Lutte : Ada Fass écrase Gouy Gui

Le leader de l’écurie Mor Fadam, Gouy Gui, semble loin de ses jours de gloire. Deux ans après avoir mordu la poussière face à Reug Reug, Gouy Gui avait attribué sa défaite à une blessure qui l’aurait empêché de donner le meilleur de lui-même. Mais ce dimanche, lors de son retour très attendu à l’arène nationale, il a déçu une fois de plus, laissant Ada Fass dominer le combat de manière spectaculaire.

Le combat a commencé de manière insipide avec un premier round de cinq minutes où les deux lutteurs sont restés debout, pratiquement inactifs. Malgré les injonctions et les avertissements répétés de l’arbitre, aucun des deux ne prenait l’initiative, ce qui a frustré les spectateurs venus assister à un duel de titans.

Toutefois, le second round a offert un tout autre spectacle. Ada Fass, déterminé à ne pas laisser le combat se prolonger, a attaqué avec vigueur. Il a ceinturé Gouy Gui et l’a rapidement propulsé au sol, affichant une domination totale. Gouy Gui, visiblement en manque de résistance et de dynamisme, n’a opposé que peu de résistance, permettant à Ada Fass de remporter une victoire éclatante.

Cette victoire est cruciale pour Ada Fass, qui cherchait à se relancer après sa défaite contre Zarco. En s’imposant de manière aussi nette, il a montré qu’il reste un adversaire redoutable dans l’arène nationale. Pour Gouy Gui, cette défaite soulève des questions sur sa capacité à retrouver le niveau qui était le sien autrefois.

La performance d’Ada Fass face à un Gouy Gui méconnaissable marque un tournant dans la saison de lutte. Tandis que Ada Fass célèbre son retour en force, Gouy Gui devra revoir sa préparation et sa stratégie s’il veut redevenir un concurrent sérieux dans l’arène sénégalaise. Les amateurs de lutte attendent désormais de voir comment chacun se préparera pour leurs prochains défis.

Procès de Lac de Guiers 2 : Date encore incertaine selon son avocat

Selon Me Famara Faty, l’avocat de Lac de Guiers 2, le dossier de son client est encore en cours d’instruction. Les 17 plaignants ainsi que le lutteur sénégalais Papiss Cissé, alias Lac de Guiers 2, doivent encore être entendus sur le fond du dossier.

Après la phase d’instruction, le juge rendra une ordonnance pour décider de la suite de l’affaire. Il pourra soit prononcer un renvoi devant une juridiction compétente pour que l’affaire soit jugée, soit prononcer un non-lieu si les conclusions de l’enquête le justifient.

Par conséquent, la date du mercredi 22 mai initialement annoncée pour la tenue du procès n’est pas encore confirmée. Rappelons qu’il s’agit d’une affaire portant sur une présumée escroquerie au visa, impliquant plusieurs millions de francs CFA. Le lutteur Lac de Guiers 2 a été arrêté puis finalement placé sous mandat de dépôt le 17 mai dernier.

Affaire d’escroquerie : Trois nouvelles plaintes déposées contre le lutteur Lac de Guiers 2

Dans le monde feutré de la lutte sénégalaise, une affaire retentissante secoue les cercles sportifs et médiatiques. Lac de Guiers 2, célèbre lutteur et leader de l’écurie Walo, se retrouve au cœur d’un scandale d’escroquerie. Après son arrestation récente, de nouvelles révélations viennent élargir le spectre des préjudices présumés causés par ses agissements.

L’affaire débute par l’arrestation de Lac de Guiers 2 pour son implication présumée dans une affaire d’escroquerie. Cette arrestation, initialement liée à une plainte déposée par une victime, a ouvert la voie à une série de révélations accablantes. Trois nouvelles personnes, portant le nombre total de plaignants à neuf, se sont présentées aux autorités pour dénoncer des pratiques frauduleuses attribuées au lutteur.

Le préjudice financier provisoire, évalué à 21 millions de francs CFA, témoigne de l’étendue des dommages allégués. Ces accusations ne sont pas à prendre à la légère, d’autant plus qu’elles touchent un personnage aussi influent que Lac de Guiers 2. Parmi les plaignants figurent une femme ainsi que des jeunes, mettant en lumière l’impact potentiellement dévastateur de ces actions sur des individus variés et vulnérables.

Un autre élément clé de l’affaire est la fuite présumée de l’acolyte de Lac de Guiers 2, identifié comme A. S. Diagne. Les autorités soupçonnent que cet individu aurait également joué un rôle central dans les manœuvres frauduleuses. Sa cavale, notamment en Europe, complique l’enquête et soulève des questions sur d’éventuelles complicités et ramifications internationales dans cette affaire.

L’arrestation de Lac de Guiers 2 a suscité un profond émoi dans le monde de la lutte sénégalaise, traditionnellement considéré comme un bastion de valeurs telles que l’intégrité et l’honneur. Cette affaire soulève des questions cruciales sur la confiance et la responsabilité des figures publiques, en particulier dans le domaine du sport, où l’influence des icônes peut être immense. Les développements ultérieurs de cette affaire seront suivis de près par l’opinion publique, ainsi que par les acteurs du monde de la lutte et des autorités judiciaires.

Eumeu Séne remporte une victoire décisive sur Sa Thiès

Dans le monde de la lutte sénégalaise, chaque combat est un événement majeur, attirant des foules de supporters enthousiastes et passionnés. Le récent affrontement entre Eumeu Séne et Sa Thiès ne fait pas exception, et il a captivé l’attention de nombreux fans à travers le pays.

Eumeu Séne, un lutteur expérimenté et respecté, a affronté Sa Thiès, un adversaire redoutable et très compétent dans l’arène de lutte. Les deux lutteurs se sont livrés à un combat intense, démontrant leur habileté, leur force et leur stratégie dans l’arène.

Finalement, c’est Eumeu Séne qui est sorti vainqueur de ce combat épique, remportant une victoire significative sur Sa Thiès. Son triomphe a été salué par ses supporters et admirateurs, tandis que Sa Thiès a montré un fair-play exemplaire en reconnaissant la performance de son adversaire.

Cette victoire de Eumeu Séne marque un moment mémorable dans sa carrière de lutteur, renforçant sa réputation et son statut dans le monde de la lutte sénégalaise.

Le Président Bassirou Diomaye Faye Poursuit la Lutte Contre les Irregularités Foncières et le Blanchiment d’Argent

Le nouveau président Bassirou Diomaye Faye entreprend une action décisive contre la gestion foncière douteuse héritée du régime précédent, selon des informations rapportées par WalfQuotidien. Les irrégularités découvertes jusqu’à présent ne seraient que la partie visible de l’iceberg, révélant ainsi des ramifications profondes dans le blanchiment d’argent, notamment provenant du trafic de drogue.

Les fonds en question, évalués à environ 200 milliards de francs CFA selon l’économiste Abou Kane, sont soupçonnés d’avoir été investis dans l’immobilier. Ces estimations se basent sur les résultats de l’Institut d’études de sécurité, qui soulignent une alarmante convergence entre le trafic de drogue et le secteur immobilier au Sénégal.

Selon le professeur Kane, depuis 2021, le Sénégal est sous la surveillance étroite du Groupe d’action financière (GAFI), étant placé sur la liste grise. Cette classification met en lumière les lacunes dans la lutte contre le blanchiment de capitaux et soulève des préoccupations quant à l’origine licite des fonds investis dans l’immobilier.

Le constat est alarmant : plus de 120 agences immobilières auraient été créées au Sénégal au cours de la dernière décennie par des trafiquants de drogue, révèle l’Institut d’études de sécurité. Cette tendance inquiétante, combinée au fait que 96% des investissements immobiliers étaient douteux depuis 2013 et que 30% des biens criminels saisis étaient des propriétés immobilières, souligne l’urgence d’agir.

Pour Kane, il est impératif de prendre des mesures immédiates pour empêcher le Sénégal de figurer sur la liste noire des pays à haut risque en matière de blanchiment d’argent. Cette lutte contre le blanchiment d’argent et les irrégularités foncières s’annonce comme une priorité cruciale pour l’administration du Président Faye dans sa quête pour restaurer la transparence et l’intégrité dans la gestion des ressources du pays.

La gestion foncière et l’immobilier au Sénégal : entre équité, transparence et lutte contre le blanchiment d’argent

Les nouvelles autorités sénégalaises ont entrepris des mesures pour assurer une gestion foncière plus équitable et transparente. Cependant, la question de l’origine douteuse de l’argent finançant les immeubles à Dakar reste préoccupante, avec plus de 200 milliards provenant du recyclage de la drogue dans le secteur immobilier chaque année.

Depuis 2021, le Sénégal est sous haute surveillance en matière de lutte contre le blanchiment d’argent, étant placé sur la liste grise du Groupe d’Action Financière (GAFI). Selon l’Institut d’Études de Sécurité, plus de 120 agences immobilières ont été créées au Sénégal par des trafiquants de drogue au cours de la dernière décennie, illustrant la prédominance de l’argent de la drogue dans ce secteur.

Cette situation est d’autant plus alarmante que depuis 2013, près de 96% des investissements immobiliers étaient d’origine douteuse, avec 30% des biens criminels saisis étant des maisons et des immeubles. Cette croissance du secteur immobilier a un impact économique significatif, avec une hausse des activités de construction de 7% en 2023, contribuant à stimuler l’économie dans son ensemble.

Cependant, le financement de ces grands projets ne provient pas du secteur bancaire, ce qui soulève des préoccupations quant à la stabilité financière du pays. La dépendance à l’argent douteux dans le secteur immobilier représente un risque majeur pour l’économie sénégalaise, d’autant plus que cela compromet les efforts du pays pour lutter contre le blanchiment d’argent.

Pour éviter une détérioration de la situation et pour assurer une croissance économique durable, il est impératif de réduire la contribution de ces fonds illicites aux activités économiques. Sinon, le Sénégal risque de rester sur la liste grise du GAFI voire d’être inscrit sur la liste noire, ce qui aurait des conséquences désastreuses pour son économie et sa réputation sur la scène internationale.

Pr Abou KANE, FASEG/UCAD

Nécrologie : le promoteur de lutte, Gaston Mbengue est décédé

Gaston Mbengue n’est  plus! De son vrai nom Salif Mbengue, le promoteur de lutte vient  de rendre l’ame, ce mercredi 1er Mai dès  suite d’une longue maladie. 

Groupe Ledakarois présente  ses condoléances au monde de la lutte et au promoteur Makane Mbengue, fils du défunt.

Lutte contre l’émigration irrégulière : Interpellation de 47 candidats à la traversée clandestine

Malgré les efforts déployés par les autorités pour dissuader l’émigration irrégulière, le phénomène persiste avec vigueur. Dans la nuit du 29 au 30 avril 2024, la base navale Nord a procédé à l’interpellation de 47 individus suspectés de vouloir rejoindre clandestinement les côtes européennes.

Parmi les personnes arrêtées, on dénombre 37 Sénégalais, huit Gambiens et deux Guinéens. Ces candidats à l’émigration clandestine ont été appréhendés alors qu’ils se préparaient à prendre la mer à bord d’une pirogue. Lors de leur arrestation, les autorités ont saisi 40 bidons de 30 litres d’essence, qui ont été remis à la gendarmerie pour les suites légales.

Cette opération, menée par la base navale Nord en collaboration avec d’autres forces de sécurité, témoigne de la détermination des autorités à lutter contre ce fléau qui met en péril la vie de nombreux jeunes désespérés en quête d’une vie meilleure. Malgré les risques encourus et les multiples obstacles dressés sur leur chemin, ces candidats à l’émigration clandestine persistent dans leur volonté de rejoindre les côtes européennes, souvent au péril de leur vie.

Face à cette situation préoccupante, les autorités appellent à la sensibilisation et à la mobilisation de tous les acteurs concernés pour mettre un terme à ce phénomène. La coopération internationale et la mise en œuvre de politiques de développement durable et inclusif sont également essentielles pour offrir des perspectives d’avenir aux jeunes et les dissuader de risquer leur vie dans des traversées clandestines dangereuses.

Lutte contre le paludisme en Afrique : Distribution massive de deux vaccins approuvés par l’OMS

Le paludisme demeure une menace mortelle en Afrique, responsable de plus de 600 000 décès en 2022, principalement parmi les enfants. Pour répondre à cette crise de santé publique, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a approuvé l’utilisation de deux nouveaux vaccins dès 2023.

Le vaccin RTS,S, approuvé en 2021 après des années de tests, a été déployé avec succès au Ghana, au Kenya et au Malawi, où près de 2 millions d’enfants à haut risque ont été vaccinés. Cette initiative a entraîné une baisse significative de 13% du taux de mortalité infantile, selon l’UNICEF.

En novembre 2023, le Cameroun a reçu ses premières doses de vaccin et a rapidement lancé une campagne de vaccination gratuite et systématique en janvier, visant les nourrissons dès l’âge de 5 mois dans les zones à risque. Gavi, l’alliance du vaccin, prévoit que le Burkina Faso et une vingtaine d’autres pays africains intégreront ces programmes de vaccination dans leur stratégie de lutte contre le paludisme cette année.

Ces initiatives marquent une avancée majeure dans la lutte contre le paludisme en Afrique, offrant un nouvel espoir pour la réduction de la mortalité infantile et la protection des populations les plus vulnérables contre cette maladie dévastatrice.

Renforcement de la lutte contre la corruption dans le secteur extractif au Sénégal

Le secteur extractif représente un pilier essentiel de l’économie sénégalaise, fournissant des revenus vitaux et des ressources naturelles cruciales pour le développement du pays. Cependant, la corruption demeure un défi majeur, entrainant d’importantes pertes financières et sapant le potentiel de croissance économique.

Dans le cadre de la lutte contre ce fléau, l’organisation NRGI, à travers son Programme Traces en collaboration avec l’ITIE (Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives) et les ministères de tutelle, organise un atelier visant à renforcer les capacités des agents de l’État en matière de lutte contre la corruption et de contrôle budgétaire dans le secteur extractif. L’objectif est d’améliorer la transparence et la reddition de comptes dans ce domaine crucial de l’économie sénégalaise.

Selon Mamadou Seck, Manager régional de NRGI Afrique francophone, la corruption reste un problème urgent dans de nombreux pays riches en ressources. Un cas sur cinq de corruption transnationale se produit dans le secteur extractif, selon une note d’orientation de l’ITIE. Les pratiques corruptives peuvent prendre différentes formes, telles que les pots-de-vin, les détournements de fonds, le népotisme et le trafic d’influence.

Le secteur extractif est particulièrement vulnérable à la corruption en raison de l’ampleur de ses revenus, de la diversité des acteurs impliqués et de sa complexité. Les pratiques corruptives peuvent se manifester à tous les niveaux de la chaîne de valeur, de l’octroi des licences aux dépenses socio-environnementales en passant par le commerce des matières premières et le recouvrement des recettes.

Moustapha Fall, responsable des affaires juridiques à l’ITIE Sénégal, souligne que les pays africains perdent des sommes considérables en raison de la corruption, du blanchiment d’argent et de l’évasion fiscale. Il est crucial d’analyser la vulnérabilité à la corruption sur toute la chaîne de valeur de l’industrie extractive, notamment en ce qui concerne l’octroi des contrats et la collecte des revenus.

Dans cette optique, NRGI a développé un outil de diagnostic de la corruption, testé avec succès dans d’autres pays, qui sera présenté lors de l’atelier aux agents de l’État sénégalais. Cet outil permet d’identifier et d’analyser les risques de corruption et d’orienter les réformes nécessaires pour renforcer la transparence et la bonne gouvernance dans le secteur extractif du Sénégal.

Pape Alé Niang appelle à une véritable rupture dans la lutte contre la corruption au Sénégal

Le journaliste Pape Alé Niang a lancé un appel vibrant pour une réforme radicale dans la lutte contre la corruption et la mauvaise gestion des fonds publics au Sénégal. Dans des déclarations sans équivoque, il a souligné l’importance cruciale pour tous les acteurs politiques responsables de la gestion des deniers publics de rendre des comptes et de faire face aux accusations de corruption et d’enrichissement illicite.

Pour Pape Alé Niang, il est temps de mettre fin à l’impunité qui permet à certains individus de circuler librement malgré des soupçons pesants sur leur gestion des finances publiques. Il dénonce le fait que des petits délinquants soient sévèrement punis tandis que ceux qui occupent des postes de pouvoir échappent souvent à toute sanction.

Le journaliste rappelle également les lacunes dans le système judiciaire, soulignant que, malgré quelques tentatives de lutte contre la corruption par le passé, les véritables responsables ne sont souvent pas tenus pour compte et évitent les peines de prison. Il exhorte les autorités à prendre des mesures concrètes pour mettre fin à cette impunité et restaurer la confiance du peuple envers ses dirigeants.

L’appel de Pape Alé Niang résonne comme un rappel urgent de l’importance de la transparence et de la responsabilité dans la gouvernance. Il met en garde contre les conséquences désastreuses de la corruption sur le développement économique et social du pays, et appelle à une action décisive pour mettre fin à cette pratique néfaste.

En fin de compte, l’appel de Pape Alé Niang rappelle que la lutte contre la corruption est une responsabilité collective et que chacun, des dirigeants politiques aux citoyens ordinaires, doit jouer son rôle pour garantir un avenir plus juste et plus transparent pour le Sénégal.

Saisie importante de drogues et arrestations dans le cadre de la lutte contre le trafic de stupéfiants au Sénégal

La gendarmerie nationale du Sénégal a récemment mené une série d’opérations visant à lutter contre le trafic de stupéfiants dans le pays. Sur instructions du Haut Commandant, les patrouilles ont intensifié leurs efforts et ont réussi à saisir une quantité significative de drogues tout en procédant à l’interpellation de 28 individus, selon les informations obtenues par Seneweb auprès du chef de la Division de la Communication (Divcom).

Le lieutenant-colonel Ibrahima Ndiaye a présenté un bilan détaillé de ces opérations, soulignant l’importance de cette mission dans un contexte marqué par la recrudescence du trafic de stupéfiants. Les patrouilles, déployées sur les grandes voies de communication, ont agi avec détermination pendant la période du 16 au 17 avril 2024.

Les résultats de ces opérations sont significatifs, avec un total de 28 personnes interpellées, dont 10 pour détention de chanvre indien et 1 pour vente de drogue (ecstasy). Les saisies comprennent 99 cornets de chanvre indien, 14 comprimés d’ecstasy, 2 motos, 3 ciseaux et une somme de 12 000 francs CFA.

Il est important de souligner les dangers associés à la consommation d’ecstasy, une drogue qui influe sur la chimie du cerveau en libérant une quantité élevée de sérotonine, une substance chimique jouant un rôle crucial dans la régulation de l’humeur, de l’énergie et de l’appétit.

Cette opération de la gendarmerie nationale démontre l’engagement continu des autorités sénégalaises à lutter contre le trafic de drogue et à protéger la santé et la sécurité de la population. En saisissant ces drogues et en arrêtant les personnes impliquées, les forces de l’ordre envoient un message clair selon lequel le trafic de stupéfiants ne sera pas toléré dans le pays.

Mbour accueille les phases finales du Championnat de Lutte Traditionnelle sans Frappe

La ville côtière de Mbour s’apprête à devenir le centre d’attention du monde de la lutte traditionnelle sénégalaise avec les phases finales du Championnat de Lutte Traditionnelle sans Frappe du Drapeau du Chef de l’État, prévues du 9 au 12 mai. Cette annonce a été faite dans un communiqué officiel, révélant que les équipes régionales, après des sélections rigoureuses, se préparent à présenter leurs meilleurs combattants pour cet événement d’envergure.

Ce rendez-vous sportif majeur mettra en vedette des lutteurs répartis dans plusieurs catégories. Chaque région est tenue de soumettre une liste de dix lutteurs, avec une répartition équilibrée entre titulaires et remplaçants, comme l’indique le communiqué. Les passionnés de lutte auront ainsi l’opportunité de suivre des combats impliquant onze lutteurs seniors et six jeunes prometteurs, filles et garçons, dans des catégories de poids et d’âge spécifiques.

Cet événement promet d’attirer l’attention et l’enthousiasme des amateurs de lutte traditionnelle à travers le pays. En plus de mettre en lumière les talents émergents, il offre également une plateforme pour célébrer l’héritage et la tradition de ce sport ancré dans la culture sénégalaise.

La tenue de ces phases finales à Mbour témoigne de l’engagement continu des autorités à promouvoir et à soutenir le développement de la lutte traditionnelle dans toutes les régions du Sénégal. Les festivités s’annoncent palpitantes, alors que les lutteurs se préparent à défendre l’honneur de leur région et à captiver les spectateurs avec leur agilité, leur force et leur habileté sur le tapis de lutte.

La Fondation Konrad Adenauer Prône la Lutte Contre les Crimes Internationaux et les Violences Sexuelles au Sénégal

Un séminaire dédié à la lutte contre les crimes internationaux et les violences sexuelles en période de conflit a été organisé ce lundi au Sénégal par la fondation Konrad Adenauer/État de droit. Cet événement a rassemblé de nombreux acteurs judiciaires, dont des magistrats et des Procureurs de la République, venus de différents pays de la sous-région pour participer à cette formation essentielle.

Serge Brammertz, secrétaire général adjoint des Nations Unies et Procureur du Mécanisme international, a pris la parole pour évoquer le rôle crucial d’une justice indépendante dans le fonctionnement de l’État. Il a mis en avant l’importance de la formation des magistrats nationaux dans la poursuite des crimes internationaux, un effort soutenu par des partenaires tels que l’International Nuremberg Principles Academy et la fondation Konrad Adenauer.

Le séminaire a également abordé la question des violences sexuelles en période de conflit, souvent négligée. Brammertz a révélé que plus de la moitié des affaires traitées par le Tribunal pour le Rwanda concernaient ces types de crimes. Il a souligné l’urgence de former les magistrats sur ces questions, notamment en raison de la présence de nombreux fugitifs en Afrique, liés aux atrocités commises au Rwanda.

Cette formation marque une étape importante dans la lutte contre l’impunité des crimes internationaux et les violences sexuelles en période de conflit. Elle souligne l’engagement du Sénégal et de ses partenaires internationaux à renforcer les capacités des magistrats et des acteurs judiciaires de la sous-région pour assurer une justice équitable et efficace.

Le séminaire organisé par la fondation Konrad Adenauer/État de droit témoigne de l’importance accordée à la justice mondiale et à la protection des droits de l’homme au Sénégal et dans la sous-région ouest-africaine.

Ahmed Khalifa Niasse prêt à Contribuer à la Lutte Contre la Corruption dans le Nouveau Gouvernement

Ahmed Khalifa Niasse, un vétéran de la lutte contre la corruption au Sénégal, a exprimé son désir d’apporter son expérience et son expertise au nouveau gouvernement dans sa lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite.

En 2009, Niasse avait préconisé la création d’un Front patriotique contre la corruption et l’enrichissement illicite (FPCCEI) pour faire face à la menace croissante de la corruption et du trafic de drogue à travers les frontières du pays. Cependant, son limogeage du cabinet du président Wade peu de temps après sa déclaration avait mis en veilleuse ce projet prometteur.

Maintenant, Niasse envisage de réactiver la Fondation nationale contre la corruption, qu’il avait créée en avril 2009 et qu’il avait l’intention de subventionner à hauteur d’un milliard de francs CFA. Cette fondation serait un outil essentiel dans la lutte contre la corruption, en fournissant des ressources et un soutien pour des initiatives anti-corruption à travers le pays.

Avec son expérience et son engagement dans la lutte contre la corruption, Niasse est prêt à offrir son soutien au nouveau président Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Sa participation pourrait être cruciale dans les efforts du gouvernement pour promouvoir la transparence, la responsabilité et l’intégrité dans la gouvernance publique.

La volonté de Niasse de contribuer à la lutte contre la corruption souligne l’importance accordée à cette question par la société sénégalaise dans son ensemble. En travaillant main dans la main avec le gouvernement, il est possible de renforcer les mécanismes de lutte contre la corruption et de promouvoir une culture de redevabilité et de respect de la loi à tous les niveaux de la société.

En fin de compte, la collaboration entre le gouvernement et des figures de la société civile comme Ahmed Khalifa Niasse est essentielle pour faire avancer la lutte contre la corruption et promouvoir un développement durable et équitable pour tous les citoyens du Sénégal.

Éleveurs de Kaffrine : Des Voix S’élèvent pour la Protection du Bétail et la Lutte contre la Pauvreté

Dans les vastes étendues de Kaffrine, au cœur du Sénégal, réside une communauté d’éleveurs dont les préoccupations et les aspirations se reflètent dans le tintement doux de leurs troupeaux et les sillons de leurs visages burinés par le soleil. Mais derrière cette harmonie rustique se cachent des défis criants, parmi lesquels le vol de bétail et la lutte contre la pauvreté occupent une place centrale.

Au quotidien, le vol de bétail hante les éleveurs de Kaffrine, causant des pertes économiques et émotionnelles dévastatrices. Pour Demba Ba, président de la Maison des éleveurs de Birkelane, un département de la région, cette réalité est trop amère à avaler. « Nous souffrons énormément », déplore-t-il, « l’agriculture a dominé le secteur de l’élevage, et nous attendons du prochain président de la République une organisation du secteur, plus d’accès au foncier, plus de forage et plus d’espace pour notre cheptel ».

Les éleveurs ne se contentent pas de subir passivement leur sort. Ils réclament une action gouvernementale ferme pour endiguer le fléau du vol de bétail. Ils demandent des mesures concrètes pour dissuader les voleurs et garantir une réparation équitable en cas de préjudice. De même, ils appellent à une meilleure organisation du secteur de l’élevage, plaidant pour la création de coopératives et d’associations pour renforcer leur voix collective.

Mais les préoccupations des éleveurs vont au-delà de la simple protection de leur bétail. Ils appellent également à des réformes foncières pour assurer un accès sécurisé aux terres de pâturage, ainsi qu’à des investissements dans les infrastructures telles que les forages pour garantir un approvisionnement adéquat en eau pour leurs troupeaux, surtout pendant les périodes de sécheresse.

Face à cette situation préoccupante, les éleveurs proposent une solution tangible : l’intégration des mesures de protection du bétail dans le Code pénal, en s’appuyant sur les initiatives prises lors de la Journée nationale de l’élevage de 2017. Cette démarche renforcerait la protection légale de leur bétail et enverrait un signal fort aux voleurs potentiels.

Dans l’ombre des vastes plaines de Kaffrine, les voix des éleveurs résonnent avec force, appelant à une action urgente pour protéger leur moyen de subsistance et lutter contre la pauvreté qui menace leur communauté. Leur détermination est palpable, leur appel est clair : il est temps d’agir pour sauvegarder l’avenir de l’élevage à Kaffrine.

L’Héritage de la Lutte contre l’Injustice : Les Mots Poignants de Samba Faye, Père de Diomaye Faye

Dans une interview émouvante avec nos confrères de Rewmi Net, Samba Faye, le père de Bassirou Diomaye Faye, actuel président du Sénégal, a partagé des réflexions profondes sur l’histoire de sa famille marquée par la lutte contre l’injustice. Âgé de 84 ans, Samba Faye a rappelé une anecdote poignante sur le combat de sa famille pour la justice, remontant jusqu’à son propre grand-père.

Il a révélé que le grand-père de Diomaye avait été emprisonné pendant sept mois à Podor pour avoir défendu les principes de justice, notamment lors de la construction d’une école à Ndiagagnao après son retour de la Première Guerre mondiale. Cette histoire familiale révèle un héritage de lutte contre l’injustice et un engagement profond envers les valeurs d’égalité et de dignité humaine.

Samba Faye a souligné que cette lutte pour la justice a également marqué son propre engagement politique, qui l’a conduit à être emprisonné à Thiès dans le cadre de son activisme au sein du parti socialiste. Ces sacrifices personnels témoignent de l’engagement indéfectible de la famille Faye envers les idéaux de justice et de liberté.

Malgré les épreuves rencontrées, Samba Faye a appelé à la patience envers le nouveau gouvernement, soulignant que résoudre tous les problèmes prend du temps et demande un effort collectif. Il a également encouragé la population à soutenir les décisions prises par les autorités pour contribuer au bien-être et au développement du pays.

Enfin, Samba Faye a partagé les sages conseils qu’il a transmis à son fils, le président Diomaye Faye, soulignant la responsabilité immense qui repose désormais sur ses épaules. Il l’a exhorté à travailler avec détermination pour répondre aux attentes des Sénégalais et à faire progresser le pays dans une direction de justice et de prospérité pour tous.

Les paroles sincères de Samba Faye révèlent l’héritage précieux d’une famille dévouée à la cause de la justice et de l’égalité, et rappellent l’importance de rester fidèle à ces valeurs dans la conduite des affaires publiques.

La Guerre des Promoteurs : Reug Reug averti de respecter ses engagements contractuels

Dans le tumulte du monde de la lutte sénégalaise, une nouvelle bataille se profile, mettant en lumière les enjeux des contrats et des engagements dans le domaine de la promotion de ce sport emblématique du pays. Reug Reug, l’un des lutteurs les plus en vue du moment, se retrouve au cœur de cette guerre des promoteurs, avec des avertissements clairs lui enjoignant de respecter ses accords contractuels.

Makane Mbengue, fils du célèbre promoteur Gaston Mbengue, a émis une mise en garde ferme à l’adresse de Reug Reug, soulignant l’importance du respect total du contrat qui les lie. Cette mise en garde intervient alors que Reug Reug est également sous contrat avec un autre promoteur, Baye Ndiaye, pour affronter Ama Baldé, un autre lutteur renommé de la scène sénégalaise.

La situation se complique davantage avec le combat déjà programmé entre Reug Reug et Boy Niang 2, prévu pour le 1er janvier 2025. Selon Makane Mbengue, Reug Reug ne pourra s’engager dans un face à face avec Ama Baldé qu’après avoir honoré son combat contre Boy Niang 2. Cette condition semble être non négociable, soulignant ainsi l’importance du respect des contrats et des engagements pris dans le monde de la lutte sénégalaise.

La complexité de la situation réside dans le fait que Reug Reug est également autorisé à participer à des événements MMA, sous réserve de l’accord de Gaston Productions. Cette distinction entre les disciplines de lutte et de MMA montre la diversité des engagements contractuels dans le monde du sport et la nécessité pour les athlètes de respecter les termes de leurs contrats, quel que soit le domaine dans lequel ils évoluent.

Cette mise en garde de Makane Mbengue met en lumière les défis et les tensions inhérents à la gestion des lutteurs professionnels au Sénégal, où les promoteurs rivalisent pour attirer les meilleurs talents et organiser les combats les plus populaires. La bataille pour la suprématie dans le monde de la lutte continue, mais elle est réglementée par des règles strictes en matière de contrats et d’engagements, comme le rappelle cet avertissement lancé à Reug Reug.

En définitive, cette affaire illustre les enjeux complexes de l’industrie de la lutte au Sénégal et souligne l’importance cruciale du respect des accords contractuels pour assurer le bon fonctionnement et la crédibilité de ce sport emblématique du pays.

Saisies impressionnantes et arrestations massives dans la lutte contre le banditisme : La Gendarmerie nationale intensifie ses efforts

Dans le cadre de sa mission de protection des personnes et des biens, la Gendarmerie nationale du Sénégal a récemment mené des opérations d’envergure contre le banditisme et le trafic de drogue à travers plusieurs régions du pays. Ces actions, menées avec détermination, ont abouti à des résultats significatifs, témoignant de l’engagement ferme des forces de sécurité à lutter contre la criminalité sous toutes ses formes.

Au cours de la semaine écoulée, du 10 au 17 mars 2024, les unités de la gendarmerie ont intensifié leurs opérations dans diverses localités, notamment à Dakar, Kaolack, Fatick, Kaffrine et Ziguinchor. Ces efforts ont permis l’interpellation de 106 individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités criminelles, marquant ainsi un coup dur pour les réseaux de criminalité opérant dans ces régions.

En plus des arrestations, les forces de sécurité ont réussi à saisir une quantité impressionnante de produits illicites et d’objets potentiellement utilisés à des fins criminelles. Parmi les saisies les plus significatives figurent 121 kilogrammes de drogue, comprenant 107 cornets et 7 joints de chanvre indien, ainsi que 37 machettes, 17 bidons d’huile, 95 sacs de sucre, deux amas de charbon et quatre troncs de bois de caïlcédrat. Ces résultats démontrent la détermination des autorités à éradiquer le trafic de drogue et à perturber les activités criminelles dans le pays.

En outre, dans le cadre de ces opérations, 14 véhicules, 46 motos et 67 charrettes potentiellement utilisés pour des activités illégales ont été immobilisés, renforçant ainsi les efforts visant à entraver la mobilité des criminels et à perturber leurs opérations.

Le lieutenant-colonel Ibrahima Ndiaye, porte-parole de la Gendarmerie nationale, a souligné l’importance de ces résultats dans la lutte contre le banditisme et a salué le dévouement des forces de sécurité. Il a également appelé la population à continuer de coopérer avec les autorités en fournissant des informations cruciales pour garantir la sécurité de tous.

Ces opérations témoignent de l’engagement résolu du gouvernement et des forces de sécurité à lutter contre le banditisme et à garantir la sécurité des citoyens. La Gendarmerie nationale reste déterminée à poursuivre ses efforts pour maintenir l’ordre public et assurer la protection de la population.

Nécrologie – Lutte : Mame Gorgui Ndiaye de Fass n’est plus

L’ancienne gloire de la lutte sénégalaise, Mame Gorgui Ndiaye de Fass surnommé l’enfant chéri de Dakar est rappelé à Dieu ce vendredi 9 février 2024, chez lui, à Dakar.

Ledakarois présente ses condoléances à la famille éplorée et au milieu de la lutte sénégalaise

Lamb – Abdou Bakhoum : « Je commence à croire que Modou Lô va arrêter la lutte »

Amateur de lutte et manager de Ama Baldé, Abdou Bakhoum a déclaré qu’il pense que le roi des arènes ne va plus nouer son nguimb de sa carrière.

Même s’il dit ne pas être dans le secret des dieux ni même devin, il semble néanmoins sûr de lui. Pour Abdou Bakhoum Modou Lô va tout simplement arrêter sa carrière très bientôt. Le roi des arènes qui a pris une pause après son succès contre Boy Niang (en janvier) ne reviendra pas dans l’arène. C’est en tout cas les propos du manager de Ama Baldé qui s’est confié à lutte TV.

« Les défaites subies par les lutteurs Pikinois face à Modou Lô m’ont toutes fait très mal. J’espère que la couronne va revenir à Pikine mais pour cela il faut que Modou Lô continue à lutter. Il n’a pas battu tous les lutteurs donc il ne doit pas arrêter la lutte pour conserver la couronne. Mais je commence à croire qu’il va arrêter la lutte et donner passer le flambeau à Franc » a t’il déclaré.

Lamb : Le « come-back » est-il réellement possible pour l’ex Roi des Arènes Balla Gaye 2 ?

Véritable légende vivante de l’arène sénégalaise, Balla Gaye 2 qui est sur la pente descendante depuis quelques années peut il réussir à revenir au sommet en remportant de nouveau la couronne de roi des arènes ?

Il y’a quelques années de cela, son nom sonnait comme la terreur des arènes. Balla Gaye 2 le fils de Double Less a eu une carrière fulgurante, exceptionnelle au point qu’il est considéré par certains comme l’un des plus grands lutteurs de l’histoire du Sénégal. Mais aujourd’hui le Lion de Guédiawaye semble être bien loin de ses années de gloire lors desquelles il a tant fait rêver ses supporters et les amateurs de lutte.

2009 – 2013, l’apogée d’une carrière exceptionnelle

Véritable bête de scène, technicien hors pair doté d’aptitudes physiques au dessus de la moyenne (1m 90, 140 kg), Balla Gaye 2 a eu tout les superlatifs qu’un lutteur pouvait espérer avoir dans sa carrière. Surnommé « Roi de la Banlieue » après sa victoire sur son alter égo Modou Lô le 21 mars 2010, Omar Sakho de son vrai nom a ensuite gravi un par un les échelons qui le mèneront deux ans plus tard au sommet de la hiérarchie. Le 1er août 2010, il confirme son statut de prétendant au titre de roi des arènes en battant le « mbarodi » (Lion, Ndlr) Baboye.

Devenu alors le « Vrai Lion », Balla Gaye va s’attaquer à Mohamed Ndao Tyson en juillet 2011 signant ainsi une grosse performance face à la plus grande figure de la lutte moderne. Passée cette étape, rien ne pouvait empêcher BG2 de lorgner le trône de Yahya Diop Yekini. Neuf mois après son succès clinquant contre Tyson, le chef de file de l’écurie Balla Gaye va soumettre le roi des arènes mettant ainsi à quinze années d’invincibilité du champion de Bassoul. Balla Gaye 2 devient alors à 25 ans le plus jeune roi des arènes de l’histoire de la lutte sénégalaise. Une prouesse !

Le déclin après l’heure de gloire !

Toutefois, l’euphorie de la victoire contre Yekini ne durera que le temps d’un combat. Après avoir « facilement » battu Tapha Tine lors de sa première sortie en tant que roi des arènes, Balla Gaye va s’incliner contre Bombardier en juin 2014 perdant ainsi la couronne après seulement deux ans de règne. À partir de là, le lutteur de Guédiawaye ne sera plus le même. La saison suivante, il enchaîne un second revers d’affilée contre sa bête noire Eumeu Sène. Même s’il se refait une santé avec ses victoires sur Gris Bordeaux et Modou Lô, Balla Gaye retombe dans ses travers en perdant une nouvelle fois contre Bombardier (2022).

Plus lent, moins athlétique malgré son passage à l’INSEP Paris pour se remettre d’aplomb, le frère de Sa Thiès devint alors un lutteur lambda et enregistre désormais des performances en dents de scie. Il enregistrera une sixième défaite en carrière le 1er janvier 2023 face au jeune lutteur de Pikine, Boy Niang 2. Balla Gaye a touché le fond et il le sait. Son combat contre Eumeu Sène initialement prévu en juillet 2023 est reporté pour cause de blessure du lion de Guédiawaye. Mentor de Balla Gaye, Aziz Ndiaye veut que son lutteur retrouve son niveau réel avant de disputer un autre combat. « Nous avons un plan pour remettre Balla Gaye au meilleur de sa forme. On est en négociations très avancées avec l’INSEP et il est très probable qu’il y aille pour faire une préparation correcte. S’il plaît à Dieu, on retrouvera le véritable Balla Gaye 2 » avait t’il déclaré en novembre 2023.

Reconquérir la couronne pour marcher sur les traces de Bombardier

Ainsi après son retour de France, Balla Gaye devrait renouer son nguimb avant la fin de cette saison. On parle d’ailleurs de son combat face à Siteu. Dès lors l’objectif du fils de Double Less est de marquer son retour avec une victoire avant de penser à reconquérir le titre de Roi des arènes qui est détenu par Modou Lô. Si le lutteur de 37 ans parvient à s’accaparer à nouveau du trône, il deviendrait ainsi le deuxième lutteur après Bombardier à avoir remporté la couronne deux fois. Il pourra dès lors penser à sortir par la grande porte après avoir inscrit en lettres d’or son nom dans les annales de l’histoire de l’arène sénégalaise.

Wiwsport.com

Modou Lô en pause Post-Victoire : Repos bien mérité avant d’envisager un futur duel

Le célèbre lutteur sénégalais Modou Lô, après sa victoire retentissante face à Boy Niang 2 le 1er janvier 2024, a pris la décision de faire une pause bien méritée. Lors de sa première apparition publique depuis cet exploit, il a partagé ses projets immédiats, mettant en avant le besoin de repos et de récupération après une série de combats intensifs.

Modou Lô, qui a enchaîné deux victoires consécutives, a exprimé son intention de s’éloigner temporairement des arènes pour se consacrer à d’autres activités et profiter de cette période de repos. Cette décision, souligne-t-il, est nécessaire pour recharger les batteries après les sacrifices exigés par les préparations rigoureuses liées à la lutte.

Interrogé sur la possibilité d’un affrontement futur avec Reug Reug, Modou Lô a répondu de manière énigmatique, laissant la porte ouverte à cette éventualité. Cependant, il a suggéré que Reug Reug devrait d’abord se mesurer à Franc, un adversaire actuellement invaincu. Cette perspective ajoute une intrigue à l’avenir de la lutte sénégalaise, mais Modou Lô a souligné la nécessité pour Reug Reug de consolider sa position avant de l’affronter.

Modou Lô a rappelé la récente victoire de Reug Reug sur Bombardier, tout en évoquant la défaite antérieure de ce dernier contre Sa Thiès. Pour lui, ces antécédents influencent grandement la dynamique psychologique et physique des lutteurs sur le long terme. La victoire récente de Modou Lô a renforcé sa confiance et son avantage psychologique, des éléments qu’il considère comme cruciaux pour maintenir une performance optimale.

Cette pause réfléchie de Modou Lô marque une étape importante dans sa carrière, laissant les amateurs de lutte sénégalaise en attente de ses prochains mouvements. Le champion reste une figure emblématique de la lutte, et sa stratégie post-victoire souligne l’importance de l’équilibre entre l’engagement sportif et le bien-être physique et mental des athlètes.

Boy Niang : « Ama Baldé est mon frère et il m’a soutenu dans ce combat (…) je suis prêt à rebondir »

Battu par Modou Lô le 1er janvier, Boy Niang 2 est sorti de son mutisme pour évoquer sa cinquième défaite en carrière avant d’adresser ses remerciements aux lutteurs Pikinois particulièrement Ama Baldé qui malgré les tensions qui se murmurent l’a soutenu lors de ce choc face au roi des arènes.

« Je rends grâce à Dieu, je félicite Modou Lô et j’encourage mes supporters. On s’était bien préparé pour le combat avec tout le staff. On s’est sacrifié en étant loin de notre famille pour pouvoir mieux se concentrer sur ce combat. On a investi en temps et en argent dans ce combat mais malheureusement on a perdu. Le soutien de Eumeu Sène lors du combat royal ? Je le remercie parcequ’il agit en tant que grand frère. Il essai d’unir tous les lutteurs de Pikine. J’ai également eu le soutien de Nguer bou Zap, An 2000, Bathie Sèras, Boy Sèye et même ceux qui ne sont pas venus comme mon frère Ama Baldé. J’ai toujours eu un discours unificateur pour que tous les lutteurs Pikinois soient un et indivisible. Le futur de Boy Niang dans l’arène ? Il ne faut pas perdre du temps. Je vais retourner à l’entraînement et essayer de corriger mes lacunes avec l’aide de mon entourage. Je suis prêt à affronter tous les lutteurs de ma catégorie et de ma génération pour rebondir. Je n’ai pas le choix. Je reste à l’écoute de mon staff et des mes proches. S’ils sont d’accord sur l’adversaire à affronter, j’accepterai le combat »

Lutte – Modou Lô conserve sa couronne avec brio en terrassant Boy Niang 2

Le monde de la lutte sénégalaise a été secoué par un affrontement épique entre Modou Lô et Boy Niang 2, qui s’est conclu par la victoire éclatante de Modou Lô à l’Arène Nationale ce 1er janvier. Modou Lô, déjà acclamé pour sa victoire sur Ama Baldé il y a quelques mois, a une fois de plus prouvé sa supériorité en terrassant son adversaire de Pikine dans un combat d’une intensité remarquable.

L’Arène Nationale a été le théâtre d’un spectacle mémorable alors que Modou Lô, le Roc des Parcelles Assainies, a affiché sa maîtrise de la lutte sénégalaise. Son triomphe sur Boy Niang 2 consolide sa position en tant que Roi incontesté de l’Arène, laissant une empreinte indélébile dans l’histoire de la lutte au Sénégal.

Le combat a été marqué par des mouvements stratégiques, des prises impressionnantes, et une détermination féroce des deux lutteurs. Modou Lô, par sa technique et sa puissance, a réussi à prendre le dessus sur son adversaire, confirmant ainsi sa réputation de champion inébranlable.

Cette victoire remarquable de Modou Lô ajoute une nouvelle page à son parcours exceptionnel dans le monde de la lutte sénégalaise. Les fans et les passionnés reconnaissent son talent exceptionnel et son statut de figure emblématique de ce sport ancestral.

L’événement de ce 1er janvier restera gravé dans les mémoires comme un moment majeur de la lutte sénégalaise, et Modou Lô continuera à être célébré pour sa bravoure, sa technique impeccable, et son règne indétrônable dans l’Arène Nationale.

Modou Lô prêt à conserver sa couronne : « C’est un combat de la confirmation après ma dernière victoire [sur Ama Baldé] »

Très heureux de la surprise que lui ont réservé ses fans à l’occasion de son open press qui coïncidait avec son anniversaire, le roi des arènes Modou Lô a promis de battre Boy Niang le 1er janvier pour rendre fier ses supporters.

« C’est un jour spécial pour moi. Je suis vraiment très heureux et ému car je ne savais pas que mes supporters allaient me réserver cette suprise. Je prie Dieu que la semaine prochaine qu’on revienne ici aux Parcelles assainies fêter la victoire. Le combat est presque arrivé donc il n’y a plus lieu de continuer à alimenter le débat. Nous sommes [avec Boy Niang] de la même génération et avant qu’il ne décide de m’attaquer je le ferai en premier. Comme je l’ai dit c’est le combat de la confirmation après ma précédente sortie. Dès lors avec mon staff nous avons notre stratégie et nous allons dérouler le jour J et ramener la victoire au parcelles assainies. La mobilisation? Lors du combat précédent beaucoup ne se sont pas déplacés au stade parcequ’il y’avait de la tension. Mais cette fois ci il y’aura un grand monde au stade et la mobilisation sera grande. »

Les arbitres en formation de grade national à Dakar, pendant 2 jours

Pendant deux jours, ce mercredi 27 et demain jeudi 28 Décembre 2023, à l’Arène nationale de Dakar, se tient une formation d’arbitrage pour le grade national.

Les formateurs sont Babacar Diop, Sitor Ndour, Khalifa Sow, Wenceslas Demba Ndione, Malick Ngom et Ndiamé Diop. « Toutes les régions sont représentées et chaque participant a donné une contrepartie financière de 50.000 FCFA. L’innovation, c’est la prise en compte de la lutte africaine », informe Babacar Diop à votre serviteur, lui-même apprenti arbitre mais pas au courant de ladite formation.

Aussi, des dispositions seraient prises pour offrir à manger aux arbitres.

En attendant l’autre formation de grades départemental et régional prévue à Diossong, à Foundiougne, du 29 au 31 Décembre 2023.

Lutte sénégalaise : Eumeu Sène apporte son soutien à Boy Niang et lui confie le…

Lors de l'”Open press” organisé ce mardi au stade Allasane Djigo, Eumeu Sène, ancien roi des arènes, a apporté son soutien indéfectible à Boy Niang, le fils de la localité, qui s’apprête à affronter Modou Lô le 1er janvier prochain. Battu à deux reprises par Modou Lô lui-même, Eumeu Sène a exprimé sa confiance en la capacité de Boy Niang à surmonter ce défi de taille.

Eumeu Sène a symboliquement remis le drapeau de Pikine à Boy Niang, exprimant ainsi la confiance de la communauté envers le lutteur local. Malgré la renommée indiscutable de Modou Lô en tant que champion confirmé, Eumeu Sène a souligné que Boy Niang possède les qualités nécessaires pour battre n’importe quel adversaire.

Cette déclaration d’encouragement de la part d’Eumeu Sène a ajouté une dimension supplémentaire à l’événement à venir, renforçant le soutien de la communauté de Pikine à leur représentant. Le combat entre Boy Niang et Modou Lô promet d’être un spectacle palpitant, avec le poids symbolique du drapeau de Pikine confié à Boy Niang, qui tentera de décrocher le titre de roi des arènes. Les amateurs de lutte sénégalaise attendent avec impatience cet affrontement qui s’annonce épique

Boy Niang : « Je veux démontrer que je suis un très grand champion en battant Balla Gaye et Modou Lô »

Après avoir battu Balla Gaye 2 il y’a presque un an, Boy Niang 2 veut poursuivre sur cette lancée en s’attaquant cette fois ci à l’autre grand champion Modou Lô. Sur Lutte TV, le « Thiapathioly » a d’abord loué les qualités de l’actuel roi des arènes avant de rappeler qu’il n’est pas « invincible » et qu’il a les qualités pour lui arracher la couronne le 1er janvier prochain.

« C’est un combat qui s’imposait. Quand on a affronté Balla Gaye, on doit logiquement pouvoir croiser Modou Lô qui est aussi un grand champion. Je me prépare avec sérénité pour le combat avec mes entraîneurs et sparring-partners comme Zambala, Ordinateur. J’ai vraiment des coéquipiers d’entraînement formidables. Ils sont de véritables techniciens et j’estime que m’entraîner avec eux me bonifie. L’adversaire Modou Lô ? C’est un fin technicien et un travailleur acharné. Tout le monde le sait. Donc c’est un adversaire de taille et je connais la valeur du combat. Père Bourkhane me dit souvent qu’il faut que je connaisse la valeur de mes combats pour pouvoir les remporter. J’ai des qualités à faire valoir et j’espère que je vais battre Modou Lô le 1er janvier. Il n’est pas invincible au même titre que Balla Gaye 2 que j’ai battu. C’est l’occasion de dire se préparer à affronter Balla Gaye est plus difficile qu’affronter Modou Lô parce que Balla a plus de soutien et il est le plus adulé (…) Les gens qui croient que Modou Lô est meilleur bagarreur que moi se trompent largement et le jour J ils en auront le cœur net. Je dois démontrer aux sceptiques que je suis un champion en battant les deux meilleurs lutteurs de l’arène [Balla Gaye et Modou Lô] ».

La lutte continue d’Ousmane Sonko : batailles juridiques, silence des chefs religieux et communauté internationale

Ousmane Sonko, leader du parti politique dissous Pastef, continue de se heurter à des obstacles dans son parcours politique car il n’a pas encore reçu les formulaires de parrainage requis pour sa candidature. Malgré une récente décision de justice favorable du Tribunal d’instance de Dakar, la Direction générale des élections (DGE) n’a pas rétabli les droits électoraux de Sonko, laissant son représentant, Ayib Daffé, et son avocat, Ciré Clédor Ly, frustrés et ignorés.

Lors d’une récente visite à la DGE, l’avocat d’Ousmane Sonko, Me Ciré C. Ly, a fait état d’un incident de brutalités policières à son encontre. Cet incident a suscité des inquiétudes quant au traitement réservé à l’équipe juridique de Sonko et met l’accent sur la question plus large des violations des droits politiques.

“La communauté internationale n’a pas le droit de garder le silence. Il est grand temps que des observateurs soient dépêchés et que des émissaires de la communauté internationale interviennent”, a exprimé Me Ciré C. Ly. Il a en outre remis en question le silence notable des chefs religieux et de la communauté internationale face à ces défis.

« Au-delà de la communauté internationale, ce que l’on peut appeler les « grands électeurs », en particulier les chefs religieux, doivent s’exprimer. Ils ne peuvent pas continuer à garder le silence face à ces violations. Ils ne peuvent pas abandonner les talibés [disciples] à leur sort. “, a souligné Ly.

La bataille juridique et le retard dans le rétablissement des droits électoraux d’Ousmane Sonko ont suscité des inquiétudes croissantes quant à l’état de la démocratie et des droits politiques dans le pays. L’appel à l’implication des chefs religieux et de la communauté internationale souligne l’urgence de la situation et la nécessité d’un soutien plus large pour garantir un processus électoral juste et transparent.

Alors que le paysage politique en [Pays] reste tendu, le rôle des différentes parties prenantes, notamment de la communauté internationale et des chefs religieux, sera probablement soumis à une surveillance accrue. Les observateurs attendent de nouveaux développements dans le cas d’Ousmane Sonko et les réponses des acteurs locaux et internationaux aux défis politiques actuels dans le pays.

Laurent Ndiago exprime sa déception après sa défaite contre Tapha Gueye 2 : “La plus grosse déception de ma vie”

Laurent Ndiago, qui a subi sa première défaite en carrière contre Tapha Gueye 2 ce dimanche, a partagé son profond chagrin à la suite de ce revers. Le jeune lutteur a exprimé des regrets quant à son approche pendant le combat.

“C’est la plus grosse déception de ma vie. Cette défaite est très douloureuse, mais je rends grâce à Dieu. J’ai fait tout ce que je devais faire, et tout le monde sait que je me suis entraîné très dur. Malheureusement, j’ai perdu. La seule chose que je regrette, c’est qu’on ne m’a pas laissé lutter à ma manière, car je savais que si j’avais battu Tapha Gueye, ma carrière aurait pris son envol. Mais c’est ainsi, le coup est déjà parti. Je félicite mon adversaire et lui souhaite le meilleur (…) Aujourd’hui, si on ne me propose pas un bon adversaire, je ne vais pas lutter. J’ai dépassé tous les lutteurs de ma catégorie, je veux titiller le sommet.”

Laurent Ndiago, malgré la défaite, montre déjà une détermination à revenir plus fort. Sa volonté de ne pas accepter des combats sans enjeu souligne son désir de se mesurer aux meilleurs et de continuer à progresser dans sa carrière de lutteur. Les amateurs de lutte attendent avec impatience de voir comment il rebondira après cette défaite décevante.

Diène Kaïré, il est désormais relégué au top 5 à la suite de sa défaite contre le redoutable Zarco.

Ce combat, très attendu par les amateurs de lutte, s’est déroulé à l’arène nationale de Pikine. Diène Kaïré, soutenu par toute la Médina et le village de Soumbedioune, était le challenger face à Zarco, dont la réputation de “destructeur des jeunes talents” est bien établie.

Le duel a débuté après une période d’observation et de balancement de bras, avec les deux lutteurs cherchant à prendre le dessus. Malgré quelques tentatives de Diène Kaïré pour déstabiliser son adversaire, Zarco a démontré sa puissance en saisissant brusquement Diène Kaïré et en le renversant spectaculairement sur le dos. La lutte a pris fin en moins de six minutes, avec Zarco remportant la victoire de manière impressionnante.

Cette victoire marque la troisième pour Zarco depuis son retour après cinq ans d’exil à l’étranger. Son palmarès déjà impressionnant comprend des victoires sur des lutteurs renommés tels que Boy Sèye, Boy Niang, Mansour Diop, Thiaat, Mame Balla, Bathie Sèras, Mbaye Gouye Gui, Baye Mandione et Ada Fass.

En conséquence de cette défaite, Diène Kaïré voit sa position dans le classement chuter, le reléguant au top 5 des lutteurs sénégalais. Zarco, quant à lui, continue de renforcer sa réputation en tant que lutteur redoutable dans les arènes sénégalaises.

Face-à-Face : Grosse bagarre entre Modou Lo et Boy Niang 2. Regardez la vidéo !

La confrontation très attendue entre Modou Lo et Boy Niang 2, prévue pour le 1er janvier 2024, a pris une tournure inattendue lors de leur face-à-face préliminaire, se transformant en une violente bagarre. Tout a commencé par une altercation verbale tendue qui a rapidement dégénéré en un échange de coups entre les deux lutteurs.

La situation a atteint un point critique lorsque Boy Niang 2, ne supportant plus la tension, s’est levé de sa chaise pour se placer devant le Roi des Arènes, déclenchant ainsi une série de mots acerbes. De son côté, Modou Lo a violemment poussé Boy Niang 2, provoquant une réaction immédiate des accompagnateurs présents dans la salle.

Regardez

Boye Niang avertit Modou Lô : « Bougnou diakhasso thi beuré… »

Le combat entre Modou Lo et Boye Niang2, organisé par Gaston Production, est prévu le 1er janvier prochain à l’arène nationale.

Dans un entretien avec Gaston Production, Boye Niang2 n’a pas manqué d’avertir son adversaire et tombeur d’Ama Baldé : « Je lutte mieux que Modou Lo, c’est quelque chose que j’ai étudié. Il doit savoir qu’il a affaire à un adversaire coriace…

Lutte : Albourakh Events dévoile la date du choc Sa Thiès vs Eumeu Sène …

Le promoteur de lutte et directeur de Al Bourakh Events, Baye Ndiaye, a fixé la date du combat de lutte avec frappe entre Sa Thiès et Eumeu Sène. Et, c’est le 5 mai 2024 qui a été finalement retenu, à l’arène nationale de Pikine.  

Après l’annonce officielle du choc tant attendu entre l’ancien roi des arènes, Eumeu Sène (écurie Tay Shinger) et le frère de Balla Gaye 2, Sa Thiès (écurie Double Less), le promoteur Baye Ndiaye a confirmé la date de l’affiche.

Ce sera l’occasion pour Sa Thiès de défier et tenter de battre le bourreau de son grand frère BG2. Battu par Tapha Tine le 12 novembre dernier, Eumeu Sène aura également fort à faire face à l’un des meilleurs lutteurs de l’arène sénégalaise.

avec Dakaractu

Lutte avec frappe : Grosse de Jules Baldé sur l’état de santé d’Ama Baldé…

Quelques semaines après leur combat de lutte avec frappe, le 5 novembre dernier, Ama Baldé qui avait perdu le choc, royal, face à Modou Lô, était blessé. C’est du moins ce qu’a révélé son frère Jules Baldé. Pour sauver cette affiche, Ama Baldé qui doit se rendre à l’étranger pour se soigner, s’est « sacrifié » selon son grand frère.

« Ama Baldé a lutté contre Modou Lô blessé. Seulement, il fallait sauver ce combat qui n’avait que trop duré. Cinq ans pour un combat, c’est trop dur. Et c’est financièrement pénible. Alors, il doit voyager pour se soigner. Mais il n’est pas encore parti. Je répète qu’il part se soigner. Si c’est pour s’entraîner, il reste ici », a révélé Jules Baldé dans un entretien accordé à « 4 appuis TV. »

À la question de savoir si l’état de santé d’Ama Baldé ne peut pas avoir des conséquences sur la tenue du combat contre Ama Baldé vs Gris Bordeaux, le 7 Janvier 2024, Jules répondra ceci… « Nous sommes à l’écoute du médecin. Si celui-ci dit qu’Ama ne peut pas lutter, nous allons nous plier à sa décision. Quand on traîne une blessure pendant longtemps, les conséquences peuvent être néfastes pour un athlète », répond le grand frère d’Ama Baldé. Qui estime que son petit frère « n’a pas eu le soutien qu’il aurait dû avoir lors de son combat contre Modou Lô. Nous n’avons pas vu le 200% Pikine. S’il a existé un moment, il n’existe plus aujourd’hui » regrette-t-il.

Le Dakarois Quotidien

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