L’Université virtuelle sénégalaise remporte le prix de l’Iioe de l’Unesco pour l’innovation dans l’enseignement en ligne

L’Université virtuelle du Sénégal a été honorée lors du Sommet mondial des partenaires de l’Institut international de l’enseignement en ligne (Iioe) qui s’est tenu à Shenzhen, en Chine, le 7 décembre 2023. Le recteur de l’université, le Professeur Moussa Lo, a reçu le prix de l’Unesco, décerné par le Centre international pour l’innovation dans l’enseignement supérieur. La distinction vise à encourager et féliciter les établissements d’enseignement supérieur pour leur exploration active, leur innovation et leur pratique dans le domaine de la numérisation de l’enseignement supérieur. L’Université virtuelle du Sénégal a présenté une candidature axée sur le rôle de l’Espace numérique ouvert (Eno) dans le contexte de l’enseignement à distance au Sénégal et en Afrique subsaharienne.

Drame à Pikine : Un homme décède après une dispute conjugale, les circonstances choquent la communauté.

Le quartier « 2e robinet » de Pikine Tally Boubess, en banlieue dakaroise, est secoué par un drame familial. Alassane N., un batteur de tam-tam d’une cinquantaine d’années, est décédé dans des circonstances tragiques après une dispute avec sa femme, A. Diouf. Le couple était connu pour ses querelles fréquentes, et la dernière dispute a eu des conséquences fatales. Un cousin d’Alassane, alerté par les disputes, a découvert le corps inerte de ce dernier après avoir ouvert la porte de la chambre. A. Diouf, debout près du corps de son mari, répétait qu’il l’avait frappée et qu’elle s’était défendue.

Malgré les tentatives des voisins pour sauver Alassane, il était déjà décédé avant toute évacuation. À ce stade de l’enquête, aucune accusation directe n’a été portée contre A. Diouf. Les résultats de l’autopsie, attendus prochainement, pourraient fournir des éclaircissements sur les circonstances du décès. Deux hypothèses sont avancées dans le voisinage : une dispute conjugale qui aurait mal tourné, entraînant une chute mortelle après un éventuel coup violent, ou un décès dû à un malaise suivi d’une chute mortelle. L’affaire a suscité l’émoi dans le quartier, et les autorités mènent une enquête pour comprendre les tenants et aboutissants de cette tragédie familiale.

Enquête au Sénégal : Seulement 29% des Femmes Utilisent le Préservatif

Selon les résultats de l’enquête démographique et de santé continue (EDS-Continue) au Sénégal, seulement 29% des femmes déclarent utiliser le préservatif. Cette statistique concerne les femmes ayant des rapports sexuels avec un partenaire non régulier.

L’enquête révèle également que parmi les femmes ayant eu deux partenaires ou plus au cours des 12 derniers mois, seulement 14% ont déclaré avoir utilisé un préservatif lors de leurs derniers rapports sexuels.

Pour les hommes âgés de 15 à 49 ans, les taux d’utilisation du préservatif varient entre 7% et 72%, selon la source. Ces résultats soulignent l’importance de sensibiliser davantage sur l’utilisation du préservatif pour la prévention des infections sexuellement transmissibles et des grossesses non désirées.

Arrestation d’un Maître Coranique à Tivaouane Peulh pour viols, son frère en cavale

À la suite d’une plainte déposée par l’oncle d’une adolescente de 14 ans, un maître coranique du nom d’El H. K. Daffé a été arrêté à Tivaouane Peulh pour des accusations de viols. Son frère, également impliqué dans les allégations, est actuellement en fuite et est activement recherché par la Division des investigations criminelles (DIC).

La victime présumée a déclaré avoir subi des viols répétitifs, sous la menace d’une arme blanche, de la part du maître coranique et de son frère. L’adolescente, après avoir fui et raconté les faits à son oncle, a été prise en charge médicalement, confirmant des blessures conséquentes.

Lors de l’interrogatoire, le maître coranique arrêté a avoué sa participation aux faits reprochés. L’enquête se poursuit pour localiser et appréhender le frère actuellement en cavale.

Explosion de bonbonne de Gaz à Ngor : deux blessés dans un incident évité de Peu

Une explosion de bonbonne de gaz survenue à Ngor a fait deux blessés, évitant de justesse une tragédie similaire à celle survenue à Derklé en septembre dernier, où huit membres d’une famille ont perdu la vie.

Le journal Libération rapporte que l’incident s’est produit le 6 décembre dernier vers 13 heures dans un appartement situé au rez-de-chaussée d’un immeuble en face du stade. La dame A. Guèye, rencontrant des difficultés pour déclencher la bonbonne de gaz dans sa cuisine, a sollicité l’aide du gardien de l’immeuble, M. Diané. Cependant, lorsque ce dernier a ouvert la bonbonne, elle a pris feu subitement, propageant les flammes dans la cuisine.

Les voisins ont réussi à maîtriser le feu à l’aide de sable avant d’évacuer les deux blessés, A. Guèye et M. Diané, à l’hôpital Philippe Maguiléne Senghor.

L’enquête ouverte par les gendarmes a révélé que l’origine du feu était une fuite au niveau de la bonbonne de gaz. Contrairement à l’accident de Derklé, la bonbonne n’était pas de la marque Total gaz.

Arrestation pour Escroquerie au Visa : Un Opérateur Économique Entre les Mains de la DIC

L’opérateur économique A. A. Diouf a été appréhendé par la Division des Investigations Criminelles (DIC) suite à plusieurs plaintes déposées pour escroquerie au visa. Le procureur de la République a initié l’action des limiers, et le préjudice total subi par les plaignants est estimé à 73 millions de francs CFA.

Selon les informations fournies par L’Observateur, B. Barry, l’une des plaignantes, a expliqué que Diouf s’était engagé à obtenir 5 visas pour l’Italie pour des membres de sa famille moyennant la somme de 35 millions. Cependant, accuse le plaignant, après avoir encaissé l’argent, Diouf a disparu.

D’autres victimes, M. Diome, A. Kébé, et A. K. Sène, ont déclaré avoir respectivement versé 5,5 millions, 3,7 millions et 29,5 millions à Diouf avant que ce dernier ne se volatilise.

Déféré récemment, Diouf a avoué les faits tout en précisant qu’il avait versé les montants reçus à son collaborateur et agent de joueur en Italie, N. Datzi.

D’autres victimes réclamant 29 millions à l’opérateur économique ne se sont pas présentées à l’audition à la DIC, rapporte L’Observateur.

Tensions dans le Secteur de la Formation en Santé: Le Collectif des Chefs d’établissements privés revendique sa légitimité

Le Collectif des Chefs d’établissements privés de formation en santé a tenu une conférence de presse le 8 décembre pour répondre aux chefs d’établissement d’écoles privées en santé rattachées à l’ANAQ SUP, rejetant la délibération de diplômes de licence professionnelle par ces écoles.

Selon Mamadou Lamine DIAKHATE, rapporteur de la commission et Directeur d’école de santé, certaines écoles, se prévalant de leur rattachement à une habilitation institutionnelle de l’ANAQ SUP, cherchent à discréditer d’autres écoles de formation en santé depuis plus d’un an.

Le président de la commission communication, Souleymane Aliou Diallo, a souligné que le collectif n’agit pas dans l’illégalité. Il a déclaré que plusieurs écoles de formation en santé sont en procédure administrative auprès de l’ANAQ SUP, en attente de la visite des experts évaluateurs, et qu’elles respectent la réglementation en vigueur.

Le collectif a également abordé la question des examens d’État que le Ministère de la Santé envisage d’arrêter d’organiser. Ils ont appelé le MSAS à prendre ses responsabilités pour éviter tout impact négatif sur le système sanitaire du pays, soulignant que l’absence de cet examen pourrait conduire chaque école à délivrer ses propres diplômes, ce qu’ils condamnent.

En conclusion, le collectif a appelé les autorités étatiques, en particulier le ministère de la Formation Professionnelle, de l’Enseignement Supérieur et de la Santé, à organiser un congrès avec les acteurs du secteur pour assurer le bon déroulement du secteur de la formation en santé, mettant en avant l’importance de la qualité dans le domaine de la santé.

Les agents d’appoint du service des eaux et forêts menacent de faire grève après 4 mois sans salaire

Les agents d’appoint du service des eaux et forêts ont organisé un rassemblement devant les locaux du ministère de l’Environnement au Sénégal. Ils protestent contre leurs conditions de travail difficiles et réclament le paiement de quatre mois d’arriérés de salaire par l’État. Les agents dénoncent un schéma récurrent de retards de paiement malgré les renouvellements de contrat. Selon leur porte-parole, Lat Guèye, ils ont eu des discussions avec les autorités du ministère, mais aucune action concrète n’a été entreprise pour résoudre la situation. Les agents lancent un appel au président de la République et préviennent qu’ils pourraient passer à des actions plus importantes si leurs revendications ne sont pas satisfaites.

La Conférence de Presse du RUBBY souligne la complexité de la situation universitaire au Sénégal

Lors d’une conférence de presse organisée par le Réseau des Universitaires de Bennoo Bokk Yaakaar (RUBBY), le 8 décembre 2023, la situation des universités sénégalaises, en particulier la reprise des cours en présentiel à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), a été discutée. Le ministre de l’Enseignement Supérieur, Moussa Baldé, a été critiqué pour sa gestion de la transition entre les enseignements en ligne et en présentiel.

Selon le ministre Moussa Baldé, les universités publiques, en particulier l’UCAD et l’UASZ, ont été victimes d’attaques violentes en juin 2023, entraînant des dégâts matériels importants et la suspension des cours en présentiel. Il a déclaré que les cours en ligne avaient été poursuivis à plus de 75%, mais à l’UCAD, le conseil académique a décidé de continuer les enseignements en ligne en attendant des conditions propices pour la reprise des cours en présentiel.

Le ministre a souligné que l’enseignement à distance, prouvé par l’expérience de l’Université Numérique du Sénégal (UN-CHK) et pendant la pandémie de COVID-19, est aussi performant que l’enseignement en présentiel. Il a noté une baisse significative du taux d’abandon à l’UN-CHK, tandis que les conditions difficiles en présentiel ont entraîné une augmentation à l’UCAD.

Moussa Baldé a annoncé l’accélération de la transformation digitale des universités et la dématérialisation des procédures, soulignant que l’enseignement en ligne devrait devenir une solution structurelle face à la croissance de la population étudiante. Un projet national d’enseignement numérique est envisagé en complément de l’enseignement en présentiel.

La conférence de presse a également été l’occasion pour Moussa Baldé de dresser un bilan positif des réalisations dans le secteur de l’enseignement supérieur sous la présidence de Macky Sall, malgré les défis actuels.

Enseignement Supérieur : Le Ministre Moussa Baldé Approuve la Poursuite des Cours en Ligne à l’UCAD et à Ziguinchor

Le Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, Moussa Baldé, a confirmé aujourd’hui la décision prise par l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) et le Conseil Académique de continuer les enseignements en ligne. La décision intervient en réponse aux préoccupations soulevées par la Coalition des organisations en synergie pour la défense de l’éducation publique (Cosydep), exprimant des inquiétudes quant à la dégradation du climat scolaire.

Lors d’une conférence de presse convoquée dans un hôtel de la place en présence du recteur de l’université de Bambey, des cadres, et des militants de la mouvance présidentielle, le Ministre a souligné que l’UCAD et le Conseil Académique sont souverains dans leurs décisions. Il a déclaré : « Le Conseil Académique et l’UCAD ont décidé de poursuivre les enseignements en ligne en attendant de réunir les conditions nécessaires pour une réouverture sereine et paisible des enseignements en présentiel. »

Moussa Baldé a également souligné que les cours en ligne ont prouvé leur efficacité et peuvent être pérennisés, constituant une alternative structurelle pour faire face à la croissance de la population estudiantine. Il a évoqué la possibilité de mettre en place un dispositif d’enseignement bimodal, combinant l’enseignement numérique avec l’enseignement présentiel, pour répondre aux besoins variés des étudiants.

Cette annonce intervient après les appels de divers acteurs de l’enseignement pour une reprise des cours en présentiel, mais le ministre souligne que le gouvernement soutient les décisions prises par l’UCAD et le Conseil Académique.

Accident Mortel à Fatick : Un Jeune Homme Tué par un Camion Qui Prend la Fuite

Le quartier Darel de Fatick est plongé dans la tristesse après qu’un camion de ramassage d’ordures a heurté mortellement un jeune homme à l’intersection du campus de l’USSEIN. Sonlon Dakaractu le conducteur du camion a pris la fuite pour éviter une réaction hostile des témoins. L’incident a nécessité l’intervention des sapeurs-pompiers pour extraire le corps de la victime qui était coincé sous le véhicule pendant plusieurs heures.

Un camion DL 4090 C, utilisé pour le ramassage des ordures par l’UCG, a heurté mortellement un jeune homme au quartier Darel.

Le conducteur a pris la fuite pour éviter d’être lynché par les témoins de l’accident.

Le corps de la victime est resté coincé sous le véhicule à proximité d’un atelier métallique. Les sapeurs-pompiers, appelés sur les lieux, ont dû utiliser une grue pour extraire le corps, nécessitant plusieurs heures de manœuvres.

Un policier présent sur les lieux a échappé de justesse, mais son véhicule a subi des dommages sérieux.

Le camion impliqué dans l’accident est actuellement sous la garde du commissariat central de Fatick.

La tristesse et la désolation prévalent dans le quartier Darel. Les populations réclament des mesures de sécurité, notamment l’installation de ralentisseurs sur les routes de la commune de Fatick.

Cet accident tragique a causé la mort d’un jeune homme à Fatick, suscitant l’émotion des habitants qui appellent à des mesures pour améliorer la sécurité routière dans la région


Reprise des activités au marché Tilène de Ziguinchor : L’incendie de Saint-Maur va servir d’accélérateur, affirme Yaye Fatou Diagne

La coordonnatrice du Programme de modernisation et de gestion des marchés, Yaye Fatou Diagne, a exprimé son optimisme quant à la reprise prochaine des activités au marché Tilène de Ziguinchor. Elle a souligné que malgré les retards liés à divers facteurs, la pose des dalles est en phase finale, et une délégation est attendue la semaine prochaine pour une visite. Elle considère que l’incendie survenu au marché Saint-Maur agira comme un accélérateur pour la réouverture du marché Tilène.

Les retards ont été attribués à des facteurs tels que l’exécution budgétaire, les procédures d’exécution, l’impact du Covid-19, et l’hivernage.

La pose des dalles a été retardée en raison de l’hivernage, mais a repris après la saison des pluies.

Yaye Fatou Diagne voit l’incendie au marché Saint-Maur comme un élément qui accélérera la réouverture du marché Tilène.

La ministre du Développement communautaire, de la Solidarité nationale et de l’Équité sociale et territoriale, Thérèse Faye Diouf, a visité Ziguinchor pour manifester la solidarité du gouvernement envers les sinistrés du marché Boucotte.

Le président Macky Sall a instruit d’apporter une aide financière de 50 millions de francs CFA aux commerçants touchés par l’incendie, accompagnée de 10 tonnes de riz pour répondre aux besoins urgents.

Le gouvernement travaille sur un chantier essentiel pour la vie économique à Ziguinchor, notamment la construction du marché Tilène, inscrit dans le Programme de modernisation des marchés sous le ministère du Commerce.

Les efforts pour la reprise des activités au marché Tilène se poursuivent malgré les défis passés. L’incendie à Saint-Maur est perçu comme une opportunité d’accélérer le processus de réouverture, tandis que le gouvernement affirme son engagement envers les commerçants sinistrés.

Accident Mortel à Thiès : Un car ‘Ndiaga Ndiaye’ heurte une moto Jakarta, causant la mort d’un élève et du conducteur de la moto

L’accident tragique s’est produit à Thiès, impliquant un car de type « Ndiaga Ndiaye » qui aurait heurté violemment une moto Jakarta, conduite par un chauffeur transportant un élève à l’école. Le drame a eu lieu à l’intersection du stade Maniang Soumaré, en face du magasin Auchan, sur l’avenue de Caen. Selon les témoignages, le conducteur de la moto et l’élève ont été gravement blessés lors de la collision, et l’élève est décédé sur place après avoir été traîné par le véhicule sur une certaine distance. Le conducteur de la moto a également perdu la vie à l’hôpital. Le conducteur du « Ndiaga Ndiaye » aurait pris la fuite après l’accident, et des témoins ont noté que le véhicule roulait à une vitesse élevée.

Cheikh Khadim Mbacké, le fils de Mountakha, en tournée pour promouvoir ses livres en Europe

L’article parle de Cheikh Khadim Mbacké, le deuxième fils du Khalif des Mourides, Serigne Mountakha Bachir. Il mentionne que Cheikh Khadim Mbacké est méconnu du grand public, mais qu’une photo partagée sur les réseaux sociaux a attiré l’attention sur lui. Actuellement, Cheikh Khadim Mbacké est en tournée en Europe, notamment en Espagne et en Grande-Bretagne, dans le but de promouvoir ses livres portant sur Serigne Touba, ses enseignements et la doctrine mouride. L’article souligne également la forte ressemblance physique entre Cheikh Khadim Mbacké et son père, le Khalif des Mourides, Serigne Mountakha Mbacké.

Tragédie lors d’un voyage Dakar-Ziguinchor : Une fille de 14 ans demande un arrêt momentané à Gamboul et décède

Une découverte macabre a été faite au village de Gamboul, dans l’arrondissement de Ngothie (département de Kaolack). Le corps sans vie d’une fille de 14 ans a été retrouvé.

Selon les informations de Dakaractu, la victime avait quitté Dakar pour se rendre à Ziguinchor à bord d’un bus. Mais arrivée à hauteur de Gamboul, elle aurait demandé un arrêt momentané pour satisfaire un besoin pressant. Après plusieurs minutes, les passagers du bus, qui ne l’ont pas vu revenir, ont décidé d’aller à sa recherche. Malheureusement, ils ont retrouvé son corps non loin, étalé à même le sol.

Rapidement, les éléments de la brigade Polyvalente de Gandiaye ont été informés et ils se sont très vite rendus sur les lieux du drame. Après constat, le corps a été déposé à la morgue de l’hôpital régional de Kaolack par les sapeurs-pompiers.

Pikine Tally Bou Bess : Décès d’un homme lors d’une dispute conjugale

Un homme est décédé lors d’une dispute avec sa femme à Pikine Tally Bou Bess, un quartier de Pikine, au Sénégal. L’incident a été marqué par le fait que l’homme a apparemment fait une crise, entraînant sa mort. La dispute conjugale a pris une tournure tragique, mettant en lumière les circonstances particulières du décès.

Les détails spécifiques de la dispute, de la crise et de la cause du décès ne sont pas fournis dans le texte. Les affaires familiales et les situations de ce type peuvent être complexes et sensibles. L’enquête policière et médicale serait nécessaire pour déterminer les circonstances exactes du décès et établir les responsabilités, le cas échéant.

Incendie du marché Boucotte de Ziguinchor : Macky Sall remet une enveloppe de 50 millions et 10 t de riz aux victimes

L’État du Sénégal, par le biais de la ministre du Développement communautaire, Thérèse Faye Diouf, a répondu rapidement à l’incendie survenu au marché Saint-Maur-des-Fossés de Ziguinchor, également connu sous le nom de « marché Boucotte ». La ministre a remis une enveloppe de 50 millions de francs CFA et 10 tonnes de riz aux victimes de cet incident. Ces fonds sont destinés à aider les sinistrés à faire face aux premières charges urgentes, tandis que le riz vise à soulager leurs besoins alimentaires immédiats.

Thérèse Faye Diouf a souligné que cette assistance immédiate provient de la solidarité du président de la République envers les commerçants touchés. Elle a également rappelé l’importance du chantier en cours à Ziguinchor, la construction du marché de Tilène, qui devrait offrir de meilleures conditions aux commerçants une fois achevé. La construction de ce marché est en cours dans le cadre du Programme de modernisation des marchés sous la tutelle du ministère du Commerce. Selon la ministre, une fois finalisé, ce nouveau marché contribuera à améliorer les conditions économiques et commerciales de Ziguinchor, notamment pour le secteur informel.

Ziguinchor, un plan d’action de retour des populations déplacées lié à la crise casamançaise est mise en branle.

Pour un retour définitif des populations déplacées du département de Ziguinchor du fait du conflit en Casamance, les acteurs de mise en œuvre d’une stratégie de facilitation de retour des populations au bercail, se sont réunis autour du préfet du departement de Ziguinchor, ceci à travers un atelier de partage sous l’impulsion du comité national de gestion de la situation des réfugiés et rapatriés et personnes déplacées en Casamance.

« L’objectif c’était de procéder à la restitution d’une expression de besoin qui avait été élaboré et communiqué par les autorités administratives. Il s’agit effectivement d’accompagner le processus de retour des personnes et familles déplacées sur la base de la mise en place d’un certain nombre de services sociaux de base. La collecte a été faite sur la base d’une matrice et de façon très pointue dans le département pour l’ensemble des communes et villages impactés, nous avons donc procédé à cette expression de besoin. » Affirme le préfet de Ziguinchor Ameth Tidiane Thiaw

Il précise tout de même « L’atelier organisé avait pour objet de partager cette expression de besoin pour un peu revisiter le caractère exhaustif complet ou non et dans tous les cas apporter des éléments de consolidation avant la prise en charge de cet état de besoin par les services centraux compétents d’état. »

« Nous avions mois de juillet, mener une première mission d’évaluation de besoins et il s’agit pour cette mission en relation avec les services de monsieur le préfet de consolider ces besoins et ces besoins ont été globalement scindé en plusieurs domaines, besoins en habitat, en santé, en éducation, en sécurité  et même des besoins immatériels. 
Donc après échange bien sûr un mécanisme de coordination au niveau local sera d’abord mis en place, ensuite l’ensemble des besoins détaillés envoyés au niveau du secrétariat pour une prise en charge par les services de l’état, bien sûr les ministères ne pourront pas exécuter à cent pour cent l’ensemble des besoins, c’est pourquoi nous y avons impliqué nos partenaires stratégiques comme le HCR et d’autres partenaires ainsi que les ONG locales, qui aussi dans leurs domaines vont compléter les actions de l’état pour un retour définitif des populations dans leurs villages. » A fait savoir le Colonel Boubacar Touré secrétaire permanent du comité chargé de la gestion des réfugiés, des rapatriés et des personnes déplacées.

Dans ce processus de retour des populations déplacées, il est concerné l’ensemble des populations déplacées interne comme externe.

« Le nombre de déplacées externe qui constituent les réfugiés au niveau de la Gambie et de la Guinée Bissau et les déplacées interne qui sont restées dans la région les chiffres obtenus en juillet passé se portaient sur plus de trente cinq mille réfugiés, c’est pas exhaustif, c’est pourquoi nous sommes venus pour consolider ces éléments.
Nous allons en relation avec les structures sœur des républiques de la Gambie et de la Guinée Bissau essayer d’avoir les statistiques qui nous permettront quand même d’atteindre valablement la cible, c’est à dire les informations précises qui nous permettront non seulement d’accompagner le retour des déplacées interne mais aussi de prendre en compte le retour des réfugiés et de les accompagner pour une intégration réussie dans leurs localités au niveau du département de Ziguinchor , c’est surtout dans l’arrondissement de Niassya et de Niaguis et dans l’arrondissement de Niaguis le sous préfet nous a fait part d’un seul village Boussoloum dont les populations n’ont pas encore rejoint la localité, au niveau de l’arrondissement de Niassya c’est quatre localités. » A-t-il ajouté.

Les données collectées montre que sur 119 villages déplacés pour une population de 33028 personnes, 87 ont été définitivement ou partiellement regagnés par leurs habitants dont un effectif estimé à 17105 habitants, ce qui fait un taux de retour estimé à 51,78% des déplacées.

AS

Le Dakarois Ziguinchor

Ziguinchor, l’état au chevet des commerçants du marché Saint Maurs des Fossés de Boucotte, cinquante millions et dix tonnes de riz en accompagnement d’urgence.

« Nous sommes à Ziguinchor pour apporter le soutien immédiat du chef de l’état pour ces commerçants, qui ont vécu quand-même des moments très difficiles, à la suite de l’incendie du marché de Boucotte. Le président de la République nous a demandé de venir en tout cas manifester toute sa solidarité envers ces commerçants victimes de cet incendie et apporter également une enveloppe de cinquante millions pour effectivement permettre à ces commerçants de pouvoir s’assurer les premières charges urgentes en plus de celà dix tonnes de riz ont été remises toujours pour soulager la souffrance de ces victimes là. En dehors de cela, je voudrais rappeler que le gouvernement a un chantier extrêmement important pour la vie économique au niveau de Ziguinchor, surtout pour le secteur informel et formel, c’est à dire la construction en cours du marché de Tiléne à travers le programme pour la modernisation des marchés sous la tutelle du ministre du commerce.
Je pense, que ce marché en cours de construction est à 95% d’exécution, une fois finaliser, va permettre au marché de Boucotte en tout cas de trouver un essoufflement et ça va permettre également aux commerçants d’être dans d’excellentes conditions. » Affirme le ministre du développement communautaire et de l’équité territoriale.

Toutefois, elle a tenu à préciser  » Nous avons bien recueillis et reçu toutes les doléances, mais également les remerciements des commerçants qui ont tous remercié le président de la république pour en tout cas cet acte, dépêcher immédiatement une délégation à Ziguinchor pour être au chevet de victimes là. »

Elle confirme , »L’état sera avec les victimes et aujourd’hui avec monsieur le gouverneur, le préfet, les sapeurs-pompiers, le commandement. Je peux dire aussi le commissaire qui assure la sécurité publique, nous pouvons dire encore une fois merci aux corps qui assurent l’autorité administrative, mais également l’autorité locale à travers la commune qui est représentée ici et avec Promoged. Également, qui ont, dès le premier jour ont pris des dispositions pour stopper le feu qui a démarré à sept heures et finalement s’est éteint à midi.
Je pense que nous allons continuer les discussions et sur la base du rapport définitif qui sera transmis par le gouverneur de région, l’état va continuer à prendre les dispositions pour non seulement regarder comment réfectionner le marché, mais aussi comment finaliser le marché de Tiléne. »

AS

Le Dakarois Ziguinchor

Arrestation d’une sage-femme d’État : Affaire d’insultes et de transformation illégale de villa en cabinet médical.

Une sage-femme d’État a été arrêtée par la police de Golf Sud sur ordre du Parquet du Tribunal de grande instance de Pikine. L’arrestation fait suite à une affaire d’insultes entre la mise en cause et son bailleur. Ce dernier a porté plainte, reprochant à la sage-femme d’avoir engagé des travaux de réfection dans la villa qu’elle louait sans son aval, cherchant à la transformer en cabinet médical.

Le plaignant affirme avoir loué la villa à usage d’habitation et s’est opposé à sa transformation en cabinet médical. Une dispute a éclaté, et le bailleur a porté plainte. Le Procureur a ordonné une enquête préliminaire, confiée au commissaire de Golf Sud. Lors de l’interrogatoire, la sage-femme a partiellement reconnu les faits, admettant avoir insulté son bailleur. Elle a déclaré avoir obtenu un accord pour transformer la villa en cabinet médical, mais son bailleur a ensuite contesté.

L’enquête a révélé que la sage-femme n’avait pas l’autorisation d’ouvrir ou d’exploiter un cabinet paramédical. Elle a été déférée et a finalement avoué les faits.

Procès Oumar Sall : Forte mobilisation des partisans du prêcheur prévue ce vendredi.

Le procès du prêcheur Oumar Sall, opposé à des disciples « Tidiane », est programmé pour ce vendredi au tribunal de Grande instance hors classe de Dakar. À la veille de cette audience, ses partisans, déjà mobilisés lors de la première audience renvoyée à cette date, prévoient une forte mobilisation.

Les partisans d’Oumar Sall, qui avaient exprimé massivement leur soutien lors de la première audience, bénéficieront de cars gratuits, notamment à Keur Massar, pour faciliter leur déplacement. Cette mobilisation suscite des craintes de violence, nécessitant une attention particulière.

De leur côté, les disciples « Tidiane » ont également annoncé une forte mobilisation pour faire entendre leur voix, accentuant ainsi les risques de tensions lors de l’audience.

Pour rappel, Oustaz Oumar Sall est en détention depuis le 15 novembre 2023, faisant face à des accusations de diffamation, insulte par le biais d’un système informatique, et provocation d’actes d’intolérance entre des personnes. Ces accusations ont été portées par le collectif international des « Talibé Cheikh » et dix autres plaignants, qui l’accusent d’avoir offensé la « tariqa Tidiane » dans ses prêches.

Malgré des tentatives de médiation, le différend persiste, et les plaignants insistent sur l’application rigoureuse de la loi. La situation tendue autour de ce procès nécessite une gestion délicate pour éviter tout débordement.

Nouveau scandale financier au CMS Sénégal : après les 540 millions, 810 millions et 4,6 milliards FCFA disparaissent à Tivaouane et Ouakam

Le Crédit Mutuel Sénégalais (CMS) est une fois de plus au cœur d’un scandale financier, avec de nouvelles révélations de détournements de fonds. Après les 540 millions FCFA détournés à l’agence de la Médina, le journal Libération dévoile un nouveau dossier mettant en lumière des pratiques frauduleuses.

Selon les informations recueillies, au CMS de Malick Sy, 108 membres du groupement féminin d’Astou Kounta auraient été utilisés comme « prêtes-noms » pour détourner 540 millions FCFA. À chaque opération, ces individus recevaient 200 000 FCFA chacun, présentés comme des « aides financières » par le banquier Moussa Sagna.

D’autres agences du Crédit Mutuel Sénégalais sont également impliquées. À l’agence de Ouakam, un crédit illégal de 4,6 milliards FCFA aurait été identifié. Les agences de Colobane et de Fass sont également mentionnées dans cette affaire.

À l’agence CMS de Tivaouane, un détournement de 810 millions FCFA a été mis au jour. Les personnes impliquées dans cette fraude sont également liées à l’affaire des gages bijoux de la caisse de Malick Sy. Jusqu’à présent, aucune action judiciaire n’a été engagée dans cette affaire.

Ce nouveau scandale financier souligne les failles dans la gestion du CMS Sénégal et met en évidence la nécessité de mesures pour renforcer la transparence et la responsabilité au sein de l’institution.

Opération de Sécurisation Nationale : 541 Individus Interpellés par la Police

Dans le cadre de la lutte contre la délinquance et la criminalité, la police nationale du Sénégal a récemment lancé une vaste opération de sécurisation sur l’ensemble du territoire. Plus de 700 agents, en uniforme et en civil, ont été mobilisés pour cette opération nocturne, ciblant les zones sensibles du pays. Les résultats de cette initiative dirigée par la Direction de la Sécurité publique ont conduit à l’interpellation de 541 individus, soulignant l’effort continu des autorités pour garantir la sécurité nationale.

Selon des sources de Seneweb, les interpellations se répartissent comme suit :

  • 333 individus pour vérification d’identité.
  • 110 individus pour ivresse publique et manifeste.
  • 31 individus pour nécessité d’enquête.
  • 10 individus pour détention et usage de chanvre indien.
  • 4 individus pour offre et cession de chanvre indien.
  • 2 individus pour usage de produits cellulosiques.
  • 8 individus pour rixe sur la voie publique.
  • 18 individus pour racolage.
  • 1 individu pour coups et blessures volontaires.
  • 1 individu pour détention de chanvre indien.
  • 3 individus pour association de malfaiteurs.
  • 2 individus pour escroquerie.
  • 1 individu pour tentative de vol.
  • 1 individu pour abus de confiance.
  • 9 individus pour non-inscription sur le fichier sanitaire et social.

Cette opération de sécurisation a été conçue pour lutter contre diverses formes de délinquance, allant de l’ivresse publique à la détention de substances illicites, en passant par les infractions liées à la santé publique. Les autorités soulignent ainsi leur engagement continu envers la sécurité nationale et la protection des citoyens.

Les résultats de cette opération soulèvent des questions sur les prochaines étapes et le suivi des individus interpellés. Les réactions de la population et des acteurs politiques à ces mesures de sécurité renforcées seront également cruciales pour évaluer l’efficacité de telles initiatives dans le contexte sénégalais.

Modernisation des locaux de l’ONAS : Un nouveau bijou architectural pour un cadre de travail optimal

L’Office national de l’Assainissement du Sénégal (ONAS) a entrepris un vaste projet de rénovation et de modernisation de ses locaux, donnant à son siège une nouvelle allure résolument moderne et fonctionnelle. Lors d’une visite guidée dirigée par le Directeur Général, M. Mamadou Mamour Diallo, la délégation a pu découvrir les améliorations apportées, offrant un cadre de travail optimal.

La salle de conférence de l’ancien bâtiment a subi une transformation remarquable, passant d’une esthétique classique à un standard de fonctionnalité moderne. Les murs fraîchement peints, les nouvelles installations audiovisuelles, et les équipements de pointe marquent une nette amélioration perceptible au premier coup d’œil. La délégation a également visité un espace restreint mais technologiquement avancé, destiné à la préparation des communications et des formations, équipé de sonorisation, de matériel de vidéo-conférence, et d’une connexion permanente.

Le deuxième étage du nouveau bâtiment a été présenté comme un espace en cours de transformation, avec des zones de réception fraîchement peintes et aménagées pour l’écoute et l’orientation. Un îlot spécialement conçu pour les Conseillers techniques a été mis en place, offrant un espace dédié aux échanges d’idées et à la réflexion sur les projets en cours.

La visite a également souligné l’accent mis sur la connectivité interne et externe, avec plusieurs salles équipées d’écrans interconnectées, permettant au Directeur Général de suivre les réunions du Comité de Direction depuis son bureau. Le Directeur Administratif et Financier, M. Bamba Fall, a mis en avant ces avancées en matière de communication.

Au rez-de-chaussée, un hall accueillant a été créé, offrant un espace d’attente confortable et agréable pour les usagers et les invités. Des distinctions de l’ONAS sont exposées, et un écran diffuse des messages du Président de la République énumérant les projets emblématiques de l’office. Une fontaine et une ambiance apaisante créent une atmosphère accueillante.

Le Directeur Général, M. Mamadou Mamour Diallo, a exprimé sa satisfaction quant à l’évolution des travaux, remerciant le Directeur Administratif et Financier, M. Bamba Fall, ainsi que l’architecte, M. Niang, pour leur contribution à la réalisation de sa vision d’amélioration du cadre de travail. Il a souligné que ces améliorations visaient à offrir un meilleur environnement de travail pour les agents de l’ONAS et à améliorer les relations avec les usagers, les traitant comme des clients.

Cette modernisation des locaux de l’ONAS est un témoignage de l’engagement envers l’excellence et le progrès, visant à créer un environnement propice à la productivité et au service de qualité pour la population.

L’Office national de l’Assainissement du Sénégal (ONAS) a entrepris un vaste projet de rénovation et de modernisation de ses locaux, donnant à son siège une nouvelle allure résolument moderne et fonctionnelle. Lors d’une visite guidée dirigée par le Directeur Général, M. Mamadou Mamour Diallo, la délégation a pu découvrir les améliorations apportées, offrant un cadre de travail optimal.

La salle de conférence de l’ancien bâtiment a subi une transformation remarquable, passant d’une esthétique classique à un standard de fonctionnalité moderne. Les murs fraîchement peints, les nouvelles installations audiovisuelles, et les équipements de pointe marquent une nette amélioration perceptible au premier coup d’œil. La délégation a également visité un espace restreint mais technologiquement avancé, destiné à la préparation des communications et des formations, équipé de sonorisation, de matériel de vidéo-conférence, et d’une connexion permanente.

Le deuxième étage du nouveau bâtiment a été présenté comme un espace en cours de transformation, avec des zones de réception fraîchement peintes et aménagées pour l’écoute et l’orientation. Un îlot spécialement conçu pour les Conseillers techniques a été mis en place, offrant un espace dédié aux échanges d’idées et à la réflexion sur les projets en cours.

La visite a également souligné l’accent mis sur la connectivité interne et externe, avec plusieurs salles équipées d’écrans interconnectées, permettant au Directeur Général de suivre les réunions du Comité de Direction depuis son bureau. Le Directeur Administratif et Financier, M. Bamba Fall, a mis en avant ces avancées en matière de communication.

Au rez-de-chaussée, un hall accueillant a été créé, offrant un espace d’attente confortable et agréable pour les usagers et les invités. Des distinctions de l’ONAS sont exposées, et un écran diffuse des messages du Président de la République énumérant les projets emblématiques de l’office. Une fontaine et une ambiance apaisante créent une atmosphère accueillante.

Le Directeur Général, M. Mamadou Mamour Diallo, a exprimé sa satisfaction quant à l’évolution des travaux, remerciant le Directeur Administratif et Financier, M. Bamba Fall, ainsi que l’architecte, M. Niang, pour leur contribution à la réalisation de sa vision d’amélioration du cadre de travail. Il a souligné que ces améliorations visaient à offrir un meilleur environnement de travail pour les agents de l’ONAS et à améliorer les relations avec les usagers, les traitant comme des clients.

Cette modernisation des locaux de l’ONAS est un témoignage de l’engagement envers l’excellence et le progrès, visant à créer un environnement propice à la productivité et au service de qualité pour la population.

Affaire choquante à Touba : Exhumation d’un nouveau-né d’un terrain clôturé, enquête en cours

Un cas préoccupant d’enterrement clandestin a récemment émergé à Touba, aboutissant à une enquête au commissariat spécial de la ville. Selon des informations recueillies par Seneweb, le cadavre d’un nouveau-né a été secrètement inhumé dans un terrain clôturé, soulevant des questions troublantes sur les circonstances entourant cet acte.

La propriétaire du terrain a alerté les autorités après avoir découvert cette pratique choquante. Selon les rapports, une femme aurait accouché d’un enfant mort-né à l’hôpital de Ndamatou Touba, mais au lieu d’une procédure d’enterrement appropriée, le corps aurait été clandestinement enterré sur sa propriété clôturée.

Face à cette situation inhabituelle, le limier en chef de la ville sainte a été saisi, et une opération d’exhumation du corps a été menée par la police et les services compétents au cours de la nuit précédente, comme l’ont rapporté les sources de Seneweb. Finalement, la dépouille a été réinhumée au cimetière de Bakhiya, conformément aux rites funéraires appropriés.

À ce stade, aucun membre de la famille du défunt n’a reconnu être impliqué dans cet acte troublant. Les enquêteurs poursuivent leurs auditions pour identifier le principal responsable de cette situation. L’affaire soulève des préoccupations sur les pratiques funéraires appropriées et la nécessité de comprendre les raisons derrière cet enterrement clandestin.

Ledakarois

12 millions de tonnes de CO2, voilà ce que produit le Sénégal

Le Sénégal frôle 12 millions de tonnes en matière d’émissions mondiales de CO2.

8 huit ans après l’accord de Paris sur le climat, où en est le Sénégal dans la courbe mondiale des CO2 ?  En 2022, il a émis 0,03 % c’est-à-dire près de 12 millions de tonnes de dioxyde de carbone. Pendant ce temps, le continent reste à 4 % d’après le rapport du réseau international sur le carbone.

Constat : la courbe mondiale est en hausse de 1.1 degrés Celsius par rapport à l’année 2022. Une situation globale peu reluisante qui nous pousse à jeter un regard sur l’Afrique et le Sénégal. Le continent reste à 4 % et le pays de la Teranga est à 0, 03 %.

Autrement dit en 2022, il a produit près de 12 millions de tonnes de Co2. Comparés à la Chine, à l’Inde ou à l’Europe, l’Afrique et le Sénégal ne représentent qu’une infime partie dans la balance des émissions néfastes au climat. Mais attention aux conclusions simplistes !

Ce qui est en jeu, c’est l’accord de Paris sur le climat, averti Docteur Ousmane Ndiaye repris par Bes-Bi. « La part d’émission de l’Afrique est faible. Mais depuis l’accord de Paris, il n’y a pas de petit émetteur. C’est pourquoi à Paris, les pays se sont engagés à travers la contribution déterminée nationale à dire exactement quelles sont leurs émissions ? que font-ils pour les diminuer ? » rappelle le point focal du Groupe d’Expert Intergouvernemental sur l’évolution du Climat. C’est pourquoi, le Directeur de l’exploitation météorologique de l’ANACIM invite les pays à surmonter leurs obstacles notamment sur les énergies fossiles.

Senenews

Tentative d’avortement à HLM3 : Binta (enceinte de 5 mois) passe aux aveux, « j’ai vu la main du bébé sortir »

Lors d’une échographie à la polyclinique Lac Rose le 28 novembre 2023, le gynécologue a découvert une chose surprenante. La main du bébé a commencé à sortir du vulve de la mère. Surpris, le gynéco a rapidement hospitalisé la patiente en état de grossesse et a lancé les interrogations. Il va ensuite avertir les éléments de la Brigade spéciale de Niague.

Interrogé, la jeune femme de 23 ans, habitante de HLM 3, est rapidement passée aux aveux. Elle a déclaré que lorsqu’elle a su qu’elle était en état de grossesse de 4 mois et 5 jours, elle a pris des pilules recommandées sur internet pour avorter. Et elle a continuer à en prendre des semaines durant, malgré la vie qui poussait en elle.

« J’ai su ma grossesse à quatre mois. Lorsque j’ai informé mon petit ami, il m’a conseillé d’aller à l’hôpital pour faire une échographie. Une fois à l’hôpital, le médecin a confirmé les quatre mois de grossesse. J’ai tout fait pour le cacher à ma mère. En revanche, j’ai informé ma grande sœur qui a tout fait pour connaître le père de l’enfant. En ce moment, j’avais déjà pris les pilules abortives. Une semaine après la prise, je n’ai rien senti. Je suis retournée à la clinique. Après la première échographie, le médecin m’a dit que l’enfant est en vie, son cœur bat toujours. Mais, une semaine plus tard, je ne sentais plus l’enfant. Sur ce, j’ai commencé à sentir des douleurs abdominales et je suis repartie à la clinique (polyclinique Lac Rose). En attendant mon tour pour l’échographie, j’en ai profité pour aller aux toilettes pour uriner. C’est à ce moment que j’ai forcé et la main du bébé est sortie. J’ai crié parce que cela faisait mal. Les sages-femmes sont venues me prendre et m’ont dit que le bébé est mort », a-t-elle déclaré dans des propos relayé par Rewmi.

Les éléments de la Brigade spéciale de Niague ont effectué une descente dans la chambre de la mise en cause, où ils ont saisi 6 boîtes de médicaments abortifs épuisées. Binta S. a été arrêté le lendemain de son deuxième passage chez le gynécologue, le 29 novembre, alors qu’elle était à 5 mois de grossesse. Elle a confié aux gendarmes que le père de son enfant se nomme Malick N. Il habite à Pikine, mais travaille à Sangalkam dans une écurie. Ils étaient en relation depuis bientôt un an.

Déférée au parquet, Binta S. a été placée en détention le 1er décembre 2023. À l’audience des flagrants délits de Dakar ce mardi 5 décembre, la prévenue a encore plaidé coupable d’avoir pris des médicaments pour avorter. Car, affirme-t-elle, elle avait honte de révéler sa grossesse à sa mère.

Soutenant les faits constants, la déléguée du procureur a requis deux ans, dont trois mois ferme, mais le juge a prononcé une peine de six mois, dont deux ferme assortie d’une amende de 100.000 francs Cfa à l’encontre de la prévenue.

Senenews

Vers une pénurie de carburant à la pompe

Le Sénégal n’est pas l’abri d’une pénurie de carburant à la pompe en raison d’une dette de 140 milliards FCFA que les distributeurs réclament à l’État.

Alerte inquiétante envers le secteur pétrolier. Il y a un risque énorme de pénurie de carburant à la pompe à cause d’une dette de plus de 140 milliards de FCFA au titre des pertes commerciales et de la péréquation de transport des produits pétroliers, rapporte L’OBS.

Pour rappel, la péréquation de transport des produits pétroliers, ce mécanisme qui permet d’égaliser le prix du carburant sur l’étendue du territoire, tarde à être remboursée sur l’année 2023 qui s’achève bientôt !

Le différentiel de transport entre le prix réel payé aux transporteurs et le prix fixé dans la structure des prix est à la charge de l’Etat. Aujourd’hui, le montant à rembourser par l’Etat est à plus de 5 milliards F Cfa. Les sociétés de distribution pétrolière ne sauraient attendre le remboursement de l’Etat pour s’acquitter de leurs créances vis-à-vis des sociétés de transport. Nous prenons sur nous cette charge de trésorerie pour ne pas crisser la chaîne d’approvisionnement.

Au titre des pertes commerciales, les importateurs suppléent l’Etat dans l’approvisionnement du pays et au prix fort. La guerre d’Ukraine et les troubles géopolitiques, qui ont rythmé la scène internationale, ont fortement secoué l’approvisionnement du pays. Grâce aux importateurs alliés à leurs sociétés-mères, nous avons surmonté ces épreuves.

Lors d’une réunion du 18 avril 2022, le ministère du Pétrole et des énergies insistait particulièrement sur la continuité de l’approvisionnement du pays et pour ce faire, misait sur les importateurs, révèle Ameth GUISSE – Président de l’Association Sénégalaise des Pétroliers.

Toutefois, cet effort a un prix et à ce jour, malgré le concours du gouvernement, les arriérés de remboursement se sont reconstitués et avoisinent plus de 135 milliards de F Cfa si nous y incluons le remboursement des clients exonérés.

Et pourtant, pendant ce temps, l’Etat met une pression énorme aux sociétés pétrolières de s’acquitter de leurs devoirs de contribuables envers la Dgid en imposant l’attestation de paiement de la Tpp (Taxe spécifique des produits pétroliers) tous les 15 du mois sous peine de blocage de toutes leurs livraisons aussi bien aux stations-services qu’aux industriels. Cette nouvelle disposition a été introduite dans le nouveau Code général des impôts 2023 publié dans le Journal officiel du 31 décembre 2022.

L’Etat leur impose de s’acquitter des droits de douane sous peine aussi de bloquer les sorties des camions pour approvisionner lesdits clients.
Cette situation pressure les sociétés à qui l’Etat doit des arriérés énormes. L’Etat est le garant de l’équité et à ce titre, se doit à tout moment de comparer sa dette due au sous-secteur par rapport à ce que celui-ci lui doit.
La pérennité des entreprises en découle.

Cet état de fait menace à terme l’approvisionnement du pays de même que la distribution du carburant à un prix équitable sur l’ensemble du territoire. Les sociétés de distribution pétrolière souffrent et en appellent au sens de l’équité de l’Etat. Les échéances électorales à venir risquent de prolonger les délais de remboursement. Et pourtant, malgré ce calendrier, le pays doit continuer de fonctionner comme dans toutes les démocraties.

Crédit mutuel du Sénégal : graves révélations sur l’affaire des 540 millions F CFA

Après A. Kounta, A. Guissé et R. Ngom, c’est au tour de A. M. Sagna et S. Ndour d’être inculpés dans le cadre de l’affaire des 540 millions de francs CFA qui secoue le Crédit mutuel du Sénégal (CMS). Ces derniers officient à l’agence Malick Sy du CMS. Le premier en tant qu’agent de crédit et le second, comme responsable des gages.

Dans son édition de ce jeudi, Les Échos révèle que le parquet a ouvert une information judiciaire à propos de cette affaire et confié le dossier au Doyen des juges d’instruction, Oumar Maham Diallo. Ce mercredi 6 décembre, poursuit le journal, ce dernier a inculpé et placé sous mandat de dépôt les cinq mis en cause. Il les poursuit pour association de malfaiteurs, escroquerie et blanchiment de capitaux, pour A. Kounta, et complicité d’escroquerie, pour les autres.

Selon Les Échos, une cliente nommée A. Diop a déclenché l’affaire en mettant la puce à l’oreille à la direction du CMS. Elle s’est plainte de recevoir des messages de rappel d’échéances de paiement non respectées alors qu’elle avait renoncé à contracter un prêt qu’elle sollicitait. En creusant, signale la même source, le CMS découvre que le cas de cette dame n’est pas isolé. Qu’il fait partie d’un lot de 108 dossiers litigieux repérés à l’agence Malick Sy et reliés à la même personne : A. Kounta.

Contactés pour un règlement du contentieux, certains clients concernés par les litiges révèlent qu’ils avaient monté leurs dossiers de prêt pour le compte de A. Kounta et qu’en contrepartie chacun devait recevoir 200 000 francs CFA.

Cette somme leur a été remise par l’agent de crédit M. Sagna dès la mise en place du crédit. Le montant restant pour chaque dossier étant versé à A. Kounta. Avec 108 dossiers frauduleusement montés, cette dernière s’est retrouvée avec 540 millions de francs CFA.

Pire, à l’exception de ceux remis par A. Diop, tous les bijoux mis en gage par les supposés emprunteurs, pour obtenir les prêts, sont en toc. Pourtant, l’authenticité de ces biens, censés être en or, étaient garantie par l’expert attiré du CMS, le bijoutier A. Guissé et les fiches produites par ce dernier en ce sens étaient contresignées par S. Ndour, le responsable des gages de l’institution financière.

Guissé, Ndour et Sagna ont ainsi rejoint Kounta et Ngom dans le rang des suspects de cette affaire à un demi-milliard de francs CFA, confiée au Doyen des juges, Oumar Maham Diallo.

Salma

Nécrologie : Le monde de la politique sénégalaise endeuillée

Le monde de la politique sénégalaise est endeuillée suite au décès de l’ancien maire de la commune de Niaguis Lamine Sagna.

« Nous avons appris avec beaucoup de tristesse la nouvelle du décès de l’ancien maire de la commune de Niaguis feu Lamine Sagna » , lit-on dans une notre publiée sur la page Facebook « Victorine Ndeye notre choix »

Senenews

L’agence Supeco Saccagée, des millions emportés: Bonne nouvelle pour les employés.

Les agences de Supeco à Golf Sud et Hamo ont été complètement saccagées par des jeunes lors des manifestations de juin dans l’affaire Ousmane Sonko/ Adji Sarr. Leurs employés restés six mois sans activités retrouvent le sourire après la réouverture du magasin ce matin à Hamo 6. Le Dg Malick Niang, lors de son discours invite les manifestants à plus de retenue.

« Nous lançons un appel à l’État, Supeco lutte contre le chômage et participe au développement du pays. Attaquer l’agence c’est freiner les activités des petites et moyennes entreprises. Nous sommes en partenariat avec plus de 100 entreprises locales », précise-t-il.

Son directeur de magasin, Karamo Diba, abonde dans le même sens : « Nous travaillons avec plus de 300 fournisseurs, attaquer notre magasin c’est attaquer 300 fournisseurs. Le Dg a tout fait pour garder ses employés c’est une manière pour lui de participer à « Kheyou Ndaw Yi  » .

Senego

Météo : L’annonce de l’Anacim pour les prochaines 24 heures

L’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim) a annoncé les prévisions météo pour les prochaines 24 heures. Selon l’agence, la fraicheur nocturne sera encore de mise.

« Ces prochaines 24 heures seront marquées par un temps ensoleillé sur la quasi-totalité du territoire. Toutefois, des passages nuageux seront attendus sur l’axe Dakar – Saint-Louis. La chaleur persistera légèrement sur une bonne partie du pays notamment dans les régions Centre et Est où les maximas de température oscilleront entre 36 et 38°C. Par contre sur le littoral, les températures ne dépasseront pas 33°C. La sensation de fraicheur nocturne et matinale sera de mise sur le territoire, surtout dans les localités de l’intérieur où les températures minimales fluctueront entre 19 et 21°C », annonce l’Anacim dans son bulletin de ce mercredi 6 décembre.

« Les visibilités seront globalement bonnes sur tout le territoire. Les vents dominants seront d’intensité faible à modérée et de secteur Nord à Nord-est sur le littoral devenant Nord-est à Est ailleurs », ajoute l’Anacim.

Senenews

Boy Djinné retourne en taule, il planifiait un braquage

Cinq mois après sa sortie, Boy Djinné retourne en prison

Cinq petit mois. Et retour à la case prison pour Boy Djinné. Surnommé l’as de l’évasion,  Baye Modou Fall, de son vrai nom, a été encore arrêté par les gendarmes de la Brigade de Recherches de Thiès. Motif ?  Baye Modou Fall projetait de commettre un cambriolage à Touba. Les gendarmes de la légion de Thiès ont réussi à le prendre en flagrant délit  hier dans la nuit du mercredi sur l’autoroute Ila Touba, rapporte Seneweb.

Baye Modou Fall était dans un véhicule contenant du matériel servant à commettre un cambriolage. A signaler qu’il a été élargi de prison au courant du mois de juillet dernier.

Seneweb

Touba : Le ministre Cheikh Oumar Hann explique les raisons de sa visite chez Serigne Mountakha

Dans le cadre des préparatifs de la Journée nationale des Daara, prévue pour le 16 décembre prochain, ainsi que la remise du Grand Prix international du chef de l’État pour le récital du Coran, le ministre de l’Éducation nationale, Cheikh Oumar Hann, a été reçu par Serigne Mountakha Mbacké à Touba, informe Rewmi.

Cheikh Oumar Hann a profité de sa visite à Touba pour recevoir les orientations et les prières du Khalife général des mourides. «Nous sommes venus à Touba pour apporter le message du chef de l’Etat, recueillir les orientations et les prières du Khalife. Nous avons été très bien reçus par Serigne Mountakha Mbacké qui a montré toute sa détermination pour nous accompagner», a-t-il déclaré.

Le ministre a précisé que le président Macky Sall a pris d’importantes mesures en faveur des acteurs des écoles coraniques. «On a concrétisé cette année le recrutement de 500 Serigne daara dans la Fonction publique. Le Président Macky Sall a mis à la disposition des Daaras 6 milliards de F Cfa. Il a institué un concours national de récital de Coran. Nous avons terminé la sélection nationale et nous attendons les concurrents internationaux», a-t-il ajouté.

Senenews

Gré à gré de 71 milliards : 9 sociétés engagent la bataille suprême contre le MSAS

L’affaire relative marché de 71 milliards de francs CFA qui éclabousse le ministère de la Santé connait un nouveau rebondissement.

Neuf sociétés spécialisées dans la vente de matériel médical, ont saisi mardi, la Chambre administrative de la Cour suprême pour demander l’annulation pure et simple du contrat par entente directe pour les travaux de relèvement des plateaux techniques des services d’Imagerie médicale des hôpitaux, de construction et équipement de l’hôpital de Bakel et du Centre de diagnostic et d’imagerie (Cdim) au Centre hospitalier régional de Fatick et de fourniture de matériel roulant (ambulances médicalisées) d’un montant de 71 milliards FCFA.

Il s’agit du marché financé par la banque allemande Kfw objet d’une entente directe entre le ministère de la Santé et de l’Action sociale et la société Afrique Conception distribution (Acd) pour un montant de 71.315.140.944 Fcfa, rapporte Libération dans son édition de ce mercredi 06 décembre 2023.

Pour les sociétés qui ont saisi la Cour suprême, la procédure a été marquée par «une violation des dispositions des articles 24, 61, 77 combinés du Code des marchés ». Selon les informations obtenues d’une dénonciation, un marché par entente directe est autorisé et conclu entre le ministère de la Santé et la société Afrique conception distribution dite «Acd» avec son partenaire Siemens, portant sur soixante-onze milliards trois cent quinze millions cent quarante mille neuf cent quarante-quatre (71.315. 140. 944) Fcfa, à financer par la Banque Allemande de Développement « Kfw», sous prétexte d’un relèvement des plateaux techniques d’imagerie médicale des hôpitaux (…), indique le journal.

Le motif évoqué par le ministère de la Santé pour justifier cette entente directe, selon ns confrères, est « l’urgence impérieuse occasionnée par les événements du 21 mars 2021 et du 1er juin 2023 entre autres (…) ; le ministre de la Santé et de Action Sociale prétend vouloir prévenir des menaces d’épidémies notées dans certaines régions (Dengue, Coronavirus, Grimée-Congo et autres épidémies), ce qui est contraire à la vérité car ce dossier avait fait l’objet d’une proposition par Siemens avec le même bailleur Kfw qui avait par correspondance en date du 02 février 2017 transmis l’expression de son engagement à financer ledit projet à hauteur de quatre-vingt-quatre millions (84,000,000) d’euros, répondant favorablement à une offre spontanée ».

« En 2021, la société Acd a réintroduit ce dossier en y ajoutant d’autres lots (…). Les propositions qui ont été faites en 2017 et rafraîchies en 2022 ne pouvaient être conclues par entente directe, en vertu de la réglementation et des principes de libre concurrence et d’égalité de traitement des candidats », peut-on lire dans le recours.

Mieux, « le projet a été conçu en 2017, son besoin résorbé par les acquisitions de la Covid-19 avant d’être approuvé en 2023, soit une durée de six (06 ans, (…) il y a lieu de se demander si une urgence impérieuse saurait attendre six (06) ans plus tard pour être approuvé », estiment les requérants selon qui « même si ce marché avait fait l’objet d’appel d’offres ouvert il devrait être lancé en plusieurs lots pour permettre à tous les candidats de diverses spécialités, de concourir en respectant les principes d’égalité de traitement des candidats et de libre accès à la commande publique (…) ».

D’après les plaignants qui se sont confiés à Libération, « il y a un réel danger et un risque de discontinuité du service public sanitaire, qui est un secteur régalien de l’Etat ». Pour eux, « en confiant l’exclusivité de la fourniture des équipements et consommables d’imagerie ainsi que leur maintenance à une seule entité à savoir Siemens et son partenaire Afrique conception distribution dite Acd, l’Etat aura fini de confier le diagnostic sanitaire des sénégalais à une seule entreprise et son partenaire étranger; (…) Ce monopole constitue un réel danger sanitaire en cas d’arrêt complet des équipements de diagnostic occasionné par une rupture de consommables et/ou la défaillance de la maintenance détenue par un seul opérateur ».

Pour toutes ces raisons, les avocats des plaignants demandent à la Cour suprême l’annulation du contrat et l’ouverture d’un appel d’offres alloti en plusieurs lots pour attribuer le marché attaqué.

Senenews

Cagnotte pour Falla Fleur : Déjà 7 millions FCFA récoltés

Libérée le 6 novembre dernier, Ndeye Fatou Fall dite Falla Fleur a été licenciée par son employeur Dakarnave. L’avocat Juan Branco a ainsi décidé d’ouvrir une cagnotte pour la jeune juriste militante du Pastef dissous. Aussitôt dit, aussitôt fait.

Les partisans de Ousmane Sonko ont réussi à collecter, en l’espace de quelques jours, la somme de 6 millions FCFA et en plus de 2622 euros sur Papypal, soit plus de d’un million 600 000 FCFA, indique Les Echos qui donne la nouvelle. Ce qui fait un total de 7 millions FCFA. A noter que la cagnotte reste ouverte jusqu’au 10 décembre.

Pour rappel, Falla Fleur a été licenciée pour ‘’fautes graves et perte de confiance. Elle avait été condamnée à trois mois de prison ferme pour «provocation à un attroupement» par la Chambre correctionnelle de Dakar et relaxée pour le délit d’appel à l’insurrection. C’est par la suite qu’une nouvelle procédure a été enclenchée contre la jeune dame. Falla Fleur est en détention depuis le 7 juin dernier, suite à ses publications sur sa page Facebook.

Senenews

Bignona: Des braqueurs ouvrent le feu sur les passagers d’un véhicule de transport en commun

C’est une scène digne d’un film hollywoodien qui s’est déroulée, ce mardi 05 décembre 2023, sur la route Biti – Mongole, dans le Nord-Sindian, dans le département de Bignona.

En effet, des braqueurs ont ouvert le feu sur des personnes à bord d’un véhicule de transport en commun. Quatres personnes ont été blessées, selon les informations de iRadio.

Les blessés ont été évacués au centre de santé de Diouloulou. Informée, l’armée est intervenue afin de restaurer la sécurité dans cette zone agitée.

Senenews

Violent incendie au marché de Ziguinchor: « la présence de bouche d’incendie nous ont permis de… » Erasme SAMBOU commandant du groupe d’incendie et de secours

Dernière minute : La date de l’audience spéciale sur la radiation de Sonko des fichiers électorales fixée

Après la décision de la Cour suprême qui a cassé et annulé la décision du juge Sabassy Faye concernant la réintégration de l’opposant Ousmane Sonko dans les listes électorales, la date de l’audience spéciale visant à examiner la requête aux fins d’annulation de sa radiation est fixée.

L’audience spéciale prévue pour examiner la requête aux fins d’annulation d’une mesure de radiation des listes électorales de Monsieur Ousmane SONKO est fixée au mardi 12 décembre 2023 à 08 heures 30 minutes à la salle 4 du Palais de justice Lat Dior, lit-on dans un communiqué rendu public.

Pour contester sa radiation des listes électorales suite à la décision du juge qui l’a condamné dans l’affaire Sweet beauté l’opposant à l’ex-masseuse Adji Sarr, Ousmane Sonko a reçu un revers judiciaire le 17 novembre dernier.

En effet, la Cour suprême, saisie par l’agent judiciaire de l’Etat d’un recours, a cassé le jugement du tribunal de Ziguinchor qui remettait l’opposant, emprisonné pour plusieurs chefs d’inculpation, dans la course à l’élection présidentielle du 25 février 2024, estimant que l’affaire allait être rejugée devant le tribunal hors classe de Dakar.

La requête en procédure accélérée du rabat d’arrêt introduite par ses conseils a également été rejetée par la juridiction suprême .

Senenews

Drame à Yenne : Un étudiant meurt en plein match de football

Un match de football a viré au drame, au terrain municipal de Yenne. Un joueur s’est écroulé, dimanche dernier, en pleine compétition. Ses coéquipiers ont tenté de le réanimer, en vain. M. M. NDiaye est finalement décédé au cours de son évacuation dans une clinique de la place. Selon des sources de Seneweb, il s’agirait d’un étudiant âgé de 23 ans.
Suite à ce drame, les gendarmes de la brigade de Yenne ont ouvert une enquête. Il ressort de l’autopsie sollicitée par les hommes du major Habib Ndiaye, que M. M. NDiaye a succombé à un arrêt cardiaque. Mais le dossier n’est pas encore bouclé par les enquêteurs

Seneweb

Contentieux foncier aux Almadies : Le collectif «Ngor Debout» s’oppose à l’appropriation d’un espace public

Un différend territorial menace de faire des vagues dans le quartier littoral des Almadies à Dakar. Au cœur de la controverse se trouve un parking, où deux Sénégalais se disputent le contrôle de l’espace. Cependant, la situation pourrait s’envenimer rapidement, comme l’ont laissé entendre les membres du collectif ‘Ngor Debout’ lors d’une conférence de presse tenue hier, selon le site d’information Walf-groupe.com.

Les membres du collectif, résidents de la zone, s’opposent fermement à ce que leur espace soit usurpé par des individus étrangers à la communauté. Ils contestent le tracé des limites entre un restaurant et le parking en question, et espèrent trouver une solution pour résoudre ce conflit. Ce n’est pas la première fois que la zone Ngor Almadies est le théâtre de contentieux fonciers.

En mai 2023, une querelle concernant la construction d’une brigade de gendarmerie sur le parking, alors que la commune plaidait pour l’érection d’une école, avait dégénéré en affrontements violents. Le bilan avait été lourd : nombreux blessés et une perte tragique, celle d’Adji Diallo, une jeune fille de 17 ans.

Sanslimites

Le journaliste Assane Gueye à Me Moussa Diop : « Vous n’avez pas de conviction…Vous avez commis des fautes.. »

Les questions de Assane Gueye ont fâché Me Moussa Diop. Le journaliste est allé trop loin avec des mots choquants à l’endroit de l’ancien directeur de Dakar Dem Dikk. Le candidat déclaré à l’élection présidentielle 2024, très en colère, a tenté d’apporter des précisions.

La tension monte

« Me Moussa Diop n’a pas beaucoup de chances pour l’élection présidentielle. Il a commis beaucoup d’erreurs lors de son passage à Dakar Dem Dikk. Il a spolié l’assiète foncière en donnant ça à l’Apr. C’est une faute. Les bijoux de famille, on les garde. Il a aussi fait une grosse erreur de communication sur Ila Touba. Il fait trop de régionalisme. Ce qui est dangereux et grave…« , a déclaré Assane Gueye.

Le journaliste semble être courageux de ses propos. « Me Moussa Diop, vous êtes de l’opposition ou vous avez une position bancale. Je pense que vous n’avez pas de conviction. Quand vous étiez au pouvoir, tout était rose. Et aujourd’hui, vous êtes de l’autre coté, vous critiquez…Je pense que vous n’avez pas de conviction…Les Sénégalais ne vont pas voter pour vous… », a-t-il rétorqué, sur le plateau de Itv, dans l’émission « Retour sur l’actualité (RSA) » animée par le journaliste Baba Ndiaye.

Les explications Me Moussa Diop qui ne rassure pas!

Me Moussa Diop, pour sa part, en colère, demande au journaliste de lui donner les preuves de ce qu’il avance… »Moi, je parle d’un dossier de spoliation foncière. Moi je suis un juriste. Si je veux par mon projet que le Sénégal se développe, il faut qu’on fasse ce qui doit être. Et ce qui doit être c’est le droit. Mais pour ce dossier, Assane n’a pas les données« , a fait savoir l’ancien directeur de Dakar Dem Dikk.

Me Moussa Diop fait dans la précision. « Sur ce dossier, l’assiette appartient à Dakar Dem Dikk. J’ai respecté toute la procédure en demandant à qui de droit. Le conseil d’administration a validé…Les gens sont venus pour respecter ce qui a été fait. Ce n’est pas l’Apr seulement qui a acheté. Il y a aussi une banque qui a acheté. Je ne suis pas dans le commentaire.Tous ont acheté aux mêmes conditions... », a-t-il dit.

Senego

Condamnation à payer 1,1 milliard : La Sonatel conteste le blocage de ses comptes bancaires, le juge a tranché

Condamnée à payer la somme de 1,1 milliard Fcfa à la start-up Interface Sas, la Sonatel ne s’est toujours pas exécutée. A la demande de Interface, les comptes bancaires de l’opérateur téléphonique ont été bloqués. Ce que l’opérateur a contesté devant la justice, mais n’a pas totalement obtenu gain de cause.

La société d’ingénierie (Interface Sas), qui avait développé un procédé sous la marque Beinday, avait signé un accord de confidentialité avec la Sonatel. Quelque temps après, Interface Sas avait constaté que la Sonatel avait copié le process, malgré l’accord de confidentialité et en dépit du brevet d’invention décerné par l’organisation africaine de la propriété intellectuelle au PDG d’Interface Sas, Maguette Sylla.

Après une plainte, la Sonatel avait été condamnée à payer 1,1 milliard Fcfa à la société d’ingénierie pour violation des droits de la propriété intellectuelle (600.000.000 Fcfa à titre de manque à gagner et toute cause de préjudice confondue et 500.000.000 Fcfa au titre du préjudice subi).

Pour récupérer son argent, Maguette Sylla a fait bloquer les comptes de la Sonatel ouverts à Attijari, Bhs, Bicis, Société générale, Ecobank, Boa, Orabank, Bnde et Banque Atlantique Sénégal. Une procédure attaquée par la Sonatel qui n’a pas obtenu totalement gain de cause, rapporte Pressafrik.

En effet, ce lundi 4 décembre, le juge des référés a rejeté l’argument de la Sonatel qui plaidait la nullité de l’exploit de dénonciation. N’empêche, la saisie a été cantonnée au compte de la Sonatel ouvert dans les livres de la Société générale. Aussi, le juge a ordonné par conséquent la mainlevée des saisies pratiquées sur les autres comptes Sonatel. Pour autant, le tribunal a ordonné l’exécution provisoire de la décision.

Senenews

Nécrologie : La presse sénégalaise endeuillée avec le décès d’un Doyen

Le monde de la presse nationale est en deuil suite au décès hier à Rufisque du Doyen Mame Ongué Ndiaye. Cet homme a indéniablement été l’une des plus belles plumes du Sénégal. Il a exercé son métier à travers les différentes époques du Sénégal, depuis l’indépendance jusqu’à nos jours.

Il a exercé son métier sous les régimes de Senghor, Diouf, Wade et Macky Sall. Mame Ongué Ndiaye s’est particulièrement illustré en tant que journaliste militant, occupant les fonctions de Directeur de Publication et de Rédacteur en chef de « L’Unité », l’organe central du Parti socialiste sous la présidence de Léopold Sédar Senghor et Abdou Diouf. Il avait maintenu une collaboration avec certains journaux privés locaux avant de se retirer complètement dans sa vieille ville, où il aimait raconter l’histoire politique qui y était riche.

Selon le journal « Le Témoin », il aimait rappeler qu’il siégeait aux instances supérieures du Parti, étant souvent convié aux réunions du bureau politique par le président Senghor lui-même. Mame Ongué Ndiaye collaborait avec des cadres du Parti socialiste, tels que le regretté Premier ministre Habib Thiam, ainsi que des ministres tels que Jacques Baudin, Thierno Bâ et Doudou Sine.

Ces dernières années, malgré sa maladie, il continuait à fréquenter les lieux publics de Rufisque et profitait de chaque occasion pour porter un regard critique sur le travail de ses jeunes confrères.

Senenews

Grogne dans la fonction publique

Ils sont plus de 800 citoyens Sénégalais recrutés dans la fonction publique mais qui attendent encore leur formation. Mais l’Etat semble les oublier car depuis leur entretien, ils n’ont franchi aucune autre étape. D’ailleurs, ces 800 nouvelles recrues de la fonction publique ont déjà établie une stratégie afin de passer à l’étape supérieure pour avoir gain de cause.

Sous l’anonymat, l’une des recrues de la fonction publique confie avoir travailler dans le bénévolat depuis plus de 20 ans. « C’est récemment que le ministère de la fonction publique et de la Transformation du Secteur public nous a recruté« . Après cette étape, détaille t-il, « nous devrions subir une formation et on s’est inscrit depuis des mois. Après que les agents du ministère de la formation publique nous ai demandé de rester à l’écoute au mois d’aout, nous n’avons plus eu de leur nouvelle« .

Plus de quatre mois que plus de 800 citoyens attendent dans l’espoir d’avoir un travail. Pour la plupart des enseignants, ces recrues trouvent inadmissible que le pays ait un déficit d’enseignants alors que , « nous sommes des enseignants qui courent toujours derrière l’Etat pour être formé« .

Ces recrues de la fonction publique semblent avoir assez attendu car leurs grognes va très bientôt se transformer en action si les autorités s’entêtent à faire le sourd, ajoutent-ils.

Senenews

Réception des logements de la cité Baraka : “L’objectif d’un Sénégal zéro bidonville est atteignable” (Macky Sall)

Le Président de la République, Macky Sall, a déclaré, ce mardi 5 novembre, que “l’objectif d’un Sénégal zéro bidonville avec l’accès au logement au plus grand nombre est une perspective atteignable”. Le chef de l’État s’exprimait lors de la cérémonie de réception de la Cité Baraka à Liberté 6. 
“La réception aujourd’hui de ces logements est un pas important dans la concrétisation de notre conviction qu’il est possible de transformer un bidonville en un quartier moderne où les populations concernées y sont relogées », a ajouté Macky Sall. 

La nouvelle cité Baraka est constituée d’un complexe de onze immeubles dont deux cent dix appartements pour les populations impactées et régis selon les règles organisant la copropriété au Sénégal, ainsi que soixante appartements à usage commercial. 
Il intègre aussi une mosquée, un centre de formation, une case de santé, une école élémentaire et un cyber pop.

“Pour réaliser le projet, l’Etat du Sénégal a cédé, à titre gratuit, l’assiette du terrain, exproprié les propriétaires de baux privés pour les intégrer à l’assiette du projet”, a rappelé Macky Sall.
Le chef de l’État a invité les populations de Baraka à bien prendre soin de leurs logements : “Ces logements sont à vous. Veillez à en faire bon usage pour relever le défi de l’entretien. J’engage toutes les parties prenantes au respect des obligations stipulées dans les contrats signés, y compris le paiement régulier des frais de participation symbolique aux charges d’entretien et de gestion des immeubles”.

Seneweb

Matam : le Saems et le Cusems observent une grève totale et exigent le départ de l’inspecteur

En désaccord avec l’inspecteur de l’académie, les enseignants de la région de Matam ont mis leur menace de grève en exécution. Ils exigent, en plus du refus d’entrer dans les salles de cours, le départ de Mbaye Babou, leur autorité académique avec qui ils ne sont plus en odeur de sainteté.

Ils ont été surpris de voir des ponctions sur leurs salaires de la fin de ce mois, en réponse à la grève contre le redéploiement d’un des leurs, le mois dernier. Les enseignants de Matam, réunis autour des syndicats Saems et Cusems, observent une journée de grève ce mardi 5 décembre 2023 pour dénoncer les pratiques de leur autorité académique.

Dans le communiqué conjoint dont SeneNews a une copie, les camarades de Djibril Doumbouya (Saems) et Mamoudou Sy (Cusems) s’insurgent contre les « ponctions abusives et répétées sur les salaires des agents, les redéploiements abusifs et arbitraires faisant fi des principes sacro-saints des règles de gestion démocratique du personnel, la discrimination et les accusations infondées à l’endroit de son personnel par des lettres-circulaires impopulaires ; des dysfonctionnements dans le pilotage des PHARES ».

En sus de la restitution des sommes défalquées sur leurs salaires, les enseignants de Matam exigent « le départ de Monsieur l’Inspecteur d’académie au regard des nombreuses difficultés et autres perturbations occasionnées depuis son arrivée à la tête de cette académie ».

Pour y parvenir, ils comptent sur « le boycott des PHARES et de tout le processus qui l’accompagne (évaluations standardisées au niveau des zones, participation aux cellules zonales, proposition de sujets pour les compositions zonales dans l’académie) » mais également « La restitution de toutes les heures supplémentaires dans l’académie et le refus d’effectuer tous les compléments horaires qui ne respectent pas la distance réglementaire ».

Senenews

Saisie de 3 tonnes de cocaïne : le fils d’un chef d’État dans le coup

L’enquête sur cette prouesse de la marine nationale livre ses premiers secrets. Les conclusions de l’Ocrtis, reprises par L’Observateur dans son édition de ce mardi, peuvent être résumées en cinq points.

1. Identités des suspects

Dix personnes ont été arrêtées dans le cadre de l’enquête qui a suivi la saisie de 2975 tonnes de cocaïne par la marine nationale. Il s’agit du Sénégalais Mamadou Bathia, des Bissau-Guinéens Joaquim Lopes Dos Reis Simoes et Alcali Gomies, du Portugo-Capverdien Domingos Da Costa, du Colombien Rogelio Valiencia Vergara et des Nigérians Innocent Onyejekwe, Elijah Udo Esetang, Godstime Ugnorugbo, Amacchi Leo Nkwocha et Ezekiel Tumbiri. Ces derniers constituaient l’équipage du «Ville d’Abidjan», le navire à bord duquel la drogue a été trouvée la nuit du dimanche 26 au lundi 27 novembre, à 150 kilomètres au sud de Dakar.  

2. Lourdes charges  

Les dix personnes arrêtées à bord du navire qui transportait les trois tonnes de cocaïne saisies par la marine nationale, ont été présentées au procureur lundi dernier, mais elles ont fait l’objet d’un retour de parquet. Elles sont poursuivies pour association de malfaiteurs, détention aux fins de trafic international de drogue par vecteur maritime en groupe criminel organisé, blanchiment de capitaux, aide ou assistance dans une entreprise de trafic international et faux et usage de faux.

3. Itinéraire de la cocaïne

Les trois tonnes de cocaïne saisie par la Marine étaient stockées dans «Ville d’Abidjan». Ce navire, immatriculé à Sao Tomé-et-Principe, a quitté l’Île du Prince, à Bissau, le 11 novembre. Six jours plus tard, il rejoint en haute mer un yacht en provenance de Salvador et transportant la cargaison de drogue dure. Après le transbordement de la marchandise, cap sur Dakar. À 150 kilomètres de la destination, le bateau est intercepté par la marine nationale, qui met la main sur la drogue et les dix membres d’équipage.

4. Fils de…

Les trois tonnes de cocaïne saisies par la marine nationale sur un bateau en provenance de Bissau devaient être livrées en Gambie. Un nommé Jack Holland, recruteur présumé de certains membres de l’équipage du navire, devait récupérer 10% de la marchandise. Parmi les propriétaires de la drogue, l’enquête cite le fils du chef d’État d’un pays ouest-africain et un Hollandais. Les identités de ces derniers n’ont pas été révélées.     

5. Téléphones satellitaires

Après l’interception du bateau contenant trois tonnes de cocaïne, les enquêteurs ont fouillé le navire. L’opération a permis de mettre la main sur 18 téléphones, dont 2 satellitaires, 1 GPS, 2 ordinateurs portables ainsi que de l’argent en franc CFA (160 500), en naira (100), en euro (450) et en dobra (450, monnaie de Sao Tomé-et-Principe).  

Senenews

Ziguinchor, le marché Saint Maurs a pris feu.

C’est ce mardi 5 décembre 2023, aux environs de six heures du matin que les populations habitant aux alentours du marché on constaté une fumée sortir du marché.


Madoumbé Seck pdt régional de lUnacois de Ziguinchor, « C’est tôt le matin qu’on m’a informé qu’une partie du marché a pris feu, ce qui fait mal. Les sapeurs informé, ont pris d’assaut le marché central, ils ont fait travail remarquable. Mais ce qui a rendu difficile leur intervention c’est que le marché est exigus et les entrées sont quasiment bloquées, ils ont du mal a pénétrer à l’intérieur du marché. Les populations ont été d’un grand apport pour l’extinction du feu d’ailleurs il était les premiers sur place. Pour le moment l’on ne pas faire le bilan des destruction, mais des biens sont partis en feu. Tout de même l’on peut réjouir du fait que les sapeurs pompiers ont pu maîtriser le feu et la majeure partie est restée intacte. »

Pour rappel le marché Saint Maurs de Ziguinchor avait entièrement brûlé en le 05 mars 1995.

Le Dakarois Ziguinchor

Le Dakarois

Crédit mutuel du Sénégal : du nouveau dans l’affaire du prêt de 540 millions F CFA

Après la femme d’affaires A. Kounta et le chef de l’Agence Médina du Crédit mutuel du Sénégal (CMS), R. Ngom, une troisième personne vient d’être arrêtée dans le cadre de l’enquête sur le prêt de 540 millions de francs CFA accordée à la femme d’affaires contre une garantie en toc.

D’après Source A, qui donne l’information, il s’agit du bijoutier El Hadji Amadou Guissé. Son rôle, souffle le journal, était de certifier que l’or déposé par A. Kounta au niveau du CMS en garantie de prêt, est authentique.  

C’est ainsi que le bijoutier a confirmé que la femme d’affaires avait bel et bien déposé du métal précieux au CMS pour obtenir son prêt de 540 millions de francs CFA. Mais lorsqu’elle a recouru à une contre-expertise, l’institution financière s’est rendu compte que la garantie était en toc. D’où sa plainte contre Guissé, Kounta et Ngom.

Sene web

Festival alimentaire, à Ziguinchor, le CNCR travaille pour une agriculture adaptée au contexte du changement climatique.

Le 02 décembre dernier fut la date choisie par le CNCR, le conseil national de concertation et de coopération des ruraux pour dérouler son festival dans la commune de Thionk Essil dans le département de Bignona.

« Ce festival a pour vocation essentielle d’amener les sénégalais a comprendre qu’il doivent soutenir y compris les autorités les plus hautes d’accompagner les explications familiale a produire sain suffisamment pour que les communautés sénégalaises puissent se nourrir sain et être sain dans la durée . Et c’est pourquoi au cœur de ce festival alimentaire, il y a cette dimension de zone agro-écologique qui est prise en compte, mais il y a cette dimension de l’entreprise qui est la plus adaptée pour porter ce qu’on a souvent considéré l’agro-écologique qui est une agriculture saine durable soucieuse de l’environnement pour que ces exploitations qui à la fois ont pour mission de nourrir le peuple et de se reproduire pour renouveler le capital humain au sein des familles et au sein des sociétés. » Affirme Abdou Aziz Badji président du cadre régional de concertation des ruraux de Ziguinchor, secrétaire général du FONSE, administrateur du CNCR


Le festival qui a réuni les acteurs a permis de réfléchir sur une nouvelle donne aufin de s’adapter aux exigences de l’heure.


« Ce festival vient nous montrer que nous avons le devoir impératif de repositionner nos pensées et nos comportements pour une agriculture durable et saine. Par ce que nous avons senti qu’avec la menace du changement climatique, les perturbations qu’on entrain de suivre, les crises sociales et politiques qu’on est entrain de vivre, la pauvreté qui est entrain d’avantage d’agresser nos exploitations familiales et les sociétés sénégalaises, si on y s’y prend pas garde notre avenir est hypothéqué. C’est pourquoi ce festival a pour mission de sensibiliser à la fois les agriculteurs et les sociétés et services, a ce que l’on engages une agriculture qui puisse nourrir sainement la communauté sénégalaise dans sa globalité. Donc à la fois, ça répond à l’autosuffisance alimentaire mais à la souveraineté alimentaire qui doit être une souveraineté basée sur des questions de sainteté, le consommé local dans la durée et dans la sainteté »


Le festival alimentaire est institué dans les documents officiels du CNCR (Conseil National de Concertation et de Coopération des Ruraux), ce qui voudrait dire chaque année ce festival sera organisé au niveau national et dans une zone agro-écologique du Sénégal, cette édition est la sixième des cinq éditions passées.

[EXCLUSIF] Keur Massar: 2 milliards FCFA en faux billets saisis, deux hommes arrêtés

La Brigade de Recherches (BR) de la compagnie de Gendarmerie de Keur Massar vient de réaliser un nouveau grand coup de filet dans la banlieue dakaroise. Selon des informations exclusives de Seneweb, les éléments de cette unité ont procédé à la saisie de billets noirs d’une contre-valeur de 2 milliards francs cfa. Un ressortissant gambien et un sénégalais ont été arrêtés hier dimanche. Détails !

N’eût été la vigilance et la persévérance des gendarmes de la Brigade de Recherches (BR) de Keur Massar, deux milliards francs CFA en billets noirs allaient être lavés puis écoulés sur  le marché. Les éléments de cette unité d’élite ont réussi à mettre la main sur les auteurs de ce trafic de faux billets.

Comment la BR de Keur Massar a réussi cette prouesse

Tout a commencé lorsque les hommes du Major Abdou Aziz Kandji ont été informés de l’existence d’un vaste réseau de faux-monnayeurs. Séance tenante, les gendarmes ont réussi à infiltrer cette mafia. Le cerveau, M.T, de nationalité gambienne et son compère de nationalité sénégalaise, B.C, ont voulu laver leurs billets noirs, selon des sources de Seneweb. L’agent infiltré a, alors, fixé un rendez-vous à ces faux-monnayeurs.

2 milliards francs cfa en billets noirs saisis

C’est dans ces circonstances que le duo incriminé a été arrêté hier dimanche. Les gendarmes de la Brigade de Recherches (BR) ont procédé hier à Keur Massar, à la saisie de 2 milliards FCFA en billets noirs.

Le businessman M.T et le technicien en génie civil B.C placés en garde à vue

Le technicien en génie civil B.C et le ressortissant gambien M.T sont en garde à vue dans les locaux de cette unité de la compagnie de Gendarmerie de Keur Massar pour les besoins de l’enquête.

Semaine nationale de la petite enfance : Macky Sall appelle à la culture de la paix dès le berceau

A l’occasion de la Semaine nationale de la petite enfance et de la case des tout-petits, le Président de la République a adressé un message fort aux parents ainsi qu’au corps professoral.  « Cultivons la paix dès le berceau ! La Semaine Nationale de la Petite Enfance et de la Case des Tout-petits célèbre les valeurs d’éducation à la paix dès le plus jeune âge », lance le Chef de l’Etat.  

 Ouverte ce lundi 4 décembre jusqu’au 11 sur toute l’étendue du territoire national, la 17eme édition    est centrée sur « L’éducation dès le la petite enfance ». 
Ainsi, Macky Sall appelle à la culture de la paix, la tolérance, le dialogue et l’amour pour un monde meilleur pour nos tout-petits. Car ajoute-t-il, « l’avenir de nos enfants interpelle notre Nation »

France: Dix associations d’étudiants sénégalais réclament la réouverture de l’UCAD

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Education

France: Dix associations d’étudiants sénégalais réclament la réouverture de l’UCAD

La situation actuelle de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD)  continue  de préoccuper les populations. C’est le cas d’une coalition de dix associations sénégalaises basées en France. En effet, pour des raisons de sécurité l’université a été fermée. Cela, depuis les émeutes des 1er et 2 Juin 2023 qui ont entraîné des dégâts considérables.
Dans un communiqué, ces étudiants sénégalais en France, au même titre que leurs camarades au Sénégal, estiment que « l’accès à l’éducation et à l’enseignement supérieur ne doit en aucun cas être relégué au second plan et sont conscients de l’enjeu qu’il représente pour l’émergence de notre société ». C’est pourquoi, disent-ils dans le document, qu’ils sont « unis dans la volonté de voir l’UCAD rouvrir ses portes dans les plus brefs délais et dans des conditions totalement inclusives des personnes en situation de handicap et de garantir la poursuite de l’année universitaire 2022-2023 ».
Par ailleurs, ils demandent »aux autorités compétentes de prendre rapidement toutes les mesures nécessaires pour assurer la sécurité des étudiants et du personnel universitaire, tout en veillant à ce que l’accés à l’éducation supérieure ne soit pas compromis ». 
Non sans condamner « la violence et la destruction des biens matériels, patrimoines et archives de l’université pour des raisons politiques et appeler à une sensibilisation active des étudiants, qui doivent distinguer leur lieu d’exercice idéologique et leur lieu d’apprentissage, sur leur rôle en tant qu’apprenants et futurs acteurs du développement du Sénégal.
« Cette situation difficile incite certains jeunes à envisager l’émigration irrégulière comme une alternative pour trouver de meilleures opportunités ailleurs », ajoute le texte.
En outre, ces étudiants  attirent également l’attention de la communauté internationale sur la situation de l’éducation supérieure en Afrique. »L’Objectif de Développement Durable relatif à l’éducation doit être soutenu par des investissements plus importants pour renforcer les opportunités d’éducation, de formation et d’emploi au Sénégal, afin de donner aux jeunes des perspectives d’avenir et de réduire les incitations à l’émigration irrégulière » ont-ils conclu.

seneweb

Les Mamelles Jaboot : 12 agents arrêtés après le vol de 104 millions F CFA

Le limier en chef du commissariat de Diamaguène Sicap-Mbao et ses hommes ont démantelé une grosse mafia aux Mamelles Jaboot.Des employés de cette sociétésituée à Sicap-Mbao détournaient des produits qu’ils bazardaient dans le marché. L’affaire s’est ébruitée lorsque le directeur général a été informé que  des produits de la société sont en train d’être détournés frauduleusement par ses employés. Le patron de cette grande sociétéindustrielle du secteur de l’agrobusiness au Sénégal a mené une enquête interne. Et c’est pour constater un trou de 104 millions F CFA. Il dépose alors une plainte sur la table du procureur de la République pour vol, abus de confiance et recel à l’encontre des nommés  P. D., J. B., J. T., B. B. et X. Le chef du parquet de Pikine-Guédiawaye transmet le dossier au chef de service du commissariat de Diamaguène Sicap-Mbao pour enquêter et procéder à l’arrestation de toutes personnes impliquées.

C’est ainsi que les hommes du commissaire Ousmane Diop ont entendu l’auteur de la plainte. Le PDG des Mamelles Jaboot a évalué les pertes à 104 millions F CFA. Pour lui, ses employés incriminés ont coupé 197 bons de transfert de produits finis pour brouiller les pistes.

Les aveux sur procès-verbal

L’enquête policière a permis de mettre la main sur 12 agents.   J. T., B. B., G. M., M. G., E. D., L. I. N., J. C., M. D., M. T., N. S., O. S. et S. N.,  ont fini par avouer les faits. « M. G. reconnait les faits en déclarant qu’il a effectivement déchiré des factures dans ses carnets de facturation, ceci, après avoir commis des erreurs dans les factures concernées. Par contre, les nommés J. T., B. B., J. B. et P. D. sont à l’origine des manquants des produits finis, de connivence avec les commerciaux. Ils ont réussi à faire sortir des produits depuis un bon moment en les vendant dans le circuit normal de la société et se sont partagé les gains issus de ce deal », confient des sources de Seneweb proches du parquet.

Interrogé à nouveau, J. T. a finalement reconnu son implication dans cette soustraction frauduleuse constatée au sein des Mamelles Jaboot, entre janvier et septembre 2023. Il précise qu’il a eu à déchirer plusieurs bons de transfèrement de produits finis au lieu de les transmettre au service commercial, sciemment, pour échapper au contrôle effectué par le service sur les produits.

J. T. appelait les commerciaux sur le terrain pour leur proposer ces produits. Comment ? En les défalquant sur les marchandises vendues et en retour, ils se partageaient les gains obtenus indument avec les autres magasiniers, notamment les nommés J. T., B. B., J. B. et P. D., sans oublier la part du commercial concerné qui est au courant du circuit emprunté par ces produits pour ne pas dire qu’il était impliqué dans cette soustraction frauduleuse.

De plus, J. T. a confié que tous les magasiniers étaient au courant de ce trafic, de même que les commerciaux E.D., I. N., J. C., M. D. M. T., N. S., O. S. et S. N.

Au terme de l’enquête policière, les 12 agents de la société Les Mamelles Jaboot ont été déférés au parquet pour association de malfaiteurs et vol en réunion au préjudice de leur employeur.

3 millions emportés à Touba: Nouvelles révélations sur le braquage de l’entreprise Henan Chine

De nouvelle révélations sur l’affaire du braquage spectaculaire perpétré dans  la base de l’entreprise Henan Chine située à Touba sur la route de Darou Mousty. Selon nos sources, une dizaine de malfaiteurs ont trompé la vigilance des vigiles préposés à la porte centrale.


Le film du braquage spectaculaire !
Ces assaillants ont escaladé le mur d’arrière avant d’accéder à l’intérieur où ils ont surpris un seul vigile. Ce dernier a été aussitôt ligoté, d’après des témoignages recueillis par Seneweb.
Les bandits lourdement armés ont entamé la fouille des locaux pour rechercher de l’argent. Ils ont défoncé puis dépouillé deux coffres-forts avant d’emporter une somme évaluée à 3 millions F CFA, d’après des sources proches de l’enquête.
Pourquoi le cuisinier chinois a reçu une balle
Ayant entendu le bruit dans la nuit du vendredi au samedi vers 03h du matin, un cuisinier de nationalité chinoise s’est levé de son lit pour s’enquérir de la situation.
Un des bandits a, alors, ouvert le feu sur lui. Il a été blessé par la balle de plomb. Évacué au centre hospitalier national Cheikh Ahmadou Khadim de Touba, le ressortissant chinois a été transféré à Dakar pour extraire complètement les résidus de tir dans son corps, sur la demande de ses proches.
L’enquête ouverte par la gendarmerie suit son cours !   

seneweb

Ziguinchor, le conseil régional de la jeunesse veut lutter contre les violences électorale.

Le conseil national de la jeunesse de Ziguinchor a tenu hier samedi 02 décembre, un grand forum de sensibilisation sur les violences électorale, ceci en partenariat avec la Fondation Konrad Adenauer

« Nous sommes ici en partenariat avec la Fondation Konrad Adenauer pour organiser ce premier forum de sensibilisation des jeunes sur les violences électorale. » à fait savoir khadim Diop président du conseil national de la jeunesse. »

Pour lui les jeunes sont les acteurs et victimes de toutes les formes de violences liées à l’élection présidentielle « raison pour laquelle le conseil national de la jeunesse a décidé d’organiser ce forum pour les sensibiliser par rapport à ces violences là. Les jeunes représentent plus de 75% des populations et nous avons des responsabilités avant pendant et après les élections raison pour laquelle nous sommes là pour sensibiliser l’ensemble des démembrements du conseil régional de la jeunesse au niveau de la région de Ziguinchor mais aussi inviter les jeunes des partis politiques et coalitions de partis pour faire des recommandations locales mais aussi des autorités nationales pour maintenir la paix autour de la région de Casamance. » A-t-il précisé

Le travail de sensibilisation a démarré depuis les inscriptions sur les listes électorales en passant par le parrainage, toutefois il précise, « Nous devons tout faire pour analyser les programmes des différents candidats pour que ces candidats là puissent prendre en compte les préoccupations de la jeunesse sénégalaise et parmi mes préoccupations de la jeunesse sénégalaise nous avons l’emploi et l’insertion des jeunes. Chaque année plus de trois cent mille jeunes sortent des écoles de formation et des universités publiques. »

« Nous avons aussi le défi de la migration irrégulière aujourd’hui nous demandons aux futurs candidats à l’élection présidentielle de 2024 d’apport des solutions pour éradiquer ces fléaux. Il y a aussi la participation des jeunes aux instances de prise de décisions, nous sommes 75% de la population mais si vous allez dans les instances de prise de décisions nous représentons moins de 1%. C’est la raison pour laquelle nous voulons pousser à l’élection présidentielle d’adopter le projet de loi instituant un quotas d’au moins 30% dans les assemblées électives et semi électives. D’abord la jeunesse doit se mobiliser pour analyser les projets et programmes et non pas pour aller vers des violences, je pense qu’aujourd’hui les jeunes sénégalais sont conscients de leur rôle et leur représentativité. » 

Le conseil national de la jeunesse demande à tous les jeunes de se mobiliser pour que les préoccupations des jeunes soient prises en compte au niveau des projets de programmes et non pas pour aller faire la violence lors de la campagne électorale, mais aussi sensibiliser au respect des engagements aux différents candidats à l’élection présidentielle.

« Une de nos axes stratégiques c’est la participation et la représentation entre autres nous avons encore deux autres, c’est la décentralisation et la sécurité mais dans cet aspect de participation et de représentation. Il est important d’entendre la jeunesse qui représente un grand lot de la population sénégalaise donc, se sont eux qui vont participer aux élections aussi en se formant. Le conseil national de la jeunesse c’est un partenaire de la fondation depuis 2018, il s’inscrit justement dans toutes les politiques de la jeunesse donc c’est pour ça cela va de soi participation et représentation le conseil national de la jeunesse qui justement s’approche beaucoup avec son projet de loi mais aussi avec tous les programmes étatique pour améliorer les conditions de la jeunesse au Sénégal » affirme Caroline Hauptmann représentante résidente de la Fondation Konrad Adenauer.

Braquage à Touba : 3 millions FCfa emportés, un chinois atteint par balle

Des individus lourdement armés ont fait irruption dans la base de l’entreprise Henan Chine située à Touba sur la route de Darou Mousty.
Les malfaiteurs ont tiré des coups de feu pour commettre  leur forfait. Un cuisinier de nationalité chinoise a été atteint par balle. Il a été évacué à l’hôpital.

Selon des sources de Seneweb proches du dossier, les braqueurs ont emporté presque trois millions de francs CFA  lors de cette attaque à main armée perpétrée dans la nuit du vendredi à samedi vers 03h du matin. Les bandits ont occasionné des dégâts matériels dans cette base de l’entreprise Henan Chine.

Informée du braquage, la gendarmerie a effectué le constat avant d’ouvrir une enquête.

CICES : la gendarmerie tâte le terrain pour une bonne couverture sécuritaire du FIDAK

A une semaine de l’ouverture de la 31e Foire Internationale de Dakar, la gendarmerie nationale a procédé ce samedi à sa traditionnelle visite de terrain au CICES. Une reconnaissance des lieux pour assurer une bonne couverture sécuritaire de la 31e édition de la Foire Internationale de Dakar (FIDAK) prévue du 07 au 31 décembre 2023. 

La gendarmerie, qui collabore depuis longtemps avec le CICES, va déployer les gros moyens pour assurer la sécurité des personnes et de leurs biens aux alentours et à l’intérieur de la foire avec des ressources humaines en quantité suffisante. 

Des mesures qui ont rassuré le Directeur Général du CICES, Dr. Salihou Keita, qui accorde une importance capitale à la bonne gestion des airs de parking pour une bonne fluidité de la circulation. 

M. Keita a donné des assurances aux forces de l’ordre pour faire convenablement leur travail.

Plainte de Mimi Touré : la réplique de Yaxam Mbaye

Ce sera plainte contre plainte. Le Directeur de publication du quotidien national Le Soleil porte la réplique à l’ancien Premier ministre, Aminata Touré. Celle-ci a saisi la justice pour diffusion de fausses nouvelles. La candidate de la coalition « Mimi 2024 » reproche à Yaxam Mbaye sa Une titrant « Amadou Ba est à 3 782 052 parrains ». Cette information ne reflète pas la réalité, accuse l’ancienne présidente du Conseil économique, sociale et environnemental (Cese) et ex Envoyée spéciale du chef de l’État, Macky Sall, invoquant l’article 255 du Code pénal. Qui stipule : « la publication, la diffusion, la divulgation ou la reproduction, par quelque moyen que ce soit, de nouvelles fausses, de pièces fabriquées, falsifiées ou mensongèrement attribuées à des tiers, sera punie d’un emprisonnement d’un à trois ans et d’une amende de 100 000 à 1 500 000 F CFA. »
Le journaliste n’a pas tardé à répondre. Il n’exclut pas d’actionner à son tour le parquet contre Mimi Touré pour diffusion de fausses nouvelles jetant le discrédit sur « les justes nouvelles » qu’il affirme avoir diffusées, souligne L’Observateur de ce samedi 2 décembre. 
« Depuis cette annonce, j’ai posé à nombre d’interlocuteurs la question que voici : quand est-ce que l’ancien Premier ministre, ancien ministre de la Justice, Garde des Sceaux, ancien membre du Secrétariat exécutif national (Sen) est revenue au sein de la formation politique qui l’a fait connaître des Sénégalais pour entrer en possession des vrais chiffres de collecte de parrainages de la coalition présidentielle, Benno Bokk Yakaar (BBY) et ainsi pouvoir prétendre me démentir ? », ironise Yaxam Mbaye, pointant du doigt « l’incohérence » de son accusatrice. 

Le procès de Oustaz Oumar Sall renvoyé

Initialement prévu ce 1er décembre au tribunal de la grande instance de Dakar, le procès du prêcheur Oumar Sall a été renvoyé jusqu’au 8 décembre 2023.

Le célèbre prêcheur a été arrêté le 17 novembre 2023 et placé en garde à vue par la Division spéciale de cybersécurité de la police nationale à la suite d’une plainte de disciples Tidianes.

Oustaz Oumar Sall est poursuivi pour des faits de diffamation et insulte commis par le biais d’un système informatique et provocation par un moyen de diffusion publique d’actes d’intolérance entre des personnes.

Madiambal Diagne : “Comment je suis devenu riche…”

Dans un portrait que lui consacre Jeune Afrique, Madiambal Diagne lève le voile sur sa trajectoire personnelle. On y découvre des anecdotes croustillantes comme la manière dont le patron du groupe de presse Avenir Communication a acquis sa richesse. 

En 1996, Madiambal Diagne travaille pour la branche sénégalaise de l’USAID, avant que son contrat ne soit rompu par son son employeur. Le journaliste décide alors de saisir la justice américaine. 

En 1999, l’administration américaine reconnaît sa faute et lui propose un règlement à l’amiable. Jackpot !

« Ils m’ont proposé une transaction, qui était à mon avantage, et je suis devenu subitement un homme riche», raconte-t-il à nos confrères. 

Madiambal Diagne ne dit pas cependant le montant de la somme reçue. Mais elle était suffisamment rondelette pour lui permettre d’acheter un immeuble qu’il mettra en location, de construire sa propre maison et de fonder le journal Le Quotidien.

Dette et Justice climatique : Macky Sall porte-voix de l’Afrique à la Cop28

 Le Président de la République, Macky Sall, a proposé la “réorientation des ressources prévues pour le remboursement de la dette vers le financement de l’action climatique”, ce vendredi 1 décembre à Dubaï dans le cadre de la Cop28. M. Sall s’exprimait lors d’une réunion sur le financement de l’adaptation pour l’Afrique. 

“Les pays africains s’endettent pour financer leurs projets verts, ce qui constitue une double peine pour le continent qui pollue le moins, a déclaré Macky Sall. L’Afrique ne demande pas une faveur particulière mais une approche juste et équitable de la lutte contre le réchauffement climatique”. 

“Quand nos pays sont appelés à renoncer aux schémas pollueurs que d’autres ont empruntés pendant plusieurs siècles pour mettre la planète dans son état d’urgence actuel, il est juste qu’en contrepartie, le coût de l’adaptation soit équitablement partagé”, a-t-il souligné.

Poursuivant son plaidoyer, Macky Sall a relevé que les pays africains “ne doivent pas être condamnés à choisir entre le développement et la protection de l’environnement. Le bon choix, c’est se développer en protégeant l’environnement”.

Il appelle ainsi à une mobilisation effective du financement international de l’adaptation aux risques climatiques dans les pays en développement, soit 40 milliards de dollars d’ici 2025, comme convenu à la COP26 de Glasgow

“Nos pays ne doivent pas être condamnés à choisir entre le développement et la protection de l’environnement. Le bon choix, c’est se développer en protégeant l’environnement”, a-t-il lancé.

Suppression de la 3e tranche de woyofal : Le régulateur donne le feu vert à Senelec

Le ministre du Pétrole et des énergies avait annoncé une suppression de la troisième tranche de Woyofal. Pour matérialiser la mesure, la Senelec a soumis une nouvelle grille tarifaire à la Commission de Régulation du secteur de l’Energie (Crse) qui validé ladite grille. À présent la mesure entre en vigueur ce vendredi.

Après avoir saisi la Commission de régulation du secteur de l’Énergie, la Senelec a reçu le feu vert pour pouvoir supprimer la troisième tranche du Woyofal. Dans a décision N° 2023-28 en date du 30 novembre 2023, le régulateur a validé la nouvelle grille tarifaire que Senelec lui a soumise. «Cette nouvelle grille annule et remplace celle appliquée depuis le 1er janvier 2023 pour le post paiement et le 09 janvier pour le prépaiement. Elle entre en vigueur à partir du 1er décembre 2023», indique Mademba Bitteye, Directeur général de Senelec, dans un communiqué de presse.

LUTTE CONTRE LES CONFLITS FONCIERS: Le Procasef dote les communes d’infrastructures numériques et physiques

Le Projet de cadastre et sécurisation foncière (PROCASEF) a engagé la bataille de la sécurisation foncière dans les collectivités territoriales. Il s’agit, à terme, de former tous les acteurs, de mettre en place des infrastructures numériques et physiques pour réduire fortement les conflits. C’est dans cette dynamique que le PROCASEF et la commune de Diender ont signé un protocole d’accord.
Le foncier est un bon levier pour faire décoller économiquement un pays, à travers l’habitat, l’agriculture, l’industrialisation, etc., mais il est aussi souvent source de conflits à n’en plus finir. C’est pourquoi, le gouvernement du Sénégal a consenti de lourds investissements, à travers le Projet cadastre et sécurisation foncière (PROCASEF), pour aller dans le sens de la sécurisation de la gestion de cette ressource stratégique et précieuse. L’objectif à terme est de mettre fin à ce cycle de dérives dans la gestion foncière et tout au moins, le réduire à des proportions suffisamment négligeables.

Les investissements sont à la dimension de cet objectif, car prenant en compte la formation de tous les acteurs, la mise en place d’infrastructures numériques et physiques dans les communes. Il s’agit, selon Alain Diouf, coordonnateur technique du projet, de sécuriser la gestion foncière pour réduire les conflits. C’est dans ce cadre que la commune de Diender vient de signer un protocole d’accord avec le projet, un protocole identique à celui signé, avec les 134 autres communes, qui constituent la zone d’évolution du projet. Pour Alain Diouf, le protocole a pour objectif d’accompagner ces communes à se doter d’infrastructures, surtout dans le domaine des infrastructures numériques et physiques assez robustes, pour leur permettre de jouer leur rôle en matière de sécurisation foncière.Il s’y ajoute un accompagnement pour l’identification de tous les statuts d’occupation, afin de pouvoir déterminer les zones d’habitation, les zones de culture ou d’industrialisation. Il souligne que le PROCASEF, qui est aussi un bras technique du gouvernement dans ce domaine du foncier a déjà formé 147 jeunes et qui vont appuyer les communes et le processus de recrutement de 300 jeunes a aussi commencé, et qui seront ajoutés à cette première cohorte de 147 jeunes.

Kédougou : 100 kg de cyanure saisis à bord d’un taxi par les gendarmes à Kharakheyna

C’est aux environs de 20h, avant-hier nuit, que la police positionnée à Kolia, localité située sur le corridor Dakar – Bamako, a voulu procéder à un contrôle routier sur un taxi. Le chauffeur est passé outre.
 Mais à hauteur du village de Kharakheyna, il sera pris en chasse par les gendarmes. Sachant qu’il risque d’être interpellé, il a abandonné la voiture  et s’est évaporé dans la nature.

La fouille du véhicule par les gendarmes a permis de découvrir deux sacs de 50 kg de cyanure et un sac de 40 kg de charbon destiné à l’orpaillage cachés dans la malle arrière.
 Les gendarmes, qui ont ouvert une enquête, n’ont pas perdu de temps pour identifier le propriétaire du taxi qui habite la ville de Kédougou. 

DES SALAIRES INDÉCENTS AUX ICS : Les recommandations de l’OIT violées au préjudice de braves travailleurs

« Toutes les crises des ICS sont dues à des défauts de management ». Le constat émane de l’Intersyndicale des travailleurs des Industries chimiques du Sénégal (ICS), membre de la coalition nationale des centrales syndicales affiliées à la CSI. À la faveur d’une rencontre avec la presse, elle a magnifié « l’engagement, la détermination et la mobilisation de l’ensemble du personnel, toutes catégories confondues, derrière leurs représentants pour la satisfaction correcte de la demande sociale légitime des vaillants travailleurs après dix ans de rudes sacrifices pour hisser les résultats de l’entreprise à des niveaux jamais égalés ».
Un des responsables syndicaux de l’Intersyndicale, Ousmane Ndiaye, rappelle que « depuis le 22 septembre 2022, l’Intersyndicale avait soumis une plateforme revendicative à la direction générale, avec comme axes principaux la revalorisation de notre traitement salarial (après plusieurs années de stagnation) et la mise en place d’une organisation adéquate pour la pérennisation et la croissance de notre chère entreprise au profit de toutes les parties prenantes dans un partenariat gagnant-gagnant ».

Mais « après la réhabilitation de nos installations, de 2016 à nos jours, la production n’a cessé de croître jusqu’à atteindre 560 000 t de P2O5 en moyenne depuis quatre ans ». Ceci signifie, selon lui, que « nous sommes à la limite des capacités de nos installations. En 2017 et 2018, nous avons fait respectivement 97,8 et 109 % des budgets fixés. Et malgré les mauvais choix techniques qui nous avaient valu des pertes de production de l’ordre de 120 000 t de P2O5 entre 2019 et 2020, nous sommes à une moyenne de réalisation de 93,9 % des objectifs sur les quatre ans, malgré un manque d’effectif notoire et un défaut d’organisation ».
Des performances obtenues grâce à « l’engagement et au dévouement des travailleurs », souligne Ousmane Ndiaye, qui remarque que « les résultats évoqués ci-dessus tant salués par tous les partenaires de l’entreprise et notre ministre de tutelle lors de ses passages à l’Assemblée nationale nous ont valu les félicitations du PCA du groupe Indorama, Prakash Lohia ».
Poursuivant, « de 2014 à 2021, l’entreprise a généré un chiffre d’affaires cumulé de plus de 1 400 milliards F CFA, alors que l’investissement cumulé sur le capital humain ne s’élève qu’à un milliard huit cents millions F CFA, soit 0,12 % en valeur relative ».
« Quel paradoxe ! », s’étranglent les travailleurs, qui rappellent que « le capital humain constitue la première ressource, la meilleure ressource et l’ultime ressource pour une entreprise. Il est à la fois une ressource et un acteur d’où son importance capitale c’est-à-dire stratégique pour l’entreprise ». Ils pensent que « parler des équilibres de l’entreprise en laissant en rade le capital humain, les seules ressources agissantes, n’est pas conforme aux bonnes règles de management et constitue un manque de considération avéré à l’endroit des braves travailleurs ».
Ces derniers, « créateurs de la richesse de l’entreprise, ne font que réclamer des salaires décents, conformément aux recommandations de l’OIT », confie Ousmane Ndiaye, qui rappelle que « le groupe Indorama, dans son Manuel de gouvernance d’entreprise en sa version de 2022 a cité « la Déclaration universelle des Droits de l’homme » et « le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels » qui définissent ce que c’est une rémunération équitable et décente ».
 En outre, en tant qu’entreprise multinationale, Indorama a l’obligation d’appliquer les règles contenues dans « la déclaration de principe tripartite sur les entreprises multinationale et politique sociale ».
L’Intersyndicale des travailleurs des ICS, qui dit n’avoir jamais basé sa demande sur le chiffre d’affaires de 2022, retient que « la plateforme a été déposée le 22 septembre 2022 » et se dit effarée de voir la direction générale « utiliser de bons résultats pour anéantir la demande légitime des travailleurs ».
Et de préciser : « Sur l’équilibre de l’entreprise, la direction générale écarte à tout point de vue l’existence des partenaires sociaux que nous sommes. Nous retenons que c’est avec la souffrance des travailleurs et de leurs familles qu’elle compte rassurer les banques, les partenaires financiers et les fournisseurs. Ceci est indécent ».
L’Intersyndicale appelle les travailleurs à « la vigilance, l’engagement, la mobilisation, pour la réalisation effective de nos légitimes attentes ».

Doudou Ka reçoit la Médaille d’honneur de l’Aéronautique militaire

Le ministre de l’Économie et des Finances, Doudou Ka, a reçu la Médaille d’honneur de l’Aéronautique militaire. L’ancien ministre des Transports aériens a exprimé, sur Twitter, “sa profonde gratitude au Président de la République Macky Sall” et exprimé sa fierté de cette “reconnaissance” qui  vient d’une institution qui incarne les  valeurs les plus élevées de l’idéal républicain: l’Armée nationale”.

“Mais au-delà de ma personne, cette récompense est aussi un hommage rendu à tous les serviteurs silencieux de l’industrie du transport aérien sénégalais et des services de l’économie et des finances du Sénégal”, a-t-il ajouté.

Évacuation des agents de l’ONAS en cas d’urgence : Une ambulance médicalisée mise à la disposition du personnel

Une vieille promesse a été tenue. Le Directeur Général de l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS), Mamadou Mamour Diallo a remis les clés d’une ambulance médicalisée au Directeur des ressources humaines Bamba Fall. Ce dernier les a données à la responsable de l’infirmerie Leticia Kampal madame Boucal.« L’ambulance a été une vieille doléance. Toute entreprise a besoin d’une ambulance. ONAS, au regard de notre cœur de métier, nous devons en avoir. J’ai eu des échanges avec une infirmière qui me disait que ce n’est pas moins de 200 patients qui sont consultés chaque mois à Cambérène et que parfois, il y a des cas qui nécessitent des évacuations », a souligné le Directeur Général, Mamadou Mamour Diallo.  
L’ambulance qui a été acquise grâce au Projet Hann Fann facilitera l’évacuation des agents en cas de besoin selon Madame Boucal, la responsable de l’infirmerie de l’entreprise. « Nous travaillons dans un milieu infectieux. Cette ambulance vient à son heure car nous avions eu à faire face aux évacuations de nos agents », a conforté Madame Boucal.

Son acquisition est la concrétisation d’une vieille doléance des organisations syndicales de l’ONAS. C’est pour cela que les délégués du personnel ont rendu à César ce qui appartient à César. « Plusieurs Directeurs Généraux se sont succédé. Mais c’est sous le Directeur Général, Mamadou Mamour Diallo que cette doléance s’est concrétisée », a indiqué Seydou Tall au nom du personnel. Il n’a pas manqué de remercier le Directeur Général pour ce qu’il est en train de faire pour mettre le personnel dans des meilleures conditions de performance. 

Actes contre nature à Mbacké : Le fils d’un imam en fuite après être surpris sur un jeune de 15 ans

Moustapha Sèye natif de Mbacké, plus précisément à Gawane, fils de Imam Ndiaga Sèye et responsable de boulangerie a été surpris sur un adolescent ayant la quinzaine vers les coups de 10 h, ce 19 août 2023.

Recherché par la police, il est en fuite. Les pandores ignorent sa destination.
Loin d’être son premier forfait, Moustapha a déjà eu par le passé un même problème en 2011. Il s’était réfugié au Maroc. Pour cette fois ci encore il s’est éclipsé. La population furieuse a saccagé sa voiture dans laquelle il commettait cette abomination et promet de le tuer si toutefois elle met la main sur lui.
Ce qui s’est réellement, selon certaines indiscrétions, Moustapha a corrompu l’adolescent pour profiter de lui dans sa voiture. Il paraît qu’il est coutumier des faits.

En effet, l’homosexualité est bannie au Sénégal, tant sur le plan religieux que culturel.
Pour terminer la population de Mbacké, dans le quartier de Gawane promet de le tuer si toutefois elle l’attrape. Sa famille loin de le soutenir s’est joint à la volonté du quartier. Son papa, imam l’a lui même banni et ne veux plus parler de lui selon nos informations.
Nul ne sait où il est actuellement, mais sa vie est en danger car sa tête est mise à prix.

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