Élections législatives du 17 novembre 2024 : Bassirou Diomaye Faye appelle à la sérénité et à la paix

Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a accompli son devoir civique ce 17 novembre 2024 à Ndiaganiao, au centre de vote de Ndiandiaye. Dans une déclaration marquée par un appel à la responsabilité et à la paix, le chef de l’État a adressé un message fort aux citoyens et aux acteurs politiques.

« Rendre grâce à Dieu de nous permettre d’être témoins et acteurs de ce grand jour d’expression démocratique », a commencé le président, soulignant l’importance de cette journée pour la démocratie sénégalaise. Il s’est réjoui de constater que les électeurs participent au scrutin dans le calme et la sérénité, fidèle à la tradition démocratique du Sénégal.

Il a salué la maturité démocratique du peuple sénégalais, tout en rappelant que celle-ci repose également sur la responsabilité des acteurs politiques. « La maturité démocratique, c’est aussi des acteurs responsables qui s’affrontent par les idées et les programmes, dans le respect mutuel », a-t-il déclaré.

Le président Faye a exhorté les candidats et leurs partisans à accepter les résultats des urnes, quelle qu’en soit l’issue. « Il y aura toujours des vainqueurs et des vaincus. En définitive, c’est le peuple sénégalais qui sera gagnant », a-t-il affirmé, insistant sur l’importance de préserver l’image positive du Sénégal sur la scène internationale.

Il a conclu en appelant à un comportement exemplaire tout au long de la journée électorale, que ce soit de la part des simples citoyens ou des candidats, en jouant la carte de la sérénité et de la paix.

Cette déclaration du président intervient dans un climat où les tensions et les défis du processus électoral nécessitent un leadership apaisant. Son message, adressé autant aux électeurs qu’aux candidats, vise à renforcer la confiance dans la démocratie sénégalaise et à perpétuer l’héritage d’élections transparentes et pacifiques.

Bassirou Diomaye Faye : Une arrivée symbolique à Ndiaganiao pour accomplir son devoir civique

Le Président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, est arrivé ce samedi soir à Ndiaganiao, dans la région de Thiès, pour participer aux élections de ce dimanche 17 novembre 2024. Le chef de l’État, toujours soucieux de ses engagements civiques, a tenu à accomplir son devoir de citoyen dans sa ville natale, soulignant ainsi l’importance qu’il accorde aux valeurs démocratiques et à l’implication personnelle dans les processus électoraux.

À son arrivée à Ndiaganiao, Bassirou Diomaye Faye a posé un acte fort et symbolique. Avant d’entrer dans sa résidence, il s’est retourné pour saluer chaleureusement les habitants venus l’accueillir. Ce geste, simple mais plein de significations, montre une fois de plus l’attachement du Président à sa communauté d’origine. Les témoins sur place ont salué ce moment de proximité et de considération, qui rappelle les qualités humaines de l’homme d’État, fidèle à ses racines.

Le retour à Ndiaganiao pour voter n’est pas seulement un acte de routine pour le Président Faye ; c’est une démonstration de sa volonté de servir d’exemple en matière de civisme. À la veille d’une journée électorale, ce geste se veut inspirant pour les citoyens, les incitant à exercer leur droit de vote et à participer activement à la vie démocratique du pays.

Le Président Bassirou Diomaye Faye incarne ainsi une vision de la politique ancrée dans le respect des traditions et des valeurs citoyennes, tout en restant ouvert sur le monde et engagé dans le développement régional. Sa présence à Ndiaganiao et son retour de Guinée-Bissau sont des symboles forts qui marquent l’actualité nationale et témoignent de sa proximité avec le peuple, même dans les moments les plus officiels.

Pastef : une victoire aux législatives qui pourrait sceller le destin politique de Bassirou Diomaye Faye

Invité devant le Grand Jury de ce dimanche 10 novembre 2024, le journaliste et analyste politique Cheikh Yérim Secka livré une analyse éclairée sur les enjeux des législatives pour le parti Pastef, et plus spécifiquement sur l’avenir politique de Bassirou Diomaye Faye, un proche d’Ousmane Sonko. Selon Seck, une victoire de Pastef aux prochaines législatives pourrait restreindre l’espace politique de Faye, le reléguant au statut de simple figurant au sein de la sphère du pouvoir.

Cheikh Yérim Seck a été catégorique dans son analyse : « Si Pastef remporte les législatives, cela signifiera que c’est la ‘’Sonko sphère’’ qui occupe tout l’espace politique du pouvoir, et que Bassirou Diomaye ne sera qu’un pion lambda dans cette galaxie ». Pour lui, le contrôle du pouvoir par Ousmane Sonko et ses proches pourrait réduire l’influence et la marge de manœuvre de ses alliés, notamment celle de Diomaye Faye.

Cette déclaration de Seck intervient dans un contexte où les tensions internes au sein de Pastef semblent se cristalliser. Le choix de Sonko de participer aux législatives sous la bannière de Pastef, et non sous celle de « Diomaye Président », comme cela avait été le cas lors de la dernière présidentielle, est perçu par l’analyste comme un signal fort. Cela traduit, selon lui, une volonté d’affirmer la prépondérance d’Ousmane Sonko au sein du parti et de sa mouvance politique.

Cheikh Yérim Seck a également relevé l’attitude de neutralité apparente d’Ousmane Sonko dans cette campagne électorale. Pour le journaliste, cette posture peut être interprétée comme une stratégie politique destinée à ne pas s’impliquer directement tout en consolidant son emprise sur l’espace politique. « Le président de la République peut être au-dessus de la mêlée tout en soutenant son camp politique », a-t-il rappelé, avant d’ajouter que le choix de Sonko d’appeler ses alliés à rejoindre Pastef et de ne pas se présenter sous une autre bannière indique clairement une volonté de dominer tout l’espace politique au lendemain des législatives.

La question se pose donc : quel avenir politique pour Bassirou Diomaye Faye si Pastef sort victorieux de ces élections législatives ? Pour Cheikh Yérim Seck, la réponse est claire : « Bassirou Diomaye ne serait plus qu’un acteur de second plan, absorbé par la dynamique centralisatrice de Sonko ». Cette analyse semble trouver écho dans les récents choix stratégiques du parti, qui renforcent l’idée d’une concentration du pouvoir autour de la figure charismatique d’Ousmane Sonko, reléguant ainsi ses potentiels rivaux internes au second plan.

Ces législatives pourraient donc s’avérer cruciales pour la configuration future du paysage politique sénégalais. La stratégie adoptée par Ousmane Sonko et les résultats de ces élections détermineront non seulement l’équilibre des forces au sein de Pastef, mais aussi la dynamique de l’opposition dans son ensemble.

Pour Cheikh Yérim Seck, une chose est certaine : si la « Sonko sphère » parvient à dominer l’espace politique, cela scellera le sort de nombreux acteurs politiques internes au parti, dont Bassirou Diomaye Faye. Le jeu d’alliance et les rivalités internes qui se dessinent autour de cette échéance laissent entrevoir une recomposition possible du leadership au sein de Pastef, et plus largement de l’opposition sénégalaise.

En définitive, l’issue de ces législatives pourrait bien être le point de bascule pour Pastef, où s’opposeront centralisation du pouvoir autour de Sonko et aspirations de ses alliés. L’avenir politique de figures comme Bassirou Diomaye Faye reste, à ce stade, suspendu à la dynamique de cette « Sonko sphère » en pleine expansion.

Bassirou Diomaye Faye félicite Donald Trump pour sa victoire à la présidence américaine

Le président sénégalais s’engage à renforcer la coopération bilatérale et à œuvrer pour des valeurs partagées après l’élection de Trump face à Kamala Harris.

Le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a félicité Donald Trump pour sa victoire à l’élection présidentielle américaine du 5 novembre 2024. Dans un message publié sur le réseau social X (anciennement Twitter), Faye a exprimé son souhait de renforcer la coopération entre le Sénégal et les États-Unis et de promouvoir ensemble des valeurs communes telles que la paix et la prospérité. Trump, ancien président des États-Unis de 2017 à 2021, a remporté l’élection contre la vice-présidente sortante Kamala Harris

Bassirou Diomaye Faye : « Je suis le président de tous les Sénégalais, sans distinction »

Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, s’est adressé à la nation dans un discours marquant, rappelant son engagement envers chaque citoyen sénégalais, indépendamment de ses opinions politiques. Faisant écho aux valeurs de cohésion nationale, il a insisté sur sa volonté de se placer au-dessus des intérêts partisans pour incarner une présidence de rassemblement.

« J’ai pris l’engagement de servir solennellement chaque Sénégalais sans distinction que vous ayez voté pour moi ou non, je suis votre président », a déclaré le chef de l’État. Dans une démonstration de cette volonté d’unité, Bassirou Diomaye Faye a annoncé sa décision de renoncer à ses fonctions de secrétaire général du Parti Pastef Les Patriotes, montrant ainsi son désir de se détacher de tout lien partisan.

Cette décision, perçue comme une preuve de maturité politique, vise à garantir que son mandat s’articule autour des intérêts de la nation dans son ensemble et non d’une partie. « Afin de me placer au-dessus des querelles partisanes, consacrant toute mon énergie au service exclusif de ma nation », a-t-il affirmé avec conviction.

Conscient des nombreux défis économiques, sociaux et sécuritaires auxquels le pays fait face, le président Faye a invité les Sénégalais à faire preuve d’unité et de solidarité, dénonçant les divisions et manipulations qui pourraient affaiblir le tissu social national. « Face aux nombreux défis qui se dressent devant nous, j’exhorte chaque Sénégalais à résister aux tentatives de la division et aux manipulations. C’est dans l’unité que nous trouverons la force nécessaire pour relever ces défis. Ensemble, dans la solidarité et le respect, nous serons plus forts. »

Ce message fort de Bassirou Diomaye Faye résonne comme un appel à dépasser les clivages pour construire ensemble un Sénégal plus fort, plus juste, et plus solidaire. En rappelant son rôle de président de tous les Sénégalais, il souhaite insuffler une nouvelle dynamique fondée sur le respect mutuel et la coopération nationale.

En plaçant son mandat sous le signe du rassemblement et de l’inclusivité, Bassirou Diomaye Faye affirme sa vision d’un Sénégal uni, où chaque citoyen, quelle que soit son appartenance politique, se sent représenté et respecté.

Tensions politiques au Sénégal : Bassirou Diomaye Faye réagit à l’arrestation de Bougane Gueye Dany

Les tensions autour de la récente arrestation de Bougane Gueye Dany, leader du mouvement « Guem Sa Bopp » et candidat aux prochaines élections législatives, ont suscité une réaction officielle du président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye. Ce dernier a tenu à rappeler son attachement à la présomption d’innocence, précisant que « la justice doit trancher » et réaffirmant son engagement à respecter l’autorité judiciaire dans cette affaire qui divise l’opinion publique.

L’incident remonte à la visite de Bougane Gueye Dany à Bakel, malgré une interdiction temporaire de la gendarmerie, qui assurait la sécurité de la région en raison de la présence du président Faye. Cette arrestation a rapidement alimenté le débat public, où les partisans de Bougane dénoncent ce qu’ils considèrent comme une pression politique visant à entraver les activités d’un opposant influent. Pour sa part, Bougane Gueye Dany a exprimé sa frustration, affirmant que sa détermination à défendre ses idées l’expose fréquemment à des interventions sécuritaires.

Dans une déclaration officielle, Bassirou Diomaye Faye a encouragé les responsables politiques à faire preuve de retenue, surtout en période électorale. « Les responsables politiques sont invités à faire preuve de responsabilité. Lors de mes déplacements, une sécurité appropriée est assurée. Quant à la loi, elle suit son cours, et je peux jurer que jamais je n’interférerai avec elle », a déclaré le président Faye, insistant sur l’importance du calme et de la stabilité dans un contexte où la population sénégalaise est de plus en plus polarisée.

En réponse aux critiques quant aux mesures de sécurité entourant ses déplacements, le président Faye a précisé que ces mesures sont essentielles pour éviter des confrontations et garantir la sécurité des citoyens. « Ma sécurité n’est pas de mon ressort ; elle incombe aux services compétents. Chaque jour, je me déplace dans Dakar sans provoquer de heurts, grâce à la responsabilité que les forces de l’ordre exercent autour de moi. La demande qu’ils formulent est donc légitime », a-t-il affirmé.

En conclusion, le président a tenu à souligner l’importance de la présomption d’innocence, déclarant : « En attendant, la présomption d’innocence demeure, et la justice se prononcera. Je lui souhaite de pouvoir rejoindre sa famille. » Cette déclaration vise à rappeler à tous les Sénégalais que la justice doit suivre son cours sans ingérence politique, une position que le président dit défendre avec fermeté.

Alors que le pays s’approche d’échéances électorales importantes, cette affaire souligne les tensions croissantes autour des questions de sécurité et de liberté politique au Sénégal. Le dénouement judiciaire de cette arrestation est désormais attendu, tandis que l’appel au calme et à la responsabilité des acteurs politiques résonne comme un rappel crucial pour préserver la stabilité dans le pays.

Déclaration de presse du Président Bassirou Diomaye Faye ce vendredi à 21h00

Ce vendredi 25 octobre à 21h00, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, s’adressera à la presse pour aborder divers sujets de grande importance.

Bougane Guèye placé sous mandat de dépôt : Un jugement prévu pour le 30 octobre

Bougane Guèye, président du mouvement politique Gueum Sa Bopp et directeur du Groupe D-média, a été placé sous mandat de dépôt par le Procureur près le Tribunal de Grande Instance de Tambacounda. Il passera sa première nuit en prison suite à son arrestation, survenue samedi dernier, à l’entrée de Bakel, alors qu’il tentait d’apporter son soutien aux victimes des inondations dans la région.

Le leader politique est poursuivi pour plusieurs charges, dont l’outrage à agent dans l’exercice de ses fonctions. Son arrestation a eu lieu alors qu’il était en route pour venir en aide aux sinistrés, un geste qui a suscité une large attention médiatique et populaire. Selon des sources, il a été interpellé pour refus d’obtempérer et rébellion, ce qui a conduit à son déferrement sous escorte ce lundi matin.

Le procès de Bougane Guèye, prévu en flagrant délit le 30 octobre, sera scruté de près par ses partisans et observateurs politiques. Cette affaire soulève des questions sur la liberté d’expression et le droit d’assistance en situation de crise, alors que la population de Bakel attend toujours un soutien substantiel face aux ravages des inondations.

Les prochaines semaines s’annoncent cruciales pour Bougane Guèye et pour l’avenir de son mouvement politique dans un contexte de tensions sociales et politiques croissantes au Sénégal.

Accident de la route : Lamine Ndiaye impliqué mais indemne, soutien du président Bassirou Diomaye Faye

L’artiste comédien Lamine Ndiaye a été victime d’un accident de la route sur l’autoroute à péage alors qu’il revenait du lancement du projet Sénégal 2050 au Centre International de Conférences Abdou Diouf (CICAD) à Diamniadio. L’événement, présidé par le chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye, et le Premier ministre Ousmane Sonko, avait rassemblé des acteurs clés du développement pour discuter de la vision future du pays.

Selon les premières informations, bien que choqué, Lamine Ndiaye est sorti indemne de cet accident. Cependant, d’autres passagers impliqués dans la collision ont été blessés et transportés à l’hôpital pour des soins.

Suite à l’incident, le président Bassirou Diomaye Faye a rapidement rendu visite à Lamine Ndiaye ainsi qu’aux autres victimes de l’accident. Ce geste de solidarité a été vivement salué par l’artiste, connu pour ses nombreuses contributions à la scène artistique sénégalaise. « Je remercie le président pour cette marque de soutien qui m’a beaucoup touché », a déclaré Ndiaye, encore sous le choc des événements.

Cet accident rappelle l’importance de la prudence sur les routes, en particulier sur les autoroutes à péage, où les risques d’accident sont élevés malgré les mesures de sécurité. Heureusement, l’artiste a pu échapper au pire, et ses fans ainsi que ses collègues du monde artistique continuent de lui témoigner leur soutien dans cette épreuve.

Renforcement de la gestion des Sénégalais de l’extérieur : une priorité pour le président Bassirou Diomaye Faye

Lors du dernier Conseil des ministres, le président Bassirou Diomaye Faye a accordé une attention particulière à la situation des Sénégalais de l’extérieur, réaffirmant leur importance stratégique pour le pays. Le chef de l’État a souligné que l’amélioration des conditions de vie de cette communauté doit rester une priorité du gouvernement. La diaspora sénégalaise, qui contribue significativement à l’économie nationale, mérite un accompagnement renforcé dans divers aspects de sa vie à l’étranger.

Pour garantir un appui efficace aux Sénégalais résidant à l’étranger, le président a appelé à une « mobilisation accrue de nos représentations diplomatiques et consulaires ». Selon lui, ces structures doivent jouer un rôle clé dans la facilitation de l’accès aux services administratifs essentiels. Cela inclut notamment l’obtention rapide de documents tels que les passeports et les cartes d’identité nationales, une démarche jugée urgente par le gouvernement pour répondre aux besoins immédiats de la diaspora.

Concernant les jeunes Sénégalais poursuivant leurs études à l’étranger, Bassirou Diomaye Faye a insisté sur la nécessité d’un suivi rigoureux de leur situation. Il a exhorté son gouvernement à être attentif aux défis qu’ils rencontrent, notamment sur le plan administratif et académique. Par ailleurs, un recensement exhaustif des compétences nationales opérant hors du Sénégal a été annoncé. Cette initiative vise à mieux valoriser les talents sénégalais à l’international et à favoriser les opportunités de collaboration avec leur pays d’origine.

Un autre aspect abordé par le président concerne le retour des Sénégalais de l’extérieur. Il a plaidé pour la mise en place d’un nouveau mécanisme visant à accompagner ceux qui souhaitent rentrer et se réinstaller au Sénégal. L’objectif est de faciliter leur réintégration à travers des dispositifs d’aide adaptés, qu’il s’agisse de projets professionnels ou de soutien social.

Avec cette série de mesures, Bassirou Diomaye Faye affiche une volonté claire de renforcer les liens avec la diaspora sénégalaise et de répondre plus efficacement à ses attentes.

Diomaye Faye et Serigne Mbaye parmi les 100 personnalités les plus influentes du monde selon Time Magazine

Dans son édition récemment publiée, Time Magazine a désigné deux Sénégalais parmi les 100 personnalités les plus influentes du monde. En effet, le Président Diomaye Faye et le Chef cuisinier Serigne Mbaye figurent dans ce prestigieux classement, respectivement dans les catégories «Leader» et «Innovateur», selon un rapport relayé par Les Échos.

Diomaye Faye, âgé de 44 ans, est désormais le plus jeune président de l’histoire du Sénégal. Son accession au pouvoir a suscité l’enthousiasme aussi bien au niveau national qu’international. Le Time Magazine souligne que sa victoire électorale est perçue comme une victoire pour la démocratie en Afrique de l’Ouest, une région récemment marquée par plusieurs coups d’État militaires. Plus encore, elle symbolise l’émergence d’une nouvelle génération de leaders politiques dans un pays où la population est majoritairement jeune, avec une médiane d’âge de 19 ans. Ce changement générationnel ouvre la voie à de nouvelles perspectives pour l’avenir du Sénégal.

En plus de son impact politique, Diomaye Faye incarne un modèle de gouvernance jeune et dynamique, ce qui fait de lui une figure de proue non seulement pour son pays mais aussi pour la sous-région ouest-africaine. Sa présence dans ce classement rehausse l’image du Sénégal comme une démocratie stable et en pleine mutation.

Outre le chef de l’État, Serigne Mbaye, un talentueux Chef cuisinier sénégalais, s’est distingué dans la catégorie des «Innovateurs». Installé aux États-Unis, Mbaye a su conquérir les palais les plus exigeants en revisitant la cuisine sénégalaise avec une touche d’innovation. Son inclusion dans ce classement met en lumière l’influence croissante des talents sénégalais sur la scène internationale, notamment dans le domaine culinaire.

Ces distinctions marquent une reconnaissance importante pour le Sénégal, dont les fils et filles continuent de briller sur la scène mondiale dans des domaines variés.

Audit des Finances Publiques du Sénégal : Le Président Bassirou Diomaye Faye Réaffirme Son Engagement pour la Transparence

Le dimanche 6 octobre 2024, le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a réagi publiquement aux résultats provisoires de l’audit des finances publiques couvrant la période de gestion de 2012 à 2024. Cet audit, commandité en collaboration avec le Fonds Monétaire International (FMI), est perçu comme un moment décisif dans l’évaluation de la gestion économique du Sénégal sous les précédents gouvernements.

Dans un message publié sur son compte X (anciennement Twitter), le chef de l’État a salué le soutien et la coopération du FMI tout en soulignant l’importance de cet exercice de transparence. « Je salue l’esprit collaboratif du FMI, suite à la divulgation des résultats provisoires de l’audit des finances publiques du Sénégal, après la gestion 2012-2024. Je réaffirme mon engagement ferme, comme je l’ai dit lors de ma prestation de serment, à faire du Sénégal un partenaire sûr et fiable », a-t-il déclaré.

Depuis son investiture, Bassirou Diomaye Faye s’est positionné comme un fervent défenseur de la bonne gouvernance et de la transparence budgétaire. La gestion efficace des ressources publiques est un élément central de son programme, et cette première étape d’audit vise à restaurer la confiance des partenaires internationaux et des citoyens. Cette action fait suite à sa promesse d’éradiquer la mauvaise gestion financière qui, selon de nombreuses critiques, a entaché les administrations précédentes.

La coopération avec le FMI, au-delà de l’audit, témoigne de la volonté du gouvernement actuel de renforcer les relations avec les institutions financières internationales. En réaffirmant cet engagement pour la transparence, le président Faye souhaite offrir une nouvelle dynamique aux relations économiques du Sénégal. L’audit provisoire, bien qu’attendant encore ses résultats définitifs, pourrait jouer un rôle crucial dans la formulation des futures politiques économiques et financières du pays.

Les défis sont nombreux pour l’administration Faye, qui a hérité d’une économie marquée par des controverses autour de la gestion des fonds publics. Le président a déjà montré sa détermination en prenant des mesures concrètes pour redresser la situation économique et pour poser les bases d’un développement durable. Cet audit s’inscrit ainsi dans une volonté plus large de renforcer la crédibilité du Sénégal sur la scène internationale, notamment auprès des bailleurs de fonds et des investisseurs étrangers.

Les résultats définitifs de cet audit sont attendus avec impatience. Ils auront un impact significatif non seulement sur l’image du gouvernement, mais aussi sur les orientations économiques futures du Sénégal. L’audit, qui vise à mettre en lumière les zones de mauvaise gestion et à promouvoir une meilleure allocation des ressources, pourrait ouvrir la voie à des réformes profondes dans le cadre de la gestion publique.

Le peuple sénégalais, ainsi que les observateurs internationaux, surveillent de près cette évolution, espérant voir des changements concrets qui amélioreront la situation économique et la gestion des finances publiques. Pour le président Faye, il s’agit d’une étape clé pour consolider son mandat et pour démontrer que la lutte contre la corruption et la mauvaise gestion est bien plus qu’une promesse électorale, mais une réalité politique en cours de réalisation.

En somme, cet audit des finances publiques représente une occasion pour le Sénégal de prouver son engagement envers la transparence et la bonne gouvernance, deux piliers essentiels pour attirer de nouveaux investissements et consolider la confiance des partenaires économiques internationaux. Le président Bassirou Diomaye Faye, en réitérant son attachement à ces principes, envoie un signal fort pour l’avenir économique du Sénégal.

Bassirou Diomaye Faye exhorte les élèves du lycée Demba Diop à l’humilité et au travail

Ce samedi, le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a rendu visite aux élèves du lycée Demba Diop de Mbour, un établissement où il a fait une partie de son parcours. À cette occasion, il a prodigué des conseils précieux aux jeunes apprenants, les invitant à adopter des valeurs fondamentales telles que l’humilité et le travail acharné pour réussir dans la vie.

« Il y a deux domaines dans lesquels j’ai appris que l’effort ne se perd jamais », a déclaré le chef de l’État. Il a illustré ses propos en évoquant d’abord le sport, un milieu où les résultats de l’effort sont rapidement perceptibles. « Le sportif qui s’entraîne le plus progresse plus que celui qui s’entraîne moins, car il fait davantage d’efforts pour acquérir des aptitudes », a expliqué Bassirou Diomaye Faye. Il a ainsi insisté sur l’importance de la persévérance dans la quête d’une amélioration continue.

Le second domaine dans lequel l’effort est toujours récompensé, selon le président, est celui de l’apprentissage. Il a encouragé les élèves à faire preuve de sérieux dans leurs études et à consacrer du temps à l’acquisition de connaissances. « Celui qui y met plus de sérieux, consacre plus de temps et est conscient des objectifs qu’il cherche à atteindre à travers ses efforts, est celui qui devient le meilleur », a-t-il ajouté.

Pour conclure, Bassirou Diomaye Faye a invité les élèves à allier humilité et travail pour se distinguer dans leur parcours académique et dans la vie. Ses propos ont laissé une impression marquante sur les élèves, qui ont accueilli ces conseils avec enthousiasme et motivation.

Le Président Bassirou Diomaye Faye réaffirme l’autorité des institutions face à la place d’Ousmane Sonko dans le débat politique sénégalais

Dans un entretien exclusif avec Al Jazeera, le président Bassirou Diomaye Faye s’est exprimé sur l’omniprésence d’Ousmane Sonko, figure de l’opposition, dans le débat politique du Sénégal. Cette question, qui alimente depuis plusieurs mois les discussions publiques, a été l’occasion pour le chef de l’État de clarifier la position officielle de son gouvernement et de réaffirmer l’importance du respect des institutions et de la Constitution.

Interrogé sur les spéculations concernant le rôle d’Ousmane Sonko, le président Faye n’a pas mâché ses mots. « Il n’est pas utile de rappeler qu’Ousmane Sonko n’a jamais été préparé pour assumer la fonction de Premier ministre. La loi et la Constitution sont claires : elles ne lui permettent en aucun cas de s’arroger des pouvoirs qui ne lui reviennent pas, et il ne le fait pas », a déclaré le président. Par cette affirmation, il semble vouloir rappeler que, malgré l’influence et la popularité de Sonko dans certains cercles, le cadre légal et institutionnel du Sénégal reste inchangé.

Ces propos viennent recentrer le débat autour des limites des pouvoirs de Sonko, tout en réaffirmant la légitimité du président et de son gouvernement à diriger le pays. Le chef de l’État a insisté sur le respect des prérogatives définies par la Constitution, soulignant que le pouvoir et l’autorité restent encadrés par des règles bien établies.

Ce discours marque une volonté claire de maintenir l’ordre institutionnel et de contrer toute velléité d’expansion de pouvoir en dehors du cadre légal. Alors que le Sénégal traverse une période de tensions politiques, cette déclaration vise à renforcer la stabilité des institutions et à rassurer les citoyens quant à l’avenir de la gouvernance du pays.

En somme, le président Bassirou Diomaye Faye semble vouloir poser des limites claires à l’influence de Sonko et réaffirmer l’autorité de l’État dans un contexte politique de plus en plus polarisé.

Discours de Bassirou Diomaye Faye à l’ONU : Un appel à repenser le multilatéralisme et à défendre la dignité humaine

Lors de la 79e session de l’Assemblée générale des Nations Unies, le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a livré un discours poignant qui a résonné au cœur des débats internationaux. S’adressant à la communauté mondiale, il a dénoncé avec force les violences qui secouent plusieurs régions du globe, tout en réaffirmant l’urgence de rétablir les principes fondateurs des Nations Unies.

Dans son intervention, le président Faye a rappelé que « jamais les fondements des Nations Unies n’ont autant vacillé qu’en ces temps de violence, de peur et d’incertitude ». Selon lui, le monde actuel est marqué par des conflits incessants, des inégalités croissantes et une dégradation climatique qui accentue la vulnérabilité des populations. Ces facteurs combinés, a-t-il souligné, contribuent à un affaiblissement alarmant du multilatéralisme, à un moment où celui-ci est plus que jamais nécessaire.

Face à ces constats, Bassirou Diomaye Faye a lancé un appel vibrant pour un changement de paradigme dans les relations internationales. « Il est temps de remettre l’humain au centre de l’agenda international, comme nous y invite le thème de cette session », a-t-il déclaré, en référence au besoin pressant de replacer la dignité humaine et la justice au cœur des décisions globales.

Le président sénégalais a également insisté sur l’importance de respecter les principes de la Charte des Nations Unies, qui promeut l’égalité, la justice et les droits humains. Il a exprimé son inquiétude face aux violations récurrentes du droit international et des résolutions onusiennes, dénonçant une érosion des valeurs communes qui devrait interpeller la communauté internationale. « Le monde doit se regarder en face, sans complaisance. Les valeurs que nous avons juré de défendre sont piétinées dans plusieurs régions du globe », a-t-il affirmé.

Dans une réflexion plus globale, le président Faye a mis en lumière l’égale dignité de chaque être humain, soulignant que cette valeur transcende les frontières, les cultures et les appartenances religieuses. « Que l’on soit à Gaza, à Tel Aviv, à Dakar ou ailleurs, chaque être humain est porteur de cette égale dignité », a-t-il rappelé, plaidant pour que cette dignité soit protégée et respectée, sans exception.

Ce discours marque un tournant dans la position du Sénégal sur la scène internationale, avec un appel fort à défendre le multilatéralisme et à redoubler d’efforts pour garantir la paix mondiale. En pointant du doigt l’érosion des principes fondamentaux des Nations Unies, Bassirou Diomaye Faye incite la communauté internationale à réaffirmer ses engagements envers un monde plus juste et plus humain.

Une position ferme contre les violations du droit international

Le président sénégalais a conclu son intervention en soulignant que « tolérer ces violations répétées », c’est saper les fondements mêmes des Nations Unies. Il a exhorté les États membres à renforcer leur engagement en faveur de la paix et du respect des droits humains, car « le devoir de protéger la dignité humaine est l’essence même des Nations Unies ». Une vision claire, articulée autour de la nécessité de repenser l’approche internationale pour répondre aux défis de notre époque.

Le successeur de Macky Sall a ainsi fait entendre une voix forte et résolue, appelant les dirigeants du monde à réaffirmer leur responsabilité collective face aux crises actuelles. Ce discours, empreint d’humanisme et de réalisme, reflète la volonté du Sénégal de s’imposer comme un acteur de premier plan dans la défense des droits humains et du multilatéralisme sur la scène mondiale.

Audience entre le Président Bassirou Diomaye Faye et le Secrétaire d’État américain Antony Blinken : Un Partenariat Renforcé entre le Sénégal et les États-Unis

Cet après-midi, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Faye, Président de la République du Sénégal, a reçu en audience le Secrétaire d’État américain, Antony Blinken, au Palais de la République. Cette rencontre a permis de réaffirmer l’excellence des relations diplomatiques entre le Sénégal et les États-Unis, tout en posant les bases d’une coopération renforcée sur plusieurs fronts stratégiques.

Le Président Faye et le Secrétaire d’État Blinken ont mis en lumière leur volonté commune de soutenir le développement économique du Sénégal, notamment à travers des initiatives visant à dynamiser la jeunesse et à promouvoir la transparence et la lutte contre la corruption. Antony Blinken a annoncé, à cette occasion, la mise en place d’un programme de 5 millions de dollars, financé par l’USAID, pour accompagner les efforts du gouvernement sénégalais dans ces domaines.

Ce financement servira à renforcer les réformes institutionnelles en cours, destinées à améliorer la gouvernance et à assurer une gestion plus transparente des ressources publiques. Le Président Faye a salué cette initiative, soulignant son importance pour le développement durable du pays.

Au-delà des questions économiques, les deux dirigeants ont échangé sur les enjeux sécuritaires, particulièrement dans la région du Sahel. Le Sénégal, en tant que pays clé dans la lutte contre le terrorisme en Afrique de l’Ouest, s’est montré résolu à poursuivre ses efforts en matière de sécurité régionale. Les États-Unis ont réaffirmé leur soutien au Sénégal dans cette mission cruciale, exprimant leur volonté d’accompagner le pays à travers des programmes de renforcement des capacités sécuritaires et militaires.

L’un des autres points forts de l’échange a concerné les secteurs prioritaires identifiés dans l’Agenda National de Transformation 2050 du Sénégal, qui sera officiellement présenté le 7 octobre prochain. Parmi ces secteurs figurent la transformation numérique avec le « New Deal technologique », ainsi que l’agriculture et l’industrialisation, des piliers centraux pour l’essor économique du Sénégal.

Antony Blinken a exprimé l’intérêt des États-Unis à s’engager dans ces domaines, notamment en soutenant les innovations technologiques et l’industrialisation, deux moteurs essentiels pour l’emploi et la croissance économique du Sénégal.

La rencontre entre le Président Faye et le Secrétaire Blinken a donc marqué une nouvelle étape dans le partenariat solide entre le Sénégal et les États-Unis. Basé sur une vision commune de développement durable, ce partenariat s’appuie sur la coopération économique, la sécurité et la promotion de la bonne gouvernance pour offrir à la jeunesse sénégalaise et à l’ensemble de la population des opportunités de croissance et de prospérité partagées.

Ce rapprochement stratégique renforce l’image du Sénégal en tant que partenaire clé des États-Unis en Afrique de l’Ouest, avec un rôle moteur dans les initiatives régionales pour la stabilité, la sécurité et le développement durable.

En somme, cette audience souligne non seulement l’amitié entre les deux nations, mais aussi leur engagement commun à bâtir un avenir meilleur pour les peuples sénégalais et américains.

Décès du patriarche Amadou Mahtar Mbow : Une pluie d’hommages pour un monument de la culture africaine

Le Sénégal et l’Afrique entière pleurent la perte d’une figure emblématique, le Professeur Amadou Mahtar Mbow, décédé le 24 septembre 2024. Patriarche incontesté, homme de culture et de savoir, ancien Directeur général de l’UNESCO, Mbow a marqué de son empreinte l’histoire contemporaine africaine. Depuis l’annonce de sa disparition, les hommages affluent de toutes parts, témoignant de l’influence incommensurable de cet homme engagé pour une justice éducative et culturelle mondiale.

Bassirou Diomaye Faye, président du Sénégal, salue un « grand défenseur du multilatéralisme »

En déplacement à New York pour assister à l’Assemblée générale des Nations Unies, le chef de l’État Bassirou Diomaye Faye a exprimé sa vive émotion après avoir appris la disparition de Mbow. Dans un message empreint de respect et d’admiration, Faye a souligné l’importance du combat mené par le défunt pour l’Afrique et le monde.

« C’est un des patriarches de la Nation sénégalaise qui s’est éteint, en laissant un héritage inestimable, marqué par son combat pour une justice éducative et culturelle mondiale. Que sa sagesse et son engagement continuent d’inspirer l’Afrique et le monde. Paix à son âme », a déclaré le Président, rappelant la place de Mbow dans le multilatéralisme et la promotion des valeurs universelles à travers son mandat à la tête de l’UNESCO.

Ousmane Sonko, Premier ministre : « Un homme de vision qui a consacré sa vie à la nation »

Le Premier ministre Ousmane Sonko a également partagé son émotion et ses souvenirs du défunt. Dans un message diffusé sur sa page X (anciennement Twitter), Sonko a exprimé sa tristesse et a salué l’engagement du Professeur Mbow, qu’il a brièvement côtoyé lors des Assises nationales.

« Son parcours exceptionnel, de ses débuts à Dakar à son rôle à la tête de l’UNESCO, témoigne de son dévouement et de sa vision. Nous perdons un grand homme, que j’ai eu l’honneur de côtoyer brièvement lors des Assises nationales. Son héritage continuera d’inspirer les générations futures », a écrit Sonko, adressant ses sincères condoléances à la famille du défunt.

Amadou Mahtar Mbow, né à Dakar en 1921, est rapidement devenu une figure centrale dans la promotion de l’éducation et de la culture en Afrique et dans le monde. Son mandat à la tête de l’UNESCO, de 1974 à 1987, a été marqué par son engagement en faveur d’un nouvel ordre mondial de l’information et de la communication, visant à réduire les inégalités entre les pays du Nord et du Sud. Défenseur acharné de la diversité culturelle, Mbow a toujours prôné une approche inclusive des droits culturels et éducatifs.

Sa disparition laisse un vide immense, mais son œuvre continuera de nourrir la réflexion et l’action des générations à venir. Les témoignages qui affluent depuis son décès montrent à quel point il a marqué ceux qui ont eu l’opportunité de le côtoyer, mais aussi tous ceux qui se sont inspirés de ses idées et de son engagement.

Un hommage national est en cours de préparation pour honorer ce grand homme qui a tant donné à son pays et à l’humanité. Le Sénégal se souviendra toujours de ce patriarche, ce visionnaire, qui a su mettre l’éducation et la culture au cœur des débats internationaux pour un monde plus juste et équitable. Que son âme repose en paix.

Le Président du Sénégal participe au Sommet de l’Avenir à New York

Le Président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, séjourne actuellement aux États-Unis, où il prend part à la 79e Assemblée générale des Nations Unies. En marge de cet important évènement international, le chef de l’État a participé ce dimanche à la cérémonie d’ouverture du « Sommet de l’Avenir » à New York.

Selon un communiqué de la cellule de communication de la Présidence du Sénégal, ce sommet a rassemblé des chefs d’État et de gouvernement, des dirigeants d’organisations internationales, ainsi que des représentants de la société civile et du secteur privé. Ensemble, ces acteurs ont discuté des défis mondiaux urgents auxquels la communauté internationale est confrontée, tout en explorant des solutions pour construire un avenir plus durable, inclusif et résilient.

La présence du Président Faye à ce sommet témoigne de l’engagement continu du Sénégal dans la coopération internationale. Le communiqué souligne que sa participation « s’inscrit dans le cadre des efforts du Sénégal pour renforcer la coopération internationale et préparer un avenir plus juste, durable et prospère pour tous les citoyens du monde ».

En tant que pays en développement à la position géostratégique importante, le Sénégal se place ainsi comme un acteur clé dans les discussions internationales concernant les enjeux globaux. Le Sommet de l’Avenir se veut un cadre essentiel pour aborder des questions liées à la sécurité, au développement durable et à la résilience des économies face aux défis climatiques, sanitaires et sociaux.

Le Président Faye, à travers sa présence à ce sommet, réaffirme l’ambition du Sénégal de jouer un rôle de premier plan sur la scène internationale, notamment en matière de diplomatie et de développement global.

Le Président Bassirou Diomaye Faye en route pour la 79ème session de l’Assemblée générale de l’ONU à New York

Le Président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, a quitté Dakar ce samedi 21 septembre 2024 en direction de New York, où il participera à la 79ème session de l’Assemblée générale des Nations Unies. Cette rencontre internationale, qui se tiendra du 24 au 30 septembre 2024, portera sur le thème « L’unité dans la diversité, pour l’avancement de la paix, du développement durable et de la dignité humaine partout et pour tous ».

La participation du Chef de l’État à cette session revêt une importance particulière, car elle offre une plateforme pour faire entendre la voix du Sénégal sur des questions globales majeures, notamment la paix, la coopération internationale et la promotion des valeurs de justice. Le Président Faye profitera de cette tribune pour réaffirmer l’engagement du Sénégal envers le multilatéralisme et le développement durable.

En marge de cette session, le Président Faye participera également au Sommet du Futur, une initiative phare du secrétaire général des Nations Unies, António Guterres. Ce sommet vise à réunir les dirigeants du monde entier autour des défis de demain, notamment ceux liés aux technologies émergentes, au changement climatique, et à la construction d’un monde plus équitable et résilient.

Le voyage du Président Faye témoigne de l’importance que le Sénégal accorde à la coopération internationale et à la défense des principes universels de paix et de dignité humaine.

Le Président Bassirou Diomaye Faye attendu aux États-Unis pour sa première Assemblée générale de l’ONU

Le Président Bassirou Diomaye Faye se prépare à effectuer un important voyage officiel aux États-Unis. Selon des informations rapportées par le journal Enquête, le chef de l’État sénégalais sera présent à New York le 21 septembre pour participer pour la première fois à l’Assemblée générale des Nations unies. Ce déplacement marque un moment crucial dans sa jeune présidence, alors qu’il succède à Macky Sall à la tête du Sénégal.

Diomaye Faye prononcera son discours devant cette grande tribune internationale le mardi 25 septembre dans l’après-midi. Cette allocution sera particulièrement scrutée, tant sur le plan national qu’international, alors qu’il cherchera à affirmer sa vision pour le Sénégal et son engagement envers les défis mondiaux.

En marge de cette Assemblée générale, le Président sénégalais participera également à un sommet sur l’avenir du monde, organisé à l’initiative du secrétaire général de l’ONU. Cette rencontre, axée sur des discussions prospectives sur les grandes questions internationales, permettra au président Diomaye Faye de tisser des liens avec d’autres dirigeants mondiaux.

Cependant, comme le souligne le journal Enquête, aucune audience n’est prévue avec le président américain Joe Biden. Ce voyage n’en reste pas moins un moment clé pour Diomaye Faye, qui, avec sa participation à l’Assemblée générale des Nations unies, continue de se positionner sur la scène internationale.

Dissolution de l’Assemblée nationale : Un acte légal mais contesté par l’opposition

Anta Babacar Ngom dénonce une dérive autoritaire et appelle à la mobilisation citoyenne avant les élections du 17 novembre 2024

Le communiqué en intégralité :

Le Président de la République, Bassirou Diomaye FAYE, vient de dissoudre l’Assemblée nationale. Nous prenons acte de sa déclaration. Ce n’est pas une surprise. Mieux, c’est une décision qui était plus qu’attendue, compte tenu de la piètre qualité de cette législature depuis maintenant deux ans. Si la légalité de l’acte posé par le Président de la République ne souffre d’aucune contestation, la forme rompt de façon flagrante avec les principes d’éthique républicaine et d’élégance démocratique que nous sommes en droit d’attendre de la plus haute magistrature de notre pays. Le précédent est dangereux et inquiétant. Il s’agit de la remise en cause de la valeur de la « Parole présidentielle » et mieux de la « signature Présidentielle ». Un Président de la République ne ruse pas ! Les arguments avancés cachent maladroitement une tentative de consolidation d’un pouvoir sans partage, loin des aspirations de millions de Sénégalais qui avaient espéré un véritable renouveau démocratique. En votant à plus de 54 %, nos compatriotes avaient choisi la rupture. Ce qu’ils récoltent aujourd’hui est une trahison de cette espérance, un retour aux calculs politiques que notre peuple a rejetés et combattus avec courage et détermination. On a envie de dire « Tout ça pour ça » ! Le vote d’une loi d’orientation budgétaire n’aurait de sens que s’il est adossé aux orientations d’une déclaration de politique générale. La suppression des fonds spéciaux de la présidence sonnerait plus fort comme signal de rationalisation du train de vie de l’État, en lieu et place de la dissolution du CESE et du HCCT, qui ne présente aucune urgence, surtout en l’absence d’une majorité parlementaire sécurisée. Les arguments évoqués pour la dissolution de l’Assemblée nationale voleraient beaucoup plus haut, si son Excellence Monsieur le Président de la République s’était contenté de prendre ses responsabilités constitutionnelles sans verser dans le dilatoire et les calculs politiciens. En choisissant la date du 17 novembre 2024, le chef de l’État a pris le minimum de ce que la loi lui conférait pour organiser des élections transparentes et apaisées. Mais malheureusement, là encore, la ruse politique a pris le dessus sur le compromis politique et le dialogue inclusif. Ce qui s’est produit aujourd’hui est un signal d’alarme. Le moment est venu de dire “Non” à la dérive autoritaire en gestation. Les Sénégalais sont mis devant leurs responsabilités. La démocratie, pour être équilibrée et juste, doit être en mesure de s’autoréguler. C’est pourquoi l’Alternative pour la Relève Citoyenne appelle à la mobilisation sans précédent. Il nous incombe de barrer la route à ces manœuvres de force et de protéger nos institutions en imposant la COHABITATION au régime actuel. Le 17 novembre 2024, il ne s’agira pas simplement d’une élection. Il s’agira de l’avenir de notre démocratie. Il s’agira de dire que nous, citoyens sénégalais, refusons des pratiques qui mettent en péril nos acquis républicains. Mobilisons-nous pour un Sénégal où le pouvoir n’est plus un monopole, mais une responsabilité partagée, contrôlée et équilibrée ! Nous avons besoin de solutions concrètes, pas de manœuvres politiques. Le Président évoque la souveraineté du peuple. Oui, la souveraineté appartient au peuple et elle ne doit pas être instrumentalisée pour justifier des calculs politiques. Face à cette situation, nous, l’Alternative pour la Relève Citoyenne, tenons à réaffirmer notre détermination inébranlable à porter la voix du peuple à l’Assemblée nationale. L’État n’est pas un terrain de jeux, et il devient urgent de constituer une Alternative Responsable face à ce gouvernement, et ceci dans l’intérêt unique du Peuple sénégalais.

Gestion Financière : Le Président Bassirou Diomaye Faye Dévoile les Scandales de l’Ancienne Administration

Dans un discours marquant, le nouveau Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a exposé une situation alarmante concernant la gestion financière du pays. Fraîchement installé à la tête de l’État, il a dénoncé ce qu’il qualifie de « gestion financière désastreuse » sous l’ancienne administration, en dévoilant les résultats préliminaires d’un audit sévère, mené en conformité avec la loi sur la transparence dans la gestion des finances publiques.

L’audit révèle une situation inquiétante. Selon les premières conclusions, la gestion publique précédente a été marquée par des dérives graves, avec des chiffres qui témoignent d’une situation hors de contrôle. Une augmentation incontrôlée de la masse salariale, une explosion de la dette publique et de ses intérêts, ainsi qu’une gestion chaotique des subventions sont au cœur des reproches du Président Faye.

Le chef de l’État a décrit ces dérapages comme des « manipulations volontaires et cachées », qui ont entraîné une explosion de la dette et fragilisé l’économie nationale. En outre, il a dénoncé l’utilisation abusive des ressources extérieures, ce qui, selon lui, a gravement entamé la crédibilité financière du pays auprès des partenaires internationaux.

Fidèle à ses engagements de campagne, le Président Faye a promis une transparence totale dans la gestion des affaires publiques. Il a annoncé que son gouvernement s’engage à mener une revue exhaustive des révélations contenues dans le rapport d’audit, en collaboration avec les partenaires techniques et financiers du pays.

Une fois validé par la Cour des comptes, ce rapport sera rendu public, permettant ainsi aux citoyens de prendre la pleine mesure de l’ampleur des dérives financières. Le Président a réitéré son engagement à sanctionner sévèrement les responsables de cette gestion catastrophique, en rappelant que les pratiques passées ne resteront pas impunies.

Le discours du Président Faye symbolise le début d’une nouvelle ère, où la transparence et la responsabilité seront les principes directeurs de la gouvernance économique du pays. Les premières mesures annoncées visent à remettre sur pied une économie lourdement fragilisée, et à restaurer la confiance des citoyens ainsi que des partenaires internationaux.

Cette réforme profonde de la gestion des finances publiques sera cruciale pour redresser la situation économique du pays. Le Président a affirmé que chaque décision prise dans les mois à venir sera déterminante pour le futur de la nation, promettant une rigueur sans faille dans la gestion des affaires publiques.

Nomination imminente d’un Directeur des Affaires Religieuses : Bassirou Diomaye Faye en visite à Tivaouane

Lors de son déplacement ce jeudi dans la cité religieuse de Tivaouane, à l’occasion des préparatifs du Gamou, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a annoncé une nouvelle importante. S’exprimant devant le Khalife Général des Tidianes, le chef de l’État a révélé la prochaine nomination d’un Directeur des Affaires Religieuses, une position stratégique qui aura pour mission de coordonner les relations entre l’État et les différentes communautés religieuses du Sénégal.

Bassirou Diomaye Faye a souligné l’importance de ce choix délicat en insistant sur les critères qu’il a lui-même définis pour sélectionner la personne qui occupera cette fonction. « Depuis l’annonce de la direction des affaires religieuses, je faisais le casting pour trouver quelqu’un qui est apolitique », a déclaré le président. Le futur directeur devra se distinguer non seulement par ses compétences et sa connaissance approfondie des pratiques religieuses au Sénégal, mais aussi par sa capacité à collaborer avec l’ensemble des chefs religieux, indépendamment de leur obédience.

Cette annonce fait écho à l’attention particulière que porte l’État sénégalais aux foyers religieux, dans un pays où la foi et la spiritualité jouent un rôle central dans la vie publique et privée. En confiant cette mission à une personne qualifiée, Bassirou Diomaye Faye espère renforcer le dialogue entre l’État et les diverses communautés religieuses, tout en préservant l’harmonie sociale.

Le Président a conclu son discours en exprimant son optimisme quant à cette nomination prochaine, soulignant que le nouvel interlocuteur des autorités religieuses serait à même de fédérer l’ensemble des acteurs du paysage religieux sénégalais. Il a ajouté que cette collaboration accrue permettra de renforcer les liens de confiance entre l’État et les différents foyers religieux du pays.

Cette initiative témoigne d’une volonté de mieux encadrer les questions religieuses au Sénégal, tout en respectant la diversité des croyances et des pratiques spirituelles qui caractérisent le pays.

Lutte contre l’émigration clandestine : Le gouvernement annonce la mise en place d’un numéro vert pour dénoncer les filières dangereuses

Le président Bassirou Diomaye Faye a récemment annoncé des mesures importantes pour lutter contre le fléau de l’émigration clandestine, en particulier celle qui pousse de nombreux jeunes à braver les dangers de la mer dans l’espoir de trouver une vie meilleure à l’étranger. Selon lui, un numéro vert sera mis en place dans les prochains jours, destiné à encourager les citoyens à signaler les filières de migration illégales et les passeurs qui envoient les jeunes vers « les vagues de la mort ».

Un appel à la responsabilité citoyenne

Le président Faye a insisté sur l’importance du rôle que doit jouer la population dans cette lutte. « Les gens ne doivent pas se taire », a-t-il affirmé, soulignant que chaque silence contribue à la perte tragique de centaines de jeunes. Pour lui, ces jeunes représentent l’avenir du pays, ceux qui devraient être mobilisés pour la reconstruction nationale. « Ce sont ces jeunes-là qui constituent l’espoir », a-t-il rappelé avec force.

Renforcement des actions des forces de l’ordre

Si les forces de l’ordre continuent de mener un « travail remarquable » dans la lutte contre ce phénomène, leur efficacité, selon le président, dépendra également de la collaboration de la population. Le numéro vert, qui sera activé prochainement, permettra aux citoyens de dénoncer en toute discrétion les activités des passeurs et des réseaux de migration clandestine.

Un phénomène complexe nécessitant du temps

Le président Faye a cependant tenu à rappeler que le phénomène de l’émigration clandestine ne saurait être résolu en un claquement de doigts. Les causes profondes qui poussent les jeunes à prendre la mer, des causes souvent liées à la précarité économique, nécessitent des solutions durables. « Il faut du temps pour que des solutions qui sont mises en place opèrent et que les conséquences positives se fassent ressentir », a-t-il souligné.

Ainsi, au-delà des mesures immédiates, l’accent est mis sur la patience et la coopération collective pour combattre efficacement ce phénomène, tout en offrant aux jeunes des alternatives viables pour construire leur avenir dans leur propre pays.

DECLARATION DE POLITIQUE GENERALE : Le 13 septembre, si proche et pourtant…si loin

Il semble de plus en plus probable que le Premier ministre, Ousmane Sonko, ne présentera pas sa Déclaration de politique générale (DPG) comme prévu le 13 septembre. Cette perspective émerge du communiqué publié suite au Conseil des ministres de ce mardi, où le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, abordant les liens entre l’Exécutif et le Législatif, a évoqué la notion de « continuité de l’Etat » et ce, « en toute circonstance ». D’où la nécessité, selon lui, de « consolider, en permanence, un pouvoir exécutif préventif et responsable ». Cette déclaration met en exergue une préoccupation grandissante quant à la stabilité institutionnelle, qui semble suggérer que le Gouvernement pourrait envisager une dissolution de l’Assemblée nationale, le 12 septembre, avant que le budget de l’État ne soit voté. D’après NdiagaSylla, expert en démocratie, élections et gouvernance, organiser des élections législatives anticipées au plus tôt, à savoir à la mi-novembre, pourrait être une solution envisagée pour permettre l’installation rapide d’une nouvelle Assemblée nationale et assurer l’adoption du budget d’ici décembre 2024. Cette proposition pourrait intensifier les divergences entre l’opposition et le pouvoir vu que la Constitution impose la tenue d’élections anticipées dans les 90 jours suivant une dissolution de l’Assemblée alors que le code électoral prévoit jusqu’à 150 jours pour la collecte des parrainages. Pour régler ce problème lié au timing, la société civile appelle les partis politiques à négocier un consensus pour réduire le nombre de jours de collecte de parrainages et le nombre de parrains requis.

Autre élément qui montre que la tenue de la DPG serait un miracle : le chef de l’Etat a exhorté le Gouvernement à«poursuivre sans relâche la préparation et l’exécution de son programme politique, économique, législatif et budgétaire afin de mieux répondre aux urgences sociales ainsi qu’aux aspirations et préoccupations légitimes des populations ». Il en ressort que le « PROJET » n’est pas encore finalisé et est encore en cours d’élaboration. Ce qui pourrait expliquer le report ou l’annulation de l’exercice initialement prévu.

Ces développements laissent planer une incertitude quant à la présentation de la Déclaration de politique générale par Ousmane Sonko et suggèrent que le Gouvernement pourrait seconcentrer sur des ajustements institutionnels importants, incluant potentiellement des élections législatives anticipées pour garantir la stabilité et la continuité de l’État.

Dans un autre registre, le président a souligné l’urgence de se préparer aux défis futurs, notamment en matière de sécurité, d’emploi, de jeunesse, de gestion des finances publiques, et d’exploitation transparente des ressources pétrolières et gazières. « Préparer l’avenir face aux défis de sécurité, de l’emploi, de la jeunesse, de l’assainissement de nos finances publiques et de l’exploitation souveraine et transparente de nos ressources pétrolières et gazières » est donc une priorité pour l’administration actuelle.

Par ailleurs, le communiqué du Conseil des ministres rappelle que le chef de l’Etat accorde une importance au respect des prérogatives constitutionnelles et des compétences de chaque institution.

Diomaye Faye a, à cet effet, affirmé que « la bonne qualité des rapports entre les institutions détermine fondamentalement la stabilité politique et institutionnelle du pays ainsi que la mise en œuvre optimale des politiques et programmes publics indispensables au bien-être de nos populations ». 

La Dakaroise

Visite à Médina Baye:  » Baye Niass est mon modèle pour son patriotisme et son panafricanisme « , dixit Bassirou Diomaye Faye. 

Le président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye s’est rendue ce mercredi 11 septembre à Médina Baye. En présence du Khalif et des dignitaires, il a réaffirmé son amour et sa considération pour tous les foyers religieux du Sénégal.

 » A deux reprises, nous avons programmé de venir en visite à Médina Baye mais le calendrier chargé du Khalif ne nous avez pas permis d’effectuer ce périple. Beaucoup de personnes voulaient que nous venions ici mais nous le voulions plus que quiconque car nous connaissons la portée spirituelle et temporelle de Baye Niass. Il est notre modèle à bien des égards  » a informé le Président Bassirou Diomaye Faye. 

Prenant ses connaissances en témoin, le Chef de l’État a affirmé l’amour incommensurable qu’il voue à Baye Niass et à sa famille.  » Nous l’aimons d’un amour sincère, et celà, depuis très longtemps. Nous l’aimons pour son patriotisme et son panafricanisme mais encore ses enseignements sur la Faydha qu’il a partagés au delà des frontières  » a ajouté le Président de la République.

Continuant son discours, le Président de la République a martelé la ferme conviction qu’il a de l’intérêt de la religion dans la construction d’un pays.  » Nous croyons fermement que les recommandations divines sont des voies sûres qui peuvent aider à avoir des citoyens modèles, capables de bâtir une nation. Nous assumons des relations solides entre l’Etat et les familles religieuses  » a-t-il dit. 

Pour M. Bassirou Diomaye Faye, la laïcité ne signifie pas la neutralité de l’Etat vis-à-vis de la religion.  » Dans un pays où nous avons 90% de musulmans et 10% d’adeptes d’autres religions, nous pouvons dire que nous avons une population croyante à 100%. Ainsi la liberté de culte garantie par la Constitution à tous les citoyens doit être sauvegardée et facilitée par l’Etat  » a-t-il ajouté. 

Dissolution imminente de l’Assemblée nationale : Le Président Bassirou Diomaye Faye lance le processus

Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a franchi une étape décisive vers la dissolution de la 14e Législature, en envoyant une demande d’avis au Président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop. Selon les informations obtenues par L’Observateur, cette correspondance référencée n°313/Pr, datée du 9 septembre, marque le début du processus légal visant à dissoudre le Parlement.

Dans sa lettre, le Président Faye rappelle les dispositions de l’article 87 de la Constitution, qui autorise le Chef de l’État à dissoudre l’Assemblée nationale, après consultation du Premier ministre et du Président de l’Assemblée nationale. Il mentionne également la décision n°2/C/2024 du Conseil constitutionnel, en date du 10 juillet 2024, qui stipule que cette dissolution est légalement possible à partir du 12 septembre 2024.

Le chef de l’État a ainsi sollicité l’avis du Président de l’Assemblée sur la dissolution à partir de cette date, en fixant un délai de réponse au 11 septembre 2024, soit la veille de la date limite indiquée par le Conseil constitutionnel. Le Président Faye semble vouloir respecter les délais pour initier cette démarche de manière rigoureuse.

Cette demande de dissolution de l’Assemblée place un voile d’incertitude sur la Déclaration de politique générale prévue le 13 septembre par le Premier ministre. Si la dissolution est actée, elle pourrait rendre caduc cet événement parlementaire majeur. Tout semble indiquer que la fin de la 14e Législature est désormais une question de jours, et que le Président Diomaye Faye est résolu à faire usage de ses prérogatives constitutionnelles.

Cette décision pourrait avoir des répercussions importantes sur la scène politique nationale, avec une possible recomposition du paysage parlementaire à l’horizon.

Bassirou Diomaye Faye de retour à Dakar : Que va-t-il annoncer aux Sénégalais ?

Le Président Bassirou Diomaye Faye est de retour à Dakar depuis hier soir après une visite officielle en Chine. Son retour était attendu par une grande partie de la population sénégalaise, notamment en raison de l’annonce faite par le Premier ministre, Ousmane Sonko. Ce dernier, lors du lancement de la journée « Sétal » à Matam, a annoncé que le chef de l’État s’adresserait à la nation dès son arrivée.

« Nous avons trouvé ce pays dans un tel état ! », a déclaré Ousmane Sonko, laissant présager un discours important du président sur la situation actuelle du pays. Il a ajouté : « Le président va s’adresser à la nation dès son retour. Et il dira aux Sénégalais l’état dans lequel nous avons trouvé ce pays. » Ces propos ont immédiatement suscité de nombreuses spéculations sur ce que Bassirou Diomaye Faye pourrait révéler au peuple.

Cette allocution sera l’occasion pour le chef de l’État de faire le point sur sa récente mission en Chine, mais aussi de partager sa vision et ses orientations politiques pour le futur du Sénégal. La visite en Chine, qui s’inscrivait dans le cadre du renforcement des relations bilatérales et de la recherche d’investissements étrangers, pourrait avoir des répercussions positives pour l’économie nationale, un sujet qui sera certainement au cœur de son discours.

Mais au-delà des annonces économiques, les Sénégalais sont surtout impatients d’entendre ce que le président aura à dire sur la situation politique et sociale du pays. En effet, depuis son accession au pouvoir, Bassirou Diomaye Faye et son gouvernement ont fait face à de nombreux défis, et l’état des lieux de la gouvernance, évoqué par le Premier ministre, laisse entrevoir un bilan mitigé.

Le peuple attend donc avec impatience ce discours, qui pourrait bien marquer un tournant dans la présidence de Bassirou Diomaye Faye. Quels sont les réformes envisagées ? Comment compte-t-il répondre aux préoccupations des Sénégalais sur les questions économiques, sociales et politiques ? Autant de questions qui devraient trouver réponse dans son allocution.

Le pays est désormais suspendu aux propos de son président, espérant des solutions concrètes face aux défis auxquels le Sénégal fait face.

Discours imminent du Président Bassirou Diomaye Faye : Quelle annonce face à la crise parlementaire ?

Le président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, successeur de Macky Sall, s’apprête à s’adresser à la nation dès son retour de Chine, où il a participé au Sommet Chine-Afrique. L’annonce de ce discours, relayée par la Radio Télévision Sénégalaise (RTS) et reprise par le journal Enquête, attise déjà l’attention, même si le contenu précis reste encore flou. Cependant, selon les spéculations, une chose semble certaine : le président ne pourra ignorer l’actualité brûlante qui secoue le Sénégal, notamment la crise parlementaire.

Le Sénégal traverse actuellement une période délicate, marquée par des tensions au sein de l’Assemblée nationale. Depuis plusieurs semaines, des affrontements politiques et des désaccords au sujet de réformes institutionnelles alimentent les débats. Plusieurs sessions parlementaires ont été perturbées par des altercations entre députés, témoignant de la gravité de la situation. De plus, l’opinion publique s’inquiète de l’incapacité apparente de l’Assemblée à mener à bien ses travaux législatifs dans un climat apaisé.

Cette crise parlementaire a pris de l’ampleur, au point de susciter des craintes quant à la stabilité des institutions démocratiques du pays. Il est donc fort probable que l’allocution de Bassirou Diomaye Faye vise à rassurer les citoyens tout en proposant une feuille de route pour sortir de cette impasse.

Les attentes de la population sont élevées, tant sur le plan économique que politique. Le récent sommet Chine-Afrique a permis à Bassirou Diomaye Faye de renforcer les relations entre Dakar et Pékin, ouvrant des perspectives de coopération économique pour les prochaines années. Le discours du président pourrait donc également aborder les retombées de ce sommet, notamment en matière d’investissements, de développement des infrastructures et de partenariats stratégiques.

Toutefois, c’est la crise parlementaire qui retient surtout l’attention. Les Sénégalais s’interrogent sur les mesures que le chef de l’État compte prendre pour restaurer l’ordre au sein de l’hémicycle et garantir le bon fonctionnement des institutions. Des réformes constitutionnelles, la réorganisation du travail parlementaire ou encore des appels au dialogue entre les différents groupes politiques pourraient figurer parmi les sujets abordés.

Dans une période marquée par des incertitudes politiques et sociales, Bassirou Diomaye Faye pourrait se poser en rassembleur, prônant l’unité nationale. Si l’histoire récente du Sénégal a montré que le pays a souvent su surmonter des crises politiques, il incombe désormais à son président de trouver des solutions durables pour apaiser les tensions et permettre à la démocratie sénégalaise de continuer à prospérer.

Le discours de Bassirou Diomaye Faye sera scruté de près, non seulement par la classe politique, mais aussi par la population sénégalaise dans son ensemble. Face à la crise parlementaire et aux nombreux défis qui se posent au Sénégal, il sera attendu sur des mesures concrètes pour apaiser les tensions et tracer une voie vers une stabilité institutionnelle renouvelée. L’annonce prochaine de son allocution est donc perçue comme un moment crucial pour l’avenir politique du pays.

Ouverture officielle du 4e Sommet du FOCAC à Pékin : Une coopération sino-africaine renforcée sous le signe de la modernisation

Ce jeudi 5 septembre a marqué le lancement officiel du 4e Sommet du Forum sur la Coopération Sino-Africaine (FOCAC) à Pékin, un événement co-présidé par la Chine et le Sénégal. Ce sommet, qui se déroulera jusqu’au 6 septembre, porte sur le thème : « Se donner la main pour avancer la modernisation et construire une communauté sino-africaine de haut niveau avec un avenir commun ».

Présent à Pékin depuis le 2 septembre dans le cadre d’une visite d’État, le Président du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, a profité de son discours d’ouverture pour exprimer sa gratitude au Président chinois Xi Jinping et au peuple chinois pour l’hospitalité chaleureuse dont il a été l’objet. Dans son allocution, il a mis en lumière l’importance du FOCAC en tant que plateforme innovante pour le renforcement des relations sino-africaines depuis sa création en 2000.

Le Président Bassirou Diomaye Faye a salué la vitalité du FOCAC, qui, depuis plus de deux décennies, a permis de construire des partenariats stratégiques entre la Chine et les pays africains. Le forum a favorisé des échanges fructueux et a permis de concrétiser de nombreux projets, notamment dans les secteurs des infrastructures, de l’agriculture, de la formation et de la santé. Il a tenu à souligner que ces initiatives, menées dans le cadre du FOCAC, sont des exemples concrets de la coopération efficace entre la Chine et l’Afrique.

En outre, le Chef de l’État sénégalais a reconnu l’importance cruciale du forum pour le développement du continent africain, tout en soulignant les défis à venir, tels que l’accélération de la modernisation et la réduction des inégalités économiques. Il a insisté sur la nécessité de continuer à renforcer la coopération sino-africaine, tout en adoptant une approche qui tient compte des aspirations communes et des réalités spécifiques des différents partenaires.

Au cours de son intervention, Bassirou Diomaye Faye a également exprimé sa satisfaction quant aux résultats concrets de cette coopération. Il a notamment mis en avant les progrès réalisés dans les domaines des infrastructures et de l’agriculture, qui ont transformé des millions de vies sur le continent africain. Il a aussi salué les efforts conjoints dans les secteurs de la formation et de la santé, qui ont permis aux pays africains de renforcer leurs capacités humaines et techniques, essentiels pour leur développement durable.

Enfin, dans un esprit de continuité et de solidarité, le Président sénégalais a adressé ses félicitations au Président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso, pour sa future prise de fonction en tant que co-président africain du FOCAC. Il a exprimé ses vœux de succès pour cette nouvelle étape dans la conduite de ce partenariat stratégique, en espérant que cette coopération continuera de se renforcer et de s’épanouir au bénéfice des populations africaines et chinoises.

Alors que le 4e Sommet du FOCAC se poursuit, il apparaît clairement que cette plateforme de coopération reste un vecteur incontournable pour la modernisation et la transformation des relations sino-africaines. Les engagements pris lors de ce sommet devraient contribuer à forger une communauté de destin entre la Chine et l’Afrique, guidée par des principes de solidarité, de développement mutuel et de prospérité partagée.

« Motion de censure déposée : le Président fixe la session extraordinaire et la majorité obtient la tenue de la DPG »

Lors de la réunion du bureau de l’Assemblée nationale, le président Amadou Mame Diop a annoncé que le président du groupe Benno Bokk Yakaar (BBY), Abdou Mbow, avait déposé une motion de censure la veille et informé le président de la République. Le président Bassirou Diomaye Faye a ordonné au Premier ministre de présenter sa déclaration de politique générale (DPG). En outre, le chef de l’État a fixé l’ouverture de la session extraordinaire pour demain, jeudi, à 10 heures. Le groupe parlementaire BBY considère cela comme « une grande victoire pour les députés de la majorité, qui ont finalement réussi à exiger la tenue de la DPG après plusieurs retards. »

Le Président Bassirou Diomaye Faye a démis de leurs fonctions Aminata Mbengue Ndiaye, présidente du Haut Conseil des Collectivités Territoriales, ainsi qu’Abdoulaye Daouda Diallo, président du Conseil Économique, Social et Environnemental.

Assemblée nationale : Controverse autour du rapport de victoire de Bassirou Diomaye Faye

Lors de la dernière séance plénière à l’Assemblée nationale, le député Ayib Daffé a soulevé plusieurs irrégularités dans le rapport présenté avant l’ouverture des discussions officielles. Ce rapport, qui concerne la victoire de Bassirou Diomaye Faye, a fait l’objet d’observations critiques de la part de Daffé, qui estime que certaines données y figurant sont incorrectes et biaisées.

Selon Daffé, des chiffres et des détails attribués à un commissaire semblent avoir été insérés de manière inexacte dans le rapport. « Je ne me rappelle pas qu’un commissaire ait donné tous ces chiffres-là et tous ces détails-là », a-t-il déclaré. Il a interprété cela comme une tentative de minimiser la victoire de Bassirou Diomaye Faye, soulignant que cela reflète un manque de fair-play de la part des rédacteurs du rapport.

Le député a insisté sur le fait que ces précisions sur les écarts de voix, qu’il juge non essentielles, auraient pu être évitées. « Il a gagné, il faut le féliciter et passer à autre chose », a-t-il ajouté, en appelant à une reconnaissance plus claire de la victoire sans insister sur des détails qu’il considère superflus.

En conclusion, Ayib Daffé a tout de même félicité le rapporteur pour le travail accompli, tout en déplorant un manque d’équilibre dans la prise en compte des opinions, notamment celles des opposants au projet. Il a laissé entendre que le rapport semblait avoir été écrit sous l’influence du président du groupe parlementaire de BENNO, ce qui, selon lui, compromet la neutralité attendue dans un tel document.

Cette intervention souligne les tensions persistantes au sein de l’Assemblée nationale, où chaque mot et chiffre inclus dans les rapports sont scrutés, révélant les clivages politiques sous-jacents.

Le Président Bassirou Diomaye Faye en Visite d’État en Chine : Une délégation sénégalaise de haut niveau pour le FOCAC

Dans le cadre de sa visite d’État en Chine, le Président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, a pris l’initiative de se déplacer avec une importante délégation, marquant ainsi la forte implication du Sénégal dans les discussions à venir. Cette visite, qui précède le Forum sur la Coopération Sino-Africaine (FOCAC) prévu du 4 au 6 septembre, revêt une importance capitale pour le renforcement des relations bilatérales entre le Sénégal et la Chine.

Le Président Faye, toujours attentif à l’implication des différents acteurs nationaux dans les grandes rencontres internationales, a convié à ce déplacement plusieurs membres éminents du patronat sénégalais. Parmi eux, on retrouve Serigne Mboup, président de la Chambre de Commerce de Kaolack, ainsi que Pierre Goudiaby Atepa, architecte et homme d’affaires réputé. Cette présence traduit la volonté du Sénégal de renforcer les liens économiques avec la Chine et de saisir les opportunités offertes par cette collaboration stratégique.

La délégation, plus large que celle qui a quitté Dakar en compagnie du Président ce matin, comprend également des ministres et des chefs d’entreprises sénégalais qui ont rejoint la capitale chinoise en avance pour préparer les échanges et les négociations qui auront lieu lors du FOCAC.

Fidèle à sa promesse, le Chef de l’État a également invité deux jeunes lauréats du Concours Général 2024, Zeynab Diène Samb et Ahmadou Bachir Touré, à se joindre à ce voyage historique. Cette invitation témoigne de l’engagement du Président Faye envers l’excellence académique et la reconnaissance du mérite au plus haut niveau. En permettant à ces jeunes talents de participer à un événement d’une telle envergure, le Président envoie un message fort quant à l’importance de l’éducation et de l’investissement dans la jeunesse pour l’avenir du pays.

Cette visite d’État s’annonce donc comme un moment crucial pour le Sénégal, qui entend bien tirer parti de cette opportunité pour renforcer ses partenariats économiques et culturels avec la Chine, tout en mettant en avant ses jeunes talents prometteurs sur la scène internationale.

Visite d’État en Chine : Le Président Bassirou Diomaye Faye renforce les liens entre le Sénégal et la Chine

Le Président de la République du Sénégal, Son Excellence Bassirou Diomaye Faye, a quitté Dakar ce dimanche 1er septembre 2024 pour entamer une visite d’État en République populaire de Chine. Cette visite, qui se déroulera les 3 et 4 septembre, s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations d’amitié et de coopération entre les deux nations, lesquelles ont récemment été portées au rang de partenariat stratégique global.

Invité par le Président chinois Xi Jinping, le Chef de l’État sénégalais aura l’occasion d’échanger avec son homologue sur des questions bilatérales d’intérêt commun, en mettant l’accent sur des domaines essentiels tels que les infrastructures, l’agriculture, l’industrie, et les technologies de l’information et de la communication. Cette visite sera également l’opportunité d’explorer de nouvelles voies de collaboration, particulièrement dans les secteurs clés pour le développement des deux pays.

Au-delà des rencontres bilatérales, cette visite revêt une importance particulière dans le contexte des relations sino-africaines. Le Président Bassirou Diomaye Faye participera en tant que co-président au sommet du Forum sur la coopération sino-africaine (FOCAC), qui se tiendra à Beijing du 4 au 6 septembre 2024. Ce sommet, réunissant les dirigeants africains et chinois, sera l’occasion de discuter des enjeux majeurs pour le continent africain et de renforcer les engagements pris dans le cadre du partenariat sino-africain.

Le FOCAC, créé en 2000, est une plateforme clé pour le dialogue entre la Chine et les pays africains, visant à promouvoir le développement mutuel et à renforcer la coopération dans divers domaines, y compris l’économie, la sécurité, et les échanges culturels. En co-présidant ce sommet, le Président Faye réaffirme le rôle central du Sénégal dans la diplomatie africaine et son engagement à promouvoir une coopération internationale basée sur le respect mutuel et les intérêts partagés.

Cette visite d’État s’annonce donc comme un moment crucial pour le Sénégal, qui pourra consolider ses relations avec la Chine tout en jouant un rôle déterminant dans l’avenir des relations sino-africaines.

Rencontre entre le Président Bassirou Diomaye Faye et Tony Elumelu : Un Partenariat pour la Transformation Économique

Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a accueilli ce vendredi M. Tony Elumelu, PDG du Groupe United Bank for Africa (UBA) et président de la Fondation Tony Elumelu, au Palais de la Présidence. Cette rencontre symbolise un tournant majeur dans les relations entre le gouvernement et les acteurs du secteur privé, avec un accent particulier sur le développement économique et social du pays.

Lors de cette entrevue, M. Elumelu a félicité le Chef de l’État pour sa récente élection, qu’il a qualifiée de « brillante ». Reconnu pour son engagement en faveur de l’entrepreneuriat africain, M. Elumelu a exprimé son enthousiasme à l’idée de collaborer étroitement avec l’administration du Président Faye pour catalyser la transformation économique du pays.

Le PDG de UBA a particulièrement souligné l’importance des secteurs stratégiques, notamment l’énergie et l’autonomisation des jeunes. « Ces secteurs sont cruciaux pour le développement durable de notre continent, » a-t-il déclaré, avant d’ajouter que la Fondation Tony Elumelu est prête à apporter son expertise et ses ressources pour soutenir ces initiatives.

De son côté, le Président Bassirou Diomaye Faye a salué l’engagement de M. Elumelu en faveur de l’Afrique et a réaffirmé sa volonté de travailler main dans la main avec le secteur privé pour accélérer la croissance économique et améliorer les conditions de vie de la population.

Cette rencontre promet d’ouvrir de nouvelles perspectives pour la coopération entre le gouvernement et le secteur privé, avec pour objectif ultime de propulser le pays vers un avenir prospère et inclusif.

L’Appel à l’Europe de Diomaye Faye pour la Stabilisation du Sahel et les Accords Migratoires avec l’Espagne

Le président sénégalais, Diomaye Faye, a réitéré jeudi son appel pressant à une plus grande implication de l’Europe dans la lutte contre l’instabilité au Sahel. Lors d’une rencontre à Dakar avec le Premier ministre espagnol, Pedro Sánchez, M. Faye a souligné l’importance d’une coopération internationale renforcée pour contrer le terrorisme dans cette région critique d’Afrique.

« La situation au Sahel face au terrorisme nécessite une mobilisation globale de la communauté internationale, et surtout de l’Europe, aux côtés des pays concernés, car il est connu que les continents africains et européens ont un destin sécuritaire lié », a déclaré M. Faye devant la presse. Cette déclaration intervient alors que le Sénégal, pays frontalier du Mali, joue un rôle clé en tant que médiateur pour un retour du Mali, du Burkina Faso, et du Niger au sein de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao). Ces trois nations sahéliennes, confrontées à une montée en puissance du jihadisme et marquées par des coups d’État militaires, se sont progressivement éloignées des alliances traditionnelles avec les puissances occidentales, au profit d’une collaboration accrue avec la Russie.

Pedro Sánchez, de son côté, a salué les efforts de médiation du président sénégalais, soulignant que « le Sahel revêt une importance stratégique pour l’Espagne, et nous souhaitons donc contribuer à sa stabilité et à sa prospérité ». Cette visite au Sénégal marque la dernière étape d’une tournée de trois jours du Premier ministre espagnol en Afrique de l’Ouest, tournée largement axée sur la gestion des flux migratoires croissants vers l’Espagne.

En effet, la question migratoire a été au centre des discussions lors de cette rencontre. M. Sánchez a annoncé la signature d’un nouvel accord avec le Sénégal visant à réguler et à structurer les flux migratoires entre les deux pays. Cet accord, qui vient compléter les dispositifs déjà existants, prévoit l’élargissement des secteurs d’activité concernés ainsi que la formation des travailleurs sénégalais se rendant en Espagne. Ce partenariat s’inscrit dans une démarche plus large de l’Espagne, qui a déjà conclu des accords similaires avec la Mauritanie et la Gambie lors de cette même tournée.

Le Sénégal est en effet l’un des principaux points de départ pour les migrants africains tentant de rejoindre l’Europe via la périlleuse route de l’Atlantique. L’armée sénégalaise a annoncé mercredi soir avoir porté secours à 41 migrants au large des côtes marocaines, soulignant l’urgence de mettre en place des mécanismes plus sûrs et régulés pour les migrations.

Avec ces initiatives conjointes, le Sénégal et l’Espagne montrent leur volonté de renforcer leur coopération face à des défis communs, qu’ils soient sécuritaires ou migratoires, dans une région où la stabilité reste fragile.

Le Président Bassirou Diomaye Faye annoncé en visite d’État en Chine avant le quatrième Sommet du Forum Sino-Africain

Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, se rendra en Chine les 3 et 4 septembre 2024 pour une visite d’État, selon un communiqué officiel publié après la réunion du Conseil des ministres de ce mercredi. Cette visite se déroulera en prélude au quatrième sommet du Forum de coopération sino-africain, prévu pour les 5 et 6 septembre 2024.

Cette visite d’État marque une étape importante dans les relations diplomatiques entre le Sénégal et la République populaire de Chine. Elle survient dans un contexte de renforcement des liens entre la Chine et les pays africains, un sujet qui sera au cœur des discussions lors du sommet de Beijing. Ce sommet réunira plusieurs chefs d’État africains et chinois pour discuter des enjeux économiques, politiques et stratégiques qui lient les deux continents.

Le communiqué du Conseil des ministres précise que cette visite de haut niveau permettra au Président Faye de consolider les relations bilatérales avec la Chine, tout en préparant le terrain pour les discussions multilatérales à venir. L’agenda précis du Président durant son séjour en Chine n’a pas encore été détaillé, mais il est attendu qu’il rencontre son homologue chinois et d’autres hauts responsables du gouvernement chinois.

Ce déplacement en Chine s’inscrit dans une série de visites diplomatiques que le Président Faye a effectuées ces derniers mois, visant à renforcer la position du Sénégal sur la scène internationale et à attirer davantage d’investissements étrangers dans le pays.

La participation du Sénégal au Forum de coopération sino-africain est perçue comme une opportunité stratégique pour le pays de renforcer ses partenariats économiques et de développer de nouvelles collaborations dans divers secteurs, notamment les infrastructures, l’énergie, et les technologies.

La coopération sino-africaine est depuis longtemps un pilier des relations internationales pour de nombreux pays africains, et le Sénégal ne fait pas exception. La visite d’État du Président Faye pourrait ouvrir de nouvelles perspectives pour le développement du pays, en ligne avec les objectifs de développement national.

En attendant, les préparatifs pour cette visite d’État sont en cours, et l’attention se tourne désormais vers le sommet du Forum de coopération sino-africain, où des annonces significatives pourraient être faites concernant l’avenir des relations sino-africaines.

Réforme judiciaire au Sénégal : Bassirou Diomaye Faye préside son premier Conseil supérieur de la magistrature

La première réunion du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) sous la présidence de Bassirou Diomaye Faye se tient ce vendredi au palais de la République. Quatre mois après son entrée en fonction, le chef de l’État s’apprête à apporter des changements profonds au sein du système judiciaire du Sénégal. Selon des sources bien informées, l’ensemble des juridictions du pays pourrait connaître des modifications significatives.

Le journal L’Observateur indique que cette réunion, longtemps attendue et maintes fois repoussée, est marquée par une volonté claire des nouvelles autorités de réformer le paysage judiciaire. Le retard de la séance serait dû à des ajustements visant à placer des magistrats spécifiques à des postes clés, une stratégie qui témoigne du désir de l’Exécutif de renforcer la justice sénégalaise.

D’après le quotidien, le ministre de la Justice, Ousmane Diagne, aurait joué un rôle déterminant dans ce processus, en écartant certains magistrats initialement proposés. Cette intervention, qui a été bien accueillie par la nouvelle administration, aurait retardé la tenue du CSM mais devrait aboutir à une configuration plus en phase avec les ambitions de réforme du président Faye.

Parmi les changements attendus, plusieurs magistrats devraient être mutés, des postes vacants pourvus, et le parquet financier enfin renforcé pour mieux lutter contre les infractions économiques et financières. Selon L’Observateur, Ibrahima Ndoye, ancien premier substitut du procureur de la République et Procureur de Saint-Louis, est pressenti pour diriger le parquet du Tribunal de grande instance hors classe de Dakar, en remplacement de Abdou Karim Diop.

Ce « chamboulement général » annonce une nouvelle ère pour le système judiciaire sénégalais, sous l’égide du président Bassirou Diomaye Faye, qui semble déterminé à imprimer sa marque sur les institutions du pays. Les prochaines semaines s’annoncent décisives pour la mise en place de ces réformes et leur impact sur la justice sénégalaise.

Le Président Bassirou Diomaye Faye écrit au Roi Salmane d’Arabie saoudite : Une correspondance sur fond de contrat annulé

Le Président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, a récemment envoyé une lettre officielle au roi Salmane d’Arabie saoudite. Ce geste diplomatique, rapporté par l’Agence de presse saoudienne (SPA) et relayé par Bés Bi, survient dans un contexte délicat pour les relations sénégalo-saoudiennes, suite à l’annulation d’un contrat important.

Selon les sources, Mary Teuw Niane, directeur de cabinet du président Faye, a été mandaté pour porter la correspondance à Riyad. Bien que le contenu précis de la lettre reste confidentiel, ce courrier pourrait bien être lié à une décision récente du gouvernement sénégalais d’annuler un contrat controversé, attribué au groupe saoudien ACWA Power.

Ce contrat, d’une valeur de 459 milliards de francs CFA, portait sur l’installation d’une usine de dessalement de l’eau de mer à Dakar. Il avait été signé sous la présidence de Macky Sall, à seulement quatre jours de la fin de son mandat, ce qui a soulevé des soupçons d’irrégularités et de précipitation. Les spéculations autour de cet accord se sont intensifiées après son annulation par le nouveau président Faye, qui semble vouloir instaurer une plus grande transparence dans la gestion des affaires publiques.

Durant son séjour en Arabie saoudite, Mary Teuw Niane a également rencontré le vice-ministre des Affaires étrangères saoudien. Les discussions auraient porté sur les liens entre les deux pays et les moyens de les renforcer. Cette rencontre pourrait être perçue comme une tentative de maintenir des relations bilatérales solides malgré les tensions possibles liées à l’annulation du contrat avec ACWA Power.

Il est à noter que cette correspondance survient après une rencontre entre le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, et le ministre saoudien de l’Environnement, de l’Eau et de l’Agriculture. Cela suggère que les autorités sénégalaises souhaitent gérer de manière proactive et diplomatique les répercussions de leur décision d’annuler ce contrat majeur, tout en maintenant des relations cordiales avec Riyad.

L’envoi de cette lettre au roi Salmane par le Président Faye marque une étape importante dans les relations entre le Sénégal et l’Arabie saoudite. En dépit des tensions possibles dues à l’annulation de l’accord avec ACWA Power, il semble que les deux pays s’efforcent de continuer à travailler ensemble et de renforcer leurs liens dans divers domaines. Le contenu précis de la lettre reste cependant un point de spéculation, laissant les observateurs dans l’attente de plus d’informations sur les discussions entre Dakar et Riyad.

Le Président Bassirou Diomaye Faye envisage de consulter le Conseil constitutionnel pour la dissolution de l’Assemblée nationale

Le Président Bassirou Diomaye Faye a exprimé son intention de solliciter l’avis du Conseil constitutionnel afin de déterminer la date à partir de laquelle il pourra légalement dissoudre l’Assemblée nationale. Cette démarche s’inscrit dans le cadre des objectifs de son camp politique, Pastef et ses alliés, selon des informations relayées par L’Observateur et partagées sur la page Facebook officielle de Pastef-Les Patriotes.

D’après les informations disponibles, le Conseil constitutionnel, souvent désigné par l’expression « les Sept sages », aurait déjà formulé une réponse, bien que celle-ci n’ait pas encore été officiellement communiquée. Selon cette instance, le mandat des députés ne peut être interrompu avant la fin des deux premières années de la législature, une période qui débute à compter de la date de leur installation officielle.

Ainsi, des juristes cités par L’Observateur indiquent que le Président Diomaye Faye pourrait invoquer l’article 87 de la Constitution pour dissoudre l’Assemblée nationale à partir du 14 septembre 2024. Cet article précise que la dissolution ne peut être effectuée qu’après consultation du Premier ministre et du président de l’Assemblée nationale.

La décision du Président Faye de consulter le Conseil constitutionnel avant d’envisager une dissolution témoigne de son engagement à suivre les procédures constitutionnelles en vigueur. Reste à voir comment cette initiative sera accueillie par les autres acteurs politiques et quelles seront les répercussions sur la scène politique nationale.

L’article 87 de la Constitution, souvent au cœur des débats politiques, stipule que la dissolution de l’Assemblée nationale est une prérogative du président de la République, mais elle doit être exercée dans le respect strict des conditions définies par la loi. La consultation préalable du Premier ministre et du président de l’Assemblée nationale vise à garantir une décision réfléchie et concertée, évitant ainsi les crises institutionnelles.

La date du 14 septembre 2024 pourrait donc marquer un tournant décisif pour l’avenir de l’Assemblée nationale, et par extension, pour la stabilité politique du pays. Les prochains mois seront cruciaux pour observer les développements et les réactions des différents partis et coalitions politiques à cette possible dissolution.

En attendant l’officialisation de la réponse du Conseil constitutionnel, les spéculations vont bon train sur les intentions et les stratégies des différents acteurs politiques. La décision finale du Président Diomaye Faye pourrait bien redéfinir les équilibres politiques en place et ouvrir une nouvelle page dans l’histoire politique du pays.

Le Président de la République rend hommage au Khalife Général des Mourides lors de la journée de l’arbre à Touba

Lors de la Journée de l’Arbre, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a effectué une visite significative à Touba. Après avoir symboliquement planté un manguier à l’Héliport en présence de Cheikh Bassirou Mbacké Abdou Khadre, le président s’est rendu à Darou Miname pour rencontrer le Khalife Général des Mourides.

À cette occasion, le président Faye a tenu à rendre un vibrant hommage au Khalife Général pour son soutien indéfectible, qui a grandement contribué au succès de cette journée. « C’est grâce à vous que des disciples Mourides ont massivement contribué à la réussite de la journée en nous octroyant des plants. Cette journée ne fait aucune distinction entre tarikha, chapelles politiques ou coalitions diverses. Tout le monde est impliqué. Mais c’est grâce à vous que nous avons une structure comme Touba Ca Kanam, capable de reboiser une bonne partie de la commune. On gagnerait à avoir des structures du type Touba Ca Kanam dans toutes les communes du Sénégal, » a déclaré le président.

En outre, Bassirou Diomaye Faye a profité de cette rencontre pour partager son ambition de révolutionner le Sénégal, sollicitant le soutien du Khalife et de tous les chefs religieux. « Nous prenons l’engagement de vous informer, vous et tous les chefs religieux, de tout ce que nous entreprendrons. Nous avons aussi démarré des échanges pour préparer le Grand Magal sous la conduite du Premier ministre pour que les décisions qui s’imposent pour la réussite de l’événement soient prises, » a-t-il affirmé. Cependant, il a exprimé ses regrets concernant le temps limité dont dispose son gouvernement pour satisfaire les nombreuses exigences associées à cet événement. « Les délais ont été trop courts mais c’est un sacerdoce pour nous de tout mettre en œuvre pour faciliter aux pèlerins leur venue ici à Touba, » a-t-il ajouté.

En réponse, Cheikh Bassirou Mbacké, au nom du Khalife Général des Mourides, a salué le choix de Touba pour abriter cette journée et a félicité le président pour l’importance accordée à la religion dans sa gouvernance. Cette rencontre symbolise un moment de coopération et de respect mutuel entre le pouvoir politique et religieux, illustrant l’importance de l’engagement communautaire pour le développement durable du Sénégal.

Journée de l’Arbre : Le Président de la République met l’accent sur le reboisement pour la souveraineté alimentaire et le développement économique

Comme annoncé, le Président de la République a présidé ce dimanche la Journée de l’Arbre, placée cette année sous le thème : « Le rôle du reboisement dans la souveraineté alimentaire et le développement économique ». Le manguier a été choisi comme arbre parrain de cette édition. À son arrivée, il a été accueilli par le porte-parole du Khalife, Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre, accompagné de Serigne Habibou Mbacké Falilou, représentant de l’association « Touba Ca Kanam ».

Dans son discours, S. E Bassirou Diomaye Faye a exprimé sa satisfaction quant au travail remarquable réalisé par l’association « Touba Ca Kanam » en matière de reboisement. Selon lui, l’association dispose d’une pépinière de 28 000 plants, une information qui lui a été communiquée par le ministre de l’Environnement et de la Transition Écologique. « Touba Ca Kanam a fait un travail exceptionnel dans ce domaine. L’État s’engage à les accompagner à travers son ministère de l’Environnement », a-t-il déclaré.

Le Chef de l’État a également profité de cette occasion pour sensibiliser les Sénégalais à l’importance de planter des arbres et d’en assurer le suivi. « Planter des arbres doit être une activité quotidienne. C’est l’occasion d’encourager l’association et de la donner en exemple à toutes les populations de ce pays. Il s’agit de planter des arbres toute l’année mais aussi de veiller à leur entretien au-delà de l’hivernage », a-t-il souligné.

Cette Journée de l’Arbre témoigne de l’engagement du gouvernement à promouvoir des pratiques écologiques pour assurer la souveraineté alimentaire et favoriser le développement économique du pays. Les efforts de reboisement, exemplifiés par « Touba Ca Kanam », montrent la voie à suivre pour un Sénégal plus vert et durable.

Président Diomaye Faye mobilise l’inspection générale d’État pour un audit de grande envergure

Le Président Diomaye Faye a récemment lancé une initiative de grande envergure en mobilisant l’Inspection générale d’État (IGE) pour auditer plus de 70 directions, agences et fonds publics. Cette opération a pour objectif de traquer d’éventuelles irrégularités de gestion et d’identifier leurs auteurs.

Selon l’édition de ce jeudi du journal Le Témoin, les missions d’audit devraient être bouclées dans les prochains jours. Les rapports de l’IGE viendront s’ajouter à ceux de la Cour des comptes et de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (OFNAC).

Une fois complétés, tous ces rapports seront transmis au procureur de la République. Toutefois, ce ne sera pas l’actuel chef du parquet, Abdou Karim Diop, qui en sera le destinataire, mais son successeur. Le journal précise que les autorités attendent la prochaine réunion du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) pour nommer de nouveaux chefs de juridiction et de parquet, moment où les rapports des corps de contrôle seront transmis à la justice.

Le Témoin va plus loin en annonçant l’imminence de convocations et d’arrestations de dignitaires de l’ancien régime. Il affirme que certains dossiers renferment des crimes financiers flagrants, si bien que le juge d’instruction n’aura même pas besoin d’ouvrir une information judiciaire.

Dans cette perspective, le ministère de la Justice a prévu un budget pour la rénovation de certaines cellules des prisons de Rebeuss et du Cap Manuel, afin de les préparer à accueillir de nouveaux détenus. Cette mesure semble logique, étant donné que l’Administration pénitentiaire s’attend à devoir gérer des détenus d’un statut particulier.

Cette initiative marque une étape significative dans la lutte contre la corruption et les mauvaises pratiques de gestion publique, signalant une volonté ferme de la part du Président Faye de rétablir l’intégrité et la transparence au sein des institutions publiques du pays.

Voyage : Le président Diomaye a quitté Dakar pour Nouakchott (Mauritanie) afin d’assister à la cérémonie d’investiture du président réélu de la République islamique de Mauritanie, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani.

Appel à l’Action : La société civile pousse le Président Bassirou Diomaye Faye à respecter ses engagements

Les organisations rappellent au Président Faye ses promesses de bonne gouvernance et de réformes institutionnelles

Plus de trois mois après l’arrivée au pouvoir du Président Bassirou Diomaye Faye, les membres de la société civile, regroupés au sein du collectif des Mouvements engagés pour l’application des conclusions des Assises Nationales (AN 2008/2009) et de la Commission Nationale des Réformes des Institutions (CNRI/2013), se manifestent pour rappeler au nouveau chef de l’État les engagements pris lors de sa campagne. En effet, le collectif insiste sur la nécessité de mettre en œuvre le Pacte de bonne gouvernance démocratique, un contrat social basé sur les conclusions des Assises nationales et les recommandations de la CNRI.

Ce mardi 30 juillet, lors d’une conférence de presse, Mamadou Ndoye, porte-parole du collectif, a souligné l’importance pour le gouvernement de démontrer un respect inébranlable des engagements pris par le candidat Diomaye durant sa campagne électorale. « La première différence, par rapport à ce que le peuple a observé jusqu’ici, doit être de montrer qu’elles respectent les engagements auxquels elles ont librement souscrits à travers le candidat Diomaye vis-à-vis du Pacte, mais aussi de Ousmane Sonko qui a signé la charte des Assises nationales, » a déclaré Ndoye.

Le collectif a également fait part de ses efforts pour engager un dialogue direct avec le Président Faye. Une lettre de félicitations accompagnée d’une demande d’audience a été envoyée au nouveau chef de l’État le 25 mars 2024, suivie d’une relance le 19 avril 2024. Cependant, à ce jour, aucune réponse n’a été reçue.

Les organisations de la société civile maintiennent la pression pour que le gouvernement actuel se distingue de ses prédécesseurs par une réelle application des principes de bonne gouvernance et de réforme institutionnelle. Le collectif réaffirme que ces réformes sont cruciales pour le développement démocratique du Sénégal et attend du Président Faye qu’il honore ses promesses électorales.

Avec cette démarche, le collectif espère mobiliser davantage l’opinion publique et les forces vives de la nation pour soutenir la mise en œuvre des réformes nécessaires, conformément aux aspirations exprimées par le peuple sénégalais lors des Assises nationales et dans le cadre de la CNRI. La société civile demeure vigilante et déterminée à jouer son rôle de gardien de la démocratie et de la transparence gouvernementale.

Cérémonie de Remise des Prix du Concours Général 2024 : Le Président Bassirou Diomaye Faye annonce un programme de recrutement d’enseignants

Le Grand théâtre national Doudou Ndiaye Coumba Rose a accueilli aujourd’hui la cérémonie de remise des prix aux lauréats du Concours général 2024, présidée par le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye. Dans son discours, le chef de l’État a félicité les lauréats pour leur excellence et a remercié les partenaires pour leur soutien indéfectible.

Le Président Diomaye a également saisi cette occasion pour annoncer une nouvelle de taille qui réjouira les acteurs du secteur éducatif : un programme de recrutement spécial d’enseignants prévu à l’horizon 2030. Cette initiative vise à combler le déficit d’enseignants et à éliminer les classes multigrades, problématiques récurrentes du système éducatif sénégalais.

Le thème de cette édition, « Enjeux, défis et perspectives pour une école au service de la souveraineté nationale », a été qualifié de particulièrement pertinent par le Président. Selon lui, ce thème ouvre la voie à une réflexion profonde sur le système éducatif sénégalais, notamment à travers le développement du numérique et l’introduction des langues nationales dans les écoles.

Cette cérémonie a été marquée par la présence de plusieurs personnalités de l’éducation, des lauréats et de leurs familles, ainsi que de nombreux partenaires de l’éducation nationale. La mise en avant de l’excellence académique et les perspectives de réformes annoncées par le Président Diomaye témoignent de l’engagement du gouvernement à améliorer le système éducatif pour le rendre plus inclusif et en phase avec les réalités nationales.

La perspective de ce programme de recrutement d’enseignants est accueillie avec enthousiasme, car il répond à un besoin crucial pour l’avenir de l’éducation au Sénégal. En renforçant le corps enseignant, le gouvernement espère offrir une éducation de qualité à tous les élèves, dans des conditions d’apprentissage optimales.

Le développement du numérique et l’introduction des langues nationales dans les écoles, évoqués par le Président, sont perçus comme des leviers importants pour moderniser et rendre plus accessible le système éducatif. Ces mesures devraient permettre aux élèves de mieux s’approprier les contenus pédagogiques et de favoriser une éducation en adéquation avec les enjeux contemporains et culturels du pays.

Ainsi, la cérémonie de remise des prix du Concours général 2024 s’est conclue sur une note d’optimisme et d’espoir pour l’avenir de l’éducation au Sénégal, avec des réformes ambitieuses en vue pour bâtir une école véritablement au service de la souveraineté nationale.

Triste accident à Matam : Le Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye exprime sa compassion

Le président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, a exprimé sa profonde tristesse après le tragique accident survenu ce jeudi dans la région de Matam. En visite à Paris pour les Jeux olympiques, le chef de l’État a réagi sur le réseau social X pour faire part de ses condoléances et de son soutien aux victimes et à leurs familles.

Dans son message, le président a déclaré : « Je viens d’être informé du tragique accident entre Ndouloumadji et Ourossogui, faisant six morts et 14 blessés, dont sept blessés graves. Mes pensées vont aux victimes et à leurs familles à qui je présente mes condoléances les plus attristées. »

Il a également annoncé avoir donné des instructions pour une prise en charge rapide des blessés et a assuré qu’il continuera de suivre la situation de très près. L’accident s’est produit lorsqu’un minicar de 20 places, en provenance du village de Gaol et se dirigeant vers Ourossogui, est entré en collision avec un camion.

Cette tragédie a profondément affecté la communauté locale, plongeant de nombreuses familles dans le deuil. Le président a réitéré son engagement à veiller sur les blessés et à fournir tout le soutien nécessaire en ces moments difficiles.

Médiation CEDEAO-AES : L’Audience des jeunes cadres de l’UNDD se félicite du choix porté sur Diomaye Faye

Dans une correspondance, adressée au président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye le 17 juillet 2024, l’Audience des jeunes cadres de l’Union pour la démocratie et le développement (UNDD), à travers les mots de son président Aimé Macaire Ouédraogo, a, depuis Ouagadougou, tenu tout d’abord à saluer son élection à la tête du pays, avant de rappeler la confiance placée en lui par le peuple sénégalais et les espoirs dont il est porteur.
Ainsi que les qualités humaines et politiques qui font de lui un dirigeant capable de relever les défis et lèvent tous les doutes sur son aptitude à tenir ses promesses à l’endroit du peuple sénégalais.

« Excellence Monsieur le président, depuis votre accession au pouvoir, par des voies de légitimations populaires unanimement félicitées, vous n’avez cessé de balayer les craintes premières relatives à votre mandature supposée menacée par l’inexpérience et l’intolérance inscrites dans votre jeune âge. Vous avez Dieu merci, commuté ces appréhensions par l’espoir d’une gouvernance nationale et communautaire, marquée par le dialogue, la solidarité et la réconciliation. Vos déclarations et actes empreints d’humilité, de justice et de responsabilité y seront pour beaucoup », soulignent les jeunes cadres de l’UNDD qui n’ont pas manqué pas de le « féliciter après cent jours d’exercice du pouvoir, pour ce signal d’espérance indispensable aux nécessaires retrouvailles tant dans l’espace Ouest africain, que dans ceux de nos États en butte à l’insécurité multidimensionnelle chronique et aux désarticulations socio-politiques conséquentielles ».

Mieux, les jeunes cadres de l’UNDD se réjouissent du choix porté sur lui par ses pairs africains pour conduire une mission de médiation de la CEDEAO auprès de l’AES.
« Nous avons apprécié favorablement les incitations des présidents Nana Akufo-Addo du Ghana et Bola Tinubu du Nigeria , à vous voir nommer comme médiateur dans la crise qui oppose la CEDEAO aux États membres de l’AES. De la même façon, nous nous sommes réjouis après le dernier sommet du dimanche 7 juillet 2024 de l’organisation communautaire tenu à Abuja, de votre nomination effective (corrélativement à celle du président togolais), en tant que facilitateur dans la dite crise.
Les propos que vous avez tenus à ce sujet, à l’occasion de votre rencontre avec la presse lors des cent jours de votre prise de fonction et qui ramollissent certaines ardeurs négatives, nous ont convaincu de la chance que vous représentiez non seulement pour une réconciliation dans la CEDEAO, mais surtout pour des gouvernances responsabilisées dans les organisations régionales et dans les États. Votre approche équitable et non partiale du différend, ainsi que les propositions partant de la réintégration pure à des systèmes de collaboration mais allant jusqu’à privilégier, en cas de consommation de la séparation les obligations liées aux enjeux collectifs régionaux, en ont édifié plus d’un qui n’en avaient que pour une rupture totale ouvrant la voie à une lutte d’influence sans merci avec la CEDEAO », se réjouissent les jeunes cadres de l’UNDD.

Louant son humilité et sa logique langagière, ils se disent convaincus que le président Diomaye Faye recèle toutes les qualités requises pour mener à bien la mission d’intermédiation qui lui a été confiée par l’Organisation sous-régionale.

Aly Saleh

Réception du rapport annuel de l’ONLPL par le Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye : Une première historique

Le Président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, a reçu ce vendredi le rapport annuel de l’Observatoire national des lieux de privation de liberté (ONLPL), marquant ainsi une première depuis la création de cette institution. Cet événement revêt une importance particulière pour l’évaluation des conditions de détention et des droits des détenus dans notre pays.

Le rapport, un document crucial pour l’amélioration du système pénitentiaire national, a été remis en présence de plusieurs personnalités de la présidence. La Présidence de la République a souligné que ce document vise à apporter des recommandations concrètes pour améliorer les conditions de détention et assurer le respect des droits fondamentaux des personnes privées de liberté.

Lors de cette cérémonie, le Chef de l’État a réitéré son engagement à inscrire désormais la remise de ce rapport dans l’agenda républicain de notre pays. Il a également salué les recommandations formulées par l’ONLPL, affirmant que celles-ci seront examinées avec une attention particulière et mises en œuvre pour garantir un meilleur respect des droits des détenus et améliorer les infrastructures pénitentiaires.

« Ce document, crucial pour l’évaluation des conditions de détention et des droits des détenus, vise à améliorer le système pénitentiaire national », a déclaré la Présidence de la République, mettant en avant l’importance de ce rapport pour le renforcement de la justice et de l’humanisme dans le traitement des détenus.

Cette première réception du rapport annuel de l’ONLPL par le Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye marque une étape significative dans l’évolution de notre système pénitentiaire. Elle témoigne de la volonté des autorités de prendre en compte les défis et les besoins du secteur pénitentiaire, en vue d’une réforme globale et durable.

Le Président de la République a conclu en exprimant son désir de voir ces recommandations traduites en actions concrètes, pour que les conditions de détention dans notre pays soient conformes aux standards internationaux et respectueuses des droits humains. Cette initiative promet de marquer un tournant décisif pour l’avenir des lieux de privation de liberté dans notre pays.

Bassirou Diomaye Faye : Une nouvelle impulsion pour la gouvernance au Sénégal

Lors du Conseil des ministres tenu jeudi soir, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a annoncé que le second semestre de 2024 marquera une phase cruciale de rectification, d’ajustement, de réforme audacieuse des politiques publiques et de reddition des comptes. Cette initiative vise à instaurer des conditions propices à la construction durable d’une souveraineté pleinement assumée, dans le cadre d’une démocratie exemplaire et d’un État de droit de référence, selon le communiqué officiel.

Le Président Faye a clairement fait de la reddition des comptes une priorité centrale de son mandat. Le 10 avril 2024, il a ordonné une série de mesures visant à renforcer la transparence et la responsabilité au sein du gouvernement. Parmi ces mesures, on compte des vérifications approfondies et des audits du fonctionnement des différents ministères, ainsi qu’un examen détaillé de la situation des finances publiques du pays. Chaque passation de service au sein des ministères fera l’objet d’un rapport précis.

Cette démarche s’inscrit dans une vision plus large de réforme des politiques publiques. L’objectif est de dynamiser tous les secteurs de la vie économique, sociale, environnementale et culturelle du Sénégal. Le Président Faye souhaite créer un environnement où la souveraineté du pays est affirmée et durable, soutenue par une démocratie solide et un État de droit exemplaire.

Cette accélération des réformes et de la reddition des comptes est perçue comme une étape essentielle pour le développement du Sénégal. En renforçant la transparence et en améliorant la gouvernance, le gouvernement espère instaurer un climat de confiance et de responsabilité qui favorisera le développement durable et l’engagement civique.

Le second semestre de 2024 promet donc d’être une période de transformation significative pour le Sénégal, marquée par des réformes audacieuses et une gouvernance renforcée sous l’impulsion déterminée du Président Bassirou Diomaye Faye.

Nomination de 81 cadres par le Président Bassirou Diomaye Faye lors du Conseil des ministres du 18 juillet 2024

Lors du Conseil des ministres tenu ce jeudi, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a signé plusieurs décrets de nomination, promouvant ainsi 81 cadres à divers postes de responsabilité. Parmi les nominations les plus notables figurent celles de Mame Gor Ngom, Ngouda Mboup et Outhmane Diagne.

Mame Gor Ngom
Le journaliste Mame Gor Ngom, ancien rédacteur en chef de La Tribune et d’Africa Check, a été nommé Directeur général du Bureau de l’information et de la communication du gouvernement (Bic-Gouv). Titulaire d’une maîtrise en communication, Ngom apportera son expertise et son expérience dans le domaine de la communication gouvernementale.

Ngouda Mboup
Ngouda Mboup, enseignant-chercheur en droit constitutionnel, a été nommé président du conseil d’administration du Port autonome de Dakar. Il succède à Moussa Sy, ancien maire des Parcelles assainies. Mboup, reconnu pour sa rigueur académique et son expertise juridique, est attendu pour apporter une nouvelle dynamique à la gestion du port.

Outhmane Diagne
Militant du Pastef, Outhmane Diagne, a été nommé président du conseil d’administration du Fonds d’entretien routier autonome (Fera). Diagne, connu pour son engagement politique et social, prendra en charge les responsabilités liées à l’entretien et au développement des infrastructures routières du pays.

Ces nominations interviennent dans un contexte de renouvellement et de dynamisation des structures étatiques. Le Président Bassirou Diomaye Faye, en nommant ces personnalités, semble vouloir insuffler un nouveau souffle à l’administration publique, en misant sur des profils diversifiés et compétents.

Les 81 cadres nommés aujourd’hui seront chargés de diverses missions stratégiques visant à renforcer l’efficacité et la transparence de l’administration publique, tout en répondant aux attentes des citoyens en matière de services publics.

Les nominations de Mame Gor Ngom, Ngouda Mboup et Outhmane Diagne ont suscité des réactions positives au sein de la société civile et des milieux professionnels. Leur expertise respective dans les domaines de la communication, du droit constitutionnel et de l’infrastructure routière est perçue comme un atout pour la mise en œuvre des réformes nécessaires au développement du pays.

Avec ces nouvelles nominations, le gouvernement affiche sa volonté de s’entourer de compétences variées pour relever les défis actuels et futurs. Les prochains mois seront décisifs pour évaluer l’impact de ces changements et la capacité des nouveaux cadres à impulser une dynamique de progrès et de modernisation.

AUDIENCE AU PALAIS : le chef de l’état a reçu la vise secrétaire général de l’ONU

Cet après-midi, le Président de la République du Sénégal, S.E.M. Bassirou Diomaye Faye, a accueilli la Vice-Secrétaire générale de l’Organisation des Nations Unies (ONU), Madame Amina Mohamed, au Palais présidentiel.

Lors de cette rencontre, Madame Amina Mohamed a réaffirmé l’engagement des Nations Unies à soutenir le Président Faye dans la réalisation de sa vision pour le Sénégal. Cette visite s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations entre le Sénégal et l’ONU, visant à promouvoir le développement durable et la stabilité dans le pays.

Madame Mohamed a salué les efforts du Président Faye en matière de gouvernance et de développement, soulignant les avancées significatives réalisées dans divers secteurs clés, notamment l’éducation, la santé et les infrastructures. Elle a également réitéré la disponibilité de l’ONU à fournir une assistance technique et financière pour accompagner le Sénégal dans ses projets de développement.

Le Président Faye a, quant à lui, exprimé sa gratitude envers les Nations Unies pour leur soutien continu. Il a partagé avec Madame Mohamed les priorités de son administration, notamment la lutte contre la pauvreté, l’amélioration des services publics et la promotion de la paix et de la sécurité.

Cette audience marque une étape importante dans la collaboration entre le Sénégal et l’ONU, démontrant une volonté commune de travailler ensemble pour le bien-être du peuple sénégalais et la réalisation des Objectifs de Développement Durable (ODD).

Thierno Bocoum de « Agir » critique le Président Bassirou Diomaye Faye, le qualifiant de « président par intérim »

Lors d’une conférence de presse ce lundi 15 juillet 2024, Thierno Bocoum, leader du parti politique « Agir », a vivement critiqué le Président Bassirou Diomaye Faye, l’accusant de jouer un rôle de « président par intérim ». Cette déclaration fait suite aux récentes déclarations du chef de l’État sénégalais sur sa relation avec son Premier Ministre, Ousmane Sonko.

Dans ses propos, Thierno Bocoum a exprimé des doutes sur les intentions de Bassirou Diomaye Faye, affirmant que ses récentes actions et déclarations suggéraient qu’il n’avait pas l’intention de remplir pleinement le rôle de président de la République. Selon Bocoum, Diomaye Faye semble plutôt incliné vers une réforme constitutionnelle visant à renforcer les pouvoirs du Premier Ministre. Cette position, selon Bocoum, remet en question la légitimité et l’engagement du président vis-à-vis de sa fonction actuelle.

Les tensions entre les deux figures politiques ont été exacerbées par les commentaires précédents de Bassirou Diomaye Faye sur son soutien à Ousmane Sonko. Dans une interview accordée à la presse samedi dernier, le président avait publiquement encouragé Sonko pour la présidence, saluant son dévouement et son sacrifice pour leur projet commun.

La critique de Bocoum intervient dans un contexte politique tendu, où les alliances et les ambitions pour les prochaines élections présidentielles de 2025 commencent à façonner le paysage politique sénégalais. Alors que Diomaye Faye semble soutenir Sonko pour lui succéder, Bocoum et son parti « Agir » semblent préoccupés par ce qu’ils perçoivent comme une indécision ou une stratégie ambiguë de la part du président actuel.

Cette controverse souligne les divisions croissantes au sein du gouvernement sénégalais et pourrait avoir des répercussions importantes sur la stabilité politique et la direction future du pays, alors que les électeurs s’apprêtent à choisir leur prochain chef d’État.

Réforme du pouvoir exécutif en vue : Le Président Bassirou Diomaye Faye prône un renforcement du rôle du Premier Ministre

Lors d’une conférence de presse nationale tenue ce samedi, le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a abordé en profondeur la question des attributions du Premier ministre au sein du gouvernement. Critiquant ouvertement le statu quo constitutionnel, le président Faye a qualifié le Premier ministre de « faible » sur le plan constitutionnel, soulignant ainsi la nécessité urgente de réformer la structure du pouvoir exécutif.

« Il faut distinguer les choses. Le Premier ministre n’a aucun pouvoir. Constitutionnellement, le PM est faible. J’avais dit qu’il fallait diminuer les pouvoirs du président et accorder au PM quelques pouvoirs pour équilibrer, » a déclaré le président Diomaye Faye.

Le chef de l’État a insisté sur l’importance cruciale de cette réforme, visant à rééquilibrer les prérogatives entre la présidence et le poste de Premier ministre. En envisageant de renforcer les attributions du Premier ministre, le président Faye aspire à instaurer un système de gouvernance plus dynamique et efficace. Cette mesure vise également à améliorer la responsabilité et la transparence au sein de l’exécutif, tout en répondant de manière plus efficace aux attentes des citoyens.

En soulignant l’urgence d’une telle réforme, le président Bassirou Diomaye Faye s’engage à remodeler le paysage politique pour mieux répondre aux défis actuels et assurer une coordination optimale des politiques publiques.

Cette déclaration marque un pas significatif vers une potentielle révision constitutionnelle, suscitant des discussions nationales sur l’avenir de la gouvernance et de l’équilibre des pouvoirs au sein de la République.

Note aux rédacteurs : L’article ci-dessus est rédigé à partir des déclarations officielles du président Bassirou Diomaye Faye lors de sa conférence de presse du samedi. Pour toute mise à jour ou évolution ultérieure de cette situation, veuillez consulter nos futures publications.

Nouveau Président du Sénégal : Bassirou Diomaye Faye pointe du doigt les irégularités et promet des réformes

Lors de sa première rencontre avec la presse ce samedi, le Président Bassirou Diomaye Faye n’a pas mâché ses mots en décrivant les défis rencontrés au début de son mandat. Il a vigoureusement dénoncé les pratiques douteuses et les décisions controversées prises par l’administration précédente.

Dès son entrée en fonction, le président a exposé les problèmes critiques qu’il a découverts dans plusieurs secteurs clés de l’économie. Il a souligné avoir rapidement pris des mesures pour stabiliser la situation, incluant le règlement de dettes urgentes pour éviter des interruptions de services essentiels comme l’électricité.

Une des révélations les plus frappantes de son discours a été la découverte d’un décret signé par son prédécesseur, Macky Sall, augmentant les tarifs de l’eau à quelques jours de la transition. Le Président Faye a exprimé sa préoccupation quant à l’impact potentiellement négatif sur les citoyens sénégalais, promettant une gestion plus transparente et prévisible des affaires publiques à l’avenir.

En plus de ces défis immédiats, Bassirou Diomaye Faye a également critiqué la gestion des contrats gouvernementaux, dénonçant des niveaux de surfacturation qu’il a jugés inacceptables. Il a fermement ordonné le blocage de ces contrats afin de protéger les intérêts économiques du Sénégal.

Le Président a conclu en rappelant son engagement à réformer et à assainir le gouvernement, promettant une gestion plus responsable et axée sur l’intérêt public. Cette première prise de parole marque un ton résolu pour son administration, alors qu’elle s’attaque aux défis complexes hérités de l’ancienne présidence.

Bassirou Diomaye Faye : Une vision pour l’emploi des jeunes au Sénégal

L’emploi des jeunes reste au cœur des préoccupations du président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, qui a récemment marqué ses 100 premiers jours au pouvoir en mettant en lumière ses ambitions lors d’une conférence de presse nationale.

Dans un discours adressé à la nation ce samedi, le chef de l’État a souligné la nécessité urgente d’identifier des secteurs économiques susceptibles d’absorber une grande partie de la main-d’œuvre disponible. « Il faut accompagner à la fois ceux qui ont été formés et ceux qui ne l’ont pas été », a-t-il déclaré, soulignant ainsi l’importance de la formation continue et de l’accessibilité aux opportunités économiques pour tous les jeunes sénégalais.

Bassirou Diomaye Faye a également mis en avant l’engagement de son gouvernement à élaborer des stratégies inclusives visant à créer des emplois durables. Cette approche inclusive cherche à garantir que tous les segments de la société, y compris ceux historiquement marginalisés, puissent bénéficier des opportunités économiques et contribuer ainsi au développement national.

En effet, le président a souligné que le développement économique durable ne peut être atteint que par la création d’emplois stables et bien rémunérés, offrant ainsi une sécurité économique aux jeunes générations. Cette vision ambitieuse comprend également des mesures visant à renforcer l’entrepreneuriat local et à soutenir les petites et moyennes entreprises, considérées comme des moteurs essentiels de croissance économique et de création d’emplois.

À cet égard, Bassirou Diomaye Faye a appelé à une collaboration étroite entre le gouvernement, le secteur privé et la société civile pour concrétiser ces objectifs ambitieux. Il a affirmé que le dialogue continu avec toutes les parties prenantes serait essentiel pour développer des politiques efficaces et adaptées aux besoins réels du marché du travail sénégalais.

En conclusion, les déclarations du président sénégalais témoignent d’une détermination ferme à transformer les défis économiques en opportunités, en particulier pour les jeunes. En plaçant l’emploi au centre de son programme politique, Bassirou Diomaye Faye cherche à construire un avenir où chaque jeune sénégalais peut non seulement survivre mais aussi prospérer dans une économie en plein essor.

Révélation de scandale foncier à Mbour 4 : Neuf individus se partagent 1104 parcelles

Le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye a dénoncé lors d’une récente allocution un scandale foncier majeur sur le site de Mbour 4, révélant que neuf personnes seulement se sont approprié un total de 1104 parcelles. Cette annonce fracassante a été faite lors d’un face-à-face avec des journalistes, où le Chef de l’État a exprimé son indignation face à cette spoliation manifeste des ressources foncières.

Le Chef de l’État a souligné que son intérêt pour ce site a été éveillé lors de l’incarcération d’une personne, le conduisant à suspecter une grave irrégularité foncière à Mbour 4. Il a reçu le rapport détaillé sur cette affaire ce samedi 14 juillet et prévoit de recevoir le rapport sur la situation du littoral la semaine prochaine.

Cette révélation met en lumière une distribution de terres controversée qui nécessite une enquête approfondie et des mesures urgentes pour remédier à cette injustice.

Premier Entretien du Président Bassirou Diomaye Faye avec les Médias Nationaux : Retour sur les Cent Premiers Jours de Son Mandat

Le chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye, prévoit d’accorder ce samedi un entretien exclusif à six médias nationaux, marquant ainsi son premier exercice de ce type depuis son investiture. Cette rencontre sera l’occasion pour le Président de discuter de divers sujets d’importance nationale avec des représentants des médias suivants : APS et RTS (médias publics), Groupe futurs médias (GFM), Walfadjri, Sud FM et la web télé Sans Limites.

Bassirou Diomaye Faye a été investi en tant que président de la République le 2 avril dernier, et cette entrevue intervient après ses cent premiers jours à la tête de l’État. Ce sera donc une opportunité cruciale pour le chef de l’État de partager sa vision, ses réalisations initiales et ses perspectives pour l’avenir du pays avec le public sénégalais à travers ces plateformes médiatiques diversifiées.

L’entretien est attendu avec intérêt, non seulement pour son contenu informatif mais aussi pour marquer une étape importante dans la communication du nouveau président avec les citoyens et les acteurs nationaux.

Mission impossible pour Bassirou Diomaye Faye : Les défis du rapprochement entre la CEDEAO et l’AES

Les dirigeants de la CEDEAO ont récemment nommé le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye comme « facilitateur » dans les efforts visant à réconcilier l’Alliance des États du Sahel (AES) avec la communauté ouest-africaine. Cependant, cette nomination intervient dans un contexte où les espoirs de réconciliation semblent minces et où les tensions persistent.

La décision de l’AES de se retirer de la CEDEAO a été catégoriquement affirmée par le ministre malien des Affaires étrangères, Abdoulaye Diop, lors d’une récente interview à l’ORTM, télévision nationale du Mali. Selon lui, ce choix est irréversible et marque un point de non-retour pour ces pays. Malgré cela, il reste ouvert au dialogue avec les autres nations de la région pour trouver des moyens bénéfiques de coopération tout en maintenant leurs objectifs distincts.

Le président Faye, dans son rôle de facilitateur, a exprimé sa volonté d’apaiser les tensions par le dialogue et la compréhension mutuelle. Cependant, les réticences de l’AES à réintégrer la CEDEAO semblent fermes et cohérentes avec leur vision stratégique différente pour la région.

La nomination de Faye intervient dans un contexte où les tentatives antérieures de rapprochement ont échoué, mettant en lumière la difficulté de surmonter les divergences profondes entre ces organisations régionales. Malgré les défis apparents, la CEDEAO maintient une ouverture au dialogue, reconnaissant l’importance de la coopération régionale pour le développement et la stabilité.

En conclusion, bien que la nomination de Bassirou Diomaye Faye soit un signe d’engagement envers la paix et la coopération, les obstacles à surmonter sont nombreux et la perspective de réconciliation entre la CEDEAO et l’AES reste incertaine. La diplomatie et la persévérance seront essentielles pour avancer dans ce dossier complexe et crucial pour l’intégration régionale en Afrique de l’Ouest.

La CEDEAO face à la crise au Sahel : Médiation et Réformes en Vue

Lors du récent sommet de la CEDEAO à Abuja, le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a été désigné comme médiateur pour faciliter le dialogue entre la CEDEAO et les pays de l’Alliance des Etats Sahélo-Sahariens (AES), à savoir le Burkina Faso, le Mali et le Niger. Cette désignation intervient dans un contexte tendu marqué par le retrait annoncé de ces trois pays de la CEDEAO, une décision préoccupante pour l’intégration régionale et la stabilité au Sahel.

Dans son discours lors du sommet, le président Faye a souligné l’importance de maintenir l’ancrage du Sénégal au sein de la CEDEAO en tant que membre fondateur, tout en plaidant pour des réformes nécessaires pour adapter l’organisation aux défis contemporains. Il a critiqué les sanctions sévères envisagées par la CEDEAO, soulignant leur impact négatif sur les populations et appelant à une approche plus nuancée et à un dialogue constructif avec les régimes militaires en question.

Les sanctions potentielles incluraient des restrictions diplomatiques, des exigences de visas pour les déplacements régionaux, ainsi que des implications pour les entreprises et les institutions régionales opérant dans ces pays. La perte des infrastructures régionales de la CEDEAO dans ces pays pourrait également compromettre l’intégration et le développement régional.

La mission de Bassirou Diomaye Faye en tant que médiateur est cruciale pour éviter le retrait des pays de l’AES, ce qui serait préjudiciable à l’idéal panafricain et à la cohésion régionale. Sa tâche est complexe, nécessitant un équilibre délicat entre la préservation des intérêts de la CEDEAO et la reconnaissance des préoccupations souverainistes des pays concernés.

En conclusion, la situation au Sahel et les défis auxquels fait face la CEDEAO exigent des ajustements institutionnels et une diplomatie proactive pour maintenir l’unité régionale et promouvoir la stabilité dans l’ensemble de la région ouest-africaine.

100 jours au pouvoir : « Diomaye Président » se prépare à faire le bilan

À l’approche du marqueur symbolique des 100 jours depuis son accession à la présidence à l’issue des élections du 24 mars dernier, la coalition « Diomaye Président » se mobilise activement pour célébrer cette étape significative de son mandat.

Selon les informations relayées par Les Échos, les préparatifs avancent à grands pas. Le journal rapporte que les différents groupes de travail spécialement constitués à cet effet ont presque achevé leurs missions préparatoires. Ces groupes sont essentiels pour coordonner les divers aspects logistiques, médiatiques et protocolaires nécessaires à une célébration réussie de cette période charnière.

Une communication officielle sur cet événement est attendue dans les prochains jours, anticipant ainsi une mise en lumière des réalisations et des initiatives entreprises par l’administration depuis son installation au pouvoir. Cette annonce promet de fournir une rétrospective détaillée des actions entreprises, ainsi qu’un aperçu des projets à venir sous la direction de « Diomaye Président ».

La commémoration des 100 premiers jours d’un mandat présidentiel est souvent considérée comme un moment crucial pour évaluer les premiers pas d’une nouvelle administration et pour définir les orientations futures. C’est également une occasion de rendre compte à la population des progrès réalisés et des défis encore à relever dans la mise en œuvre des engagements électoraux.

La préparation méticuleuse de cet événement par la coalition au pouvoir témoigne de son engagement à maintenir une transparence et une communication ouvertes avec ses citoyens, tout en soulignant l’importance de marquer les jalons importants dans la gouvernance démocratique du pays.

À mesure que les derniers détails sont finalisés, l’attente monte pour cette communication annoncée, qui promet d’offrir un panorama complet des réalisations et des ambitions futures de « Diomaye Président » pour le pays et ses citoyens.

AVENIR DU DUO DIOMAYE-SONKO : LES SALTIGUÉS PRÉDISENT UNE FIN TRAGIQUE

Ce dimanche à Sandiara, les Saltigués du Djeguem ont une fois de plus convoqué leurs pouvoirs divinatoires lors de la cérémonie annuelle de « Xoy ». Parmi les révélations notables de cette année, les devins sérères ont prédit un avenir semé de défis et de précautions pour le Sénégal.

Les devins ont évoqué des tensions potentielles entre le tandem politique constitué de Bassirou Diomaye Diakhar Faye et Ousmane Sonko. Ils recommandent des offrandes spécifiques pour apaiser les énergies et favoriser la stabilité politique du pays. Notamment, ils ont prescrit le sacrifice de deux bœufs blancs en l’honneur de Mama Ngedj, une divinité locale.

En ce qui concerne la sécurité routière, les Saltigués ont mis en garde les conducteurs de motos et de taxis sur le tronçon Sandiara-Ndiaganiao, prédisant une augmentation des accidents. Ils ont également prédit un hivernage particulièrement abondant, conseillant aux agriculteurs de récolter rapidement avant l’arrivée des pluies intenses.

Dans un geste de solidarité communautaire, les devins ont appelé chaque père de famille à donner un kilogramme de sucre en aumône pendant l’hivernage. Cette pratique vise à renforcer les liens sociaux et à promouvoir l’entraide au sein de la société sénégalaise.

Malgré les défis prévus, les Saltigués ont assuré que le Sénégal connaîtra une période de paix et de calme dans les années à venir. Leur optimisme reflète leur confiance dans la capacité du pays à surmonter les obstacles grâce à la vigilance et à la prévoyance.

En conclusion, la cérémonie de divination « Xoy » des Saltigués du Djeguem a une fois de plus captivé l’attention, offrant des insights précieux sur l’avenir du Sénégal et appelant à la préparation et à la résilience face aux défis à venir.

Première production de pétrole à Sangomar : Le Président Diomaye visite la plateforme

Le Président de la République du Sénégal a effectué une visite ce matin sur la plateforme #Sangomar, marquant le début de la production des premiers barils de pétrole du pays. Cette visite a été l’occasion de célébrer un moment historique pour le Sénégal et de saluer les efforts déployés pour la découverte et l’exploitation de cette ressource précieuse.

Lors de sa visite, le Président a exprimé sa reconnaissance envers ceux qui ont cru en la présence de pétrole au fond des océans sénégalais. Il a souligné l’importance de leur persévérance et de leur promotion du bassin sédimentaire du Sénégal, qui a permis d’atteindre cette étape cruciale. « Je salue l’abnégation et le mérite de tous ceux qui ont cru à la présence de cette ressource au fond de nos océans et fait la promotion du bassin sédimentaire du Sénégal, » a-t-il déclaré.

Le Président a également exprimé sa fierté après avoir constaté le savoir-faire des jeunes Sénégalais-es travaillant sur la plateforme. « J’exprime également ma fierté après avoir vu à l’œuvre de brillants jeunes Sénégalais-es déployer leur savoir-faire au cœur de cette impressionnante plateforme, » a-t-il ajouté, soulignant ainsi la compétence et l’engagement des ressources humaines locales dans ce projet ambitieux.

Réitérant son engagement pour une gestion responsable des ressources naturelles, le Président a assuré que le gouvernement continuerait à promouvoir une gestion transparente et équitable des ressources pétrolières au bénéfice de toute la population sénégalaise. « Je réitère mon engagement et celui du gouvernement pour une gestion transparente et équitable de nos ressources naturelles, au bénéfice du peuple sénégalais, » a-t-il affirmé.

Cette visite marque un tournant décisif dans l’histoire énergétique du Sénégal, avec le début de la production de pétrole sur la plateforme Sangomar. Elle symbolise l’aboutissement de nombreux efforts et le début d’une nouvelle ère de développement économique pour le pays. Le gouvernement s’engage à veiller à ce que les bénéfices de cette ressource naturelle soient partagés de manière juste et transparente, pour le bien-être de tous les Sénégalais.

La Gestion Financière sous le Nouveau Régime de Bassirou Diomaye Faye : 1150 Milliards de FCFA Empruntés en Trois Mois

Depuis son accession au pouvoir il y a trois mois, le président Bassirou Diomaye Faye a considérablement accru la dette publique du pays, empruntant un total de 1150 milliards de FCFA. Selon le journal Tribune, ces emprunts se répartissent comme suit :

  1. Marché de l’Uemoa : 150 milliards de FCFA
    • 28 milliards le 3 mai
    • 68 milliards le 31 mai
    • 50 milliards le 06 juin
  2. Banque Africaine de Développement (BAD) : 322 milliards de FCFA, le 11 avril.
  3. Eurobonds : 450 milliards de FCFA, le 3 juin.
  4. Fonds Monétaire International (FMI) : 230 milliards de FCFA, prévu pour mi-juillet.

Cette accumulation rapide de dette inquiète de nombreux spécialistes des finances publiques, craignant les implications à long terme pour l’économie du pays. La dette publique existante est déjà substantielle, et l’ajout de ces nouveaux emprunts soulève des préoccupations sur la soutenabilité financière future du pays.

La décision du gouvernement de Bassirou Diomaye Faye de s’endetter massivement en si peu de temps vise probablement à financer des projets prioritaires ou à stabiliser l’économie nationale. Cependant, la gestion prudente de ces fonds et la transparence dans leur utilisation seront essentielles pour assurer une croissance économique durable et éviter une crise financière.

Les prochains mois seront cruciaux pour évaluer l’impact de cette politique d’emprunt sur l’économie et le bien-être des citoyens sous le nouveau régime présidentiel.

Alioune Ndoye Critiques Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye pour leurs Premières Actions au Pouvoir

Dans une récente déclaration, Alioune Ndoye, maire de Dakar-Plateau et ancien ministre sénégalais, a critiqué sévèrement le président Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko pour ce qu’il perçoit comme un manque de résultats concrets depuis leur accession au pouvoir en mars dernier.

Ndoye a exprimé des réserves quant aux réalisations du nouveau gouvernement, en particulier en ce qui concerne la baisse des prix des produits de première nécessité. Selon lui, les mesures prises sont insuffisantes et ne correspondent pas aux promesses ambitieuses faites par Diomaye Faye et Sonko lors de leur campagne électorale.

« Ce sont des mesurettes qui s’imposent à eux et qui démentent ce qu’ils disaient quand ils étaient dans l’opposition », a déclaré Ndoye, soulignant que les nouveaux dirigeants sont maintenant confrontés à la réalité difficile du pouvoir.

Le maire de Dakar-Plateau a également critiqué la focalisation du gouvernement sur seulement quelques produits de première nécessité, estimant que les Sénégalais attendent également des baisses de prix dans d’autres secteurs clés comme l’énergie et l’eau. Il a insisté sur l’importance de transformer les promesses électorales en actions concrètes pour répondre aux attentes de la population.

Terminant sur une note critique, Ndoye a exhorté le gouvernement à se concentrer sérieusement sur la gouvernance et à éviter les querelles politiques qui, selon lui, nuisent à la progression du pays.

La déclaration d’Alioune Ndoye reflète une certaine frustration parmi une partie de la population sénégalaise concernant les premiers mois de l’administration Diomaye Faye-Sonko et souligne les défis auxquels ils sont confrontés pour traduire leurs promesses en résultats tangibles.

Tabaski 2024 : Le Président Bassirou Diomaye Faye accorde la grâce à 376 détenus

À l’approche de la fête de Tabaski 2024, le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a exercé son pouvoir de grâce en libérant 376 détenus. Cette mesure, officialisée par le décret N° 2024-1184 signé le 14 juin 2024, reflète une tradition annuelle visant à réunir des familles pour cette célébration importante.

Le décret, s’appuyant sur les articles 43 et 47 de la Constitution, stipule dans son article premier que les peines privatives de liberté des détenus mentionnés sont entièrement remises. Cette décision marque un geste de clémence et de réconciliation, soulignant l’importance de la Tabaski comme moment de rassemblement familial et de renouveau.

Voici la répartition des détenus graciés par établissement pénitentiaire :

Maison d’arrêt de Reubeuss : 10 détenus

Camp Liberté 6 : 56 détenus

Maison d’arrêt pour femmes de Liberté 6 : 2 détenues

Maison d’arrêt et de correction de Rufisque : 5 détenus

Maison d’arrêt et de correction du Cap Manuel : 43 détenus

Maison d’arrêt et de correction de Hann : 20 détenus

Maison d’arrêt et de correction du Pavillon Spécial : 5 détenus

Maison de Correction de Sébikotane : 85 détenus

Maison d’arrêt de Thiès : 47 détenus

Maison d’arrêt de Mbour : 75 détenus

Maison d’arrêt et de correction de Tivaouane : 30 détenus

Ce geste humanitaire du président Bassirou Diomaye Faye vise à offrir une nouvelle chance à ces individus en leur permettant de passer la Tabaski avec leurs proches. La grâce présidentielle est un moment fort, empreint de symbolisme, qui rappelle l’esprit de pardon et de solidarité de cette fête religieuse.

Les familles des détenus graciés accueillent cette nouvelle avec joie et soulagement, espérant que cette opportunité permettra une réintégration réussie et pacifique des bénéficiaires dans la société. La Tabaski 2024 sera donc marquée non seulement par les traditions festives et religieuses, mais aussi par ces retrouvailles rendues possibles grâce à l’acte de clémence du chef de l’État.

Hommage à Mademba Sock : Une Vie Dédiée à la Lutte Syndicale

La nation sénégalaise pleure aujourd’hui la perte d’une icône de la lutte syndicale, Mademba Sock, dont le décès a suscité une pluie d’hommages à travers tout le pays. À la tête de ces hommages, le président Bassirou Diomaye Faye a exprimé sa profonde tristesse et rendu un vibrant hommage à celui qu’il décrit comme un défenseur infatigable des droits des travailleurs.

Mademba Sock a marqué de son empreinte la scène syndicale sénégalaise par son engagement indéfectible et sa détermination sans faille. Tout au long de sa carrière, il s’est distingué par sa voix forte et son dévouement sans bornes pour améliorer les conditions de travail des travailleurs de son pays. Son parcours exemplaire et son leadership ont inspiré des générations entières à poursuivre la lutte pour la justice sociale et la dignité au travail.

En tant que chef de l’exécutif, le président Bassirou Diomaye Faye a salué la mémoire de Mademba Sock en soulignant que son héritage perdurera à jamais dans les mémoires collectives. « Son engagement inébranlable pour les droits des travailleurs restera gravé dans nos mémoires », a-t-il déclaré, exprimant ainsi les sentiments partagés par une nation reconnaissante pour ses contributions.

Au-delà de ses réalisations professionnelles, Mademba Sock était également connu pour sa générosité et son sens aigu de la solidarité. Sa disparition laisse un vide immense non seulement dans le mouvement syndical mais aussi dans le cœur de tous ceux qu’il a touchés par sa bienveillance et son dévouement.

En cette période de deuil national, le président, au nom de toute la nation, a adressé ses sincères condoléances à la famille de Mademba Sock ainsi qu’à ses proches. Il a également prié pour le repos de son âme, reconnaissant ainsi la perte d’un pilier essentiel de la lutte pour les droits humains au Sénégal.

Mademba Sock restera à jamais un symbole de courage, de détermination et de justice sociale pour le peuple sénégalais. Son héritage continuera d’inspirer et de guider ceux qui poursuivent la quête d’un monde plus juste et équitable pour tous.

Thiès-Ouest : 833 Parcelles désaffectées sans traçabilité dévoilées dans un audit

Des irrégularités massives ont été découvertes dans le rapport d’audit sur le foncier de la commune de Thiès-Ouest, révélant un scandale de grande envergure. Lors de la cérémonie de présentation de ce document, le maire Dr Mamadou Djité a dénoncé ce qu’il a qualifié d’« autre scandale foncier découvert à Thiès, après l’affaire de Mbour 4 ».

Le maire de Thiès-Ouest a exprimé son indignation face à la gestion opaque des parcelles par les précédentes administrations municipales. « D’après nos informations auprès des services techniques, il n’y a eu aucune traçabilité dans ces opérations. Il n’y a pas de procès-verbaux, il n’y a aucun document officiel qui retrace la façon dont ces opérations se sont déroulées. Qui en sont les bénéficiaires ? Quelles sont les populations qui ont été désaffectées ? Qui sont les attributaires de ces parcelles réaffectées ? », a-t-il déclaré avec inquiétude.

Selon les informations fournies par le receveur, 833 parcelles ont été désaffectées à travers la commune de Thiès sans aucun enregistrement officiel. Le cabinet d’audit a identifié les quartiers les plus touchés : Mbour 1, Mbour 2, Mbour 3, route de Dakar 1 et route de Dakar 2. Ces zones ont vu leurs terrains réattribués sans aucune documentation ni transparence, ce qui soulève des questions majeures sur la gouvernance et la gestion des ressources foncières de la commune.

Cette découverte a suscité une vague d’indignation parmi les résidents de Thiès-Ouest, qui réclament désormais des explications et des mesures correctives. Le Dr Mamadou Djité a promis de prendre des mesures fermes pour assurer la transparence et la justice dans la gestion foncière de la commune. Il a également appelé à une enquête approfondie pour identifier les responsables de ces irrégularités et rendre justice aux populations affectées.

Le maire de Thiès-Ouest a affirmé son engagement à instaurer une gestion transparente et équitable des ressources foncières, mettant en place des mécanismes de traçabilité et de contrôle rigoureux pour éviter la répétition de tels scandales. Cette initiative vise à restaurer la confiance des citoyens dans l’administration locale et à garantir une utilisation juste et responsable des terres communales.

En conclusion, le scandale foncier à Thiès-Ouest met en lumière des pratiques de gestion douteuses qui nécessitent une intervention rapide et décisive. Les autorités locales sont appelées à rétablir l’ordre et la transparence pour protéger les intérêts des résidents et assurer une gouvernance exemplaire.

Le coordonnateur régional de la coalition « Diomaye Président » propose des mesures pour une rupture profonde

Lors d’un meeting de remobilisation à Makacolibantang, dans la région de Tambacounda, Alpha Thiam, le coordonnateur régional de la coalition « Diomaye Président », a émis des suggestions audacieuses pour un changement significatif dans le paysage politique et socio-économique du Sénégal.

Thiam a tout d’abord salué les premières initiatives du nouveau régime, notamment dans la distribution équitable des semences. Cependant, pour une transformation plus profonde, il a proposé plusieurs mesures novatrices.

Parmi ces mesures, Thiam a recommandé la mise en place d’un service militaire obligatoire, visant à renforcer le sentiment d’appartenance nationale et à promouvoir les valeurs civiques. Il a également plaidé en faveur du projet « un jeune, une solution FEP », qui vise à offrir à chaque jeune des opportunités de formation, d’emploi et de financement de projets.

En outre, Thiam a exhorté le gouvernement à s’engager activement dans la réduction du coût de la vie, notamment en réintroduisant des initiatives telles que les magasins témoins comme Sonadis. Il a souligné l’importance de la transparence financière en appelant à la sanction des auteurs de détournements de fonds publics.

S’agissant du développement régional, Thiam a plaidé en faveur d’un plan Marshall spécifique pour la région de Tambacounda, laquelle est reconnue comme l’une des plus vastes et des plus défavorisées du Sénégal.

Enfin, Thiam a appelé les populations à soutenir ces initiatives dans le respect des principes du Jub, Jubbal, Jubbanti, encourageant ainsi une approche participative et inclusive pour l’avancement du pays.

Ces propositions audacieuses de Thiam illustrent l’engagement de la coalition « Diomaye Président » en faveur d’un changement profond et durable pour le Sénégal, mettant en avant des solutions concrètes pour répondre aux défis actuels du pays.

Thiaroye Gare : Lancement de la Première Journée Nationale de Nettoiement par Bassirou Diomaye Faye

Ce samedi matin, le Président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, a inauguré la première édition de la journée nationale de nettoiement (set-setal) à Thiaroye Gare, dans la banlieue de Dakar. Cet événement marque le début d’une initiative majeure dans le cadre de la gestion et de la lutte contre les inondations de l’hivernage 2024.

Une Mobilisation Massive

Peu après 10 heures, Bassirou Diomaye Faye est arrivé sur le site, situé à proximité de l’hôpital de Pikine et du camp militaire de Thiaroye, où la cérémonie officielle de lancement se déroule. Armés de pelles, râteaux et brouettes, de nombreux agents de la Société nationale de gestion intégrée des déchets (SONAGED), des membres d’associations communautaires de base, des jeunes, des femmes, ainsi que des élus territoriaux et représentants de l’administration territoriale, se sont mobilisés dès les premières heures pour répondre à l’appel du chef de l’État.

Présence des Structures Publiques

La journée a également vu la participation active de plusieurs structures publiques telles que le Service national de l’hygiène, l’Office national de l’assainissement du Sénégal (ONAS), le Cadre de vie et de l’hygiène publique, entre autres. Ces équipes sont venues prêter main-forte aux efforts de nettoyage et de sensibilisation de la communauté locale.

Objectifs et Importance de l’Initiative

Cette première édition de la journée nationale de nettoiement est centrée sur la question des inondations, un problème récurrent durant la saison des pluies au Sénégal. L’initiative vise à encourager la communauté à s’approprier cette journée et à participer activement, aux côtés des structures de l’État, à la gestion et à la prévention des inondations.

« Nous devons travailler ensemble pour faire en sorte que notre environnement soit propre et sûr, surtout à l’approche de la saison des pluies », a déclaré Bassirou Diomaye Faye. « Cette journée nationale de nettoiement est une occasion pour chacun de nous de contribuer à un avenir plus sain et plus résilient pour notre pays ».

Vers une Appropriation Communautaire

En lançant cette initiative, le gouvernement espère non seulement améliorer les conditions sanitaires et environnementales, mais aussi renforcer la cohésion sociale en encourageant les citoyens à s’impliquer activement dans la gestion des défis environnementaux. La participation des différentes couches de la société, des jeunes aux personnes âgées, en passant par les élus et les professionnels, montre l’importance accordée à cette journée d’investissement humain.

Le lancement de la première journée nationale de nettoiement à Thiaroye Gare par le Président Bassirou Diomaye Faye marque un tournant dans les efforts du Sénégal pour lutter contre les inondations et améliorer les conditions de vie de ses citoyens. Cette initiative, axée sur la participation communautaire et la coopération entre les structures de l’État et les citoyens, est un pas important vers une gestion plus efficace et durable des problèmes environnementaux.

Ensemble, les Sénégalais montrent qu’ils sont prêts à prendre en main l’avenir de leur pays, un acte à la fois.

Intégration du Sénégal à l’AES : La Réponse Ferme de Bassirou Diomaye Faye

Lors de sa visite officielle au Mali ce jeudi 30 mai, le président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, a clarifié la position de son pays concernant une éventuelle adhésion à l’Alliance des États du Sahel (AES), également connue sous le nom de Liptako-Gourma. Accueilli par son homologue malien, Assimi Goïta, les deux chefs d’État se sont rendus au palais de Koulouba pour des discussions approfondies. À l’issue de cette rencontre, Bassirou Diomaye Faye a répondu aux questions des journalistes, abordant notamment la possibilité d’une intégration du Sénégal à l’initiative sahélienne.

« Cela n’est pas à l’ordre du jour », a affirmé le chef de l’État sénégalais. « Comme je vous l’ai dit, je ne désespère pas de voir la CEDEAO repartir sur de nouvelles bases qui nous éviteraient la situation que nous traversons aujourd’hui. Tant que nous sommes dans cet élan, je considère qu’il nous faut travailler au sein de la CEDEAO avec les différentes parties prenantes pour voir comment réconcilier les positions. Mais le Sénégal n’est pas à l’étude pour rejoindre un ensemble quel qu’il soit ».

Pour rappel, l’Alliance des États du Sahel (AES) est un pacte de défense mutuelle conclu entre le Mali, le Niger et le Burkina Faso le 16 septembre 2023. Cet accord a été signé à la suite du coup d’État du 26 juillet 2023 au Niger, événement contre lequel la CEDEAO avait menacé d’intervenir militairement.

La déclaration de Bassirou Diomaye Faye souligne l’engagement du Sénégal à maintenir son implication au sein de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Le président sénégalais a réitéré sa conviction que la CEDEAO peut encore jouer un rôle crucial en tant qu’organisation régionale, capable de surmonter les défis actuels et de promouvoir la stabilité et la coopération dans la région.

En précisant que l’adhésion à l’AES « n’est pas à l’ordre du jour », Bassirou Diomaye Faye marque une position de prudence et de fidélité aux principes de la CEDEAO. Cette position reflète également une volonté de travailler à la réconciliation des positions au sein de cette organisation, plutôt que de chercher des alternatives qui pourraient fragmenter davantage la coopération régionale.

La visite de Bassirou Diomaye Faye au Mali et ses déclarations concernant l’AES témoignent de la complexité des relations régionales en Afrique de l’Ouest. Le Sénégal, sous la direction de son président, semble déterminé à jouer un rôle constructif au sein de la CEDEAO, tout en restant ouvert aux dialogues et aux initiatives qui peuvent renforcer la paix et la sécurité dans la région.

ledakarois.sn

Appel de Seydi Gassama à Bassirou Diomaye Faye pour la Libération de Me Guy Hervé Kam au Burkina Faso

Alors que le Président Bassirou Diomaye Faye effectue une visite officielle au Burkina Faso, Seydi Gassama, éminent défenseur des droits humains, a lancé un appel urgent via Twitter pour plaider la libération de Me Guy Hervé Kam, avocat et défenseur des droits humains.

Un Appel Urgent pour les Droits Humains

Seydi Gassama, connu pour son engagement en faveur des droits humains, a exhorté le Président Faye à utiliser son influence auprès des autorités burkinabé pour obtenir la libération de Me Guy Hervé Kam. « Au moment où le Président Bassirou Diomaye Faye entame une visite au Burkina Faso, nous l’exhortons à plaider, auprès des autorités burkinabé, la libération de l’avocat et défenseur des droits humains Me Guy Hervé Kam », a-t-il écrit sur Twitter.

Contexte de la Détention de Me Guy Hervé Kam

Me Guy Hervé Kam, avocat du leader du parti PASTEF, Ousmane Sonko, et défenseur des droits humains, est en détention depuis le 24 janvier 2024. Sa récente libération, survenue dans la nuit du mercredi 29 au jeudi 30 mai 2024, a été de courte durée puisqu’il a été réarrêté presque immédiatement. La nature exacte des charges retenues contre lui reste floue, ce qui suscite des préoccupations quant à la légalité et la légitimité de sa détention.

L’Importance de l’État de Droit

Dans une série de tweets, Seydi Gassama a souligné l’importance de la libération de Me Kam pour la protection des droits humains et le respect de l’État de droit. « La détention de Me Kam constitue une atteinte grave aux principes fondamentaux de la justice et des droits humains. Sa libération est essentielle pour restaurer la confiance dans les institutions judiciaires et garantir le respect des droits de l’homme au Burkina Faso », a-t-il affirmé.

Un Appel à l’Action

Seydi Gassama appelle donc le Président Bassirou Diomaye Faye à intervenir activement pendant sa visite au Burkina Faso. Il espère que le président pourra convaincre les autorités burkinabé de la nécessité de libérer Me Guy Hervé Kam. Cette intervention serait non seulement un geste de solidarité avec un avocat en difficulté, mais aussi un engagement fort en faveur des droits humains et de la justice.

Implications pour les Relations Internationales

L’issue de cet appel pourrait avoir des implications significatives pour les relations entre le Sénégal et le Burkina Faso, en particulier dans le domaine des droits humains. Une intervention réussie du Président Faye pourrait renforcer les liens diplomatiques entre les deux pays et démontrer l’engagement du Sénégal en faveur des principes universels de justice et de droits humains.

La visite de Bassirou Diomaye Faye au Burkina Faso pourrait devenir un moment crucial pour le sort de Me Guy Hervé Kam. La communauté internationale observe avec attention, espérant que cet appel à la justice et aux droits humains ne restera pas sans réponse.

Président Bassirou Diomaye Faye en Visite Officielle au Mali et au Burkina Faso : Renforcer l’Intégration Régionale et la Coopération Bilatérale

Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, effectue ce jeudi une visite officielle au Mali et au Burkina Faso. Cette tournée, inscrite dans une série de déplacements en Afrique de l’Ouest, vise à renforcer les relations de bon voisinage, d’amitié, de solidarité et de coopération entre les pays de la région.

Objectifs de la Visite

Le principal objectif de cette visite est de réaffirmer l’importance de l’intégration régionale et d’encourager le Mali et le Burkina Faso à rester au sein de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Le Président Faye souhaite consolider les relations bilatérales avec ces deux pays, en abordant diverses opportunités de coopération dans les domaines de l’économie, de la sécurité et de la culture.

Questions Clés

1. Intégration Régionale et CEDEAO

Le Président Faye mettra en avant l’importance de l’intégration régionale pour le développement économique et la stabilité de la région. Il encouragera ses homologues malien et burkinabé à maintenir leur engagement envers la CEDEAO, soulignant les avantages de cette organisation en termes de commerce, de sécurité et de coopération transfrontalière.

2. Sécurité du Corridor Dakar-Bamako

Lors de sa rencontre avec son homologue malien, le Président Faye abordera les défis rencontrés sur le corridor Dakar-Bamako. Les discussions porteront sur les tracasseries policières et douanières, ainsi que sur les attaques de bandits, avec pour objectif de trouver des solutions pour sécuriser et faciliter le commerce et le transport sur ce corridor vital pour les deux pays.

Domaines de Coopération

Économie

Le développement de partenariats économiques sera un sujet central des discussions. Les dirigeants exploreront des avenues pour stimuler la croissance économique et le développement régional, notamment à travers des projets d’infrastructure, des initiatives commerciales et des investissements communs.

Sécurité

La coopération en matière de sécurité sera également à l’ordre du jour. Les discussions porteront sur les moyens de renforcer la lutte contre les menaces transnationales telles que le terrorisme et la criminalité organisée, afin de garantir la stabilité et la sécurité dans la région.

Culture

Le Président Faye mettra l’accent sur la promotion des échanges culturels entre les pays, visant à renforcer les liens entre les peuples et à encourager une meilleure compréhension mutuelle. Des initiatives culturelles communes pourront être envisagées pour célébrer la diversité et les richesses culturelles de la région.

La visite du Président Bassirou Diomaye Faye au Mali et au Burkina Faso représente une étape importante dans la consolidation des relations entre ces pays et la promotion de l’intégration régionale. En réaffirmant l’importance de la CEDEAO et en explorant des opportunités de coopération économique, sécuritaire et culturelle, cette tournée marque un engagement fort envers la stabilité et le développement de l’Afrique de l’Ouest.

[Dialogue national sur la justice] : Pape Djibril Fall juge les premiers pas de Bassirou Diomaye Faye

Pape Djibril Fall, candidat malheureux à la Présidentielle du 24 mars 2024, était présent aux Assises de la justice ce mardi au CIDAD de Diamniadio. Dans une déclaration à la presse, le leader des serviteurs a exprimé son opinion sur les premiers pas du président Bassirou Diomaye Faye.

« Nous avons des raisons d’espérer que le Sénégal va changer définitivement. Le roi Hassan II avait l’habitude de dire qu’il ne connaissait pas le développement, mais qu’il savait garantir que les gens mangent à leur faim. Je pense que le président Bassirou Diomaye Faye est sur la bonne voie pour l’autosuffisance. Je pense également qu’il a nommé des personnes compétentes et qualifiées pour occuper les postes gouvernementaux. En ce qui concerne le foncier, c’est un problème majeur, mais Bassirou Diomaye Faye a pris des mesures significatives. De retour d’une tournée dans la diaspora, je constate que les gens ont beaucoup d’espoir envers ce gouvernement », a-t-il déclaré.

Concernant le dialogue national de ce mardi visant à réformer et moderniser la justice, Pape Djibril Fall a félicité le chef de l’État et estime qu’il est le mieux placé pour mener à bien ces réformes. « Nous disons enfin, la justice pourra être réformée selon les souhaits du peuple. Nous avons beaucoup souffert avec la justice. Depuis 1960, il y a eu des ‘réformettes’, mais jamais de réformes profondes. Mais lorsque nous avons entendu le président Faye, nous avons senti qu’il était déterminé à réformer la justice de manière significative. Nous avons la chance d’avoir eu un président qui a été confronté à la justice de manière injustifiée. Il est sorti de prison pour accéder au palais. Donc, l’espoir est grand », a ajouté Pape Djibril Fall.

Cérémonie d’ouverture des Assises de la Justice : Bassirou Diomaye Faye appelle à une refondation inclusive et participative du système judiciaire

Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a inauguré ce mardi les Assises de la Justice, un événement clé de la journée du Dialogue national, au Centre International de Conférences Abdou Diouf (CICAD). Dans son discours d’ouverture, le Président Faye a mis l’accent sur la nécessité d’une approche inclusive et participative pour la refondation du système judiciaire sénégalais, tout en avertissant contre la tentation de transformer ce processus en une quête d’inquisition visant à désigner des coupables.

« Notre système judiciaire a besoin d’une profonde refondation que seule une approche inclusive permettra de réussir », a déclaré le Président. « Œuvre collective, démarche participative et exercice de consensus, voilà le triptyque qui doit guider notre action », a-t-il ajouté, soulignant ainsi l’importance de la collaboration et de l’implication de tous les acteurs concernés.

Le Président Faye a insisté sur l’importance de ne pas transformer ces assises en un procès en inquisition : « Il ne s’agit pas d’ouvrir un procès en inquisition pour désigner un ou des coupables à jeter aux orties. » Il a appelé les participants à adopter une attitude constructive et à éviter les accusations stériles, favorisant plutôt un débat lucide et serein pour examiner en profondeur les forces et les faiblesses du système judiciaire.

Selon le Président, « il est donc question de tenir un débat lucide et serein, posé et apaisé pour ausculter notre système judiciaire, identifier ses forces et faiblesses et rechercher ensemble les solutions aptes à refonder son fonctionnement et à améliorer ses performances. » Cette approche, selon lui, est essentielle pour garantir que les réformes aboutissent à un système judiciaire plus efficace, transparent et équitable.

Les Assises de la Justice visent à rassembler divers acteurs, dont des représentants du gouvernement, des professionnels de la justice, des membres de la société civile et des citoyens, pour discuter des réformes nécessaires. Les thèmes abordés incluront le statut des magistrats, l’organisation et le fonctionnement du Conseil supérieur de la magistrature, les conditions de détention et la réinsertion sociale des détenus, ainsi que la prise en charge des enfants en conflit avec la loi.

Le Président Faye a également souligné l’importance de ces discussions pour la démocratie et la gouvernance du Sénégal. « En faisant le choix de passer par le dialogue pour trouver des solutions aux problèmes de la justice, malgré une forte légitimité et un projet plébiscité par les Sénégalais, nous perpétuons une tradition bien sénégalaise d’attachement aux valeurs profondes de la paix et de la démocratie », a-t-il affirmé.

Les travaux des Assises de la Justice, qui se poursuivront jusqu’au 4 juin, devraient déboucher sur des recommandations concrètes pour la modernisation et l’amélioration du système judiciaire sénégalais, avec l’objectif de garantir une justice accessible et équitable pour tous.

« Bassirou Diomaye Faye félicite les peuples africains à l’occasion de la Journée Mondiale de l’Afrique »

Le président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, a adressé ses félicitations chaleureuses aux peuples africains à l’occasion de la Journée Mondiale de l’Afrique. Dans un message diffusé sur les réseaux sociaux, notamment Twitter, le chef d’État sénégalais a salué le courage et la détermination des peuples du continent dans leur marche vers le progrès.

M. Faye s’est particulièrement réjoui du thème de cette année, axé sur l’éducation, soulignant ainsi l’importance cruciale de l’éducation dans le développement et l’essor de l’Afrique. Il a réaffirmé son engagement à travailler en solidarité avec ses homologues africains pour la réalisation des objectifs panafricains, notamment en matière d’intégration, de souveraineté et de développement, dans le but ultime d’améliorer le bien-être des populations africaines.

Cette déclaration reflète l’engagement continu du Sénégal envers l’unité et le progrès de l’Afrique, ainsi que sa volonté de travailler en collaboration avec les autres nations du continent pour surmonter les défis communs et bâtir un avenir meilleur pour tous les Africains

Bassirou Diomaye Faye en Guinée : Une visite de travail et d’amitié

Le président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, est arrivé vendredi soir à Conakry, capitale de la Guinée, pour une visite de travail et d’amitié de deux jours. L’annonce a été faite par plusieurs médias, dont la RTS, la télévision nationale du Sénégal.

Accueil à l’Aéroport International Ahmed-Sékou-Touré

L’avion transportant le chef de l’État sénégalais a atterri à 18 heures à l’aéroport international Ahmed-Sékou-Touré de Conakry. À sa descente de l’avion, Bassirou Diomaye Faye a été chaleureusement accueilli par le président guinéen, le général Mamadi Doumbouya. Pour marquer l’importance de cette visite, le président guinéen était entouré de plusieurs de ses collaborateurs, incluant des membres du gouvernement de transition ainsi que des diplomates accrédités en Guinée.

Contexte de la Visite

Cette visite en Guinée intervient après un séjour de Bassirou Diomaye Faye au Cap-Vert, où il était depuis jeudi. À Praia, la capitale capverdienne, le président sénégalais avait discuté de coopération bilatérale et d’intégration régionale avec son homologue capverdien, José Maria Pereira Neves.

Objectifs de la Visite

La visite de Bassirou Diomaye Faye en Guinée s’inscrit dans une série de déplacements visant à renforcer les relations bilatérales et à promouvoir la coopération régionale en Afrique de l’Ouest. Les discussions entre les deux chefs d’État, prévues au cours de cette visite, porteront sur divers sujets d’intérêt commun, y compris les échanges commerciaux, la sécurité régionale et la coopération en matière de développement.

Un Signal Fort de Coopération

L’accueil réservé par le général Mamadi Doumbouya et les autorités guinéennes reflète la volonté des deux nations de consolider leurs liens d’amitié et de partenariat. Cette visite est également perçue comme une opportunité de réaffirmer les engagements mutuels en faveur de la paix, de la stabilité et du développement durable dans la région.

Programme de la Visite

Durant son séjour à Conakry, Bassirou Diomaye Faye aura plusieurs rencontres avec des responsables guinéens. Des entretiens bilatéraux avec le président Doumbouya et des membres du gouvernement de transition sont au programme, visant à explorer des pistes de collaboration renforcée.

La visite de travail et d’amitié de Bassirou Diomaye Faye en Guinée marque une étape importante dans le renforcement des relations entre le Sénégal et la Guinée. Elle illustre l’engagement des deux pays à collaborer étroitement pour le développement régional et à promouvoir des initiatives conjointes qui bénéficieront à leurs populations respectives. Les résultats de ces discussions seront suivis de près, tant par les autorités que par les citoyens des deux nations, espérant des retombées positives pour l’avenir.

Le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye exprime ses condoléances à l’Iran suite au décès tragique du président Raisi

Dans son tweet, il a écrit : « J’ai appris, avec une profonde tristesse, le décès, dans des conditions tragiques, du président Seyyed Ebrahim Raisi de la République Islamique d’Iran et de certains de ses collaborateurs. C’est une douleur immense que le peuple sénégalais partage avec le peuple iranien ami. Avec l’expression de notre compassion, je renouvelle notre solidarité avec l’Iran et prie Allah SWT de faire miséricorde aux illustres disparus. Amen. »

Cette déclaration illustre les liens de compassion et de soutien entre le Sénégal et l’Iran en ces moments difficiles. Les mots du chef de l’État sénégalais reflètent également une volonté de renforcer les relations entre les deux pays dans un esprit de solidarité et de fraternité.

Sénégal : Le président Bassirou Diomaye Faye annule les avantages financiers des ex-ministres

La politique de réforme entreprise par le nouveau président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, continue de faire parler d’elle. En effet, une décision radicale a été prise, marquant un changement significatif dans la gouvernance du pays : l’annulation de plusieurs avantages financiers accordés aux anciens ministres.

Parmi ces mesures, on compte notamment l’annulation des salaires mensuels qui étaient attribués aux ministres de l’ancien gouvernement juste avant le départ de l’ex-président Macky Sall. Selon un rapport de Seneweb, ces salaires s’élevaient entre 1,5 et 2,8 millions de francs CFA.

Cette décision, motivée par une volonté de rationalisation des dépenses de l’État, marque un tournant important dans la gestion des finances publiques au Sénégal. Elle témoigne de la détermination du président Faye à instaurer une gouvernance plus responsable et transparente, mettant ainsi fin à certaines pratiques qui étaient jugées excessives ou inappropriées.

Cette annonce suscite des réactions diverses au sein de la classe politique et de la population sénégalaise. Certains saluent cette mesure comme un pas vers une gestion plus saine des finances publiques, tandis que d’autres expriment des inquiétudes quant à ses implications à long terme.

Quoi qu’il en soit, cette décision montre la volonté du président Faye de mettre en œuvre des réformes audacieuses pour répondre aux attentes et aux besoins de la population sénégalaise, tout en assurant une gestion responsable et équitable des ressources du pays.

Les Présidents Bassirou Diomaye Faye et Paul Kagamé assistent à la finale de la conférence Sahara de la BAL

Les figures politiques de premier plan, le Président sénégalais Bassirou Diomaye Faye et son homologue rwandais Paul Kagamé, se sont joints aux amateurs de basketball à Dakar Arena pour assister à la dernière journée de la conférence Sahara de la saison 4 de la Basketball Africa League (BAL).

La présence des deux chefs d’État a ajouté une dimension politique à cet événement sportif majeur, soulignant l’importance du basketball comme vecteur d’unité et de coopération entre les nations africaines.

Accueillis avec enthousiasme à leur arrivée dans la salle, les Présidents Faye et Kagamé ont été chaleureusement applaudis par les supporters présents.

La journée finale de la conférence Sahara a présenté deux matchs palpitants : Rivers Hoopers du Nigeria contre l’Us Monastir, et Apr du Rwanda contre l’As Douanes. Ces rencontres ont offert aux spectateurs des moments de suspense et d’excitation alors que les équipes rivalisaient pour remporter le titre de champion de la conférence.

L’engagement des Présidents Faye et Kagamé envers le basketball africain témoigne de leur soutien à l’émergence du sport sur le continent et de leur volonté de promouvoir les échanges sportifs et culturels entre les pays africains.

Cette journée à Dakar Arena restera gravée dans les mémoires comme un moment où le sport a uni les nations et où les dirigeants africains ont célébré l’excellence athlétique sur le continent.

Bassirou Diomaye Faye et Paul Kagamé en Guest stars à la Basketball Africa League (BAL)

Ce dimanche, un événement exceptionnel est prévu à la Basketball Africa League (BAL), alors que deux invités de marque, le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye et son homologue rwandais Paul Kagamé, assisteront au match de clôture de la conférence Sahara.

L’AS Douanes du Sénégal affrontera l’APR du Rwanda dans un match crucial de la dernière journée de la phase de groupe de la BAL. Cette information a été confirmée lors du journal télévisé de 20 heures sur la RTS, ajoutant une dimension politique à cet événement sportif majeur.

La conférence Sahara marque la fin de la phase de groupe de la Basketball Africa League, et la prochaine étape sera la phase finale, également connue sous le nom de Final 8, qui se tiendra à Kigali.

L’arrivée du président rwandais, Paul Kagamé, à Dakar samedi pour une visite de travail de 48 heures a précédé cet événement. Pendant son séjour, les deux chefs d’État auront plusieurs entretiens, y compris un déjeuner privé, comme l’ont indiqué les services de communication de la présidence sénégalaise.

Cette présence de haut niveau à la BAL témoigne de l’importance croissante du basketball en Afrique et de la capacité du sport à rassembler les nations et à renforcer les liens entre les pays du continent.

Le Président Bassirou Diomaye Faye se Rend au 15e Sommet de l’OCI à Banjul

Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, s’est envolé ce samedi pour Banjul, à la suite de sa visite officielle du samedi 20 avril. À l’invitation du Président gambien, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Faye a quitté Dakar ce matin pour participer au 15e Sommet de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), prévu les 4 et 5 mai 2024, à Banjul.

Cette conférence internationale d’envergure réunira plusieurs Chefs d’État et de Gouvernement du monde islamique afin de discuter des enjeux et défis auxquels fait face l’Oummah islamique. Sous le thème « Renforcer l’unité et la solidarité à travers le dialogue pour le développement durable », le sommet vise à encourager un dialogue constructif entre les nations musulmanes pour promouvoir le développement durable et la coopération dans divers domaines.

La participation du Président Bassirou Diomaye Faye à cet événement important témoigne de l’engagement du Sénégal envers la coopération internationale et son rôle actif dans la promotion de la paix, de la solidarité et du développement dans la communauté musulmane mondiale.

Le sommet de l’OCI offre une plateforme précieuse pour des discussions stratégiques et des initiatives visant à renforcer les liens entre les pays membres et à aborder les défis communs auxquels ils sont confrontés. Le Sénégal, en tant que membre actif de l’OCI, contribuera sans aucun doute de manière constructive aux délibérations et aux décisions prises lors de cette importante réunion internationale.

Le Président Bassirou Diomaye Faye : Un Appel à l’Humilité et à l’Engagement envers les Citoyens

Après avoir prêté serment au CICAD le 2 avril, le nouveau Président du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, a tenu des discussions cruciales avec ses camarades du parti Pastef au palais de la République. Lors de cette rencontre, le député de Pastef, Abass Fall, a partagé les réflexions et les priorités évoquées par le Président, offrant ainsi un aperçu des valeurs et des engagements de son administration.

L’un des moments clés de cette réunion a été lorsque le Président Faye, alors assis sur la chaise présidentielle, a exprimé son étonnement en ces termes : « Il y a 15 jours, si quelqu’un m’avait dit que je serais assis sur cette chaise, je ne l’aurais pas cru. Cela démontre qu’il faut croire en Dieu. » Cette remarque poignante illustre son humilité et sa reconnaissance envers la responsabilité qui lui incombe désormais.

Abass Fall a également souligné l’importance des comportements des membres du parti envers les citoyens, un rappel essentiel de l’engagement envers la transparence, la dignité et le respect dans les interactions avec le peuple.

En ce qui concerne les priorités du nouveau gouvernement, le Président Faye a mis l’accent sur la justice en tant que fondement d’une société juste et équitable. Il a souligné la nécessité pour tous les citoyens d’avoir un accès égal et transparent à la justice, mettant en avant l’importance de la transparence, de l’efficacité et de l’équité dans les procédures judiciaires.

De plus, le Président Faye a rappelé l’importance de rester fidèle aux sacrifices consentis pour atteindre cette position, appelant à une humilité constante et à un engagement sans faille envers les besoins et les préoccupations des citoyens.

Cette réunion entre le Président Faye et les membres de Pastef souligne un changement de ton et une vision axée sur le service et l’intégrité, offrant ainsi un aperçu de ce que les Sénégalais peuvent attendre de leur nouveau leader et de son équipe.

Révélations sur un accord secret entre Macky Sall, Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko

Dans son édition de ce vendredi, le journal « Jeune Afrique » a levé le voile sur les coulisses des négociations entre Macky Sall, Ousmane Sonko et le nouveau président Bassirou Diomaye Faye. Des pourparlers qui auraient débuté bien avant l’élection présidentielle remportée par Bassirou Faye, selon le média panafricain.

Selon les informations rapportées, les discussions entre les deux camps ont été initiées avant même que le Conseil constitutionnel n’invalide la candidature de Karim Wade. Macky Sall aurait espéré un soutien potentiel de ce dernier en cas de second tour entre le Pastef de Sonko et Amadou Ba. Cependant, le report de l’élection présidentielle aurait changé la donne, incitant Sall à entamer des négociations avec Sonko.

C’est à ce moment-là qu’intervient Ousmane Yara, un homme d’affaires malien proche de Macky Sall et du président nigérian Bola Tinubu. Yara aurait joué un rôle de médiateur entre les deux camps, mettant en relation Sonko et des proches du président sortant.

Selon les révélations de « Jeune Afrique », Sonko aurait montré de l’intérêt pour les discussions, mais aurait également pris conscience du coût politique d’un éventuel report de l’élection. Ainsi, plusieurs sujets auraient été abordés lors des négociations, notamment le report de la Présidentielle et une loi d’amnistie.

Le jour du scrutin, des arrangements auraient été faits pour faciliter le déplacement de Sonko vers son fief de Ziguinchor en Casamance, malgré les restrictions de déplacement en vigueur.

Après la victoire de Bassirou Diomaye Faye, des rapprochements entre les anciens adversaires sont observés, avec une visite de Sonko au palais présidentiel aux côtés de Macky Sall, bien avant la proclamation officielle des résultats. Cette proximité serait le résultat de ce que certains appellent le « protocole du Cap Manuel », fruit de discussions souterraines et de compromis politiques menés alors que Sonko et Faye étaient encore emprisonnés à la prison du Cap Manuel.

Ces révélations pourraient susciter des questions sur les coulisses du processus électoral et sur les dynamiques politiques au Sénégal.

Le Président Bassirou Diomaye Faye Poursuit la Lutte Contre les Irregularités Foncières et le Blanchiment d’Argent

Le nouveau président Bassirou Diomaye Faye entreprend une action décisive contre la gestion foncière douteuse héritée du régime précédent, selon des informations rapportées par WalfQuotidien. Les irrégularités découvertes jusqu’à présent ne seraient que la partie visible de l’iceberg, révélant ainsi des ramifications profondes dans le blanchiment d’argent, notamment provenant du trafic de drogue.

Les fonds en question, évalués à environ 200 milliards de francs CFA selon l’économiste Abou Kane, sont soupçonnés d’avoir été investis dans l’immobilier. Ces estimations se basent sur les résultats de l’Institut d’études de sécurité, qui soulignent une alarmante convergence entre le trafic de drogue et le secteur immobilier au Sénégal.

Selon le professeur Kane, depuis 2021, le Sénégal est sous la surveillance étroite du Groupe d’action financière (GAFI), étant placé sur la liste grise. Cette classification met en lumière les lacunes dans la lutte contre le blanchiment de capitaux et soulève des préoccupations quant à l’origine licite des fonds investis dans l’immobilier.

Le constat est alarmant : plus de 120 agences immobilières auraient été créées au Sénégal au cours de la dernière décennie par des trafiquants de drogue, révèle l’Institut d’études de sécurité. Cette tendance inquiétante, combinée au fait que 96% des investissements immobiliers étaient douteux depuis 2013 et que 30% des biens criminels saisis étaient des propriétés immobilières, souligne l’urgence d’agir.

Pour Kane, il est impératif de prendre des mesures immédiates pour empêcher le Sénégal de figurer sur la liste noire des pays à haut risque en matière de blanchiment d’argent. Cette lutte contre le blanchiment d’argent et les irrégularités foncières s’annonce comme une priorité cruciale pour l’administration du Président Faye dans sa quête pour restaurer la transparence et l’intégrité dans la gestion des ressources du pays.

Le Président Bassirou Diomaye Faye réaffirme son engagement envers les travailleurs lors de la cérémonie de la fête du Travail

Dans le cadre des célébrations de la fête du Travail, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a présidé aujourd’hui une cérémonie solennelle au palais présidentiel, lors de laquelle il a reçu les cahiers de doléances des centrales syndicales. Cette traditionnelle rencontre a été l’occasion pour le Chef de l’État de rendre hommage aux travailleurs du Sénégal, mettant en lumière leur contribution essentielle à la société et à l’économie nationale.

Dans son discours, le Président a souligné l’importance cruciale du travailleur sénégalais, reconnaissant leur dévouement et leur engagement quotidien au service du pays. Il a salué leur contribution inestimable à la construction d’un Sénégal souverain, juste et prospère, dans un contexte où le pays aspire à un développement continu au sein d’une Afrique en progression.

Évoquant la question des conventions collectives, le Chef de l’État a encouragé les travailleurs et les employeurs à poursuivre le processus d’évolution du droit négocié, soulignant l’importance de son adaptation aux mutations du marché du travail. Cette démarche, selon lui, contribuera à renforcer les relations de travail et à garantir de meilleures conditions pour tous les acteurs du monde du travail.

Dans un geste symbolique, le Président Faye a réaffirmé son engagement ferme envers la promotion et le renforcement du dialogue social. Il a souligné l’importance de la cohésion sociale et de la prospérité nationale, qui passent inévitablement par un dialogue ouvert et constructif entre les différentes parties prenantes de la société.

Cette cérémonie marque ainsi la volonté du Président de placer le travailleur au cœur des préoccupations nationales et de garantir un avenir meilleur pour tous les citoyens sénégalais.

Bassirou Diomaye Faye face aux attentes des Sénégalais : Réduire la vie chère et lutter contre les inégalités salariales

Depuis son accession à la présidence il y a un peu plus d’un mois, Bassirou Diomaye Faye a été accueilli comme la « solution » à la vie chère qui sévit au Sénégal. Il a promis un plan de lutte pour réduire les prix des denrées de première nécessité d’ici le 15 mai, et cette échéance est attendue avec impatience tant par les centrales syndicales que par les citoyens sénégalais.

Bien conscient des défis à relever, le secrétaire général de la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (Cnts), Mody Guiro, exprime l’espoir que les prix connaîtront une baisse significative. Il souligne que les salaires n’ont pas suivi la même trajectoire que l’inflation, ce qui rend la situation encore plus difficile pour les travailleurs. Bien que reconnaissant que toutes les questions ne pourront pas être résolues du jour au lendemain, il insiste sur la nécessité d’actions concrètes pour atténuer l’impact de la vie chère.

De son côté, Amidou Diediou, secrétaire général du Syndicat des enseignants libres du Sénégal, met l’accent sur la résolution des inégalités de salaire, notamment dans le secteur de l’éducation. Il rappelle que les syndicats avaient déjà soulevé cette question en 2018, soulignant le niveau d’injustice qui persiste. Pour lui, il est impératif que les ressources de l’État, même limitées, soient redistribuées de manière équitable pour corriger ces disparités.

Que ce soit sur le front de la rémunération, le coût de la vie, la politique monétaire ou les nominations, Bassirou Diomaye Faye et son équipe sont confrontés à d’importants défis. Les attentes sont grandes, et les Sénégalais attendent des actions concrètes pour améliorer leurs conditions de vie et réduire les inégalités sociales.

Le président Bassirou Diomaye Faye abroge les décrets pris par son prédécesseur

Le président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, a récemment pris une décision marquante en abrogeant les décrets émis par l’ancien président Macky Sall à la suite de la dernière réunion du Conseil supérieur de la magistrature, tenue le 29 mars 2024. Cette annonce, relayée par la presse, témoigne d’un virage significatif dans le paysage politique et juridique du pays.

Les décrets pris par Macky Sall lors de cette réunion ont certainement suscité des débats et des interrogations au sein de la société sénégalaise. L’abrogation de ces décrets par le président Bassirou Diomaye Faye dénote une volonté de réévaluer les décisions prises précédemment et peut-être d’introduire de nouvelles orientations en matière de gouvernance et de justice.

Cette action souligne l’autorité du nouveau président et son engagement envers les principes démocratiques et l’État de droit. Elle pourrait également traduire une volonté de réformer le système judiciaire afin d’assurer son efficacité, son impartialité et sa transparence.

Il est crucial de suivre de près les développements futurs liés à cette abrogation et d’observer comment elle influencera le fonctionnement de la magistrature et l’administration de la justice au Sénégal. Cette décision pourrait avoir des répercussions significatives sur l’équilibre des pouvoirs et la protection des droits des citoyens dans le pays.

En attendant, l’attention se tourne vers les prochaines étapes que le président Bassirou Diomaye Faye entreprendra pour consolider et améliorer le système judiciaire sénégalais dans le cadre de son mandat présidentiel.

Le journaliste Adama Sow analyse les premiers pas du gouvernement Bassirou Diomaye Faye

Dans un contexte politique où chaque action est scrutée à la loupe, l’ancien journaliste de la RTS, Adama Sow, a pris la parole pour évaluer les premières décisions du gouvernement Bassirou Diomaye Faye. Dans une publication récente, il a désigné à la fois les aspects positifs et les points de vigilance de cette nouvelle administration.

Pour Adama Sow, le point fort réside incontestablement dans la décision d’arrêter les travaux sur la corniche de Dakar. Cette mesure est perçue comme une initiative salutaire visant à s’attaquer à la prédation foncière qui a longtemps prévalu au Sénégal. Selon lui, il est crucial que le président Bassirou Diomaye Faye et son gouvernement maintiennent le cap sur ce dossier, évitant ainsi de reculer face aux pressions potentielles.

En revanche, le journaliste exprime des réserves quant au retour du président de la République dans le parti Pastef. Cette décision est critiquée pour ce qu’elle représente : le retour à des pratiques politiques jugées douteuses, telles que la construction prématurée d’un siège de parti et la mise en place de cotisations pour les nommés. Adama Sow met en garde contre les risques d’une gestion des fonds publics en contradiction avec les promesses de changement du nouveau gouvernement, soulignant la nécessité de maintenir une véritable rupture avec les pratiques du passé.

Cette réaction d’Adama Sow met en lumière les attentes et les préoccupations du public à l’égard du nouveau gouvernement, tout en soulignant l’importance d’une gouvernance transparente et responsable. Ses analyses reflètent un désir profond de voir le Sénégal progresser sur la voie du changement et de la justice sociale.

Le président Bassirou Diomaye Faye appelle à une plus grande efficacité gouvernementale lors d’un séminaire ministériel

Samedi dernier, le président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, a présidé un séminaire gouvernemental axé sur l’importance des fonctions confiées aux ministres et secrétaires généraux. Dans son discours d’ouverture, le chef de l’État a rappelé aux ministres les piliers fondamentaux de leur mission, exprimant ainsi sa volonté de voir une plus grande efficacité dans l’action gouvernementale.

Le président Faye a souligné que les attentes du peuple sénégalais sont élevées et que le gouvernement s’est engagé à apporter une rupture significative, en initiant une transformation systémique en profondeur. Cette transformation, selon lui, doit débuter par une réforme de la méthode de travail au sein de l’exécutif et, plus spécifiquement, du gouvernement.

À cet égard, le président a exprimé son attente à l’égard du séminaire gouvernemental, visant à doter le nouveau régime des connaissances et des outils nécessaires pour piloter efficacement les départements ministériels qui leur ont été confiés. Il a insisté sur l’importance de diriger, de gérer et de manager avec efficacité et efficience, soulignant l’importance cruciale de la compétence et de la disponibilité dans l’exercice des fonctions gouvernementales.

Les ministres ont également été rappelés aux principes fondamentaux de l’honneur, de la disponibilité, de l’humilité et de la compétence. Ces valeurs, selon le président, sont essentielles pour assurer le succès de la mission gouvernementale et répondre aux attentes du peuple sénégalais.

Ce séminaire ministériel marque ainsi une étape importante dans les efforts du gouvernement pour améliorer son efficacité et répondre aux défis actuels auxquels le pays est confronté. En rappelant ces principes fondamentaux, le président Faye affiche sa détermination à promouvoir une gouvernance responsable et efficace au Sénégal.

Le Président Bassirou Diomaye Faye Effectue sa Prière du Vendredi à la Grande Mosquée Omarienne

En ce 26 avril, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a accompli son devoir religieux en effectuant sa prière du vendredi à la Grande Mosquée Omarienne. Cette visite démontre l’importance accordée par le chef de l’État à sa pratique religieuse et à son engagement envers la communauté musulmane du pays.

Après avoir participé à la prière du vendredi, le Président Faye a eu l’opportunité de converser brièvement avec l’Imam de la Mosquée, Thierno Seydou Nourou Tall. Ce moment d’échange illustre le respect et la considération du président pour les leaders religieux et les lieux de culte du pays.

La Grande Mosquée Omarienne est un symbole de spiritualité et de rassemblement pour la communauté musulmane, et la présence du président à cet endroit sacré renforce les liens entre la présidence et la population religieuse du pays.

Cette visite reflète également l’engagement du président à maintenir des relations étroites avec toutes les composantes de la société, dans le respect de la diversité religieuse et culturelle qui caractérise le pays. En tant que leader de la nation, le Président Bassirou Diomaye Faye montre ainsi son attachement aux valeurs de tolérance, d’unité et de dialogue interreligieux.

Accident Mortel près de Koungheul : Le Président Bassirou Diomaye Faye Exprime sa Solidarité

Une tragédie a frappé la région de Koungheul avec l’accident de la route entre Yamong et Mbadianène, sur la RN1, causant la perte de 14 vies. Le président Bassirou Diomaye Faye a réagi avec une profonde tristesse face à cette terrible nouvelle, exprimant sa solidarité et ses condoléances aux familles endeuillées et aux proches des victimes.

Dans un message partagé sur les médias sociaux, le président a témoigné sa compassion envers les victimes de cet accident et a souhaité un prompt rétablissement aux blessés. Il a également appelé à la mobilisation de tous les services concernés pour fournir un soutien et une assistance appropriés aux personnes affectées par cette tragédie.

Soulignant l’importance de la sécurité routière, le président a exhorté tous les acteurs du transport routier à faire preuve de prudence et à respecter scrupuleusement le code de la route. Il a également donné des instructions claires aux services de l’État pour veiller au respect des normes techniques des véhicules et des règles de sécurité routière, soulignant ainsi son engagement envers la prévention des accidents de la route.

Cet accident, qui a endeuillé la région de Koungheul, met en évidence la nécessité de mesures plus strictes en matière de sécurité routière et de sensibilisation accrue à l’importance de la prudence sur les routes. Le président Bassirou Diomaye Faye, par son message de solidarité et d’action, témoigne de son engagement envers la protection et le bien-être de tous les citoyens du pays.

LETTRE OUVERTE: UNION RÉGIONALE DE KAOLACK – A son Excellence Bassirou Diomaye Faye Président de la République du Sénégal

Excellence,
Le 24 Mars 2024, par la volonté du peuple souverain consacré par le Pouvoir Divin, à l’issue du verdict des urnes, vous voilà aujourd’hui, portant en bandoulière l’étendard du triptyque « JUB – JUBEL – JUBANTI », en charge des attentes de tout un peuple plein d’espoir.
Dans cette noble mission que vous vous assignez pour conduire le Sénégal vers de nouveaux horizons, l’Union Régionale/CNTS de Kaolack par cette présente lettre vous prie avec insistance de placer au cœur de vos légitimes préoccupations la capitale du Saloum où la Mairie, Le Cœur de Ville et La Chambre de Commerce sont, malgré un conflit d’intérêts certain, entre les mains et le bon vouloir d’une seule et même personne en l’occurrence M.
Serigne Mboup.
Excellence,
Depuis son avènement à la tête de la Mairie de Kaolack, Serigne Mboup n’a eu de cesse de gérer l’institution municipale comme sa propre propriété en foulant au pied les principes regaliens de la Bonne Gouvernance Locale.
Comme un roitelet et son chambellan, Serigne Mboup et son Secrétaire Général Mbaye Ngom à qui il a donné tous les pouvoirs, reléguant ainsi tous ses adjoints au simple role de figurants, violent impunément les droits des travailleurs et pire quand ces derniers sont affiliés a la CNTS.
En effet depuis près de deux ans, les travailleurs affiliés à la CNTS largement majoritaires dans cette institution sont victimes d’un acharnement indicible, de brimades et d’exactions inimaginables de toutes sortes pour le seul tort de respecter à la lettre les mots d’ordre de l’INTERSYNDICALE à l’instar de toutes les 600 collectivités locales du Sénégal. Et cette forfaiture s’accomplit impunément avec le mutisme ou la complicité des autorités locales

A son actif on peut noter

  1. Un recrutement abusif sur la base du copinage, du népotisme et du clientélisme politique ne répondant à aucune nécessité de service car la mairie disposant à suffisance d’un personnel qualifié pour répondre aux attentes des populations.
  2. L’affectation d’agents à des postes ne correspondant pas à leur profil.
  3. Des coupures ciblées de salaires en faisant fi de la quotité cessible.
  4. Un pillage insidieux des maigres ressources de la commune.
  5. Une gestion gabégique dans l’exécution des travaux et des marchés publics.
    6.
    Des virements injustifiés de dizaines de millions au profit de la FIKA qui est sa propriété.
    Nous ne pouvons terminer cette lettre sans évoquer Cour de Ville d’un coût de près de 18
    Milliards mis gracieusement à la disposition de M. Serigne Mboup depuis 2011 par un contrat d’exploitation dont le cahier de charges n’a jamais été porté a la connaissance des populations de Kaolack qui devaient en être les principales bénéficiaires.
    Excellence,
    Pour toutes ces raisons, entre autres, l’Union Régionale/CNTS de Kaolack sollicitent
  6. Un audit de la gestion de la mairie de Kaolack.
  7. Installation d’une Délégation Spéciale à la mairie pour remplir la mission de JUBANTI au sein de cette institution.
  8. Révision du Contrat d’Exploitation de Cœur de Ville.
  9. Non renouvellement du Contrat d’Exploitation de Cour de Ville pour restituer cette infrastructure aux artisans, tailleurs, commerçants et opérateurs economiques de la capitale du Saloum afin de générer des ressources substantielles pour l’institution municipale au profit des seules populations de KAOLACK.
    Excellence,
    L’Union Régionale/CNTS de Kaolack vous assure d’avance de sa disponibilité pour vous offrir gracieusement sa collaboration pour une action énergique en vue d’assainir la gestion de la commune de KAOLACK.
    En attendant Excellence nous vous souhaitons une belle réussite dans vos nouvelles fonctions pour le mieux-être de notre cher Sénégal et vous assurons d’être à vos côtés de vaillants soldats du JUB, JUBEL, JUBANTI
    Excellence, que DIEU vous garde.

Le Président Bassirou Diomaye Faye insiste sur la régulation des coûts des loyers et l’accès au logement décent

Lors d’une récente réunion du Conseil, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a souligné l’importance de répondre aux préoccupations de ses concitoyens en matière de logement. Il a particulièrement mis l’accent sur la nécessité de réguler les coûts des loyers et de faciliter l’accès à un logement décent.

Cette déclaration intervient dans un contexte où de nombreux citoyens sénégalais rencontrent des difficultés à trouver un logement abordable et décent. Les loyers élevés et la pénurie de logements disponibles dans certaines régions ont exacerbé cette problématique, entraînant une pression financière importante sur de nombreuses familles.

Face à cette situation, le Président a rappelé au Conseil l’urgence d’agir pour réguler les coûts des loyers. Cette mesure vise à rendre le logement plus accessible à la population et à réduire les charges financières des ménages. En parallèle, il a également souligné l’importance de mettre en place des facilitations pour permettre à chacun d’accéder à un logement décent.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre des efforts plus larges du gouvernement visant à améliorer les conditions de vie des citoyens et à promouvoir le bien-être social. En garantissant l’accès à un logement abordable et de qualité, le gouvernement cherche à créer des conditions propices au développement socio-économique du pays.

Le Président Bassirou Diomaye Faye a affirmé son engagement à poursuivre ces efforts et à travailler en étroite collaboration avec les différents acteurs concernés pour trouver des solutions durables à la crise du logement. Il a souligné l’importance de mettre en œuvre des politiques efficaces et inclusives qui répondent aux besoins variés de la population et qui favorisent l’équité et la justice sociale.

Cette déclaration du Président témoigne de la volonté du gouvernement de prendre des mesures concrètes pour améliorer les conditions de vie des citoyens sénégalais. La régulation des coûts des loyers et l’accès facilité au logement décent constituent des priorités majeures dans la poursuite du développement économique et social du pays.

Remaniement Ministériel au Sénégal : Le Président Bassirou Diomaye Faye Trace une Nouvelle Trajectoire

Le paysage politique sénégalais subit des transformations majeures avec l’annonce d’un remaniement ministériel initié par le président Bassirou Diomaye Faye. Ce remaniement marque une rupture nette avec certains cadres de l’ère Macky Sall et implique des changements significatifs dans la composition du gouvernement.

Parmi les modifications les plus remarquables, on note l’éviction de Oumar Demba Bâ, ex-ministre-conseiller diplomatique et collaborateur de l’ancien président Macky Sall. Il est remplacé par Sonar Ngom, ancien secrétaire général au ministère des Affaires étrangères. Ce changement illustre la volonté du président Faye de constituer une équipe gouvernementale qui reflète sa propre vision et ses priorités politiques.

Ce remaniement intervient dans un contexte où le président Faye semble chercher à s’entourer d’une nouvelle équipe, renforçant ainsi sa gouvernance et réalignant les forces politiques autour de sa direction. Ces ajustements visent à répondre aux aspirations de renouvellement et à établir une confiance renouvelée au sein du gouvernement sénégalais.

Il est à noter que ce remaniement ministériel pourrait avoir des implications importantes sur la politique intérieure et extérieure du Sénégal, ainsi que sur la dynamique politique dans le pays. Les observateurs seront attentifs à la manière dont ces changements influenceront la gouvernance et les politiques publiques à l’avenir, alors que le président Faye cherche à imprimer sa marque sur la direction du pays.

Goudomp : le ministre de la Fonction publique en visite dans son fief après sa nomination.

Le ministre de la Fonction publique Olivier Boucal s’est rendu, samedi dans le département de Goudomp au niveau des villages de Goudomp, Kaour, Singhére Baïnouck et Singhére Escale pour une visite de courtoisie auprès des populations et des foyers religieux de la localité.

M. Olivier Boucal s’est entretenu avec les guides religieux de Kaour son village natal. Là – bas le ministre et sa délégation étaient chez la famille de Chérif Sidou Ahmeth Ibn Chérif Diafara Sadick Aïdara où il a été reçu par Chérif Yacouba Ibn Chérif Mouhamed Lamine Aïdara et à Gassama Counda le ministre a sollicité des prières auprès du khalif de Cheikh Elhadji Gaoussou Diaby Gassama, Elhadji Badiaby Gassama

Selon des témoins ayant assisté à la rencontre, le ministre de la fonction publique a promis que le gouvernement continuera d’être aux côtés des populations, les accompagnera dans leurs actions. Il a également évoqué d’autres moyens de lutter contre la pauvreté entre autres afin que le département de Goudomp soit l’un des départements émergents.

A leur tour, les chefs religieux de Kaour lui ont rappelé que c’est Dieu qui donne le pouvoir à qui Il veut et ont prié pour la réussite du président de la République Bassirou Diomaye Faye.

Le Président Bassirou Diomaye Faye Entame une Visite Diplomatique en Gambie

Le président Bassirou Diomaye Faye, fraîchement élu à la tête du Sénégal le 24 mars dernier, a amorcé son premier déplacement officiel à l’étranger en se rendant en Gambie. Son arrivée à l’aéroport international de Banjul a été marquée par un accueil solennel de la part de son homologue gambien, Adama Barrow.

Vêtu sobrement d’un costume noir, le président Faye a été accueilli avec les honneurs militaires, symbolisant l’importance de cette visite pour les deux nations voisines. Les discussions ont débuté par un entretien informel au salon d’honneur de l’aéroport, suivi d’un tête-à-tête au State House, la résidence officielle du président gambien. Un déjeuner entre les deux dirigeants était également au programme, offrant l’occasion de discuter des enjeux bilatéraux et régionaux.

Au-delà des rencontres officielles, le président Faye a prévu de rencontrer la communauté sénégalaise établie en Gambie, une communauté estimée à entre 400 000 et 500 000 membres. Cette rencontre témoigne de l’importance des liens historiques, culturels et humains qui unissent les deux peuples.

Cette visite revêt une signification particulière dans le contexte de la consolidation des relations entre le Sénégal et la Gambie. Les deux pays partagent une histoire commune, marquée notamment par leur appartenance passée à la Confédération de la Sénégambie (1982-1989). Ils sont également liés par des intérêts communs dans divers domaines tels que la défense, la sécurité, le commerce, le tourisme et l’environnement.

Sur le plan économique, la Gambie occupe une place importante dans les échanges commerciaux du Sénégal, étant l’un de ses principaux clients dans la zone CEDEAO. En 2022, les exportations sénégalaises vers la Gambie ont été estimées à 110,7 milliards de francs CFA, soulignant ainsi l’importance des relations économiques entre les deux pays.

Cette visite marque le début d’une nouvelle ère de coopération et de partenariat entre le Sénégal et la Gambie sous la présidence de Bassirou Diomaye Faye. Elle témoigne de la volonté du nouveau président sénégalais de renforcer les liens de bon voisinage et de coopération avec les pays voisins, dans le but de promouvoir la stabilité et le développement régional.

Renforcement des Liens entre le Sénégal et la Gambie : Visite Diplomatique du Président Bassirou Diomaye Faye à Banjul

La diplomatie entre le Sénégal et la Gambie prend un nouveau tournant avec la visite imminente du Président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, à Banjul ce samedi. Cette rencontre, prévue après la visite du président sénégalais en Mauritanie la veille, s’inscrit dans une volonté commune de renforcer les liens historiques et économiques entre les deux États voisins.

La coopération entre le Sénégal et la Gambie a connu une dynamique croissante, illustrée par les échanges commerciaux florissants en 2023. Les exportations sénégalaises vers la Gambie ont atteint plus de 112 milliards de FCFA, représentant près de 9% des exportations vers la zone CEDEAO. Cette forte activité commerciale témoigne de la vitalité des relations économiques entre les deux pays, avec des importations également équilibrées avoisinant les 4,5 milliards de FCFA.

La visite du Président Faye revêt une importance particulière dans la consolidation de cette coopération bilatérale. Les discussions prévues avec les autorités gambiennes porteront sur l’intensification des échanges dans des secteurs clés tels que le gaz, le commerce et la pêche. Ces secteurs présentent un potentiel de croissance significatif et offrent des opportunités de développement mutuellement bénéfiques pour les deux nations.

La rencontre entre les présidents sénégalais et gambien témoigne de l’engagement des deux États à consolider leur partenariat stratégique. Elle offre également une occasion précieuse de renforcer les fondations d’une coopération politique, économique et culturelle solide, tout en ouvrant de nouvelles perspectives pour le développement régional.

Au-delà des enjeux économiques, cette visite diplomatique souligne l’importance des liens historiques et humains qui unissent le Sénégal et la Gambie. Elle incarne la volonté commune des deux peuples de promouvoir la paix, la stabilité et la prospérité dans la région ouest-africaine.

La visite du Président Bassirou Diomaye Faye à Banjul marque ainsi une étape significative dans le renforcement des relations entre le Sénégal et la Gambie, et ouvre la voie à un avenir de coopération mutuellement bénéfique pour les deux nations.

Premier déplacement international du président Bassirou Diomaye Faye

Le président Bassirou Diomaye Faye effectuera son premier déplacement à l’international ce jeudi 18 avril, marquant ainsi le début d’une série de rencontres diplomatiques cruciales pour le Sénégal. Son programme chargé comprendra des entretiens bilatéraux avec des dignitaires étrangers et des réunions élargies visant à renforcer les relations et la coopération entre les nations.

Tout d’abord, le président Bassirou Diomaye Faye rencontrera en tête-à-tête son homologue, le président Mohamed Ould Ghazouani. Cette rencontre sera suivie d’une réunion élargie impliquant les membres des deux délégations, où des discussions approfondies sur des sujets d’intérêt commun auront lieu.

La délégation sénégalaise accompagnant le chef de l’État comprendra une sélection de ministres, dans un souci de sobriété et d’efficacité. La ministre de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères, Mme Yassine Fall, le ministre des Infrastructures et des Transports Terrestres et Aériens, M. El Malick Ndiaye, ainsi que la ministre des Pêches et de l’Économie Maritime, Mme Fatou Diouf, auront l’honneur de représenter le Sénégal lors de ces échanges diplomatiques importants.

Il convient de souligner que le président Bassirou Diomaye Faye maintient sa ligne de conduite axée sur la sobriété et la modestie lors de ses déplacements officiels. Cette approche témoigne de son engagement envers une gestion responsable des ressources publiques et une représentation efficace des intérêts nationaux sur la scène internationale.

Cette première visite à l’étranger revêt une importance particulière pour le président Bassirou Diomaye Faye et marque le début d’une nouvelle ère de coopération et de partenariat entre le Sénégal et ses partenaires internationaux.

Pour toute information complémentaire sur le programme et les résultats de ce déplacement, veuillez contacter le bureau de communication de la présidence.

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