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Maodo Malick Mbaye rompt le silence : « Je n’ai jamais posé d’acte délictuel dans la gestion de l’ANAMO »

Après une longue période de silence, Maodo Malick Mbaye, ancien directeur général de l’Agence nationale pour la Promotion de l’Emploi des Jeunes (ANAMO), est enfin sorti de sa réserve. Dans une déclaration publique, il a tenu à laver son honneur face aux accusations implicites ou supposées liées à sa gestion à la tête de l’ANAMO.

« Je n’ai posé aucun acte délictuel dans la gestion du dossier en question », a-t-il affirmé d’emblée, balayant d’un revers de main toute idée de malversation ou de faute de gestion. Plus précis encore, il ajoute : « S’il y’a imitation de signature, le coupable est clairement identifié », mettant en évidence une éventuelle falsification indépendante de sa volonté ou de son implication.

Mbaye insiste sur le fait que le dossier en question « ne concerne pas les Fonds COVID ni aucun corps de contrôle ». Une manière pour lui de dissiper toute confusion avec les nombreux scandales financiers liés à cette période trouble de la pandémie.

Revenant sur son départ de l’ANAMO, Maodo Malick Mbaye rappelle : « Après ma démission volontaire de la tête de l’ANAMO, je suis resté 8 mois au Sénégal pour tout besoin post-fonction ». Il précise également qu’il n’a « jamais été convoqué par la justice avant » son départ du pays, rejetant ainsi l’idée d’une fuite ou d’un départ précipité.

Depuis trois ans, il affirme diriger une organisation de médiation de droit marocain, basée à Rabat. « Ma prise de fonction à Rabat a été rendue publique. Et l’ambassade du Sénégal au Maroc est informée de mon séjour », conclut-il, insistant sur la transparence de ses activités actuelles.


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