Échec au contrôle de parrainage : Fin de course présidentielle pour Al Hassane Ould Aliou Niang

Dans une tournure inattendue, le candidat Al Hassane Ould Aliou Niang voit son rêve présidentiel prendre fin à la suite de son échec au contrôle de parrainage. Malgré une première validation de 5857 parrains, la candidature d’Al Hassane Ould Aliou Niang est irrémédiablement écartée en raison de la détection de 20 109 doublons externes.

Cet épisode marque un tournant décisif dans la course à la présidence pour Al Hassane Ould Aliou Niang, soulignant l’importance cruciale du processus de contrôle de parrainage dans le paysage politique sénégalais.

Le contrôle de parrainage, mis en place pour garantir la légitimité des candidatures présidentielles, a révélé des irrégularités majeures dans le dossier d’Al Hassane Ould Aliou Niang. Malgré une première validation encourageante de plus de 5 800 parrains, la découverte de 20 109 doublons externes a été jugée rédhibitoire par les instances compétentes, conduisant à l’élimination de sa candidature.

Les doublons externes, qui désignent probablement des cas de parrainages multiples et non conformes aux règles électorales, soulèvent des questions sur la rigueur du processus de collecte des signatures de soutien. Cette affaire met également en lumière l’importance de la vigilance dans la vérification des listes de parrainage afin de préserver l’intégrité du processus électoral.

La réaction du candidat Al Hassane Ould Aliou Niang et de son équipe face à cette disqualification potentielle reste à observer. Il est probable que des recours légaux soient envisagés pour contester cette décision, ce qui pourrait prolonger les débats autour de cette élimination controversée.

Ce rebondissement dans la campagne présidentielle souligne l’importance cruciale du respect des règles électorales et de la transparence dans le processus démocratique. Alors que d’autres candidats poursuivent leur course vers la présidence, cette élimination rappelle aux acteurs politiques l’impératif de conformité absolue aux exigences légales pour éviter des désillusions de dernière minute. La suite des événements dans cette affaire pourrait également susciter des discussions plus larges sur la réforme électorale et la nécessaire amélioration des mécanismes de contrôle pour garantir des élections justes et équitables au Sénégal.

Cour Suprême : Le juge établit les règles du jeu dans l’affaire Sonko/Mbaye Niang

La Cour suprême du Sénégal a été le théâtre d’une audience cruciale concernant le pourvoi en cassation de Mame Mbaye Niang contre Ousmane Sonko. L’enjeu majeur de cette séance était la contestation de la condamnation de Sonko à 6 mois de prison avec sursis et une amende de 200 millions pour des accusations de « diffamation et injures ».

La séance, présidée par le Président AbdouRahmane Diouf, a débuté avec l’invitation aux parties à se mettre d’accord sur la durée des plaidoiries, se référant à l’article L46 de la loi organique de la Cour.

Me Ousseynou Fall, avocat de la défense, a vivement contesté la limitation du temps de parole, arguant que cela constituait une entrave aux droits de la défense. Me Clédor Ly a soutenu cette position, réclamant un minimum de 1h30 pour s’exprimer, suggérant que le temps proposé par le juge était insuffisant pour un développement complet des arguments.

En réponse, Me Elhadji Diouf, représentant la partie adverse, a accusé la défense de chercher à prolonger inutilement les débats. Il a souligné l’incohérence dans le nombre d’avocats présents et a exprimé son accord avec le temps de parole proposé par le juge.

Finalement, le Président Abdourahmane Diouf a tranché en faveur de la défense, accordant la latitude demandée pour s’exprimer sans préciser la durée exacte.

Cette décision du juge souligne l’importance accordée à la préservation des droits de la défense dans le cadre de cette affaire sensible. L’équilibre entre les intérêts de la justice et le respect des droits fondamentaux des parties en présence a été au cœur des débats, reflétant la complexité de cette affaire hautement médiatisée.

Le pourvoi en cassation de Mame Mbaye Niang contre la condamnation d’Ousmane Sonko demeure un sujet de grande attention au sein de la société sénégalaise. Les développements à la Cour suprême soulignent l’importance d’une procédure équitable et transparente, tout en mettant en lumière les divergences d’opinions entre les parties concernant la gestion du temps imparti aux plaidoiries. L’issue de cette affaire aura des répercussions significatives sur la perception de la justice et des droits individuels au Sénégal.

Comprendre la question d’inconstitutionnalité dans l’affaire Sonko/Mbaye Niang pour les enfants

La question d’inconstitutionnalité dans l’affaire impliquant Ousmane Sonko et Mbaye Niang, notamment en ce qui concerne les enfants, soulève des préoccupations importantes quant à la conformité des mesures prises avec les principes fondamentaux de la Constitution du Sénégal. Pour comprendre pleinement cette question complexe, examinons les éléments clés de l’affaire et les implications constitutionnelles liées à la protection des droits des enfants.

Contexte de l’affaire : L’affaire Sonko/Mbaye Niang concerne probablement des allégations graves ou des incidents qui ont attiré l’attention publique. Les détails précis de l’affaire peuvent varier, mais il est essentiel de se concentrer sur les aspects liés aux enfants pour comprendre la question d’inconstitutionnalité.

Protection constitutionnelle des droits des enfants : La Constitution du Sénégal, comme de nombreuses constitutions modernes, accorde une attention particulière à la protection des droits des enfants. Cela inclut des dispositions spécifiques garantissant le droit à la vie, à la santé, à l’éducation, et à la protection contre toute forme de violence ou de traitement inhumain.

Principe de l’État de droit : Un élément clé de la Constitution est le principe de l’État de droit, qui implique que toutes les actions gouvernementales et judiciaires doivent être conformes aux normes constitutionnelles. Cela garantit que les droits fondamentaux des citoyens, y compris ceux des enfants, sont respectés et protégés.

La question d’inconstitutionnalité : Si, au cours de l’affaire, des mesures sont prises qui semblent violer les droits constitutionnels des enfants ou contredire les principes de l’État de droit, cela soulève une question d’inconstitutionnalité. Il peut s’agir de l’application de lois qui ne respectent pas les normes constitutionnelles ou de décisions judiciaires qui ne sont pas en accord avec les droits fondamentaux énoncés dans la Constitution.

Recours devant la Cour constitutionnelle : Lorsqu’une question d’inconstitutionnalité est soulevée, les parties concernées ont la possibilité de saisir la Cour constitutionnelle. Celle-ci est chargée d’examiner la conformité des actes législatifs et administratifs avec la Constitution. Si une mesure est jugée inconstitutionnelle, elle peut être déclarée nulle et non avenue.

L’importance de la protection des droits des enfants : Dans le contexte de l’affaire Sonko/Mbaye Niang, la question d’inconstitutionnalité liée aux droits des enfants revêt une importance particulière. La société doit garantir la protection des enfants contre toute forme de préjudice et veiller à ce que les actions entreprises respectent les normes constitutionnelles et les obligations internationales en matière de droits de l’enfant.

La question d’inconstitutionnalité dans l’affaire Sonko/Mbaye Niang pour les enfants soulève des préoccupations cruciales quant à la protection des droits fondamentaux. Il est essentiel que toutes les parties impliquées, y compris les autorités judiciaires, respectent les principes constitutionnels et veillent à ce que les droits des enfants soient pleinement pris en compte dans le cadre de la procédure juridique.

Recours devant le Conseil Constitutionnel : La Coalition Jeuf ak Thione Niang dénonce des incohérences et revendique l’équité procédurale

La Coalition Jeuf ak Thione Niang ne se laisse pas intimider et affirme son engagement pour une « équité procédurale » après le rejet de la candidature de Thione Niang par la Commission de Contrôle des parrainages. Un recours a été déposé pour contester cette décision, soulignant l’injustice et l’inadmissibilité de la situation.

Dans un communiqué signé par le secrétaire général et reçu le 3 janvier, la coalition insiste sur la nécessité d’un réexamen rigoureux et impartial de la clé et du fichier, exigeant transparence et respect strict des procédures démocratiques. La décision du Conseil de ne pas contrôler la candidature malgré la conformité de la clé au format exigé est qualifiée d’affront à la justice.

Les membres de la Coalition Jeuf ak Thione Niang dénoncent une situation incompréhensible et injuste, soulignant que la clé de parrainage, regroupant plus de 52 000 soutiens légitimes, a été jugée inexploitable malgré sa conformité visuelle. Ils considèrent cette contradiction comme non seulement injuste mais également inadmissible.

La coalition affirme sa mobilisation pour garantir un processus électoral juste et équitable, soulignant que la voix du peuple sénégalais ne doit pas être étouffée par des incohérences procédurales. La Coalition Jeuf ak Thione Niang reste résolue à défendre les principes démocratiques et à veiller à ce que chaque parrainage compte, malgré le rejet initial de la candidature de Thione Niang par la Commission de Contrôle des parrainages.

Mamadou Diop decroix : Rejet des parrainages et absence à la Présidentielle 2024

Le leader du parti And Jef/PADS, Mamadou Diop Decroix, ne participera pas à l’élection présidentielle du 25 février 2024. Sa candidature a été invalidée par la Commission de Contrôle des Parrainages en raison du nombre insuffisant de parrains validés.

Selon les informations disponibles, Mamadou Diop Decroix n’a réussi à valider que 5616 parrainages, un chiffre nettement en deçà du minimum requis. La principale cause de cette invalidation réside dans le nombre élevé de doublons externes, qui se chiffre à 33674. Cette situation a conduit à l’élimination de la candidature de Mamadou Diop Decroix.

Son mandataire, Sagar Diouf, a souligné que Mamadou Diop Decroix avait toujours exprimé son opposition au système de parrainages, le jugeant incapable d’approfondir la démocratie.

Actuellement, seuls les candidats ayant obtenu le parrainage des élus ont réussi à franchir avec succès l’étape des parrainages pour l’élection présidentielle de 2024. La compétition électorale continue avec un nombre réduit de candidats en lice.

Contrôle des parrainages : Thione Niang voit sa candidature écourtée en raison d’un problème technique

Le rêve présidentiel de Thione Niang pour l’élection de 2024 prend fin abruptement, car sa candidature n’a pas réussi avec succès l’étape cruciale du contrôle des parrainages.

Selon les informations fournies par Youssouf Diallo, mandataire de Jeuf ak Thione Niang, la commission de contrôle des parrainages a informé l’équipe que leur clé USB n’était pas exploitable. Cette déclaration met un terme à la candidature de Thione Niang à l’élection présidentielle.

Dans un contexte de déception et de frustration, le mandataire exprime son mécontentement en qualifiant la situation de « forfaiture ». Il déplore également le fait qu’il ait été demandé à l’équipe de libérer la salle, ajoutant une note d’injustice perçue dans le processus.

Cet incident souligne les défis et les obstacles auxquels les candidats font face lors du contrôle des parrainages, une étape cruciale pour assurer la validité de leur candidature à la Présidentielle. Alors que la course électorale continue, l’équipe de Thione Niang devra peut-être évaluer les recours possibles et déterminer les prochaines étapes dans ce scénario inattendu.

Contrôle des parrainages : Malick Gakou, leader du Grand Parti, à la limite de la validation

Malick Gakou, leader du Grand Parti, est passé tout près de valider ses parrainages lors du contrôle en perspective de l’élection présidentielle. Avec 40 782 parrainages validés lors de son passage devant la commission de contrôle, il se trouve à seulement 3 449 signatures du seuil requis.

Chaque candidat doit obtenir un minimum de 44 231 parrainages d’électeurs, dont une partie doit provenir d’au moins sept régions, avec un minimum de 2 000 parrains par région.

Malick Gakou dispose maintenant de 48 heures pour compléter les 3 449 parrainages manquants sous peine de voir sa candidature rejetée. La marge étroite entre le nombre de parrainages validés et le seuil requis souligne l’importance cruciale de chaque signature dans le processus électoral.

Le leader du Grand Parti doit mobiliser rapidement le soutien nécessaire pour éviter tout risque de disqualification. La course à la Présidentielle de 2024 continue de révéler les enjeux et les défis auxquels sont confrontés les candidats lors du contrôle des parrainages, une étape déterminante dans la course politique au Sénégal.

Habib Sy, candidat à la Présidentielle, franchit avec succès l’étape des parrainages grâce à l’appui décisif des députés de l’ex-parti Pastef

La commission du Conseil constitutionnel, en charge de l’examen des dossiers de candidature pour l’élection présidentielle du 25 février 2024, a intensifié ses travaux au cours du troisième jour. Au centre de l’attention se trouve la vérification minutieuse de la conformité des parrainages requis, une étape cruciale que chaque candidat doit franchir. Habib Sy, candidat affilié au PARTI DE L’ESPOIR ET DE LA MODERNITE/YAKAR U REW MI, a réussi brillamment cette étape importante.

Selon des sources concordantes, Habib Sy, réputé proche de Ousmane Sonko, a pris la décision stratégique d’utiliser des parrainages provenant de députés pour satisfaire aux exigences légales. Il lui était nécessaire d’obtenir un minimum de 13 soutiens de cette nature pour valider sa candidature. La commission du Conseil constitutionnel a validé ces parrainages, confirmant ainsi l’absence de doublons et la conformité avec les règles établies.

Des informations suggèrent qu’Habib Sy aurait réussi à valider ses parrainages grâce au soutien décisif des députés de l’ex-parti Pastef, soulignant la stratégie habile déployée pour assurer le succès de sa candidature. Cette avancée représente un pas significatif pour Habib Sy dans sa course à la Présidentielle 2024 et met en lumière l’importance des alliances et des appuis politiques dans le processus électoral. La suite du processus sera scrutée de près alors que les candidats continuent de traverser les étapes rigoureuses en vue de l’élection présidentielle à venir.

Vérification des parrainages pour la présidentielle 2024 : Des experts électoraux pointent les failles et appellent à une réforme du Code électoral

La vérification des parrainages pour les candidats à l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal est en cours, mais des experts électoraux ont mis en lumière divers manquements, tels que des clés USB défectueuses, des dossiers incomplets, des fiches de parrainage falsifiées, et des désistements de dernière minute. Ces problèmes ont conduit à des rejets de candidatures par le Conseil constitutionnel.

Djibril Gningue du Gradec souligne l’importance de la vérification préalable des dossiers avant de définir l’ordre de passage des candidats, conformément au Code électoral. Il rappelle que certains candidats déclarés avec des dossiers incomplets ont été inclus dans le tirage au sort au Conseil constitutionnel, violant ainsi le Code électoral.

El Hadj Seydou Nourou Dia, expert électoral, met l’accent sur la responsabilité des candidats, soulignant que ces derniers doivent s’assurer de remplir toutes les conditions et veiller au respect strict des modalités pour que leurs dossiers soient acceptés.

Djibril Gningue insiste sur le rôle crucial de la vérification dès le dépôt des dossiers, où le greffier doit signaler toute anomalie avec la clé USB au mandataire du candidat avant le tirage au sort.

El Hadj Seydou Nourou Dia plaide quant à lui pour une amélioration continue du Code électoral consensuel sénégalais. Selon lui, les cycles électoraux doivent être suivis de corrections pour rendre le Code électoral plus efficace et prévenir les manquements constatés lors des vérifications des parrainages.

Alors que le Conseil constitutionnel a déjà rejeté plusieurs dossiers de candidature, les experts électoraux appellent à une réforme continue du Code électoral pour garantir l’intégrité et l’équité du processus électoral au Sénégal. Le taux de réussite actuel est jugé très bas, soulignant la nécessité d’actions correctives pour les élections à venir.

Rejet de la demande d’annulation par la Cour suprême : Statu quo sur la nomination des membres de la CENA

La Cour suprême a rendu une décision cruciale le 3 janvier 2024 en statuant sur la demande d’annulation de la nomination des membres de la Commission électorale nationale autonome (CENA). Cette demande, déposée par l’expert électoral Ndiaga Sylla, visait à contester le décret présidentiel remplaçant l’ensemble des membres de la CENA.

La Cour suprême a déclaré l’irrecevabilité de la demande d’annulation, arguant que selon les motifs avancés, un simple citoyen n’a pas la compétence pour formuler ce type de requête. Cette décision met fin aux espoirs des opposants au décret présidentiel, dont Ndiaga Sylla, ainsi que d’autres organisations affiliées à l’opposition, qui avaient critiqué le remplacement intégral des membres de la CENA.

Le décret présidentiel avait suscité des inquiétudes quant à une possible violation de la loi par le Président de la République. Les critiques portaient notamment sur le fait que le mandat de certains membres de la précédente équipe n’était pas arrivé à expiration, ce qui contreviendrait aux règles régissant la nomination des membres. De plus, l’appartenance politique antérieure de l’un des nouveaux membres avait été soulignée comme étant contraire aux règles en vigueur.

Malgré ces contestations, la Cour suprême, présidée par son président, a jugé la demande irrecevable, maintenant ainsi la décision présidentielle en vigueur. Cette décision renforce le statu quo quant à la composition de la CENA, tout en soulignant les limites des recours possibles pour les citoyens ordinaires dans de telles affaires. L’évolution politique liée à la CENA sera à surveiller dans le contexte des prochaines élections et de l’impact potentiel sur le processus électoral.

Dr. Babacar Diop recalé au contrôle des parrainages : Un revers pour le maire de Thiès dans la course à la Présidentielle 2024

Le processus de contrôle des parrainages au Conseil constitutionnel continue d’occuper le devant de la scène, avec un verdict sans appel pour le maire de Thiès, Dr. Babacar Diop. Au troisième jour du processus, le dossier du Secrétaire général du parti « Forces démocratiques du Sénégal (FDS-Les Guelwaars) » et Enseignant-chercheur à l’Ucad a été rejeté par l’institution judiciaire chargée du contrôle des parrainages.

Cette décision représente un revers significatif pour Dr. Babacar Diop, qui aspirait à se présenter comme candidat à l’élection présidentielle de 2024. Le rejet de son dossier met en lumière les défis auxquels les candidats sont confrontés dans le cadre du choix entre le parrainage citoyen et celui par des élus.

Rappelons que pour le parrainage citoyen, chaque candidat doit réunir entre 0,6 et 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs. Les travaux de contrôle des parrainages ont débuté le 30 décembre, et jusqu’à présent, seuls quelques candidats, dont Boubacar Camara, Déthié Fall, Cheikh Tidiane Dieye, Dr. Daouda Ndiaye, Aliou Mamadou Dia, ont réussi cet examen crucial.

Le rejet du dossier de Dr. Babacar Diop souligne l’importance et la sévérité du processus de contrôle des parrainages, avec des conséquences majeures sur les aspirations présidentielles des candidats. La compétition pour la Présidentielle 2024 continue de s’intensifier, laissant présager des rebondissements et des enjeux politiques majeurs dans les semaines à venir.

Aliou Camara sous pression au Conseil constitutionnel : Le candidat en difficulté avec plus de 39 000 doublons

La tension règne au sein du Conseil constitutionnel où les dossiers de candidature à l’élection présidentielle de 2024 font l’objet d’une analyse minutieuse. Le candidat Aliou Camara connaît des sueurs froides alors que son dossier soumis à l’examen de l’institution judiciaire n’a pas validé ses parrainages lors du troisième jour du processus de contrôle.

Selon les informations fournies par la commission mise en place par le Conseil constitutionnel, le dossier d’Aliou Camara a révélé plus de 39 000 doublons externes à l’issue des vérifications des parrainages effectuées ce mercredi 3 janvier. Cette situation compromet sérieusement la validation de sa candidature, plongeant le candidat dans une situation délicate à quelques semaines de l’élection présidentielle.

Rappelons que chaque candidat a le choix entre deux types de parrainage : citoyen ou par des élus. Pour le parrainage citoyen, il est impératif de réunir entre 0,6 et 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs. La difficulté rencontrée par Aliou Camara met en lumière les défis auxquels sont confrontés les candidats dans le processus de contrôle des parrainages.

Depuis le démarrage du contrôle des parrainages le 30 décembre, seuls quelques candidats, dont Boubacar Camara, Déthié Fall, Cheikh Tidiane Dieye, Dr. Daouda Ndiaye, Aliou Mamadou Dia, ont réussi l’examen, soulignant la complexité et la rigueur de ce processus crucial pour la participation à la Présidentielle 2024. La suite des événements s’annonce donc décisive pour Aliou Camara, qui devra rapidement réagir pour régulariser sa situation et maintenir ses ambitions présidentielles.

Karim Wade valide ses parrainages avec succès : Une étape cruciale franchie dans la course présidentielle de 2024

Le candidat du Parti Démocratique Sénégalais (PDS), Karim Wade, fils de l’ancien président de la République, a réussi avec brio la phase de vérification des parrainages dans le cadre de sa candidature à l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024 au Sénégal.

La commission spéciale relevant du Conseil constitutionnel, chargée de l’examen méticuleux des dossiers de candidature, a confirmé la conformité et la complétude des parrainages présentés par Karim Wade. Le candidat a pris une stratégie déterminante en optant pour l’utilisation exclusive des parrainages de députés, éliminant ainsi tout risque de doublons, une condition impérative pour la validation de sa candidature.

Karim Wade devait obtenir le soutien d’au moins 13 députés pour répondre aux exigences énoncées par le Code électoral. La commission de vérification a accordé une attention particulière aux documents fournis par le candidat, et après un examen minutieux, les parrainages de députés ont été jugés conformes aux critères stricts établis par le Code électoral sénégalais.

Cette étape cruciale franchie avec succès propulse Karim Wade dans la compétition présidentielle de 2024 de manière solide. Son choix stratégique et la validation de ses parrainages par la commission renforcent sa position dans la course, tandis que d’autres candidats continuent de faire face aux défis du processus de contrôle des parrainages. La scène politique sénégalaise reste ainsi sous tension, avec des enjeux électoraux de plus en plus palpables.

Sort incertain pour Boun Dionne au Conseil constitutionnel : Le candidat doit régulariser ses parrainages

Le processus de contrôle des parrainages en vue de l’élection présidentielle de 2024 se poursuit au Conseil constitutionnel, avec un coup de théâtre pour le candidat Mouhamadou Boun Abdallah Dione. L’ancien Premier ministre se retrouve dans une situation délicate, devant régulariser sa situation après avoir validé seulement 36 414 parrains sur les vérifications effectuées ce mercredi 3 janvier.

Le Conseil constitutionnel examine actuellement les dossiers des différents candidats, et malheureusement pour Boun Dionne, son dossier nécessite des ajustements pour répondre aux critères exigés. Cette nouvelle donne soulève des interrogations quant à l’avenir de sa candidature et à sa capacité à rassembler le nombre requis de parrainages.

La tension est à son comble, alors que d’autres candidats, tels qu’Aliou Camara et Karim Wade, sont également appelés par la Commission de contrôle des parrainages à se conformer aux règles établies.

Il est crucial de rappeler que chaque candidat a le choix entre deux types de parrainage : citoyen ou par des élus. Pour le parrainage citoyen, la collecte doit réunir entre 0,6 et 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs. Un défi de taille pour les prétendants à la présidence.

Depuis le début du processus de contrôle des parrainages le 30 décembre, seuls quelques candidats, dont Boubacar Camara, Déthié Fall, Cheikh Tidiane Dieye, Dr. Daouda Ndiaye, Aliou Mamadou Dia, ont réussi avec succès cet examen, laissant présager une compétition féroce et des rebondissements à venir dans la course à la présidentielle de 2024.

Investiture d’Amadou Ba par Benno Bokk Yakkar le 10 janvier 2024 : Une date connue au moment où les candidats finalisent leurs parrainages

La scène politique sénégalaise s’anime davantage à l’approche de l’élection présidentielle de 2024, avec l’annonce de la date d’investiture d’Amadou Ba par la coalition Benno Bokk Yakkar. Le candidat du président Macky Sall sera officiellement investi le mercredi 10 janvier 2024, sur l’esplanade du Grand Théâtre.

Cette révélation intervient alors que les différents candidats défilent devant le Conseil constitutionnel pour la validation de leurs dossiers de parrainages. Amadou Ba, le Premier Ministre et candidat soutenu par le président en exercice, semble confiant quant à la validation de ses parrainages, ayant opté pour le parrainage des élus locaux, tels que les maires et les présidents de Conseil départemental, pour renforcer sa position.

L’investiture prévue pour le 10 janvier 2024 pourrait néanmoins susciter des controverses, notamment en raison de l’interdiction récente de l’investiture de l’opposant Ousmane Sonko. Cette décision, prise il y a quelques jours, a déjà créé des remous dans le paysage politique, soulevant des interrogations sur l’équité du processus électoral.

Amadou Ba, en tant que représentant de la coalition Benno Bokk Yakkar, s’apprête ainsi à officialiser sa candidature dans un contexte politique tendu, où les enjeux de la présidentielle de 2024 se font de plus en plus palpables. La date du 10 janvier prochain sera sans aucun doute scrutée de près, alimentant les débats autour de la légitimité et de l’équité du processus électoral au Sénégal.

Situation délicate pour Mamadou Lamine Diallo au Conseil constitutionnel : le candidat doit régulariser ses parrainages en vue de la Présidentielle 2024

Le processus de contrôle des parrainages en prévision de l’élection présidentielle de 2024 se poursuit au sein du Conseil constitutionnel, mettant Mamadou Lamine Diallo dans une position délicate.

Parmi les autres candidats concernés par ce processus de contrôle, Mouhamadou Boun Abdallah, Aliou Camara, et Karim Wade sont également appelés à se conformer aux exigences du Conseil constitutionnel.

Il est important de rappeler que chaque candidat a le choix entre deux modes de parrainage : citoyen ou par des élus. Pour le parrainage citoyen, la collecte doit réunir entre 0,6 et 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs. Une étape cruciale qui conditionne l’éligibilité de chaque prétendant à la plus haute fonction de l’État.

La scène politique reste donc tendue, avec les candidats devant affronter les impératifs du processus démocratique et satisfaire aux exigences du Conseil constitutionnel pour participer à la course présidentielle de 2024. La suite des événements promet d’être riche en rebondissements et en enjeux politiques majeurs.

Contrôle des parrainages : Pape Djibril Fall envoyé au second tour

Lors du contrôle des parrainages pour l’élection présidentielle de 2024, le candidat Pape Djibril Fall a été recalé pour le moment par la commission. Son équipe doit régulariser environ 13 000 doublons externes, selon les informations fournies par son mandataire.

Devant la commission de contrôle des parrainages, le Parti de la Démocratie et du Progrès (PDF) dirigé par Pape Djibril Fall a réussi à obtenir plus de 30 000 parrainages validés. Cependant, afin de respecter les critères requis, le candidat dispose maintenant de 48 heures pour valider ces 13 000 parrainages supplémentaires. Cela déterminera s’il pourra participer à l’élection présidentielle de 2024.

Le processus de contrôle des parrainages est en cours, et les candidats ont un délai spécifique pour régulariser toute irrégularité identifiée par la commission. La compétition pour la présidentielle au Sénégal continue de susciter l’attention, et les résultats finaux des vérifications seront déterminants pour la liste finale des candidats. La commission poursuivra ses travaux dans les prochains jours.

Résultats complets des candidats après la deuxième journée de vérification des parrainages

Le 2 janvier 2024, la commission désignée par le Conseil constitutionnel a poursuivi l’examen des parrainages pour l’élection présidentielle au Sénégal. L’ordre de vérification, déterminé par tirage au sort, a influencé le processus. Pour être validé, un candidat doit obtenir un minimum de 44,231 parrainages, répartis dans au moins sept régions.

Voici un résumé des résultats de la deuxième journée d’examen :

  1. Mbacké Sarr (Mouvement Askan Wi) : Candidature invalidée. Motif inconnu.
  2. Alioune Sarr (CAP 2024) : Candidature invalidée. Seulement 17,000 parrains validés.
  3. Ibrahima Hamidou Deme (ENSEMBLE) : Parrainage non validé. Aucune déclaration après l’examen.
  4. Pr Daouda Ndiaye (Président Daouda Ndiaye 2024) : Candidature validée. Parrainages validés avec succès.
  5. Cheikh Bamba Dièye (FSDB-BJ) : Candidature invalidée. Seulement 14,534 parrains validés.
  6. Oumar Sylla (Candidat indépendant) : Candidature invalidée. Clé USB contenant les fichiers électroniques inexploitable.
  7. Cheikh Abdou Mbacké Barra Doly (Nekal fi Askan Wi) : Candidature invalidée. Plus de 15,000 signatures invalides.
  8. Talla Sylla (Alliance Jef Jel) : Dossier en attente d’examen. Mandataire absent.
  9. Jean Batiste Diouf (PDFP) : Candidature invalidée. N’a pas atteint le nombre requis de parrainages.
  10. Idrissa Seck (Coalition Idy 2024) : Candidature en attente de régularisation. 38,497 parrains valides.
  11. Charles Émile Abdou Ciss (Elegu Senegal/ Debout) : Candidature invalidée. Clé USB avec parrainages non exploitable.
  12. Khadim Diop (Xydma) : Candidature invalidée. Seulement 1,631 parrains valides et 41,617 doublons externes.
  13. Aliou Mamadou Dia (PUR) : Candidature validée. 47,383 parrainages validés.
  14. Birima MANGARA (UDP-Kiraay) : Candidature invalidée. Seulement 26,701 parrains validés.
  15. Amdy Diallo Sall (Coalition Defaral Sunu Bop Sunu Reew) : Candidature en attente d’examen. Mandataire absent.
  16. El Hadji Ibrahima Mbow (Union Citoyenne (UC)) : Retrait de candidature pour soutenir Ousmane Sonko.
  17. Ndiack Lakh (NDIACK LAKH 2024) : Candidature invalidée. Seulement 20,377 parrains valides.
  18. Serigne Mboup (And Nawle And Ligueey) : Candidature en attente de régularisation. Doit repasser pour compléter les parrainages.
  19. Papa Djibril Fall (Papa Djibril Fall_Président) : Candidature en attente de régularisation. 30,558 parrains validés avec 22,055 doublons externes.
  20. Ibrahima Datte (Candidat indépendant) : Candidature non complète. Dossier manquant le casier judiciaire.

La commission continuera à examiner les candidatures dans les prochains jours.

Communiqué du Conseil constitutionnel : Modalités de régularisation des parrainages pour les candidats à l’élection présidentielle

Le Conseil constitutionnel a publié un communiqué le 2 janvier 2024, détaillant les procédures de régularisation des parrainages pour les candidats à l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024. Selon les dispositions de l’article L.126 du Code électoral, les candidats nécessitant une régularisation ne pourront le faire qu’après avoir reçu une notification spécifique du Chef du greffe.

Le communiqué souligne qu’aucun dossier de parrainage pour la régularisation ne sera accepté au greffe du Conseil constitutionnel avant que la notification ne soit reçue par les mandataires des candidats. Cette mesure vise à structurer le processus de candidature et à garantir le respect des procédures légales, en particulier pour les candidats susceptibles de mal interpréter la possibilité de régulariser des manquements relatifs à leurs parrainages.

Cette annonce du Conseil constitutionnel a pour objectif de clarifier les démarches à suivre pour les candidats et leurs équipes, afin d’assurer un processus électoral transparent et conforme aux lois établies.

Vérification des Parrainages : La candidature de Serigne Mboup en rattrapage

La candidature de Serigne Mboup, actuel maire de Kaolack, est actuellement en phase de rattrapage après que la commission de contrôle des parrainages n’ait pas encore validé son dossier.

Malgré le dépôt de plus de 58 000 parrainages, le mandataire de Serigne Mboup, Mbaye Ngom, a indiqué que 116 rejets ont été enregistrés en raison de non-inscriptions sur le fichier électoral, ainsi que 27 107 doublons externes. Cependant, ils ont réussi à valider dans six régions, en attendant la validation de la dernière région restante.

Ce processus de rattrapage souligne les défis auxquels sont confrontés les candidats pour garantir la conformité de leurs dossiers de parrainages lors des élections présidentielles à venir.

Mauvaise nouvelle pour Ndiack Lakh : Recalé après le contrôle des parrainages

Ndiack Lakh, le leader de PÉNC, se retrouve dans une situation difficile après les opérations de contrôle des parrainages. Sa participation en tant que candidat à l’élection présidentielle de 2024 prend fin à la suite de son élimination.

L’ingénieur civil des mines n’a pas réussi à passer le cap du parrainage, ayant validé seulement 20 377 parrainages. Cette nouvelle élimination souligne les défis et la compétitivité accrue auxquels sont confrontés les candidats lors du processus de contrôle des parrainages pour les élections présidentielles à venir.

Mauvaise nouvelle pour Birima Mangara : Recalé après le contrôle des parrainages

Birima Mangara, ancien ministre du Budget de la République du Sénégal de 2014 à 2019, fait face à une mauvaise nouvelle dans sa quête présidentielle. À l’issue des opérations de contrôle des parrainages, sa participation en tant que candidat à la présidentielle de 2024 prend fin.

L’ancien ministre, qui avait annoncé sa candidature le jeudi 27 septembre 2023 sous la bannière de la coalition « Andaat Défar Senegal » et du parti UDP-Kiraay (Union pour la Démocratie et le Progrès, Kiraay), n’a réussi à obtenir que 26 701 parrainages.

Cette nouvelle élimination souligne la compétition intense et la rigueur des critères imposés par le Conseil constitutionnel lors du processus de contrôle des parrainages pour les candidats à la présidentielle de février 2024.

Le PUR, parti d’Aliou Mamadou Dia, valide ses parrainages avec succès pour la Présidentielle de 2024

Dans le cadre des préparatifs pour l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal, le Parti de l’Unité et du Rassemblement (PUR), dirigé par Aliou Mamadou Dia, a franchi avec succès l’étape cruciale du contrôle des parrainages par le Conseil constitutionnel.

Aliou Mamadou Dia et son équipe ont réussi à valider 47 383 parrainages, une étape déterminante visant à vérifier la validité des signatures et à assurer la conformité aux exigences légales. Cette validation constitue un passage obligé pour tous les partis politiques aspirant à présenter un candidat à la plus haute fonction du pays.

Après l’annonce de cette information, Aliou Mamadou Dia a réagi sur sa page Facebook en exprimant sa gratitude envers tous ses concitoyens d’ici et de la diaspora. Il a déclaré : « Parrainage validé ! À tous mes concitoyens d’ici et de la diaspora, je dis MERCI ! Ensemble, on gagne ! »

Cette réussite marque une étape importante pour le PUR et son candidat Aliou Mamadou Dia dans la course à la présidentielle de 2024.

Succès aux parrainages pour le PUR : Une étape cruciale franchie avec succès

Le Parti de l’Unité et du Rassemblement (PUR) a réussi brillamment l’étape cruciale du contrôle des parrainages en vue de l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal. Cette étape, menée par le Conseil constitutionnel, a pour objectif de vérifier la validité des signatures et de s’assurer de la conformité aux exigences légales pour tous les partis politiques qui souhaitent présenter un candidat à la présidence.

Le PUR, dirigé par son leader, a réussi à franchir avec succès cette phase, renforçant ainsi sa position en vue de l’élection présidentielle à venir. La validation des parrainages représente une étape essentielle dans le processus électoral et offre au PUR la possibilité de continuer à participer activement à la course présidentielle, affirmant ainsi son engagement envers la démocratie et le choix du peuple sénégalais.

Échec aux parrainages pour Khadim Diop : Seulement 1631 signatures validées

Khadim Diop, le leader de la coalition Xidma, a été recalé d’office par la commission de contrôle des parrainages, qui a invalidé son dossier. Le candidat n’a réussi à valider que 1631 parrainages, marquant ainsi un échec significatif dans sa tentative de participer à l’élection présidentielle.

La commission a également relevé un nombre alarmant de 41 617 doublons externes dans le dossier de Khadim Diop, établissant ainsi un record en termes de plus faible nombre de parrainages validés et de doublons externes dans cette phase de contrôle.

Cette décision représente un revers majeur pour Khadim Diop et sa coalition, qui devront désormais envisager les étapes suivantes après cet échec aux parrainages. Le nombre insuffisant de signatures validées compromet sérieusement la candidature de Khadim Diop à l’élection présidentielle de 2024.

Cheikh Bamba Dièye recalé par le Conseil constitutionnel : Une réaction empreinte de gratitude

Suite à sa recalibration lors du contrôle des parrainages par le Conseil constitutionnel, Cheikh Bamba Dièye, leader du parti Front pour le Socialisme et la Démocratie/Benno Jubël (FSD-BJ), a réagi avec reconnaissance et gratitude envers ses partisans.

Dans une déclaration, Cheikh Bamba Dièye a exprimé sa gratitude envers les responsables, militants et sympathisants du FSD-BJ qui ont travaillé ardemment pour concrétiser leur vision ambitieuse pour le Sénégal. Malgré cette déconvenue, il a tenu à souligner l’engagement sans faille de ses partisans dans la poursuite de leurs objectifs communs.

« Je viens par la présente annoncer que nous avons été recalés. Je voudrais saisir cette occasion pour remercier du fond du cœur les responsables, militants et sympathisants du FSD-BJ qui, à côté de nos compatriotes, se sont mobilisés comme jamais pour réaliser la grande ambition que nous avons pour le Sénégal », a déclaré Cheikh Bamba Dièye.

Il a conclu en réaffirmant son amour pour le Sénégal et son engagement à continuer de servir le pays pour le bénéfice des Sénégalais. « Nous aimons et n’avons que le Sénégal et nous continuerons avec les qualités qui sont les nôtres à le servir pour le seul bénéfice des Sénégalais. Merci à tous. Excellente année 2024 », a ajouté Cheikh Bamba Dièye.

Idrissa Seck recalé par la commission de contrôle des parrainages : Course contre la montre pour compléter 8613 signatures

La commission de contrôle des parrainages a recalé la candidature d’Idrissa Seck, leader du Rewmi, pour l’élection présidentielle de 2024. Selon la commission, il lui manque 8613 signatures pour atteindre le nombre requis. Le politicien dispose désormais d’un délai de 48 heures pour régulariser son dossier.

Idrissa Seck avait initialement obtenu 38 497 signatures valides, mais la commission a identifié des doublons externes dans son dossier. Son mandataire, Ass Babacar Gueye, reste optimiste quant à la possibilité de compléter ces signatures manquantes. Il a déclaré : « Nous sommes en séance de rattrapage comme en 2019, mais nous avons validé le nombre de parrains requis pour les régions. Le nombre de doublons que nous avons peut être comblé et avec le nombre de parrains que nous avons en stock. »

La période de rattrapage de 48 heures sera cruciale pour la candidature d’Idrissa Seck. Si elle parvient à compléter avec succès les signatures manquantes, son dossier sera soumis à une vérification plus approfondie des autres documents. Cependant, en cas d’échec, cela pourrait compromettre sa participation à l’élection présidentielle prévue en 2024.

La course contre la montre commence donc pour le leader du Rewmi, qui devra mobiliser rapidement ses ressources pour répondre aux exigences de la commission de contrôle des parrainages.

Naissance du mouvement des Arabophones au Sénégal : Revendications et Objectifs

Le Mouvement des arabophones du Sénégal (MAS) a été officiellement créé lors d’un congrès national tenu le samedi 30 décembre à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Le MAS vise à représenter les intérêts des arabophones du pays, y compris les chefs religieux, et à faire entendre leurs préoccupations.

Selon l’imam Assane Seck, porte-parole du mouvement, l’objectif principal est de défendre les droits des arabophones et de promouvoir leur insertion professionnelle, mettant en valeur leurs compétences au service du pays. Les revendications du MAS couvrent divers domaines, notamment l’équité, la reconnaissance des compétences spécialisées des arabophones, et la participation active dans différents secteurs, tels que la police et la justice.

Imam Assane Seck a souligné que les revendications du MAS ne sont pas fantaisistes, mais plutôt axées sur l’équité et la reconnaissance des compétences des arabophones. Il a cité des domaines tels que la police, où la culture islamique des arabophones pourrait contribuer de manière significative à résoudre certains problèmes, compte tenu de la population largement musulmane du Sénégal.

Parmi les revendications spécifiques du MAS figurent l’intégration de l’arabe dans les universités virtuelles, l’ouverture de départements en arabe dans toutes les universités de langues étrangères appliquées, le recrutement d’arabophones dans les ambassades, et une université publique proposant toutes les filières scientifiques.

Le MAS cherche ainsi à jouer un rôle actif dans la défense des droits et des intérêts des arabophones au Sénégal, plaidant pour une meilleure représentation et reconnaissance dans différents secteurs de la société.

Charles Emile Ciss recalé lors du contrôle des parrainages en raison d’une clef USB inexploitable

Lors du processus de contrôle des parrainages par le Conseil constitutionnel au Sénégal, de nombreux candidats font face à des recalages, et Charles Emile Ciss, candidat de la Coalition ËLËGU SENEGAL, en fait partie. Sa candidature a été rejetée par la commission de contrôle des parrainages ce mardi en raison d’une clef USB non exploitable.

L’ancien Directeur de la Solde, qui avait quitté la coalition au pouvoir Benno Bokk Yakaar en août 2023 pour se présenter à l’élection présidentielle de 2024, a rencontré des obstacles lors de la vérification de ses parrainages. La commission de contrôle a identifié une clef USB inexploitable dans son dossier, ce qui a conduit au rejet de sa candidature.

Ce rejet souligne l’importance de la conformité aux exigences techniques lors de la soumission des dossiers de candidature. Les candidats sont tenus de présenter des documents corrects et exploitables pour éviter tout désagrément lors du processus de contrôle des parrainages, une étape cruciale dans la validation des candidatures présidentielles au Sénégal.

Vérification des parrainages : Arguments pertinents de Djibril Gningue et El Hadj Seydou Nourou Dia

Le Conseil constitutionnel du Sénégal poursuit le processus d’examen des dossiers de candidature, avec 93 candidats déclarés soumis au tirage au sort pour le contrôle et la vérification des parrainages. Cependant, des candidatures ont été rejetées en raison de divers problèmes tels que des clés USB défectueuses, des dossiers incomplets, des fiches de parrainage falsifiées ou des désistements de dernière minute. Face à ces défis, Djibril Gningue du Gradec et l’expert électoral El Hadj Seydou Nourou Dia soulèvent des arguments pertinents.

Djibril Gningue souligne la nécessité de vérifier les dossiers avant de procéder au tirage au sort, conformément aux dispositions du code électoral. Il souligne que des candidats déclarés avec des dossiers incomplets ont été inclus dans le tirage au sort, ce qui constitue une violation du code électoral. Selon lui, le greffier devrait vérifier les dossiers à ce stade et notifier tout problème au mandataire avant le tirage.

D’un autre côté, El Hadj Seydou Nourou Dia partage l’avis selon lequel la responsabilité incombe aux candidats de s’assurer que leurs dossiers remplissent toutes les conditions requises. Il estime que les prétendants doivent veiller au strict respect des modalités pour que leurs dossiers soient acceptés.

Les deux experts mettent en lumière la nécessité de perfectionner le code électoral consensuel sénégalais à la fin de chaque cycle électoral. Ils appellent à des ajustements pour améliorer le processus électoral et éviter les problèmes rencontrés lors de la vérification des parrainages.

Alors que l’examen se poursuit au Conseil constitutionnel, la question de la vérification des dossiers avant le tirage au sort reste au cœur des préoccupations, soulignant l’importance d’une réforme continue du cadre électoral pour garantir des élections transparentes et équitables.

Situation incertaine pour la candidature d’Idrissa Seck à la présidentielle : Un regard sur les développements récents

Le processus de vérification des dossiers de parrainage des candidatures pour l’élection présidentielle au Sénégal, prévue le 25 février, continue de susciter des rebondissements. Après avoir étudié les dossiers de 20 candidats jusqu’au 30 décembre, trois ont été validés, tandis que d’autres ont vu leur candidature rejetée en raison de diverses irrégularités, notamment des doublons ou des parrainages non reconnus.

Le 2 janvier, le processus de vérification a repris après une pause pour les fêtes de fin d’année. Parmi les candidats dont le sort est encore incertain figure Idrissa Seck. À ce stade, sa candidature n’est pas encore validée car ses parrainages ne répondent pas pleinement aux critères requis. Il doit régulariser plus de 6 000 parrainages pour être éligible à l’élection présidentielle.

Si Idrissa Seck parvient à régulariser les parrainages nécessaires, sa candidature sera ensuite soumise à une vérification plus approfondie des autres documents présentés. Cependant, si cela n’est pas réalisé, l’ancien allié du président Macky Sall pourrait être exclu de la course présidentielle de février.

Le mandataire d’Idrissa Seck a commenté la situation en déclarant : « Nous sommes en séance de rattrapage comme en 2019. Nous avons validé le nombre de parrains dans les régions. Nous avons un stock pour compléter. Mais il y a un fait qui revient et qui pose problème, c’est la mention ‘rejet pour non inscription sur le fichier' ».

L’avenir de la candidature d’Idrissa Seck reste incertain à ce stade, et les développements des prochaines heures seront déterminants pour son parcours politique dans cette élection présidentielle.

Talla Sylla : attente de vérification des parrainages et les implications pour sa candidature

Le processus de vérification des dossiers de parrainage pour les candidatures à l’élection présidentielle du 25 février se poursuit au Sénégal. Après avoir examiné 20 candidatures le 30 décembre, 3 ont été validées, mais plusieurs autres ont été rejetées en raison de diverses irrégularités. Les travaux ont repris le 2 janvier après une pause pour les fêtes de fin d’année.

Parmi les candidats en attente de vérification se trouve Talla Sylla, ancien maire de Thiès. Lors de son passage pour le contrôle des parrainages, le mandataire de Talla Sylla ne s’est pas présenté au Conseil constitutionnel. Selon les procédures établies, le dossier de Talla Sylla sera examiné après que tous les autres candidats de la liste auront été traités. La date prévue pour cette vérification est le 5 janvier, en même temps que celle d’Ousmane Sonko.

Cette attente prolongée pour la vérification des parrainages pourrait avoir des implications pour la campagne électorale de Talla Sylla, car le temps joue un rôle crucial dans la préparation et la mise en œuvre de stratégies électorales. L’issue de la vérification déterminera si la candidature de Talla Sylla est acceptée ou rejetée, influençant ainsi la dynamique politique à l’approche de l’élection présidentielle.

Jean Baptiste Diouf évincé de la course Présidentielle : Un coup dur pour le candidat du PDFP

Le Conseil constitutionnel du Sénégal, en collaboration avec une commission dédiée, poursuit le processus d’examen des dossiers de parrainage pour les candidatures à l’élection présidentielle prévue le 25 février. Après avoir évalué 20 candidatures jusqu’au 30 décembre, seulement 3 ont été validées, tandis que plusieurs autres ont été rejetées, principalement pour des raisons de doublons ou de parrainages ne figurant pas sur les listes électorales.

La commission a repris ses travaux le 2 janvier après une pause pour les fêtes de fin d’année. Parmi les candidats examinés ce jour-là, la candidature de Jean Baptiste Diouf, représentant le Parti du Dialogue Fraternel pour la Paix (PDFP), a été rejetée. Les raisons spécifiques de ce rejet n’ont pas été rendues publiques.

Pour Jean Baptiste Diouf, cette décision constitue un coup dur dans sa quête présidentielle, le privant de la possibilité de participer à l’élection présidentielle imminente. Ces événements soulignent l’importance cruciale du processus de vérification des parrainages et des critères établis par le Conseil constitutionnel dans le cadre des élections présidentielles au Sénégal.

Cheikh Abdou Bara Doly evincé de la course présidentielle : Un nouveau revers pour les candidats rejetés

Le Conseil constitutionnel du Sénégal, assisté par une commission dédiée, poursuit le processus d’examen des dossiers de parrainage des candidats à l’élection présidentielle prévue le 25 février. Après avoir évalué 20 candidatures jusqu’au 30 décembre, seulement 3 ont été validées, tandis que plusieurs autres ont été rejetées, principalement pour des raisons de doublons ou de parrainages ne figurant pas sur les listes électorales.

La commission a repris ses travaux le 2 janvier après une pause pendant les fêtes de fin d’année. Parmi les candidats examinés ce jour-là, la candidature de Cheikh Abdou MBACKE, également connu sous le nom de Cheikh Abdou MBACKE Bara Doly, a été rejetée. Les raisons spécifiques de ce rejet n’ont pas été rendues publiques.

Pour Cheikh Abdou MBACKE et les autres candidats dont la candidature a été rejetée, il s’agit d’un nouveau revers dans leur quête présidentielle. Ces événements soulignent l’importance cruciale du processus de vérification des parrainages et des critères établis par le Conseil constitutionnel dans le cadre des élections présidentielles au Sénégal.

Oumar Sylla écarté de la course présidentielle : Un coup dur pour sa candidature indépendante

Le Conseil constitutionnel du Sénégal, assisté par une commission dédiée, poursuit le processus de vérification des dossiers de parrainage des candidats à l’élection présidentielle prévue le 25 février. Après l’examen de 20 candidatures jusqu’au 30 décembre, seules 3 ont été validées, tandis que plusieurs autres ont été rejetées principalement pour des raisons de doublons ou de parrainages ne figurant pas sur les listes électorales.

Après une pause pendant les fêtes de fin d’année, le travail de vérification a repris ce 2 janvier. La candidature d’Oumar Sylla, un candidat indépendant, a été invalidée par la Commission. Ce processus de vérification méticuleux des parrainages se poursuit au sein du Conseil constitutionnel, avec une quinzaine de dossiers restant à examiner pour la journée avant de passer à un nouveau groupe le mercredi 3 janvier.

Cette décision constitue un coup dur pour la candidature indépendante d’Oumar Sylla, l’écartant de la course présidentielle. Bien que les raisons spécifiques de l’invalidation n’aient pas été détaillées, il est clair que des problèmes liés aux parrainages ont été identifiés. Ce rejet souligne l’importance cruciale du processus de vérification des parrainages dans le cadre des élections présidentielles au Sénégal.

Cheikh Bamba Dièye exclu de la course présidentielle : Un coup dur pour sa candidature

Le Conseil constitutionnel du Sénégal, en collaboration avec une commission dédiée, a poursuivi l’examen des dossiers de parrainage pour les candidats à l’élection présidentielle prévue pour le 25 février. Après avoir évalué 20 candidats jusqu’au 30 décembre, seuls 3 ont vu leur candidature validée, tandis que plusieurs ont été rejetés en raison de doublons ou de parrainages non enregistrés sur les listes électorales.

La session du 2 janvier a été consacrée à l’examen de la candidature de Cheikh Bamba Dièye, représentant le FSDB-BJ. À la suite de l’évaluation de ses parrainages, sa candidature a été invalidée par le Conseil constitutionnel. La raison principale de cette invalidation est le nombre insuffisant de parrains validés, s’élevant à 14 534, bien en deçà du nombre requis pour une validation.

Cette décision constitue un coup dur pour la candidature de Cheikh Bamba Dièye, l’excluant de la course présidentielle. Les raisons spécifiques de l’invalidation n’ont pas été publiées de manière détaillée, mais le nombre insuffisant de parrains semble être le motif principal.

Pr Daouda Ndiaye obtient la validation de ses parrainages pour la présidentielle de 2024

Le Professeur Daouda Ndiaye, candidat à l’élection présidentielle de février 2024, a franchi avec succès l’étape cruciale du contrôle des parrainages. La Commission de contrôle du Conseil constitutionnel a validé le dossier de candidature du Pr Daouda Ndiaye, marquant ainsi une étape importante dans sa course à la présidence.

Selon les informations fournies par la Commission, le Pr Daouda Ndiaye a réussi à obtenir 46 656 parrainages valides, avec seulement 7 156 rejets. Cette confirmation intervient après les récents rejets de candidatures, dont celles de Mbacké Sarr, Aliou Sarr et Juge Dème.

Le Pr Daouda Ndiaye est ainsi devenu le seul candidat à valider son dossier lors de cette séance, rejoignant les trois autres candidats (Boubacar Camara, Cheikh Tidiane, et Déthié Fall) dont les candidatures ont été validées le 30 décembre 2023.

Cette étape cruciale ouvre la voie pour le Pr Daouda Ndiaye à participer activement à la campagne électorale en vue de l’élection présidentielle du 25 février 2024.

Pape Djibril Fall, candidat présidentiel Sénégalais, appelle à l’audace pour un avenir meilleur

Dans un discours de fin d’année, Pape Djibril Fall, candidat à la présidentielle de février 2024 au Sénégal, a adressé un appel passionné à la nation. Revenant sur les défis majeurs de l’année 2023, il a souligné les troubles socio-politiques et les conséquences économiques de la crise russo-ukrainienne sur la vie quotidienne des Sénégalais. Avec une jeunesse représentant 76% de la population, il a dépeint un tableau alarmant de désespoir, évoquant la migration des jeunes vers l’Europe.

Malgré les ressources nationales prometteuses, notamment en gaz et pétrole, Pape Djibril Fall a critiqué l’incapacité du pays à transformer ces richesses en opportunités pour sa jeunesse. En prévision de l’élection présidentielle, il a posé un défi : réécrire l’avenir du Sénégal en priorisant l’équité, la solidarité et la bonne gouvernance.

Le discours a également mis en lumière les défis socio-économiques auxquels les Sénégalais ont été confrontés en 2023, soulignant le besoin de solutions audacieuses et novatrices. Pape Djibril Fall a exhorté ses compatriotes à relever ces défis avec détermination et à croire en la possibilité de créer un avenir meilleur pour le Sénégal.

L’élection présidentielle du 25 février 2024 a été présentée comme une opportunité cruciale pour la génération actuelle de diriger le pays vers une nouvelle ère. Pape Djibril Fall a conclu son discours en encourageant ses concitoyens à agir avec audace, à espérer un lendemain meilleur et à travailler ensemble pour réussir l’inédit.

Rejet de la candidature de Juge Dème par la commission de contrôle des parrainages

Le 2 janvier, le Conseil constitutionnel a repris l’examen des dossiers de parrainage des candidats à l’élection présidentielle prévue le 25 février. Après avoir validé trois candidatures sur vingt examinées au 30 décembre, plusieurs autres ont été rejetées pour diverses raisons, notamment des doublons ou des parrainages non conformes aux listes électorales.

Parmi les candidatures examinées, celle d’Ibrahima Hamidou Dème, mieux connu sous le nom de Juge Dème et candidat du Parti ETIC, a été invalidée par le Conseil constitutionnel à la suite de l’examen de ses parrainages.

Les raisons précises de cette invalidation n’ont pas encore été rendues publiques, mais elles seront probablement communiquées ultérieurement par le Conseil constitutionnel. Ce processus souligne l’importance du respect des critères légaux et réglementaires dans le processus électoral, et la transparence continue est essentielle pour garantir l’intégrité du processus démocratique.

Rejet de la candidature d’Aliou Sarr par le Conseil constitutionnel

Ce 2 janvier, dans le cadre de la vérification des dossiers de parrainage des candidatures pour l’élection présidentielle prévue le 25 février, le Conseil constitutionnel a invalidé la candidature d’Aliou Sarr, représentant la coalition Convergence pour une alternative progressiste en 2024.

Le 30 décembre 2023, après avoir examiné les dossiers de 20 candidats, dont 3 ont été validés, plusieurs candidatures ont été rejetées en raison de divers problèmes, tels que des doublons ou des parrainages ne figurant pas sur les listes électorales.

À ce stade, la nature exacte des irrégularités ou des problèmes ayant entraîné le rejet de la candidature d’Aliou Sarr n’a pas été spécifiée. Les raisons précises seront probablement communiquées ultérieurement par le Conseil constitutionnel, soulignant ainsi l’importance du respect des critères légaux et réglementaires dans le processus électoral. Cela souligne également la nécessité d’une transparence continue pour garantir l’intégrité du processus démocratique.

Commission de vérification des parrainages : Juge Dème et Pr Daouda Ndiaye appelés

La commission de contrôle des parrainages pour l’élection présidentielle du 25 février 2024 a repris ses travaux ce mardi, marquant la suite du processus de vérification des candidatures. Après l’invalidation du dossier de Mbacké Sarr sans divulgation des motifs, deux autres candidats, Juge Dème et Pr Daouda Ndiaye, sont appelés devant les membres de la commission.

Le processus de contrôle des parrainages a débuté samedi dernier, où parmi les 20 candidats convoqués, Boubacar Camara, Cheikh Tidiane Dièye, et Déthié Fall ont réussi à valider leurs parrainages. Pour obtenir des parrainages, chaque candidat a trois options : le parrainage citoyen, le parrainage parlementaire, ou le parrainage des maires et présidents de conseils départementaux.

  • Le parrainage citoyen nécessite la réunion de 0,6 à 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs.
  • Le parrainage parlementaire requiert les signatures de 8 % des députés, soit au moins 13 signatures.
  • La troisième option exige les signatures de 20 % des maires et présidents de conseils départementaux, soit au moins 120 signatures.

La campagne officielle en vue du scrutin présidentiel débutera le 4 février. Les travaux de la commission de vérification des parrainages jouent un rôle crucial dans le processus électoral, assurant ainsi la conformité des candidatures avec les exigences légales et réglementaires. Les prochaines étapes de cette vérification continueront de façonner le paysage politique en préparation de l’élection présidentielle.

La candidature de Mbacké Sarr recalée par la commission de vérification des parrainages

Le processus de vérification des parrainages des candidats à l’élection présidentielle au Sénégal, prévue le 25 février, se poursuit avec l’examen des dossiers par le Conseil constitutionnel et une commission dédiée. Après une pause pendant les fêtes de fin d’année, les travaux ont repris le 2 janvier avec l’étude du dossier de Mbacké Sarr. Malheureusement, à l’issue de la vérification de ses parrainages, sa candidature a été invalidée par le Conseil constitutionnel.

Les motifs précis de cette invalidation n’ont pas encore été communiqués par le candidat ni par ses représentants. Cependant, ils ont reçu un procès-verbal détaillant les raisons de cette décision. Bien que non confirmé, il est supposé que le problème relève des parrainages, un aspect scruté de près dans l’ensemble des dossiers, notamment à travers le fichier de parrainage.

Le rejet de la candidature de Mbacké Sarr s’inscrit dans le cadre du processus rigoureux mis en place pour s’assurer de la conformité des parrainages avec les critères définis par la loi électorale. Cela souligne l’importance du respect des procédures et des règles électorales pour garantir l’intégrité du processus électoral. Les prochaines étapes du contrôle des parrainages continueront à façonner le paysage politique en amont de l’élection présidentielle.

Un candidat recalé dépose déjà un recours auprès du Conseil constitutionnel

Malick Gueye, candidat recalé pour des raisons techniques, a pris l’initiative de déposer un recours officiel auprès du Conseil constitutionnel. Cette démarche intervient le mardi 2 juin, dans l’objectif d’obtenir une réévaluation de son dossier.

Le rejet de la candidature de Malick Gueye découle d’un incident technique. En effet, le Conseil constitutionnel a rencontré des difficultés lors du transfert des données nécessaires à la validation de la candidature, stockées sur une clé USB. Cette problématique n’a pas trouvé de solution immédiate, conduisant au rejet de la candidature.

Face à cette situation, le candidat et son équipe ont cherché une réponse formelle du Conseil constitutionnel quant à la validité de leur candidature. La réponse obtenue indique que le Conseil n’était pas en mesure de fournir une confirmation immédiate.

Le dépôt du recours vise donc à solliciter une nouvelle évaluation du dossier de Malick Gueye, mettant en avant le caractère technique de l’incident qui a entravé le processus initial de validation. Cette démarche souligne l’importance des procédures équitables et transparentes dans le processus électoral, garantissant ainsi le respect des droits de chaque candidat à participer à la compétition politique. Le Conseil constitutionnel devra examiner attentivement le recours et prendre une décision éclairée sur cette question.

Contrôle des Parrainages : 18 candidats convoqués au Conseil Constitutionnel ce mardi

Le contrôle des parrainages a débuté samedi dernier, et parmi les 20 candidats convoqués à ce moment-là, Boubacar Camara, Cheikh Tidiane Dièye, et Déthié Fall ont réussi à valider leurs parrainages. Aujourd’hui, la commission examinera les parrainages des candidats suivants : Alioune Sarr, Ibrahima Hamidou Dème, Daouda Ndiaye, Cheikh Mamadou Abiboulave Dièye, Oumar Sylla, Cheikh Abdou Mbacké, Talla Sylla, Jean Baptiste Diouf, Idrissa Seck, Charles Emile Abdou Ciss, Khadim Diop, Aliou Mamadou Dia, Birima Mangara, Amdy Diallo Fall, Ndiack Lakh, Serigne Mboup, Papa Djribril Fall, et Ibrahima Datt.

  • Pour le parrainage citoyen, le candidat doit réunir entre 0,6 et 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs.
  • La troisième option nécessite les signatures de 20 % des maires et présidents de conseils départementaux, soit au moins 120 signatures.

La campagne officielle en prévision du scrutin présidentiel débutera le 4 février. Ce processus de contrôle des parrainages joue un rôle crucial dans la qualification des candidats pour la course à la magistrature suprême, façonnant ainsi le paysage politique en amont des élections.

Présidentielle 2024 au Sénégal : 11 candidats n’ont pas versé la caution, des candidatures en suspens

Alors que 93 candidats ont déclaré leur intention de participer à l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024 au Sénégal, une information révélée par Source A indique que onze d’entre eux n’ont pas encore versé la caution requise, fixée à 30 millions de francs CFA. Cette situation suscite des interrogations quant à la validité de leurs candidatures et à la conformité des dossiers déposés auprès du Conseil constitutionnel.

Parmi les candidats concernés par cette situation, figurent notamment Ousmane Sonko et Me Moussa Diop. La source indique que l’absence d’attestation pose un problème majeur, car la CDC a refusé de la délivrer malgré les démarches entreprises. Dans le cas de Ayib Daffé, mandataire du maire de Ziguinchor Cheikh Issa Sall, une quittance délivrée par la CDC après le versement de la caution ainsi qu’un relevé du compte bancaire ont été déposés en remplacement de l’attestation manquante.

Quant à Me Moussa Diop, actuellement détenu, l’explication avancée concerne le non-signalement à temps de sa lettre de procuration par le juge d’instruction.

Ces révélations laissent planer des incertitudes sur la validité de certaines candidatures à la présidentielle de 2024. L’article souligne les défis auxquels sont confrontés ces candidats et les complications potentielles qui pourraient découler de l’absence de pièces justificatives requises. La situation met en lumière les enjeux de conformité des candidatures et soulève des questions quant à la clarté et à la transparence du processus électoral à l’approche de l’échéance présidentielle.

Thierno Alassane Sall (TAS) exprime ses vœux pour un Sénégal apaisé et réuni autour de ses valeurs sociétales en 2024

À l’aube de l’année 2024, Thierno Alassane Sall, président de la République des Valeurs Réewum_Ngor, adresse ses vœux les plus chaleureux au peuple sénégalais, tout en partageant sa vision pour une nation réenchantée, réhabilitée, et élevée au rang des grandes nations.

Le président de la République des Valeurs Réewum_Ngor met particulièrement l’accent sur des principes tels que l’éthique, la droiture, l’intégrité, et le savoir. Selon lui, ces valeurs sont essentielles pour guider le Sénégal vers un avenir où la justice, la transparence, et la solidarité prévalent.

Tension au MPCL : Bagarre entre Gadio Fils et le porte-parole, la question de la succession en suspens

Au sein du Mouvement des Patriotes pour le Changement et la Libération (MPCL), une scène de tension a éclaté lors d’une réunion du directoire de campagne de Cheikh Tidjane Gadio, candidat à l’élection présidentielle. La confrontation, ayant impliqué le fils de Gadio et le porte-parole du parti, le Professeur Louis Ibrahima Mango, soulève des interrogations sur la gestion interne du parti et la question de la succession.

Les faits se sont déroulés au siège du MPCL, où des membres du directoire de campagne étaient réunis pour résoudre la problématique du nombre de parrains requis par le Conseil constitutionnel. Cependant, la situation a dégénéré lorsque des reproches ont été adressés à Gadio-fils, l’accusant d’interférences excessives dans les affaires du parti et d’imposer ses règles.

Selon des sources présentes, le comportement jugé autoritaire de Gadio-fils au sein du parti suscite des inquiétudes parmi les membres du MPCL. Certains comparent son attitude à celle de Karim Wade, soulignant une possible volonté de s’immiscer dans les décisions du parti.

La question cruciale qui se pose est de savoir si Cheikh Tidjane Gadio adopte une attitude similaire à celle d’Abdoulaye Wade en cherchant à imposer son fils au sein du parti. Cette situation met en lumière les enjeux liés à la succession au sein du MPCL et soulève des interrogations sur la manière dont le leadership est exercé au sein de la formation politique.

L’implication directe de Gadio-fils dans les affaires du parti remet en question la stabilité interne du MPCL et soulève des préoccupations quant à la direction future du mouvement. La gestion de cette tension interne sera cruciale pour l’avenir du parti et pour la crédibilité de Cheikh Tidjane Gadio en tant que candidat présidentiel.

Dr El Hadji Ibrahima Mbow retire sa candidature et rejoint la coalition « Sonko Président » pour l’élection présidentielle de février 2024 au Sénégal

Dans une décision inattendue, le président du parti Uc/Bunt-Bi, Dr El Hadji Ibrahima Mbow, a annoncé le retrait de sa candidature à la Présidence de la République pour les élections du 25 février 2024. Au lieu de poursuivre sa propre course présidentielle, il a décidé de rejoindre la coalition des leaders alliés à Ousmane Sonko, connue sous le nom de Lacos.

Cette décision marque un tournant significatif à mi-parcours de la campagne électorale, renforçant ainsi la coalition déjà soutenue par 29 partis qui ont investi Ousmane Sonko le 31 décembre 2023.

En rejoignant la coalition « Sonko Président », Dr El Hadji Ibrahima Mbow s’engage à travailler avec toutes les forces vives de la nation pour construire un Sénégal fort, entreprenant et solidaire. Il a exprimé son espoir que les élections de 2024 seront inclusives, transparentes, apaisées et contribueront à consolider la démocratie du pays.

La coalition Lacos, désormais renforcée par l’adhésion de Dr El Hadji Ibrahima Mbow, semble gagner en influence à l’approche des élections présidentielles, laissant présager une compétition politique intense et des alliances en constante évolution dans le pays.

Abdoulaye Mamadou Guissé, Secrétaire Général du Parti ‘Foulak Fayda’, plaide pour le report des élections de février 2024 pour garantir l’inclusivité »

Dans une récente interview avec Le Dakarois, Abdoulaye Mamadou Guissé, Secrétaire Général du Parti « Foulak Fayda », a exprimé la nécessité de repousser les élections prévues en février 2024 pour assurer un processus plus inclusif. Guissé a souligné l’importance d’impliquer davantage de parties prenantes dans le processus électoral afin de renforcer la démocratie. Restez à l’écoute pour plus de détails sur cette proposition et les réactions potentielles.

"Pour avoir des élections inclusives il faut forcément repousser celles de février 2024"Abdoulaye...

Amadou Ba dévoile ses ambitions pour Pikine lors de sa tournée pré-électorale

Le Premier Ministre Amadou BA, candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar, a récemment effectué une série de visites dans le département de Pikine du 29 au 30 décembre 2023. Au cours de cette tournée, il a rencontré les acteurs socio-économiques locaux et les responsables de la région pour discuter des enjeux locaux et préparer le terrain pour les élections présidentielles du 25 février 2024.

Rencontre avec les responsables locaux: Lors de la rencontre avec les responsables locaux, le Maire Abdoulaye TIMBO a pris la parole au nom de ses pairs pour exprimer les préoccupations et besoins de la population. Il a souligné la nécessité du raccordement du BRT jusqu’à Thiaroye pour le connecter au TER, la réhabilitation des routes secondaires, la transformation du Technopole en AQUALAND, la réfection du marché SANDIKA, l’élargissement de certaines voies, et d’autres projets importants.

Réponse d’Amadou BA: En réponse, le Premier Ministre a pris en compte ces doléances et a déclaré que le mémorandum présenté par les responsables locaux représente les aspirations des habitants de Pikine. Il a expliqué les raisons de sa visite en mettant l’accent sur son engagement envers l’emploi des jeunes, soulignant que la jeunesse est le présent, pas seulement le futur.

Promesse d’équité territoriale: Le Premier Ministre a également pris en compte les inquiétudes de Thiaroye concernant le pavage, promettant de résoudre ce problème d’équité territoriale. La question du cimetière de Pikine a été qualifiée d’importance capitale, avec l’engagement de résoudre la question dès leur retour.

Augmentation de la subvention de l’hôpital: Enfin, Amadou BA a conclu en traitant la question de l’hôpital, promettant une augmentation de la subvention dès 2024. Il a appelé à l’unité parmi ses camarades, soulignant l’importance de travailler main dans la main pour le bien de la communauté.

Conclusion: La visite du Premier Ministre Amadou BA à Pikine a été marquée par une écoute attentive des préoccupations locales et des engagements concrets pour résoudre les problèmes prioritaires. Ses déclarations ont souligné son engagement envers le développement de la région et son ambition de répondre aux besoins de la population pikinoise s’il est élu président en 2024.

Amadou Mame Diop salue le ‘’bilan exceptionnel’’ de Macky Sall et lui souhaite un succès éclatant

Amadou Mame Diop, président de l’Assemblée nationale, a salué le ‘’bilan exceptionnel’’ de Macky Sall à la tête du pays et a loué son ‘’leadership notoire au niveau continental et mondial’’. Dans sa réaction au message du chef de l’État à la veille du nouvel an, M. Diop lui a souhaité ‘’un succès éclatant pour les activités qu’il envisage de mener aux plans national et international, notamment la Fondation qu’il compte mettre en place’’.

Il a également noté ‘’l’appel renouvelé du président de la République à la défense de l’État de droit, à la paix, à la sécurité et à une élection à la hauteur du statut démocratique de notre pays’’. Il a exprimé son admiration pour la décision de Macky Sall de ne pas briguer un nouveau mandat à la tête du pays, saluant sa ‘’grandeur d’esprit et son sens élevé de l’État et de l’intérêt national’’.

Ousmane Sonko officiellement investi candidat par la coalition « Sonko Président »

Le maire de la ville de Ziguinchor, Ousmane Sonko, a été officiellement investi en tant que candidat par la coalition « Sonko Président » en vue de l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024. La déclaration complète de la coalition lors de cette investiture est reproduite ci-dessous :

Déclaration de la coalition « Sonko Président »

« Mesdames, Messieurs, les membres de la coalition SONKO PRESIDENT 2024,

* *Chers invités,

Chers concitoyens,

Chers patriotes,

Nous membres de la Coalition Sonko Président 2024, avons l’insigne honneur de porter aujourd’hui l’investiture du Président Ousmane SONKO.

Si nous mesurons pleinement la portée de l’acte, il faut reconnaitre que la charge symbolique est encore plus forte, mais surtout historique.

Il nous faut, ainsi, assumer la tâche d’investir un grand leader panafricain, digne fils du Sénégal, grand patriote convaincu, symbole du réveil et de l’envol du phénix africain, j’ai nommé le Président Ousmane SONKO.

Nous voudrions le faire avec force, fidélité, honnêteté, sincérité mais surtout par devoir de loyauté dans le combat patriotique pour un Sénégal debout, meilleur, et prospère.

Nous le faisons aussi en la mémoire de tous les soldats du patriotisme, de la démocratie et des libertés. À tous ceux qui sont tombés sur le champ d’honneur, nous en appelons à tous pour que leurs sacrifices ne soient jamais oubliés.

À leurs familles, leurs parents, nous transmettons nos pensées, nos prières et notre fidélité.

La seule véritable reconnaissance que nous pouvons leur rendre, c’est de libérer le Sénégal du joug des autocrates, des autoritaires, pour la construction d’un État de droit respectueux des libertés et garantissant une bonne gouvernance démocratique.

Considérant que l’investiture officielle d’un candidat par une coalition de partis politiques constitue une démarche démocratique, et cela à la simple lecture des dispositions de la Constitution et du Code électoral ;

Considérant qu’en vertu des articles 4 et 29 de la Constitution et L.121 du Code électoral, l’investiture officielle d’un candidat à l’élection présidentielle par une coalition de partis politiques, est une des options préalables et nécessaires, pour occuper la présidence de la République ;

Considérant que le choix de la procédure d’investiture du Président Ousmane SONKO tient aux principes de légitimité et de légalité, et ce dans un contexte de discrédit et de déliquescence de l’État de droit et des institutions, voire plus largement de l’action politique ;

Considérant que la cérémonie d’investiture du Président Ousmane SONKO présente une spécificité qui découle d’une aspiration profonde du peuple sénégalais mais aussi d’un véritable exercice de démocratie interne au sein des formations politiques.

Considérant que la cérémonie d’investiture du Président Ousmane SONKO est une marque attentive et solennelle à tous les courants démocratiques (représentative, participative, délibérative, directe, semi-directe, d’opinion …) ;

Considérant que cette cérémonie d’investiture du candidat de la coalition SONKO PRESIDENT, Ousmane SONKO, trouve son origine dans le processus d’investiture effectué par LES PATRIOTES le 13 juillet 2023 (délibération n°003/2023/HARP, séance du 13 juillet 2023) qui avait réuni au total 1606 suffrages valablement exprimés par l’ensemble des votants au niveau des différentes coordinations départementales et de la diaspora ;

Considérant que les résultats obtenus dépassent toutes les espérances avec tous les votes en fave

Karim Wade s’exprime : « Le Sénégal que j’aime le plus profond de mon cœur »

Conformément à l’annonce préalable, Karim Wade a pris la parole le lundi 1er janvier. À l’instar du président Macky Sall dans son adresse à la nation la veille, le candidat déclaré à la Présidentielle 2024 du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) a exprimé son amour profond pour son pays, le Sénégal.

Karim Wade, candidat à l’élection présidentielle, a brisé son silence dans une vidéo depuis le Qatar pour présenter ses vœux aux Sénégalais et amorcer sa campagne. Ce retour médiatique était marqué par un discours aux allures de programme politique, le candidat appelant à la réconciliation et abordant les défis majeurs qui se profilent pour le pays.

Après des années de communication limitée à des communiqués écrits ou des messages vocaux, Karim Wade a choisi le 1er janvier pour s’adresser directement au peuple sénégalais. Sa déclaration filmée a mis en lumière les enjeux cruciaux auxquels le Sénégal fait face et a lancé un appel à l’unité nationale.

Dans son discours, Karim Wade a souligné la nécessité de prendre des décisions cruciales pour l’avenir du pays, se positionnant comme un candidat engagé dans la résolution des problèmes socio-économiques. Il a évoqué le drame des jeunes risquant leur vie dans des voyages périlleux à la recherche d’un avenir meilleur, appelant à mettre fin à cette situation en créant des opportunités d’emploi, en encourageant l’entrepreneuriat et en investissant dans l’éducation et la formation professionnelle.

Le candidat a également exprimé son espoir pour le Sénégal, soulignant que l’année 2024 est une période charnière pour le pays. Il a posé la question de la direction que le Sénégal prendra, entre la voie de la division et de la haine ou celle de l’unité, de la réconciliation et de l’ambition collective.

Cette déclaration marque le début d’une nouvelle phase dans la campagne électorale, avec Karim Wade affichant ses ambitions pour l’avenir du Sénégal et appelant à une mobilisation collective pour relever les défis actuels.

Karim Wade s’adresse au public depuis son exil au Qatar : Prise de parole cruciale en vue de son candidature présidentielle au Sénégal

1er janvier 2024, Dakar, Sénégal – Karim Wade, fils de l’ancien président sénégalais Abdoulaye Wade, s’apprête à faire sa première apparition publique depuis son départ forcé pour le Qatar. L’homme politique prendra la parole lors d’une allocution prévue pour le 1er janvier à 15h heure locale, comme annoncé sur ses réseaux sociaux.

Cette allocution revêt une importance particulière dans le contexte de la candidature de Karim Wade à l’élection présidentielle sénégalaise. Son dossier de parrainage est attendu pour examen dans les jours à venir. Cependant, des débats émergent quant à son éligibilité en raison d’une loi sénégalaise interdisant aux personnes ayant une double nationalité de se présenter à la présidence. La question cruciale demeure de savoir si Wade a renoncé à sa nationalité française pour se conformer à cette loi.

Le choix du Qatar comme lieu d’exil de Karim Wade soulève des interrogations sur son impact sur la perception de sa candidature au Sénégal. Certains s’interrogent sur les motivations de ce départ et sur la manière dont il pourrait influencer le vote des électeurs.

La prise de parole de Karim Wade sera scrutée de près pour obtenir des éclaircissements sur ces questions brûlantes. Les électeurs attendent des clarifications sur son éligibilité, sa nationalité, sa situation fiscale et sa vision pour le Sénégal. Cette allocution pourrait également jouer un rôle déterminant dans la formation de l’opinion publique à l’approche de l’élection présidentielle.

Mobilisation massive à Grand Yoff : Mamadou Sidibé lance son mouvement en faveur d’Amadou Ba

La scène politique à Grand Yoff s’est animée le samedi 30 décembre lors du lancement du « MOUVEMENT AND NAATAL SUÑU ASKAN -MANA » dirigé par Mamadou Sidibé, recteur de l’Université de Matam et fervent soutien du candidat Amadou Ba. La mobilisation exceptionnelle de la population témoigne de l’enthousiasme suscité par cet événement.

Les militants et sympathisants ont répondu en masse à l’appel de Mamadou Sidibé, tous engagés à œuvrer pour la victoire d’Amadou Ba lors des élections prévues le 25 février 2024. Le Professeur Sidibé, désormais à la tête de ce mouvement, a souligné l’importance de l’unité d’action pour assurer le succès de leur candidat.

Prônant l’harmonie au sein de la coalition Benno Book Yakaar, Mamadou Sidibé a rendu hommage aux militants et sympathisants, exprimant sa gratitude pour la mobilisation exceptionnelle à Grand Yoff. Il a également appelé à la résolution des incompréhensions entre les responsables pour renforcer l’efficacité de leur mouvement.

La soirée a été marquée par les discours des représentants d’Amadou Ba, dont Cheikh Bakhoum, mettant en garde contre le populisme et soulignant l’urgence de continuité du Plan Sénégal Émergent (PSE). Les responsables politiques de la majorité présidentielle ont mis en avant les enjeux cruciaux liés à cette élection.

En conclusion, le Professeur Mamadou Sidibé s’est félicité du succès de la cérémonie de lancement, exprimant sa reconnaissance envers les habitants de Grand Yoff. Ce rassemblement prometteur souligne la détermination du mouvement à contribuer activement à la campagne électorale et à soutenir Amadou Ba dans sa quête pour la présidence.

avec seneweb

Présidentielle 2024 : 29 partis investissent Ousmane Sonko et adressent un message au conseil constitutionnel

À quelques jours de l’examen du dossier de candidature d’Ousmane Sonko par le Conseil Constitutionnel, 29 partis politiques ont officiellement investi le leader de l’ex-parti Pastef pour l’élection présidentielle de 2024. Dans un message adressé aux sept sages du Conseil Constitutionnel, ces partis appellent à une élection démocratique et soulignent l’importance de rétablir l’équilibre des pouvoirs pour garantir la stabilité du pays.

Le dossier de candidature d’Ousmane Sonko sera examiné le 5 janvier prochain par le Conseil Constitutionnel. La vérification a été retardée en raison de l’absence du mandataire du candidat lors du premier jour de la procédure. Ousmane Sonko, qui occupait la quatrième place après le tirage au sort, attend maintenant l’examen de son dossier avec une forte représentation de 29 partis politiques derrière lui.

Moustapha Guirassy, l’un des leaders politiques parmi les 29 partis soutenant Ousmane Sonko, a adressé un message clair au Conseil Constitutionnel. Il souligne que l’institution a la responsabilité de rééquilibrer les pouvoirs, de ramener la paix dans le pays et de redorer le blason de la justice. Il insiste sur le fait que le Conseil Constitutionnel ne doit pas placer une vérité exclusive, même celle d’un président en exercice, au-dessus de la vérité du peuple.

Moustapha Guirassy précise que son intention n’est pas de « menacer » l’institution, mais plutôt d’appeler le Conseil Constitutionnel à respecter les décisions de justice qui ont rétabli le droit, même dans un contexte difficile. Birame Souley Diop renforce cet appel en demandant au Conseil Constitutionnel de « dire la justice ».

Moustapha Guirassy va jusqu’à affirmer que « une joute électorale sans le président Ousmane Sonko rendrait illégitime et pour cinq ans encore tout président qui serait installé ». Cet appel souligne l’importance de la présence d’Ousmane Sonko dans la compétition électorale pour garantir la légitimité du président élu.

En plus de leur soutien à Ousmane Sonko, les 29 partis politiques appellent les Sénégalais à aller chercher leur carte d’électeur. Ils estiment que la participation active des citoyens est essentielle pour faire de Ousmane Sonko le prochain président du Sénégal.

L’examen du dossier d’Ousmane Sonko par le Conseil Constitutionnel s’annonce comme un moment clé dans le processus électoral, et les messages des partis politiques soutenant le candidat soulignent l’importance accordée à la transparence, à l’équité et à la justice dans cette élection présidentielle cruciale.

Invalidation de Candidature : Amadou Aly Kane Réagit sur Facebook

Le Conseil Constitutionnel rejette la candidature d’Amadou Aly Kane, une réaction franche et déterminée sur sa page officielle.

 »Je porte à l’attention des amis, sympathisants et proches que notre candidature a été invalidé ce jour Samedi 30 Décembre 2023 par le Conseil Constitutionnel.

Pour rappel, mon mandataire avait déposé un dossier de candidature complet auprès du Conseil Constitutionnel ; dossier comprenant un nombre de 50.128 parrains dont plus de 2000 dans 08 régions du Sénégal.

Ces parrainages ont été remis sous format électronique et sous format papier.

Un récépissé de dépôt a été délivré à cette occasion par le Chef du greffe du Conseil Constitutionnel.

Ce Samedi 30 Décembre, au moment du contrôle des parrainages, il a été décidé de retirer un quantum de 10.000 parrains au motif qu’il n’a pas été porté à l’en-tête de la clé, le nom de la région concernée.

D’où, notre contrôle a porté sur 40.128 parrains.

Pourtant le récépissé de dépôt mentionnait bien , l’origine géographique des parrains retirés.

Par ailleurs, il nous a été diagnostiqués unilatéralement 18.084 parrains ne figurant pas au fichier électoral, fichier non produit lors de la séance ; Donc , impossible de vérifier par nous mêmes.

Alors que nous étions dans les faits , le 2e candidat à être contrôlé, on nous a décompté 9.134 doublons externes .

Quant aux doublons internes, on nous en a décomptés 5.540 .

Et pourtant, nous avons travaillé avec un logiciel qui les signalait automatiquement.

Sans cela, notre fichier de parrainages aurait approché 100.000 parrains.

En définitive, on nous a , de fil en aiguille , éliminé 42.708 parrains.

Bizarrement, la clé que nous avions remise a été détruite et une autre nous a été restituée à sa place !!!

C’est dans ces circonstances que notre candidature a été invalidée.

C’est le lieu de remercier tous ceux qui nous ont soutenus et d’appeler à la réforme du système actuel de parrainage qui comporte une grande part d’aléas.

Par ailleurs, nous appelons tous les candidats qui ont été exclus à constituer une grande Coalition afin de pouvoir peser sur la destinée politique de notre pays .

Contrairement à ce qui a été dit ici ou là, nous n’étions pas mû par une quelconque boulimie du pouvoir ou par une quelconque volonté de nous mettre en évidence.

Notre ambition était seulement de soumettre à nos compatriotes une offre politique crédible axée sur le développement durable et la démocratie participative.

Et Ce combat est loin d’être terminé .Il va continuer.

Dieu protège le Sénégal

Dieu protège l’Afrique. »

Interdiction de l’investiture de Sonko : Aminata Touré dénonce un assaut contre la démocratie sénégalaise

Mme Aminata Touré a souligné le contraste entre l’investiture publique répétée d’Amadou Ba, candidat soutenu par le Président Macky Sall, et l’interdiction faite à la Coalition Sonko 2024 d’organiser l’investiture de son candidat. Cette disparité apparente alimente les inquiétudes quant à l’équité du processus politique et suscite des interrogations sur le respect des principes démocratiques au Sénégal.

Dans ses déclarations, Mme Aminata Touré a déploré la situation en indiquant : « La Démocratie sénégalaise n’en finit pas d’être agressée, et les démocrates doivent se mobiliser pour rétablir le cours normal de notre Démocratie qui a longtemps été une référence en Afrique et dans le monde. » Cette affirmation souligne l’importance de préserver les valeurs démocratiques qui ont fait du Sénégal un exemple dans la région et au-delà.

L’interdiction de l’investiture de Sonko et les préoccupations exprimées par Mme Aminata Touré mettent en lumière les tensions croissantes dans le pays à l’approche de l’élection présidentielle de 2024. La question de l’équité et de l’impartialité dans le processus politique prend de l’ampleur, et la société sénégalaise observe de près les développements politiques pour évaluer la santé démocratique du pays.

Dame Mbodji révèle des alliances secrètes entre Macky Sall, Amadou Ba, Karim Wade et Idy en prévision de la présidentielle

Dans une déclaration explosive, Dame Mbodji a levé le voile sur les coulisses politiques présumées de la prochaine élection présidentielle au Sénégal. Selon l’enseignant activiste, le président Macky Sall aurait anticipé la menace que représente Ousmane Sonko et serait en train de tisser une alliance secrète avec des opposants soigneusement sélectionnés.

Dame Mbodji affirme que Macky Sall, conscient que seul Ousmane Sonko pourrait le défier sérieusement, aurait adopté une stratégie consistant à laisser les autres candidats s’exprimer librement. De plus, il suggère que de nombreux opposants seraient en réalité en alliance avec le président sortant, et qu’il n’y aurait pas de mésentente réelle entre eux et le pouvoir en place.

Dans ses révélations rapportées par Senenews, Dame Mbodji va plus loin en affirmant qu’il est au courant d’une alliance en gestation, rassemblant des figures politiques majeures. Cette alliance secrète, selon lui, impliquerait des personnalités telles que Karim Wade, Amadou Ba, et même l’ancien Premier ministre Idrissa Seck. L’objectif commun de cette coalition présumée serait de soutenir la candidature d’Amadou Ba, craignant la perte du pouvoir.

Il est important de noter que ces affirmations de Dame Mbodji soulèvent des questions cruciales sur les dynamiques politiques en jeu dans la perspective de l’élection présidentielle. Les spéculations autour de ces alliances présumées ne manqueront pas de susciter l’attention de l’opinion publique et pourraient influencer la manière dont les électeurs perçoivent les différents acteurs politiques.

Les prochaines semaines verront probablement un examen minutieux des déclarations de Dame Mbodji et la recherche de confirmations ou de démentis de la part des personnalités politiques mentionnées. En attendant, ces révélations risquent de remodeler le paysage politique sénégalais et d’introduire de nouvelles dimensions dans la course présidentielle à venir.

Vérification des parrainages : Voici les résultats pour 20 candidats à la présidentielle (1ère journée)

Le 30 décembre, la commission désignée par le Conseil a poursuivi l’examen des parrainages des candidats à l’élection présidentielle. Le tirage au sort déterminant l’ordre de vérification a offert un avantage potentiel aux premiers candidats, minimisant le risque de doublons. Voici les détails des validations et invalidations de ce jour.

Résultats de la vérification des parrainages

  1. Boubacar Camara: Parrainages validés. 6069 parrains introuvables dans le fichier électoral, mais cela n’a pas affecté la validation.
  2. Cheikh Aguibou Soumaré: Dossier rejeté pour cause de multiples doublons externes.
  3. Dr Ousmane Kane: Parrainage invalidé, non-paiement de la caution à la Caisse de dépôt et de consignation.
  4. Ousmane Sonko: En attente, l’absence de son représentant pour « petit malaise » a retardé la vérification.
  5. Me Amadou Aly Kane: Candidature invalidée. Malgré un dépôt initial de plus de 50 000 parrains, des anomalies telles que l’absence de mention de la région et des doublons ont réduit considérablement le nombre valide.
  6. Papa Eugène Barbier: Invalidé pour cause de dossier incomplet.
  7. Me El Hadj Diouf: Situation incertaine due à des communications contradictoires sur le nombre de parrains validés. Seulement 40440 parrains ont été confirmés valides.
  8. Abdoulaye Sylla: Invalidé pour doublons de parrains.
  9. Cheikh Tidiane Gadio: Dossier rejeté. Les détails spécifiques non divulgués, focus sur la correction des doublons.
  10. Mouhamed Ben Diop: Invalidé.
  11. Rose Wardini: Validation sous condition, nécessite une correction urgente des doublons.
  12. Cheikh Tidiane Dièye: Parrainages validés.
  13. Malick Gueye: Problème technique lors du transfert des données depuis la clé USB. Situation atypique non résolue.
  14. Mouhamed El Habib Tounkara: Seulement 189 parrains fournis sans caution. Dossier incomplet et donc invalidé.
  15. Mary Teuw Niane: Disqualifié pour non-reconnaissance de plus de 28000 parrains. 15584 parrains validés et 6128 doublons.
  16. Mamadou Sambou YATASSAYE: Invalidé pour modifications des fiches de parrainage.
  17. Déthié FALL: Parrainages validés.
  18. Aminata Assome Diatta: Invalidée après contrôle, seulement 9339 parrains validés sur 55000.
  19. Papa Macodou Diouf: Invalidé.
  20. Samba Ndiaye, invalidé

À noter que la validation des parrainages ne garantit pas l’approbation finale de la candidature, mais représente une étape capitale dans le processus de candidature. La commission a rappelé aux candidats l’importance de fournir des dossiers complets et sans erreurs pour éviter les rejets ultérieurs.

Le Conseil constitutionnel suspendra ses activités de vérification le 31 décembre et le 1er janvier, pour reprendre l’examen des dossiers restants à partir du 2 janvier 2024.

Déthié Fall voit sa candidature validée par le Conseil constitutionnel : Une avancée majeure vers la présidentielle

Déthié Fall, candidat de la plateforme DÉTHIÉFALL2024, réalise une étape cruciale dans sa course à la présidence du Sénégal, avec la validation officielle de ses parrainages par le Conseil constitutionnel. Cette avancée propulse Déthié Fall parmi les premiers prétendants à réussir cette étape cruciale, marquant un moment décisif dans sa campagne présidentielle.

Le Conseil constitutionnel a formellement ratifié la validité des parrainages déposés par le candidat ce samedi, confirmant ainsi son éligibilité et le positionnant parmi les premiers à avoir réussi cette exigence cruciale dans le processus électoral.

Dans une réaction complète, Déthié Fall adresse un message aux compatriotes, exprimant sa gratitude pour la confiance qu’ils ont placée en lui en portant et parrainant sa candidature à l’élection présidentielle prévue pour le 25 février 2024. Il appelle à l’unité pour des élections inclusives et transparentes, et à la construction d’un Sénégal propice à la vie et esthétiquement plaisant.

Sa déclaration complète se lit comme suit :

« Chers compatriotes,

Après vérification du parrainage ce jour au Conseil Constitutionnel que nous venons de valider, je vous remercie du fond du cœur pour votre confiance en ayant porté et parrainé ma candidature à l’élection présidentielle du 25 février 2024.

Ensemble pour des élections inclusives et transparentes.

Ensemble pour un Sénégal bon à vivre et beau à voir.

Déthié,

Président du PRP,

Candidat de DÉTHIÉFALL2024 à l’élection présidentielle »

Cette confirmation par le Conseil constitutionnel offre à Déthié Fall une base solide pour poursuivre sa campagne en vue de l’élection présidentielle, renforçant ainsi sa position sur la scène politique sénégalaise. L’accent mis sur des élections inclusives et transparentes souligne l’importance de ces principes dans le processus démocratique du pays.

Rejet de la candidature de Me Amadou Aly Kane : Appel à la réforme du système de parrainage et proposition de coalition

Le 30 décembre 2023, le Conseil Constitutionnel a invalidé la candidature de Me Amadou Aly Kane, malgré le dépôt d’un dossier complet comprenant plus de 50 000 parrains. Des anomalies, notamment le retrait de 10 000 parrains pour absence de mention de la région à l’en-tête de la clé, ont été relevées lors du contrôle. Face à cette situation, Me Amadou Aly Kane a publié un texte sur sa page Facebook, soulevant des circonstances douteuses et appelant à la réforme du système de parrainage.

Le candidat écarté a rappelé que son dossier de candidature, déposé par son mandataire, comportait plus de 50 000 parrains, dont plus de 2000 provenant de 8 régions du Sénégal. Cependant, au cours du contrôle, 10 000 parrains ont été retirés au motif qu’il n’a pas été mentionné à l’en-tête de la clé le nom de la région concernée. Me Amadou Aly Kane a souligné que le récépissé de dépôt mentionnait pourtant l’origine géographique des parrains retirés.

Parmi les autres problèmes soulevés, on compte le diagnostic unilatéral de 18 084 parrains ne figurant pas au fichier électoral, un fichier non produit lors de la séance de contrôle. De plus, 9 134 doublons externes et 5 540 doublons internes ont été décomptés, malgré l’utilisation d’un logiciel signalant automatiquement ces cas.

Ce rejet de candidature met en lumière les défis et les controverses entourant le processus électoral au Sénégal, soulignant la nécessité d’une réflexion approfondie sur la transparence et l’équité dans le système de parrainage. L’appel à la formation d’une coalition suggère une volonté commune de certains candidats de faire entendre leur voix malgré les obstacles rencontrés. La suite de cette situation pourrait avoir des implications significatives sur la scène politique sénégalaise à l’approche de l’élection présidentielle.**

Déthié Fall, proche d’Ousmane Sonko, valide ses parrainages au conseil constitutionnel : un pas de plus vers la présidentielle

Dans la course à la magistrature suprême au Sénégal, Déthié Fall, candidat de la plateforme DÉTHIÉFALL2024, franchit une étape cruciale en obtenant la validation officielle de ses parrainages par le Conseil constitutionnel. Cette réussite le place parmi les premiers prétendants à satisfaire cette exigence capitale, marquant une avancée significative dans sa campagne présidentielle.

Déthié Fall a choisi la voie du parrainage populaire, se démarquant ainsi des autres formes de soutien autorisées telles que les parrainages des députés et des élus locaux. La confirmation de la validité de ses parrainages par le Conseil constitutionnel souligne non seulement la légitimité du soutien populaire dont il bénéficie, mais également son habileté stratégique à mobiliser un large et diversifié soutien au sein de la population sénégalaise.

Cette étape positive s’inscrit dans le cadre de l’examen minutieux du dossier de candidature de Déthié Fall par le Conseil constitutionnel, incluant neuf documents essentiels tels que son certificat de nationalité, son casier judiciaire et son quitus fiscal. Cette vérification méticuleuse vise à garantir que tous les candidats répondent aux critères stricts définis par la loi électorale sénégalaise.

Mouhamed Ben Diop recalé : opacité autour des chiffres des doublons, un point de tension au conseil constitutionnel

Dans le contexte de la validation des candidatures pour l’élection présidentielle au Sénégal, Mouhamed Ben Diop, candidat de la Grande coalition du parti « Pass-Pass », se voit recalé par le Conseil constitutionnel, suscitant des interrogations sur les chiffres des doublons non divulgués.

L’étape cruciale de la Commission de contrôle des parrainages a été franchie par le représentant du candidat, Ousmane Ndao. Cependant, à la sortie de cette étape, une certaine opacité entoure la validité du dossier de Mouhamed Ben Diop, le mandataire refusant de divulguer des chiffres spécifiques.

Ousmane Ndao a déclaré : « Nous sommes venus pour l’étape du contrôle de parrainage, mais nous ne savons pas encore si notre dossier est valide, car le Conseil nous a remis un procès-verbal que nous n’avons pas encore exploité. Nous sommes conscients de certains rejets dus à des doublons, dont les chiffres nous sont encore inconnus. »

Il a ensuite ajouté : « Nous avons analysé les parrains dans les 14 régions et la diaspora. Quelques doublons ont été identifiés, mais il nous reste à exploiter les résultats obtenus. » Cette déclaration met en évidence le caractère rigoureux du processus de contrôle des parrainages et souligne l’attention particulière accordée à la détection et à la gestion des doublons dans le cadre de cette démarche électorale.

L’absence de divulgation des chiffres spécifiques des doublons crée un point de tension au sein du processus électoral, alimentant les spéculations et les interrogations quant à la transparence du processus de validation des candidatures. Les électeurs et les observateurs attendent désormais des clarifications du Conseil constitutionnel sur les motifs du rejet de la candidature de Mouhamed Ben Diop et sur les chiffres exacts des doublons identifiés.

Cet épisode souligne l’importance de la transparence et de la communication dans le processus électoral, soulignant la nécessité pour les institutions de divulguer des informations cruciales pour maintenir la confiance du public dans l’intégrité du processus démocratique. L’évolution de cette situation pourrait avoir des répercussions significatives sur le paysage politique en amont de l’élection présidentielle.

Incident technique au conseil constitutionnel : Un candidat confronté à des obstacles dans la vérification des parrainages

Dans le cadre du processus crucial de validation des candidatures pour l’élection présidentielle au Sénégal, un incident technique au Conseil constitutionnel crée des incertitudes autour de la candidature de Malick Gueye, mettant en lumière un problème inattendu dans le règlement de vérification des parrainages.

Le tirage au sort, déterminant l’ordre de vérification des dossiers de parrainage par le Conseil constitutionnel, est un moment clé du processus électoral. Il vise à éviter les doublons de parrainage, conformément au règlement qui stipule qu’un électeur ne peut parrainer deux candidats simultanément, le second parrainage étant considéré comme invalide.

Malick Gueye, l’un des candidats, a été confronté à une situation inattendue lors de la vérification de ses parrainages. Lorsque la commission du Conseil constitutionnel a tenté de transférer les données depuis la clé USB vers leur ordinateur, un problème technique non spécifié a empêché l’opération. Ce problème, qui n’était pas anticipé dans le règlement, a soulevé des questions sur la validité de la candidature de Malick Gueye.

Invalidation de la Candidature de Mary Teuw Niane par le Conseil Constitutionnel

Le Conseil constitutionnel a tranché ce samedi 30 décembre en invalidant la candidature du professeur Mary Teuw Niane pour l’élection présidentielle. La décision a été motivée par « plus de vingt-huit mille parrains non reconnus ».

Cette annonce met fin à une période d’incertitude qui a entouré la candidature de Mary Teuw Niane, qui a exprimé sa gratitude envers tous ceux qui ont soutenu son projet de « transformation nationale » au cours des huit derniers mois.

Cette décision du Conseil constitutionnel souligne l’importance du processus de parrainage dans le cadre des élections présidentielles au Sénégal, et la rigueur avec laquelle les critères sont évalués. La course à la présidentielle continue avec les candidats dont les dossiers ont été validés par les instances compétentes.

Conseil constitutionnel : L’examen du dossier de Sonko retardé en raison de l’absence de son représentant

Le dossier du candidat de la coalition Sonko Président 2024 aurait dû être examiné ce samedi matin au Conseil Constitutionnel. Cependant, cela n’a pas été possible en raison de l’absence de son représentant.

À l’heure actuelle, Maître Ciré Clédor Ly ne s’est toujours pas présenté au siège du Conseil Constitutionnel. L’absence du représentant du candidat Sonko est susceptible de retarder le processus de vérification des parrainages, car selon le protocole en place, les dossiers dont le représentant est absent sont examinés après l’épuisement de la liste des candidats présents.

Cette situation souligne l’importance de la présence des mandataires des candidats lors des phases critiques du processus électoral, en particulier lors de la vérification des parrainages. L’issue de cette vérification aura un impact direct sur la participation du candidat à l’élection présidentielle de février 2024.

Cheikh Tidiane Dieye valide son parrainage avec 50 000 signatures

Le candidat Cheikh Tidiane Dieye a franchi avec succès l’étape du parrainage, selon les informations fournies par son mandataire, Julien Sagna. Ce dernier affirme que le candidat a obtenu « 50 000 parrains ».

Le dossier de Cheikh Tidiane Dieye a été examiné dans l’après-midi de ce samedi 30 décembre au Conseil Constitutionnel. Contrairement à lui, la candidate Rose Wardini devra revoir ses fiches de parrainage afin de remplacer des doublons externes.

Après la validation du parrainage de Cheikh Tidiane Dieye, le dossier d’une autre figure de l’opposition, Dethié Fall, sera examiné.

Ngouda Mboup : « L’interdiction de l’investiture de Ousmane Sonko est une discrimination manifeste »

Le constitutionnaliste Ngouda Mboup a dénoncé une violation évidente de la Constitution sénégalaise dans la décision d’interdire l’investiture du Président Ousmane Sonko.

Selon Ngouda Mboup, la Constitution du Sénégal, en ses articles 1er et 4, interdit toute discrimination entre les formations politiques. « L’interdiction de l’investiture du Président Ousmane SONKO est une discrimination manifeste », déclare-t-il.

Il affirme que Ousmane SONKO fait l’objet de discrimination, de persécution et de confiscation de ses droits constitutionnels. « Ousmane SONKO est candidat et participera à l’élection présidentielle du 25 février 2024 », ajoute-t-il.

Cette déclaration de Ngouda Mboup souligne les préoccupations croissantes concernant la liberté d’expression et les droits constitutionnels dans le contexte préélectoral au Sénégal. Les acteurs politiques et les experts constitutionnalistes continuent de s’exprimer sur les questions entourant le processus électoral, mettant en évidence la nécessité d’un respect strict des principes constitutionnels pour garantir des élections justes et équitables. L’évolution de la situation politique et les réponses institutionnelles à ces préoccupations seront essentielles pour le déroulement harmonieux du processus électoral.

Validation sous condition : Rose Wardini doit rectifier des doublons en urgence

Le Conseil constitutionnel a approuvé le dossier de la candidate Rose Wardini, marquant ainsi une étape cruciale dans sa course électorale. Cependant, l’examen minutieux du dossier a révélé la présence de quelques doublons, mettant en lumière la nécessité d’une régularisation dans un délai strict de 48 heures.

Le mandataire de Mme Wardini, Ousmane Badiane, a pris acte de cette situation et s’est engagé à travailler en étroite collaboration avec les autorités compétentes pour rectifier ces anomalies dans les plus brefs délais.

« Je viens de sortir du Conseil constitutionnel il y’a des détails à retenir mais ce n’est pas important mais notre dossier a été bien validé. C’est une question de petit nombre de doublons externes. Nous avons un bref délai de 48 heures pour régler ce détail », a fait savoir le mandataire du candidat Rose Wardini. Il a préfèré ne pas communiquer sur les chiffres.

Investiture de Sonko délocalisée : nouveau contrecoup à la cérémonie au Fun City

« Le peuple sénégalais est témoin ! La communauté internationale est témoin ! Le conseil constitutionnel est témoin ! Restez connectés ! Ousmane SONKO est candidat et sera président en 2024 », a-t-il assuré.

Cette série d’entraves à la tenue de l’investiture souligne les tensions croissantes autour du processus électoral et les défis auxquels sont confrontés certains candidats dans leur démarche vers la présidentielle de 2024. L’incertitude persistante quant à la possibilité d’organiser des événements politiques dans des lieux privés souligne l’importance de la liberté d’expression et d’organisation dans le contexte préélectoral. La manière dont ces développements influenceront la dynamique politique reste à observer dans les prochains jours.

Vérification des parrainages : absence de Me Ciré Clédor Ly, mandataire de Sonko, pour cause de malaise

La procédure de vérification des parrainages pour la candidature d’Ousmane Sonko au Conseil constitutionnel a connu un contretemps ce samedi en raison de l’indisponibilité de Me Ciré Clédor Ly, mandataire du candidat. Selon des informations relayées par Jotna Media, un média proche de Sonko, Me Ly aurait été victime d’un « petit malaise » ce matin. Bien que le mandataire se porte finalement bien, ce contretemps l’a empêché de se présenter à l’heure prévue, soit 9h30, pour superviser le processus crucial de vérification des parrainages.

Une vidéo publiée par une source médiatique affiliée à Ousmane Sonko a tenté de dissiper l’inquiétude parmi les militants, soulignant que cette absence ne porterait pas immédiatement préjudice à la validité de la candidature. Le Conseil constitutionnel, anticipant de telles situations, a mis en place un protocole spécifique. Il a été stipulé que tout dossier dont le candidat ou le mandataire serait absent serait traité le dernier jour des vérifications des parrainages, fixé, selon le calendrier publié, au 5 janvier 2024.

Cette situation souligne l’importance du respect des délais dans le processus de vérification des parrainages et la nécessité pour les équipes des candidats de veiller à la présence de leurs mandataires aux moments cruciaux du processus électoral.

Contrôle des parrainages : Cheikh Tidiane Gadio recalé avec possibilité de régularisation en 48 heures

Lors de la vérification des parrainages au Conseil constitutionnel ce samedi, Cheikh Tidiane Gadio, leader du mouvement « Luy jot jotna », a été recalé. La mandataire du candidat, Madame Aminata Diagne Thiam, a informé la presse de cette décision tout en soulignant qu’ils bénéficient d’un délai de 48 heures pour régulariser leur situation.

Selon Mme Thiam, Cheikh Tidiane Gadio dispose de deux jours pour remédier aux irrégularités constatées dans ses parrainages. La question clé demeure de savoir s’il pourra résoudre les problèmes liés aux doublons dans le délai imparti.

La situation actuelle place Cheikh Tidiane Gadio dans une course contre la montre pour corriger les anomalies dans ses parrainages et garantir sa participation à l’élection présidentielle. La règle des 48 heures offre une fenêtre d’opportunité pour résoudre les problèmes détectés pendant le contrôle des parrainages.

La suite des événements dépendra des actions entreprises par l’équipe de Cheikh Tidiane Gadio pour répondre aux exigences du Conseil constitutionnel. Cette situation souligne l’importance cruciale de la rigueur dans le processus de collecte des parrainages et la nécessité pour les candidats de veiller à la conformité de leurs dossiers pour éviter des retards ou des recalages. L’issue de cette période de régularisation dans les 48 heures restera à observer.

Présidentielle 2024 : Abdoulaye Sylla rejeté par le conseil constitutionnel pour plus de 10 000 doublons

La course à l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal subit un tournant majeur alors que le Conseil constitutionnel a rejeté la candidature d’Abdoulaye Sylla, chef d’entreprise à la tête d’ECOTRA, en raison de plus de 10 000 doublons identifiés dans son dossier de parrainages.

Le rejet de la candidature d’Abdoulaye Sylla par le Conseil constitutionnel remet en question sa participation à la présidentielle de février 2024. Cela souligne également l’importance du processus de collecte de parrainages, qui doit être soigneusement géré pour garantir la transparence et l’intégrité du processus électoral.

Cette décision du Conseil constitutionnel aura sans aucun doute des répercussions significatives sur le paysage politique en prévision de l’élection présidentielle. Elle met également en évidence l’importance cruciale de la conformité aux règles électorales pour garantir un processus électoral démocratique et équitable.

Présidentielle 2024 : Abdoulaye Sylla impressionne avec une Range Rover Holland and Holland

Cette voiture d’exception, habituellement réservée aux grandes personnalités d’Angleterre, symbolise le luxe, le prestige, et l’élégance. La présence de la Range Rover Holland and Holland dans la campagne d’Abdoulaye Sylla atteste de son désir de marquer les esprits et de se démarquer dans cette compétition présidentielle.

Selon des informations rapportées par Seneweb, cette voiture exclusive est détenue uniquement par des personnalités notables telles que James Ratcliffe, Gopichand, et Srichand Hinduja. En choisissant ce symbole de raffinement, Abdoulaye Sylla cherche à imprimer sa campagne d’une empreinte distinctive, symbolisant son ambition et sa détermination à atteindre la plus haute fonction du pays.

Le geste audacieux d’Abdoulaye Sylla souligne également l’importance de la communication et de la stratégie visuelle dans le paysage politique. Alors que la présidentielle de 2024 promet d’être hautement compétitive, chaque candidat explore des moyens novateurs pour attirer l’attention des électeurs et se positionner comme le choix optimal.

La Range Rover Holland and Holland devient ainsi plus qu’un simple véhicule dans cette campagne présidentielle ; elle incarne un symbole de l’ambition et de la détermination d’Abdoulaye Sylla à impressionner et à convaincre les électeurs de son leadership. La suite de la campagne révélera comment ce geste exceptionnel influencera le paysage politique sénégalais dans les mois à venir.

Présidentielle 2024 : Amadou Bâ met en place son directoire de campagne

À quelques mois de l’élection présidentielle prévue pour le 25 février 2024, le candidat de Benno Bokk Yakaar (BBY), Amadou Bâ, s’apprête à donner le coup d’envoi officiel de sa campagne en installant son directoire ce samedi 30 décembre 2023. Cette étape marque une avancée cruciale dans la stratégie du candidat qui semble confiant quant à la formalité de la collecte des signatures de parrainage.

Ayant déjà élaboré une stratégie bien définie en vue de la présidentielle, Amadou Bâ entend mettre en place une équipe dynamique et déterminée lors de l’installation de son directoire. Cette équipe aura pour mission d’organiser et de conduire la campagne électorale, ainsi que de mobiliser les ressources nécessaires pour soutenir la candidature de Bâ et défendre les positions de la coalition BBY.

Cependant, des questions subsistent quant aux déclarations antérieures d’Amadou Bâ, qui affirmait avoir plus de 3 millions de parrains. La campagne qui s’annonce permettra peut-être de clarifier ces déclarations et de démontrer la force de mobilisation de la candidature au sein de la coalition BBY.

Contrôles des Parrainages : Un Parcours Contrasté pour les Candidats à la Présidentielle 2024

Depuis ce matin, le Conseil constitutionnel joue un rôle central dans le processus de validation des candidatures pour l’élection présidentielle du 25 février 2024. Le candidat Boubacar Camara a réussi à franchir avec succès le premier obstacle, avec 53 173 de ses parrains validés, renforçant ainsi sa position dans la course électorale.

Cependant, la journée n’a pas été clémente pour tous les prétendants à la présidence. Pour Cheikh Adjibou Soumaré, la route s’arrête ici, car ses parrainages n’ont pas été validés. Un sort similaire touche Dr Ousmane Kane, qui a trébuché sur l’obstacle financier, sa caution restant impayée. Ces revers marquent un tournant dans leurs campagnes respectives et soulèvent des questions sur l’avenir de leurs engagements politiques.

Le scénario est tout aussi défavorable pour l’avocat Amadou Aly Kane, tandis qu’Elhadji Ibrahima Mbow a décidé de se retirer de la course. En suspens, le cas d’Ousmane Sonko attire l’attention, la vérification de ses parrainages étant retardée par l’absence de son mandataire. Papa Eugène Barbier voit également son dossier en attente, créant une certaine incertitude autour de sa candidature.

Pour les candidats dont les dossiers ont été rejetés, il existe toutefois un délai pour rectifier leur situation face aux 7 Sages du Conseil constitutionnel. Cette période de rectification pourrait être déterminante pour ceux qui cherchent à surmonter les obstacles rencontrés lors de la première phase de contrôle.

Il est important de noter que la liste électorale n’est pas gravée dans le marbre, et elle pourrait encore évoluer après la phase de contention. Les prochains jours seront cruciaux pour les candidats et leurs équipes, alors que la course présidentielle de 2024 prend des contours de plus en plus définis. Les électeurs restent en attente des développements à venir qui façonneront le paysage politique dans les semaines à venir.

Boubacar Camara : Un pas fructueux dans le contrôle des parrainages pour la Présidentielle 2024

C’est une nouvelle réjouissante pour le candidat et ses partisans, qui ont suivi avec attention le processus de vérification des parrainages. Mor Ndiaye a déclaré aux médias : « Dieu merci, le Conseil constitutionnel a validé notre candidature. Parmi les 58 975 parrains déposés, 6 069 ont été jugés incorrects. »

Cette étape cruciale franchie, Boubacar Camara est maintenant officiellement en lice pour la présidentielle de 2024. Cependant, d’autres vérifications restent à accomplir pour confirmer la validité et la conformité des autres documents liés à sa candidature.

La réaction du candidat ne s’est pas fait attendre, et il a exprimé sa gratitude sur ses pages officielles en rendant grâce à Allah. Cette validation renforce la position de Boubacar Camara dans la compétition électorale et donne un élan positif à sa campagne.

Les jours à venir seront cruciaux pour tous les candidats alors que le processus électoral avance. Les partisans de Boubacar Camara, emplis d’optimisme, attendent avec impatience les prochaines étapes de la campagne et les débats qui façonneront le paysage politique en vue de l’élection présidentielle de 2024.

Revers dans le contrôle des parrainages : Adjibou Soumaré écarté de la Présidentielle 2024

La course à la présidentielle 2024 enregistre un premier coup de théâtre avec le rejet du dossier de candidature d’Adjibou Soumaré lors des opérations de contrôle ce samedi. Une annonce qui a pris de court les partisans du candidat, laissant planer des interrogations quant aux raisons de ce rejet.

Ce samedi, le mandataire d’Adjibou Soumaré a quitté le Conseil constitutionnel sans s’adresser à la presse, laissant un voile de mystère sur la situation. Cependant, lorsqu’il a été contacté par notre confrère Buurnews, il a confirmé la mauvaise nouvelle : le dossier de son candidat a été rejeté. Malheureusement, aucune explication détaillée sur les motifs de ce rejet n’a été fournie.

Le silence entourant cette décision laisse la sphère politique en émoi, et les partisans de Soumaré sont en attente d’éclaircissements. La disqualification d’Adjibou Soumaré change radicalement la dynamique de la compétition, ouvrant la voie à de nouvelles spéculations sur l’impact de cette exclusion sur le paysage politique.

À contre-courant de ces revers, le candidat Boubacar Camara réussit avec succès cette étape du contrôle des parrainages, renforçant ainsi sa position dans la course à la présidentielle.

La disqualification d’Adjibou Soumaré marque un tournant dans la campagne électorale, suscitant des discussions animées sur les implications futures de cette décision et redéfinissant les alliances et les stratégies au sein du paysage politique en pleine ébullition. Les jours à venir seront cruciaux pour mesurer l’impact de ces rebondissements sur le scrutin présidentiel à venir

Contrôle des parrainages : L’attente du mandataire de Sonko au conseil constitutionnel

Alors que le dossier de Sonko devait passer au crible en quatrième position, après ceux de Boubacar Camara, Aguibou Soumaré, et Ousmane Kane, l’absence notable de Ciré Clédor Ly suscite des interrogations. Les radars scrutent l’enceinte du Conseil constitutionnel, mais l’ombre du mandataire de Sonko ne s’y est pas encore dessinée.

Les conséquences de ce défaut de présence peuvent être discernées en cas de retard ou d’absence lors de la journée dédiée à la vérification des parrainages.

En cas de retard :

Les parrainages d’un candidat, dont le représentant est en retard, seront examinés après ceux de tous les autres candidats présents pour la même journée. Cette situation pourrait potentiellement retarder l’examen complet des dossiers, mettant ainsi Sonko dans une position délicate.

En cas d’absence du candidat ou de son représentant :

Si l’absence de Me Ciré Clédor Ly est notée le jour prévu, les parrainages d’Ousmane Sonko ne seront traités qu’après l’examen complet de ceux de tous les autres candidats. Cette situation pourrait avoir des répercussions majeures sur le calendrier électoral et soulever des préoccupations quant à la conformité du dossier de Sonko.

L’importance des parrainages dans le processus électoral ne peut être sous-estimée, et tout retard ou absence lors de la vérification peut avoir des conséquences significatives. La vigilance est de mise, et les partisans d’Ousmane Sonko scrutent avec attention l’évolution de cette situation, conscient des enjeux qu’elle peut représenter pour la candidature de leur leader. L’attente se prolonge, laissant planer un suspense qui ne manquera pas de susciter des débats et des spéculations dans les cercles politiques.

Interdiction du Meeting d’investiture de Sonko : Le Préfet de Dakar évoque trois motifs majeurs

Le meeting d’investiture d’Ousmane Sonko, candidat à la présidentielle, prévu ce samedi au Terrain Acapes des Parcelles-Assainies, a été interdit par le préfet de Dakar. Cette décision, officialisée par un arrêté, repose sur trois motifs principaux, selon des sources de Ledakarois.

Le document officiel cite les raisons suivantes :

1 Menace de troubles à l’ordre public : Le préfet évoque la possibilité de troubles qui pourraient perturber la paix et la sécurité publiques pendant le meeting d’investiture.

2 Entrave à la libre circulation des personnes et des biens : L’arrêté souligne que la tenue du meeting pourrait entraîner des difficultés en termes de circulation, compromettant ainsi la libre circulation des citoyens et des biens dans la région.

3 Risque d’infiltrations de personnes mal intentionnées : Le préfet exprime également des préoccupations quant à la sécurité de l’événement, en évoquant un risque d’infiltration de personnes aux intentions malveillantes.

Le commissariat central de Dakar a reçu la charge de veiller à une application stricte de cette mesure d’interdiction. Cette décision a des implications importantes dans le contexte électoral actuel, soulignant les tensions et les préoccupations liées à la sécurité et à l’ordre public dans la région de Dakar.

    Présidentielle Sénégalaise 2024 : Six femmes parmi les 93 candidats à la candidature

    Dans le paysage politique du Sénégal, la présidentielle de 2024 s’annonce déjà comme une élection historique avec la participation de six femmes parmi les 93 candidats ayant déposé leur dossier auprès du Conseil constitutionnel. Parmi elles, on retrouve des figures notables telles que les anciennes ministres Assome Aminata Diatta et Aïssatou Mbodj, communément appelée Aïda.

    L’institution chargée de l’examen des candidatures a également enregistré les candidatures de personnalités aussi diverses que l’entrepreneure Anta Babacar Ngom, l’universitaire Amsatou Sow Sidibé, l’ancienne Première ministre Aminata Touré, et la médecin Rose Wardini. Cette diversité de profils reflète la richesse du paysage politique sénégalais et souligne l’implication croissante des femmes dans la sphère politique.

    Seules deux femmes, la styliste Diouma Dieng Diakhaté et Amsatou Sow Sidibé, ont déjà participé en tant que candidates à une élection présidentielle sénégalaise, et cela remonte à l’année 2012. Leur présence dans la course présidentielle actuelle indique une volonté persistante de briser les barrières de genre et de jouer un rôle actif dans la direction du pays.

    Le processus de sélection des candidats comprendra le contrôle des parrainages, débutant le samedi 30 décembre à 9 h 30, selon le président du Conseil constitutionnel, Mamadou Badio Camara. La publication de la liste des candidats conformes à la loi est prévue pour le 12 janvier. Huit jours plus tard, le 20 janvier, le Conseil constitutionnel annoncera la liste des candidatures jugées recevables.

    La campagne électorale officielle, préalable au scrutin présidentiel du 25 février, débutera quant à elle le 4 février. Ce temps de campagne sera crucial pour les candidats, leur offrant l’opportunité de présenter leurs programmes et visions aux électeurs sénégalais, dans un contexte où la participation des femmes dans le processus démocratique revêt une importance particulière.

    Interdiction du meeting d’investiture de Sonko : El Malick Ndiaye dénonce une « provocation »

    Le préfet de Dakar a récemment pris la décision d’interdire le meeting d’investiture prévu par la coalition Sonko 2024, suscitant des réactions vives de la part des responsables politiques, notamment El Malick Ndiaye, le responsable de la communication de Pastef. L’autorité territoriale a invoqué trois motifs pour justifier cette interdiction, à savoir la « menace de troubles à l’ordre public, l’entrave à la libre circulation des personnes et des biens, et le risque d’infiltration de personnes mal intentionnées ».

    Pour El Malick Ndiaye, ces motifs sont perçus comme une « provocation » de la part des autorités. Dans une déclaration sur le réseau social Facebook, il a exprimé le mécontentement de la coalition Sonko 2024 face à cette décision. Il a souligné que l’interdiction intervient alors que le candidat de la coalition adverse organise librement des meetings d’investiture à travers le pays. Cette disparité dans le traitement des événements politiques est perçue comme une tentative de décourager les partisans de Ousmane Sonko.

    « Nous venons de recevoir l’arrêt portant interdiction de notre cérémonie d’investiture du 30 décembre 2023. Au même moment, le candidat de la servitude volontaire est en train de multiplier les meetings d’investiture un peu partout dans le pays. Ceci n’est qu’une provocation de plus, mais nous invitons les militants et sympathisants à rester à notre écoute », a déclaré El Malick Ndiaye sur Facebook.

    Cette interdiction soulève des questions sur la liberté d’expression et de réunion dans le contexte politique du pays. Les partisans de Sonko 2024 réitèrent leur appel à la mobilisation et appellent à la vigilance face à ce qu’ils considèrent comme une tentative de restreindre leur espace politique. La situation suscite également l’attention de la société civile et des observateurs internationaux, qui surveillent de près le climat politique à l’approche des échéances électorales.

    Élection Présidentielle 2024 : détails cruciaux sur les bulletins de vote et les enveloppes révélés

    Alors que l’échéance de l’élection présidentielle de 2024 approche à grands pas, des détails cruciaux sur les bulletins de vote et les enveloppes ont été récemment révélés, suscitant l’attention et la curiosité du public. Ces éléments sont essentiels pour garantir l’intégrité du processus démocratique et assurer que chaque voix compte. Voici un aperçu des informations récemment divulguées.

    Sécurité Renforcée des Bulletins de Vote :

    Pour éviter toute possibilité de fraude électorale, les bulletins de vote de l’élection présidentielle de 2024 seront imprimés sur un papier spécial doté de caractéristiques de sécurité avancées. Ces caractéristiques comprennent des filigranes spéciaux, des encres réactives aux UV et des hologrammes intégrés. Ces mesures visent à rendre les faux bulletins de vote facilement détectables, renforçant ainsi la crédibilité du processus électoral.

    Codes QR pour une Vérification Instantanée :

    Chaque bulletin de vote comportera un code QR unique qui permettra aux électeurs de vérifier instantanément la validité de leur vote. Les citoyens pourront scanner ce code à l’aide d’une application dédiée pour confirmer que leur vote a été enregistré correctement. Cette fonctionnalité vise à accroître la transparence et à réduire les préoccupations concernant la manipulation des résultats.

    Enveloppes de Sécurité :

    Les enveloppes dans lesquelles les bulletins de vote seront scellés joueront également un rôle crucial dans la préservation de l’intégrité du scrutin. Fabriquées à partir de matériaux spéciaux inviolables, elles seront équipées de dispositifs de scellage uniques. Tout signe de manipulation ou d’altération de l’enveloppe sera immédiatement détecté, garantissant ainsi la confidentialité et la sécurité des votes exprimés.

    Systèmes de Surveillance Électronique :

    Des systèmes de surveillance électronique sophistiqués seront déployés dans tous les bureaux de vote pour surveiller en temps réel le processus de vote. Des caméras de sécurité et des dispositifs de suivi électronique seront utilisés pour garantir que toutes les activités liées au vote se déroulent conformément aux normes électorales établies. Cela contribuera à prévenir les irrégularités et à assurer un déroulement équitable du processus électoral.

    Formation Renforcée des Personnels Électoraux :

    Les personnels électoraux, chargés de superviser le déroulement du vote, recevront une formation approfondie sur l’utilisation des nouvelles technologies et la gestion des situations d’urgence. Cela garantira une exécution fluide du processus de vote et une réponse efficace à toute situation imprévue.

    Ces révélations sur les détails cruciaux des bulletins de vote et des enveloppes témoignent des efforts déployés pour rendre l’élection présidentielle de 2024 transparente, sécurisée et fiable. Ces mesures visent à renforcer la confiance du public dans le système électoral et à garantir que chaque voix soit comptabilisée de manière juste et équitable. Les citoyens sont encouragés à participer activement à ce processus démocratique en exprimant leur vote en toute confiance.

    Élection Présidentielle 2024 : Mamadou Badio Camara révèle les coulisses des 93 dossiers au greffe du Conseil Constitutionnel

    Le greffe du Conseil Constitutionnel a été le théâtre de l’activité intense alors que 93 dossiers de candidature pour l’élection présidentielle du 25 février 2024 ont été déposés. Mamadou Badio Camara, président de la commission de contrôle du parrainage, a levé le voile sur les procédures suivies au moment du dépôt des dossiers.

    Lors de la réception des dossiers, le greffe du Conseil Constitutionnel réalise un inventaire des pièces déposées, réceptionnant les cartons contenant les listes de parrainage version papier et le fichier électoral de ces mêmes listes de parrainage, explique le juge. Il précise que, à ce stade, il ne s’agit pas encore d’un contrôle, mais plutôt de constater ce qui a été déposé par le représentant du candidat.

    Parmi les 93 dossiers reçus, quatre contiennent une liste de parrainage de députés, un candidat a été parrainé par des maires et présidents de conseils départementaux, tandis que les autres 88 candidats ont opté pour le parrainage citoyen.

    Mamadou Badio Camara a souligné que tous les 93 dossiers déposés seront concernés par le tirage au sort. Cependant, seuls ceux présentant les 9 pièces exigées à l’article 121 du Code électoral et comprenant un nombre de parrains au moins égal au minimum requis feront l’objet d’un contrôle de parrainage. Cette mesure vise à ne pas entraver les candidatures en évitant les risques d’éliminations liés à des doublons externes.

    Il est crucial de noter que l’obtention du nombre requis de parrainages validés est une condition nécessaire mais non suffisante à la recevabilité des candidatures. Celles-ci sont également soumises aux conditions de fond prévues par l’article 28 de la Constitution et aux autres conditions de l’article L121 du Code électoral, a précisé le président de la Commission.

    Au moment de la rédaction de cet article, les représentants sont en train de vérifier les enveloppes de leur candidat et de les déposer dans l’urne pour le tirage au sort, marquant ainsi une étape cruciale dans le processus électoral en cours.

    Me Clédor Ciré Ly, mandataire de la coalition Sonko 2024 : Un choix stratégique dans un contexte d’incertitude électorale

    L’avocat Me Clédor Ciré Ly a été officiellement désigné mandataire de la Coalition Sonko Président, apportant son soutien à la candidature d’Ousmane Sonko du parti Pastef. Cette nomination stratégique intervient dans un contexte d’incertitude entourant les procédures au Conseil constitutionnel en prévision de l’élection présidentielle de 2024. Depuis le 11 décembre dernier, Me Clédor Ciré Ly assume la gestion de toutes les formalités nécessaires pour la coalition.

    Une Décision Prudente Face à l’Incertitude Juridique

    Selon des sources proches de l’avocat, citées par PressAfrik, le choix de Me Clédor Ciré Ly en tant que mandataire de la Coalition Sonko 2024 est motivé par une « mesure de prudence ». Cette décision stratégique vise à assurer une gestion efficace et conforme aux exigences légales de toutes les procédures liées à la candidature d’Ousmane Sonko.

    Gestion des Formalités depuis le 11 Décembre

    Depuis le 11 décembre, Me Clédor Ciré Ly est pleinement engagé dans la gestion de toutes les formalités requises par le Conseil constitutionnel. Cette période pré-électorale est marquée par des enjeux complexes et des procédures minutieuses, d’où l’importance cruciale du rôle du mandataire dans la préparation et la soumission des dossiers électoraux.

    Investiture Officielle Prévue le 30 Décembre 2023

    La Coalition Sonko 2024 se prépare à officialiser l’investiture d’Ousmane Sonko en tant que candidat à l’élection présidentielle. Cette étape majeure est prévue pour le 30 décembre 2023, marquant ainsi le début d’une nouvelle phase dans la course à la présidence.

    Les Enjeux de l’Élection Présidentielle de 2024

    Dans un contexte politique tendu et avec des procédures électorales scrutées de près, chaque étape du processus électoral revêt une importance particulière. La nomination de Me Clédor Ciré Ly en tant que mandataire témoigne de la volonté de la Coalition Sonko 2024 de naviguer avec prudence et expertise au sein de l’arène électorale.

    L’investiture officielle d’Ousmane Sonko le 30 décembre marquera un moment clé dans la campagne présidentielle de 2024, offrant aux électeurs une vision plus claire des forces en présence et des enjeux qui façonneront le paysage politique du Sénégal dans les mois à venir.

    Ousmane Sonko tire le numéro 4 dans le tirage au sort des parrainages : Les enjeux de la vérification des dossiers

    Le candidat Ousmane Sonko occupe une position clé dans le processus électoral à venir, en se plaçant en tête du dépôt des candidatures et en tirant le numéro 4 dans le tirage au sort pour l’ordre de passage de contrôle des parrainages. Cette étape cruciale, organisée par le Conseil constitutionnel et reprogrammée pour le 29 décembre, détermine l’ordre dans lequel les candidats seront soumis à la vérification de leurs parrainages.

    Ayant été représenté par son mandataire Me Ciré Cledor Ly, Ousmane Sonko fait partie des 93 candidats en lice pour la présidentielle, avec un total de 93 dossiers de candidature déposés au Greffe du Conseil constitutionnel. Parmi ces dossiers, le Conseil souligne que 4 bénéficient du parrainage parlementaire, 1 du parrainage des élus locaux, tandis que 88 reposent sur le parrainage citoyen.

    Les Enjeux du Tirage au Sort et de la Vérification des Parrainages

    Le tirage au sort pour l’ordre de passage de contrôle des parrainages revêt une importance particulière dans le contexte électoral. Ousmane Sonko se positionne ainsi en quatrième place dans cette séquence, ce qui peut influencer la perception de son engagement et de sa démarche par l’opinion publique.

    Après ce tirage, le Conseil constitutionnel entamera la vérification des parrainages, une étape cruciale du processus électoral. Ce processus s’annonce à la fois laborieux et crucial, car il vise à garantir l’intégrité de l’élection en assurant que chaque candidature respecte les critères légaux et réglementaires établis. Les dossiers présentant des irrégularités, notamment des doublons, seront notifiés aux candidats qui auront alors 48 heures pour rectifier toute anomalie.

    Les Prochaines Étapes du Processus Électoral

    Le tirage au sort et la vérification des parrainages marquent le début d’une période intense dans la course à la présidentielle. Avec la date du 20 janvier qui approche, les regards sont braqués sur le Conseil constitutionnel et sur la manière dont il gérera ce processus complexe. La transparence et l’équité dans ces étapes sont cruciales pour maintenir la confiance du public dans le système électoral et pour assurer une compétition équitable entre les candidats.

    Ousmane Sonko, en tirant le numéro 4 dans ce tirage au sort, se retrouve au cœur de ces enjeux. Sa position dans le processus de vérification des parrainages pourrait avoir des répercussions significatives sur la dynamique politique globale et sur la manière dont son engagement est perçu par les électeurs sénégalais. L’élection présidentielle de 2023 promet d’être un moment clé pour la démocratie au Sénégal, et chaque étape du processus électoral est scrutée de près par la population et les acteurs politiques.

    Pourvoi de l’État contre Ousmane Sonko : tensions pré-électorales ravivées par une manœuvre de dernière minute

    La course à l’élection présidentielle au Sénégal prend une tournure inattendue avec l’annonce du pourvoi en cassation de l’État contre Ousmane Sonko, candidat charismatique et leader de l’opposition. Cette action juridique, survenue à la toute dernière minute, ajoute un nouveau chapitre complexe au contentieux politique qui oppose Sonko au gouvernement, ravivant les tensions pré-électorales dans le pays.

    Un Pourvoi Tardif aux Implications Profondes

    L’État du Sénégal a choisi le dernier jour permis par le code électoral pour introduire son pourvoi en cassation contre Ousmane Sonko, en vue de l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024. Cette manœuvre tardive souligne la détermination des autorités à poursuivre le contentieux, malgré les conséquences potentielles sur l’image de la gouvernance.

    Une Critique Cinglante des Avocats de Sonko

    Le communiqué souligne le rôle central du Conseil Constitutionnel, dont la décision influencera non seulement le destin du Sénégal mais également les aspirations démocratiques de tout le continent africain. Les avocats estiment que cette persistance de l’État dans le contentieux reflète des problèmes plus profonds, notamment un manque de neutralité et de transparence dans la gestion des affaires publiques.

    Un Enjeu au-Delà du Juridique

    Au-delà de l’aspect strictement juridique, le pourvoi de l’État soulève des questions cruciales pour la démocratie sénégalaise. La participation d’Ousmane Sonko à l’élection est présentée comme une « exigence sociale » et un « impératif démocratique » par les avocats. Ils appellent à la libération de Sonko, insistant sur la nécessité d’une élection transparente pour répondre aux aspirations du peuple sénégalais.

    Tirage au sort au conseil constitutionnel : Quel impact sur la candidature d’Ousmane Sonko à la présidentielle ?

    Le Conseil constitutionnel du Sénégal s’apprête à effectuer le tirage au sort crucial pour déterminer l’ordre de vérification des parrainages des candidats à la présidentielle. Initialement prévu pour le 28 décembre, le tirage a été reporté en raison d’une affluence record de dossiers de candidatures. Aujourd’hui, le 29 décembre à 10h, ce processus décisif pourrait avoir des implications majeures sur le déroulement de l’élection, notamment en ce qui concerne la candidature d’Ousmane Sonko, leader de l’opposition.

    Un processus technique, mais politiquement sensible

    Bien que le tirage au sort soit techniquement nécessaire pour organiser la vérification des parrainages, il soulève des questions quant à son équité et son efficacité. L’ordre de tirage peut influencer directement la probabilité de doublons dans les parrainages, une préoccupation majeure compte tenu de la méthode de collecte utilisée par de nombreux candidats.

    Les règles entourant ce tirage sont sous examen minutieux, car elles doivent garantir la conformité aux principes démocratiques. Les acteurs politiques et le public surveillent de près ce processus, conscient de son impact sur l’intégrité de l’élection.

    L’examen du dossier d’Ousmane Sonko : un enjeu majeur

    Mode d’emploi du tirage au sort

    Les candidats sont convoqués pour assister au tirage

    Le tirage au sort a lieu en public pour déterminer l’ordre de vérification des dossiers.

    Les dossiers sont vérifiés dans l’ordre établi par le tirage.

    Chaque parrainage est contrôlé pour sa validité, y compris la détection de doublons.

    Les candidats sont notifiés en cas d’irrégularités.

    Un délai de 48 heures est généralement accordé pour corriger les anomalie

    Une fois les dossiers vérifiés et les irrégularités adressées, le Conseil peut entamer la vérification d’autres aspects du dossier.

    Un processus décisif pour la démocratie sénégalaise

    Alors que la date du 20 janvier se rapproche, le tirage au sort et la vérification des parrainages au Conseil constitutionnel revêtent une importance cruciale pour le processus électoral. L’examen du dossier d’Ousmane Sonko ajoute une dimension politique à cette étape, soulignant l’importance de l’équité et de la transparence dans la préservation de la démocratie au Sénégal. La manière dont ces processus seront gérés influencera non seulement le sort des candidats, mais aussi la perception globale de l’intégrité du processus électoral dans le pays

    Abdou Karim SALL Mobilise les Masses à Orkadiéré : « Amadou BA, Inshallah, 5e Président du Sénégal »

    Le stade municipal d’Orkadiéré a été le théâtre d’un méga meeting politique exceptionnel ce jeudi 28 décembre 2023, marqué par la présence imposante d’Abdou Karim SALL, surnommé « l’homme aux trois bases » (Mbao, Orkadiéré, et Diaspora). L’événement visait à confirmer la candidature du Premier ministre Amadou BA à l’élection présidentielle de l’année prochaine, et a battu tous les records de mobilisation dans la commune du département de Kanel, région de Matam. Abdou Karim SALL, considéré comme l’un des acteurs majeurs de la scène politique sénégalaise, a suscité une adhésion massive lors de ce rassemblement, soulignant ainsi son pouvoir de mobilisation et son influence au sein de la population. Des milliers de militants et sympathisants, venus d’Orkadiéré et des villages environnants, ont exprimé leur soutien indéfectible à Amadou BA, seul candidat de la grande coalition Benno Bokk Yakaar pour les élections à venir. Dans son discours passionné, Abdou Karim SALL a déclaré avec assurance que « la commune d’Orkadiéré a déjà gagné l’élection présidentielle de 2024 ». Il a prédit une « victoire nette et sans bavure » pour Amadou BA le 25 février prochain, soulignant ainsi la confiance inébranlable envers le futur Président du Sénégal. Le maire de Mbao a exprimé sa conviction que le choix d’Amadou BA comme candidat de l’APR et de la coalition BBY était l’œuvre ingénieuse du Président Macky SALL. Il a souligné l’approbation déjà obtenue à Mbao et dans la diaspora, ajoutant maintenant celle d’Orkadiéré, affirmant que le Sénégal entier dira « oui » au soir du 25 février 2024, Inshallah. Abdou Karim SALL a exprimé sa gratitude envers le Président Macky SALL et a assuré son engagement à accompagner Amadou BA jusqu’au palais de la République. Des personnalités politiques éminentes telles que Abdou Abel THIAM et Amadou Kane DIALLO étaient présentes à la tribune officielle, soulignant l’importance de cet événement politico-médiatique. La réussite de cette mobilisation impressionnante ne semble pas suffire pour Abdou Karim SALL, qui annonce d’autres événements politiques majeurs dans les jours et semaines à venir, témoignant de son intention de maintenir le momentum jusqu’aux élections présidentielles. La ferveur et la détermination affichées lors de ce meeting laissent entrevoir un paysage politique animé à l’approche du scrutin crucial de 2024.

    Le dakarois quotidien

    Présidentielle 2024 : où en sont les candidatures ?

    ÉTAPE. 79 personnes ont déposé leur candidature à la présidentielle de février 2024. Désormais, c’est au Conseil constitutionnel de trancher.

    es lignes bougent à un peu plus de deux mois du scrutin qui fera élire la ou le prochain président sénégalais. Le nombre de dossiers déposés au Conseil constitutionnel n’est pas rendu public, mais le journal quotidien Le Soleil explique que la Caisse des dépôts et consignations, organe qui réceptionne les chèques de caution de 30 millions de francs CFA (45 000 euros) nécessaires à la candidature à la présidentielle, a comptabilisé pas moins de 79 dossiers.

    Parmi ces candidatures figurent celles des principaux favoris du scrutin du 25 février 2024 : Amadou Ba, membre de la coalition au pouvoir et actuel Premier ministre du Sénégal, l’opposant emprisonné Ousmane Sonko, l’ancien maire de Dakar Khalifa Sall, Karim Wade (fils de l’ex-président Abdoulaye Wade) et Idrissa Seck, arrivé deuxième à la présidentielle de 2019.

    Le Premier ministre Amadou Ba candidat pour l’APR

    Président depuis 2012, l’actuel chef de l’État, Macky Sall, a annoncé en juillet qu’il ne briguerait pas un nouveau mandat. Il a désigné Amadou Ba, 62 ans, pour représenter la majorité. Ce dernier s’est engagé à mener le pays vers « le progrès » et « pour plus de paix et de prospérité », lors de son investiture. Chef du gouvernement depuis septembre 2022, ministre des Affaires étrangères jusqu’en 2020 et ministre de l’Économie et des Finances de 2013 à 2019, Amadou Ba est un inspecteur des impôts sorti de l’École nationale d’administration et de magistrature de Dakar. Des dissidents du parti présidentiel parmi lesquels l’ex-Premier ministre Mahammed Dionne et l’ancien ministre Aly Ngouille Ndiaye ont aussi annoncé leur candidature à la présidentielle.

    En détention, Ousmane Sonko maintient sa candidature

    L’autre dossier qui suscite l’intérêt général est celui de l’opposant Ousmane Sonko. L’administration sénégalaise a refusé de délivrer les documents nécessaires pour une candidature au mandataire de cet opposant arrivé troisième lors de la présidentielle de 2019. Il est le personnage central d’un bras de fer de plus de deux ans avec l’État qui a donné lieu à plusieurs épisodes de troubles meurtriers. Bien qu’empêtré dans plusieurs affaires judiciaires, Ousmane Sonko, 49 ans, a toutefois déposé sa candidature au Conseil constitutionnel, a affirmé à l’AFP un responsable de la cellule de communication de son parti, Ousseynou Ly, sans plus de précisions.

    Emprisonné depuis fin juillet sous différents chefs d’inculpation, dont appel à l’insurrection, Ousmane Sonko continue de dénoncer cette affaire et d’autres dans lesquelles il a été mis en cause, comme des complots visant à l’écarter de la présidentielle. Mi-décembre, un juge a relancé sa candidature en ordonnant sa réinscription sur les listes électorales, confirmant une décision rendue en octobre par le tribunal de Ziguinchor qui avait été cassée par la Cour suprême. L’agent judiciaire de l’État a déposé mardi le pourvoi en cassation contre cette décision, selon Le Soleil. Pour s’assurer de sa présence dans la course à la présidence, le parti de Sonko, les Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef), dissous l’été dernier, a déposé deux candidatures, en parallèle, celle de son numéro deux, Bassirou Diomaye Faye, en prison depuis avril 2023, ainsi que celle de Habib Sy.

    Karim Wade et Khalifa Sall ont aussi déposé leur candidature

    Une autre candidature a suscité l’attention des Sénégalais, celle de l’opposant Karim Wade, 55 ans, fils et ancien ministre de l’ex-président Abdoulaye Wade (2000-2012). Il a déposé sa candidature le week-end dernier, a indiqué son mandataire Maguette Sy. « Je suis heureux de vous annoncer que mon dossier de candidature à l’élection présidentielle du 25 février prochain a été déposé aujourd’hui au Conseil constitutionnel. Un pas de plus, ensemble, vers un avenir meilleur pour le Sénégal », a écrit de son côté l’opposant sur X (ex-Twitter), qui vit en exil. Son parti, le Parti démocratique sénégalais (PDS), a désigné Karim Wade comme son candidat à la présidentielle du 25 février, désignation qu’il a acceptée de longue date.

    Mais les interrogations subsistent sur les implications légales d’une condamnation ancienne de Karim Wade et sur sa capacité à rentrer au pays. En effet, Wade a été condamné en 2015 à six ans de prison ferme pour enrichissement illicite. Détenu pendant plus de trois ans, il a été gracié en 2016 par le président Macky Sall, et vit depuis en exil, le Qatar étant communément cité comme un de ses lieux de résidence. Sa condamnation l’a empêché d’être candidat à la présidentielle de 2019, remportée par Macky Sall.

    L’Assemblée nationale a voté en août une loi rendant son éligibilité à Karim Wade ainsi qu’à une autre figure de l’opposition et ancien maire de Dakar, Khalifa Sall, à la suite d’un dialogue politique initié par le président Sall et boycotté par une partie de l’opposition. Khalifa Sall, qui n’a aucun lien de parenté avec le président, a été reconnu coupable en 2018 de faux en écriture et d’escroquerie, et condamné à cinq ans de prison. Emprisonné en 2017, il a recouvré la liberté en 2019 après avoir également bénéficié d’une grâce présidentielle.

    Reste pour tous ces prétendants – parmi lesquels plusieurs femmes – de passer le fatidique filtre du parrainage, celui qui risque bien de révéler des surprises comme en 2019. Le Conseil constitutionnel doit annoncer la liste des candidats retenus à la présidentielle au plus tard le 20 janvier. La précampagne et la campagne débuteront respectivement les 5 janvier et 4 février 2024, a indiqué dans un communiqué mardi le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA).

    Par Le Point Afrique

    Moustapha Diop, président du parti Niite, rejoint la coalition MLD Tekki2024 en soutien à Mamadou Lamine Diallo

    Ce jeudi 28 décembre 2023, Moustapha Diop, Président du parti Niite (Nation Indépendante Intègre Travailleuse Engagée), a dirigé une délégation imposante à la permanence Moussa Ndiaye de Tekki, la coalition MLD Tekki2024. Ce geste significatif marque l’adhésion du parti Niite à la candidature de Mamadou Lamine Diallo à l’élection présidentielle.

    Pour le leader de Tekki, cet appui de la part de Moustapha Diop et de son parti représente une « démonstration d’humilité et de grandeur ». Moustapha Diop, qui se positionne comme candidat à la candidature à la présidentielle avec le numéro de fiche de parrainage 34, a pris la décision de rallier le Président Mamadou Lamine Diallo après des rencontres fructueuses entre les deux formations politiques.

    Le parti Niite, solidement implanté dans le pays, notamment à Thies, a choisi de se mobiliser en faveur du « Pape du Tekki ». Ils considèrent Mamadou Lamine Diallo comme le meilleur candidat en raison de son parcours irréprochable, de ses idées lumineuses et de son courage patriotique inébranlable.

    La délégation du parti Niite n’est pas venue les mains vides. En plus de manifester leur soutien, ils ont souligné des convergences programmatiques avec la coalition MLD Tekki2024. De plus, le parti Niite a proposé des idées novatrices dans les domaines économique, sécuritaire et institutionnel.

    Moustapha Diop et Mamadou Lamine Diallo partagent une vision commune, notamment en ce qui concerne la réduction des pouvoirs du Président de la République. Le leader de Tekki s’engage à faire de celui-ci un justiciable et à donner un contenu à la haute trahison. De plus, la promesse d’initier l’industrialisation du Sénégal est au cœur de l’engagement de la coalition MLD Tekki2024.

    L’unité nouvellement forgée entre le parti Niite et la coalition MLD Tekki2024 renforce la dynamique politique à l’approche de l’élection présidentielle, offrant une alternative solide et unie aux citoyens sénégalais. La convergence d’idées et d’objectifs entre ces deux entités promet une campagne électorale animée et des perspectives politiques intéressantes pour l’avenir du Sénégal.

    LIVE – Mega Meeting de soutien à Amadou Ba , Abdou Karim Sall mobilise Orkadiéré Abdou Karim SALL

    Mega Meeting de soutien à Amadou Ba , Abdou Karim Sall mobilise Orkadiéré Abdou Karim SALL

    Tension entre Macky Sall et Barthélemy Dias : menace sur les JOJ 2026 à Dakar

    Le maire de Dakar avertit : Pas d’inclusion, pas de Jeux Olympiques de la Jeunesse

    Suite à la réunion présidentielle du mardi 26 décembre 2023, où le président Macky Sall a exhorté le gouvernement à impliquer fortement les jeunes, les acteurs culturels, et les collectivités territoriales dans l’organisation des JOJ 2026, Barthélemy Dias, maire de Dakar, a exprimé son mécontentement en dénonçant son absence à la rencontre au Palais présidentiel.

    Dans un communiqué, l’édile de Dakar a averti le gouvernement en ces termes : « Si une autre réunion se tient sans la ville de Dakar, il n’y aura pas de Jeux Olympiques de la Jeunesse à Dakar. » Barthélemy Dias, se sentant mis à l’écart, revendique sa place dans l’organisation de cet évènement sportif mondial. Demande de Transparence et Respect de l’Esprit Olympique

    Barthélemy Dias estime que l’État doit faire preuve de transparence et respecter l’esprit du mouvement olympique en s’engageant dans une démarche inclusive et participative. Le maire de Dakar souligne l’importance d’impliquer la ville dans toutes les étapes de la préparation des Jeux Olympiques de la Jeunesse afin d’assurer leur succès et leur légitimité.

    Réclamation de sa Place dans l’Organisation

    Le maire de Dakar revendique ainsi son droit à être partie prenante dans les prises de décision liées à l’évènement et à la préparation des infrastructures nécessaires. Barthélemy Dias met en garde contre toute tentative de tenir des réunions sans la participation de la mairie de Dakar, sous peine de compromettre la tenue même des JOJ 2026 dans la capitale sénégalaise.

    Recours Possible au Comité International Olympique (CIO)

    Barthélemy Dias n’exclut pas de saisir le Comité International Olympique (CIO) si nécessaire pour faire valoir les droits de la ville de Dakar dans l’organisation des Jeux Olympiques de la Jeunesse. Cette menace souligne les tensions persistantes entre le gouvernement et la municipalité de Dakar, mettant en péril la coopération nécessaire pour le succès de cet évènement international majeur.

    Présidentielle au Sénégal : 93 dossiers de candidature soumis au conseil constitutionnel

    Le processus de sélection s’intensifie avec moins d’une centaine de candidats* Le Conseil constitutionnel du Sénégal a enregistré un total de 93 dossiers de candidature pour la prochaine élection présidentielle parmi les 266 prétendants potentiels ayant retiré des fiches de parrainages. La date limite pour le dépôt des candidatures était fixée à minuit mardi dernier, marquant une étape cruciale dans le processus électoral.

    70 Dossiers Enregistrés, 23 en Attente

    Selon les rapports du quotidien Le Soleil, 70 dossiers ont été effectivement déposés avant la date limite, tandis que 23 autres étaient en attente à l’intérieur du Conseil constitutionnel. Les mandataires de ces candidats sont arrivés quelques minutes avant la fermeture des portes, poussant ainsi la juridiction à accorder un délai supplémentaire.

    Report du Tirage au Sort pour l’Ordre de Contrôle des Parrainages

    En raison de l’afflux de dossiers de dernière minute, le Conseil constitutionnel a décidé de reporter d’un jour le tirage au sort prévu pour déterminer l’ordre de contrôle des parrainages. Initialement planifiée pour le jeudi, cette étape cruciale a été remise au vendredi, obligeant les mandataires des candidats à la candidature à se rendre dans les locaux de la juridiction à 10 heures.

    Une Sélection Rigoureuse en Perspective

    Avec seulement 93 dossiers sur les 266 initiaux, le Conseil constitutionnel doit maintenant entreprendre un examen minutieux pour garantir que chaque candidat potentiel répond aux critères légaux requis. Ce processus de sélection rigoureux vise à assurer la validité des candidatures et à maintenir l’intégrité du processus électoral.

    Les Enjeux de l’Élection Présidentielle

    L’élection présidentielle au Sénégal s’annonce comme un moment crucial dans l’histoire politique du pays. Les citoyens attendent avec impatience de connaître les candidats qui auront l’opportunité de concourir pour le fauteuil présidentiel. Le Conseil constitutionnel joue un rôle central dans ce processus en garantissant que seuls les candidats légitimes participent à cette compétition démocratique. La prochaine étape consistera en l’examen approfondi des dossiers de candidature par le Conseil constitutionnel, jetant ainsi les bases d’une élection présidentielle équitable et transparente au Sénégal.

    Un Rare consensus politique : Pastef, Benno, et Taxawu unis pour adopter le budget de la mairie de Dakar pour 2024

    Un moment d’unité rare entre factions politiques rivales

    En un rare moment d’harmonie, les conseillers des partis Pastef, Benno, et Taxawu ont uni leurs voix pour adopter à l’unanimité le budget de la Mairie de Dakar pour l’année 2024. Cette décision, prise le mercredi 27 décembre, témoigne d’une rare convergence d’opinions entre ces chapelles politiques souvent en désaccord, mettant en lumière une volonté commune de servir l’intérêt public.

    Un Budget Consensuel de 69 Milliards 994 Millions 282 Mille 165 Francs CFA

    Le budget de la Mairie de Dakar pour l’année 2024 s’élève à la somme significative de 69 milliards 994 millions 282 mille 165 francs CFA. L’adoption à l’unanimité de ce budget démontre une volonté partagée de garantir les ressources nécessaires pour répondre aux besoins et aux attentes des citoyens de Dakar.

    Unité Exceptionnelle entre Pastef, Benno, et Taxawu

    Les partis Pastef, Benno, et Taxawu, généralement perçus comme des rivaux politiques, ont réussi à dépasser leurs différences pour parvenir à un consensus sur la question cruciale du budget municipal. Cette unanimité est d’autant plus remarquable étant donné les divergences fréquentes et publiques entre ces factions politiques.

    Un Signal Fort en Faveur de l’Intérêt Public

    L’unité affichée par les conseillers municipaux de différentes affiliations politiques envoie un signal fort en faveur de l’intérêt public. En dépit des querelles politiques qui peuvent animer la scène municipale, l’adoption unanime du budget suggère une volonté commune de mettre de côté les différences partisanes pour se concentrer sur les besoins concrets de la population dakaroise.

    Un Précédent pour la Coopération Future

    Cette collaboration exceptionnelle entre Pastef, Benno, et Taxawu pourrait constituer un précédent encourageant pour la coopération future. Alors que les partis politiques continuent de débattre et de diverger sur diverses questions, cet exemple d’unité autour d’une question budgétaire cruciale démontre qu’il est possible de trouver un terrain d’entente pour le bien commun.

    L’adoption unanime du budget de la Mairie de Dakar pour 2024, au-delà de ses implications financières, laisse entrevoir la possibilité d’une collaboration politique constructive au niveau local, offrant un espoir de stabilité et de progrès pour la capitale sénégalaise.

    Candidature d’Ousmane Sonko : Un dossier déposé malgré les obstacles

    La Coalition Sonko2024 persiste malgré les défis administratifs.

    Le dépôt du dossier de candidature d’Ousmane Sonko, le candidat de la Coalition Sonko2024, au Conseil constitutionnel, n’a pas été de tout repos. La conférence de presse tenue le mercredi 27 décembre a révélé les nombreux obstacles surmontés par la coalition pour rassembler les documents requis.

    Fiche de Parrainage Contestée

    Le dossier de parrainage de la coalition diffère des fiches standard fournies par la Direction Générale des élections (DGE). Ayib Daffé, le mandataire de Ousmane Sonko, a déclaré lors de la conférence de presse que malgré la rébellion administrative de l’administration, l’huissier a documenté le respect de toutes les procédures nécessaires pour obtenir ces documents. La coalition a opté pour le parrainage des élus, ajoutant une couche de complexité à un processus déjà tendu.

    Problèmes avec la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC)

    Ayib Daffé a également révélé des difficultés lors du dépôt de la caution, mentionnant n’avoir jamais reçu le chèque retourné par la CDC. Malgré le dépôt de la quittance et du relevé du compte bancaire, la CDC aurait refusé de délivrer l’attestation nécessaire. Le dépôt du relevé du compte bancaire visait à prouver la disponibilité des fonds, contrecarrant ainsi les tentatives de forclusion contre Ousmane Sonko.

    Casier Judiciaire Vierge et Investiture Politique

    El Malick Ndiaye a souligné que Ousmane Sonko a déposé un casier judiciaire vierge, soulignant qu’il n’est actuellement l’objet d’aucune condamnation définitive. Des indiscrétions rapportent que Sonko a reçu l’investiture de trois partis politiques légalement constitués, soulignant le soutien multipartite dont il bénéficie.

    Pièces du Dossier de Candidature

    Conformément aux exigences sénégalaises pour postuler à la Magistrature suprême, le dossier de candidature de Sonko comprend six mentions et neuf pièces, notamment un certificat de nationalité, une photocopie légalisée de la carte d’identité biométrique CEDEAO, un extrait d’acte de naissance récent, un bulletin n°3 du casier judiciaire, une attestation d’investiture par un parti politique, une liste de parrainage, et des déclarations sur l’honneur.

    Malgré les défis, la Coalition Sonko2024 affirme avoir surmonté toutes les difficultés administratives pour déposer un dossier complet et conforme aux exigences du Conseil constitutionnel, marquant ainsi une étape cruciale dans la course à la présidence.

    Innocence Ntap Ndiaye appelle à une élection apaisée : la présidente du HCDS lance un message de sérénité pour le 25 février 2024

    La présidente du Haut conseil du dialogue social (HCDS), Innocence Ntap Ndiaye, a émis un appel énergique en faveur d’une élection présidentielle apaisée lors de la 33e assemblée plénière du HCDS qui s’est tenue mercredi à Saly. Alors que le Sénégal se prépare pour le scrutin présidentiel du 25 février 2024, Mme Ndiaye a adressé cet appel tant aux acteurs politiques qu’à la population dans son ensemble.

    « Le Sénégal ne doit pas s’arrêter au lendemain des échéances électorales de 2024 », a souligné Mme Ntap Ndiaye. Elle a insisté sur le fait que le Sénégal, souvent cité en exemple pour sa stabilité et sa démocratie, doit maintenir ce statut en assurant des élections pacifiques et en permettant à chaque citoyen de jouer son rôle démocratique en votant.

    La présidente du HCDS a souligné que cet appel s’inscrit dans la continuité des efforts du Sénégal pour maintenir une stabilité politique et sociale, contribuant ainsi à son statut de modèle en Afrique. Elle a encouragé les acteurs politiques à faire preuve de responsabilité et de maturité tout au long du processus électoral.

    Par ailleurs, la 33e assemblée plénière du HCDS a été l’occasion d’aborder des sujets cruciaux, notamment les orientations du Plan d’actions prioritaires 2024-2028 (PAP3), les projets phares et les réformes clés du Plan Sénégal Émergent (PSE), ainsi que les résultats du cinquième recensement général de la population et de l’habitat.

    Cette rencontre a également permis aux participants de s’approprier les résultats des plans d’Actions prioritaires (2014-2018) et (2019-2023) du PSE, tout en jetant un regard sur le portefeuille des vingt-deux projets phares et des treize réformes clés.

    L’appel d’Innocence Ntap Ndiaye intervient dans un contexte crucial pour le Sénégal, marqué par les préparatifs intensifs en vue de l’élection présidentielle de février 2024, et témoigne de l’engagement du pays envers la démocratie et la stabilité politique.

    Ousmane Sonko officiellement investi candidat à la présidentielle 2024 : cap sur le terrain acapes des Parcelles Assainies

    La scène politique sénégalaise est sur le point de vivre un moment décisif alors que la coalition « Sonko Président 2024 » s’apprête à investir officiellement Ousmane Sonko comme candidat à la Présidentielle 2024. L’annonce a été faite lors d’une conférence de presse dynamique tenue ce mercredi 27 décembre, où les partisans de Sonko ont révélé que la cérémonie d’investiture aura lieu ce samedi 30 décembre sur le Terrain Acapes des Parcelles Assainies.

    Le choix du Terrain Acapes, expliqué par El Malick Ndiaye, porte-parole de la coalition, témoigne de la volonté de créer un événement ouvert à tous, symbolisant l’ampleur du soutien populaire dont bénéficie Ousmane Sonko. « Ce sera la cérémonie d’investiture du candidat du peuple Ousmane Sonko. Ce ne sera pas dans une salle, parce qu’une salle ne peut pas contenir notre candidat. Ce sera au terrain Acapes des Parcelles Assainies », a déclaré Ndiaye.

    L’investiture de Sonko revêt une importance particulière dans le contexte pré-électoral, marquant le début officiel de sa campagne présidentielle. C’est également l’occasion pour le leader de Pastef de présenter sa vision, ses ambitions, et son programme aux Sénégalais, tout en mobilisant ses partisans dans une démonstration de force politique.

    Il est à noter que le dossier de candidature d’Ousmane Sonko a été déposé au Conseil Constitutionnel par son mandataire, Ayib Daffé. Bien que le dossier n’ait pas été déposé avec le quitus de la Caisse de dépôt et consignation ni les fiches de parrainage de la Direction Générale des Élections, Daffé a souligné que Sonko a été le premier candidat à déposer officiellement sa candidature, exprimant ainsi la détermination et l’anticipation de l’équipe de campagne.

    La journée de samedi promet d’être un moment fort dans l’arène politique sénégalaise, avec l’investiture de Sonko marquant le début d’une nouvelle phase dans la course à la Présidentielle de 2024. Les partisans de Sonko se préparent à faire entendre leur voix et à démontrer le soutien populaire derrière leur candidat, jetant ainsi les bases d’une campagne présidentielle intense et captivante.

    Propositions audacieuses de l’association des Départements pour la Présidentielle 2024 : Un plaidoyer en faveur de l’unité politique

    Le président du conseil départemental de Kaolack, Ahmed Youssouph Bengelloune, également député à l’Assemblée nationale, a dévoilé des propositions audacieuses en vue de la Présidentielle 2024, mettant l’accent sur le maintien de l’unité des responsables politiques pour former une coalition forte et dynamique. Son objectif clair est de collaborer étroitement et de soutenir le candidat de la majorité présidentielle.

    Après le lancement réussi de Kaolack Nouvelle Vision (KNV), une initiative qui a déjà captivé l’attention des citoyens, Ahmed Youssouph Bengelloune a récemment inauguré une nouvelle plateforme intitulée Sénégal Nouvelle Vision (SNV). Cette initiative a été accueillie avec enthousiasme par la population, marquant ainsi un pas de plus dans la mobilisation en faveur de la vision politique de la région.

    Lors d’une cérémonie officielle, le ministre du Commerce, Abdou Karim Fofana, a souligné l’importance cruciale de l’unité et du travail collectif pour concrétiser la volonté du Président Macky Sall. L’objectif déclaré est d’élire Amadou Ba, le candidat de la Coalition BBY, dès le premier tour. Fofana a lancé un appel passionné aux responsables politiques de la région de Kaolack, les incitant à se rassembler et à renforcer l’unité régionale pour atteindre cet objectif commun.

    Le ministre du Commerce a également exprimé une ferme condamnation à l’égard des appels à des manifestations massives, qualifiant cela d’inacceptable dans un pays se proclamant démocratique et prospère. Cette déclaration vise à maintenir un climat politique stable et pacifique, soulignant la nécessité d’une expression démocratique sans recours à des moyens susceptibles de perturber la paix et la sécurité nationales.

    Les propositions audacieuses de l’association des Départements, telles que présentées par Ahmed Youssouph Bengelloune, visent à consolider les forces politiques en faveur du candidat de la majorité présidentielle. La création de la plateforme Sénégal Nouvelle Vision (SNV) s’inscrit dans cette stratégie, cherchant à mobiliser et à unir les différentes forces politiques régionales derrière une vision commune.

    La période pré-électorale s’annonce donc cruciale, non seulement pour les ambitions politiques de la région de Kaolack, mais également pour la stabilité politique globale du pays. L’appel à l’unité et au rejet de tout recours à la violence lors des élections reflète la volonté de construire une démocratie forte et résiliente.

    Les initiatives politiques telles que KNV et SNV, soutenues par les leaders régionaux, ouvrent une nouvelle voie pour une participation politique active et constructive. La Présidentielle 2024 promet d’être le théâtre de débats animés, et l’unité régionale sera un élément clé pour influencer les résultats et réaliser les aspirations politiques de la région de Kaolack.

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