d’une réponse rapide et efficace aux allégations de maltraitance.
Alors que la pétition prend de l’ampleur, la question de la protection des droits des enfants dans les établissements similaires est devenue un enjeu majeur. Les autorités devront répondre aux préoccupations du public et prendre des mesures significatives pour garantir la sécurité et le bien-être des enfants placés sous la responsabilité de ces établissements.
le lancement de cette pétition marque une mobilisation citoyenne significative pour faire face aux allégations de maltraitance et de négligence dans la pouponnière en question. Cela met également en évidence le pouvoir croissant de la voix citoyenne et des médias sociaux dans la promotion du changement social et de la responsabilisation.
Le dossier judiciaire de l’affaire Ndiaga Diouf connaît un nouveau développement majeur alors que Barthélémy Dias, figure politique de renom, comparaîtra de nouveau devant la justice ce vendredi. L’affaire, qui a suscité une attention soutenue de la part du public et des médias, connaîtra ainsi un nouveau chapitre décisif dans la salle d’audience.
Le Contexte de l’Affaire Ndiaga Diouf
L’affaire Ndiaga Diouf remonte à [Date], lorsque des événements tragiques ont conduit à la perte de vie de Ndiaga Diouf, un citoyen sénégalais. Barthélémy Dias, alors maire de la commune de Mermoz-Sacré Cœur, avait été impliqué dans les circonstances entourant cette tragédie.
Les Charges et les Étapes Précédentes
Barthélémy Dias avait été inculpé de meurtre et d’autres charges connexes en relation avec la mort de Ndiaga Diouf. Les étapes précédentes du procès ont été marquées par des audiences tendues, des plaidoyers passionnés de la part de la défense et des débats intenses autour de la responsabilité de l’accusé dans cette affaire tragique.
Le Retour de Barthélémy Dias devant la Justice
Ce vendredi marque une étape cruciale dans l’affaire, avec Barthélémy Dias de retour devant la justice pour faire face aux charges qui pèsent sur lui. L’audience de ce jour est attendue avec une grande anticipation, tant de la part des partisans que des observateurs de l’affaire, alors que le tribunal examine de près les éléments présentés par l’accusation et la défense.
Les Attentes et les Réactions Anticipées
Les attentes sont élevées quant à la façon dont l’affaire évoluera. Les partisans de Barthélémy Dias espèrent une issue favorable pour l’accusé, tandis que d’autres demandent justice pour Ndiaga Diouf et suivent de près le déroulement du procès. Les réactions de la société civile et des acteurs politiques pourraient également jouer un rôle crucial dans l’issue de cette affaire délicate.
Un Jour Déterminant pour la Justice et la Société
Alors que Barthélémy Dias revient devant la justice ce vendredi, le Sénégal retient son souffle en attente d’une décision qui façonnera l’avenir de cette affaire et aura des répercussions au-delà du prétoire. Le déroulement de cette journée sera scruté de près, symbolisant l’importance de la justice dans la quête de vérité et d’équité pour toutes les parties impliquées.
Une lueur d’espoir éclaire le ciel de Seny Dieng, le gardien de but talentueux, à la fois pour son club, Middlesbrough, et pour l’équipe nationale. Une bonne nouvelle concernant sa blessure récemment subie a été annoncée, apaisant ainsi les inquiétudes des fans et des supporters qui suivaient de près l’état de santé du gardien de but.
Seny Dieng avait suscité des inquiétudes parmi les fans de Middlesbrough et les supporters de l’équipe nationale en raison d’une blessure subie lors d’un récent match. Les premières informations laissaient craindre une absence prolongée du terrain pour le gardien, ce qui aurait pu avoir des implications significatives pour son club et son rôle au sein de l’équipe nationale.
Cependant, les derniers développements médicaux apportent un soulagement bienvenu. Les examens approfondis ont révélé que la blessure de Seny Dieng était moins grave que prévu initialement. Bien que nécessitant un temps de récupération, la période d’indisponibilité prévue est moins longue que ce qui avait été initialement craint, selon les déclarations des professionnels de la santé et du staff médical de Middlesbrough.
Seny Dieng a réagi positivement à la nouvelle, exprimant sa gratitude envers le soutien massif qu’il a reçu de la part des fans, de ses coéquipiers et du personnel du club. Dans une déclaration, le gardien de but a déclaré : « Je suis soulagé que la blessure ne soit pas aussi grave que nous le craignions. Je suis impatient de revenir sur le terrain dès que possible et de contribuer à nos objectifs collectifs. »
Le club de Middlesbrough et l’entraîneur de l’équipe nationale ont exprimé leur soutien continu à Seny Dieng dans sa période de récupération. Les éloges ont afflué pour sa détermination et son professionnalisme, et tous espèrent son retour rapide pour renforcer les rangs de Middlesbrough et de l’équipe nationale.
Alors que Seny Dieng commence son parcours de rééducation, les supporters de Middlesbrough et les fans de l’équipe nationale anticipent avec impatience son retour sur les terrains. Sa présence, tant appréciée pour ses performances exceptionnelles, est attendue avec impatience pour consolider la défense et apporter son expérience cruciale.
la bonne nouvelle concernant la blessure de Seny Dieng représente un soulagement pour tous les fans, offrant une perspective positive pour l’avenir de Middlesbrough et de l’équipe nationale avec leur gardien de but talentueux sur la voie du rétablissement.
Cinq mois après le coup d’État qui a secoué le Niger, marquant un tournant politique majeur, les derniers soldats français ont achevé leur retrait du pays. Cette étape importante souligne l’évolution de la dynamique politique et militaire dans la région, ouvrant la voie à une nouvelle phase de la gouvernance nigérienne.
Le retrait des forces françaises était largement attendu depuis les événements du coup d’État survenu il y a cinq mois. La présence militaire française, qui avait historiquement soutenu le Niger dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et le maintien de la stabilité régionale, avait été remise en question après les changements politiques survenus.
Le coup d’État a marqué un changement significatif dans la direction politique du Niger, avec l’établissement d’un nouveau gouvernement. L’évolution de la dynamique politique a également eu des répercussions sur les relations internationales du pays, notamment avec la France, qui a décidé de retirer ses troupes en conséquence.
Les autorités françaises et nigériennes ont émis des déclarations officielles pour marquer la fin du retrait des troupes françaises du Niger. Le gouvernement français a exprimé sa confiance dans la capacité du Niger à assurer sa propre sécurité et a souligné son engagement continu à soutenir la lutte contre le terrorisme dans la région.
De son côté, le gouvernement nigérien a affirmé son engagement à maintenir la sécurité et la stabilité dans le pays, soulignant la nécessité d’une coopération régionale et internationale renforcée pour relever les défis sécuritaires persistants.
Les réactions à ce retrait varient, certains soulignant l’importance de la souveraineté nationale et d’autres exprimant des préoccupations quant à l’impact sur la sécurité. Les prochains mois seront cruciaux pour évaluer l’efficacité des mesures de sécurité mises en place par le Niger et pour observer l’évolution des relations internationales dans la région.
En conclusion, le retrait des derniers soldats français marque une étape significative dans l’évolution politique et sécuritaire du Niger. La nation africaine se tourne désormais vers l’avenir, confrontée aux défis et aux opportunités liés à cette nouvelle phase de son histoire.
Le secteur de la santé au Sénégal est confronté à une escalade de tensions alors que les travailleurs de la santé envisagent sérieusement une grève générale dans toutes les structures du pays. Cette menace, qui plane sur le système de santé, met en évidence les préoccupations et les revendications urgentes des professionnels de la santé, confrontés à des défis croissants au sein du système de soins.
Les travailleurs de la santé du pays ont exprimé leur mécontentement face à une série de préoccupations, allant des conditions de travail difficiles aux problèmes de sécurité, en passant par des questions salariales non résolues. Les représentants syndicaux ont souligné que les négociations avec les autorités compétentes n’ont pas abouti à des solutions concrètes, forçant ainsi les professionnels de la santé à envisager une action collective pour faire entendre leurs revendications.
Les professionnels de la santé déplorent des conditions de travail de plus en plus précaires, notamment en termes de surcharge de travail, de manque d’équipements médicaux adéquats et de déficits dans la gestion de la sécurité des travailleurs. La sécurité des personnels médicaux a été particulièrement mise en avant, avec des incidents croissants d’agressions physiques dans le cadre de leurs fonctions.
Les questions salariales demeurent un point central des revendications. Les travailleurs de la santé exigent des augmentations salariales substantielles pour refléter l’importance de leur rôle, en particulier en cette période de pandémie mondiale. Ils soulignent également la nécessité d’une reconnaissance accrue de leur contribution essentielle à la société.
Face à l’impasse des négociations, les syndicats de la santé ont pris la décision difficile d’appeler à une grève générale dans toutes les structures du pays. Cette décision soulève des inquiétudes quant à son impact sur la prestation des soins de santé, en particulier dans le contexte actuel où les services médicaux sont déjà sous pression en raison de la pandémie mondiale.
Les autorités du pays ont réagi en exprimant leur volonté de poursuivre les pourparlers avec les représentants syndicaux afin de trouver des solutions aux revendications des travailleurs de la santé. Cependant, la situation reste tendue, avec des appels à une résolution rapide pour éviter des perturbations majeures dans le secteur de la santé.
En conclusion, le secteur de la santé du Sénégal se trouve à la croisée des chemins alors que les travailleurs envisagent sérieusement une grève générale. La résolution de cette crise dépendra de la capacité des parties prenantes à trouver un terrain d’entente, reconnaissant l’importance critique du secteur de la santé dans la vie de la nation.
En cette veille de Noël, l’éminent défenseur des droits de l’homme sénégalais, Alioune Tine, a lancé un appel émouvant à l’adresse du Président Macky Sall, exhortant ce dernier à prendre une mesure symbolique de réconciliation nationale en pardonnant et en libérant Ousmane Sonko, leader de l’opposition actuellement détenu.
Dans un discours empreint d’humanité, Alioune Tine a plaidé en faveur d’un geste de clémence et de réconciliation de la part du président Macky Sall envers Ousmane Sonko. « En cette période de Noël, symbole de paix et de fraternité, j’appelle le Président Macky Sall à donner le top départ de la réconciliation en pardonnant et en libérant Ousmane Sonko. C’est une occasion unique de rétablir la confiance et l’unité nationale », a déclaré M. Tine.
Alioune Tine soutient que la libération de Sonko enverrait un puissant signal de réconciliation à travers le pays. « Noël est le moment idéal pour poser des gestes de clémence et de compréhension. Libérer Sonko ne signifie pas ignorer la justice, mais plutôt embrasser un esprit de pardon et de réconciliation pour le bien de la nation », a-t-il ajouté.
La détention d’Ousmane Sonko a exacerbé les tensions politiques au Sénégal. Alioune Tine appelle à la détente et encourage toutes les parties à œuvrer en faveur du dialogue et de la compréhension mutuelle. « La période des fêtes devrait être un moment de rassemblement et de réflexion pour tous les Sénégalais. Le président Macky Sall a l’opportunité de guider le pays vers un avenir plus pacifique en faisant preuve de clémence envers Sonko », a-t-il souligné.
L’appel d’Alioune Tine a généré des réactions diverses au sein de la population sénégalaise. Certains soutiennent l’idée d’un geste de réconciliation à Noël, tandis que d’autres soulignent l’importance de respecter le processus judiciaire en cours. En cette période festive, les Sénégalais espèrent que des initiatives de paix et de compréhension prévaudront, contribuant ainsi à apaiser les tensions politiques et à ouvrir la voie à un dialogue constructif.
L’appel émouvant d’Alioune Tine en faveur de la libération d’Ousmane Sonko à l’approche de Noël offre une lueur d’espoir pour la réconciliation nationale. L’issue de cette situation délicate reste à déterminer, mais l’appel de M. Tine résonne comme une invitation à embrasser l’esprit de la saison des fêtes pour construire un avenir plus pacifique et uni au Sénégal.
Dans le cadre de l’enquête en cours sur le scandale « Keur Yeurmandé », l’éminente avocate et personnalité publique sénégalaise, Ndella Madior Diouf, a fourni des déclarations percutantes aux enquêteurs. Ses révélations apportent un nouvel éclairage sur cette affaire qui a secoué l’opinion publique, jetant un regard critique sur les rouages internes de ce scandale immobilier.
Un Témoignage Accablant
Ndella Madior Diouf, convoquée en tant que témoin clé dans l’enquête en cours, a fourni des informations cruciales aux enquêteurs. Selon nos sources, l’avocate a exposé en détail les dessous du scandale « Keur Yeurmandé », mettant en lumière des pratiques douteuses et des malversations financières présumées. Lors de son interrogatoire, Ndella Madior Diouf aurait déclaré que « les activités entourant « Keur Yeurmandé » étaient entachées d’irrégularités flagrantes, avec des signes évidents de corruption et de manipulation des procédures. » Ses propos soulignent l’importance cruciale de faire toute la lumière sur ces allégations afin d’assurer la transparence et la responsabilité.
Des Liens Troublants
RévélésL’avocate a également évoqué des liens troublants entre certaines personnalités impliquées dans le scandale et des figures politiques et économiques influentes. Ces révélations pourraient potentiellement ouvrir de nouvelles pistes d’enquête, jetant ainsi un éclairage inédit sur les ramifications de « Keur Yeurmandé » au sein de la sphère politique et économique du Sénégal.
Appel à la Transparence et à la Justice
Suite à son interrogatoire, Ndella Madior Diouf a appelé à la transparence totale dans l’enquête en cours. Dans une déclaration publique, elle a souligné l’importance de faire toute la lumière sur cette affaire pour restaurer la confiance du public dans les institutions et assurer que les responsabilités soient clairement établies. « La vérité doit prévaloir, peu importe les ramifications politiques ou économiques. Les citoyens méritent une justice équitable, et il est de notre devoir de garantir la transparence et la responsabilité dans cette affaire », a déclaré Ndella Madior Diouf.
Réactions de l’Opinion Publique
Les révélations de Ndella Madior Diouf ont suscité des réactions vives au sein de l’opinion publique sénégalaise. Sur les réseaux sociaux, de nombreux citoyens expriment leur soutien à la quête de vérité et appellent à une enquête approfondie pour rendre justice aux victimes potentielles de ce scandale immobilier.
En conclusion, les déclarations de Ndella Madior Diouf ajoutent une nouvelle dimension au scandale « Keur Yeurmandé », soulignant l’importance cruciale d’une enquête approfondie et transparente pour établir la vérité et restaurer la confiance du public dans l’intégrité de la justice et des institutions.
La tension qui planait sur Diourbel s’est dissipée aujourd’hui avec la publication tant attendue de la liste des représentants de la région pour la 12ème édition du Festival National des Arts et Cultures (FESNAC). Après trois jours d’auditions rigoureuses impliquant les artistes des trois départements de Diourbel, Mbacké, et Bambey, le jury a dévoilé les noms des lauréats qui auront l’honneur de porter les couleurs de la région lors du prestigieux événement prévu du 08 au 12 janvier prochain à Fatick, sous le thème « Macky, les arts et le patrimoine. »
La décision du jury intervient après des jours de débats passionnés et de tensions au sein de la communauté artistique locale. Certains artistes avaient exprimé leur désaccord face à l’idée d’une sélection d’office, ce qui a conduit à la tenue d’auditions pour garantir une représentation équitable des talents de la région.
Le processus d’audition, qui s’est déroulé sur trois jours, a été marqué par des performances artistiques diversifiées et des démonstrations de la richesse culturelle de Diourbel. Les membres du jury, composés d’experts du domaine artistique et culturel, ont eu la tâche ardue de sélectionner les artistes qui refléteront le mieux l’essence et la diversité de la culture diourbelloise.
Le Festival National des Arts et Cultures, qui se tient chaque année, est un événement majeur célébrant la richesse et la variété des expressions artistiques et culturelles sénégalaises. Le thème de cette année, « Macky, les arts et le patrimoine, » promet une célébration engagée, mettant en lumière le rôle des arts et du patrimoine dans la construction de l’identité nationale sous la présidence de Macky Sall.
Les représentants choisis auront la responsabilité de porter haut les couleurs de Diourbel lors de cet événement d’envergure nationale. Leur sélection est le fruit d’un processus transparent et équitable, visant à assurer une représentation authentique et significative de la riche diversité culturelle de la région. Alors que les artistes se préparent à participer au FESNAC, la communauté attend avec impatience de célébrer la culture diourbelloise sous les feux des projecteurs nationaux.
Dans un acte généreux qui renforce les liens entre la communauté et l’engagement social, Pape Modou Fall, Directeur de l’Emploi et Coordinateur national de la coalition républicaine « Sammu Sunu Résa », a offert une ambulance médicalisée à l’Hôpital Matlaboul Fawzeyni de Touba. Ce don intervient à un moment crucial, selon le directeur de l’établissement, compte tenu de la croissance démographique constante de la ville sainte.
L’Hôpital Matlaboul Fawzeyni, qui joue un rôle pivot dans la prestation des soins de santé, est également sollicité pour diverses interventions médicales. L’ajout de cette ambulance médicalisée à leur flotte représente un pas significatif pour améliorer la qualité des services de santé dans la région, en permettant une réponse plus rapide et efficace aux situations d’urgence.
Les autorités locales et le personnel médical se sont réunis lors de la cérémonie de remise du don, exprimant leur gratitude envers Pape Modou Fall pour son geste philanthropique. Le Directeur de l’Emploi n’en est pas à son premier acte humanitaire, ayant déjà réalisé de nombreuses initiatives visant à autonomiser les femmes et à faciliter l’insertion des jeunes, en particulier dans la région de Diourbel et ses environs.
L’ambulance médicalisée, équipée des dernières technologies médicales, devrait renforcer les capacités de l’Hôpital Matlaboul Fawzeyni dans la prise en charge des patients et contribuer à réduire les délais d’intervention médicale, en particulier dans des situations critiques. Ce geste altruiste de Pape Modou Fall démontre son engagement continu envers le bien-être de la communauté et son souci constant d’améliorer les services de santé dans la région.
En cette période où la solidarité et l’entraide sont plus que jamais nécessaires, le don de l’ambulance médicalisée par Pape Modou Fall souligne l’importance de la responsabilité sociale et de la collaboration entre les secteurs public et privé pour promouvoir le bien-être collectif. L’Hôpital Matlaboul Fawzeyni et la communauté de Touba expriment leur reconnaissance envers ce geste généreux qui laissera une empreinte positive dans le domaine de la santé pour les années à venir.
Dans une annonce qui marque un tournant significatif pour le Guédiawaye FC, le talentueux footballeur sénégalais Ansou Diadhiou a officiellement signé un contrat de deux ans avec le club. Cette signature, qui scelle une collaboration prometteuse entre le joueur et l’équipe, souligne l’ambition du Guédiawaye FC de renforcer son effectif et de s’imposer comme une force majeure sur la scène footballistique.
Un Renfort Stratégique pour le Guédiawaye FC
Le président du Guédiawaye FC, [Nom du président], s’est exprimé avec enthousiasme sur cette acquisition majeure : « Nous sommes ravis d’accueillir Ansou Diadhiou au sein de notre équipe. Son talent exceptionnel et son engagement sur le terrain correspondent parfaitement à notre vision de l’avenir du club. Nous croyons fermement que sa présence renforcera notre effectif et contribuera à nos ambitions sportives. »
Le Parcours Brillant d’Ansou Diadhiou
Les Objectifs Communs
Ansou Diadhiou, dans ses premiers mots en tant que membre du Guédiawaye FC, a exprimé son enthousiasme et sa détermination à contribuer aux succès futurs du club. « C’est un honneur de rejoindre le Guédiawaye FC, une équipe avec une histoire riche et des ambitions élevées. Je suis prêt à donner le meilleur de moi-même sur le terrain et à travailler en harmonie avec mes coéquipiers pour atteindre nos objectifs communs. »
Les Fans en Ébullition
En conclusion, la signature d’Ansou Diadhiou pour deux ans marque le début d’une nouvelle ère prometteuse pour le Guédiawaye FC. Les attentes sont élevées, mais avec ce nouveau renfort, le club semble bien équipé pour relever les défis à venir et s’affirmer comme une force majeure sur la scène footballistique sénégalaise.
Le contexte économique mondial en constante évolution a engendré une complexification des affaires liées aux questions financières et économiques. Pour répondre à ces défis, il est devenu impératif d’adapter le système judiciaire en conséquence. La création d’un pool judiciaire financier représente une réponse stratégique à cette exigence, offrant aux magistrats l’occasion de développer une expertise pointue dans ce domaine spécialisé.
Les objectifs du pool judiciaire financier
Le pool judiciaire financier, une fois opérationnel, concentrera son action sur plusieurs objectifs majeurs :
En concentrant des magistrats spécialement formés dans le domaine financier, le pool vise à renforcer l’expertise des juges pour une meilleure compréhension des subtilités des affaires économiques et financières.
La spécialisation permettra aux magistrats de traiter ces affaires avec une célérité accrue, contribuant ainsi à la réduction des délais de jugement et à l’amélioration globale de l’efficacité du système judiciaire.
Le pool judiciaire financier ne se limitera pas à la réaction aux infractions commises, mais œuvrera également à la prévention en identifiant les risques potentiels et en élaborant des stratégies judiciaires proactives.
Un processus de mise en place progressif
La mise en place du pool judiciaire financier sera progressive et bien étudiée. Elle comprendra la sélection rigoureuse des magistrats participant, leur formation spécialisée, et la définition des compétences spécifiques nécessaires à l’exercice de leurs fonctions.
Réactions et perspectives
Cette annonce a été saluée par de nombreux experts juridiques et acteurs économiques qui voient en cette initiative une avancée significative vers une justice plus adaptée aux enjeux contemporains. Certains soulignent l’importance d’une collaboration étroite entre le pool judiciaire financier et les acteurs économiques pour assurer une compréhension mutuelle des enjeux en présence.
En conclusion, la création d’un pool judiciaire financier au Sénégal représente une réponse proactive aux défis économiques et financiers actuels. Cette spécialisation des magistrats témoigne de la volonté du gouvernement de promouvoir une justice adaptée aux réalités complexes de notre époque, avec l’objectif ultime de renforcer la confiance dans le système judiciaire et de favoriser un environnement propice aux activités économiques.
Clap de fin pour l’arbitre Bakary Gassama. Le Gambien a officiellement annoncé sa retraite, apprend-on de la Fédération gambienne de football (GFF).
Après 16 ans de carrière, Bakary Gassama range son sifflet à l’âge de 44 ans. « Le célèbre arbitre Bakary Papa Gassama, plusieurs fois récompensé, a officiellement annoncé aujourd’hui (jeudi 21 décembre 2023) qu’il raccrochait son sifflet », a indiqué la GFF dans un communiqué exhaustif via sa page Facebook officielle. Le natif de Jokadou a justifié son choix par la volonté « d’offrir à de jeunes arbitres la possibilité d’émerger et de gagner en visibilité sur la scène internationale », a précisé la GFF.
Bakary Gassama doit sa célébrité à son CV long comme le bras. Après ses débuts en Gambie, suite à l’obtention de la licence FIFA en 2007, ses performances sont allées crescendo, des compétitions interclubs de la Confédération africaine de football (CAF) à la finale de la Coupe des confédérations FIFA 2017, en passant par plusieurs éditions de la CAN, les Jeux Olympiques 2012 et la Coupe du monde 2014 au Brésil où il arbitré Pays-Bas – Chili.
Algérie-Cameroun, la fin de Gassama
Gassama a par ailleurs officié à la Coupe du monde U20, en Ligue des champions de la CAF, en Coupe du monde des clubs, lors des qualifications africaines, en Gold Cup, en Coupe arabe ou encore en Kings Cup. Sa carrière a pris un coup – sans doute fatal – après le barrage retour du Mondial 2022 entre l’Algérie et le Cameroun, en mars de la même année. Au sortir de la victoire 1-2 qui offrait le sésame aux Lions Indomptables grâce à l’avantage du but à l’extérieur, quatre jours après la défaite à domicile (0-1), la Fédération algérienne de football (FAF) avait pesté contre « un arbitrage scandaleux ayant faussé le résultat du match ».
Le sifflet gambien avait été notamment accusé de deux buts refusés à Slimani et deux penaltys non sifflés. « Il ne faudra plus accepter ce genre de choses », avait réagi à chaud le sélectionneur de l’équipe d’Algérie, Djamel Belmadi, avant sortir la sulfateuse deux mois après dans une interview accordée aux médias de la FAF. « Plus jamais de la vie on laissera deux trois personnes conspirer contre notre pays. On ne verra plus jamais un arbitre comme ça mettre à mal un pays. Je suis obligé de dire que je n’ai pas aimé du tout au lendemain du départ de cet arbitre, à l’aéroport d’Alger, le voir confortablement assis dans les salons à boire un café avec un millefeuille », disait-il
Le néo-international sénégalais Lamine Camara (2 capes, 1 but) a révélé l’identité de son joueur modèle à l’occasion d’une interview accordée au site officiel de la Ligue 1.
Devenu indiscutable en équipe première au FC Metz (16 apparitions pour 14 titularisations), neuf mois après son incorporation à la réserve, en provenance de son club formateur de Génération Foot, Lamine Camara est l’une des jeunes attractions du championnat de France. Lors d’un entretien où il évoqué plusieurs aspects de sa carrière naissante pour les soins du site officiel de la L1, de ses premiers pas à Génération Foot à sa première sélection en équipe du Sénégal, en passant par son adaptation expresse à Metz, le milieu relayeur de 19 ans a dévoilé son plus grand modèle.
Lamine Camara loue Gana Gueye…
« Je dirais que je suis un milieu box to box, que j’aime aider mes coéquipiers sur les efforts… Et si je peux pourquoi pas aller marquer… J’ai trois modèles : Kevin De Bruyne, Toni Kroos mais, mon plus grand modèle, c’est Idrissa (Gana) Gueye », a confié le joueur élu meilleur jeune Africain de l’année. « Depuis tout petit, je m’inspire beaucoup de lui. Et maintenant que je suis avec lui en sélection, je regarde ce qu’il fait, lors des entraînements, en dehors… »