L’Armée sénégalaise lance un nouveau système de retraite par capitalisation pour ses personnels

Dans une démarche visant à renforcer la protection sociale de ses effectifs, l’État-major général des Armées du Sénégal a mis en place un nouveau système de retraite par capitalisation au profit des personnels des forces armées et de la Brigade nationale des sapeurs-pompiers. Cette initiative sociale, saluée par de nombreux observateurs, marque une avancée significative dans l’amélioration des conditions de vie des militaires après leur service actif.

Selon les informations relayées par la Direction de l’Information et des Relations Publiques des Armées (DIRPA), ce mécanisme repose sur le principe de solidarité intergénérationnelle, un fondement clé qui permettra de garantir une sécurité financière accrue aux retraités du secteur militaire.

L’objectif affiché est clair : offrir aux militaires des revenus plus conséquents une fois à la retraite, leur permettant ainsi de faire face aux exigences de la vie après leur carrière. Ce dispositif se veut également une réponse aux nombreuses difficultés que rencontrent souvent les anciens soldats après avoir servi la Nation.

Au-delà de son impact financier, ce système de retraite par capitalisation traduit l’engagement fort des autorités militaires et étatiques à mieux prendre en charge les hommes et les femmes en uniforme. Il s’inscrit dans une dynamique globale de modernisation de la politique sociale des forces de défense et de sécurité.

Samuel Sarr face à la Chambre d’accusation le 4 mars : vers un nouveau rebondissement judiciaire

L’ancien ministre de l’Énergie et ex-directeur général de West African Energy (WAE), Samuel Sarr, est au centre d’une affaire judiciaire défraie la chronique. Incarcéré depuis le 28 novembre 2024 pour abus de confiance dans la gestion de la société, un préjudice estimé à plus de 8 milliards de francs CFA, il tente aujourd’hui d’obtenir sa mise en liberté provisoire.

Toutefois, cette demande a été rejetée par le parquet, qui a émis un avis défavorable à sa libération, malgré la volonté de la défense d’accepter un contrôle judiciaire. Suite à ce refus, ses avocats se tourneront vers la Chambre d’accusation le 4 mars prochain pour contester cette décision et plaider une nouvelle fois en faveur de la libération de leur client.

Ce développement marque une étape cruciale dans ce dossier sensible qui implique d’importantes sommes d’argent et met en lumière la gestion des ressources énergétiques au sein de West African Energy. D’un côté, la défense insiste sur la présomption d’innocence de Samuel Sarr et estime que son maintien en détention est infondé. De l’autre, le parquet semble considérer que son incarcération est nécessaire au bon déroulement de l’enquête.

L’audience du 4 mars sera donc décisive pour l’avenir de l’ancien ministre. En attendant, l’affaire continue de faire réagir l’opinion publique, entre soutien de ses proches et critiques sur la gestion des fonds de West African Energy.

Khaby Lame, nouveau visage de l’UNICEF : quand la simplicité devient un message universel

L’influenceur sénégalo-italien Khaby Lame, célèbre pour ses vidéos muettes qui tournent en dérision les absurdités du quotidien, vient d’être nommé ambassadeur de bonne volonté de l’UNICEF. Cette nomination, annoncée lors d’une cérémonie officielle en présence de sa famille et des représentants de l’UNICEF, marque une nouvelle étape dans l’engagement du jeune homme en faveur des causes humanitaires.

Avec plus de 240 millions d’abonnés à travers le monde, Khaby Lame est devenu une icône du numérique. Son humour sans paroles, porté par son célèbre geste de la main, lui a permis de toucher un public mondial. Aujourd’hui, il met cette notoriété au service d’une cause noble : la défense des droits des enfants.

« Le vrai changement réside dans l’action ! » a-t-il déclaré lors de son investiture. Un engagement qu’il illustre déjà par sa participation à plusieurs initiatives menées par l’UNICEF.

Avant même d’être officiellement nommé, Khaby Lame a visité un programme de l’UNICEF au Sénégal, son pays d’origine, pour s’immerger dans les réalités du terrain. Au cours de son séjour, il s’est engagé sur plusieurs thématiques cruciales :

• L’éducation : en mettant en lumière les défis que rencontrent les jeunes pour accéder à une instruction de qualité.

• La protection des enfants : en sensibilisant sur les droits fondamentaux des plus vulnérables.

• L’environnement : en apportant son soutien à des projets de lutte contre les changements climatiques.

Son message est clair : il est temps d’agir pour garantir un avenir meilleur aux enfants du monde entier.

En rejoignant les rangs des 26 ambassadeurs de bonne volonté de l’UNICEF, Khaby Lame s’inscrit dans une tradition d’engagement aux côtés de figures emblématiques comme Audrey Hepburn, Lionel Messi ou encore Serena Williams.

Mais son approche, fondée sur la simplicité et l’accessibilité, apporte une nouvelle dynamique. Là où d’autres utilisent des discours éloquents, Khaby prouve que l’on peut faire passer des messages forts sans dire un mot.

Inauguration du nouveau palais de justice de Tivaouane : un pas de plus vers la modernisation du système judiciaire sénégalais

Tivaouane a accueilli, ce vendredi, une cérémonie marquante avec l’inauguration de son nouveau palais de justice. Cet événement, présidé par le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Ousmane Diagne, s’inscrit dans le cadre du vaste programme de modernisation du système judiciaire sénégalais.

Lors de son allocution, le ministre de la Justice a souligné l’importance de cette infrastructure pour le bon fonctionnement du service public de la justice. Selon lui, l’inauguration du palais de justice de Tivaouane constitue “un nouveau jalon posé dans le cadre du vaste programme de modernisation de la justice, que Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, président de la République du Sénégal, a inscrit dans l’agenda national de la modernisation de la justice et de la transformation sociale Sénégal 2050”.

Ce programme s’aligne avec les orientations de la lettre de politique sectorielle du ministère de la Justice, qui vise notamment à renforcer l’accessibilité et l’efficacité du système judiciaire.

Le ministre a également reconnu que le système judiciaire sénégalais souffrait d’un déficit infrastructurel notable, une problématique que le gouvernement entend résoudre par une série d’investissements. “Vous remarquerez que le déficit infrastructurel dont souffre notre système judiciaire est unanimement reconnu, et la nécessité d’inverser cette tendance est une préoccupation largement partagée”, a-t-il affirmé.

Le programme de modernisation des infrastructures judiciaires prévoit ainsi la construction et la rénovation de plusieurs établissements à travers le pays. Parmi les projets en cours, figurent notamment :

• Le siège de la direction générale de la protection judiciaire et sociale,

• Le camp pénal de Diamniadio,

• La maison d’arrêt et de correction de Fatick,

• Les nouveaux palais de justice de Pikine, Guédiawaye, Rufisque, Diourbel, Fatick et Tivaouane.

Jusqu’à présent, le tribunal d’instance de Tivaouane opérait dans des locaux inadaptés aux exigences d’une justice moderne. Grâce à cette nouvelle infrastructure, magistrats, greffiers, avocats et justiciables pourront désormais évoluer dans un cadre plus fonctionnel et sécurisé.

Le palais de justice accueillera également, dans un futur proche, le tribunal de grande instance de Tivaouane, renforçant ainsi les capacités judiciaires de la localité et facilitant l’accès à la justice pour les populations environnantes.

Sénégal : Nouveau succès sur le marché financier de l’UEMOA avec une levée de 43,5 milliards FCFA

En janvier 2025, le Sénégal a réalisé une levée de fonds significative sur le marché financier de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), consolidant ainsi sa réputation de stabilité économique et de crédibilité auprès des investisseurs. Le pays a mobilisé un montant total de 43,529 milliards de francs CFA à travers l’émission de bons et d’obligations assimilables du Trésor.

L’émission a rencontré un vif succès, les demandes des investisseurs ayant largement dépassé les offres initialement proposées par le Trésor public sénégalais. Les bons du Trésor, remboursables intégralement le 18 janvier 2026, seront assortis d’intérêts précomptés et payés à l’avance. Quant aux obligations assimilables du Trésor (OAT), elles arriveront à échéance les 20 janvier 2028 et 20 janvier 2030, offrant des taux d’intérêt compétitifs compris entre 7,38 % et 7,77 %.

Ces résultats témoignent de la confiance des investisseurs dans la solidité économique du Sénégal et sa capacité à honorer ses engagements financiers.

Les fonds levés sont destinés à financer des dépenses publiques stratégiques, notamment dans les secteurs prioritaires de l’éducation, de la santé et des infrastructures. Cette démarche s’inscrit dans une stratégie proactive de mobilisation de ressources sur les marchés financiers régionaux, permettant au Sénégal de diversifier ses sources de financement tout en limitant son exposition aux marchés internationaux, souvent plus coûteux.

Ce succès s’ajoute aux performances remarquables du Sénégal sur le marché régional en 2024. En octobre 2024, le pays avait levé 29,520 milliards FCFA, et en juin 2024, 40,139 milliards FCFA, renforçant ainsi sa capacité à financer son développement.

Le Sénégal s’inscrit également dans une tendance globale au sein de l’UEMOA, où les États membres ont collectivement mobilisé 8 746 milliards FCFA en 2023, après 8 806,7 milliards FCFA en 2022. Cette dynamique traduit l’attractivité croissante du marché régional de la dette pour le financement des projets publics.

En misant sur des emprunts à moyen et long terme à des taux compétitifs, le Sénégal continue de démontrer une gestion rigoureuse de sa dette publique. Ce choix permet de soutenir les investissements dans les secteurs stratégiques tout en consolidant la confiance des partenaires financiers et des investisseurs régionaux.

Inauguration du Courtyard by Marriott à Diamniadio : un nouveau fleuron de l’hôtellerie haut de gamme au Sénégal

Ce mardi, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a procédé à l’inauguration officielle de l’hôtel Courtyard by Marriott à Diamniadio, un projet ambitieux qui marque un tournant pour l’attractivité économique et touristique de cette localité stratégique. Avec un investissement colossal de plus de 13 milliards de francs CFA, ce complexe hôtelier illustre la volonté d’accroître l’offre de services haut de gamme au Sénégal.

Le Courtyard by Marriott, situé au cœur de Diamniadio, est une initiative du groupe américain Marriott International, leader mondial de l’hôtellerie de luxe. Fondée en 1983, la marque Courtyard by Marriott s’adresse principalement aux voyageurs d’affaires tout en proposant des services adaptés aux familles. Avec plus de 8 000 établissements dans le monde, le groupe Marriott poursuit son expansion sur le continent africain, et l’ouverture de cet hôtel à Diamniadio marque une étape stratégique dans sa conquête de l’Afrique de l’Ouest.

Le choix de Diamniadio n’est pas anodin. Cette ville émergente, située à quelques kilomètres de Dakar, est devenue un pôle économique et administratif en plein essor. Selon les informations recueillies, la décision d’implanter le Courtyard by Marriott à Diamniadio a été finalisée en 2022, après des études approfondies sur le potentiel économique et les perspectives de croissance de la région.

Avec ses 134 chambres modernes répondant aux normes internationales, l’hôtel se positionne comme un acteur clé de l’hôtellerie haut de gamme au Sénégal. Ce projet a également permis la création de 150 emplois directs, une opportunité précieuse pour la jeunesse sénégalaise.

L’inauguration de cet établissement envoie un signal positif aux investisseurs nationaux et internationaux. Elle témoigne de la confiance accordée à la stabilité économique et à la dynamique de croissance du Sénégal. Le Président Bassirou Diomaye Faye a salué cette initiative, affirmant que « le développement du secteur privé est un pilier essentiel de notre stratégie de croissance inclusive ».

Depuis la disparition de son dirigeant historique Arne Sorenson en 2021, Marriott International est dirigé par Anthony Capuano, qui poursuit l’objectif d’étendre l’empreinte mondiale du groupe. Avec cette inauguration, Marriott renforce sa présence en Afrique, un continent qui offre d’importantes opportunités dans les secteurs de l’hôtellerie et du tourisme.

L’ouverture du Courtyard by Marriott conforte Diamniadio comme une destination incontournable pour les investisseurs et les touristes. Avec des infrastructures modernes et une proximité avec l’aéroport international Blaise Diagne, la ville est appelée à devenir un véritable hub économique et touristique dans la sous-région.

Nouveau rebondissement dans l’affaire du vol de carburant à Senstock : Star Oil dépose plainte

L’affaire du vol de carburant à Senstock continue de faire des vagues. Après la plainte déposée par Edk, une nouvelle procédure judiciaire s’ajoute à ce dossier complexe. Selon les révélations du journal L’Observateur, la direction générale de la société Star Oil, spécialisée dans la vente de carburant, a déposé une plainte auprès de la Section de Recherches (SR) de la Gendarmerie de Colobane. La société affirme détenir des preuves accablantes, notamment des vidéos et des images illustrant le modus operandi des malfaiteurs.

Dans sa plainte, Star Oil se constitue partie civile et dénonce des pertes importantes et inexpliquées subies depuis plusieurs années. « Depuis longtemps, nous constatons des écarts significatifs dans les stocks reçus dans nos stations. Ces pertes, jusqu’à présent énigmatiques, s’avèrent être le résultat d’un vaste réseau de trafic organisé », a déclaré la direction. Les nouvelles preuves viendraient étayer ces accusations en mettant en lumière les pratiques frauduleuses opérées au sein de l’entrepôt de Senstock.

En parallèle à cette plainte, un autre élément est venu renforcer l’affaire. Un camion transportant 2 000 litres de carburant a été immobilisé par les agents des Douanes. Le conducteur, qui cherchait à revendre illégalement la cargaison, n’a pas trouvé de revendeurs parmi les fameux « Lakhalmen ». Alertées, les Douanes sont intervenues pour constater l’infraction et immobiliser le véhicule.

À ce jour, 37 individus, surnommés « Lakhalmen », sont déjà derrière les barreaux, accusés d’appartenir à un réseau de trafic de carburant démantelé au dépôt de Senstock, situé à Mbao. Le préjudice, évalué à plusieurs centaines de millions de francs CFA, continue de faire l’objet d’investigations approfondies. Les nouvelles révélations de Star Oil pourraient ouvrir d’autres pistes et approfondir les responsabilités des différents acteurs impliqués dans ce trafic.

Ce rebondissement marque une étape importante dans cette affaire de vol de carburant qui agite le secteur énergétique du pays. Entre les pertes colossales enregistrées par les entreprises concernées et les multiples arrestations, l’affaire Senstock illustre les défis liés à la sécurisation de la chaîne d’approvisionnement en carburant au Sénégal. Les prochains développements pourraient encore révéler d’autres ramifications de ce vaste réseau criminel.

Madiambal Diagne de nouveau convoqué : l’incertitude demeure

Ce lundi, Madiambal Diagne, directeur du groupe Avenir Communication, est attendu une fois de plus dans les locaux de la Sûreté Urbaine de Dakar. Cette nouvelle convocation intervient dans le cadre des plaintes déposées par Diop Taif et le député Abdoulaye Sylla, ajoutant une pression supplémentaire sur l’homme de presse déjà dans le viseur de multiples affaires.

Vendredi dernier, Madiambal Diagne avait été auditionné dans le cadre de la plainte des avocats de l’opposant politique Ousmane Sonko. Après une longue journée d’interrogatoire, il avait finalement quitté les lieux sans être inquiété, bien que les débats aient duré plusieurs heures.

Cette fois encore, l’attention reste braquée sur la Sûreté Urbaine pour déterminer l’issue de cette nouvelle procédure. Le contexte tendu, marqué par une polarisation des affaires judiciaires impliquant des figures médiatiques et politiques, alimente les spéculations sur le sort réservé à Madiambal Diagne.

Selon certaines sources, les accusations portées contre le patron de presse pourraient être liées à des propos jugés diffamatoires ou à des prises de position controversées dans des affaires très médiatisées. Cependant, ses proches affirment qu’il s’agit d’un acharnement destiné à museler une voix critique et influente dans le paysage médiatique sénégalais.

Ce nouveau développement met en lumière une fois de plus les tensions entre médias, justice et sphère politique au Sénégal. La journée s’annonce décisive, et le pays reste suspendu à l’issue de cette affaire qui pourrait avoir des répercussions bien au-delà de la salle d’interrogatoire.

Nomination du nouveau Directeur général de l’ARCOP : une décision controversée

Lors du Conseil des Ministres du mercredi 2 octobre 2024, le Président de la République a procédé à la nomination de Monsieur Moustapha DJITTE, Magistrat et détenteur du matricule de solde n°602 388/E, au poste de Directeur général de l’Autorité de Régulation de la Commande publique (ARCOP). Il remplace ainsi Monsieur Saer NIANG, dont la fin de mission était attendue.

Toutefois, cette nomination suscite une controverse, particulièrement du côté de la société civile. Birahim Seck, coordonnateur du Forum Civil, a exprimé des réserves quant à la procédure suivie pour cette désignation. Selon lui, un appel à candidature aurait dû être lancé pour ce poste stratégique, conformément à la réglementation en vigueur. « M. le PR Bassirou Diomaye Faye, la fin de mission du Directeur général de l’ARCOP était très attendue mais, selon la réglementation le recrutement de son remplaçant doit se faire par appel à candidature, y déroger peut mettre en pièce la bonne gouvernance de la commande publique », a-t-il affirmé sur sa page X (anciennement Twitter).

Le poste de Directeur général de l’ARCOP est d’une importance cruciale dans le dispositif de régulation des marchés publics, un secteur où la transparence et la bonne gouvernance sont primordiales pour éviter tout risque de corruption ou de malversations. Selon Birahim Seck, ne pas respecter les procédures établies pourrait affaiblir la confiance dans cette institution et compromettre l’intégrité du processus de commande publique.

La nomination de M. Moustapha DJITTE intervient donc dans un contexte délicat, où les voix s’élèvent pour rappeler l’importance du respect des principes de bonne gouvernance, notamment dans le recrutement des dirigeants des institutions publiques. Reste à voir si cette nomination fera l’objet d’un débat plus large, ou si les autorités en place choisiront de justifier cette dérogation à la procédure habituelle.

La société civile, quant à elle, entend rester vigilante quant à la gestion de cette institution, veillant à ce que les normes de transparence et de mérite soient respectées dans les décisions publiques qui concernent la gestion des ressources de l’État.

Mouhamed Tafsir Ba : Un Nouveau Champion du Monde qui Insuffle un Vent de Fierté au Sénégal

Le Sénégal a franchi une étape décisive dans le monde des sports de combat ce samedi avec la victoire éclatante de Mouhamed Tafsir Ba. Le jeune kick-boxeur sénégalais est désormais sacré champion du monde dans la catégorie des moins de 91 kg, après avoir battu l’Ouzbek Murodbek Azimov en finale à Tachkent, en Ouzbékistan. Devant un public acquis à son adversaire, Mouhamed Tafsir Ba a démontré son talent, sa détermination et son courage pour remporter ce titre prestigieux.

Cette victoire ne doit rien au hasard. Dès l’année dernière, Mouhamed Tafsir Ba avait annoncé ses ambitions avec fermeté, se fixant pour objectif de conquérir les sommets du kick-boxing mondial. Aujourd’hui, son rêve est devenu réalité, mais c’est le fruit d’un travail acharné, de nombreux sacrifices et d’une volonté inébranlable. Champion du Sénégal et de la zone 2, il a su dominer ses adversaires tout au long de la compétition pour s’offrir une place parmi l’élite mondiale.

Si Mouhamed Tafsir Ba brille aujourd’hui sur la scène du kick-boxing, il est loin de se limiter à cette seule discipline. Véritable touche-à-tout des sports de combat, il pratique également la boxe anglaise, le MMA (arts martiaux mixtes) et le Sanda, une forme de kung-fu moderne. Dans chacune de ces disciplines, il s’est distingué par son talent, son agilité et sa capacité à s’adapter aux exigences variées des différents arts martiaux. Cette polyvalence exceptionnelle fait de lui l’un des combattants les plus complets de sa génération.

Au-delà de son propre succès, la victoire de Mouhamed Tafsir Ba a une signification plus large pour le Sénégal. Elle met en lumière le potentiel du pays dans les sports de combat, longtemps dominés par d’autres nations. Ce sacre mondial pourrait bien marquer un tournant dans l’histoire du sport sénégalais, en inspirant une nouvelle génération d’athlètes à poursuivre leurs rêves et à repousser leurs limites.

Pour le peuple sénégalais, Mouhamed Tafsir Ba s’impose non seulement comme un champion, mais aussi comme une source de fierté et un modèle à suivre. À seulement 26 ans, il incarne l’espoir et la détermination de toute une nation, prête à conquérir le monde, une victoire à la fois.

Avec ce titre de champion du monde, Mouhamed Tafsir Ba ouvre un nouveau chapitre dans l’histoire des sports de combat au Sénégal. Un chapitre qui, à n’en pas douter, continuera à s’écrire en lettres d’or dans les années à venir.

Nouveau Corps de Volontaires pour la Surveillance Urbaine à Thiès

Un contingent de 60 volontaires, comprenant 35 garçons et 25 filles, a récemment été formé au Camp du Groupement Mobile d’Intervention (GMI) de Thiès. Leur mission principale : assurer la surveillance urbaine dans divers espaces publics de la ville.

Le maire de la ville, Dr Babacar Diop, a souligné l’importance de cette nouvelle équipe en déclarant : « Ces agents seront déployés pour surveiller les espaces publics tels que l’hôtel de ville, la Promenade des Thiessois, la Place de France, l’Agora, ainsi que les services publics du centre-ville. Ils seront également chargés d’assister les personnes âgées, les malvoyants, les personnes à mobilité réduite, les élèves et les résidents de Thiès en général dans la traversée des chaussées ».

En outre, ces volontaires seront positionnés devant les écoles situées le long des axes routiers à forte circulation, notamment l’école élémentaire Iba Katy Bâ, le lycée El Hadji Malick Sy, l’école GMI, et le Rond-point du Champ de Course, entre autres.

Leurs missions incluront également la surveillance de la salubrité publique, la fourniture des premiers soins aux victimes d’accidents de la circulation, la lutte contre les affichages sauvages sur les murs des bâtiments publics et l’occupation anarchique des trottoirs. En collaboration avec les agents de la police routière, ils seront également responsables de la gestion du trafic aux heures de pointe.

Le recrutement de ces jeunes volontaires s’est fait à la suite d’un appel à candidatures afin de garantir une sélection objective et de dépolitiser leur enrôlement, a précisé le maire Dr Babacar Diop.

Cette initiative vise à renforcer la sécurité et la qualité de vie des habitants de Thiès tout en encourageant l’implication citoyenne dans la préservation de l’ordre public et du bien-être urbain.

Pressions du FMI sur le nouveau gouvernement sénégalais : Entre décisions difficiles et défis populaires

Le nouveau Premier ministre du Sénégal, Ousmane Sonko, se retrouve confronté à un dilemme complexe alors que les pressions du Fonds monétaire international (FMI) s’intensifient pour réduire le déficit budgétaire et augmenter les prix de l’énergie. Cette situation met en lumière les défis inhérents à la réalité du pouvoir, où les décisions politiques doivent souvent jongler entre les impératifs économiques et les attentes du peuple.

Les récentes recommandations du FMI pressent le gouvernement sénégalais de réduire le déficit budgétaire, passant de 4,9% en 2023 à 3,9% en 2024. Cette demande s’accompagne de l’exigence d’augmenter les prix de l’énergie, notamment du carburant et de l’électricité, afin de réduire les subventions et d’atteindre une « vérité des prix ».

Cependant, cette approche soulève des préoccupations majeures quant à son impact sur le coût de la vie pour les citoyens sénégalais. Alors que la population attend des mesures visant à réduire la cherté de la vie, toute augmentation des prix de l’énergie risque d’avoir des répercussions directes sur les dépenses des ménages, ainsi que sur les coûts de production et de transport pour les entreprises.

De plus, cela remet en question les programmes de souveraineté économique du nouveau gouvernement, axés sur la promotion de l’agriculture et de la transformation des produits locaux. L’augmentation des prix de l’énergie pourrait compromettre ces initiatives en augmentant les coûts de production et en entravant la compétitivité des industries locales.

La position du gouvernement face à ces pressions du FMI sera scrutée de près, en particulier compte tenu de son engagement antérieur à l’égard des institutions internationales. Alors que le précédent président Macky Sall a cédé à certaines exigences du FMI, notamment en augmentant les prix du carburant et de l’électricité, il reste à voir si le nouveau gouvernement, dirigé par Diomaye et Sonko, suivra la même voie ou adoptera une approche différente.

Une revue des politiques économiques est prévue en juin, offrant ainsi une occasion cruciale de déterminer la direction future du gouvernement en matière de politique économique. Dans tous les cas, le Premier ministre Sonko et son équipe devront naviguer avec prudence entre les impératifs économiques et les attentes populaires pour assurer un développement durable et équitable du Sénégal.

Nouveau rebondissement à la Cour suprême : Un proche de Ousmane Sonko pressenti pour la présidence

Dans son édition de ce jeudi, le journal L’AS révèle un possible changement à la tête de la Cour suprême, avec la nomination pressentie du magistrat Bassirou Mbaye, membre du cercle de Ousmane Sonko, au poste de premier président. Cette annonce soulève des questions et des spéculations quant à l’orientation future de la plus haute juridiction du pays.

Selon les informations rapportées par le journal, Bassirou Mbaye est connu pour sa proximité avec l’actuel Premier ministre, ce qui suscite des interrogations sur les implications politiques de sa nomination à un poste aussi crucial. Cette nomination serait une décision importante, surtout à la lumière des récents rebondissements au sein de la Cour suprême.

En effet, quelques jours avant la fin de son mandat, l’ancien Président Macky Sall avait désigné Abdoulaye Ndiaye pour succéder à la tête de la Haute juridiction à Ciré Aly Bâ, officiellement en retraite mais toujours en fonction. Cette décision avait été prise à l’issue du dernier Conseil supérieur de la magistrature (CMS), mais a été annulée par le nouveau président de la Cour suprême, Bassirour Diomaye Faye, dès sa prise de fonction.

Cette annulation des décrets pris lors du CMS relance donc la course à la succession de Ciré Aly Bâ, ouvrant la voie à de nouveaux acteurs comme Bassirou Mbaye. Cette situation souligne les enjeux politiques et institutionnels entourant la Cour suprême et met en lumière les luttes de pouvoir qui se jouent en coulisses pour influencer sa direction.

Dans ce contexte, la nomination éventuelle de Bassirou Mbaye à la présidence de la Cour suprême pourrait avoir des répercussions importantes sur le fonctionnement et l’indépendance de l’institution judiciaire. Il est donc crucial de suivre de près l’évolution de cette situation et d’examiner attentivement les implications de telles décisions pour l’État de droit et la démocratie au Sénégal.

Nomination d’un nouveau délégué général au Renseignement national au Sénégal

Le président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, a récemment nommé un nouveau délégué général au Renseignement national (DNR) par décret en date du 24 avril 2024. Il s’agit du Général de division El Hadji Daouda Niang, qui remplace le Général de corps d’armée (2s) Cheikh Sène à la tête du DNR.

Auparavant, le Général Niang occupait le poste d’ambassadeur plénipotentiaire du Sénégal en République de Côte d’Ivoire. Cette nomination marque un changement majeur dans la direction de la DNR, qui est un service spécial de renseignement placé sous l’autorité directe du chef de l’État.

La Délégation générale au Renseignement national a été créée en 2014 par le décret 2014-940/PR pour regrouper tous les services de renseignement dispersés dans divers ministères et à la Présidence de la République. Elle supervise notamment la Direction générale du renseignement intérieur (DGRI) et la Direction générale du renseignement extérieur (DGRE).

Les attributions de la DNR, telles que définies par le décret 2014-940/PR, comprennent la collecte, l’analyse et la diffusion de renseignements relatifs aux menaces contre la sécurité et les intérêts nationaux. Elle est également chargée de centraliser, recouper, analyser et transmettre les productions des autres services de renseignement au président de la République.

La création de la DNR a marqué la dissolution des services précédents, à savoir le Centre d’Orientation stratégique (COS), l’Agence nationale de sécurité (ANS) et la Direction de la Documentation et de la Sécurité extérieure (DDSE).

Dr. Ibrahima Sy : Portrait du Nouveau Ministre de la Santé et de l’Action Sociale

Le secteur de la santé au Sénégal est confronté à de nombreux défis, notamment le manque de ressources humaines, d’infrastructures médicales et d’accessibilité aux soins pour une grande partie de la population. Dans ce contexte, le Dr. Ibrahima Sy, qui a récemment pris les rênes du ministère de la Santé et de l’Action Sociale, hérite d’un dossier crucial.

Bien que peu connu du grand public, le Dr. Ibrahima Sy possède un parcours remarquable. Il n’est pas médecin de profession, mais plutôt Maître Assistant au Département de Géographie de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar depuis 2017. Cependant, il a une solide expérience dans le domaine de la santé en tant qu’expert.

Le Dr. Sy a déjà travaillé pour le compte du ministère de la Santé, ce qui lui confère une connaissance approfondie des enjeux du secteur. Ses domaines d’expertise couvrent l’environnement, le changement climatique, l’épidémiologie spatiale, la santé publique et la santé urbaine. Il a également été chercheur associé au Département de recherche pour le développement du Centre de Surveillance Écologique (CSE) à Dakar.

Titulaire d’un doctorat en géographie de la santé de l’Université Louis Pasteur (ULP) de Strasbourg, en France, le Dr. Sy a accumulé une expérience internationale en travaillant dans des institutions renommées telles que l’Institut Tropical et de Santé Publique Suisse (Swiss-TPH) et le Centre Suisse de Recherche Scientifique en Côte d’Ivoire (CSRS). Il a également collaboré avec des organisations internationales telles que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF).

Son passage à l’UCAD a laissé une marque indélébile, en tant que professeur dévoué et accessible. Ses étudiants se souviennent de lui comme étant un enseignant assidu, soucieux de leur réussite. Sa modestie et sa courtoisie sont également louées par ceux qui l’ont côtoyé.

Bien qu’initialement peu connu dans le domaine politique, le Dr. Sy a rejoint le parti Pastef en 2017. Il a contribué à la rédaction de programmes politiques, notamment le programme Jotna de Ousmane Sonko sur les questions environnementales et de santé. Malgré sa timidité apparente en politique, il est décrit comme un homme loyal, serviable et dévoué à ses principes.

La nomination du Dr. Ibrahima Sy au poste de ministre de la Santé et de l’Action Sociale suscite de nombreux espoirs. Son expertise, son engagement et sa détermination à relever les défis du secteur de la santé font de lui un choix prometteur pour ce poste crucial. Son impact sur le secteur de la santé au Sénégal reste à observer, mais ses qualifications et son dévouement laissent entrevoir un avenir prometteur pour le système de santé du pays.

Gana Gueye brille à nouveau sur le terrain avec Everton

Gana Gueye, le milieu de terrain sénégalais d’Everton, démontre une fois de plus sa valeur sur le terrain. Lors du récent match contre Brentford, il a inscrit son troisième but de la saison, contribuant ainsi à la victoire des Toffees et les rapprochant un peu plus de l’assurance de leur maintien dans l’élite du football anglais.

À la 61e minute de jeu, une action fortuite se produit dans la surface de réparation adverse. Alors que le ballon cherche Jarrad Branthwaite, celui-ci ne parvient pas à le contrôler et le ballon se retrouve finalement aux pieds de Gana Gueye. Sans hésiter, le joueur sénégalais décoche une frappe puissante et précise qui se loge imparablement dans les filets gardés par Mark Flekken, le gardien de Brentford.

Ce but crucial a non seulement permis à Everton de prendre l’avantage dans le match, mais il a également souligné le talent et la détermination de Gana Gueye sur le terrain. Sa capacité à saisir les opportunités et à contribuer de manière décisive au succès de son équipe fait de lui un élément clé de l’équipe d’Everton.

Avec cette performance impressionnante, Gana Gueye continue de se distinguer comme l’un des meilleurs milieux de terrain de la Premier League, et il est indéniablement un atout majeur pour son équipe dans la course au maintien.

L’attaquant de Chelsea répond à ses détracteurs avec un nouveau look

Dans le monde exigeant du football professionnel, chaque détail est scruté de près, des performances sur le terrain jusqu’à l’apparence des joueurs. Récemment, l’international sénégalais évoluant à Chelsea a fait sensation en répondant d’une manière peu conventionnelle aux critiques qui ont entouré ses dernières prestations.

Selon les rapports du journal spécialisé Stade, l’attaquant des Blues a été observé lors d’un entraînement avec un look radicalement différent. En effet, il a opté pour une tête complètement rasée, renonçant ainsi à ses cheveux teints aux couleurs vives du club londonien qui le caractérisaient auparavant.

Cette décision intervient dans un contexte où l’attaquant a été la cible de vives critiques pour ses récentes performances en compétition. Lors des derniers matchs de Chelsea, il a notamment manqué deux occasions cruciales, entraînant des conséquences dommageables pour son équipe, y compris l’élimination de la FA Cup face à Manchester City, suivie d’une défaite face à Arsenal (5-0).

Face à cette pression et à ces critiques, l’attaquant sénégalais semble avoir choisi de répondre d’une manière plutôt inattendue. En modifiant radicalement son apparence, il envoie un message fort, montrant peut-être sa volonté de se concentrer uniquement sur son jeu et de bloquer les distractions extérieures.

Cette décision peut également être interprétée comme une démonstration de détermination de sa part à surmonter les difficultés et à retrouver son meilleur niveau. En effet, en se débarrassant de son look caractéristique, il semble prêt à se réinventer sur le terrain et à prouver sa valeur à ses coéquipiers, aux supporters et aux critiques.

Il reste à voir si ce changement de look aura un impact sur les performances de l’attaquant lors des prochains matchs. Quoi qu’il en soit, cette décision montre qu’il est prêt à relever le défi et à répondre à ses détracteurs de la meilleure manière possible : avec détermination et résilience.

Le Nouveau Ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement S’Engage à Résoudre la Pénurie d’Eau à Touba

Le nouveau ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement, Cheikh Tidiane Dièye, a entrepris sa première tournée dans le département de Mbacké, marquée par une rencontre avec le porte-parole du khalife général des mourides, Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre. L’objectif de cette visite était de discuter des solutions possibles à la pénurie d’eau potable qui affecte la ville sainte de Touba.

À l’issue de la rencontre, Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre a exprimé les préoccupations de la population de Touba face au manque d’eau potable et a proposé une solution provisoire consistant à effectuer un transfert d’eau à partir du lac de Bogo. Il a souligné que bien que la connexion au réseau hydraulique du lac de Guiers soit la solution idéale à long terme, elle nécessite un processus complexe et prolongé.

Le porte-parole du khalife général des mourides a également relayé les salutations et les remerciements de la ville de Touba au président de la République, au Premier ministre et au nouveau ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement. Il a formulé des prières pour le succès du gouvernement dans sa mission.

De son côté, Cheikh Tidiane Dièye s’est engagé à résoudre la problématique de l’eau à Touba conformément aux directives du chef de l’État. Il a affirmé que toutes les mesures nécessaires seront prises pour garantir un approvisionnement en eau adéquat lors du prochain Magal de Touba, événement majeur pour la ville.

Cette rencontre marque un premier pas vers la résolution d’un problème crucial pour la population de Touba, et témoigne de l’engagement du gouvernement à répondre aux besoins essentiels des citoyens, en particulier dans les régions les plus importantes sur le plan religieux et culturel.

Nouveau ministre des Transports : Déplacement nocturne sur les lieux d’un drame routier

El Malick Ndiaye, récemment nommé ministre des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens, a effectué son premier déplacement sur le terrain dans des circonstances tragiques. Revêtu d’une tenue de terrain et coiffé d’une casquette, il s’est rendu nuitamment à Koungheul, dans la région de Kaffrine, où un accident de la route a coûté la vie à 14 personnes.

Cet accident, survenu à la suite de l’éclatement d’un pneu de bus, a été le point de départ d’une série d’événements tragiques. Quelques heures après le drame de Koungheul, quatre autres personnes ont perdu la vie dans des circonstances similaires à Thiadiaye, suivies de trois autres à Keur Souleye Thiam, près de Nioro du Rip. En moins de 24 heures, le bilan des victimes s’est alourdi pour atteindre un total de 21 décès.

Face à cette série d’accidents mortels, El Malick Ndiaye a exprimé son émotion et a appelé à des mesures plus strictes pour garantir la sécurité routière. Il a dénoncé l’irresponsabilité de certains chauffeurs et a plaidé en faveur du durcissement des sanctions contre les comportements dangereux sur la route.

Cependant, ces tragédies rappellent également l’importance de faire respecter les mesures déjà en place pour prévenir de tels accidents. Le gouvernement précédent avait pris des initiatives telles que l’interdiction des voyages nocturnes en bus et l’interdiction d’importer des pneus d’occasion. Malgré cela, les récents événements soulèvent des questions sur l’application effective de ces règles.

Le défi pour les nouvelles autorités est désormais de veiller à ce que toutes les mesures nécessaires soient mises en œuvre et respectées pour assurer la sécurité des usagers de la route. Le drame de Koungheul met en lumière la nécessité d’une action concertée pour lutter contre l’insécurité routière et éviter de nouvelles pertes tragiques.

Un nouveau chapitre pour le Syndicat des travailleurs de l’Assemblée nationale : L’inclusion et la transformation sociale au cœur des priorités

Ce vendredi, le Congrès du Syndicat des travailleurs de l’Assemblée nationale s’est tenu sous le thème « Pour un syndicalisme d’inclusion et de transformation sociale dans un monde en perpétuelle évolution ». Cette rencontre a marqué l’installation officielle de Sokhna Diagne en tant que secrétaire générale de ce syndicat, affilié à la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (CNTS).

Dans un discours empreint de volonté de collaboration et de service public, Sokhna Diagne a tendu la main à tous les travailleurs de l’Assemblée nationale, ainsi qu’à l’administration, dans le but d’offrir ensemble les meilleurs services possibles aux citoyens sénégalais et du monde entier.

Son programme pour améliorer le bien-être des travailleurs inclut la lutte pour l’instauration du statut de fonction publique parlementaire, le logement social, l’élargissement de la liste des médecins agréés en banlieue et dans les régions, ainsi que le renforcement des capacités par la formation continue et l’adoption d’un plan de carrière professionnelle. Elle met l’accent sur la nécessité d’une collaboration franche et respectueuse avec l’Administration dans l’intérêt exclusif des travailleurs de l’Assemblée nationale.

Son collègue secrétaire général d’un autre syndicat de l’Assemblée, Amadou Sène Niang, l’invite à travailler ensemble pour préserver les acquis fondamentaux et améliorer les conditions de travail, soulignant l’importance de l’autonomie pour garantir ces améliorations.

Lamine Fall, premier secrétaire général adjoint de la CNTS, a salué l’élection de Sokhna Diagne en tant que secrétaire générale, soulignant son rôle dans la promotion de la dimension genre au sein du syndicat. Il exprime sa confiance en sa capacité à remplir pleinement sa mission.

Ensemble, ces déclarations illustrent une volonté collective de collaboration, d’amélioration des conditions de travail et de promotion de l’inclusion au sein du Syndicat des travailleurs de l’Assemblée nationale, offrant ainsi un nouvel espoir pour un avenir meilleur pour tous ses membres.

Kylian Mbappé : Nouveau Record de Buts sous le Maillot du PSG

L’attaquant prodige du Paris Saint-Germain, Kylian Mbappé, continue d’écrire son histoire avec le club de la capitale. Avec son doublé lors de la récente victoire contre Lorient (4-1), Mbappé a établi un nouveau record personnel en inscrivant 43 buts dans toutes les compétitions cette saison, dépassant ainsi son précédent record de 42 buts établi lors de la saison 2020-2021.

Ces chiffres sont d’autant plus impressionnants lorsque l’on considère les défis auxquels Mbappé a été confronté cette saison, avec une préparation estivale perturbée et un temps de jeu morcelé ces derniers mois. Malgré cela, le capitaine de l’équipe de France a su maintenir un niveau de performance exceptionnel.

Voici le décompte des buts de Mbappé en club depuis son arrivée au Paris Saint-Germain en 2017 :

  • 2023-2024 : 43 buts (PSG)
  • 2022-2023 : 41 buts (PSG)
  • 2021-2022 : 39 buts (PSG)
  • 2020-2021 : 42 buts (PSG)
  • 2019-2020 : 30 buts (PSG)
  • 2018-2019 : 39 buts (PSG)
  • 2017-2018 : 21 buts (PSG)

Ces statistiques témoignent de la remarquable constance de Mbappé devant le but depuis ses débuts professionnels. Avec encore de nombreuses années devant lui, il est indéniable que le jeune attaquant continuera de marquer l’histoire du football français et européen.

Abdourahmane Diouf : Nouveau Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation

Le Sénégal accueille avec espoir la nomination d’Abdourahmane Diouf au poste de ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI). Né le 13 janvier 1970 à Rufisque, Abdourahmane Diouf a parcouru un chemin remarquable, marqué par un engagement politique précoce et une solide formation académique.

Issu du système éducatif public sénégalais, il a fréquenté le lycée Abdoulaye Sadji de Rufisque, où il a obtenu son baccalauréat. Par la suite, il a intégré l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis, où il a noué des liens avec des personnalités politiques éminentes, telles que le Premier ministre Ousmane Sonko, Mabouba Diagne et Cheikh Tidiane Dièye, qui font aujourd’hui partie du gouvernement.

Abdourahmane Diouf est un homme pluridisciplinaire, ayant obtenu une maîtrise en Droit public, ainsi qu’un DES en Droit international et un DEA en Sciences de la communication et des médias, à Genève.

Son engagement politique remonte à ses débuts, lorsqu’il occupait le poste de numéro 2 au sein de Rewmi, sous la direction de l’ancien Premier ministre Idrissa Seck. Après l’arrivée de Macky Sall au pouvoir en 2012, Abdourahmane Diouf a été nommé directeur général de la Société nationale des eaux du Sénégal (SONES), mais a démissionné pour des raisons politiques.

Par la suite, il a rejoint l’opposition et a fondé son propre parti politique, AWALÉ, en octobre 2021. Aux élections législatives de 2023, il a participé en coalition avec Thierno Alassane Sall, devenant ainsi le seul parlementaire de sa liste.

En tant que candidat recalé à l’élection présidentielle de 2024, Abdourahmane Diouf a dénoncé un système de décompte de parrainages défaillant. Malgré cela, il a rejoint la coalition « Diomaye Président », qui a remporté la présidentielle au premier tour avec 54,28% des voix.

Lors de sa cérémonie d’investiture, il a présenté son offre programmatique « Le Sénégal d’abord » à travers 11 livres, démontrant ainsi sa vision et ses ambitions pour le pays.

En tant que nouveau ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Abdourahmane Diouf hérite d’une tâche cruciale : résoudre la crise universitaire qui sévit depuis plusieurs années. Son parcours impressionnant et son engagement politique font de lui un acteur clé dans la recherche de solutions pour l’avenir de l’éducation au Sénégal.

Bernardo Silva à nouveau dans le viseur du Barça

À en croire la presse espagnole, le nom de Bernardo Silva revient à nouveau du côté du FC Barcelone. Le Portugais est sous contrat jusqu’en 2026 avec City.

À l’approche de ses 30 ans, Bernardo Silva reste un élément essentiel du onze de Pep Guardiola, mais son aventure à City, où il est depuis 2017, pourrait toucher à sa fin. Catalunya Ràdio affirme que l’international portugais souhaite rejoindre le FC Barcelone la saison prochaine.

Sous contrat avec le club anglais jusqu’en 2026, sa clause libératoire s’élève à environ 58 millions d’euros, un montant élevé, mais pas exorbitant pour un club qui cherche à rester compétitif en Liga et en Ligue des champions (dont il a été éliminé cette saison en quarts de finale contre le PSG).

Selon cette même source, pour que le transfert se concrétise, les Blaugrana devront réaliser une vente importante pour ne pas dépasser le plafond salarial autorisé par la Liga. 

Catalunya Ràdio ajoute que le PSG est également intéressé par la signature le milieu de terrain. Toutefois, le joueur préfère rejoindre la Catalogne où son nom revient avec insistance ces dernières années.

AFP 

Rencontre Inattendue : Des Membres du Nouveau Gouvernement Sénégalais Rencontrent Macky Sall en Marge des Assemblées de Printemps de la BM et du FMI

La présence de Cheikh Diba, le nouveau ministre sénégalais des Finances et du Budget, ainsi que d’Abdourahmane Sarr, son homologue de l’Économie, du Plan et de la Coopération, aux côtés de l’ancien Président Macky Sall lors des Assemblées annuelles de Printemps de la Banque mondiale (BM) et du Fonds monétaire international (FMI) a attiré l’attention et soulevé des interrogations.

Selon les informations rapportées par Enquête, les membres du premier gouvernement du Président Bassirou Diomaye Faye ont eu une rencontre avec Macky Sall, en présence des dirigeants de la BM et du FMI. Cette rencontre inattendue a suscité des spéculations sur la nature et les motifs de cette interaction entre les anciens et les nouveaux acteurs de la scène politique sénégalaise.

La question principale qui se pose est de savoir ce qui a été discuté lors de cette rencontre et quel était le rôle de Bassirou Diomaye Faye, nouvel envoyé spécial du 4P (Pacte de Paris pour les peuples et la Planète), dans ce contexte. Certains se demandent si cette présence conjointe n’indique pas une volonté de faciliter la transition entre l’ancien et le nouveau gouvernement, tout en maintenant une continuité dans la coopération avec les institutions financières internationales.

Cependant, les détails précis de la réunion et les sujets abordés n’ont pas été divulgués, laissant place à des spéculations et à des interprétations diverses quant à la signification de cette rencontre. Il est possible que Bassirou Diomaye Faye agisse en tant que médiateur ou facilitateur dans les relations entre les deux administrations, mais cela reste à confirmer.

Cette rencontre souligne l’importance des relations entre le Sénégal et les institutions financières internationales, ainsi que la nécessité d’une transition politique et économique en douceur pour garantir la stabilité et la continuité dans la gestion des affaires publiques.

La Sous-représentation des Femmes dans le Nouveau Gouvernement Sénégalais Déclenche le Débat

La composition du nouveau gouvernement du Président de la République sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, a suscité une controverse en raison de la faible représentation des femmes. Avec seulement 4 femmes sur 30 membres, des voix se sont élevées pour dénoncer cette sous-représentation, allant jusqu’à lancer une pétition par les militantes féministes.

Felwine Sarr, écrivain et philosophe sénégalais, exprime son soutien à cette cause dans une récente interview accordée au journal Le Soleil depuis l’Université Duke aux États-Unis, où il enseigne. Pour lui, la politique comporte également des symboles importants, et la sous-représentation des femmes dans le gouvernement est significative. Il souligne que les femmes représentent près de 50% de la population sénégalaise et que leur présence dans les sphères politiques est essentielle pour refléter cette réalité démographique.

Sur le plan économique, Felwine Sarr met en lumière les disparités entre les sexes, soulignant que les femmes constituent une part importante de la force de travail, en particulier dans les secteurs ruraux et agricoles, mais qu’elles sont confrontées à des obstacles tels que la faible possession de terres et la précarité économique. Ces inégalités économiques se traduisent par des taux élevés de pauvreté parmi les femmes, ainsi que par des difficultés d’emploi et d’accès aux opportunités économiques.

Pour l’économiste, la création d’un ministère dédié aux femmes est nécessaire pour adresser les problématiques spécifiques auxquelles elles sont confrontées. Il plaide pour une économie féminine qui prend en compte et améliore la condition des femmes, soulignant que le bien-être des femmes a un impact positif sur l’ensemble de la société, y compris en termes d’éducation et de santé.

Felwine Sarr conclut en insistant sur la compétence et la capacité des femmes à diriger des ministères et en affirmant que la demande de plus de représentation féminine est légitime et normale. Cette prise de position souligne l’importance de l’égalité des genres dans la gouvernance et la nécessité de promouvoir l’autonomisation des femmes dans tous les domaines de la société sénégalaise.

Vers une résolution de la crise dans les collectivités territoriales : Engagement du nouveau ministre Balla Moussa Fofana

Le gouvernement s’engage fermement à résoudre la crise qui secoue les collectivités territoriales depuis près de deux ans. Sous la houlette du tout nouveau ministre de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement des territoires, Balla Moussa Fofana, une dynamique de dialogue et de recherche de solutions concrètes s’est amorcée.

Lors de sa récente rencontre avec les membres de l’Intersyndicale des travailleurs des collectivités territoriales, le ministre Fofana a reconnu la légitimité des revendications des travailleurs tout en réaffirmant la détermination du gouvernement à mettre fin à cette crise persistante. Dans un communiqué de presse, il a souligné la nécessité de travailler ensemble pour formuler des propositions soutenables conformes aux dispositions légales en vigueur.

Au-delà des discussions sur les revendications salariales, le ministre a mis en lumière les répercussions de la grève sur les citoyens, notamment en ce qui concerne l’accès aux documents d’état civil. Cette prise de conscience témoigne d’une sensibilité aux préoccupations de la population et renforce l’urgence d’une résolution rapide du conflit.

L’approche collaborative du ministre Fofana se manifeste également par sa volonté de nouer un partenariat avec l’Intersyndicale pour améliorer les conditions de travail des agents des collectivités territoriales. Cette démarche vise à renforcer l’efficacité des services publics et à garantir la qualité des prestations offertes aux citoyens.

En outre, le gouvernement affirme son engagement en faveur de la décentralisation et de la construction de collectivités territoriales viables et porteuses de développement. Cette vision ambitieuse reflète la volonté de promouvoir une gouvernance locale dynamique et inclusive.

Enfin, la disponibilité du Premier ministre Ousmane Sonko à rencontrer l’Intersyndicale dans les meilleurs délais, sur la base des propositions formulées par le groupe de travail, illustre l’importance accordée à ce dossier au plus haut niveau de l’État.

Dans un contexte marqué par des tensions sociales, l’engagement du gouvernement à trouver des solutions durables et concertées constitue un pas significatif vers la résolution de la crise dans les collectivités territoriales. La voie du dialogue et de la collaboration semble ainsi ouvrir des perspectives encourageantes pour l’avenir de ces institutions essentielles à la vie démocratique et au développement local.

Nouveau gouvernement sénégalais : Vers une relance du secteur de la pêche et du tourisme à Mbour

Avec l’arrivée du nouveau président, Bassirou Diomaye Faye, et de son Premier Ministre, Ousmane Sonko, de nouveaux espoirs émergent pour les acteurs du secteur de la pêche et du tourisme à Mbour. Ces deux piliers économiques, autrefois florissants, sont aujourd’hui confrontés à des défis majeurs.

Gaoussou Guèye, président de l’Association pour la promotion et la responsabilisation des acteurs de la pêche maritime au Sénégal (Aprapam), constate une crise multidimensionnelle dans le secteur de la pêche. Cette crise touche aussi bien les aspects sociaux qu’économiques et de gestion des ressources.

Pour M. Guèye, la solution ne réside pas seulement dans la nomination d’un ministre compétent, mais surtout dans la mise en place d’une équipe intègre et capable de mettre en œuvre des politiques efficaces. Il met également en garde contre des initiatives comme le développement de l’aquaculture basée sur des industries utilisant la farine de poisson, qui pourrait compromettre l’accès des populations locales à cette ressource essentielle.

Il plaide pour une souveraineté alimentaire réelle qui prend en compte les besoins en poissons des communautés locales et critique les usines de farine de poisson, soulignant leur impact sur la durabilité des ressources halieutiques du pays.

M. Guèye pointe du doigt plusieurs menaces, notamment les sociétés mixtes qui constituent un handicap majeur et les accords de pêche, comme celui avec l’Union Européenne, qui prend fin en novembre 2024. Il appelle à plus de transparence dans les négociations de ces accords.

Du côté du tourisme, les acteurs sont également prêts à contribuer à la renaissance du secteur. Ils attendent avec impatience la feuille de route des nouvelles autorités pour agir efficacement. Boly Guèye, président de la Chaîne de Valeur Tourisme, souhaite notamment l’élargissement de la zone d’aménagement touristique de Pointe Sarène et la requalification de la station de Saly.

Il appelle également l’État à faciliter l’accès aux crédits et à augmenter les subventions pour la promotion touristique. Boly Guèye déplore la fermeture de plusieurs structures touristiques et suggère que l’État intervienne pour reprendre ces établissements et créer des emplois.

La nouvelle administration a devant elle de nombreux défis à relever pour redynamiser les secteurs de la pêche et du tourisme à Mbour. Les acteurs locaux, bien que prêts à contribuer à cette relance, attendent des actions concrètes et une collaboration étroite avec les autorités pour garantir un développement durable et inclusif de ces secteurs clés de l’économie sénégalaise.

L’économiste Kako Nubukpo conseille le nouveau président sénégalais de se concentrer sur l’économie

Le nouveau président sénégalais, Bassirou Diomaye, et son gouvernement, qui ont pris leurs fonctions récemment, ont reçu des conseils précieux de la part de l’économiste togolais et commissaire à l’UEMOA, Kako Nubukpo. Selon lui, le président devrait prioritairement se concentrer sur la question économique pour répondre aux attentes de la jeunesse sénégalaise, qui constitue une part importante de son électorat.

Kako Nubukpo a souligné deux dimensions principales sur lesquelles le président devrait se concentrer. La première concerne la demande de souveraineté de la jeunesse, qui met en lumière la question de la souveraineté monétaire et économique. La deuxième dimension est le chômage massif des jeunes au Sénégal. Il est crucial de trouver des solutions pour offrir des opportunités d’emploi à cette jeunesse diplômée.

Pour aborder ces défis, l’économiste a proposé plusieurs pistes de solutions. Il suggère d’élargir l’espace fiscal pour augmenter les marges de manœuvre budgétaires et élargir l’espace monétaire. Il critique également la politique monétaire actuelle de la zone franc, qui se concentre principalement sur la lutte contre l’inflation, sans chercher activement à stimuler la création d’activités économiques.

Kako Nubukpo encourage le gouvernement du président Diomaye à adopter une approche centrée sur la création d’activités économiques pour répondre aux aspirations de prospérité de la jeunesse sénégalaise. Il insiste sur l’importance de mettre en place des politiques économiques qui favorisent la croissance et l’emploi, plutôt que de se limiter à la stabilité des prix.

Ces conseils de Kako Nubukpo mettent en évidence l’importance pour le nouveau gouvernement sénégalais de prendre des mesures audacieuses et ciblées en matière économique pour répondre aux attentes et aux besoins de la jeunesse du pays.

Le Khalife de Thiénaba Encourage le Nouveau Président du Sénégal à Réussir

Lors de la prière de l’Aïd El Fitr, le Khalife général de Thiénaba, Baye Serigne Assane Seck, a adressé des paroles d’encouragement et de soutien au nouveau président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Il a souligné l’importance de la paix et de la prospérité pour le Sénégal, et a exprimé sa confiance envers le nouveau chef de l’État.

Le Khalife a déclaré que les chefs religieux n’ont aucune animosité envers le président Faye, mais prient plutôt pour son succès à la tête du pays. Il a souligné leur engagement à soutenir le président et l’a encouragé à surpasser son prédécesseur en accomplissant davantage pour le bien-être de la nation.

De manière spécifique, le Khalife a invité le président Faye à rendre visite aux khalifes généraux du pays, un geste de courtoisie et de respect envers les leaders religieux. De plus, il a exhorté le gouvernement à éviter la vengeance et à se concentrer sur le travail au service de l’intérêt national, plutôt que d’adopter une approche de « la loi du talion » ou de représailles.

Ces paroles du Khalife de Thiénaba mettent en avant l’importance de la collaboration entre le gouvernement et les chefs religieux, ainsi que l’accent mis sur la paix, la tolérance et le progrès pour le Sénégal. Elles soulignent également l’engagement des autorités religieuses à soutenir les dirigeants du pays dans la poursuite du bien-être et du développement de la nation.

Nouveau gouvernement : Le Président Bassirou Diomaye Faye tient son premier conseil des ministres ce mardi

Après l’annonce officielle de la composition de son premier gouvernement, le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, s’apprête à présider son premier conseil des ministres ce mardi 9 avril 2024. Cette réunion marque le début effectif des activités de ce nouveau gouvernement, dirigé par le Premier ministre, Ousmane Sonko.

La liste des membres de ce gouvernement a été dévoilée vendredi 5 avril 2024, comprenant 25 ministres et 5 secrétaires d’État. Cette équipe ministérielle, soigneusement sélectionnée, représente une diversité de compétences et d’expertises, avec pour objectif principal de répondre aux défis et aux attentes du peuple sénégalais.

Le premier conseil des ministres revêt une importance particulière, car il offre l’occasion aux membres du gouvernement de se familiariser avec leurs responsabilités et de discuter des priorités nationales. C’est également un moment crucial pour définir les orientations stratégiques et les politiques à mettre en œuvre pour répondre aux besoins du pays.

Dans un contexte marqué par des enjeux socio-économiques et politiques majeurs, ce nouveau gouvernement est appelé à faire preuve de détermination, d’efficacité et de transparence dans la gestion des affaires publiques. Les attentes sont grandes, et la population attend des actions concrètes pour améliorer sa qualité de vie et promouvoir le développement durable.

Le président Bassirou Diomaye Faye et son équipe ministérielle sont désormais prêts à relever les défis qui les attendent. Leur engagement à servir l’intérêt général et à œuvrer pour le bien-être de tous les citoyens du Sénégal sera mis à l’épreuve dès ce premier conseil des ministres, qui marque le début d’une nouvelle ère pour le pays.

Touba : Un nouveau drame endeuille la ville sainte

Une nouvelle tragédie a frappé la ville de Touba ce dimanche, ajoutant à la sombre série d’incidents récents qui ont secoué la communauté. Cette fois, c’est une altercation entre deux apprentis-plâtriers qui a viré au drame, laissant un jeune homme mort.

Fallou Ndiaye, âgé de seulement 18 ans, a été poignardé mortellement lors d’une dispute avec son collègue au quartier Mbal. Le conflit entre les deux jeunes hommes aurait débuté après que Ndiaye ait accusé son collègue de lui avoir dérobé une somme modeste de 10 000 francs CFA sur leur lieu de travail.

Malgré l’intervention du patron pour apaiser la situation, la tension est restée vive entre les deux apprentis. À la fin de leur journée de travail, ils ont décidé de régler leurs différends avant la rupture du jeûne. Cependant, la confrontation s’est rapidement envenimée, dégénérant en un affrontement physique.

Dans le feu de la dispute, Ndiaye a été mortellement poignardé à la poitrine par son collègue. Après cet acte irréparable, le meurtrier a pris la fuite, laissant derrière lui un jeune homme sans vie.

La découverte du corps de Ndiaye sur la voie publique a alerté les autorités locales, qui ont rapidement lancé une enquête pour retrouver le meurtrier présumé. Pendant ce temps, le corps sans vie de Ndiaye a été transporté à la morgue de l’hôpital Matlaboul Fawzainy.

Ce nouveau drame vient s’ajouter à une série d’incidents violents récents à Touba, suscitant l’inquiétude et l’émoi au sein de la communauté. Les autorités locales, ainsi que les forces de l’ordre, sont mobilisées pour mettre fin à cette spirale de violence et assurer la sécurité des habitants de la ville sainte.

Le SYNATRACS interpelle le nouveau ministre sur les difficultés du secteur des infrastructures et des transports terrestres et aériens

Le Syndicat national des travailleurs de l’aviation civile du Sénégal (SYNATRACS) adresse ses préoccupations au nouveau ministre des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens, Malick Ndiaye, concernant les conditions de travail difficiles rencontrées par les travailleurs de l’aéroport de Diass.

El Hadj Fall, président du SYNATRACS, pointe du doigt plusieurs problèmes au sein de LAS (LIMA-AIBD-SUMMA), le gestionnaire de l’aéroport de Diass. Il évoque notamment des conditions de travail inadéquates, des formations insuffisantes et des promotions favorisant certains travailleurs au détriment d’autres, ce qui entrave le développement des activités du secteur.

Le syndicat revendique également l’effectivité des 5 % du capital de LAS accordés aux travailleurs depuis l’ouverture de l’aéroport de Diass, ainsi que le rappel des dividendes depuis 2018. Il demande en outre deux postes au Conseil d’administration de LAS et la signature d’un contrat similaire à celui de l’ASECNA pour les employés.

Le SYNATRACS invite le nouveau ministre à soutenir ces revendications et à éliminer le favoritisme observé. Il appelle également à faire de l’aéroport de Diass un véritable hub sous-régional, plutôt qu’un simple slogan, et demande que les chauffeurs de Cobus, chargés du déplacement des passagers vers les aéronefs, soient embauchés.

Cette interpellation du SYNATRACS met en lumière les défis auxquels est confronté le secteur des infrastructures et des transports terrestres et aériens au Sénégal, et souligne l’importance d’une action rapide et concertée pour y remédier.

Olivier Boucal : Nouveau Ministre de la Fonction Publique

Olivier Boucal, précédemment inspecteur du Trésor et responsable du parti Pastef à Goudomp, a récemment été nommé ministre de la Fonction publique et de la Réforme du Service public. Cette nomination survient après sa libération de prison en mars dernier, mettant fin à une détention de neuf mois.

La trajectoire d’Olivier Boucal est marquée par une série d’événements qui ont attiré l’attention publique. Son parcours, de l’inspection du Trésor à la tête du ministère de la Fonction publique, reflète une transition remarquable dans le paysage politique et administratif sénégalais.

Avant sa nomination, Boucal était connu pour son engagement au sein du parti Pastef à Goudomp, où il occupait des fonctions de responsabilité. Son implication politique et ses positions sur les questions socio-économiques ont suscité des débats et des controverses dans la sphère politique locale.

Sa libération de prison en mars dernier a été accueillie avec une attention particulière. Son retour sur la scène politique, cette fois-ci au sein du gouvernement, a été interprété comme un signe de changement et de réconciliation dans le pays.

En tant que nouveau ministre de la Fonction publique et de la Réforme du Service public, Boucal fait face à des défis importants. La gestion efficace de la fonction publique et la mise en œuvre de réformes significatives pourraient avoir un impact profond sur l’administration gouvernementale et sur la vie des citoyens sénégalais.

Sa nomination suscite également des questions sur les implications politiques et les dynamiques de pouvoir au sein du gouvernement. Le fait qu’un ancien membre de l’opposition occupe désormais un poste clé dans l’administration soulève des espoirs mais aussi des préoccupations quant à la stabilité politique et à la capacité du gouvernement à répondre aux attentes du public.

Dans les semaines à venir, l’attention sera certainement concentrée sur les actions et les initiatives de Boucal en tant que ministre de la Fonction publique. Son parcours inhabituel, marqué par des rebondissements et des controverses, continuera à susciter l’intérêt et à stimuler le débat dans les cercles politiques et au sein de la société sénégalaise.

Balla Moussa Fofana : Nouveau Ministre de l’Urbanisme, des Collectivités et de l’Aménagement des Territoires

Anciennement membre du cabinet de Ousmane Sonko au sein de Pastef, Balla Moussa Fofana accède à une nouvelle fonction gouvernementale en étant nommé ministre de l’Urbanisme, des Collectivités et de l’Aménagement des Territoires. Cette nomination témoigne de sa montée en importance au sein de l’administration, ainsi que de la volonté du gouvernement de s’appuyer sur des compétences diversifiées pour répondre aux défis du développement urbain et territorial.

Balla Moussa Fofana apporte une expérience variée en tant que consultant en planification, gestion de projet et financement des entreprises. Son expertise dans ces domaines sera cruciale pour aborder les questions complexes liées à l’urbanisme et à l’aménagement du territoire, notamment en matière de développement durable, de gestion des ressources, et de promotion de la qualité de vie dans les zones urbaines et rurales.

En tant que ministre de l’Urbanisme, des Collectivités et de l’Aménagement des Territoires, Fofana sera chargé de formuler et de mettre en œuvre des politiques visant à promouvoir un développement équilibré et harmonieux des villes et des régions du pays. Il devra également travailler en étroite collaboration avec les autorités locales et les acteurs de la société civile pour garantir une participation inclusive dans le processus de planification urbaine et territoriale.

Sa nomination intervient à un moment crucial où les défis liés à l’urbanisation rapide et à la pression démographique nécessitent une attention particulière. En mettant en avant des professionnels qualifiés et engagés comme Balla Moussa Fofana, le gouvernement montre sa détermination à relever ces défis de manière efficace et responsable.

En fin de compte, la nomination de Balla Moussa Fofana à la tête du ministère de l’Urbanisme, des Collectivités et de l’Aménagement des Territoires reflète l’engagement du gouvernement envers une gouvernance dynamique et axée sur les compétences, visant à créer des environnements urbains et ruraux durables et inclusifs pour tous les citoyens.

Réaction d’Aminata Touré à l’Annonce du Nouveau Gouvernement

Après l’annonce du nouveau gouvernement composé de 25 ministres et 5 secrétaires d’État, Aminata Touré, ancienne Première ministre et figure politique de premier plan, a réagi sur son compte X.

Dans son message, Aminata Touré a choisi une approche positive et constructive en félicitant chaleureusement tous les membres du nouveau gouvernement. Elle a exprimé ses vœux sincères pour leur réussite dans leur noble mission au service du peuple sénégalais.

Cette réaction témoigne de la maturité politique d’Aminata Touré, qui, malgré son absence de la liste gouvernementale, choisit de mettre en avant l’intérêt supérieur du pays et d’apporter son soutien à l’équipe nouvellement formée. Sa déclaration reflète également son engagement envers les principes de démocratie et de respect des institutions, ainsi que sa volonté de contribuer de manière constructive au débat politique national.

En reconnaissant le travail à venir du nouveau gouvernement et en lui souhaitant succès et assistance divine, Aminata Touré envoie un message de unité et de cohésion dans un contexte de transition politique. Sa réaction met en lumière l’importance de la collaboration et du soutien mutuel entre les acteurs politiques pour faire avancer les intérêts du peuple sénégalais.

Il reste à voir quelle sera la contribution future d’Aminata Touré dans le paysage politique sénégalais, mais sa réaction initiale à l’annonce du nouveau gouvernement indique clairement sa volonté de rester engagée et de participer de manière constructive au processus démocratique du pays.

Serigne Guèye Diop : Nouveau Ministre de l’Industrie et du Commerce

Le Dr Serigne Guèye Diop, maire de Sandiara, fait son entrée dans le premier gouvernement du Premier ministre Ousmane Sonko en tant que ministre de l’Industrie et du Commerce. Cette nomination souligne la reconnaissance de son expérience et de son engagement dans le domaine de l’industrie et du commerce.

Anciennement ministre-conseiller de l’Industrie et de l’Agriculture sous la présidence de Macky Sall, Serigne Guèye Diop apporte une expertise précieuse à son nouveau rôle ministériel. Son expérience passée lui confère une connaissance approfondie des enjeux économiques et commerciaux du pays, ainsi qu’une compréhension des défis auxquels sont confrontés les acteurs industriels et commerciaux.

En tant que ministre de l’Industrie et du Commerce, Diop sera chargé de promouvoir la croissance du secteur industriel du pays, de soutenir les entreprises locales et d’encourager les investissements étrangers. Sa mission consistera également à développer des politiques commerciales efficaces pour renforcer la compétitivité des produits sénégalais sur les marchés nationaux et internationaux.

La nomination de Diop dans ce poste clé témoigne de la volonté du gouvernement de stimuler l’industrialisation du pays et de favoriser un environnement commercial dynamique et prospère. En collaborant avec les acteurs du secteur privé et en mettant en œuvre des politiques favorables aux entreprises, il contribuera à créer des emplois, à accroître les revenus et à stimuler le développement économique à travers le pays.

La nomination de Serigne Guèye Diop au ministère de l’Industrie et du Commerce représente un nouveau chapitre dans sa carrière politique et une opportunité de mettre en œuvre des politiques et des programmes qui auront un impact positif sur l’économie sénégalaise. Sa réussite dépendra de sa capacité à mobiliser les ressources, à promouvoir l’innovation et à créer un environnement favorable aux entreprises pour favoriser une croissance économique durable et inclusive.

Ahmed Khalifa Niasse prêt à Contribuer à la Lutte Contre la Corruption dans le Nouveau Gouvernement

Ahmed Khalifa Niasse, un vétéran de la lutte contre la corruption au Sénégal, a exprimé son désir d’apporter son expérience et son expertise au nouveau gouvernement dans sa lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite.

En 2009, Niasse avait préconisé la création d’un Front patriotique contre la corruption et l’enrichissement illicite (FPCCEI) pour faire face à la menace croissante de la corruption et du trafic de drogue à travers les frontières du pays. Cependant, son limogeage du cabinet du président Wade peu de temps après sa déclaration avait mis en veilleuse ce projet prometteur.

Maintenant, Niasse envisage de réactiver la Fondation nationale contre la corruption, qu’il avait créée en avril 2009 et qu’il avait l’intention de subventionner à hauteur d’un milliard de francs CFA. Cette fondation serait un outil essentiel dans la lutte contre la corruption, en fournissant des ressources et un soutien pour des initiatives anti-corruption à travers le pays.

Avec son expérience et son engagement dans la lutte contre la corruption, Niasse est prêt à offrir son soutien au nouveau président Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Sa participation pourrait être cruciale dans les efforts du gouvernement pour promouvoir la transparence, la responsabilité et l’intégrité dans la gouvernance publique.

La volonté de Niasse de contribuer à la lutte contre la corruption souligne l’importance accordée à cette question par la société sénégalaise dans son ensemble. En travaillant main dans la main avec le gouvernement, il est possible de renforcer les mécanismes de lutte contre la corruption et de promouvoir une culture de redevabilité et de respect de la loi à tous les niveaux de la société.

En fin de compte, la collaboration entre le gouvernement et des figures de la société civile comme Ahmed Khalifa Niasse est essentielle pour faire avancer la lutte contre la corruption et promouvoir un développement durable et équitable pour tous les citoyens du Sénégal.

Passation de Service Imminente : Premiers Pas Vers l’Action dans le Nouveau Gouvernement

Un mode « fast track » semble être en vue dans ce premier gouvernement sous la direction du Premier ministre Ousmane Sonko. Après avoir révélé la composition de son gouvernement, Sonko a souligné que le président Bassirou Diomaye Faye a expressément demandé que les ministres entament leur travail le plus rapidement possible.

« Le président de la République a donné instruction à l’Inspection générale d’État afin que d’ici lundi, toutes les passations de service puissent être faites pour que le travail puisse commencer », a déclaré Ousmane Sonko.

Cette annonce souligne l’engagement du nouveau gouvernement à passer rapidement à l’action pour répondre aux défis auxquels le pays est confronté. En donnant des instructions pour que les passations de service soient achevées d’ici lundi, le président Faye envoie un signal fort sur sa détermination à mettre en œuvre son programme politique sans délai.

Concernant le Premier ministre lui-même, Sonko a annoncé qu’il procédera à sa passation de service avec son prédécesseur Sidiki Kaba dès lundi. Cette transition rapide témoigne de la volonté de Sonko de prendre les rênes du gouvernement sans perdre de temps et de commencer à mettre en œuvre sa vision pour le pays.

Cette démarche rapide souligne également la nécessité pressante d’adresser les priorités nationales, qu’il s’agisse de questions économiques, sociales, ou de sécurité. Alors que le nouveau gouvernement s’apprête à entrer en fonction, les attentes sont grandes quant à sa capacité à relever ces défis avec efficacité et détermination.

En fin de compte, la passation de service imminente marque le début d’une nouvelle ère dans la gouvernance du pays, avec un engagement clair envers l’action rapide et la responsabilité envers le peuple sénégalais.

Thierno Bocoum salue l’annulation des décrets de Macky Sall par le nouveau président sénégalais

Thierno Bocoum, leader du parti AGIR au Sénégal, a exprimé son soutien à la décision prise par le nouveau président, Bassirou Diomaye Faye, d’annuler les décrets signés par son prédécesseur, Macky Sall, juste avant son départ. Ces décrets, qui comprenaient des nominations à la Cour Suprême, ont été rapidement abrogés après l’entrée en fonction de Diomaye Faye.

Dans une déclaration publiée sur sa page Facebook, Thierno Bocoum a qualifié cette décision d’encourageante et de témoignage d’un engagement en faveur de la transparence et de la responsabilité dans le processus décisionnel du gouvernement. Cette action est perçue comme un signal fort de l’engagement du nouveau président à restaurer la confiance des citoyens dans les institutions démocratiques du pays.

En saluant l’annulation des décrets de Macky Sall, Thierno Bocoum a également appelé à l’abrogation de la loi d’amnistie, une législation controversée adoptée par le gouvernement précédent. Cette loi, critiquée par l’opposition et la société civile, est perçue comme une tentative de protéger les membres du gouvernement sortant de toute poursuite judiciaire pour des actes commis pendant leur mandat.

La position de Thierno Bocoum met en lumière l’importance de promouvoir la justice, la transparence et la responsabilité dans la gouvernance démocratique du Sénégal. Il appelle à une approche équitable et impartiale dans le traitement des affaires politiques et juridiques, soulignant la nécessité de renforcer les institutions démocratiques pour garantir l’intégrité et la légitimité du processus démocratique.

Formation du nouveau gouvernement au Sénégal : Ayib Daffé clarifie la situation

Depuis la nomination du Premier ministre Ousmane Sonko, les Sénégalais sont dans l’attente de la formation du nouveau gouvernement. Alors que les jours passent sans annonce officielle, des interrogations émergent quant aux éventuels retards dans ce processus. Pour apporter des éclaircissements sur cette situation, Ayib Daffé, député et secrétaire général par intérim du Pastef, est intervenu sur les ondes de Rfm.

Selon Ayib Daffé, il n’y a pas de retard ni de lenteurs dans la formation du gouvernement. Il a souligné que la présidence est dans les délais prévus, malgré l’impatience ressentie par la population. Rappelant les propos du Premier ministre Ousmane Sonko qui évoquait une formation du gouvernement dans les heures suivant sa nomination, Ayib Daffé estime que le processus est toujours dans les temps et qu’il n’y a pas lieu de s’inquiéter.

Interrogé sur d’éventuelles divergences concernant le choix des membres du gouvernement, Ayib Daffé a préféré ne pas commenter. Cependant, il a assuré que la liste des membres du gouvernement sera dévoilée prochainement.

Dans un souci de transparence et de cohésion, Ayib Daffé a affirmé que la formation du gouvernement se fera au moment approprié. Il a même laissé entendre que cela pourrait se produire dès aujourd’hui, sans fournir de détails supplémentaires sur le calendrier exact de cette annonce imminente.

Ainsi, alors que l’attente se prolonge et que l’impatience monte chez les Sénégalais, les propos rassurants d’Ayib Daffé viennent éclairer la situation et apaiser les craintes quant à d’éventuels retards dans la formation du nouveau gouvernement.

Nomination de Mary Teuw Niane : Première réaction du nouveau Ministre, Directeur de Cabinet

Le Professeur Mary Teuw Niane a réagi à sa récente nomination en tant que Ministre, Directeur de Cabinet par le Président Bassirou Diomaye Faye. Dans une déclaration sur sa page officielle, il a exprimé sa gratitude envers Son Excellence le Président de la République pour l’honneur qui lui est fait.

« Je remercie Son Excellence le Président de la République Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar Faye pour l’honneur qu’il fait à ma modeste personne, en me nommant Ministre, Directeur de Cabinet, de me compter parmi ses plus proches collaborateurs dans son grand dessein pour le Sénégal », a déclaré le Professeur Niane.

Il a également exprimé sa détermination à remplir sa mission avec succès, priant pour la réussite de cette noble tâche qui lui a été confiée par le Président de la République.

La nomination du Professeur Mary Teuw Niane témoigne de la confiance du Président Faye en ses compétences et en sa capacité à contribuer de manière significative à la réalisation des objectifs nationaux.

Des attentes des agents des collectivités territoriales vis-à-vis du nouveau gouvernement

Ce mercredi 03 avril 2024, à la Direction des Services techniques communaux de Fass, l’intersyndicale des travailleurs des collectivités territoriales du Sénégal a tenu une assemblée générale pour exprimer ses attentes à l’égard du nouveau gouvernement. Principalement axées sur la revalorisation des salaires, ces attentes reflètent les préoccupations essentielles des agents qui jouent un rôle crucial dans la gestion quotidienne des affaires publiques au niveau local.

Moussa Cissokho, chargé de la communication de l’intersyndicale, a souligné l’importance de voir les nouvelles autorités gouvernementales répondre de manière diligente aux revendications des travailleurs des collectivités territoriales. La revalorisation des salaires est au cœur de leurs préoccupations, une demande qui revient régulièrement sur la table des négociations dans le secteur public sénégalais.

Cette assemblée générale témoigne de l’engagement des agents des collectivités territoriales à défendre leurs droits et à faire valoir leurs intérêts dans un contexte où leur rôle dans le développement local est essentiel. Les services locaux jouent en effet un rôle crucial dans la vie quotidienne des citoyens, et il est primordial d’assurer des conditions de travail justes et équitables pour ces agents.

L’intersyndicale cherche également à établir un dialogue constructif avec les autorités gouvernementales afin de trouver des solutions concertées aux défis auxquels sont confrontés les travailleurs des collectivités territoriales. La reconnaissance de leur contribution à la vie publique et au bien-être des citoyens est essentielle pour maintenir leur motivation et leur engagement.

En résumé, cette assemblée générale met en lumière les attentes légitimes des travailleurs des collectivités territoriales et souligne la nécessité pour le nouveau gouvernement de prendre des mesures concrètes pour répondre à ces préoccupations et assurer un environnement de travail favorable à la réalisation des missions locales.

Un nouveau tandem politique émerge au Sénégal : Diomaye et Sonko à la tête de l’État

Dans un contexte politique marqué par des changements significatifs, le Sénégal voit émerger un nouveau tandem à la tête de l’État : le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko. Cette association entre les deux dirigeants est perçue comme une véritable convergence de légitimités politique et électorale, selon les dires d’Alioune Tine, fondateur d’Afrika Jom Center.

Alioune Tine souligne que cette nouvelle dynamique politique offre les prémices d’un leadership différent, rompant avec un présidentialisme excessif qui pourrait menacer les institutions démocratiques. Il appelle ainsi à l’avènement d’une ère politique nouvelle, caractérisée par des alternatives réelles aux alternances politiques traditionnelles et des coalitions gouvernementales axées sur le bien-être de la majorité de la population.

Le fondateur d’Afrika Jom Center met en avant la nécessité d’un système politique innovant qui transcende les schémas du passé, permettant ainsi de consolider les institutions démocratiques et de promouvoir le développement économique et social du pays. Il salue également les premières déclarations du Premier ministre Sonko, qui met l’accent sur l’importance du travail et de l’engagement politique en faveur du progrès et de la prospérité pour tous.

Alioune Tine encourage le nouveau gouvernement sénégalais à saisir cette opportunité pour initier des réformes politiques audacieuses et des politiques sociales inclusives, visant à répondre aux besoins et aux aspirations de tous les citoyens du pays.

Tension entre la FECAFOOT et les autorités camerounaises : Réaction surprise à la nomination du nouveau sélectionneur des Lions Indomptables

La récente annonce de la nomination de Marc Brys au poste de sélectionneur-Manager de l’équipe nationale de football du Cameroun a suscité une réaction inattendue de la part de la Fédération Camerounaise de Football (FECAFOOT). Cette dernière a exprimé son étonnement quant à cette décision, soulignant qu’elle n’avait pas été consultée au préalable, comme le stipule pourtant le Décret N°2014/384 régissant l’organisation des sélections nationales de football.

Dans un communiqué diffusé peu après l’annonce officielle du ministère des Sports et de l’Éducation physique, la FECAFOOT a manifesté son étonnement face à cette décision prise de manière unilatérale. Dirigée par Samuel Eto’o, elle a regretté que cette annonce intervienne alors même qu’elle collabore étroitement avec les autorités pour assurer l’avenir des Lions Indomptables.

La réaction de la FECAFOOT souligne un malaise latent entre la fédération et les autorités gouvernementales, et met en lumière les tensions qui persistent dans la gestion du football camerounais. Alors que la collaboration entre les deux entités semblait s’améliorer, cette décision unilatérale a ravivé les frustrations et les désaccords.

La fédération a annoncé son intention de donner son point de vue sur cette situation dans les prochains jours, laissant planer le doute sur la nature de sa réaction et sur les éventuelles conséquences pour la nomination de Marc Brys et son équipe technique.

Cette réaction surprise de la FECAFOOT soulève des interrogations quant à la cohésion et à la collaboration au sein du football camerounais, et met en lumière les défis persistants auxquels est confrontée l’organisation sportive dans le pays.

Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko en consultations pour former un nouveau gouvernement au Sénégal

Introduction : La formation du nouveau gouvernement au Sénégal est en cours après la passation de service qui a eu lieu ce mardi 2 avril. Les regards sont tournés vers le président nouvellement élu, Bassirou Diomaye Faye, ainsi que vers le leader de l’opposition, Ousmane Sonko, qui mènent des consultations pour déterminer la composition de ce nouveau gouvernement.

Un processus consultatif : Selon des sources rapportées par Les Echos, les consultations sont menées de manière approfondie et inclusive. Un noyau dur, principalement composé de membres du parti de Sonko, Pastef, est activement engagé dans le processus. Cependant, d’autres leaders alliés sont également impliqués, ce qui reflète une volonté de prendre en compte les différentes perspectives politiques du pays.

Inclusivité et diversité des opinions : Les consultations ne se limitent pas à un petit groupe restreint. Les différents leaders et parties prenantes sont associés à travers des documents et des projets pour exprimer leurs points de vue sur les questions majeures. Cette approche inclusive vise à garantir une représentation équitable des diverses opinions et à assurer une gouvernance démocratique et participative.

Un processus transparent : Il est à noter que ces consultations se déroulent dans un cadre transparent. Les médias sont informés des développements et des progrès réalisés dans la formation du gouvernement, ce qui renforce la confiance du public dans le processus démocratique en cours.

La formation du nouveau gouvernement au Sénégal est un processus crucial qui nécessite une approche consultative et inclusive. Sous la direction du président Bassirou Diomaye Faye et avec la participation active d’Ousmane Sonko et d’autres leaders politiques, ces consultations visent à créer un gouvernement représentatif capable de répondre aux besoins et aux aspirations du peuple sénégalais.

Mikayil Ngor Faye brille à nouveau avec le Barça B

Malgré son absence dans l’équipe première du FC Barcelone lors de la dernière journée, Mikayil Ngor Faye, le jeune défenseur international sénégalais, continue de faire sensation au sein de l’équipe réserve catalane.

Formé à l’académie de Diambars, Ngor Faye a récemment inscrit le but de la victoire pour le Barça Atlétic contre Osasuna Promesas (3-2). Dans un match où son équipe était menée 2-0 après seulement 20 minutes de jeu, le jeune défenseur a su redonner espoir en marquant un superbe coup franc dans les dernières minutes, offrant ainsi la victoire à son équipe.

Cette performance remarquable a permis au Barça B de consolider sa position à la 2e place du classement de la 3e division espagnole. Avec des performances régulières de ce calibre, Ngor Faye attire l’attention et renforce ses chances d’intégrer définitivement l’équipe première du Barça.

Bien qu’il n’ait pas encore eu l’occasion de disputer des minutes en Liga, le défenseur gaucher a déjà marqué les esprits lors de sa première sélection avec l’équipe nationale du Sénégal. Cette nouvelle réalisation avec le Barça B ne fera qu’accroître les attentes quant à son avenir prometteur dans le monde du football professionnel.

Bassirou Diomaye Faye, nouveau Président du Sénégal : Une gouvernance inclusive en perspective

Le Sénégal entre dans une nouvelle ère avec l’élection du président Bassirou Diomaye Faye, un leader porteur d’un projet ambitieux pour le pays. Toutefois, contrairement à une gouvernance solitaire, le nouveau chef de l’État entend rassembler les compétences de toutes les sensibilités politiques pour répondre aux défis nationaux.

Dans une déclaration récente à l’émission Point de vue sur la RTS, Birame Souleymane Diop, membre du directoire de campagne du président Faye, a souligné l’importance de cette approche inclusive. Il a affirmé que le gouvernement du président Faye cherchera à répondre aux attentes légitimes de tous les segments de la société sénégalaise, en mettant l’accent sur la restauration de la souveraineté nationale et la prospérité pour tous.

« Nous ne sommes pas venus pour construire à partir du néant. Nous sommes venus avec un programme que nous assumons et dans sa mise en œuvre, sûrement le président de la République aura l’occasion de le dire, il aura besoin de toutes les compétences de tous bords », a déclaré Birame Souleymane Diop.

Parmi les premières mesures annoncées par le président Faye dès son investiture, figurent la réduction du coût de la vie, la diminution du train de vie de l’État, ainsi que la lutte contre la corruption et les détournements de fonds. De plus, une attention particulière sera portée à la résolution urgente de la question du chômage des jeunes, un défi majeur pour le pays.

Cette approche inclusive reflète une vision de gouvernance collaborative, où les idées et les expertises de toutes les parties prenantes sont mobilisées pour relever les défis du pays. En rassemblant des compétences diverses, le président Faye espère favoriser le développement économique et social du Sénégal, tout en renforçant l’unité nationale et la démocratie.

Ainsi, avec une équipe gouvernementale représentant une diversité de perspectives et d’expertises, le président Bassirou Diomaye Faye envisage de mener le Sénégal vers un avenir prometteur, où chaque citoyen aura sa place et son rôle à jouer dans la construction d’une nation forte et prospère.

Présidentielle : L’équipe Municipale de Ndiaganiao Félicite le Nouveau Président

À Ndiaganiao, la population est empreinte de fierté suite à l’élection d’un de leurs concitoyens à la plus haute fonction de l’État. Dans un communiqué adressé à Seneweb, le maire, les conseillers municipaux ainsi que l’ensemble des habitants de la commune de Ndiaganiao expriment leur fierté de voir l’un des leurs accéder à la présidence de la République du Sénégal.

Le communiqué souligne que Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar Faye, élu président de la République du Sénégal le 24 mars 2024, est originaire du village de Ndiandiaye, situé dans la commune de Ndiaganiao. Cette élection est donc perçue comme un honneur pour toute la commune, qui se réjouit du parcours et de la réussite de l’un de ses fils.

Au nom de toute la communauté, le maire de Ndiaganiao adresse ses félicitations au nouveau président et lui souhaite plein succès dans sa nouvelle mission. Les habitants de la commune expriment leur volonté de soutenir Bassirou Diomaye Diakhar Faye dans ses nouvelles fonctions et l’assurent de leurs prières et de leur accompagnement tout au long de son mandat.

Cette déclaration témoigne de l’unité et de la solidarité au sein de la commune de Ndiaganiao, ainsi que de la reconnaissance de la communauté envers l’un de ses membres qui a atteint des sommets dans sa carrière politique. Alors que le nouveau président prend ses fonctions, il bénéficie du soutien et des encouragements de sa communauté d’origine, ce qui renforce le lien entre lui et les habitants de Ndiaganiao.

Sénégal : Les États-Unis Expriment Leur Volonté de Coopérer avec le Nouveau Gouvernement

Bassirou Diomaye Diakhar Faye est le nouveau président de la République du Sénégal, et depuis son élection le 24 mars dernier, les messages de félicitations affluent de partout. Parmi ceux-ci, les États-Unis se sont exprimés, affirmant leur volonté de travailler en collaboration avec le nouveau gouvernement sénégalais.

L’ambassade des États-Unis au Sénégal a félicité le président élu Faye pour sa victoire électorale et le peuple sénégalais pour sa participation à un processus électoral pacifique, transparent et inclusif. Dans un communiqué publié ce mercredi, l’ambassade a déclaré : « Nous sommes prêts à travailler avec le nouveau gouvernement du Sénégal sur nos priorités communes ».

De même, le bureau des Affaires africaines des États-Unis a exprimé ses félicitations au nouveau chef de l’État pour sa victoire électorale au Sénégal. Sur les réseaux sociaux, il a salué les millions de Sénégalais qui ont participé au processus électoral et a reconnu le rôle crucial de la commission électorale et du pouvoir judiciaire dans la préservation de la Constitution sénégalaise.

Ces messages de félicitations et d’engagement à coopérer soulignent l’importance des relations entre les États-Unis et le Sénégal, ainsi que leur désir commun de travailler ensemble sur des questions d’intérêt mutuel. Alors que Bassirou Diomaye Diakhar Faye entame son mandat présidentiel, ces déclarations témoignent de l’ouverture à la collaboration et au partenariat entre les deux pays.

Relance des Bateaux-Taxis au Sénégal : Un Défi Colossal pour le Nouveau Président

Le nouveau président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, a récemment annoncé son intention de relancer un projet de transport maritime qui avait été abandonné par son prédécesseur, Me Abdoulaye Wade. Ce projet, connu sous le nom de bateaux-taxis, visait à offrir une alternative aux embouteillages chroniques de Dakar en utilisant la mer comme voie de transport. Cependant, cette initiative avait précédemment échoué, engloutissant des fonds considérables sans produire de résultats tangibles.

Initialement lancé sous le mandat de Me Abdoulaye Wade, le projet des bateaux-taxis avait rencontré des obstacles majeurs dès le début. Malgré l’achat de plusieurs bateaux, ceux-ci n’avaient jamais été mis en service, laissant planer des doutes quant à la gestion des fonds publics et à la viabilité du projet.

Maintenant, avec Bassirou Diomaye Faye à la tête du pays, l’initiative de relancer les bateaux-taxis est à nouveau sur la table. Cependant, les défis auxquels est confronté ce projet semblent considérables. Non seulement il y a des questions financières, étant donné que des milliards de francs ont déjà été dépensés sans résultat, mais il y a aussi des préoccupations logistiques importantes.

Le projet de relance des bateaux-taxis s’avère être un défi de taille, surtout si l’on considère les ressources nécessaires pour sa mise en œuvre. À titre de comparaison, le TER reliant Dakar à Diamniadio a nécessité cinq ans de travaux et a coûté 1,2 milliard d’euros, soit environ 787 milliards de francs CFA. Ces chiffres soulignent l’ampleur des investissements nécessaires pour un projet d’infrastructure de transport d’une telle envergure.

Dans ses prochaines interactions avec la presse et le public, Bassirou Diomaye Faye devra fournir des détails concrets sur la manière dont il compte surmonter les défis qui se posent. Des explications sur la planification, le financement et la gestion du projet seront essentielles pour restaurer la confiance du peuple sénégalais dans cette initiative et pour garantir son succès potentiel.

Alors que Bassirou Diomaye Faye s’engage à relever ce défi, il est clair que la relance des bateaux-taxis au Sénégal représente un enjeu crucial pour l’avenir du transport dans la région de Dakar, où les embouteillages et le surpeuplement sont des problèmes persistants. Seul l’avenir dira si cette initiative pourra finalement prendre son envol ou si elle restera une idée ambitieuse mais irréalisée.

Une Élection Historique : Bassirou Diomaye Faye, Nouveau Président du Sénégal

Dans une atmosphère chargée d’émotions et d’anticipation, le peuple sénégalais a accompli un acte historique le dimanche 24 mars 2024 en élisant Bassirou Diomaye Faye comme nouveau Président de la République. Cette élection marque un tournant significatif dans l’histoire politique du Sénégal à plusieurs égards.

Une Victoire à Plusieurs Niveaux

Bassirou Diomaye Faye, âgé de seulement 43 ans, devient ainsi le plus jeune président de la République depuis Abdou Diouf en 1981. Sa victoire écrasante, avec plus de 56% des suffrages, le propulse au sommet de la nation dès le premier tour, une première dans l’histoire du pays. Cette alternance dès le premier tour témoigne de la volonté du peuple sénégalais de faire entendre sa voix de manière claire et décisive.

Un Anniversaire Politique

La consécration de Bassirou Diomaye Faye intervient de manière symbolique à la veille de son anniversaire. Le nouveau Président, qui célèbre ses 44 ans le lendemain de son élection, commence ainsi un nouveau chapitre de sa vie en assumant la plus haute fonction de l’État.

Un Message d’Espoir

Cette élection marque également un message d’espoir pour l’avenir du Sénégal. En offrant une alternative politique dès le premier tour, les électeurs ont exprimé leur désir de changement et leur confiance en Bassirou Diomaye Faye pour conduire le pays vers de nouveaux horizons.

Un Engagement à Servir le Peuple

Dans un contexte marqué par des défis socio-économiques et politiques, Bassirou Diomaye Faye s’engage à œuvrer pour le bien-être et le progrès de tous les Sénégalais. Son accession à la présidence ouvre la voie à de nouvelles perspectives et à un renouveau politique dans le pays.

l’élection de Bassirou Diomaye Faye comme nouveau Président du Sénégal est un événement historique qui marque le début d’une nouvelle ère pour le pays. Avec son énergie, sa vision et son engagement envers le peuple, il est prêt à relever les défis et à conduire le Sénégal vers un avenir meilleur.

Mbao : Abdou Karim Sall inaugure le nouveau Centre d’état civil

Ce samedi 23 mars 2024 restera gravé dans les annales de Mbao, commune sénégalaise en plein essor. En effet, M. Abdou Karim Sall, le maire de la localité, a présidé l’inauguration tant attendue du tout nouveau bâtiment de l’état civil, situé au cœur même de la mairie.

La cérémonie, empreinte de solennité et de fierté, a rassemblé une foule impressionnante d’administrés mbaois ainsi qu’une pléthore d’élus municipaux, d’autorités locales et de représentants des forces de l’ordre. Parmi les invités de marque figuraient également les chefs de village, les figures religieuses et les délégués de quartiers, tous témoignant de leur soutien à cette étape cruciale pour le développement de Mbao.

Dans son discours inaugural, le Maire AKS, comme il est communément appelé, a exprimé sa gratitude envers Dieu avant de partager sa joie de voir ce projet longtemps attendu devenir une réalité tangible. « Ce nouveau bâtiment offrira aux agents municipaux de l’état civil des conditions de travail optimales », a souligné l’édile de la commune, salué par une foule acquise à sa vision pour Mbao.

Un sentiment partagé par Mme Pouye, la cheffe du service de l’état civil de la mairie, qui a exprimé sa satisfaction quant à l’impact positif que cette nouvelle infrastructure aura sur leur travail quotidien.

Avant la cérémonie officielle de coupure du ruban symbolique et du dévoilement de la plaque d’inauguration, M. Abdou Karim Sall a réaffirmé son engagement envers le développement de Mbao. « Nous avons les ressources humaines nécessaires et la volonté de réaliser nos projets », a-t-il déclaré, sous les applaudissements de l’assistance.

Le nouveau bâtiment de l’état civil, construit sur une superficie considérable, représente un investissement important pour la municipalité, s’élevant à près de 25 millions de francs CFA, sans compter les équipements bureautiques d’une valeur d’environ 10 millions. Cependant, ce n’est pas tout : le Maire de Mbao a également annoncé la livraison prochaine d’un autre bâtiment de deux étages, toujours dans l’enceinte de la mairie, dans le but d’améliorer les conditions de travail des agents municipaux et de faciliter l’accès aux services administratifs.

Pour financer ces ambitieux projets, AKS compte principalement sur le budget municipal, soulignant l’importance d’un taux de recouvrement élevé des taxes municipales. Et pour l’heure, les résultats sont encourageants. « Nous sommes déterminés à poursuivre nos efforts pour le bien-être de nos concitoyens », a-t-il conclu, clôturant ainsi une journée marquée par le progrès et l’espoir pour Mbao et ses habitants.

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