Rejet du Pourvoi de Barthélémy Dias par la Cour Suprême dans l’Affaire Ndiaga Diouf : Un Jalon Historique pour la Justice

La Cour Suprême a rendu une décision historique en rejetant le pourvoi introduit par le maire de Dakar, Barthélémy Dias, dans l’affaire qui l’oppose à la famille de feu Ndiaga Diouf. Cette affaire, qui remonte à la fusillade tragique de 2011 devant la mairie de Dakar, a connu de nombreux rebondissements judiciaires, aboutissant finalement à une décision défavorable pour Barthélémy Dias.

La Cour Suprême a rejeté le pourvoi de Barthélémy Dias, confirmant ainsi la décision de la Cour d’appel de Dakar. Cette dernière avait condamné le maire de Dakar à deux ans de prison, dont 6 mois ferme, et l’avait également obligé à verser des dommages et intérêts de 25 millions de FCFA à la famille de Ndiaga Diouf. La décision de la Cour Suprême représente un coup dur pour Barthélémy Dias, qui contestait la peine prononcée en appel.

Le procureur général a déclaré infondés les quatre moyens défendus par les avocats de Barthélémy Dias dans le cadre de leur pourvoi. Les motifs du rejet n’ont pas été immédiatement détaillés, mais la décision du procureur général renforce la validité de la condamnation précédente.

L’affaire Ndiaga Diouf remonte à l’année 2011, lorsque Ndiaga Diouf a été tué lors d’une fusillade devant la mairie de Dakar. Barthélémy Dias, maire de la ville à l’époque, a été impliqué dans les événements qui ont conduit à cette tragédie. Les différentes étapes judiciaires ont été marquées par des rebondissements, mais la décision de la Cour Suprême semble désormais mettre un terme à cette longue saga judiciaire.

Les réactions à la décision de la Cour Suprême ne se sont pas fait attendre, suscitant des commentaires divergents au sein de l’opinion publique. Alors que certains saluent la justice pour son intégrité et sa fermeté, d’autres expriment des inquiétudes quant aux implications politiques de cette affaire. Les prochaines étapes pour Barthélémy Dias et sa défense restent incertaines, mais cette décision marquera à coup sûr l’histoire judiciaire du pays.

Le rejet du pourvoi de Barthélémy Dias par la Cour Suprême dans l’affaire Ndiaga Diouf représente un jalon historique dans le contexte judiciaire du Sénégal. Cette décision souligne l’importance de l’indépendance et de l’impartialité du système judiciaire, tout en ouvrant de nouvelles perspectives pour l’avenir de l’affaire et ses implications politiques.

Affaire Ndiaga Diouf : Barthélemy Dias devant la Cour suprême, le…

Coup de frisson à la mairie de Dakar ! L’édile de la capitale sénégalaise, Barthélemy Dias, sera fixé, le 22 décembre prochain, au sujet de son pourvoi en cassation devant la Cour suprême, dans le cadre de l’affaire Ndiaga Diouf. Condamné – en première instance comme en appel – à deux ans de prison, dont six mois ferme pour coup mortel, Barth’ pourrait perdre son mandat de maire de Dakar si la Cour suprême confirme la condamnation.
L’audience se tiendra le 22 décembre 2023, soit douze ans (jour pour jour) après l’attaque de la mairie de Mermoz – Sacré-Cœur, le jeudi 22 décembre 2011. Ndiaga Diouf, un nervi du PDS en mission d’intimidation avec son groupe devant la mairie, a été tué lors d’échanges de tirs par armes à feu. Dias fils, alors maire de la commune, a été arrêté et inculpé pour le délit de coups mortels. Malgré une enquête balistique qui le disculpe (les balles extraites de la victime ne provenaient pas de son arme), Barthélemy Dias est condamné.   

Affaire Ndiaga Diouf : Barthélemy Dias devant la Cour suprême, le…

Coup de frisson à la mairie de Dakar ! L’édile de la capitale sénégalaise, Barthélemy Dias, sera fixé, le 22 décembre prochain, au sujet de son pourvoi en cassation devant la Cour suprême, dans le cadre de l’affaire Ndiaga Diouf. Condamné – en première instance comme en appel – à deux ans de prison, dont six mois ferme pour coup mortel, Barth’ pourrait perdre son mandat de maire de Dakar si la Cour suprême confirme la condamnation.
L’audience se tiendra le 22 décembre 2023, soit douze ans (jour pour jour) après l’attaque de la mairie de Mermoz – Sacré-Cœur, le jeudi 22 décembre 2011. Ndiaga Diouf, un nervi du PDS en mission d’intimidation avec son groupe devant la mairie, a été tué lors d’échanges de tirs par armes à feu. Dias fils, alors maire de la commune, a été arrêté et inculpé pour le délit de coups mortels. Malgré une enquête balistique qui le disculpe (les balles extraites de la victime ne provenaient pas de son arme), Barthélemy Dias est condamné.   

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