Adama Faye impliqué dans une affaire d’escroquerie foncière pour 275 millions de francs CFA

Adama Faye, frère de l’ancienne première dame Marieme Faye Sall, se retrouve au cœur d’une affaire d’escroquerie foncière, faisant trembler les fondements de sa réputation. L’ancien candidat, bien loin d’une participation à l’élection présidentielle de 2024, voit son nom associé à une sombre affaire de détournement.

Hier, Adama Faye a été convoqué par la Section de recherches (Sr) pour répondre de ces accusations. Administrateur de société et résidant à Ouest-Foire, il a été placé en garde à vue pour escroquerie foncière, impliquant la vente de terrains d’une valeur estimée à 275 millions de francs CFA, selon les informations révélées par Libération.

L’histoire se dessine avec une certaine ironie : des terrains vendus à des particuliers se révèlent être de qualité inférieure, et les acheteurs peinent à honorer les paiements convenus. Cette triste saga connaîtra son épilogue ce jeudi, lorsque Adama Faye sera déféré au parquet. Malgré les efforts de ses proches pour résoudre l’affaire à l’amiable, la justice suit son cours implacable.

Cette affaire jette une ombre sur la famille Faye, déjà ébranlée par les tumultes politiques. Pour Adama Faye, elle représente un revers personnel douloureux, compromettant sa réputation et laissant entrevoir des conséquences juridiques sévères.

Arrestation de Doro Gueye : Le chèque d’un milliard 200 millions et la plainte de Zakiloulahi Sow

Hier soir, au Casino de l’hôtel Terrou-Bi, l’homme d’affaires Doro Gueye, PDG de la société Cim-Translog Suarl, a été interpellé par la section de recherche de la Gendarmerie. Cette arrestation fait suite à une affaire d’escroquerie foncière, avec un préjudice financier estimé à 1 milliard 200 millions de francs CFA, selon le plaignant, Zakiloulahi Sow.

Dakaractu a pu obtenir une copie d’un chèque émis par Doro Gueye à l’ordre de SIRAJ, tiré de la FBNBank le 22 mars 2024. Cependant, ce chèque est revenu impayé, ce qui aurait conduit à la convocation et à l’arrestation de l’homme d’affaires. Les accusations portées à son encontre concernent la vente de baux sur le site de l’ancien Aéroport international Léopold Sédar Senghor de Dakar.

La plainte à l’origine de cette arrestation a été déposée par Zakiloulahi Sow, également Directeur général de la société Siraj Financial Holding. Cette affaire suscite l’attention et soulève des questions quant à d’éventuelles autres implications. Les autorités poursuivent leur enquête pour faire toute la lumière sur cette affaire.

Le lutteur Lac de Guiers entre les mains de la justice pour escroquerie

Le lutteur Lac de Guiers 2 se retrouve au cœur d’une affaire d’escroquerie, ayant été arrêté par les forces de l’ordre du commissariat central de Guédiawaye. Accusé d’avoir escroqué un montant de 21 millions de francs CFA à neuf plaignants, le chef de file de l’écurie Walo a été présenté ce matin au procureur de la République du Tribunal de Grande Instance (TGI) de Pikine-Guédiawaye.

Cette affaire remonte à une prétendue escroquerie où Lac de Guiers 2, accompagné de son complice A. S. Diagne – actuellement en cavale et supposément localisé en Europe selon une source de Seneweb – aurait perçu de l’argent de candidats à l’émigration avant de disparaître.

Face aux plaintes des victimes, le parquet de Pikine-Guédiawaye a ordonné une enquête policière pour faire toute la lumière sur cette affaire. Cependant, les deux suspects étaient en fuite jusqu’à ce que Lac de Guiers 2 soit appréhendé à son retour à Dakar.

La situation actuelle laisse le sort du lutteur entre les mains de la justice sénégalaise, qui devra statuer sur cette affaire d’escroquerie présumée et décider des mesures à prendre à l’encontre des accusés.

Affaire d’escroquerie : Trois nouvelles plaintes déposées contre le lutteur Lac de Guiers 2

Dans le monde feutré de la lutte sénégalaise, une affaire retentissante secoue les cercles sportifs et médiatiques. Lac de Guiers 2, célèbre lutteur et leader de l’écurie Walo, se retrouve au cœur d’un scandale d’escroquerie. Après son arrestation récente, de nouvelles révélations viennent élargir le spectre des préjudices présumés causés par ses agissements.

L’affaire débute par l’arrestation de Lac de Guiers 2 pour son implication présumée dans une affaire d’escroquerie. Cette arrestation, initialement liée à une plainte déposée par une victime, a ouvert la voie à une série de révélations accablantes. Trois nouvelles personnes, portant le nombre total de plaignants à neuf, se sont présentées aux autorités pour dénoncer des pratiques frauduleuses attribuées au lutteur.

Le préjudice financier provisoire, évalué à 21 millions de francs CFA, témoigne de l’étendue des dommages allégués. Ces accusations ne sont pas à prendre à la légère, d’autant plus qu’elles touchent un personnage aussi influent que Lac de Guiers 2. Parmi les plaignants figurent une femme ainsi que des jeunes, mettant en lumière l’impact potentiellement dévastateur de ces actions sur des individus variés et vulnérables.

Un autre élément clé de l’affaire est la fuite présumée de l’acolyte de Lac de Guiers 2, identifié comme A. S. Diagne. Les autorités soupçonnent que cet individu aurait également joué un rôle central dans les manœuvres frauduleuses. Sa cavale, notamment en Europe, complique l’enquête et soulève des questions sur d’éventuelles complicités et ramifications internationales dans cette affaire.

L’arrestation de Lac de Guiers 2 a suscité un profond émoi dans le monde de la lutte sénégalaise, traditionnellement considéré comme un bastion de valeurs telles que l’intégrité et l’honneur. Cette affaire soulève des questions cruciales sur la confiance et la responsabilité des figures publiques, en particulier dans le domaine du sport, où l’influence des icônes peut être immense. Les développements ultérieurs de cette affaire seront suivis de près par l’opinion publique, ainsi que par les acteurs du monde de la lutte et des autorités judiciaires.

Démantèlement d’un réseau d’escroquerie : Le faux Lieutenant de Gendarmerie arrêté

Au cœur des Parcelles – Assainies, un quartier de Dakar, un individu s’est illustré par une supercherie aussi audacieuse que dangereuse. A. S., électricien en bâtiment de profession, a osé se faire passer pour un officier de la gendarmerie, semant l’illusion et l’escroquerie sur son chemin. Son arrestation révèle un réseau d’escroquerie sophistiqué, impliquant des tentatives d’influence sur des affaires judiciaires moyennant finances.

Les enquêteurs du commissariat de l’Unité 15 des Parcelles – Assainies ont découvert un vaste éventail de manigances orchestrées par cet individu. A. S. utilisait son statut présumé de lieutenant de gendarmerie pour infiltrer les commissariats et brigades, s’immisçant dans les affaires judiciaires en cours. Son modus operandi était simple mais efficace : il promettait aux plaignants ou aux mis en cause une issue favorable à leur dossier moyennant paiement.

L’un de ses exploits a été de soutirer la somme de 500 000 F CFA à un commerçant de Tivaouane Peul, qui cherchait à faire disparaître une affaire judiciaire en suspens. Mais ce n’était là qu’un exemple parmi d’autres. A. S. s’est également immiscé dans une affaire d’escroquerie au voyage, où il a tenté d’influencer le cours de l’enquête contre un émigré basé en Turquie, en sollicitant des pots-de-vin pour faire disparaître son nom des registres judiciaires.

Cependant, la chance a tourné lorsque des preuves accablantes sont parvenues aux oreilles des forces de l’ordre. Des enregistrements vocaux compromettants ont été transmis, mettant en lumière les manigances de l’imposteur. Sans tarder, les autorités sont intervenues et ont arrêté A. S. à Diamalaye.

Interrogé sur ses agissements, l’électricien en bâtiment a rapidement avoué sa supercherie. Il a reconnu qu’il n’était ni gendarme ni policier, confirmant ainsi les soupçons des enquêteurs.

Au terme de l’enquête, A. S. a été déféré pour usurpation de fonction, escroquerie et extorsion de fonds. Son arrestation marque une victoire dans la lutte contre la criminalité et rappelle l’importance de la vigilance face aux escrocs sans scrupules.

Cette affaire souligne également la nécessité d’une coordination efficace entre les forces de l’ordre et les citoyens pour démasquer les imposteurs et préserver la sécurité de tous.

Démasqué : Un faux lieutenant de gendarmerie arrêté pour escroquerie

Le commissariat de l’Unité 15 des Parcelles-Assainies a mis fin aux agissements d’un individu qui se faisait passer pour un lieutenant de la gendarmerie afin d’escroquer des citoyens honnêtes. Seneweb révèle les détails de cette affaire troublante.

A. S., âgé de 59 ans, a profité de sa profession d’électricien en bâtiment pour se glisser dans le rôle d’un officier de gendarmerie, prétendant être en service à la section de recherches. Usurpant ainsi une fonction qui n’était pas la sienne, le faussaire arpentait les commissariats et brigades, promettant aux plaignants ou aux suspects une résolution rapide de leurs affaires en échange d’argent.

Sa tromperie l’a conduit à extorquer la somme de 500 000 francs CFA à un commerçant de Tivaouane Peul, qui souhaitait voir son affaire en suspens devant le tribunal disparaître. De même, A. S. est intervenu dans une affaire d’escroquerie au voyage, actuellement sous enquête par les autorités du commissariat de l’Unité 15 des Parcelles-Assainies.

Dans cette dernière affaire, impliquant un émigré nommé B. M., le faux gendarme a exigé la somme de 2 millions de francs CFA pour faire retirer son nom de l’enquête. Heureusement, les policiers ont pu mettre la main sur des messages vocaux compromettants envoyés par A. S.

Suite à cette découverte, les forces de l’ordre ont rapidement appréhendé le faux lieutenant à Diamalaye. Lors de son interrogatoire, l’électricien en bâtiment a avoué qu’il n’avait ni le statut de gendarme ni celui de policier, mettant ainsi fin à ses impostures.

Après une enquête approfondie, A. S. a été déféré hier jeudi pour usurpation de fonction, escroquerie et extorsion de fonds. Cette arrestation souligne l’importance de la vigilance des autorités pour protéger les citoyens contre les escrocs qui se cachent derrière de fausses identités pour commettre leurs méfaits.

Scandale à l’Assemblée nationale : Guy Marius Sagna dénonce une “escroquerie sur les deniers publics”

Dans une publication virulente sur sa page Facebook, le député à l’Assemblée nationale sénégalaise, Guy Marius Sagna, a soulevé des accusations graves concernant la gestion des fonds publics au sein de l’institution législative. S’appuyant sur un rapport d’enquête de l’Office nationale de lutte contre la corruption (OFNAC), Sagna déclare avoir été témoin d’une “escroquerie sur les deniers publics” à l’Assemblée nationale.

Selon Sagna, en tant que premier vice-président de la commission de comptabilité et de contrôle de l’Assemblée nationale pendant le quatrième trimestre de l’année 2022, il aurait été confronté à un blocage systématique de ladite commission, l’empêchant ainsi d’exercer ses fonctions de supervision et de contrôle des dépenses de l’institution. Malgré ses tentatives pour alerter les autorités compétentes, Sagna affirme que ses préoccupations sont restées lettre morte.

Le député va jusqu’à suggérer un lien entre le dysfonctionnement de la commission de comptabilité et de contrôle et les conclusions de l’OFNAC concernant l’escroquerie présumée. Selon lui, le blocage de la commission aurait encouragé des détournements de fonds publics au sein de l’Assemblée nationale.

Sagna plaide en faveur d’une réforme en profondeur de l’Assemblée nationale afin de garantir une gestion transparente et démocratique des ressources publiques. Il met en garde contre de potentielles révélations plus graves à l’avenir si des mesures adéquates ne sont pas prises.

Cette déclaration de Guy Marius Sagna révèle des tensions internes au sein de l’Assemblée nationale et soulève des questions sur la transparence et la responsabilité dans la gestion des finances publiques au Sénégal.

Escroquerie à Keur Gorgui : L’arnaqueur, l’élève et le coffre-fort des parents…

Une histoire d’escroquerie particulièrement troublante secoue actuellement la Cité Keur Gorgui à Dakar, mettant en scène un ressortissant guinéen accusé d’avoir manipulé une élève dans le but de lui dérober de l’argent et des bijoux appartenant à ses parents. Les détails de cette affaire, survenue le jeudi 18 avril 2024, révèlent un scénario d’arnaquerie sournoisement orchestré.

Selon les informations fournies par Les Échos, tout a commencé lorsque la jeune élève, M.K, rentrait chez elle après les cours. C’est à ce moment-là qu’elle aurait été abordée par un individu qui aurait tenté de lui soutirer de l’argent en prétendant qu’une malédiction avait été jetée sur elle. Le père de la jeune fille, alerté par la situation, a immédiatement contacté les autorités.

Le présumé escroc aurait alors usé de techniques d’art divinatoire pour endormir la vigilance de la jeune fille, allant jusqu’à lui faire croire qu’elle devait récupérer de l’argent et des bijoux dans le coffre-fort familial pour lever le sort qui pesait sur elle. Heureusement, grâce à l’intervention prompte de la mère de la jeune fille et à l’aide des voisins, l’individu a été appréhendé avant de pouvoir mettre son plan à exécution.

Placé en détention et présenté devant le procureur de la république de Dakar, le mis en cause, identifié comme C. O. Gnabaly, a nié les accusations portées contre lui. Cependant, les éléments recueillis par les enquêteurs semblent indiquer le contraire, alimentant ainsi un climat de tension et d’inquiétude au sein de la communauté.

Cette affaire souligne une fois de plus les dangers des escroqueries utilisant des pratiques occultes pour manipuler les individus, ainsi que la nécessité d’une vigilance accrue de la part de tous. Elle met également en lumière l’importance cruciale de la réactivité des forces de l’ordre dans la lutte contre la criminalité et les pratiques frauduleuses.

Escroquerie : un allié de «Bougane» perd 700 millions FCFA, implique Marième Faye et Latif Coulibaly

Après un essai réussi, Mamadou Lamine Diallo a partagé ses ambitions politiques avec le marabout, qui a promis de l’aider. Cependant, pour cela, une somme allant jusqu’à 710 millions devait être versée pour effectuer les sacrifices. Malheureusement, Mamadou Lamine Diallo n’a pas été élu maire, et ses associés menacent maintenant de le poursuivre en justice pour les fonds détournés de la boîte créée avec eux. C’est ainsi qu’il a porté plainte contre Touré et Cissé.

En défense, Birane Touré affirme : « L’argent était destiné à faire les sacrifices. Il s’est endetté jusqu’au cou à la sortie de la campagne électorale. Ses associés lui courraient après, et il a voulu faire de moi l’agneau du sacrifice ». Cependant, la victime présumée accuse Touré de l’avoir hypnotisée après lui avoir donné une potion mystique : « C’est après m’avoir remis une potion mystique que j’ai perdu le contrôle de mes actes ».

Le Procureur a requis 3 ans de prison ferme contre le charlatan et 2 ans, dont 6 mois ferme, contre son acolyte. Le verdict sera rendu le 22 février prochain.

Détournement massif à la Bsic : Un demi-milliard écoulé par un trio d’escrocs en collusion avec un client complice

Un scandale financier secoue la Banque sahelo-saharienne pour l’investissement et le commerce (Bsic) alors que quatre individus, dont le chef d’agence et deux caissières, sont arrêtés pour leur implication présumée dans un détournement de près de 500 millions de francs CFA. L’alerte a été déclenchée par la direction générale de l’agence après la découverte de l’escroquerie lors d’un audit interne.

Selon les informations divulguées, le modus operandi impliquait neuf versements fictifs pour un montant de 392 millions réalisés par la première caissière en 2023. La seconde caissière a ensuite suivi avec sept versements fictifs totalisant près de 366 millions. Ces montants fictifs ont été crédités sur le compte bancaire d’un complice et client de la Bsic, El. M. L. Ndiaye. Guidé par le chef d’agence, Ndiaye aurait effectué des retraits en espèces et des paiements par chèques frauduleux au profit de tiers.

Lors des interrogatoires, le chef d’agence a nié toute implication, tandis que la première caissière a confessé avoir agi sur les instructions du chef d’agence. Elle a révélé que la responsable des opérations lui avait remis des chèques appartenant à El. M. L. Ndiaye. La seconde caissière a également avoué avoir utilisé ces chèques pour simuler des retraits fictifs en imitant les signatures de clients importants.

Les quatre individus font face à une série d’accusations, dont association de malfaiteurs, retrait frauduleux, faux et usage de faux, usurpation d’identité, accès et maintien frauduleux dans un système informatique, blanchiment de capitaux, et vol au préjudice de leur employeur. Tous ont été déférés, mettant en lumière les failles de sécurité et de contrôle au sein de la Bsic.

Urgent- Usa : L’ancien lutteur Dieuf-Dieul porte plainte contre le mari de Amina Poté, Malick pour escroquerie…

Malick Fall, mari de la célèbre animatrice, qui vit actuellement au Sénégal est dans de sales draps.

Dans une vidéo virale sur les réseaux sociaux, l’ancien lutteur, Dieuf Dieul basé aux Usa l’accuse d’escroquerie. D’ailleurs selon lui, il devait être présent au tribunal pour solder ses comptes avec eux par rapport à des plaintes sur une affaire d’argent.

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Escroquerie à Touba : arrestation de deux agents de Qnet par la police

La ville de Touba est secouée par une affaire d’escroquerie impliquant deux agents de la société Qnet, suite à l’ouverture de leur bureau au rond-point de l’ancienne gare routière sur la route de Ndamatou. L’entreprise, connue pour ses promesses mirifiques, a attiré l’attention des autorités locales après que plusieurs individus ont été dupés, laissés démunis malgré leurs espoirs initiaux.

M. Diakhaté a déposé une plainte au commissariat spécial de Touba, alléguant avoir été victime d’une escroquerie portant sur 800 000 F CFA de la part de deux agents de Qnet. Selon sa déposition, l’agent A. Seck, âgé de 24 ans, lui aurait proposé un emploi au sein de l’entreprise moyennant l’achat d’un produit d’une valeur de 450 000 FCFA. Des promesses de gains substantiels, entre 42 et 62 millions de F CFA en 10 mois, ont été faites pour appâter M. Diakhaté.

Le plaignant a accepté de s’engager, signant un contrat avec l’agent marketing S. Gningue. Il a été ensuite incité à acheter un autre produit du même montant, entraînant une perte totale de 800 000 FCFA pour M. Diakhaté, comme rapporté par Seneweb.

Convoqués par les autorités, les deux agents de Qnet, S. Gningue et A. Seck, ont refusé de restituer l’argent encaissé. Ils ont été déférés ce matin au parquet, faisant face à des poursuites judiciaires pour leur implication présumée dans cette affaire d’escroquerie qui a ébranlé la confiance des habitants de Touba.

Le maire de Bambilor traîné en justice pour escroquerie portant sur plus de 50 millions FCFA

Le maire de la commune de Bambilor, Ndiagne Diop, membre du parti politique APR, fait face à des accusations d’escroquerie foncière portant sur plus de 50 millions de francs CFA. La coopérative d’habitat de la Direction Centrale des Marchés Publics (DCMP) a déposé une plainte, alléguant que malgré le paiement de l’argent, les membres de la coopérative n’ont pas pu obtenir les terrains promis.

Selon les informations, le conseiller municipal Alassane Dia aurait facilité la transaction entre la coopérative et le maire. Les membres de la coopérative ont versé l’argent en échange de décharges et d’actes de délibération signés par le maire. Cependant, les acquéreurs affirment qu’ils n’ont pas pu obtenir les propriétés comme convenu.

Interrogé lors de l’enquête, le maire Ndiagne Diop aurait admis les faits. La Brigade de Recherches de Dakar-Faidherbe a conclu son enquête et transmis le dossier au parquet. La situation souligne les tensions autour des transactions foncières et des pratiques présumées illégales dans certaines municipalités.

Alerte à l’escroquerie à l’UCAD : Mise en garde contre une fausse offre de cours en ligne et matériel informatique

Les étudiants de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) sont actuellement la cible d’une tentative d’escroquerie, avertit l’institution. Une affiche circulant sur les réseaux sociaux, arborant le nom de l’UCAD et son logo, promet des cours en ligne gratuits à l’université de Dakar, avec la fourniture d’un ordinateur portable et la délivrance d’un certificat.

Cependant, l’UCAD a rapidement réagi en émettant une alerte officielle sur sa page Facebook, déclarant : “L’UCAD informe le public que des individus mal intentionnés diffusent actuellement, sur les réseaux sociaux, un appel d’offres pour des cours et du matériel informatique, dans le but d’extorquer de l’argent.”

Cette tentative d’arnaque exploite le contexte actuel d’enseignement à distance, offrant des avantages alléchants aux étudiants. La promesse de cours en ligne gratuits, d’ordinateurs portables gratuits et de certificats inclus peut sembler attrayante, surtout dans le contexte de la pandémie de COVID-19 qui a fortement influencé les méthodes d’enseignement.

Les étudiants et le public en général sont exhortés à faire preuve de vigilance et à vérifier toutes les communications prétendument émises par l’UCAD. L’université a souligné que toute information officielle est diffusée uniquement à travers ses canaux de communication officiels.

Cette alerte souligne l’importance pour les étudiants et la communauté universitaire de rester informés et de se méfier des offres trop alléchantes qui pourraient cacher des intentions malveillantes. La collaboration entre l’UCAD et les étudiants est cruciale pour contrer de telles tentatives d’escroquerie et préserver l’intégrité de la communauté universitaire.

Brigade de Recherches : Ce célèbre journaliste tombe pour escroquerie

La Brigade de Recherches de la compagnie de Gendarmerie de Keur Massar a appréhendé et placé en garde à vue un journaliste résidant à Rufisque.

Le suspect, F.B.C, est impliqué dans une affaire d’escroquerie d’un montant de 3 300 000 FCFA. Un étudiant établi à la Sicap-Foire avait exprimé le désir de poursuivre ses études à l’étranger. Afin de concrétiser son projet, P.D a sollicité les services de F.B.C. Celui-ci aurait perçu la somme de 3 300 000 FCFA versée par l’étudiant, puis lui aurait remis de faux documents.

Ayant réalisé qu’il était victime d’une fraude, P.D a déposé une plainte contre le présumé escroc. À la suite de l’enquête initiée par la BR de Keur Massar, le suspect a été appréhendé mardi dernier. F.B.C a affirmé dans un procès-verbal qu’il exerce la profession de journaliste. À l’issue de l’enquête, il a été présenté au procureur de la République ce jeudi matin.

Arrestation pour escroquerie au visa : Un opérateur économique écroué

Un opérateur économique du nom de A. A. Diouf a été appréhendé par la Division des investigations criminelles (DIC) à la suite de plaintes déposées pour escroquerie au visa. Le procureur de la République a initié l’action des limiers après plusieurs plaintes, le préjudice total étant estimé à 73 millions de francs CFA. L’une des victimes, B. Barry, a déclaré que Diouf avait promis de lui obtenir 5 visas pour l’Italie pour ses proches moyennant 35 millions, mais avait disparu après avoir encaissé l’argent. D’autres plaignants ont également signalé des transactions similaires. Diouf a admis les faits mais a affirmé avoir transféré les montants à son collaborateur en Italie, N. Datzi. D’autres victimes réclamant 29 millions n’ont pas comparu à l’audition à la DIC.

Arrestation pour Escroquerie au Visa : Un Opérateur Économique Entre les Mains de la DIC

L’opérateur économique A. A. Diouf a été appréhendé par la Division des Investigations Criminelles (DIC) suite à plusieurs plaintes déposées pour escroquerie au visa. Le procureur de la République a initié l’action des limiers, et le préjudice total subi par les plaignants est estimé à 73 millions de francs CFA.

Selon les informations fournies par L’Observateur, B. Barry, l’une des plaignantes, a expliqué que Diouf s’était engagé à obtenir 5 visas pour l’Italie pour des membres de sa famille moyennant la somme de 35 millions. Cependant, accuse le plaignant, après avoir encaissé l’argent, Diouf a disparu.

D’autres victimes, M. Diome, A. Kébé, et A. K. Sène, ont déclaré avoir respectivement versé 5,5 millions, 3,7 millions et 29,5 millions à Diouf avant que ce dernier ne se volatilise.

Déféré récemment, Diouf a avoué les faits tout en précisant qu’il avait versé les montants reçus à son collaborateur et agent de joueur en Italie, N. Datzi.

D’autres victimes réclamant 29 millions à l’opérateur économique ne se sont pas présentées à l’audition à la DIC, rapporte L’Observateur.

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