Rénovations à l’Assemblée nationale : Déclaration de politique générale du Premier ministre dans l’incertitude

L’Assemblée nationale s’engage dans des travaux de rénovation de sa salle des plénières, déclenchant des interrogations quant à l’impact sur la prochaine Déclaration de politique générale (DPG) du Premier ministre, Ousmane Sonko.

Les détails sur la nature et la durée des rénovations restent flous, mais avec la date butoir du 2 juillet prochain pour la présentation de sa feuille de route, Sonko pourrait être confronté à des défis logistiques. Les optimistes parient sur la possibilité que les travaux soient achevés à temps pour permettre à Sonko de s’exprimer devant les députés dans l’hémicycle.

Cependant, des voix plus prudentes suggèrent que la salle des plénières rénovée pourrait ne pas être disponible pour l’événement. Dans ce cas, Sonko devra trouver un autre lieu pour sa DPG, comme le souligne un parlementaire anonyme qui insiste sur la nécessité de trouver une alternative appropriée.

Malgré les incertitudes, Sonko reste confiant dans sa capacité à présenter sa feuille de route au peuple, quel que soit le lieu choisi. Cette situation soulève des questions sur l’importance des traditions parlementaires et sur la flexibilité nécessaire pour s’adapter aux contraintes logistiques.

Priorités gouvernementales : le Premier ministre décline le plan d’action

Lors du Conseil des ministres de ce jeudi, le Premier ministre Ousmane Sonko a présenté les grandes lignes du plan d’action gouvernemental, conformément aux orientations fixées par le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Ce plan vise à mobiliser l’action gouvernementale autour de priorités telles que la lutte contre la vie chère, la réforme fiscale, la promotion des PME/PMI, et bien d’autres encore.

Selon une note du Bureau d’information gouvernementale (Big), le Premier ministre a insisté sur l’urgence de mettre en place un plan opérationnel de lutte contre la vie chère. Ce plan, qui sera élaboré en collaboration avec les ministres du Commerce, de l’Industrie, des Finances et de l’Agriculture, devra proposer des mesures concrètes pour atténuer les prix des denrées de première nécessité et certains services essentiels. Il s’agit notamment de mieux cibler les subventions pour lutter efficacement contre la vie chère.

Les réformes fiscales occupent également une place centrale dans les priorités du gouvernement. Au-delà de l’équité et de la transparence, ces réformes visent à soutenir le développement économique et social du Sénégal.

Une autre mesure phare concerne la réforme du système de rémunération dans la fonction publique, afin de le rendre plus cohérent et équitable tout en garantissant sa soutenabilité budgétaire.

Par ailleurs, le gouvernement accorde une importance particulière à la campagne de production agricole de 2024, avec pour objectif de faire de l’agriculture un moteur de création d’emplois, de lutte contre l’émigration clandestine et de réduction de la pauvreté. Cette volonté s’inscrit dans la doctrine de la souveraineté alimentaire prônée par le président Faye.

Enfin, le gouvernement met l’accent sur des initiatives telles que le “Programme 100 000 logements” et la promotion du financement des PME/PMI, qui visent à répondre aux besoins urgents des citoyens sénégalais, notamment en matière de logement et de développement économique.

Ce plan d’action gouvernemental reflète la volonté des autorités de mettre en œuvre des mesures concrètes pour répondre aux défis socio-économiques du pays et améliorer le quotidien des Sénégalais.

Priorités Gouvernementales : Le Premier Ministre Fixe le Cap pour les Semaines à Venir

Lors d’une communication récente, le Premier Ministre a tracé les priorités autour desquelles l’action gouvernementale sera mobilisée dans les prochaines semaines. Selon des sources du journal Le Témoin, ces orientations sont cruciales pour répondre aux défis économiques et sociaux actuels du pays.

Au cœur des préoccupations gouvernementales se trouve la nécessité de proposer des mesures concrètes pour atténuer le coût de la vie. Cela inclut un meilleur ciblage des subventions sur les produits de première nécessité et les produits pétroliers, ainsi que la réduction du train de vie de l’État. Ces actions visent à soulager la pression économique sur les ménages et à garantir un accès plus équitable aux biens essentiels.

Le gouvernement envisage également des réformes fiscales visant à accroître l’équité et la transparence dans le système fiscal. De plus, une réforme du système de rémunération dans la fonction publique est prévue afin de le rendre plus cohérent, juste et équitable. Ces mesures visent à assurer la soutenabilité budgétaire tout en garantissant des conditions de travail justes pour les fonctionnaires.

Parmi les priorités de la feuille de route du gouvernement, une attention particulière sera accordée à la campagne de production agricole 2024, dans le but de renforcer la sécurité alimentaire et de stimuler le secteur agricole. Le programme ambitieux de construction de “100 000 logements” sera également une priorité, contribuant ainsi à résoudre la crise du logement dans le pays. Enfin, la promotion du financement des petites et moyennes entreprises (PME) et des petites et moyennes industries (PMI) sera un pilier essentiel pour stimuler l’entrepreneuriat et favoriser la croissance économique.

En somme, ces priorités gouvernementales reflètent l’engagement ferme du gouvernement à relever les défis économiques et sociaux du pays. En mettant l’accent sur l’atténuation de la vie chère, les réformes fiscales et de rémunération, ainsi que sur le développement agricole, le logement et les PMEPMI, le gouvernement cherche à créer un environnement propice à la prospérité et au bien-être de tous les citoyens.

Le Premier ministre britannique défend les expulsions vers le Rwanda malgré les critiques

Le Premier ministre britannique Rishi Sunak a défendu la loi visant à expulser des clandestins vers le Rwanda, affirmant qu’elle avait déjà un effet dissuasif sur les migrants. Cette déclaration intervient après que le gouvernement irlandais a signalé une augmentation des arrivées de migrants, attribuée à la politique migratoire britannique.

Malgré les critiques et les appels à renoncer à cette mesure, Rishi Sunak persiste à soutenir les expulsions vers le Rwanda, affirmant qu’il s’agit d’une tentative de sécuriser les frontières britanniques face à un “défi mondial”.

Le vice-Premier ministre irlandais a exprimé ses préoccupations quant aux effets de cette politique sur l’Irlande, affirmant que les migrants pourraient être incités à entrer en Irlande du Nord par crainte d’être expulsés vers le Rwanda.

Le gouvernement britannique a prévu de mettre en œuvre cette mesure controversée dans les 10 à 12 prochaines semaines, mais des appels se multiplient pour demander une réévaluation de cette politique. L’ONU et d’autres organisations, dont des Églises chrétiennes, ont exhorté le Royaume-Uni à renoncer à ces expulsions, soulignant l’importance du respect du droit international des droits de l’homme et de la coopération internationale dans la gestion des flux migratoires.

Alors que les critiques se font de plus en plus pressantes, le gouvernement britannique reste déterminé à mettre en œuvre cette mesure controversée, malgré les appels à reconsidérer sa position. La question de l’impact sur l’Irlande du Nord reste également une préoccupation majeure, alors que les gouvernements britannique et irlandais cherchent des solutions pour gérer cette situation complexe.

Premier déplacement international du président Bassirou Diomaye Faye

Le président Bassirou Diomaye Faye effectuera son premier déplacement à l’international ce jeudi 18 avril, marquant ainsi le début d’une série de rencontres diplomatiques cruciales pour le Sénégal. Son programme chargé comprendra des entretiens bilatéraux avec des dignitaires étrangers et des réunions élargies visant à renforcer les relations et la coopération entre les nations.

Tout d’abord, le président Bassirou Diomaye Faye rencontrera en tête-à-tête son homologue, le président Mohamed Ould Ghazouani. Cette rencontre sera suivie d’une réunion élargie impliquant les membres des deux délégations, où des discussions approfondies sur des sujets d’intérêt commun auront lieu.

La délégation sénégalaise accompagnant le chef de l’État comprendra une sélection de ministres, dans un souci de sobriété et d’efficacité. La ministre de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères, Mme Yassine Fall, le ministre des Infrastructures et des Transports Terrestres et Aériens, M. El Malick Ndiaye, ainsi que la ministre des Pêches et de l’Économie Maritime, Mme Fatou Diouf, auront l’honneur de représenter le Sénégal lors de ces échanges diplomatiques importants.

Il convient de souligner que le président Bassirou Diomaye Faye maintient sa ligne de conduite axée sur la sobriété et la modestie lors de ses déplacements officiels. Cette approche témoigne de son engagement envers une gestion responsable des ressources publiques et une représentation efficace des intérêts nationaux sur la scène internationale.

Cette première visite à l’étranger revêt une importance particulière pour le président Bassirou Diomaye Faye et marque le début d’une nouvelle ère de coopération et de partenariat entre le Sénégal et ses partenaires internationaux.

Pour toute information complémentaire sur le programme et les résultats de ce déplacement, veuillez contacter le bureau de communication de la présidence.

Le Premier ministre guinéen en visite à Dakar : une occasion de renforcer les liens bilatéraux

Le Premier ministre de la République de Guinée, Amadou Oury Bah, a effectué une visite privée à Dakar le samedi 13 avril 2024. Cette visite a été marquée par des moments de recueillement et des rencontres diplomatiques.

Accompagné d’une importante délégation et de son staff, M. Bah a d’abord tenu à exprimer ses condoléances à la famille et au peuple sénégalais suite au décès de l’ancien Premier ministre sénégalais, Mohammed Boun Abdallah Dionne. Les deux hommes, amis de longue date, avaient partagé les bancs du lycée Lamine Guèye de Dakar, témoignant ainsi d’une relation profonde et sincère.

Outre cette visite de courtoisie, le Premier ministre guinéen a également rencontré son homologue sénégalais, Ousmane Sonko. Cette rencontre a été l’occasion pour les deux dirigeants d’échanger sur les perspectives de renforcement des liens d’amitié et de coopération entre le Sénégal et la Guinée. Les discussions ont porté sur les orientations des présidents respectifs, le général de corps d’armée Mamady Doumbouya pour la Guinée et le président Bassirou Djomaye Faye pour le Sénégal.

Cette visite revêt donc une importance particulière dans le contexte actuel de la sous-région ouest-africaine, marqué par la volonté des pays de renforcer leur collaboration et leur solidarité pour faire face aux défis communs.

La visite du Premier ministre guinéen à Dakar témoigne de la profondeur des relations entre les deux pays et ouvre la voie à une coopération renforcée dans les domaines politique, économique et social. Elle illustre également l’importance du dialogue et de la diplomatie dans le maintien de la paix et de la stabilité régionales.

Crise politique au Mali : Le Premier ministre repousse le retour des civils au pouvoir

La situation politique au Mali demeure tendue et incertaine, suite au renversement du président civil Ibrahim Boubacar Keïta en 2020 par des militaires. Le Premier ministre malien, Choguel Kokalla Maïga, nommé par la junte militaire, a repoussé à une date indéterminée le retour des civils au pouvoir, conditionnant cette transition à une stabilisation définitive du pays.

Les militaires au pouvoir ont manqué à leurs engagements d’organiser des élections présidentielles en février et de céder la place aux civils avant le 26 mars, malgré les pressions exercées par la Communauté des États ouest-africains (CEDEAO). Ces manquements ont ravivé les tensions et suscité de vives protestations de la part de la société civile et des partis politiques.

Face à ces protestations, les autorités maliennes ont pris des mesures restrictives, suspendant les activités des partis politiques et interdisant aux médias de couvrir l’actualité politique. Ces décisions ont été largement critiquées, tant au niveau national qu’international, comme une violation des droits de l’homme et une entrave à la démocratie.

Le Premier ministre a justifié ces mesures en invoquant la nécessité de stabiliser le pays, notamment face aux défis posés par les groupes armés jihadistes et indépendantistes. Il a également souligné que le Mali avait rompu ses liens avec la France et ses partenaires européens en 2022 pour se tourner vers la Russie.

Choguel Kokalla Maïga a indiqué qu’un dialogue national, initié par la junte militaire, devait être mené pour parvenir à une stabilisation du pays. Ce dialogue, qui s’ouvrira au niveau local le samedi suivant et au niveau national à partir du 6 mai, est censé ouvrir la voie à des élections libres et transparentes.

La suspension des activités des partis politiques a été largement critiquée par les acteurs politiques nationaux et les organisations internationales de défense des droits de l’homme. Certains ont qualifié cette décision de violation des lois nationales et internationales et ont exprimé leurs inquiétudes quant à l’aggravation de la situation au Mali.

Le Premier ministre a rejeté les appels à des élections rapides, accusant ceux qui réclament cette transition démocratique de servir les intérêts des “ennemis du Mali”. Il a également fustigé un “angélisme démocratique” et mis en garde contre l’élection d’un “président faible” et influençable.

La situation politique au Mali demeure donc incertaine et volatile. Les défis posés par la crise sécuritaire et les tensions politiques persistent, et la mise en œuvre du dialogue national et le retour des civils au pouvoir restent des enjeux cruciaux pour la stabilité et la démocratie du pays.

Nouveau gouvernement : Le Président Bassirou Diomaye Faye tient son premier conseil des ministres ce mardi

Après l’annonce officielle de la composition de son premier gouvernement, le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, s’apprête à présider son premier conseil des ministres ce mardi 9 avril 2024. Cette réunion marque le début effectif des activités de ce nouveau gouvernement, dirigé par le Premier ministre, Ousmane Sonko.

La liste des membres de ce gouvernement a été dévoilée vendredi 5 avril 2024, comprenant 25 ministres et 5 secrétaires d’État. Cette équipe ministérielle, soigneusement sélectionnée, représente une diversité de compétences et d’expertises, avec pour objectif principal de répondre aux défis et aux attentes du peuple sénégalais.

Le premier conseil des ministres revêt une importance particulière, car il offre l’occasion aux membres du gouvernement de se familiariser avec leurs responsabilités et de discuter des priorités nationales. C’est également un moment crucial pour définir les orientations stratégiques et les politiques à mettre en œuvre pour répondre aux besoins du pays.

Dans un contexte marqué par des enjeux socio-économiques et politiques majeurs, ce nouveau gouvernement est appelé à faire preuve de détermination, d’efficacité et de transparence dans la gestion des affaires publiques. Les attentes sont grandes, et la population attend des actions concrètes pour améliorer sa qualité de vie et promouvoir le développement durable.

Le président Bassirou Diomaye Faye et son équipe ministérielle sont désormais prêts à relever les défis qui les attendent. Leur engagement à servir l’intérêt général et à œuvrer pour le bien-être de tous les citoyens du Sénégal sera mis à l’épreuve dès ce premier conseil des ministres, qui marque le début d’une nouvelle ère pour le pays.

FDS/Les Guelwaars Salue la Composition du Premier Gouvernement de Bassirou Diomaye Diakhar Faye

Le parti FDS/Les Guelwaars exprime sa satisfaction face à la composition du premier gouvernement sous la présidence de Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Pour les membres du parti, cette composition reflète la dynamique de changement et de rupture initiée par l’alternance du 24 mars 2024.

La réduction de la taille du gouvernement à 25 ministres, en vue de rationaliser les ressources et d’accroître l’efficacité dans la mise en œuvre des politiques publiques, est saluée comme une mesure conforme à l’engagement pris par le président lors de la campagne électorale. De même, le choix de personnalités apolitiques pour diriger des ministères stratégiques tels que l’Intérieur, la Justice et les Forces armées est considéré comme positif et en accord avec les promesses électorales.

FDS/Les Guelwaars souligne également la volonté de rupture et de gouvernance inclusive manifestée à travers la composition de l’équipe gouvernementale. Pour le parti, l’implication de toutes les compétences, au-delà des affiliations politiques, est indispensable pour réussir le processus de refondation politique et de redressement socio-économique du pays.

Le parti exprime son soutien et ses encouragements au président Bassirou Diomaye Diakhar Faye, au Premier ministre Ousmane Sonko et à tous les membres du gouvernement. Il les exhorte à travailler avec détermination pour répondre aux attentes populaires et maintenir l’espoir suscité par le verdict des urnes. Après les déceptions des alternances manquées de 2000 et 2012, FDS/Les Guelwaars considère que cette nouvelle opportunité doit être saisie pour construire un Sénégal souverain et prospère.

Réaction de la mère d’Ousmane Sonko suite à sa nomination en tant que Premier Ministre

La nomination d’Ousmane Sonko au poste de Premier Ministre du Sénégal a suscité des réactions diverses, y compris celle de sa propre mère, Khady Ngom. Dans une déclaration à l’Agence de presse sénégalaise, elle a exprimé à la fois sa fierté et ses préoccupations concernant cette nouvelle responsabilité qui incombe à son fils.

Tout d’abord, Khady Ngom a appelé son fils à rester toujours lucide et concentré sur ses responsabilités. « J’appelle mon fils à toujours avoir la tête sur les épaules », a-t-elle déclaré, soulignant ainsi l’importance pour Ousmane Sonko de garder les pieds sur terre malgré sa nouvelle fonction.

En tant que mère, elle a également formulé des prières pour le succès de son fils ainsi que celui du Président de la République, Bassirou Diomaye Faye. Cette volonté de voir son fils réussir dans ses nouvelles fonctions témoigne de son soutien indéfectible envers lui, tout en reconnaissant l’importance du partenariat entre le Premier Ministre et le Président pour le développement du pays.

Par ailleurs, Khady Ngom a adressé des conseils supplémentaires à son fils, notamment celui de ne pas décevoir les attentes des Sénégalais. « J’appelle Ousmane Sonko à ne pas faire perdre espoir aux Sénégalais », a-t-elle souligné, mettant ainsi en avant l’importance de l’intégrité et de la responsabilité dans l’exercice de ses fonctions.

Enfin, la mère d’Ousmane Sonko a plaidé pour l’unité et la collaboration entre son fils et le Président de la République, soulignant l’importance de travailler ensemble pour le bien-être du pays.

Cette réaction de la mère d’Ousmane Sonko reflète à la fois la fierté maternelle et les aspirations pour un avenir meilleur pour le Sénégal sous la direction de son fils et du Président.

Abdoulaye Ndiaye nommé Premier Président de la Cour suprême

Abdoulaye Ndiaye, précédemment président de la Chambre administrative de la Cour suprême, a été nommé par le Président Macky Sall en tant que nouveau Premier Président de la haute juridiction. Sa nomination intervient suite au départ à la retraite de Ciré Aly Ba, précédent titulaire de ce poste.

Abdoulaye Ndiaye apporte une expertise juridique et une expérience considérable à ce rôle éminent. Avant d’occuper cette fonction, il a occupé des postes clés au sein du système judiciaire, démontrant ainsi sa compétence et son dévouement au service de la justice au Sénégal.

En tant que Premier Président de la Cour suprême, Abdoulaye Ndiaye aura la lourde responsabilité de veiller à ce que la plus haute instance judiciaire du pays fonctionne efficacement et de manière impartiale. Son leadership guidera les décisions importantes et contribuera à renforcer la confiance du public dans le système judiciaire.

Sa nomination témoigne de la reconnaissance de ses pairs et de son mérite dans le domaine juridique. On peut s’attendre à ce qu’il apporte une vision éclairée et un engagement indéfectible à la poursuite de la justice et de l’équité pour tous les citoyens sénégalais.

Premier couac en L1 de l’OM de Gasset

Après trois succès en Ligue 1, Marseille a perdu à Rennes (2-0) sans même vraiment mettre en difficulté les Bretons qui reviennent à sa hauteur au classement, dimanche, pour la 26e journée.

Grâce à ce succès, les Rouge et Noir comptent le même nombre de points que Marseille, avec 39 unités, même si ces derniers gardent la septième place à la différence de buts.

Les deux équipes sont en embuscade dans la course à l’Europe, à quatre longueurs seulement de Lille, 4e.

Qualifiés jeudi soir pour les quarts de finale de la Ligue Europa, malgré une défaite et une soirée très compliquée à Villarreal (1-3), les Marseillais sont apparus émoussés à Rennes, qui a su en profiter.

Grâce à des buts de Martin Terrier (21e) et Benjamin Bourigeaud, sur penalty (77e), les Bretons ont mis fin à la série de trois succès en Ligue 1 depuis l’arrivée de Jean-Louis Gasset sur le banc.

Dans cette rencontre très ouverte, avec beaucoup d’espaces offerts dans les deux camps, les Phocéens n’ont pu trouver la faille.

Dans le premier acte, l’ex-capitaine de l’OM, Steve Mandanda a été décisif devant Pierre-Emerick Aubameyang (25e) puis, encore, attentif sur la tête de d’Iliman Ndiaye (45e).

S’ils ont été plus actifs en deuxième période, bien aidés par une défense rennaise offrant beaucoup de possibilités de centres, les partenaires du capitaine Geoffrey Kondogbia n’ont pas réussi à conclure.

Aubameyang a bien trouvé le poteau sur un coup-franc concédé à 18 mètres par Baptiste Santamaria (72e), impérial dans son rôle de sentinelle au milieu du terrain, mais cela a été à peu près tout, si ce n’est une reprise d’Amine Harit hors-cadre (81e).

Rennes plus réaliste

Rennes s’est montré, lui, au moins plus réaliste.

Après une action collective tout en spontanéité, le tir tendu de Ludovic Blas avait été écarté par Pau Lopez (20e) et, dans la foulée, Amine Gouiri, ailier droit d’un jour dans le 4-1-4-1 de Julien Stephan, a trouvé, plein axe, Terrier pour l’ouverture du score (1-0, 21e).

L’ex-Lyonnais avait déjà marqué contre les Phocéens au Roazhon Park cette saison, en Coupe de France le 21 janvier (1-1, 10-9 pour Rennes aux tirs au but).

Gérant leur avantage ensuite, les Rennais ont fait le break à la première opportunité.

Le latéral gauche Adrien Truffert a obtenu un penalty logique pour une faute de Bamo Meïté, transformé par le maître-artificier breton, Bourigeaud (2-0, 80e).

Célébré durant tout le match par le Roazhon Park pour sa 301e apparition sous le maillot rouge et noir, le vice-capitaine a signé son 13e but de la saison.

Après deux nuls frustrants à Paris (1-1) et Lille (2-2), avec des buts concédés dans le temps additionnel, ainsi qu’une défaite contre Lorient (1-2), les Rennais retrouvent la gagne et entrent sereins dans la trêve internationale. 

Côté Marseillais, Jean-Louis Gasset et son staff devront régénérer encore physiquement leur groupe pour réussir le sprint final. 

afp

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