Le Président Ablaye Mamadou Guisse plaide pour le report des Élections Présidentielles 2024

Le président Ablaye Mamadou Guisse a exprimé sa position en faveur du report des élections présidentielles prévues en février 2024, lors d’une rencontre avec la rédaction du journal Ledakarois TV. Il a souligné les enjeux liés aux récentes découvertes de ressources naturelles, telles que le gaz et le pétrole, estimant qu’il est crucial de garantir une élection présidentielle démocratique, inclusive et transparente.

Le Président Ablaye Mamadou Guisse plaide pour le report des Élections Présidentielles 2024

Ablaye Mamadou Guisse a mis en avant les récentes découvertes de ressources naturelles, notamment le gaz et le pétrole, comme des éléments qui changent la donne pour le pays. Il estime que ces découvertes nécessitent une gestion méticuleuse par un président bien informé.

Le président a plaidé en faveur du report des élections présidentielles jusqu’en 2026. Il soutient que le Sénégal a besoin d’un président compétent, familiarisé avec les enjeux des nouvelles ressources, afin d’assurer une gestion optimale et de garantir la stabilité du pays.

Ablaye Mamadou Guisse a souligné l’importance de la stabilité pour le Sénégal, surtout dans le contexte des découvertes de ressources naturelles. Il a également insisté sur la nécessité d’une élection présidentielle inclusive, démocratique et transparente pour répondre aux aspirations du peuple sénégalais.

    La position du président Ablaye Mamadou Guisse en faveur du report des élections présidentielles de février 2024 met en lumière les préoccupations liées aux nouvelles découvertes de ressources naturelles. Le débat sur la pertinence d’une élection dans ce contexte souligne les enjeux cruciaux auxquels le Sénégal est confronté, tant sur le plan économique que politique.

    Éclosion des Étoiles : Les 6 joyaux de l’équipe Nationale du Sénégal qui ont brillé dans les catégories jeunes

    Le football sénégalais est le berceau de jeunes talents qui ont suivi un parcours exceptionnel, passant des catégories jeunes à l’équipe nationale avec brio. Focus sur six joueurs, Ismaïla Sarr, Krépin Diatta, Pape Mactar Sarr, Formose Mendy, Abdoulaye Niakhaté Ndiaye et Lamine Camara, dont l’étoile a brillé dès leurs débuts prometteurs. Leur ascension remarquable dans le monde du football professionnel témoigne du potentiel exceptionnel des jeunes footballeurs sénégalais.

    1. Ismaïla Sarr

    Club Actuel : Marseille – Catégorie Jeune : U20 en 2015

    2. Krépin Diatta

    – Club Actuel : Monaco – Catégorie Jeune : U20 en 2017

    3. Pape Mactar Sarr

    Club Actuel : Tottenham – Catégorie Jeune : U17 en 2019

    4. Formose Mendy

    Club Actuel : Lorient – Catégorie Jeune : U20 en 2017

    5. Abdoulaye Niakhaté Ndiaye

    Club Actuel : Troyes – Catégorie Jeune : U20 en 2019

    6. Lamine Camara

    Club Actuel : Metz – Catégorie Jeune : U20 en 2022

    Ces jeunes talents ont suivi un parcours exceptionnel depuis leurs premiers pas dans les catégories jeunes du Sénégal jusqu’à leur consécration au sein de l’équipe nationale. Leur ascension fulgurante promet un avenir radieux pour le football sénégalais sur la scène internationale. Découvrez comment ces joyaux ont façonné leur destin sur les terrains, illuminant le ciel du football sénégalais de leur éclat.

    Candidat faussaire condamné à 6 mois ferme : Thierno Cissé déclare qu’il exécutait des instructions d’Allah Soubhana Watala

    Le candidat Thierno Cissé, condamné à six mois de prison ferme pour fraude au parrainage et mission de chèque sur un compte clôturé, a choqué l’audience en déclarant qu’il agissait sous les instructions divines d’Allah Soubhana Watala.

    L’affaire a éclaté lorsque la Banque Islamique du Sénégal a alerté le Conseil constitutionnel sur un chèque émis par Thierno Cissé, dont le compte avait été clôturé. Lors de l’audience, le candidat a admis les faits, mais a affirmé qu’il agissait de bonne foi et qu’il avait exécuté ses « passifs » jusqu’au bout.

    Interrogé sur qui lui avait donné l’instruction de déposer un faux parrainage, Thierno Cissé a déclaré : « C’est une instruction divine. L’être supérieur, Allah Soubhana Watala. »

    Le président de l’audience a souligné le caractère sérieux des faits, rappelant à Thierno Cissé qu’il avait cherché à devenir président en tant que faussaire. Le candidat n’a pas répondu et a baissé la tête.

    Le procureur a qualifié les faits d’extrêmement graves et a requis une peine d’emprisonnement d’un an ferme pour fraude au parrainage et six mois ferme pour mission de chèque sur un compte clôturé, accompagnée d’une amende ferme de 100 000 francs CFA.

    Finalement, Thierno Cissé a été déclaré coupable et condamné à six mois de prison ferme, avec une amende ferme de 100 000 francs CFA.

    Colonel Touré, nouveau Chef de l’ecomig : « Lorsque la Gambie sera en paix, le Sénégal aura (aussi) la Paix »

    Un changement de commandement s’est opéré à la tête de l’Ecomig (Force d’intervention de la CEDEAO en Gambie), avec le commandant Aly Kane passant le relais au colonel Boubacar Touré lors d’une cérémonie à Foni le 10 janvier 2024. Dans son discours d’investiture, le colonel Touré a exprimé son engagement à poursuivre les efforts de collaboration étroite avec les forces de défense et de sécurité gambiennes, soulignant l’importance d’une coopération transparente pour la paix dans la région.

    « Nous sommes là pour eux », a déclaré le colonel Touré, exprimant son désir que les forces de l’Ecomig soient perçues comme des alliées travaillant main dans la main avec les forces locales. Il a également souligné la conviction partagée que la stabilité en Gambie contribuera à la paix au Sénégal.

    Le commandant sortant, Aly Kane, a présenté un bilan des actions de l’Ecomig sous son commandement, mettant en lumière des opérations conjointes avec les forces de sécurité gambiennes et des initiatives humanitaires, notamment des programmes de sensibilisation et des services médicaux gratuits pour les civils. Il a également mentionné le financement de la rénovation de l’hôpital de Bwiam par le gouvernement sénégalais, soulignant l’engagement de l’Ecomig envers le bien-être des communautés locales.

    Le colonel Boubacar Touré a assumé son nouveau rôle avec la ferme intention de renforcer la mission de l’Ecomig en faveur de la sécurité et de la stabilité dans la région.

    L’éphémère du pouvoir, construire l’éthique : Abdoul Mbaye rappelle la sagesse de son père, le juge Kéba Mbaye

    En ce jour commémoratif du 11 janvier, marquant le décès du juge Kéba Mbaye, Abdoul Mbaye partage ses pensées émouvantes sur l’héritage exceptionnel de son père. Président du Conseil constitutionnel sénégalais de 1992 à 1993, le juge Mbaye a laissé un exemple remarquable de son engagement envers l’éthique politique, illustré par sa démission courageuse face à des dilemmes éthiques. Convaincu que le pouvoir doit servir et que l’éthique est un pilier durable, le juge Mbaye demeure un modèle dont la vie et les idéaux méritent d’être célébrés et perpétués dans la construction d’une société guidée par l’éthique et l’intégrité.

    Abdoul Mbaye exprime son émotion en ces termes : « Aujourd’hui, le 11 janvier, marque l’anniversaire de la disparition du juge Keba Mbaye. C’est avec une profonde émotion que je souhaite partager avec vous quelques réflexions sur l’héritage exceptionnel qu’il nous a laissé. »

    Durant son mandat à la tête du Conseil constitutionnel, le juge Mbaye a démissionné avec dignité, une action qui va au-delà d’un simple retrait, mais qui incarne son engagement inébranlable envers l’éthique en politique. Sa démission était un refus catégorique de violer la loi ou de compromettre le fonctionnement des institutions.

    Les paroles mémorables du juge Keba Mbaye continuent d’inspirer. « Le pouvoir est passager ; l’argent ne sert qu’à satisfaire les besoins ; au-delà, il est inutile, » a-t-il déclaré, soulignant ainsi la valeur de la responsabilité, de la modestie et de la vision à long terme dans la gestion des affaires publiques.

    Abdoul Mbaye conclut en exhortant à perpétuer l’engagement de son père en faveur de l’éthique en politique. Il appelle à célébrer non seulement la mémoire du juge Keba Mbaye mais aussi l’idéal de justice et de probité qu’il a représenté tout au long de sa carrière exceptionnelle.

    Ensemble, il encourage à honorer la mémoire du juge Mbaye en travaillant vers une société où l’éthique et l’intégrité continueront d’être les fondements de notre bien-être collectif.

    Défaut d’animation : Koulibaly, un défenseur pris au piège d’un jeu long stérile au sein de l’équipe nationale sénégalaise

    Au sein de l’équipe nationale du Sénégal, une tendance agaçante agite les supporters : la propension de Kalidou Koulibaly à adopter un style de jeu long, lançant les ballons à la manière d’un joueur amateur. Cette critique pointe du doigt non seulement le défenseur étoile, mais également les lacunes du milieu de terrain et de la stratégie de jeu sous la direction d’Aliou Cissé.

    L’auteur souligne son agacement face à la manière dont Kalidou Koulibaly, en lieu et place d’une construction de jeu élaborée, opte souvent pour des balles aériennes sans discernement vers les attaquants. Une critique qui s’étend également aux milieux de terrain, accusés de ne pas se démarquer suffisamment lors de la possession du ballon par les défenseurs.

    La responsabilité de cette tactique peu élaborée est attribuée en grande partie aux milieux de terrain, accusés de ne pas jouer vers l’avant et de se complaire dans des passes en arrière sans initiative. L’auteur exprime le besoin d’une meilleure animation au niveau du milieu de terrain pour créer des opportunités offensives et surmonter les lacunes actuelles.

    L’auteur souligne une carence dans l’animation offensive de l’équipe, résultant en des difficultés lors des phases offensives. Le constat est sévère, pointant du doigt une absence d’initiative des milieux de terrain pour percer les lignes adverses et créer des opportunités de but.

    L’article rappelle une exception notoire contre la Bolivie, où le milieu composé de Pathé Ciss, Pape Mactar Sarr, et Pape Gueye avait offert un jeu plaisant et séduisant. Malheureusement, ce trio prometteur n’a plus été aligné depuis lors, alimentant la frustration des supporters qui aspirent à voir un jeu plus dynamique.

    Le constat critique soulève des préoccupations légitimes quant à la stratégie de jeu de l’équipe nationale sénégalaise. La nécessité d’une meilleure coordination entre la défense et le milieu de terrain, ainsi que d’une animation offensive plus créative, sont des points cruciaux à considérer pour garantir le succès continu de l’équipe sur la scène internationale. La question reste de savoir si ces observations seront prises en compte par l’entraîneur Aliou Cissé à l’approche des prochains défis.

    Préparation de la CAN : Le Maroc s’impose avec conviction dans un dernier match amical

    Avant le coup d’envoi de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) en Côte d’Ivoire, l’équipe nationale marocaine de football a conclu sa préparation par une victoire convaincante de 3-1 contre la Sierra Leone lors d’un match amical au stade Auguste-Denise de San-Pedro.

    Le match a débuté avec une première période solide de la part des Lions de l’Atlas, menés par Youssef En-nesyri, qui a ouvert le score à la 30e minute. Le milieu de terrain Sofiane Boufal a ensuite doublé l’avantage cinq minutes plus tard, plaçant le Maroc en position de force avant la pause.

    De retour des vestiaires, En-nesyri a ajouté son deuxième but du match, portant le total à 3 pour l’équipe marocaine. La Sierra Leone a réussi à marquer un but, mais le Maroc a finalement scellé la victoire avec un score final de 3-1.

    Cette victoire renforce la confiance de l’équipe marocaine à l’aube du début de la CAN. Le Maroc débutera son parcours dans le tournoi en affrontant la Tanzanie le 17 janvier, suivi d’une rencontre contre la République démocratique du Congo (RDC) le 21 janvier. Le dernier match de la phase de poule opposera le Maroc à la Zambie le 24 janvier. Les supporters marocains espèrent que cette performance positive dans le match amical se traduira par une belle performance lors de la compétition continentale.

    Parrainage : Les recours déposés avant le 12 Janvier risquent d’être rejetés

    Pendant le processus de vérification des parrainages, plusieurs candidats ont déposé des recours contestant, pour la plupart, leur élimination de la course à la présidentielle. Un groupe de 27 candidats a également formulé une demande de reprise de la procédure de vérification des parrainages. Cependant, ces recours pourraient ne pas être examinés.

    Le droit de réclamation est accordé à tout candidat à une élection, selon l’article L127 du code électoral, qui stipule que « les réclamations doivent parvenir au Conseil Constitutionnel avant l’expiration des quarante-huit heures qui suivent le jour de l’affichage de la liste des candidats ».

    Le Conseil Constitutionnel publiera la liste provisoire des candidats ayant réussi le test du parrainage ce vendredi 12 janvier. Les candidats auront ensuite 48 heures pour déposer des réclamations. Les requêtes déposées avant cette date risquent d’être considérées comme « prématurées » par le Conseil Constitutionnel. En référence à une situation similaire en 2019, où le recours du candidat Thierno Alassane Sall, déposé avant la publication de la liste provisoire, avait été rejeté.

    Cependant, les sages du Conseil Constitutionnel sont tenus de se prononcer sur les recours déposés pendant les 48 heures suivant la publication de la liste provisoire et avant la publication de la liste définitive prévue pour le 20 janvier. L’issue de cette période déterminera la validité des recours déposés par les candidats dans le cadre du processus de parrainage pour la présidentielle.

    Images – Prise de contact : Mamadou Djigo reçoit Modou Diagne Fada, Ministre des Collectivités territoriales, de l’Aménagement et du Développement des Territoires

    Le Directeur général de l’Agence nationale d’aménagement du territoire (Anat), Mamadou Djigo a reçu Modou Diagne Fada, Ministre des Collectivités territoriales, de l’Aménagement et du Développement des Territoires pour une prise de contact par rapport aux perspectives de leurs départements respectifs, ce jeudi 11 janvier dans les locaux de l’Anat.

    Retour en image de cette cérémonie solennelle qui vise à consolider les relations intrinsèques entre ces deux entités indissociables pour le développement du Sénégal à partir de ses territoires.

    Vidéo exclusive du retour triomphal de la femme de Sadio Mané à l’école

    Quelques jours après son mariage célébré en grande pompe, la femme de Sadio Mané est de retour à l’école.

    C’est une immense foule qui a acclamé ce Come-back à travers cette vidéo exclusive :

    Vidéo exclusive du retour triomphal de la femme de Sadio Mané à l'école

    Saisie record à Dakar : 1,5 million d’euros en faux billets interceptés par la brigade de recherches de Faidherbe

    La Brigade de Recherches de Dakar-Faidherbe a réalisé une opération réussie dans la lutte contre le faux-monnayage, aboutissant à la saisie de 1,5 million d’euros en faux billets. Quatre individus faisant partie de cette bande ont été appréhendés lors de cette opération.

    Selon les informations obtenues par Seneweb, les membres de la Brigade de Recherches, sous la direction du Major Babacar Ndiaye, ont effectué l’arrestation le 9 janvier dernier. Les suspects ont été appréhendés alors qu’ils tentaient de faire circuler des billets de banque contrefaits, d’une valeur totale de 1 500 000 euros.

    Le Lieutenant-Colonel Ibrahima Ndiaye, chef de la Division Communication (Divcom), a confirmé l’opération en déclarant : « La Brigade de Recherches de Dakar a procédé, le 9 janvier, à l’interpellation d’une bande de faussaires aux Maristes. Bilan de l’opération : quatre mis en cause qui tentaient de faire circuler des billets de banque d’une contrevaleur de 1 500 000 euros. »

    Cette saisie record souligne l’efficacité des forces de sécurité dans la lutte contre la criminalité financière. Les autorités s’emploieront probablement à déterminer l’ampleur de ce réseau de faux-monnayeurs et à garantir que la justice soit rendue dans cette affaire.

    Menaces de mort contre Babacar Fall : Appel à l’identification et à la punition des auteurs par Alioune Tine

    Le journaliste de Rfm, Babacar Fall, a récemment été la cible de menaces de mort après avoir commenté la sortie du Président Macky Sall sur les revues de presse au Sénégal. Face à cette situation, Alioune Tine, fondateur de Afrikajom Center, a vivement réagi et appelé à l’identification et à la punition des auteurs de ces menaces.

    Dans une déclaration, Alioune Tine a condamné fermement les injures et menaces de mort proférées à l’encontre de Babacar Fall. Il a souligné que la liberté de la presse et la liberté d’informer sont des piliers essentiels de la démocratie et des droits humains qui doivent être protégés en tout temps, surtout en période électorale.

    Alioune Tine a exprimé son soutien total à Babacar Fall, soulignant que la critique, l’ironie et l’humour sont des éléments inhérents aux genres journalistiques, permettant de rappeler aux autorités, y compris au Président de la République, qu’ils sont des citoyens et non des personnalités sacrées.

    L’appel d’Alioune Tine va au-delà de la simple condamnation des menaces et vise à assurer la protection du journaliste. Il demande aux autorités publiques d’ouvrir une enquête pour identifier les auteurs des menaces et de les punir conformément à la loi.

    Cette affaire souligne une fois de plus l’importance de protéger la liberté de la presse et de garantir la sécurité des journalistes, en particulier dans un contexte politique sensible. La société civile, à travers des voix comme celle d’Alioune Tine, continue de jouer un rôle crucial dans la défense de ces principes démocratiques fondamentaux.

    Tragique accident à Dagana : Trois morts et sept blessés graves

    Hier, aux alentours de 16 heures, un accident de la route d’une extrême gravité a secoué la commune de Bokhol, située dans le département de Dagana, faisant trois morts et laissant sept autres personnes dans un état critique.

    L’accident tragique a été déclenché par l’éclatement d’un pneu du minibus, qui transportait des passagers revenant d’un enterrement dans la région du Fouta. Le drame s’est déroulé à hauteur de Bokhol, plongeant la communauté locale dans le deuil et la tristesse.

    Selon les premières informations, les sept personnes gravement blessées ont été immédiatement transportées en urgence à l’hôpital de Richard-Toll pour recevoir des soins appropriés. Parmi ces victimes, deux sont originaires de Thiès, deux de Dakar, et les autres sont du village de Lobbou Doué, situé dans le département de Podor.

    Les autorités locales, les services d’urgence et les forces de l’ordre ont rapidement réagi à la scène de l’accident pour coordonner les opérations de secours et assurer le bon déroulement de l’évacuation des blessés.

    Cet incident tragique souligne une fois de plus les dangers potentiels auxquels sont confrontés les usagers de la route et met en lumière l’importance cruciale de la sécurité routière. Les autorités locales ont appelé à la prudence accrue sur les routes et à une vigilance constante pour éviter de tels accidents dévastateurs.

    La communauté locale de Bokhol et ses environs pleure la perte de trois de ses membres, tandis que les familles des blessés attendent avec anxiété des nouvelles sur l’évolution de leur état de santé. Cet événement douloureux rappelle la nécessité d’une sensibilisation continue sur la sécurité routière pour prévenir de telles tragédies à l’avenir.

    Parrainages présidentiels au Sénégal : Un ex-candidat, ancien conseiller de Macky, criant à l’injustice

    Un vent de colère souffle dans le paysage politique sénégalais alors qu’un ancien candidat à la candidature présidentielle du 25 février 2024, Abdoul Aziz Diop de Pacte Institutionnel (PI), exprime sa frustration face à une situation qui l’aurait laissé sur le bord du chemin électoral.

    Abdoul Aziz Diop avait établi un partenariat avec l’organisation HORIZON 2024, dirigée par Abdou Aziz Kane et Thié Kouyaté, réputée pour son expertise dans la collecte de parrainages citoyens au Sénégal et à l’étranger. Un véhicule avait même été mis à leur disposition pour mener à bien cette mission cruciale.

    Cependant, le candidat Diop affirme qu’après avoir perdu tout contact avec HORIZON 2024, il a été informé par son partenaire, Thié Kouyaté, qu’ils avaient décliné une offre de l’industriel Babacar Ngom, qui aurait souhaité que l’organisation assiste sa fille, Anta Babacar Ngom, dans la collecte de parrainages pour sa candidature présidentielle.

    La surprise et l’amertume de Diop sont apparues lorsque le Conseil constitutionnel a validé les parrainages d’Anta Babacar Ngom, avec un total impressionnant de 45328 parrains dans 10 régions du Sénégal. Le candidat Diop, quant à lui, déclare n’avoir reçu aucun parrainage de la part de HORIZON 2024, malgré le partenariat et les moyens mis à disposition.

    Abdoul Aziz Diop soulève des questions importantes, interrogeant les responsables d’HORIZON 2024 sur le bénéficiaire final des parrainages collectés grâce aux ressources fournies par lui-même, en tant que candidat déclaré à la présidentielle. Cette situation soulève des préoccupations quant à l’équité et la transparence dans le processus de collecte des parrainages, mettant en lumière les enjeux et les défis qui peuvent survenir dans le contexte électoral complexe du Sénégal.

    Modou Lô en pause Post-Victoire : Repos bien mérité avant d’envisager un futur duel

    Le célèbre lutteur sénégalais Modou Lô, après sa victoire retentissante face à Boy Niang 2 le 1er janvier 2024, a pris la décision de faire une pause bien méritée. Lors de sa première apparition publique depuis cet exploit, il a partagé ses projets immédiats, mettant en avant le besoin de repos et de récupération après une série de combats intensifs.

    Modou Lô, qui a enchaîné deux victoires consécutives, a exprimé son intention de s’éloigner temporairement des arènes pour se consacrer à d’autres activités et profiter de cette période de repos. Cette décision, souligne-t-il, est nécessaire pour recharger les batteries après les sacrifices exigés par les préparations rigoureuses liées à la lutte.

    Interrogé sur la possibilité d’un affrontement futur avec Reug Reug, Modou Lô a répondu de manière énigmatique, laissant la porte ouverte à cette éventualité. Cependant, il a suggéré que Reug Reug devrait d’abord se mesurer à Franc, un adversaire actuellement invaincu. Cette perspective ajoute une intrigue à l’avenir de la lutte sénégalaise, mais Modou Lô a souligné la nécessité pour Reug Reug de consolider sa position avant de l’affronter.

    Modou Lô a rappelé la récente victoire de Reug Reug sur Bombardier, tout en évoquant la défaite antérieure de ce dernier contre Sa Thiès. Pour lui, ces antécédents influencent grandement la dynamique psychologique et physique des lutteurs sur le long terme. La victoire récente de Modou Lô a renforcé sa confiance et son avantage psychologique, des éléments qu’il considère comme cruciaux pour maintenir une performance optimale.

    Cette pause réfléchie de Modou Lô marque une étape importante dans sa carrière, laissant les amateurs de lutte sénégalaise en attente de ses prochains mouvements. Le champion reste une figure emblématique de la lutte, et sa stratégie post-victoire souligne l’importance de l’équilibre entre l’engagement sportif et le bien-être physique et mental des athlètes.

    Polémique Entre Macky Sall et la Presse: Babacar Fall brise-t-il les Tabous ?

    La tension entre le président sénégalais, Macky Sall, et la presse du pays atteint des sommets après les récentes critiques émises par le chef de l’État lors des assises de la presse francophone à Diamanadio. Les propos de Macky Sall sur la théâtralisation des revues de presse au Sénégal ont déclenché une vive réaction du journaliste Babacar Fall, directeur de la rédaction de Rfm.

    La déclaration de Macky Sall

    Macky Sall a exprimé sa désapprobation envers une catégorie de la presse sénégalaise, qualifiant leur revue de presse de « théâtrale ». Il a même suggéré que les enseignants du CESTI, l’école de journalisme du Sénégal, pourraient théoriser cette nouvelle approche. Ces commentaires ont soulevé des interrogations sur la relation tendue entre le pouvoir politique et les médias dans le pays.

    La riposte de Babacar Fall

    En réponse, Babacar Fall a rappelé le passé du président, soulignant que Macky Sall n’est pas en position de critiquer la qualité de la presse. Il a fait référence au journal « Il Est Midi » et a accusé Macky Sall de faire partie d’un régime qui n’hésitait pas à attaquer violemment l’opposition et les médias critiques.

    Tensions croissantes et menaces de mort

    La polémique a pris une tournure sombre, Babacar Fall, après avoir pris la défense de ses confrères, a été la cible de menaces de mort, de messages audio et écrits injurieux depuis le mercredi matin. Cette réaction extrême souligne l’ampleur des divergences d’opinions sur la liberté de la presse et la responsabilité des dirigeants envers les médias.


    Liberté de la Presse en Question

    Cette polémique met en lumière les tensions persistantes entre le pouvoir politique et la presse au Sénégal. Elle soulève des questions cruciales sur la liberté de la presse et le rôle des dirigeants dans la protection de cette liberté. Alors que les journalistes continuent de jouer leur rôle dans la société, la question de l’équilibre entre critique constructive et respect des institutions reste au cœur du débat.

    Le Dakarois Quotidien continuera à suivre de près l’évolution de cette polémique et à fournir à ses lecteurs des informations objectives sur ce sujet crucial pour la démocratie sénégalaise.

    Cheikh KANE

    CAN 2024: les sept joueurs les plus attendus en Côte d’Ivoire

    Les plus grands footballeurs du continent se sont donnés rendez-vous pour la Coupe d’Afrique des nations 2024 (13 janvier-11 février) en Côte d’Ivoire. Tous rêvent de brandir le trophée dans le ciel d’Abidjan au soir de la finale. Focus sur sept joueurs sur lesquels reposent les espoirs de millions de supporters pour cette CAN.

    Qui régnera sur le continent africain lors des deux prochaines années ? La 34e CAN arrive, et les meilleurs joueurs d’Afrique ne pensent qu’à la finale prévue le 11 février 2024 au stade Alassane-Ouattara d’Abidjan. Avant le coup d’envoi en Côte d’Ivoire, la rédaction de RFI dresse le profil des sept joueurs les plus attendus de la compétition.

    Sadio Mané, leader des champions d’Afrique – Sénégal

    Honneur au champion en titre et meilleur joueur de la dernière édition au Cameroun. Sadio Mané, meilleur buteur de l’histoire du Sénégal (40 buts), est tout simplement le fer de lance des Lions. À 31 ans, l’attaquant reste la star et l’arme principale de l’équipe dirigée par Aliou Cissé. Il y a deux ans, il a mené son pays en terre promise, avec ce premier sacre tant attendu à Yaoundé face à l’Égypte. Aujourd’hui à Al-Nassr (Arabie saoudite), après six saisons dorées à Liverpool suivies d’un passage mitigé au Bayern Munich, Sadio Mané rêve de conserver le titre continental.

    Victor Osimhen, Joueur africain de l’année et arme létale – Nigeria

    Il avait manqué la CAN 2022, victime d’abord de multiples fractures au visage, puis testé positif au Covid-19 avant la compétition. Cette fois, Victor Osimhen sera bien présent. Et c’est auréolé d’un nouveau statut qu’il se présente en Côte d’Ivoire. L’ancien Lillois a pris une dimension gigantesque à Naples, où il reste sur deux saisons majeures, notamment la dernière où il a fini champion d’Italie et meilleur buteur de Serie A (26 réalisations). Devenu l’un des attaquants les plus redoutables au monde, le Super Eagle sera scruté en Côte d’Ivoire, où le Nigeria entend jouer les premiers rôles.

    Yassine Bounou, dernier rempart à l’ambition dévorante – Maroc

    Au sein des Lions de l’Atlas qui ont brillé lors d’une Coupe du monde 2022 historique, il a été l’un des meilleurs. Au Qatar, il a gardé sa cage inviolée notamment face aux flèches belges, espagnoles et portugaises. Yassine Bounou a même écœuré la Roja en repoussant deux tirs au but. Le gardien marocain a montré, à cette occasion, ce talent qui a fait de lui l’un des meilleurs portiers en Liga du côté du Séville FC, club avec lequel il a soulevé deux fois la Ligue Europa en trois ans. En toute logique, le Maroc débarque en Côte d’Ivoire avec le costume de favori. Et le sélectionneur Walid Regragui compte évidemment sur Yassine Bounou pour aller chercher une CAN après laquelle les Marocains courent depuis 48 ans.

    Sébastien Haller, le revenant en quête de rebond – Côte d’Ivoire

    Son histoire a bouleversé le monde du ballon rond. Mi-2022, Sébastien Haller, tout juste recruté par le Borussia Dortmund, mettait sa carrière en suspens quelques mois, le temps de soigner un cancer. Guéri et revenu à la compétition il y a tout juste un an, l’attaquant peine à retrouver l’éclat qui était le sien à l’Ajax Amsterdam. À Dortmund, l’Ivoirien a perdu sa place de titulaire et piétine (14 matches toutes compétitions confondues pour deux buts en Coupe d’Allemagne cette saison). Pour l’Éléphant, cette CAN à domicile peut être l’occasion de revenir à son meilleur niveau.

    Riyad Mahrez, le Fennec revanchard – Algérie

    C’est peu dire que l’année 2022 fut douloureuse pour l’Algérie. Les champions d’Afrique 2019 furent éliminés dès le premier tour de la CAN au Cameroun, avant de perdre leur billet pour le Mondial au Qatar dans les derniers instants face aux Lions indomptables. Deux échecs cuisants pour capitaine Mahrez, plus verni en club pour sa dernière saison à Manchester City, où il a signé le triplé Premier League-Cup-Ligue des champions. Parti en Arabie saoudite à Al-Ahli à l’été 2023, Riyad Mahrez compte bien montrer que les Fennecs ont toujours de l’appétit et laver l’affront de 2022.

    Serhou Guirassy, la machine à marquer – Guinée

    Il est l’une des nouvelles attractions de cet exercice 2023-2024, et le principal acteur de la très bonne première moitié de saison du VfB Stuttgart en Bundesliga. En Allemagne, Serhou Guirassy est en feu, et c’est toute la Guinée qui se prend à croire à une CAN de folie dans son sillage. Auteur de 10 buts sur les cinq premières journées, l’attaquant de 27 ans a poursuivi sur cette formidable lancée jusqu’à une blessure aux ischio-jambiers fin octobre. Cette lésion a cassé sa dynamique, mais Serhou Guirassy a retrouvé du rythme en décembre. Un retour idéal à l’heure de disputer sa première CAN.

    Mohamed Salah, la quête du Graal africain se poursuit – Egypte

    Devenu roi en Angleterre avec Liverpool, où il a conquis Premier League et Ligue des champions, Mohamed Salah court toujours après la consécration avec les Pharaons. International depuis 2011, l’attaquant n’a pas connu les conquêtes de l’Égypte du début des années 2000. Pire, il a échoué à deux reprises en finale : une première fois en 2017 face au Cameroun, une seconde fois lors de la dernière édition face au Sénégal. À 31 ans, le capitaine égyptien ne veut plus passer à côté d’une destinée en or avec son pays. Le buteur fera tout pour, enfin, mettre la main sur cette CAN qui lui échappe depuis des années.

    RFI

    Autoroute à péage au Sénégal : Plus de 12 000 pannes de véhicules et 1 000 accidents par an, des solutions préconisées par Eiffage Concessions

    L’autoroute à péage Dakar-Diamniadio, également connue sous le nom d’Autoroute de l’avenir, enregistre chaque année plus de 12 000 pannes de véhicules et plus de 1 000 accidents, selon Pathé Ndoye, le secrétaire général d’Eiffage Concessions, la société concessionnaire de cette autoroute. Ces chiffres ont été qualifiés d’« extrêmement élevés par rapport à ce qui est relevé dans les pays développés ».

    La croissance démographique rapide à l’intérieur de la capitale Dakar et l’augmentation du nombre de véhicules particuliers, avec un taux variant entre 8 et 10% par an, sont citées comme des facteurs contributifs à cette problématique.

    Une autre proposition avancée est « le décalage des horaires de travail dans l’administration et une incitation de ces mesures auprès des entreprises privées ». Cela permettrait d’étaler les demandes de transport sur une période plus large et potentiellement réduire les embouteillages.

    Pathé Ndoye a également plaidé en faveur du « développement et de l’encadrement du covoiturage », soulignant que cette pratique a permis à certains pays de diviser par trois la demande de trafic pendant les heures de pointe. Il a noté que le taux d’occupation des véhicules particuliers individuels au Sénégal est très faible par rapport aux pays développés, ce qui peut être amélioré par le covoiturage.

    Enfin, des mesures structurelles ont été recommandées, notamment en misant sur le transport de masse comme le Bus rapid transit (BRT). Pathé Ndoye a suggéré le développement de « pôles mixtes regroupant des secteurs d’activités économiques, commerciales, sociales, éducatives », afin de réduire la nécessité de déplacements entre le centre-ville et la banlieue.

    La création de parkings de grande capacité pour le stationnement des véhicules à l’extrémité des points de destination a également été suggérée comme solution pour désengorger les axes routiers et améliorer l’efficacité des transports en commun dans le centre-ville.

    Seny Dieng exprime sa tristesse après son forfait pour la coupe d’Afrique des Nations

    La déception est palpable pour Seny Dieng, le gardien de but sénégalais, suite à son forfait pour la Coupe d’Afrique des Nations qui se déroulera en Côte d’Ivoire à partir du 13 janvier. Dans une déclaration, Dieng a exprimé sa tristesse de devoir quitter la tanière si près du début de la compétition, tout en exprimant son soutien et ses vœux de réussite à l’équipe nationale.

    « Comme vous pouvez l’imaginer, je suis très triste de quitter la tanière si proche du but de la compétition. Je souhaite tout le meilleur à notre équipe pour conserver notre titre. Je vais travailler fort pour revenir le plus rapidement possible sur le terrain », a partagé Seny Dieng.

    Le gardien de but était initialement prévu pour faire partie de l’équipe sénégalaise qui défendrait son titre à la CAN. Cependant, une blessure a contraint le sélectionneur Aliou Cissé à faire appel au portier Alfred Gomis en remplacement de Seny Dieng.

    Ce forfait est une déception pour Dieng, qui aurait sans aucun doute aimé contribuer activement aux efforts de l’équipe nationale dans cette compétition continentale prestigieuse. Son message empreint de détermination laisse entrevoir sa volonté de surmonter cette épreuve et de revenir sur le terrain avec encore plus de force.

    L’absence de Seny Dieng représente un défi pour l’équipe sénégalaise, qui devra compter sur d’autres membres du groupe pour combler ce vide. La CAN, en tant que vitrine du football africain, promet des moments d’intensité et de compétition féroce, avec ou sans la présence du gardien de but talentueux.

    Le Sénégal, dirigé par Aliou Cissé, entamera son parcours dans le groupe B de la CAN, avec des matchs prévus contre des équipes telles que le Mali, le Cameroun et l’Éthiopie. Les supporters espèrent que malgré cette déception initiale, l’équipe nationale pourra se montrer à la hauteur des attentes et défendre avec succès son titre de champion d’Afrique.

    Second tour de vérification des parrainages: Anciens Premiers ministres recalés

    A la une aujourd’hui, le Conseil constitutionnel dévoile les résultats du second tour de vérification des parrainages pour l’élection présidentielle. Sur les 23 candidats initialement admissibles, 12 ont réussi à valider leurs tickets, tandis que 8, dont des anciens Premiers ministres, ont été recalés. Trois candidats n’ont pas complété les formalités nécessaires.

    Les candidats ayant validé leurs parrainages :
    Rose Wardini
    Idrissa Seck
    Aliou Mamadou Dia
    Malick Gackou
    Aly Ngouille Ndiaye
    Mamadou Lamine Diallo
    Serigne Mboup
    Pape Djibril Fall
    Bassirou Diomaye Diakhar Faye
    Mame Boye Diao
    Mouhamed Boun Abdalah Dione
    Thierno Allassane Sall
    Les candidats recalés :
    Maître El Hadj Diouf
    Serigne Gueye Diop
    Souleymane Ndene Ndiaye
    Abdoul Mbaye
    Aminata Touré
    Abdourahmane Diouf
    Amadou Ly
    Bougane Gueye Dany

    Candidats n’ayant pas complété les formalités :
    Pape Momar Ngom
    Aliou Camara
    Amadou Seck
    Ces résultats marquent un tournant crucial dans la course présidentielle, avec des personnalités politiques éminentes se trouvant parmi les recalés.

    Analyse des candidats retenus
    Parmi les candidats qui ont réussi à valider leurs parrainages, on retrouve des figures bien connues de la scène politique sénégalaise. Rose Wardini, Idrissa Seck, et Aliou Mamadou Dia font partie des favoris, chacun avec son propre soutien et programme politique.

    Rappel des candidats déjà admis au premier tour
    Rappelons que neuf candidats avaient déjà passé avec succès le premier tour de validation des parrainages. Parmi eux, on retrouve des personnalités telles que Boubacar Camara, Khalifa Ababacar Sall, et Karim Meïssa Wade.

    Les neuf pièces indispensables pour une déclaration de candidature
    Certificat de nationalité sénégalaise
    Carte d’identité nationale Cédéao (35-75 ans)
    Extrait de naissance récent (moins de 6 mois)
    Casier judiciaire vierge (moins de 3 mois)
    Attestation d’investiture (coalition ou candidat indépendant)
    Liste de parrainage avec l’option choisie (élue ou parrainage citoyen)
    Déclaration sur l’honneur (nationalité sénégalaise, capacité de lire et écrire)
    Déclaration sur l’honneur (conformité à la législation fiscale)
    Quittance avec attestation signée par le président de la Caisse de dépôt et de consignation (CDC)
    Le processus de candidature à une élection présidentielle au Sénégal requiert la présentation de neuf pièces essentielles, garantissant la légitimité et l’éligibilité des candidats. Ces pièces comprennent le certificat de nationalité sénégalaise, la carte d’identité nationale Cédéao, un extrait de naissance récent, un casier judiciaire vierge, une attestation d’investiture, une liste de parrainage, deux déclarations sur l’honneur, et une quittance avec attestation de la Caisse de dépôt et de consignation (CDC).

    Restez avec nous pour toutes les mises à jour sur l’évolution de la scène politique sénégalaise en cette période électorale cruciale.

    *Cheikh Kane

    Changements importants dans les préfectures et sous-préfectures du Sénégal (Communiqué)

    Le Conseil des ministres, sous la présidence de Macky SALL, a procédé à d’importantes nominations dans l’administration territoriale le 10 janvier 2024. Ces changements affectent plusieurs préfectures et sous-préfectures à travers le pays, impliquant des permutations et des nominations de préfets et de sous-préfets.

    Monsieur Mamadou KHOUMA et Monsieur Maguette DIOUCK échangent leurs postes de préfets entre les départements de Bignona et Diourbel. Des mouvements significatifs sont observés dans les sous-préfectures. Madame Maïmouna BALDE et Monsieur Ousmane SIDIBE sont respectivement nommés adjoints aux préfets de Koungheul et Podor.

    Voici tous les mouvements dans les préfectures et sous-préfectures du Sénégal

    Département de Bignona et Diourbel : Monsieur Mamadou KHOUMA, Administrateur civil et précédent Préfet de Diourbel, est nommé Préfet de Bignona. Il remplace Monsieur Maguette DIOUCK, qui devient Préfet de Diourbel, la position précédemment occupée par M. KHOUMA.

    Département de Koungheul : Madame Maïmouna BALDE, auparavant adjointe au sous-préfet de Darou Minam 2 (Département de Malem Hodar), est nommée Adjointe au préfet de Koungheul. Elle succède à Monsieur Papa Abdoulaye BA.

    Département de Podor : Monsieur Ousmane SIDIBE, précédemment Adjoint au sous-préfet de Paoskoto (Département de Nioro), est nommé Adjoint au préfet de Podor, remplaçant Monsieur Fodé KABA NDAO.

    Arrondissement de Makacoulibatang : Madame Awa BOCOUM, ex-sous-préfet de Sakal (Département de Louga), devient sous-préfet de Makacoulibatang (Département de Tambacounda), en remplacement de Monsieur Mbacké THIAM.

    Arrondissement de Yeumbeul : Monsieur Birahima BA, ancien sous-préfet de Keur Momar SARR (Département de Louga), est nommé sous-préfet de Yeumbeul (Département de Keur Massar), prenant la place de Monsieur Khadim GUEYE.

    Arrondissement de Saldé : Monsieur Fodé KABA NDAO, ex-Adjoint préfet de Podor, est nommé sous-préfet de Saldé (Département de Podor), succédant à Monsieur Abdoul Meye THIAM.

    Arrondissement de Koussanar : Monsieur Papa Abdoulaye BA, anciennement Adjoint au préfet de Koungheul, devient sous-préfet de Koussanar (Département de Tambacounda), en remplacement de Monsieur Adama KAMARA, parti à la retraite.

    Arrondissement de Sakal : Monsieur Demba Nialy NDAO, précédemment Adjoint au sous-préfet de Niakhar (Département de Fatick), est nommé sous-préfet de Sakal (Département de Louga), en remplacement de Madame Awa BOCOUM.

    Arrondissement de Keur Momar SARR : Monsieur Mamadou Lamine TRAORE, auparavant Adjoint au sous-préfet de Sindia (Département de Mbour), est nommé sous-préfet de Keur Momar SARR (Département de Louga), succédant à Monsieur Birahima BA.

    Polémique sur les critiques de Macky Sall envers la presse sénégalaise : Babacar Fall rétorque et rappelle le passé du chef de l’État

    Les propos du président sénégalais, Macky Sall, critiquant la théâtralisation des revues de presse au Sénégal lors des assises de la presse francophone à Diamanadio ont suscité une vive réaction du journaliste Babacar Fall. Ce dernier estime que le chef de l’État est mal placé pour émettre des critiques sur la qualité de la presse sénégalaise.

    Macky Sall a déclaré mardi : « Au Sénégal, on a une catégorie, je ne sais même pas comment la qualifier, qui fait une sorte de revue de presse théâtrale. Alors rien que sa revue fait l’actualité… Et peut-être, les enseignants du CESTI doivent pouvoir théoriser ce nouvel apport. »

    Le journaliste, qui est également directeur de la rédaction de Rfm, a rappelé le passé de Macky Sall, soulignant que le président actuel n’est pas en position de critiquer la qualité de la presse. Il a fait référence au journal « Il Est Midi », qui, selon Babacar Fall, passait son temps à insulter l’opposition d’Abdoulaye Wade et les médias critiquant le régime du PDS, dont Macky Sall faisait partie à l’époque.

    Cette polémique souligne les tensions persistantes entre le pouvoir politique et la presse au Sénégal, mettant en lumière les divergences d’opinions sur la liberté de la presse et la responsabilité des dirigeants envers les médias.

    Polémique autour du contrôle des parrainages au conseil constitutionnel : Un expert électoral pointe du doigt l’opacité du fichier utilisé par les 7 sages

    La controverse entourant le contrôle des parrainages au Conseil constitutionnel au Sénégal prend de l’ampleur, alimentée par les allégations de candidats écartés de la course, qui remettent en question la fiabilité du fichier utilisé par les 7 sages. Un expert en système électoral, Bakar Ndiaye, s’est exprimé sur cette affaire, soulignant une nébuleuse entourant le fichier en question.

    Sur les ondes de RFM, Bakar Ndiaye a soulevé des interrogations sérieuses quant à la validité du fichier utilisé par le Conseil constitutionnel pour le contrôle des parrainages. Selon lui, les rapports émis par le Conseil constitutionnel, indiquant que des personnes détenant des pièces ne figurent pas dans le fichier électoral, sont dépourvus de logique.

    « Le Conseil constitutionnel sort des rapports pour nous dire que des personnes détenant des pièces ne figurent pas au niveau du fichier électoral. Ça, aucune logique ne pourrait expliquer cette situation. C’est pourquoi je dis que le communiqué de la CENA confirme ce qui se passe, parce que si la CENA nous dit qu’elle ne dispose pas d’un fichier consolidé, c’est-à-dire qu’elle n’a à sa disposition que le fichier des législatives de 2022, cela veut dire qu’actuellement, au Sénégal, il n’existe pas un fichier consolidé pour la Présidentielle de 2024 et c’est ce même fichier qui devait servir pour le parrainage. C’est une véritable nébuleuse », a déclaré l’expert.

    Bakar Ndiaye a continué en expliquant que les cas rapportés par le Conseil constitutionnel ne peuvent découler que d’une procédure spécifique, suggérant que le contrôle des parrainages s’est effectué sans le fichier électoral entre les parrains, ce qui soulève des incohérences troublantes.

    Face à cette polémique, l’expert électoral préconise une concertation urgente sur la question du fichier électoral en vue d’atteindre un consensus. Il appelle le ministère de l’Intérieur à présenter les derniers fichiers consolidés à toutes les parties prenantes pour validation, soulignant que le fichier utilisé par le Conseil constitutionnel pour le contrôle des parrainages ne devrait pas être considéré comme fiable.

    Le contrôle des fiches de parrainages au Conseil constitutionnel a récemment pris fin, avec seulement 21 candidats validés en attendant la publication de la liste définitive, alimentant davantage les débats autour de la transparence du processus électoral.

    Les conseillers municipaux du Sénégal unis contre l’égoïsme des maires : Vers une gouvernance locale plus solidaire

    Le paysage politique municipal au Sénégal connaît actuellement un vent de changement, alors que les Conseillers Municipaux se mobilisent contre ce qu’ils décrivent comme « l’égoïsme des maires ». Cette vague d’unité émane d’une volonté commune de promouvoir une gouvernance locale plus transparente, inclusive et solidaire, mettant ainsi en avant les intérêts collectifs au détriment des intérêts individuels.

    Depuis un certain temps, plusieurs Conseillers Municipaux à travers le pays ont exprimé leur préoccupation face à ce qu’ils perçoivent comme une concentration excessive du pouvoir au sein des mairies. Certains maires seraient accusés de prendre des décisions unilatérales, négligeant ainsi la contribution et les idées des Conseillers Municipaux, élus pour représenter les diverses communautés au niveau local.

    Cette tendance à l’égoïsme apparent des maires aurait des conséquences néfastes sur le développement local, limitant l’efficacité des politiques municipales et la mise en œuvre de projets bénéfiques pour l’ensemble de la population.

    Face à cette réalité, les Conseillers Municipaux du Sénégal se mobilisent pour inverser cette tendance. À travers des rencontres régionales et nationales, ils échangent leurs expériences et cherchent des solutions pour renforcer leur rôle dans le processus décisionnel au niveau local. L’objectif ultime est de créer un front uni contre l’égoïsme perçu des maires et de rétablir un équilibre dans la prise de décision.

    Les Conseillers Municipaux préconisent une gouvernance locale plus transparente et inclusive, où les décisions importantes seraient prises de manière collective, tenant compte des diversités au sein des municipalités. Ils réclament également un renforcement des mécanismes de reddition de comptes, afin d’assurer une gestion plus responsable des ressources publiques.

    Du côté des maires, les réactions sont diverses. Certains reconnaissent la nécessité d’une collaboration plus étroite avec les Conseillers Municipaux, tandis que d’autres résistent à ce changement. L’issue de cette mobilisation des Conseillers Municipaux pourrait influencer l’avenir de la gouvernance locale au Sénégal, ouvrant la voie à une approche plus participative et démocratique.

    L’unité grandissante des Conseillers Municipaux du Sénégal contre l’égoïsme présumé des maires souligne l’importance cruciale de promouvoir une gouvernance locale plus solidaire et transparente. Alors que le débat s’intensifie, l’issue de cette mobilisation pourrait bien redéfinir les dynamiques politiques au niveau municipal, avec des répercussions potentielles sur l’ensemble du pays.

    L’école fondatrice de la réussite : Aliou Sow annonce le classement historique de l’établissement où Macky Sall a débuté son parcours éducatif

    Aliou Sow a annoncé cette initiative lors de l’ouverture du Salon national du Livre, qui se déroule à Fatick jusqu’à vendredi. Le thème du salon, « La culture sous le magistère du président Macky Sall », rend hommage à l’engagement du chef de l’État envers la culture et l’éducation.

    L’école des garçons de Foundiougne, rebaptisée école Tafsir Aliou Mor Boye, a été le point de départ des études primaires de Macky Sall. Le ministre de la Culture a souligné l’importance de cette école en tant que berceau qui a donné au Sénégal un chef d’État brillant et dévoué. Il a déclaré : « Tout a commencé à Foundiougne. C’est une école qui a donné au Sénégal un brillant chef d’État et travailleur. »

    En plus du classement historique, le ministre de la Culture a annoncé des plans pour la construction d’une bibliothèque au sein de l’établissement. Cette initiative vise à promouvoir davantage la lecture en milieu scolaire et à encourager les étudiants à s’engager dans le monde de la culture et du savoir.

    L’ADM contribue au développement sportif de diougop avec un don d’équipements

    Dans le cadre de son engagement envers le développement local et la promotion des activités sportives, l’Agence pour le Développement Municipal (ADM) de Saint-Louis a récemment remis des équipements sportifs aux Associations Sportives et Culturelles (ASC) de la localité de Diougop.

    Cette initiative s’inscrit dans la vision de l’ADM visant à renforcer les infrastructures sportives et à encourager la pratique du sport au sein de la communauté. La cérémonie de remise des équipements s’est déroulée en présence de représentants de l’ADM, des responsables des ASC de Diougop, ainsi que de membres de la communauté locale.

    Le directeur de l’ADM, a souligné l’importance de promouvoir le sport en tant que moyen de renforcement du tissu social et de la cohésion communautaire. « Le sport joue un rôle crucial dans le développement personnel des individus et contribue à créer des liens forts au sein de la société. En fournissant ces équipements sportifs, nous espérons encourager la pratique du sport et susciter un engouement accru pour les activités sportives au sein de la communauté de Diougop », a déclaré .

    Les équipements remis comprennent des ballons de football, des maillots, des chaussures de sport et d’autres accessoires essentiels pour la pratique de diverses disciplines sportives. Les ASC de Diougop, qui sont au cœur de l’organisation d’événements sportifs locaux, bénéficieront directement de ces dons.

    Les responsables des ASC ont exprimé leur gratitude envers l’ADM pour cette précieuse contribution. « Ces équipements sportifs vont considérablement améliorer nos conditions d’entraînement et permettre à nos jeunes talents de s’épanouir davantage dans le domaine sportif. Nous saluons l’ADM pour son soutien continu à la promotion du sport dans notre communauté »

    Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’une série d’actions entreprises par l’ADM pour renforcer les capacités des collectivités locales et promouvoir le bien-être de ses habitants. En investissant dans le sport, l’ADM vise également à créer des opportunités pour les jeunes, favorisant ainsi le développement global de la région.

    La remise des équipements sportifs à Diougop témoigne de l’engagement durable de l’ADM envers le développement local et renforce l’idée que le sport peut jouer un rôle central dans la construction d’une communauté saine et dynamique.

    Eau et électricité : la ville de Bignona entre les deux coupures

    La ville de Bignona, située dans le sud du Sénégal, se trouve actuellement dans une situation délicate en raison de la fréquence croissante des coupures d’électricité et d’eau. Cette problématique, en constante détérioration depuis quelques mois, suscite des préoccupations croissantes au sein de la communauté locale.

    Les quartiers densément peuplés de Bignona, tels que les HLM, Médina Plateau et Manguiline, sont particulièrement touchés par ces interruptions fréquentes. En ce qui concerne l’électricité, les coupures sont généralement de courte durée, mais les problèmes liés à l’approvisionnement en eau sont plus aigus, avec des interruptions qui peuvent durer plusieurs heures. Certains jours, les robinets restent fermés depuis le début de la matinée jusqu’à l’après-midi, créant des difficultés importantes pour les résidents.

    Cette situation perdure depuis les derniers mois de l’année 2023 et persiste en ce début d’année 2024. Initialement, les coupures d’eau étaient principalement observées le matin, mais elles semblent maintenant s’étendre également à l’après-midi, avec des baisses de pression dans certaines zones même lorsque l’eau est rétablie.

    Les habitants de Bignona font face à des inconvénients constants en raison de ces interruptions récurrentes dans leur approvisionnement en eau et électricité. La recherche de solutions à long terme pour remédier à cette situation préoccupante est devenue une priorité au sein de la communauté locale.

    Ismaila Sarr, Sadio Mané, Illimane Ndiaye…le peuple Sénégalais attend énormément de vous!

    Au cours de la seconde période du match contre le Niger 🇳🇪, l’équipe adverse n’a pas réussi une seule fois à s’approcher de la surface de réparation du Sénégal. Aucun tir cadré et aucun corner n’ont été enregistrés du côté nigérien.

    Cependant, malgré cette domination et le jeu dans la demi-camp adverse, les ailiers sénégalais, tels que Sadio Mané, Ismaila Sarr, et Illimane Ndiaye, n’ont pas pris l’initiative de tenter des dribbles pour casser les lignes défensives adverses. Face à un bloc bas, il est crucial que ces joueurs prennent leurs responsabilités sur les côtés.

    La comparaison avec des joueurs de clubs prestigieux comme Doku de Manchester City, qui prend ses responsabilités en dribblant les défenseurs adverses lorsque le jeu est fermé, souligne la nécessité pour les ailiers sénégalais de faire de même. L’attente est que Sadio Mané, Ismaila Sarr, et Illimane Ndiaye soient plus percutants en provoquant et dribblant les latéraux adverses.

    Les latéraux de l’équipe nationale, tels que Krepin Diatta et Jakobs, doivent également jouer un rôle essentiel en perforant la surface de réparation de temps à autre pour créer des opportunités de dernière passe.

    Le principal point faible de l’équipe sénégalaise réside dans le manque de percussion sur les ailes de l’attaque. Il est impératif qu’Aliou Cissé remédie à cette lacune rapidement pour renforcer le potentiel offensif de l’équipe.

    Face au Niger, Jakobs a vendangé toutes nos balles arrêtées !

    Comme annoncé précédemment, Aliou Cissé, l’entraîneur de l’équipe nationale du Sénégal, a confirmé en conférence de presse que les solutions lorsqu’une équipe adverse se recroqueville doivent venir des balles arrêtées. Face au Niger 🇳🇪, cette stratégie était particulièrement importante, car l’équipe adverse concédait de nombreux corners et coups francs aux abords de la surface.

    Cependant, Ismael Jakobs n’a pas été à la hauteur de cette tâche, vendangeant pratiquement toutes les occasions qui se sont présentées sur les corners et coups francs obtenus par le Sénégal 🇸🇳 en première mi-temps. À l’exception d’un coup franc direct repoussé par le gardien nigérien, Jakobs n’a pas réussi à capitaliser sur ces situations.

    En seconde période, c’est Lamine Camara qui s’est montré plus efficace sur les balles arrêtées. D’ailleurs, le but inscrit par Formose Mendy provenait d’un corner excellemment bien tiré par le milieu du FC Metz.

    GABRIEL ATTAL CHEF DE GOUVERNEMENT : LE LOBBY HOMOSEXUEL PREND LE POUVOIR EN FRANCE : Le regard de l’Afrique sur un Premier Ministre gay

    Le jeune Gabriel Attal vient d’être nommé Premier ministre de France à l’âge de 34 ans. Le nouveau Chef du Gouvernement français est l’une des rares autorités de ce pays à avoir reconnu publiquement son homosexualité. Comment les Africains dans leur écrasante majorité homophobes, apprécieront la nomination du Premier ministre homosexuel ?

    Lorsqu’en France, l’accent est mis sur la jeunesse du nouveau Premier Ministre et sur certains caciques du régime qui se seraient opposés à sa nomination, en Afrique, c’est un autre regard que les Africains ont de Monsieur Gabriel Attal homosexuel assumé.

    En Afrique, l’homosexuel est très mal vu. D’ailleurs, plusieurs pays ont refusé de dépénaliser le délit de l’acte contre nature malgré la pression des ONG et des lobbies. Le Sénégal en est un exemple confirmé. L’ancien président américain Barack Obama avait attendu le refus catégorique, du président sénégalais de dépénaliser ce délit.

    En Afrique, les homosexuels se cachent parce qu’ils sont rejetés par la société. Ils sont mal vus. Et ils sont souvent victimes de violences physiques. D’ailleurs, des archevêques africains avaient unanimement rejeté la bénédiction des couples homosexuels en Afrique à la suite de la sortie du Pape sur la question. Donc dans le continent, les élites politiques, religieuses et coutumières bannissent l’homosexualité sous toutes ses formes.

    Alors, il est évident que les prochaines visites de Gabriel Attal en Afrique susciteront de vives polémiques. Certains Chefs d’Etat et de Gouvernement éviteront de l’accueillir de peur de subir les critiques de leur opinion publique locale. Les autorités politiques africaines qui accepteront de recevoir en visite officielle Monsieur Attal pourraient être accusées d’être des promoteurs des LGBT ou d’être homosexuels tout simplement. Car l’opinion publique africaine est très souvent frivole et téméraire. Voilà pourquoi, la nomination de Attal à la tête du Gouvernement pourrait provoquer un coup de froid dans les relations franco africaines, s’il était mis en avant. Les Africains sont systématiquement réfractaires à l’homosexualité.

    D’ailleurs, dans son rapport numéro 1841 intitulé : «Relations entre la France et l’Afrique » réalisé par la commission des affaires étrangères (M. Bruno Fuchs et Mme Michèle Tabarot), des mots importants ont été prononcés sur la question des LGBT en Afrique, et son impact négatif dans les relations entre la France et l’Afrique.

    La commission des Affaires étrangères avait pourtant bien cerné la question. Le rapport a fait remarquer que, «la France multiplie les initiatives qui peuvent être interprétées, aujourd’hui encore, comme une tentative de prolonger son emprise sur l’Afrique, en faisant la promotion de la démocratie tout en défendant ouvertement des régimes équivoques ou encore en cherchant à exporter ses standards, son modèle de société et ses valeurs ». Comme exemple, le rapport a rappelé que «récemment, l’ambassadeur français en charge de la défense des droits des lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres (LGBT) n’a fait que renforcer ce sentiment. Sa visite prévue au Cameroun du 27 juin au 1er juillet 2023 pour discuter de la situation des personnes LGBT dans ce pays où l’homosexualité est criminalisée a dû être annulée après que l’ambassadeur a été déclaré persona non grata, le gouvernement camerounais y voyant une initiative peu respectueuse des lois et des valeurs locales et lui refusant finalement la délivrance d’un visa ». Qu’en sera-t-il lorsque le Premier Ministre homosexuel décidera de se rendre dans ce pays ? Gabriel Attal aura-t-il le privilège d’être reçu avec tous les honneurs dans un palais africain où l’homosexualité est criminalisée ? Ne soyez pas surpris que de jeunes africains lancent des pétitions pour déclarer Attal persona non grata en Afrique. La résistance féroce de l’opinion publique africaine face à ce sujet, est sans commune mesure. Même les acteurs politiques évitent d’aborder ce sujet en public, sauf pour le dénoncer.

    Selon toujours, le rapport de la Commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale française, «la question de l’orientation sexuelle est à l’origine d’une autre incompréhension » entre la France et les pays africains.  Le rapport a rappelé que «l’homosexualité est interdite dans de nombreux pays du continent et passible de lourdes sanctions pénales ; au Soudan, en Somalie ou en Mauritanie, la peine de mort peut être requise pour homosexualité ; en Tanzanie, elle est passible d’une peine de prison de trente ans ; au Tchad, d’une peine de prison pouvant aller jusqu’à trois ans ».

    Par ailleurs, le document des députés français a ajouté que «dans la plupart des pays où l’homosexualité n’est pas explicitement criminalisée, la discrimination, la violence et la stigmatisation à l’encontre des personnes homosexuelles sont courantes ». D’ailleurs, «récemment, le corps d’un jeune homme, suspecté d’avoir une sexualité criminalisée au Sénégal, a été déterré et publiquement brûlé ». Ces actes monstrueux révèlent le niveau de rejet des hommes et des femmes qui assument publiquement leur homosexualité.

    «Les homologues diplomatiques du continent critiquent l’approche française de promotion des droits des personnes LGBT+, jugée intrusive et parfois contre-productive » a indiqué le rapport. Revenant sur l’incident au Cameroun, les auteurs du rapport ont souligné que «la tenue de cette conférence dans un pays où l’homosexualité est passible de six ans d’emprisonnement a été considérée, dans toute l’Afrique, comme une provocation ».

    Les députés ont d’ailleurs précisé «qu’il ne s’agit nullement d’accepter cette situation ni de renier nos valeurs, bien au contraire », mais il faut plutôt, «adapter nos pratiques et nos discours aux contextes locaux pour les rendre audibles et acceptables par les populations locales, afin de ne pas agir, à l’étranger, comme si nous étions en France ».

    «Il faut ainsi reconnaître que le mode opératoire diplomatique de la France n’est pas efficace. En Angola, une tribune engagée, publiée par un diplomate étranger sur ce sujet, a conduit à des arrestations dans la communauté LGBT+, démontrant que l’ingérence n’était pas de mise dans ce pays. C’est là une réalité qu’il faut pleinement prendre en compte » rappellent les auteurs du rapport parlementaire.

    Il faut reconnaitre que, face à cette tendance forte des autorités françaises à promouvoir des valeurs occidentales vues, comme des contrevaleurs en Afrique, la normalisation des relations entre la France et certains pays africains, n’est pas pour demain. Attendons de voir la première visite de Gabriel Attal en Afrique…

    Dakartimes

    « Plus Macky Sall me fait subir l’injustice, plus cela… », réagit Bougane Gueye Dany, après son élimination

    Dans une déclaration, Bougane Gueye Dany a déclaré : « Plus Macky Sall me fait subir l’injustice, plus cela est un carburant qui me motive, je suis debout plus que jamais pour me battre à vos côtés ». Il a ensuite ajouté : « Ensemble on va dégager ce système et les hommes qui dirigent ce système ».

    Le processus de validation des candidatures implique la collecte d’un certain nombre de parrainages. Bougane Gueye Dany devait atteindre le seuil de 44 231 parrains. Cependant, lors de son second passage devant la commission de contrôle des parrainages au Conseil constitutionnel, il n’a réussi à valider que 28 276 parrains, ne parvenant pas à atteindre le minimum requis.

    Lors de son premier passage, Bougane Gueye Dany avait réussi à valider ses parrainages dans six régions, mais il lui manquait encore une région pour satisfaire au critère de régions validées nécessaire pour se présenter à l’élection présidentielle de 2024.

    Horreur à Keur Mbaye Fall : les yeux de l’enfant retrouvé mort dans la voiture étaient…

    Le quartier Cité Poste de Keur Mbaye Fall a été secoué par un drame horrifiant, après la découverte de deux garçons portés disparus depuis jeudi. Retrouvés cinq jours plus tard, enfermés dans un véhicule en panne et recouverts d’une bâche, l’un des garçons était malheureusement décédé, tandis que l’autre se trouvait dans un état critique.

    Le garçon décédé, nommé Ibra Fall, présentait des blessures graves au niveau du front, mais des détails encore plus choquants ont été révélés par un membre de la famille éplorée : ses yeux étaient crevés, et son corps était en état de décomposition.

    Ces découvertes macabres ont suscité l’indignation et la colère parmi les habitants du quartier. Certains, venus compatir à la douleur de la famille, ont même envisagé de mener une expédition punitive contre la maison devant laquelle le véhicule était garé. Heureusement, l’intervention rapide de la gendarmerie a permis de sécuriser la zone et d’empêcher un déchaînement de violence.

    Le cousin du défunt, I. Dia, grièvement blessé à la cuisse et dans un état comateux, pourrait détenir des informations cruciales pour élucider cette affaire tragique. Les enquêteurs attendent son témoignage pour faire la lumière sur les circonstances entourant la disparition et la mort des deux garçons. faire un article

    Affaire du col de Bébé à la pouponnière « Keur Yeurmandé » : Le vigile et sa complice condamnés

    Dans le cadre de l’affaire du vol d’un bébé à la pouponnière « Keur Yeurmandé », le vigile, Jean Noël Ndour, et sa complice, Aminata Woury Diallo, ont été jugés devant la barre des flagrants délits de Dakar. La sentence rendue par le tribunal condamne les accusés à une peine de 2 ans de prison, dont six mois ferme, pour les chefs d’accusation d’enlèvement, de complicité, et de recel de bébé.

    Outre la peine d’emprisonnement, les deux condamnés devront s’acquitter chacun d’une amende de 200 000 F CFA. Cette décision de justice souligne la sévérité des conséquences pour ceux qui s’adonnent à des actes criminels tels que l’enlèvement d’un enfant.

    Il est important de noter que la constitution de partie civile de Ndella Madior Diouf, la fondatrice de la pouponnière « Keur Yeurmandé », a été déclarée recevable dans cette affaire. Cependant, elle n’avait pas désigné d’avocat pour défendre ses intérêts.

    Cette condamnation marque un pas significatif dans la protection des droits des enfants et envoie un message clair sur la fermeté de la justice face à de tels actes criminels, en particulier ceux qui touchent les plus vulnérables de la société. faire un article

    Vérification des candidatures présidentielles au Sénégal : Le conseil constitutionnel dans la dernière phase

    À la suite de la clôture du processus de collecte des parrainages pour l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal, le Conseil constitutionnel entre maintenant dans la phase de vérification des dossiers de candidature. La première étape a été la vérification initiale des parrainages, qui a conduit à la validation provisoire de 21 candidatures.

    Cependant, conformément à l’article 221 de la Loi n°2021‐35 du 23 juillet 2021 portant Code électoral, le Conseil constitutionnel doit examiner, dans un délai de 10 jours à compter du 10 janvier, d’autres pièces requises pour la candidature de chaque postulant. Ces documents comprennent :

    1. Certificat de nationalité : Une preuve de la nationalité sénégalaise du candidat.

    2. Photocopie légalisée de la carte d’identité biométrique CEDEAO : La carte d’identité biométrique qui sert également de carte d’électeur.

    3. Extrait d’acte de naissance : Un document récent datant de moins de six mois.

    4. Bulletin n°3 du casier judiciaire : Un document récent datant de moins de trois mois.

    5. Attestation d’investiture : Délivrée par un parti politique, une coalition de partis politiques ou une entité regroupant des personnes indépendantes, attestant de l’investiture du candidat.

    6. Liste des électeurs parrains : Présentée sur fichier électronique et en support papier, avec des exigences spécifiques en termes de représentation régionale et de pourcentage par rapport au fichier général.

    7. Déclaration sur l’honneur de conformité constitutionnelle et de nationalité exclusive :** Une attestation de la conformité de la candidature avec les articles 4 et 28 de la Constitution, et de la possession exclusive de la nationalité sénégalaise.

    8. Déclaration sur l’honneur de conformité fiscale : Attestation de régularité vis-à-vis de la législation fiscale sénégalaise.

    9. Quittance de dépôt du cautionnement : Confirmation du dépôt du cautionnement, accompagnée d’une attestation du Directeur général de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC).

    Il est essentiel de noter que tout dossier incomplet à l’expiration des délais fixés entraînera l’irrecevabilité de la candidature. En cas d’irrecevabilité, le cautionnement déposé par le candidat sera remboursé quinze jours après la publication définitive de la liste des candidats.

    Le Conseil constitutionnel a l’intention d’annoncer officiellement les candidats retenus pour l’élection présidentielle au plus tard le 20 janvier. Cela marquera une étape cruciale dans le processus électoral au Sénégal.

    Le super calculateur Opta prédit la victoire du Sénégal à la CAN 2024

    Les prévisions sont tombées et selon le super calculateur d’Opta, le Sénégal émerge en tant que favori pour remporter la Coupe d’Afrique des Nations 2024. Les pourcentages attribués aux différentes équipes offrent un aperçu passionnant des probabilités de succès à venir.

    Classement des favoris selon Opta :

    1. Sénégal: 12,8%
    2. Côte d’Ivoire: 12,1%
    3. Maroc: 11,1%
    4. Algérie: 9,7%
    5. Égypte: 8,5%
    6. Nigéria: 8%
    7. Cameroun: 7,4%
    8. Tunisie: 6,3%
    9. Ghana: 5,3%

    Le Sénégal en pole position :

    Avec une impressionnante cote de 12,8%, le Sénégal occupe la première place des prédictions d’Opta, indiquant ainsi une forte probabilité de décrocher le titre tant convoité. L’équipe sénégalaise, forte de sa performance lors des éliminatoires, est perçue comme la mieux positionnée pour briller lors de la compétition continentale.

    La Côte d’Ivoire et le Maroc en embuscade :

    La Côte d’Ivoire et le Maroc suivent de près avec des pourcentages respectifs de 12,1% et 11,1%. Ces deux équipes sont également considérées comme des prétendants sérieux, prêtes à défier le statut de favori du Sénégal.

    L’Algérie, l’Égypte et le Nigéria dans la course :

    L’Algérie, championne en titre, se trouve à la quatrième place avec 9,7%, tandis que l’Égypte et le Nigéria complètent le top 5 avec des pourcentages de 8,5% et 8% respectivement. Ces équipes sont toutes des compétiteurs chevronnés, prêtes à rivaliser pour la suprématie africaine.

    Des surprises à prévoir ?

    Les pourcentages attribués aux autres équipes, y compris le Cameroun, la Tunisie et le Ghana, suggèrent que la compétition sera intense, avec la possibilité de surprises tout au long du tournoi.

    La CAN 2024 s’annonce donc comme une aventure palpitante, avec le Sénégal en tête des pronostics. Cependant, comme le montrent ces prévisions, rien n’est joué d’avance dans le monde du football, et chaque équipe aura à cœur de défier les attentes et de créer sa propre histoire sur le terrain.

    Emmanuel Adebayor prédit la victoire de l’Algérie à la CAN 2024 et snobe le Sénégal

    Dans une récente interview accordée à Anis Meziane (ENTV), l’ancienne star du football togolais, Emmanuel Adebayor, a exprimé son soutien affirmé à l’équipe nationale de l’Algérie en prévision de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024. Ses commentaires audacieux ont également été accompagnés d’un apparent dédain envers l’équipe nationale du Sénégal.

    Adebayor a commencé par saluer la performance exceptionnelle de l’équipe algérienne, soulignant leur performance convaincante face au Togo. Il a particulièrement mis en avant la maîtrise du ballon de l’équipe et a félicité Nabil Bentaleb pour son jeu intelligent et ses décisions judicieuses sur le terrain.

    L’ancien attaquant a ensuite souligné les atouts majeurs de l’Algérie en la personne de Riyad Mahrez et Islam Slimani. Selon lui, la combinaison de talents tels que Mahrez et Slimani offre à l’Algérie toutes les chances de remporter la CAN. Cependant, Adebayor a averti qu’il est crucial de rester vigilant tout au long de la compétition.

    Adebayor a exprimé son fort soutien à l’équipe algérienne en se remémorant ses expériences agréables lors des matchs disputés dans le pays. Il a ajouté des vœux de succès chaleureux pour la CAN 2024, concluant en souhaitant beaucoup de réussite à l’Algérie dans la compétition à venir.

    De manière frappante, Adebayor a écarté l’équipe nationale du Sénégal de ses prévisions optimistes, soulignant plutôt l’Algérie comme le favori incontesté. Cette déclaration risque de susciter des réactions contrastées, notamment chez les supporters sénégalais, alors que la compétition s’annonce plus intense que jamais. La CAN 2024 sera certainement une scène à suivre, avec des enjeux élevés et des rivalités sportives passionnantes.

    Les Lions Indomptables de la Teranga à Abidjan : Un retour historique pour reprendre la CAN de 92

    Dans un élan de nostalgie et de détermination, les Lions Indomptables du Sénégal sont arrivés à Abidjan pour participer à la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) avec un objectif clair : ramener le trophée qui leur a échappé il y a trente ans, lors de la mémorable édition de 1992 remportée par les Ivoiriens à Dakar.

    Le reporter de Seneposte, présent à l’aéroport d’Abidjan, a chaleureusement accueilli l’équipe nationale sénégalaise à son arrivée. Les joueurs, le staff technique et les supporters ont été unis dans l’excitation de retrouver la terre où ils avaient vu échapper la coupe autrefois. Cet accueil symbolique marque le début d’une campagne où les Lions Indomptables visent à créer l’histoire en ramenant le trophée au Sénégal.

    À l’approche du tournoi, l’équipe sénégalaise est animée par la détermination de répéter l’exploit des Ivoiriens en 1992, lorsqu’ils ont remporté la CAN à Dakar. C’est un « Back to Back » qui est dans les esprits, une ambition qui transcende les générations de joueurs et qui symbolise le désir ardent de voir le Sénégal s’inscrire une nouvelle fois dans les annales du football africain.

    Les Lions Indomptables, dirigés par leur entraîneur charismatique, ont affiché une détermination sans faille lors de leur arrivée à Abidjan. La CAN 2024 représente une opportunité pour la rédemption et la réparation d’une histoire inachevée. Le talent incontestable des joueurs, combiné à la cohésion d’équipe, fait des Lions Indomptables l’une des équipes à surveiller de près pendant ce tournoi.

    Grève de la faim à la maison d’arrêt de Diourbel : Les détenus protestent contre les longues détentions et la surpopulation carcérale

    Depuis le lundi 8 janvier 2024, les détenus de la maison d’arrêt et de correction de Diourbel observent une grève de la faim pour protester contre les longues détentions préventives et la surpopulation carcérale. Cette action met en lumière les difficultés persistantes auxquelles sont confrontés les établissements pénitentiaires au Sénégal.

    La grève de la faim a des conséquences graves sur la santé de certains détenus, avec 7 d’entre eux évacués vers l’infirmerie de la prison. Cette situation souligne l’urgence d’une intervention des autorités pénitentiaires de l’État pour résoudre la crise, répondre aux préoccupations des détenus et améliorer les conditions de vie en détention.

    Cette protestation souligne également la nécessité d’une réflexion plus large sur la réforme du système judiciaire et pénitentiaire afin de garantir le respect des droits des détenus et de créer des conditions plus humaines dans les prisons du pays.

    Macky Sall promet des récompenses exceptionnelles aux lions indomptables de la teranga

    Lors de la remise du drapeau national aux lions de la Teranga en prévision de la Coupe d’Afrique des Nations 2024 (CAN 2024), le Président Macky Sall a annoncé des récompenses sans précédent en cas de victoire. Après avoir déjà offert 76 000 euros (50 millions FCFA) et deux terrains à Dakar et Diamniadio aux champions d’Afrique 2022, le Président a promis des récompenses qui dépasseront l’entendement en cas de succès.

    Le Président Macky Sall a exprimé sa confiance en l’équipe nationale sénégalaise de football et leur a assuré que s’ils ramenaient la coupe d’Afrique cette fois-ci, les récompenses seraient à la hauteur de leur sacre et de leurs sacrifices. Il a également laissé entendre que ces récompenses seraient exceptionnelles et marqueraient un moment historique dans le football sénégalais.

    Cette promesse du Président Macky Sall montre l’importance accordée au succès sportif et la volonté de célébrer les victoires des Lions Indomptables de la Teranga au plus haut niveau continental. Les joueurs sont désormais galvanisés par cet engagement présidentiel et auront à cœur de représenter dignement le Sénégal lors de la CAN 2024.

    Cérémonie de remise de ballons aux clubs de la Ligue Pro par la LSFP

    La Ligue Sénégalaise de Football Professionnel a reçu un lot de ballons de son partenaire Givova, a informé l’instance sur son compte officiel. Une cérémonie de remise aux clubs sera organisée ce mercredi à son siège.

    Alors que l’on se rapproche de la 13e journée, c’est-à-dire, la phase de la fin de la phase aller du championnat, le département logistique de la Ligue Sénégalaise de Football Professionnel a reçu de nouveau matériel qui plaira certainement aux différents clubs affiliés. En effet, l’instance du football local a informé avoir reçu un lot de ballons de la part de son partenaire, Givova.

    Dès lors, une cérémonie de remise aux clubs sera organisée ce mercredi, à partir de 10H30 au siège de la LSFP, a-t-on lu du communiqué de ladite instance.

    Le talent prometteur d’Amara Diouf : Un avis éclairé de Guillaume Mahusu

    Selon Mahusu, le moment marquant a été le superbe but inscrit par Amara Diouf lors de cette compétition. Le commentateur insiste sur la percussivité et la maîtrise technique du jeune joueur, affirmant qu’en Europe, il aurait probablement déjà eu l’opportunité de jouer pour une équipe senior. Cependant, Mahusu exprime sa préoccupation quant à la réalité du football africain, où les talents peuvent parfois ne pas atteindre leur plein potentiel en raison de diverses contraintes.

    La déclaration de Guillaume Mahusu, qui se définit lui-même comme congolais de père et de mère, reflète un amour profond pour le talent d’Amara Diouf et un appel à ne pas laisser ce potentiel se perdre dans le contexte africain. Cette prise de position soulève des questions sur la manière dont le football africain peut mieux valoriser et développer ses jeunes talents, contribuant ainsi à l’avancement du sport sur le continent.

    Demba Seck : Une doublure oubliée pour Ismaila Sarr ?

    La question persiste dans l’esprit des observateurs et des fans de football sénégalais : pourquoi Demba Seck, perçu comme la doublure parfaite d’Ismaila Sarr, semble-t-il être mis de côté par l’entraîneur Aliou Cissé ?

    La problématique des ailiers de l’équipe nationale du Sénégal a été soulevée, mettant en lumière une difficulté à dribbler lors des phases offensives, en particulier face à un bloc bas. L’analyse suggère que les excentrés comme Sadio Mané, Ismaila Sarr et Illimane Ndiaye ont du mal à prendre leurs responsabilités en un contre un, privilégiant souvent des passes en retrait plutôt que de dribbler les latéraux adverses.

    Dans ce contexte, Demba Seck a été cité comme une alternative crédible, ayant démontré ses compétences lors de son unique prestation avec l’équipe nationale contre la Bolivie (victoire 2-0). La description de ses qualités, tant balle au pied qu’en dribble, laisse entrevoir un profil complémentaire à celui d’Ismaila Sarr.

    La question qui se pose alors est pourquoi Demba Seck n’a pas eu plus d’opportunités pour prouver sa valeur depuis son entrée réussie contre la Bolivie. Son absence continue à susciter des interrogations, d’autant plus que sa prestation en équipe nationale a laissé une impression positive.

    Les fans se demandent si Aliou Cissé a délibérément écarté Demba Seck ou s’il a d’autres plans en tête. À deux mois de la Coupe d’Afrique des Nations, la question de la doublure crédible pour Ismaila Sarr demeure une préoccupation pour les supporters sénégalais. La réponse à cette énigme pourrait influencer les performances futures de l’équipe nationale dans les compétitions à venir.

    Lamine Camara face au Niger : Entre attentes et déception

    La performance de Lamine Camara lors du récent match contre le Niger a suscité des réactions mitigées parmi les supporters et les observateurs du football sénégalais. Le joueur du FC Metz, habituellement reconnu pour son jeu offensif et sa précision dans les frappes à mi-distance, a été critiqué pour sa prestation en demi-teinte.

    Les reproches portent principalement sur le nombre de passes en retrait et le manque d’initiative offensive de Camara au cours du match. Certains observateurs notent que sa performance était en deçà des attentes, soulignant son habituelle précision dans les frappes à mi-distance, qui semblait avoir fait défaut lors de ce match.

    Les critiques se concentrent également sur des frappes imprécises aux abords de la surface, ainsi que sur des décisions de jeu qui ont parfois conduit à des passes jugées trop sûres. Certains estiment que le joueur aurait pu être plus entreprenant et faire preuve de plus de créativité dans ses actions.

    Cependant, des éloges sont également adressés à Camara pour son rôle dans les centres et balles arrêtées, soulignant sa maîtrise dans ces domaines. Le but de Formose Mendy, provenant d’un corner bien frappé par Camara, met en lumière sa contribution positive dans certaines phases du jeu.

    Au final, la prestation de Lamine Camara soulève des interrogations sur les raisons de cette performance en demi-teinte. Est-ce lié à une précipitation, un manque de concentration ou simplement une journée difficile pour le joueur ? Les attentes élevées envers Camara soulignent l’importance de sa contribution pour le succès de l’équipe nationale du Sénégal, et les supporters espèrent voir une amélioration dans les prochains matchs.

    André Onana suit les pas de Mughé et refuse de jouer pour le Cameroun : Équité ou deux poids-deux mesures ?

    La décision d’André Onana de ne pas participer à la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) a créé des discussions et des comparaisons avec l’affaire récente de Mughé, qui a également choisi de se concentrer sur sa carrière en club plutôt que de représenter l’équipe nationale du Cameroun.

    À l’instar de Mughé, Onana a annoncé qu’il préfère se concentrer sur son parcours en club et a décliné l’invitation à rejoindre l’équipe nationale pour la CAN 2024. Cette décision soulève des questions sur la cohérence et l’équité dans le traitement des joueurs qui font des choix similaires.

    Les observateurs font référence à l’apparente différence de traitement entre Mughé, qui a été direct et franc dans sa communication, et Onana, qui a choisi un langage plus diplomatique. Certains estiment que si Samuel Eto’o Fils a été intransigeant avec Mughé, il devrait adopter la même position envers Onana.

    Le débat se focalise sur la question de savoir si Eto’o, en tant que figure influente dans le football camerounais, devrait appliquer une politique cohérente envers tous les joueurs qui prennent des décisions similaires. Certains rappellent que l’équité est essentielle pour maintenir la crédibilité et la confiance dans la gestion de l’équipe nationale.

    La situation est complexe, notamment en raison des variations dans les déclarations de Eto’o concernant la disponibilité de Onana pour des matchs spécifiques. La cohérence dans les réponses de la direction de l’équipe nationale sera cruciale pour éviter toute perception de partialité ou de deux poids-deux mesures.

    Les Supporters Sénégalais félicitent Sadio Mané d’une manière unique : « Heureux Ménage, Général Mané !

    Les supporters passionnés de l’équipe nationale du Sénégal ont exprimé leur joie et leurs félicitations à Sadio Mané d’une manière unique, suite à son mariage récent. Le capitaine emblématique des Lions de la Teranga a récemment célébré son union, suscitant une vague de réactions enthousiastes de la part de ses fans.

    Arborant des maillots et des écharpes aux couleurs nationales, les supporters sénégalais ont organisé des célébrations spontanées pour féliciter Sadio Mané. Les rues résonnaient de chants et de danses, créant une atmosphère festive dans tout le pays.

    Les messages de félicitations se sont multipliés sur les médias sociaux, avec des hashtags tels que #HeureuxMénageSadio, reflétant l’affection et le soutien des fans envers leur star du football. Des images et des vidéos des festivités ont circulé largement, montrant l’unité et la fierté des supporters sénégalais dans cette période heureuse pour Sadio Mané.

    Le « Général Mané », comme l’appellent affectueusement les supporters, a toujours été une source d’inspiration et de fierté pour le Sénégal, et cette célébration joyeuse démontre l’attachement profond du peuple sénégalais à leur capitaine exceptionnel.

    Élection Présidentielle 2024 au Sénégal : La liste des candidats ayant validé le parrainage

    Dans le cadre de la course à la présidentielle de 2024 au Sénégal, 21 candidats ont franchi avec succès l’étape cruciale du parrainage, démontrant ainsi un soutien significatif et étendu à travers le pays. Ces candidats, représentant une diversité d’opinions et de mouvements politiques, ont respecté les critères requis pour concourir à la plus haute fonction de l’État.

    La liste complète des candidats ayant validé leur parrainage est la suivante :

    1. Boubacar Camara

    2. Dethié Fall 3.

    Cheikh Tidiane Dièye

    4. Daouda Ndiaye

    5. Karim Wade

    6. Habib Sy

    7. Khalifa Ababacar Sall

    8. Anta Babacar Ngom

    9. Amadou Bâ

    10. Rose WARDINI

    11. Idrissa SECK

    12. Aliou Mamadou DIA

    13. Serigne MBOUP

    14. Papa Djibril FALL

    15. Mamadou Lamine DIALLO

    16. Mahammed Boun Abdallah DIONNE

    17. El Hadji Malick GAKOU

    18. Aly Ngouille NDIAYE

    19. Elhadj Mamadou Diao

    20. Bassirou Diomaye Faye

    21. Thierno Alassane Sall

    Cette liste diversifiée illustre la richesse du paysage politique sénégalais et annonce une compétition électorale dynamique en perspective. Les électeurs sénégalais auront le choix parmi une variété de candidats, chacun apportant sa vision et ses propositions pour le développement futur du pays.

    Échec au Parrainage pour Bougane Guèye Dany : sa réaction face à un revers pour Gueum Sa Bopp

    Le leader du mouvement Gueum Sa Bopp, Bougane Guèye Dany, se voit confronté à un obstacle majeur dans sa quête présidentielle au Sénégal, avec son échec au parrainage. Malgré sa progression au second tour, ses 28 476 parrains obtenus sur 22 629 déposés ne répondent pas au seuil requis de 18 996, entraînant son inéligibilité.

    Recalé au parrainage : Bougane Gueye Dany réagit !

    Mamadou Guèye, le mandataire de Bougane Guèye Dany, avance l’idée d’une politique visant à évincer des candidats sérieux, soulignant les tensions entourant le processus de parrainage au Sénégal. Cette situation pourrait redéfinir la dynamique politique, excluant Bougane Guèye Dany de la course présidentielle malgré son statut de candidat indépendant.

    Alors que la compétition présidentielle se poursuit, les candidats et les électeurs observent attentivement, conscients des répercussions potentielles sur l’avenir politique du pays. La réaction de Bougane Guèye Dany face à ce revers ajoute une dimension cruciale à cette étape du processus électoral.

    Malick Gackou poursuit avec succès sa campagne Présidentielle après validation du parrainage

    Malick Gackou, représentant de la « Coalition Gackou 2024 », reste fermement en lice pour la présidentielle de 2024 au Sénégal après avoir franchi avec succès l’étape cruciale du parrainage. Lors de sa présentation devant la Commission du Conseil constitutionnel, il a réussi à valider 54 520 parrains, dépassant ainsi largement le seuil requis par le Code électoral.

    Le processus de collecte et de validation des parrainages est une étape déterminante pour chaque candidat à la présidence, et Malick Gackou a su démontrer un large soutien à travers les différentes régions du pays. Selon les dispositions légales sénégalaises, chaque candidat doit recueillir au moins 44 231 parrainages, répartis dans un minimum de 7 régions, avec au moins 2 000 parrains par région.

    Le leader de la « Coalition Gackou 2024 » se positionne désormais comme un prétendant sérieux à la présidence, et son succès dans le contrôle des parrainages renforce sa crédibilité dans la compétition électorale à venir. La campagne présidentielle au Sénégal promet d’être dynamique, avec une diversité de candidats apportant leurs visions et propositions pour le futur de la nation.

    Aly Ngouille Ndiaye franchit avec succès l’étape du parrainage pour la Présidentielle

    Au premier tour, Aly Ngouille Ndiaye avait validé 43 137 parrains avec 15 759 doublons externes. Pour atteindre le minimum requis fixé par le Code électoral, il ne lui restait qu’à régulariser 1 094 parrains. Sa capacité à surmonter cette étape délicate témoigne de son engagement politique et de sa base de soutien solide.

    Il est à noter qu’Aly Ngouille Ndiaye était parmi les signataires d’une requête déposée récemment, demandant une reprise du processus de contrôle du parrainage. Son succès dans cette étape cruciale renforce sa position parmi les candidats éligibles à la présidentielle, et il continuera probablement à jouer un rôle actif dans le paysage politique sénégalais au cours de la campagne électorale à venir.

    Thierno Alassane Sall réussit le contrôle des parrainages : Un ouf de soulagement pour sa candidature à la Présidentielle 2024

    Bonne nouvelle pour Thierno Alassane Sall dans sa course à la présidence en 2024, car le leader de la République des Valeurs (RV) a réussi à franchir avec succès l’étape cruciale du contrôle des parrainages devant le Conseil constitutionnel.

    Lors de cette étape déterminante, Thierno Alassane Sall a pu valider son parrainage avec un total de 49 821 parrains-électeurs, une réalisation qui le qualifie pour participer à l’élection présidentielle à venir.

    Cet accomplissement représente un soulagement pour le candidat et son équipe, soulignant l’importance du processus de collecte de parrainages dans le contexte politique sénégalais. Les candidats doivent répondre aux exigences strictes du Code électoral, qui stipule le nombre minimum de parrainages nécessaires pour se qualifier.

    Alors que Thierno Alassane Sall poursuit sa campagne présidentielle, cette réussite renforce sa position parmi les candidats éligibles et contribue à façonner le paysage politique en vue des élections présidentielles de 2024. Les électeurs sénégalais, de leur côté, continueront à suivre de près les développements pour prendre des décisions éclairées lors du scrutin à venir.

    Invalidation du parrainage : Amadou Ly « Akilee » Écarté de la course Présidentielle de 2024

    La candidature d’Amadou Ly, plus connu sous le nom « Akilee », pour l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal, a été invalidée suite au contrôle du parrainage effectué par le Conseil Constitutionnel. Cette décision met fin à la participation d’Amadou Ly à la course présidentielle, le Conseil Constitutionnel estimant que le nombre de parrainages recueillis ne respectait pas les critères requis.

    Le processus de contrôle du parrainage est une étape cruciale dans la préparation des candidats à l’élection présidentielle au Sénégal. Les règles stipulent que chaque candidat doit obtenir un nombre minimum de parrainages provenant d’électeurs répartis dans un certain nombre de régions du pays.

    L’invalidation de la candidature d’Amadou Ly « Akilee » souligne les défis auxquels les candidats sont confrontés pour satisfaire aux exigences strictes du Code électoral sénégalais. Cette décision aura des implications importantes sur la dynamique politique en cours et sur la configuration finale des candidats éligibles pour l’élection présidentielle de 2024.

    Alors que la compétition présidentielle se poursuit, les regards seront tournés vers d’autres candidats en lice, et les électeurs sénégalais observeront de près les développements ultérieurs qui façonneront le paysage politique du Sénégal dans les semaines à venir.

    Échec au parrainage pour Bougane Guèye Dany : Un coup dur pour la candidature de Gueum Sa Bopp

    Bougane Guèye Dany, leader du mouvement Gueum Sa Bopp, a rencontré un revers majeur dans sa tentative de validation des parrainages nécessaires pour participer à l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal. Malgré son passage au second tour, il n’a pu obtenir que quelque 3 000 parrains supplémentaires, loin du nombre requis.

    Au terme du premier tour, Bougane Guèye Dany avait besoin de 18 996 parrains pour atteindre le minimum requis fixé par le Code électoral sénégalais. Malheureusement, il n’a réussi à en obtenir que 28 476 sur les 22 629 parrains déposés, ce qui s’est avéré insuffisant pour passer cette étape cruciale du processus électoral.

    Le mandataire de Bougane Guèye Dany, Mamadou Guèye, a exprimé sa conviction que cette situation résulte d’une politique du régime en place visant à écarter des candidats sérieux de la compétition présidentielle. Ces allégations soulignent les tensions et les controverses entourant le processus de parrainage, un aspect crucial du système électoral sénégalais.

    Cette nouvelle a des implications significatives pour la dynamique politique en cours, car Bougane Guèye Dany, qui avait suscité l’attention en tant que candidat indépendant, se retrouve désormais exclu de la liste des candidats éligibles à la présidence.

    Alors que la compétition présidentielle au Sénégal continue de se dérouler, les candidats et les électeurs observent de près chaque développement, conscient de l’impact que ces événements auront sur l’avenir politique du pays.

    Dr El Hadji Abdourahmane Diouf : Invalidation de la candidature suite au contrôle de parrainage

    La candidature de Dr El Hadji Abdourahmane Diouf pour l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal vient de subir un revers majeur. Dans le cadre du contrôle de parrainage, le Conseil Constitutionnel a pris la décision d’invalidation, déclarant que le nombre de parrainages recueillis par le candidat ne répondait pas au seuil minimum requis par les dispositions légales.

    Cette décision place Dr El Hadji Abdourahmane Diouf en dehors de la liste des candidats éligibles à l’élection présidentielle, représentant un coup dur pour sa campagne et ses partisans. Le processus de collecte de parrainages, une étape cruciale pour tout candidat présidentiel au Sénégal, a été un obstacle insurmontable dans ce cas particulier.

    Le Conseil Constitutionnel, en tant qu’organe chargé de vérifier la conformité des candidatures aux exigences électorales, a déterminé que Dr El Hadji Abdourahmane Diouf n’a pas atteint le seuil de parrainages requis par le Code électoral sénégalais.

    Cette invalidation souligne l’importance des parrainages dans le processus électoral du Sénégal, visant à garantir une représentation populaire significative et à établir des critères stricts pour les candidats à la présidence. Alors que la compétition présidentielle se poursuit, cette décision aura des implications sur la dynamique politique et les choix des électeurs sénégalais dans les semaines à venir.

    Bassirou Diomaye faye réussit avec succès l’étape du parrainage pour sa candidature présidentielle

    Dans la course présidentielle sénégalaise de 2024, Bassirou Diomaye Faye, le plan B de l’ex-parti Pastef, a franchi avec succès l’étape cruciale du parrainage, se qualifiant ainsi pour participer à l’élection présidentielle du 25 février. Cette nouvelle apporte un soulagement aux partisans du candidat, en particulier après l’élimination d’Ousmane Sonko en raison d’un dossier incomplet.

    Au départ, Bassirou Diomaye Faye devait régulariser 4 219 parrains sur 6 609 doublons externes. Cependant, il a finalement obtenu 45 729 parrains, dépassant largement le nombre requis. Cette réussite est perçue comme une bouffée d’oxygène pour les partisans qui ont vu leur candidat initial, Ousmane Sonko, éliminé en raison de problèmes de documentation.

    La réussite de Bassirou Diomaye Faye dans le processus de parrainage ajoute un nouveau dynamisme à la compétition présidentielle. Alors que certains candidats ont fait face à des obstacles lors du contrôle des parrainages, d’autres, comme Bassirou Diomaye Faye, ont réussi à répondre aux exigences strictes du Code électoral sénégalais.

    Cette nouvelle souligne l’importance des parrainages dans le processus électoral sénégalais et montre la détermination des candidats à surmonter les obstacles pour participer à la compétition présidentielle. Les semaines à venir promettent d’être intenses, avec les candidats ajustant leurs stratégies et les électeurs sénégalais observant de près chaque développement dans cette course cruciale pour la présidence.

    Les aéroports de Ziguinchor et Cap – Skirring bientôt opérationnels, annonce le ministre des Transports aériens

    Le ministre des Transports aériens et du Développement des Infrastructures aéroportuaires, Antoine Mbengue, a révélé lors d’une visite de travail ce lundi 8 janvier 2024, que les aéroports de Ziguinchor et Cap-Skirring seront bientôt exposés et pourraient être exploités prochainement.

    Les aéroports de Ziguinchor et Cap - Skirring bientôt opérationnels, annonce le ministre des ...

    Au cours de sa visite, M. Mbengue a inspecté les chantiers de l’aéroport international du Cap-Skirring et de l’aéroport international de Ziguinchor. Il a exprimé sa satisfaction quant à l’état d’avancement des travaux à Ziguinchor, soulignant que bien que le gouvernement souhaite voir les projets se concrétiser immédiatement après leur commande, des difficultés exogènes peuvent parfois entraîner des retards.

    « Le chantier est en marche », a déclaré M. Mbengue, faisant référence à l’aéroport de Ziguinchor. « La construction des bâtiments est très avancée, la réalisation de la piste sera poursuivie avec l’entreprise qui est en charge des travaux. Nous pourrons exploiter ces aéroports dans le plus grand bénéfice du Sénégal, même si, pour le moment, nous ne pouvons pas nous exprimer sur le degré de réalisation des travaux. »

    Le ministre a souligné que les difficultés rencontrées sur les chantiers, comme celles dues aux inondations à Cap-Skirring, sont normales. Il a expliqué que ces obstacles exogènes sont inévitables mais que les autorités travaillent activement pour minimiser les retards.

    M. Mbengue a indiqué qu’une note détaillée, faisant office de rapport d’inspection, lui serait transmise dans les meilleurs délais pour fournir davantage d’informations complémentaires sur l’avancement des travaux. La concrétisation prochaine de ces projets promet d’apporter des avantages significatifs au Sénégal, renforçant ainsi le secteur des transports aériens dans la région.

    AS – Le Dakarois Ziguinchor

    Arrestations controversées de membres de PASTEF lors d’un baptême : Guy Marius Sagna dénonce les actes de répression

    Le 7 janvier 2024, dans le cadre de l’initiative « Chemin de la Libération », Guy Marius Sagna et d’autres activistes se sont rendus dans le département de Kër Massar pour exprimer leur soutien aux familles de personnes détenues pour des raisons politiques. Cependant, la mission a été marquée par des arrestations controversées de membres du parti PASTEF, survenues le jour du baptême de leurs enfants.

    Guy Marius Sagna, un militant bien connu, a exprimé sa consternation face à ces arrestations, soulignant que des membres de PASTEF ont été appréhendés le jour même où ils célébraient le baptême de leurs enfants, en compagnie de leurs invités. Il a également rapporté que certains membres du parti ont été arrêtés dans leur propre lit, arrachés de chez eux par les forces de défense et de sécurité.

    Ces arrestations ont suscité une vive réaction de la part de Guy Marius Sagna, qui a déclaré que de telles actions ne font que renforcer leur détermination à s’opposer au régime de Macky Sall. Selon lui, ces incidents ne font que confirmer la conviction que le système en place n’est pas amendable et qu’un changement radical est nécessaire.

    Les familles de détenus politiques dans le département de Kër Massar ont été visitées au cours de cette initiative. Certains des détenus mentionnés dans le message de Guy Marius Sagna comprennent Mouhamed Fall, Abdou Lahad Diop (Coordinateur PASTEF à Jaxaay), Faly Sanè, Mouhamed Ndiaye, Fallou Lô, Yaya Coulibaly, Cheikh Mbaye, Aly Diattara, Awa Diop, Cheikh Oumar Biteye, Amath Biteye, Amadou Fofana, Sora (Mansour), Bamba Cissé, Gora Hann, Sidy Gaye, Mamadou Lamine Diallo (Coordinateur départemental JPS à Keur Massar), et Dr Seydou Diallo (Coordinateur départemental PASTEF à Keur Massar).

    Ces événements soulignent les tensions croissantes au sein de la sphère politique au Sénégal, alors que les élections présidentielles de février 2024 se profilent à l’horizon. Les arrestations de membres de l’opposition suscitent des préoccupations concernant la liberté politique et les droits civils dans le pays.

    Mame Boye Diao passe avec succès la vérification des parrainages devant le Conseil Constitutionnel

    La commission mise en place par le Conseil constitutionnel pour le contrôle des parrainages en vue de l’élection présidentielle du 25 février 2024 poursuit son travail, évaluant la validité des soutiens soumis par les candidats. Certains candidats ont dû compléter leurs dossiers de parrainage après une première évaluation, et parmi eux, El Hadji Mamadou Diao, plus connu sous le nom de Mame Boye Diao, a réussi avec succès cette étape cruciale le mardi 09 janvier.

    Candidat de la « Coalition Diao 2024 », Mame Boye Diao a franchi cette étape avec brio, validant un total impressionnant de 53 022 parrains. Cette réalisation témoigne de sa capacité à mobiliser un soutien significatif à travers le pays, répondant ainsi aux exigences légales en matière de parrainages fixées par le Code électoral sénégalais.

    Selon les dispositions du Code électoral, chaque candidat à l’élection présidentielle doit recueillir un minimum de 55 185 parrainages, provenant d’au moins 2 000 électeurs répartis dans un minimum de 7 régions différentes du pays. Cette exigence vise à assurer une représentation équitable sur l’ensemble du territoire national.

    La réussite de Mame Boye Diao à cette étape renforce sa position en tant que candidat crédible dans la compétition présidentielle. Alors que la campagne électorale s’intensifie, cette étape cruciale est un témoignage de son soutien populaire et de sa capacité à rassembler des partisans à travers le pays.

    Le paysage politique sénégalais continue d’évoluer à mesure que les candidats progressent dans le processus électoral, et Mame Boye Diao est désormais solidement positionné pour participer activement à la compétition présidentielle de 2024. Les prochaines semaines seront décisives, avec les électeurs sénégalais attentifs à chaque développement dans cette course présidentielle cruciale.

    Aminata Touré réagit avec colère à l’invalidation de sa candidature et s’attaque à Macky Sall

    Le Conseil constitutionnel a annoncé l’invalidation définitive de la candidature d’Aminata Touré à la présidentielle, une décision qui a déclenché une réaction passionnée de l’ancienne Première ministre. Accusant directement le président Macky Sall d’être derrière ce rejet, Aminata Touré a exprimé sa colère et son engagement continu dans la sphère politique sénégalaise.

    Cette réaction enflammée souligne les tensions croissantes dans le pays à l’approche des élections présidentielles. Les enjeux politiques sont élevés, et les débats sur la démocratie et la gouvernance continuent de façonner le paysage politique sénégalais. Les semaines à venir promettent d’être animées, avec les candidats et les électeurs sénégalais naviguant à travers un terrain politique complexe et dynamique.

    Macky Sall Raille Sadio Mané Après son Mariage : « Tu as du Travail… » (vidéo)

    Le Chef de l’État a saisi l’occasion pour taquiner le footballeur en disant : « Tu as maintenant du travail en dehors du terrain. » Cette remarque légère a suscité des sourires parmi l’assistance, soulignant l’humour et la camaraderie entre le président et l’icône du football sénégalais.

    Sadio Mané, qui n’a pas participé au match amical contre le Niger lundi, a été le sujet de l’attention nationale après son mariage récent. Bien que son absence sur le terrain ait été notée, les Lions ont réussi à s’imposer par un score de un but à zéro.

    Cette interaction décontractée entre le président Macky Sall et Sadio Mané illustre la relation chaleureuse entre le monde du sport et la sphère politique au Sénégal. Les succès sportifs, tels que la performance attendue des Lions à la CAN 2023, sont souvent célébrés avec enthousiasme par les dirigeants politiques, renforçant ainsi le lien entre le sport et la fierté nationale.

    Alors que le Sénégal se prépare pour la compétition continentale, cette légère plaisanterie du président Macky Sall ajoute une touche d’allégresse à l’atmosphère et renforce le soutien du pays à ses Lions, qui cherchent à remporter le prestigieux trophée de la CAN.

    Abdoul Mbaye inéligible à la Présidentielle 2024 suite à un contrôle de parrainage

    La course présidentielle sénégalaise de 2024 subit un bouleversement majeur avec le rejet de la candidature d’Abdoul Mbaye par le Conseil constitutionnel. La commission en charge du contrôle de parrainage a cité un nombre insuffisant de soutiens, ne parvenant pas à atteindre les 44 231 parrainages requis. Le processus de collecte de parrainages, une étape cruciale pour tout candidat présidentiel, s’est avéré être un obstacle insurmontable pour Abdoul Mbaye.

    Malgré ses efforts et son engagement, le nombre de soutiens obtenus par Abdoul Mbaye n’a pas réussi à franchir le seuil fixé par les autorités électorales, conduisant ainsi au rejet de sa candidature. Cette décision du Conseil constitutionnel souligne l’importance des contrôles de parrainage dans le processus électoral, garantissant que les candidats démontrent un soutien significatif et diversifié avant de pouvoir concourir à la présidence.

    Ancien Premier ministre du Sénégal, Abdoul Mbaye a joué un rôle majeur dans la scène politique sénégalaise. Cependant, cette invalidation de sa candidature représente un défi significatif pour ses ambitions présidentielles en 2024. Alors que la compétition présidentielle se poursuit avec d’autres candidats, cette décision du Conseil constitutionnel marque une étape cruciale dans le paysage politique.

    Les électeurs sénégalais, attentifs à ces développements, verront la compétition évoluer au cours des prochaines semaines. Avec des enjeux importants pour l’avenir du pays, la démocratie sénégalaise s’affirme à travers ces processus électoraux rigoureux. Les candidats restants ajusteront probablement leurs stratégies à la lumière de ces évolutions, et les citoyens auront un rôle clé à jouer dans la détermination du futur leader de la nation.

    Souleymane Ndéné Ndiaye exclut de la course Présidentielle 2024 après un contrôle de parrainage

    La présidentielle sénégalaise de 2024 connaît un rebondissement majeur avec le rejet de la candidature de Souleymane Ndéné Ndiaye par le Conseil Constitutionnel. La commission en charge du contrôle de parrainage a invoqué un déficit de soutien, le nombre de parrainages obtenus par le candidat étant inférieur aux 44 231 requis.

    Selon les dispositions légales en vigueur, chaque candidat à l’élection présidentielle doit rassembler un nombre minimum de parrainages pour être éligible. Pour l’élection de 2024, le seuil a été fixé à 44 231 parrainages. Malheureusement, la candidature de Souleymane Ndéné Ndiaye n’a pas réussi à atteindre ce nombre requis, entraînant son exclusion de la compétition présidentielle par le Conseil Constitutionnel.

    Cette décision souligne l’importance des contrôles de parrainage dans le processus électoral sénégalais, visant à garantir que les candidats démontrent un soutien significatif et diversifié à travers le pays avant de pouvoir concourir pour la plus haute fonction du pays.

    Souleymane Ndéné Ndiaye, ancien Premier ministre du Sénégal, a été une figure influente de la politique sénégalaise, mais cette invalidation de sa candidature constitue un coup dur pour ses ambitions présidentielles en 2024. Alors que la compétition présidentielle se poursuit avec d’autres candidats, cette décision du Conseil Constitutionnel marque une étape importante dans le processus électoral.

    Les électeurs sénégalais observent attentivement ces développements, alors que la scène politique continue d’évoluer en vue de l’élection cruciale de 2024. La concurrence politique s’intensifie, avec des enjeux importants pour l’avenir du pays. Les prochaines semaines promettent d’être riches en débats et en dynamiques politiques, offrant aux citoyens une variété de choix pour façonner le destin de leur nation.

    Serigne Gueye Diop écarté définitivement de la Présidentielle 2024 après un contrôle de parrainage

    La course à la présidentielle de 2024 au Sénégal enregistre une première élimination notable, alors que le candidat Serigne Gueye Diop est définitivement écarté de la compétition après le contrôle rigoureux des parrainages. Le maire de Sandiara n’a pas réussi à se qualifier pour le second tour de l’élection présidentielle, malgré ses efforts.

    Serigne Gueye Diop a soumis un total de 40 128 parrains, une performance louable mais insuffisante pour répondre au minimum requis de 44 231 parrainages par le Code électoral sénégalais. La commission chargée du contrôle des parrainages a confirmé qu’il n’avait pas atteint le seuil nécessaire pour rester en lice dans la compétition présidentielle.

    Ancien ministre-conseiller en agriculture et industrie sous la présidence de Macky Sall, Serigne Gueye Diop a cherché à faire valoir sa candidature en mobilisant un soutien significatif à travers le pays. Cependant, le processus de contrôle de parrainages vise à garantir que les candidats démontrent un niveau de soutien étendu et diversifié avant d’être éligibles à la plus haute fonction du pays.

    Cette élimination constitue une étape importante dans le processus électoral, soulignant l’importance du respect des règles et des seuils fixés par le Code électoral. Alors que la compétition présidentielle se poursuit avec les candidats restants, la mise en œuvre de ces contrôles renforce la crédibilité et la transparence du processus démocratique au Sénégal.

    Les électeurs sénégalais observent attentivement le déroulement de cette élection, qui s’annonce compétitive et chargée d’enjeux pour l’avenir du pays. Avec l’élimination de Serigne Gueye Diop, la scène politique continue d’évoluer, laissant place à des débats et à des choix cruciaux pour les citoyens dans les semaines à venir.

    Commandos disparus en mer : L’angoisse de familles qui réclament la vérité

    Le mystère entourant la disparition de cinq commandos marins au large de Dakar, lors d’une opération contre un navire suspecté de trafic international de stupéfiants, suscite l’inquiétude et l’angoisse parmi les familles des disparus. Parmi eux, Makane Diouf, originaire de la cité Batrain de Ouakam, dont la famille, dans le désarroi, réclame des réponses claires sur le sort de leur être cher.

    Les circonstances de la disparition des commandos marins demeurent floues malgré les opérations de recherche en cours. Vendredi dernier, leur mission s’est transformée en une épreuve tragique alors que leur bateau a coulé lors d’une intervention en haute mer. À l’heure actuelle, les cinq militaires restent introuvables, alimentant l’inquiétude grandissante de leurs proches.

    Sur les ondes de RFM, Mamadou Dème Diouf, frère aîné de Makane Diouf, exprime le désarroi de la famille face à l’absence d’informations claires. « Ils n’ont qu’à nous dire la vérité, ce qui s’est réellement passé, parce que je ne peux pas concevoir qu’ils aient mis la main sur les trafiquants, alors qu’on n’a même pas vu leur ombre. En général, ils montrent les gens à la télé. Mais toujours rien. On veut savoir ce qui se passe. Notre patience a duré. On n’en peut plus », déplore-t-il.

    La famille, confrontée à l’incertitude et à l’absence de nouvelles depuis vendredi, réclame la transparence des autorités. Ils demandent à être édifiés sur le sort de Makane Diouf et de ses camarades d’armes. La douleur de l’attente et l’angoisse de l’inconnu poussent les proches des disparus à exiger la vérité sur les circonstances entourant cette opération tragique en mer.

    Alors que les recherches se poursuivent, la nation sénégalaise partage la préoccupation des familles des commandos disparus et attend des informations claires sur cette opération maritime qui a pris une tournure dramatique. Les prochains jours seront cruciaux pour éclaircir les zones d’ombre et fournir des réponses aux familles en quête de vérité et de clôture.

    Aly Ngouille Ndiaye franchise avec succès l’étape des parrainages pour l’élection Présidentielle de 2024

    Dans la course à l’élection présidentielle du 25 février 2024 au Sénégal, l’ancien ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique, Aly Ngouille Ndiaye, vient de marquer un jalon significatif en validant avec succès l’étape cruciale des parrainages. La commission du Conseil constitutionnel, responsable du contrôle des parrainages, a confirmé que Ndiaye a franchi le seuil nécessaire avec un impressionnant total de 55 185 parrains.

    Après une première vérification minutieuse de tous les parrainages soumis par les candidats, la commission a reconnu qu’Aly Ngouille Ndiaye avait pleinement satisfait aux exigences légales en matière de parrainages pour pouvoir concourir à l’élection présidentielle. Cette étape est essentielle dans le processus électoral, illustrant le niveau de soutien populaire qu’un candidat peut mobiliser à travers le pays.

    Leader de la coalition « AlyNgouille 2024 », Ndiaye a démontré sa capacité à rassembler un nombre significatif de parrainages, renforçant ainsi sa position en tant que candidat crédible dans la compétition présidentielle. L’ancien ministre de l’Intérieur a joué un rôle clé dans l’organisation de sa coalition, mobilisant des partisans et des sympathisants à travers le pays.

    La réussite d’Aly Ngouille Ndiaye à franchir cette étape cruciale témoigne non seulement de son influence et de son envergure politique, mais aussi de la confiance que ses partisans ont placée en lui. Alors que la campagne électorale s’intensifie, Ndiaye peut désormais concentrer son énergie sur la communication de son programme politique et sur la mobilisation continue du soutien de ses partisans.

    La confirmation de la validation des parrainages propulse Aly Ngouille Ndiaye dans une position solide dans la course à la présidence. Les semaines à venir promettent d’être animées, alors que les candidats continueront à affiner leurs stratégies et à s’adresser aux électeurs sénégalais. La démocratie sénégalaise s’épanouit avec cette compétition, offrant aux citoyens une variété de choix pour l’avenir de leur nation.

    Assises Nationales des Médias : Annonce importante de la CAP avec la publication du rapport général le 25 Janvier 2024

    Les médias sénégalais sont sur le point de franchir une étape cruciale avec la Coordination des Associations de Presse (CAP) annonçant la publication du rapport général des Assises nationales des médias. Selon un communiqué officiel, cette annonce majeure sera faite lors d’un événement prévu le 25 janvier 2024 à l’amphithéâtre de la Maison de la presse.

    Le rapport général résulte du travail acharné accompli par les six commissions thématiques qui ont été mises en place depuis le lancement des Assises à la fin du mois d’août. Ces commissions, composées d’experts, de professionnels des médias et d’autres parties prenantes, ont exploré divers aspects du paysage médiatique sénégalais.

    Les Assises nationales des médias ont été une initiative majeure visant à évaluer et à renforcer le secteur des médias au Sénégal. Depuis leur lancement, elles ont fourni une plateforme de discussion et d’échange d’idées, rassemblant des professionnels des médias, des responsables gouvernementaux, des représentants de la société civile et d’autres acteurs clés.

    La publication du rapport général le 25 janvier revêt une importance particulière, car elle marquera la culmination de mois de délibérations, de recherches et de réflexions. Les recommandations et les conclusions du rapport devraient jouer un rôle crucial dans l’orientation future du secteur des médias sénégalais.

    Les six commissions thématiques ont probablement abordé des questions variées, telles que la liberté de la presse, l’accès à l’information, la régulation des médias, la formation des journalistes, la transition vers le numérique, et d’autres sujets cruciaux pour l’industrie des médias.

    La transparence et l’ouverture entourant la publication du rapport général démontrent l’engagement de la Coordination des Associations de Presse à inclure toutes les parties prenantes dans le processus de réforme et d’amélioration du secteur des médias. Les résultats de ces Assises nationales auront sans aucun doute des implications significatives pour l’avenir du journalisme au Sénégal. Les acteurs du secteur ainsi que le public attendent avec intérêt les recommandations et les initiatives qui émaneront de ce rapport, avec l’espoir qu’elles contribueront à renforcer et à élever le paysage médiatique du Sénégal vers de nouveaux sommets.

    Trois candidats éliminés d’office par le conseil constitutionnel : Les raisons dévoilées

    La scène politique sénégalaise connaît un nouveau développement majeur alors que la commission instaurée par le Conseil constitutionnel poursuit son examen des parrainages dans le cadre de l’élection présidentielle du 25 février 2024. Après une première vérification des parrainages soumis par les candidats, la commission a dévoilé que certains d’entre eux devaient compléter leurs parrainages pour être éligibles. Cependant, trois candidats n’ont pas réussi à régulariser leur situation dans les délais impartis, les excluant ainsi de la course présidentielle.

    Les candidats Aliou Camara (Docteur Aliou Camara 2024 Jappo Dekkal Yakkar), Papa Momar Ngom (Joyanti 2024) et Amadou Seck (Les AS de la nation / ASN) ont été éliminés d’office, leurs dossiers de régularisation n’ayant pas été déposés avant la date limite fixée par le Conseil constitutionnel, soit le lundi 8 janvier.

    Cette échéance cruciale avait été établie comme un ultimatum pour les candidats afin de mettre à jour et compléter leurs parrainages. Cependant, l’absence de dépôt de dossiers de régularisation de la part des trois candidats signifie qu’ils sont désormais exclus de la liste des prétendants éligibles à l’élection présidentielle.

    Le Conseil constitutionnel, en instaurant ce processus de vérification rigoureux, cherche à garantir la transparence et l’équité dans le processus électoral. Les règles strictes en matière de parrainages visent à s’assurer que les candidats démontrent un soutien significatif et diversifié à travers le pays avant de pouvoir concourir pour la plus haute fonction du pays.

    Alors que les candidats restants poursuivent leur parcours électoral, cette élimination de trois prétendants souligne l’importance de la conformité avec les exigences du Conseil constitutionnel dans le cadre de la compétition présidentielle sénégalaise. Les électeurs pourront désormais concentrer leur attention sur les candidats éligibles, tandis que la campagne électorale continue de gagner en intensité en vue du scrutin crucial du 25 février 2024.

    Malick Gakou franchise avec succès l’étape des parrainages pour l’élection Présidentielle Sénégalaise de 2024

    La commission établie par le Conseil constitutionnel poursuit son travail méticuleux de vérification des parrainages, un processus essentiel dans le cadre du Code électoral sénégalais. Après un premier contrôle, certains candidats ont dû compléter leurs listes de parrains pour répondre aux exigences légales. Malick Gakou, déterminé à participer activement à la course présidentielle, a présenté un impressionnant total de 54 520 parrains lors de sa soumission devant la commission.

    Cette performance dépasse largement le seuil requis par le Code électoral, fixé à 44 231 parrainages. La règle exige également que ces soutiens proviennent d’au moins 7 régions différentes du pays, avec un minimum de 2 000 parrains par région. Cette exigence vise à garantir une représentation géographique équilibrée des candidats, reflétant ainsi la diversité et la pluralité du Sénégal.

    Alors que la date de l’élection approche, la réussite de Malick Gakou dans la validation des parrainages promet une compétition animée. Les électeurs sénégalais auront ainsi un choix varié parmi les candidats déterminés à façonner l’avenir de la nation ouest-africaine. Les semaines à venir seront marquées par des débats stimulants et des dynamiques politiques captivantes, offrant aux citoyens l’opportunité de participer activement à la démocratie et de faire un choix éclairé pour leur leader futur.

    Un Nouveau Chapitre de l’Histoire Footballistique entre le Sénégal et le Cameroun à la CAN 2024

    Cette rivalité a connu plusieurs chapitres, dont les rencontres mémorables de 2017 (0-0) et 2002 (0-0). Cependant, la dernière confrontation a vu le Sénégal dominer de manière écrasante un Cameroun incapable d’aligner trois passes avant de subir une défaite (1-0). Coly commente sur l’adversité à venir : « Les Lions Indomptables font partie des équipes qui peuvent prétendre aller loin lors de cette CAN. C’est une sélection qui dispose de très bonnes individualités et qui a l’expérience des phases finales. »

    En ce qui concerne la Guinée, Coly reconnaît la qualité technique de l’équipe mais exprime l’attente d’une performance plus solide en phase finale. « Elle possède de bons joueurs. Quant à la Guinée, elle a aussi de la qualité, notamment technique, mais on attend toujours un peu mieux d’elle en phase finale », déclare-t-il.

    En somme, la CAN 2024 promet des moments captivants et des duels mémorables, avec le choc entre le Sénégal et le Cameroun en tête d’affiche, continuant ainsi une rivalité historique qui, selon Coly, semble ne jamais trouver de conclusion définitive. Les amateurs de football peuvent s’attendre à une compétition passionnante et pleine de rebondissements.

    Boun Dionne franchit avec succès l’étape des parrainages pour la présidentielle de 2024 au Sénégal

    La course à l’élection présidentielle du 25 février 2024 au Sénégal atteint une étape cruciale avec la vérification des parrainages, et c’est avec une excellente nouvelle que Mouhamed Boun Abdallah Dione, leader du mouvement « Dionne 2024 », s’est distingué.

    Le mardi 09 janvier, lors de sa seconde présentation devant la commission, Boun Dionne a validé une impressionnante quantité de 47 778 parrains, dépassant ainsi largement le minimum exigé par la législation sénégalaise. Selon cette dernière, un candidat doit réunir au moins 44 231 parrainages, répartis sur un minimum de 7 régions du pays, avec au moins 2 000 parrains dans chacune de ces régions.

    Cette avancée positive dans la vérification des parrainages positionne Mouhamed Boun Abdallah Dione en tant que candidat solide et crédible dans la course à la présidence. Les observateurs politiques anticipent avec intérêt la suite de la campagne électorale, alors que Boun Dionne continue à mobiliser le soutien de ses partisans et à présenter sa vision pour l’avenir du Sénégal.

    La réussite de Boun Dionne à surmonter cette étape cruciale envoie un signal fort à ses concurrents et consolide sa position en tant que prétendant sérieux à la plus haute fonction du pays. La scène politique sénégalaise promet ainsi d’être animée dans les semaines à venir, alors que les candidats affineront leurs stratégies pour convaincre les électeurs de la pertinence de leur leadership.

    Mamadou Lamine Diallo sur la voie de la présidentielle : Succès dans la validation des parrainages devant le Conseil constitutionnel

    Le triomphe de Mamadou Lamine Diallo devant la Commission :

    Le 9 janvier, Mamadou Lamine Diallo s’est présenté devant la Commission du Conseil constitutionnel pour soumettre et valider ses parrainages. Avec détermination et succès, il a non seulement atteint mais surpassé le nombre requis en validant 48 961 parrains. Cette démonstration de soutien populaire étendu atteste de l’efficacité de la mobilisation de Mamadou Lamine Diallo à travers le pays, consolidant ainsi sa position en tant que candidat sérieux à la présidentielle.

    Daky Cissé évoque le potentiel inexploité d’Ismaïla Sarr : Le ‘Mbappé du Sénégal’ en attente de s’épanouir

    Le talent sous-estimé d’Ismaïla Sarr : Daky Cissé souligne le fait qu’Ismaïla Sarr ne semble pas pleinement conscient de sa qualité et de sa valeur sur le terrain. En tant que joueur rapide et polyvalent, Sarr a démontré ses compétences, mais Cissé suggère qu’il pourrait atteindre des sommets encore plus élevés s’il reconnaissait pleinement son propre potentiel. Cette sous-estimation de soi pourrait être un facteur limitant dans la pleine réalisation de ses capacités.

    La comparaison flatteuse avec Kylian Mbappé : En qualifiant Ismaïla Sarr de « Mbappé du Sénégal », Daky Cissé fait une comparaison flatteuse avec l’une des stars mondiales du football. Cette analogie met en lumière les attentes élevées placées sur Sarr en termes de performances et de contribution à l’équipe nationale. Cissé suggère que la vivacité de Sarr devrait se traduire par une régularité dans la réalisation de buts, à l’instar de Mbappé.

    Opération de Sécurité à Thiès : 119 Individus Interpellés, des Armes et un Trafic de Carburant Démantelés

    La Légion de gendarmerie de Thiès a intensifié ses actions contre la délinquance, conduisant à l’arrestation de 119 individus au cours d’une vaste opération de sécurisation du 2 au 8 janvier 2024. Les gendarmes ont également démantelé un réseau de trafic de carburant, saisi des armes, des médicaments et mis fin à des activités illégales.

    La Légion de gendarmerie de Thiès, dans son engagement continu contre la délinquance, a conduit une série d’opérations de sécurisation du 2 au 8 janvier 2024. Les résultats sont significatifs, avec 119 individus appréhendés pour diverses infractions, selon des sources de Seneweb.

    Débits de Boissons et Trafic de Carburant : Les gendarmes, soutenus par l’ESI et la brigade cynophile de Mbour, ont démantelé quatre débits de boissons et un dépôt clandestin lié au trafic de carburant. Cette opération a permis de saisir 40 bidons de 20 litres et un groupe électrogène, marquant une avancée significative dans la lutte contre les activités illicites.

    Saisie d’Armes et d’Objets Illicites : Dans le cadre de la lutte contre la délinquance, les forces de l’ordre ont mis la main sur 13 coupe-coupe et des couteaux, renforçant ainsi les mesures de sécurité. Cette saisie vise à limiter les risques d’infractions violentes dans la région.

    Immobilisation de Véhicules et Machines à Sous : Les gendarmes ont agi contre les infractions routières en immobilisant 99 « motos-Jakarta », trois tricycles, 33 véhicules et 18 véhicules hippomobiles. En plus, 34 machines à sous ont été saisies au cours de l’opération, contribuant à la prévention des activités illégales.

    Saisie de Médicaments : Les autorités ont également saisi des médicaments, soulignant l’ampleur des activités illicites et des préoccupations liées à la santé publique.

    En images le bilan exhaustif de cette opération d’envergure, mettant en lumière les efforts déployés pour assurer la sécurité des citoyens et de leurs biens dans la région de Thiès.

    Sadio Mané absent face au Niger : Aliou Cissé évoque le mariage et s’amuse de la situation

    L’absence de la star sénégalaise Sadio Mané lors du match contre le Niger a suscité des interrogations, auxquelles le sélectionneur national Aliou Cissé a apporté des explications originales. Dans une déclaration surprenante, Cissé a évoqué le mariage récent de Mané et a partagé des détails humoristiques sur la décision de lui accorder du repos pour profiter de sa nuit de noce. Cet épisode a donné lieu à une note de légèreté dans le monde du football, marquant un équilibre entre l’engagement professionnel et la vie personnelle des joueurs.

    Les raisons de l’absence de Sadio Mané :

    Selon les explications d’Aliou Cissé, l’absence de Sadio Mané lors du match contre le Niger s’explique par une volonté de lui offrir un repos bien mérité après des semaines intensives de compétition en club. Cissé a souligné que Mané avait travaillé dur tout au long de la semaine avec l’équipe nationale, mais qu’il avait également accumulé un temps de jeu considérable avec son club ces dernières semaines. En plus de cela, le mariage récent du joueur ajoutait une dimension personnelle à la décision du sélectionneur.

    L’importance du mariage et la réaction joyeuse d’Aliou Cissé :

    Aliou Cissé a expliqué que la question du mariage avait été une interrogation constante pour Sadio Mané et que l’équipe nationale, y compris lui-même, le taquinait souvent à ce sujet. La décision de laisser Mané profiter de sa soirée de mariage et de sa première nuit en tant que marié a été prise dans un esprit de détente et de compréhension de l’équilibre nécessaire entre la vie professionnelle et personnelle des joueurs.

    Pape Djibril Fall triomphe des parrainages : Cap sur la présidentielle sénégalaise

    La procédure de parrainage, réputée pour sa rigueur, a contraint plusieurs candidats à compléter leurs dossiers afin de répondre aux exigences strictes imposées par la législation sénégalaise.

    Les détails du succès de Pape Djibril Fall : Lors de sa seconde présentation devant la commission du Conseil constitutionnel, Pape Djibril Fall a validé avec succès 53 553 parrainages, dépassant ainsi le seuil minimum requis de 44 231. Ce résultat témoigne de l’efficacité de sa mobilisation à travers le pays, recueillant le soutien nécessaire de divers électeurs dans au moins 7 régions distinctes.

    La loi sénégalaise stipule que chaque candidat à la présidentielle doit obtenir un minimum de 44 231 parrainages, provenant d’au moins 2 000 électeurs répartis sur un minimum de 7 régions. La réussite de Pape Djibril Fall souligne non seulement son engagement envers le processus démocratique, mais également sa capacité à susciter un large soutien populaire.

    Les défis du processus de parrainage : Le processus de parrainage, bien que considéré comme rigoureux, vise à assurer que seuls les candidats jouissant d’un véritable soutien populaire puissent participer à la présidentielle. La collecte de parrainages dans différentes régions du pays représente un défi logistique et politique, nécessitant une mobilisation efficace et une adhésion significative.

    Succès pour Serigne Mboup : Le maire de Kaolack valide ses parrainages pour la présidentielle sénégalaise

    Le processus de parrainage, considéré comme strict, a imposé à certains candidats de compléter leurs soutiens pour satisfaire aux critères d’éligibilité fixés par la législation sénégalaise.

    Les détails du succès de Serigne Mboup : Lors de la deuxième étape de sa soumission devant la Commission, Serigne Mboup a confirmé la validité du nombre de parrainages nécessaires pour se qualifier en tant que candidat à l’élection présidentielle. Son engagement et son respect des exigences légales démontrent la détermination du maire de Kaolack à participer activement au processus démocratique.

    Les défis du processus de parrainage : Le processus de parrainage, bien que jugé rigoureux, est une étape cruciale dans le processus électoral sénégalais visant à garantir que seuls les candidats bénéficiant d’un soutien significatif et diversifié de la population puissent se présenter à la présidentielle. Les candidats doivent naviguer à travers les régions du pays, mobiliser des parrains et démontrer leur acceptation populaire.

    Incohérences dans le fichier électoral sénégalais : Mary Teuw Niane non identifié, une étrange anomalie persiste

    Un candidat prestigieux, une anomalie étonnante: Le Professeur Mary Teuw Niane, candidat à l’élection présidentielle de 2024, est choqué de découvrir qu’il fait partie des 28 887 non identifiés dans le fichier général des électeurs. Cette situation, bien que ne présentant aucune erreur dans les données fournies par le candidat, soulève des interrogations sérieuses quant à la fiabilité et à l’intégrité du Fichier électoral.

    Les cas successifs de non-identification dans le Fichier électoral sénégalais, impliquant des personnalités telles que Mohamed Ben Diop et Mary Teuw Niane, soulèvent des inquiétudes sérieuses quant à la crédibilité du processus électoral. Alors que les investigations se poursuivent, l’attention nationale se tourne vers la nécessité de garantir la transparence et l’équité dans la gestion du fichier, essentielles pour maintenir la confiance des citoyens dans le processus démocratique.

    Aliou Mamadou Dia, candidat du PUR, valide les 202 parrains manquants : Une étape cruciale franchie avec succès

    Validation des parrains manquants: Face à des défis logistiques et administratifs, la campagne d’Aliou Mamadou Dia avait initialement fait état de 202 parrains manquants pour la validation de sa candidature. Cependant, grâce à des efforts soutenus et une coordination efficace, le candidat a réussi à surmonter ces obstacles et à réunir le nombre requis de signatures dans les délais impartis.

    Réactions de la classe politique: Les réactions à cette réussite ne se sont pas fait attendre. Des membres du PUR, ainsi que des personnalités politiques extérieures au parti, saluent cette réalisation comme un signe de la force et de la cohésion au sein du mouvement. Certains analystes estiment que cette avancée pourrait changer la dynamique de la campagne présidentielle et attirer davantage l’attention des électeurs.

    Rose Wardini franchit avec succès l’étape des parrainages : Une avancée notable dans la course présidentielle

    La commission chargée du contrôle des parrainages pour l’élection présidentielle du 25 février 2024, mise en place par le Conseil constitutionnel, poursuit son processus de vérification. Après une première évaluation de l’ensemble des parrainages soumis par les candidats, certains ont été invités à compléter leurs dossiers pour répondre aux critères d’éligibilité.

    Cette avancée notable pour Rose Wardini la place dans une position solide pour la prochaine étape de la compétition présidentielle. Son succès dans la collecte des parrainages démontre une adhésion significative à sa candidature et ajoute une dynamique positive à sa campagne électorale. Les regards restent désormais tournés vers les prochains développements de la campagne et les défis qui attendent les candidats dans la course vers l’élection présidentielle de février 2024.

    Me El Hadji Diouf disqualifié : Un revers inattendu dans la course présidentielle sénégalaise

    La commission du Conseil constitutionnel, chargée de la vérification des parrainages pour l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024 au Sénégal, a apporté une mauvaise nouvelle pour Me El Hadji Diouf. Cette commission, responsable de contrôler l’authenticité et la validité des parrainages soumis par les candidats, a déclaré que Me El Hadji Diouf n’a pas réussi à compléter le nombre requis de parrainages lors de la session de régularisation.

    Lors de la première phase de vérification, plusieurs candidats, dont Me El Hadji Diouf, ont été invités à compléter leurs dossiers de parrainage pour satisfaire aux critères d’éligibilité. Dans ce contexte, le Conseil constitutionnel a organisé une session de rattrapage, utilisant le même ordre de passage que lors du premier contrôle.

    Ce revers inattendu représente un tournant dans la trajectoire de la campagne présidentielle de Me El Hadji Diouf, ajoutant une dimension imprévue à la compétition électorale. L’élimination d’un candidat majeur de la course pourrait également influencer le paysage politique sénégalais, ouvrant la voie à de nouveaux scénarios et développements dans la perspective de l’élection présidentielle à venir.

    Idrissa Seck franchit avec succès l’épreuve des parrainages au Conseil constitutionnel

    Le processus de validation des parrainages pour l’élection présidentielle du 25 février 2024 se poursuit au sein de la commission dédiée du Conseil constitutionnel. Ce mardi 9 janvier, Idrissa Seck, candidat de la « coalition Idy 2024 », a réussi à valider ses parrainages, franchissant ainsi une étape cruciale en vue de sa participation à la course présidentielle.

    Le processus de parrainage, réputé exigeant, a été surmonté avec succès par le camp d’Idrissa Seck. Le nombre total de soutiens recueillis dépasse les 45 000, démontrant l’ampleur du soutien populaire en faveur de sa candidature.

    Pour être éligible à l’élection présidentielle, la législation sénégalaise stipule que chaque candidat doit obtenir un minimum de 44 231 parrainages, dont au moins 2 000 parrains répartis sur au moins 7 régions du pays. Idrissa Seck a réussi à dépasser ces seuils, consolidant ainsi sa candidature.

    La validation des parrainages est une étape cruciale pour tous les candidats, et la réussite de ce processus renforce la position d’Idrissa Seck en tant que concurrent sérieux dans la course présidentielle à venir.

    Il est important de souligner que Idrissa Seck se présente également sous la bannière de la « coalition Idy 2024 », illustrant ainsi sa capacité à rassembler différents acteurs politiques autour de sa candidature. La confirmation de ses parrainages marque un jalon significatif dans la préparation de sa campagne électorale, mettant en lumière l’importance de la mobilisation et du soutien populaire dans le paysage politique sénégalais.

    Affaire de lotissement irrégulier à Chérif Lô : Le maire et un ancien sous-préfet placés sous les feux de la justice

    La Commune de Chérif Lô est actuellement secouée par une affaire de lotissement irrégulier qui a conduit à l’interpellation du maire, Ousmane Sarr, et d’un ancien sous-préfet de Pambal, Ibrahima Ba, par les éléments de la Section de recherches de Thiès. Une troisième personne, identifiée comme le courtier dans cette affaire, a également été arrêtée.

    L’enquête, déclenchée suite à de nombreuses plaintes, concerne un lotissement situé à Thiaoune Bambara, où des milliers de parcelles présumées irrégulières ont été vendues à des particuliers. Les plaintes ont mis en lumière des activités illégales liées à ce lotissement, entraînant l’intervention des autorités.

    Les charges qui pèsent contre le maire et ses présumés complices sont liées à des irrégularités dans le processus de lotissement, mettant en danger les droits légitimes des citoyens ayant acquis des parcelles dans la zone concernée. L’arrestation de l’ancien sous-préfet soulève également des questions sur la supervision administrative de telles activités dans la région.

    Cette affaire met en lumière l’importance de la régulation et de la légalité dans le domaine du lotissement, soulignant les risques potentiels pour les citoyens qui investissent dans des terrains sans garanties suffisantes. Les résultats de l’audience de ce mardi pourraient fournir des éclaircissements sur l’ampleur des infractions présumées et les mesures qui seront prises pour restaurer l’ordre et la confiance dans le processus de lotissement de la Commune de Chérif Lô.

    Mamadou Touré, l’homme derrière le logiciel de parrainage controversé du conseil constitutionnel Sénégalais

    Le logiciel de parrainage utilisé par le Conseil constitutionnel du Sénégal pour la vérification des candidatures à l’élection présidentielle de février 2024 suscite des critiques, notamment de la part de l’opposition. Au cœur de cette controverse se trouve Mamadou Touré, chef du service informatique du Conseil constitutionnel et responsable du logiciel en question.

    Peu connu du grand public et du milieu politique, Mamadou Touré a marqué ses débuts académiques dans les années 1980 à l’Université de Dakar avant de poursuivre ses études à l’Université Paris Dauphine en France. C’est là qu’il a obtenu un DESS en Informatique de Gestion, démontrant une expertise approfondie dans l’application informatique aux processus de gestion.

    En 2007, Mamadou Touré a pris un tournant significatif en contribuant au Programme sectoriel justice (CEDAF), où il a piloté des projets métiers et apporté son soutien à la mise en place d’un système d’informations judiciaire performant. Cette expérience a enrichi son expertise, en particulier dans le déploiement de solutions informatiques complexes au sein des institutions étatiques.

    Cependant, malgré son expérience, le logiciel de parrainage supervisé par Mamadou Touré est critiqué pour son manque de transparence et sa fiabilité présumée. Des problèmes ont été signalés, notamment l’incapacité du logiciel à reconnaître certains électeurs, y compris des candidats confirmés comme Mohamed Ben Diop et l’ex-ministre Mary Teuw Niane. Ces problèmes soulèvent des interrogations sur la version du fichier électoral utilisé par le logiciel et suscitent des inquiétudes quant à la crédibilité du processus de vérification des parrainages pour l’élection présidentielle à venir.

    Mobilité urbaine réglementée au Sénégal : Un regard sur l’exemple ivoirien pour guider le futur des VTC

    Dans une ère où la mobilité et la commodité sont les maîtres mots, l’émergence des services de taxis en ligne a été une révolution dans le domaine des transports. Cependant, le succès de ces services dépend étroitement du cadre législatif dans lequel ils évoluent. Alors que des pays voisins, notamment la Côte d’Ivoire, récoltent les fruits d’investissements stratégiques et de réglementations progressives, le Sénégal doit désormais se pencher sur l’importance cruciale de la législation pour favoriser un écosystème de taxis électroniques confiant et efficient.

    À Dakar, l’essor indéniable des services de VTC tels que Yango, Yassir et Heetch est significatif, mais l’absence d’un cadre juridique clair entrave leur bon fonctionnement dans le pays. En Côte d’Ivoire, l’impact positif d’une réglementation précise dans le secteur des VTC est manifeste. Ces lois ont créé un environnement favorable aux investissements, stimulant la croissance rapide du secteur des VTC et améliorant considérablement l’expérience de mobilité pour des milliers d’utilisateurs quotidiens.

    Un article de Jeune Afrique a analysé en détail le cadre juridique ivoirien régissant le secteur des VTC, anticipant ainsi sur son homologue sénégalais. Le gouvernement ivoirien a pris des mesures décisives en publiant, le 15 décembre 2021, un décret visant à réguler le secteur. Ce décret a établi des distinctions entre les propriétaires de flottes, les gestionnaires, les chauffeurs, et les sociétés de VTC qui assurent l’interface des trajets via leurs applications respectives. Des aspects tels que les contrôles techniques, les licences, les assurances, et la protection des données ont été clairement définis.

    Les avancées enregistrées en Côte d’Ivoire soulèvent une question cruciale : n’est-il pas temps pour le Sénégal de s’inspirer de ce modèle et d’instaurer une réglementation claire pour le secteur des VTC ?

    La pièce manquante du puzzle pour garantir la sécurité, assurer l’efficacité et créer un environnement progressif pour les propriétaires de flotte, les gestionnaires et les chauffeurs pourrait bien être un cadre réglementaire établi. Le Sénégal pourrait ainsi stimuler la croissance de son secteur des VTC, améliorer l’expérience des utilisateurs et favoriser des investissements stratégiques dans la mobilité urbaine réglementée.

    Élections Présidentielles: Un Processus Sous Haute Tension

    À moins de deux mois des élections présidentielles au Sénégal, la clôture de l’examen des dossiers de régularisation des parrainages par le Conseil constitutionnel marque une étape cruciale dans la course présidentielle. Cette période est marquée par des tensions croissantes alors que les candidats cherchent à régulariser leurs parrainages jugés invalides, soulignant les enjeux et les défis auxquels est confronté le processus électoral sénégalais.

    La Course aux Parrainages:
    Parmi les 93 candidats initiaux, seuls neuf ont réussi à passer le premier tour. La candidate Mimi Touré, porte-étendard de la coalition Mimi2024, dirige les efforts pour la régularisation de parrainages invalides. Cette lutte acharnée pour assurer la présence sur la liste finale des candidats révèle l’importance critique des parrainages dans le processus électoral.
    Les neuf candidats retenus, dont Boubacar Camara, Déthie Fall, Cheikh Tidiane Dièye, Amadou Ba, Anta Babacar Ngom, Habib Sy, Karim Wade, Khalifa Sall et Pr Daouda Ndiaye, représentent une diversité d’aspirations politiques. Les 62 candidats recalés alimentent la contestation, suscitant des interrogations sur les critères de sélection et l’équité du processus.

    Fiabilité du Fichier Électoral:
    Les déclarations divergentes sur la fiabilité du fichier électoral alimentent les inquiétudes. Théodore Chérif Monteuil affirme que le fichier est fiable, citant un audit en 2021. Cependant, les préoccupations d’Aly Ngouille Ndiaye quant aux anomalies détectées soulignent la nécessité d’une correction rapide pour préserver l’intégrité du processus électoral.
    L’audit effectué en 2021 doit être évalué à la lumière des développements actuels, et la question de la mise à jour régulière du fichier électoral est cruciale pour garantir des élections transparentes et démocratiques. Les appels à la transparence dans la gestion du fichier électoral se multiplient à mesure que les candidats expriment leurs inquiétudes.

    Contestations et Recours:
    Les contestations, telles que celle d’Aminata Touré dénonçant le manque de mise à jour du fichier, et le recours d’Alioune Sarr après l’invalidation de sa candidature, ajoutent une complexité supplémentaire. Les candidats recalés cherchent à faire valoir leurs droits, mettant en lumière l’importance cruciale des institutions dans la résolution de ces contentieux.
    Les recours au Conseil constitutionnel, tels que celui d’Alioune Sarr, soulèvent des questions sur la cohérence des critères d’acceptation des parrainages. L’expertise en systèmes informatiques de M. Sarr souligne la nécessité d’une évaluation minutieuse des processus de validation des parrainages pour éviter des contestations futures.

    Enjeux de Candidatures Rejetées:
    La candidature de Ousmane Sonko, rejetée par le Conseil constitutionnel, suscite des tensions majeures. Moustapha Sarré de l’ex-Pastef insiste sur l’éligibilité de Sonko, illustrant les controverses entourant les critères de sélection des candidats et la nécessité de clarifications.
    La controverse autour de la candidature de Sonko met en lumière les défis liés à la participation équitable des candidats, en particulier ceux qui sont en détention. Les implications politiques et sociales de telles décisions suscitent des débats animés au sein de la société sénégalaise.

    Éclairage sur les Dernières Déclarations:

    Moustapha Sarré de l’Ex-Pastef :
    La contestation de la candidature de Ousmane Sonko met en lumière les tensions et les contestations entourant le processus électoral, soulignant l’importance de garantir une participation équitable.

    Aly Ngouille Ndiaye :
    Les inquiétudes d’Aly Ngouille Ndiaye concernant le fichier électoral soulignent les défis actuels et l’importance de résoudre rapidement les anomalies pour maintenir la crédibilité du processus.

    Alioune Sarr :
    Sa contestation de l’invalidation met en avant les défis liés à la validation des parrainages et souligne la nécessité d’une évaluation minutieuse des critères de sélection.

    Aminata Touré :
    La dénonciation du manque de mise à jour du fichier électoral met en évidence les inquiétudes persistantes quant à la transparence et la sincérité du scrutin.


    Le Sénégal se trouve à un moment critique de son processus électoral, avec des enjeux élevés en termes de légitimité et de confiance démocratique. Les prochaines semaines seront cruciales pour résoudre les défis liés aux parrainages, à la fiabilité du fichier électoral et aux contestations, afin d’assurer des élections justes, transparentes et acceptées par tous. Le monde observe avec attention, conscient de l’impact que ces élections auront sur la stabilité démocratique du pays. La consolidation de la confiance dans le processus électoral demeure un défi central à surmonter pour garantir la légitimité des résultats et la stabilité post-électorale.


    Cheikh Kane

    Contestation des Candidats recalés : L’Alliance des Candidats aux Fichiers Inexploitables (ACFI) dénonce des irrégularités dans le processus électoral sénégalais

    Dans un contexte électoral animé, l’Alliance des Candidats aux Fichiers jugés Inexploitables (ACFI) fait entendre sa voix pour dénoncer ce qu’elle considère comme des lacunes et un manque de transparence dans le processus de contrôle des parrainages pour les élections à venir au Sénégal. Composée de sept candidats recalés lors de la première étape du contrôle, l’ACFI vise à rétablir ses membres dans leurs droits à être contrôlés, contestant vigoureusement les raisons avancées pour le rejet de leurs fichiers.

    Les membres de l’ACFI, dont Malick Gueye, Mouhamadou Lamine Gueye, Adama Faye, Mouhamadou Madana Kane, Thione Niang, Mouhamadou Fadel Kone, et Oumar Sylla, rejettent fermement la qualification de leurs fichiers de parrainage comme « inexploitables ». Ils estiment que cette évaluation unilatérale par la commission de contrôle des parrainages est entachée de biais et contestent la légitimité de cette décision.

    Face à cette situation, l’ACFI a élaboré un plan d’action visant à rétablir la légitimité de ses membres. Ce plan inclut le dépôt d’un recours collectif auprès du conseil constitutionnel, mettant ainsi en lumière la détermination de l’alliance à défendre ses droits. D’autres actions de protestation sont également envisagées et seront dévoilées en fonction de la réaction de la commission de contrôle.

    Au cours d’une conférence de presse tenue récemment, certains membres de l’ACFI, dont Mouhamadou Lamine Gueye et Oumar Sylla, ont exprimé leur frustration face à la méthode de contrôle utilisée par l’informaticien de la DGE. Ils dénoncent ce qu’ils considèrent comme une menace à la démocratie sénégalaise et appellent le président du conseil constitutionnel à intervenir.

    La contestation de l’ACFI met en lumière les préoccupations croissantes concernant la transparence et l’équité dans le processus électoral sénégalais. Les candidats recalés sont déterminés à faire valoir leurs droits et à poursuivre leur combat jusqu’à ce que leur demande de réexamen des fichiers soit prise en considération. La suite des événements reste incertaine, mais l’ACFI demeure résolue à défendre les principes démocratiques au cœur de ce processus électoral. Suivez notre site ledakarois.sn pour rester informé des développements de cette affaire et d’autres actualités politiques importantes au Sénégal.


    Prise spectaculaire au Port de Dakar : Un ressortissant guinéen arrêté avec 90 cornets de chanvre indien

    Le Port autonome de Dakar a été le théâtre d’une opération policière fructueuse menée par les éléments du commissariat d’arrondissement de plateau. Un ressortissant guinéen, identifié comme S. Barry, âgé de 33 ans, a été appréhendé au Môle 3 en possession de 90 cornets de chanvre indien. Cette arrestation a conduit à sa comparution devant le procureur de la République ce lundi 8 janvier 2024, où il fait face à des accusations de trafic et de détention de drogue.

    La descente de la police a été déclenchée suite à des informations faisant état d’un trafic de drogue actif au Môle 3 du Port autonome de Dakar. Les limiers de la brigade de recherches, en patrouille, ont répondu rapidement à ces renseignements, découvrant sur place trois individus. Deux d’entre eux ont réussi à s’échapper, mais S. Barry a été intercepté.

    Une fouille sommaire de l’individu a conduit à la découverte de 90 cornets de chanvre indien en sa possession. Interrogé, S. Barry a nié toute implication dans le trafic de drogue, prétendant être simplement un consommateur. Cependant, cette tentative de dédouanement n’a pas suffi à le soustraire aux procédures judiciaires.

    Le mis en cause a été placé en garde à vue, puis déféré devant le procureur de la République. Il encourt des charges sérieuses liées au trafic et à la détention de drogue, des infractions passibles de peines sévères. Sa comparution devant le maître des poursuites marquera une étape cruciale dans la détermination de son sort judiciaire.

    Cette arrestation souligne l’efficacité des forces de l’ordre dans la lutte contre le trafic de drogue au sein du Port de Dakar. Les autorités continuent de mettre en œuvre des mesures rigoureuses pour éradiquer ce fléau, assurant ainsi la sécurité publique et la préservation de l’intégrité des frontières

    Crise dans l’Enseignement Supérieur Privé : L’Université Hollywood « SunTech3 Education » menace de fermer ses portes

    L’Université Hollywood « SunTech3 Education » fait face à une crise financière majeure, menaçant de fermer ses portes à la fin du mois de janvier 2024. L’établissement réclame une dette de plus de 130 millions de Francs CFA de la part de l’État du Sénégal, liée au programme d’orientation des étudiants dans le privé.

    Dans un point de presse, le chargé de la communication de l’Université, Ibrahima Khalil Dieng, a souligné que cette dette remonte à 2020, concernant les bacheliers d’État de la cohorte 2018 en BTS de la formation professionnelle. L’établissement a signé un contrat avec l’État pour orienter ces étudiants, mais le non-paiement de la dette menace maintenant le bon fonctionnement de l’université.

    La coordinatrice de l’université, Mme Néné Ndao, a insisté sur l’importance de l’enseignement supérieur technique, en particulier dans la formation professionnelle, où l’Université Hollywood « SunTech3 Education » est leader. Elle a rappelé que l’établissement est le seul privé agréé par l’État et habilité par l’ANAQ-SUP à délivrer une Licence Audiovisuelle et en Graphisme, ainsi que le seul à avoir validé trois BTS d’État.

    Face à cette situation, l’Université a solennellement appelé le président Macky Sall à intervenir pour résoudre ce différend financier. Les représentants de l’établissement ont averti qu’en l’absence d’une résolution rapide, ils seraient contraints de fermer leurs portes d’ici la fin du mois de janvier.

    L’Université Hollywood « SunTech3 Education » a souligné son engagement envers l’enseignement supérieur au Sénégal, ayant délivré plus de 239 attestations à des jeunes africains. Les représentants ont également invité le président Macky Sall à visiter l’établissement et à procéder à son inauguration officielle.

    M. Coly/ Ledakarois

    Tragédie de la migration irrégulière au Sénégal : Treize jeunes de Bounkiling perdent la vie sur les routes

    Le sud du Sénégal pleure la perte de treize jeunes originaires de la commune de Bounkiling, décédés récemment sur les routes de la migration irrégulière. L’annonce a été faite par Daffé Bayo, président du conseil régional de la jeunesse de Sédhiou, soulignant l’ampleur du drame.

    La tragédie a touché principalement le village de Kégnéto, avec onze des victimes, et le village chef-lieu de Bounkiling, qui compte les deux autres décès. Ces jeunes aventuriers sont partis le 30 octobre dernier, mais l’absence de nouvelles pendant deux mois a laissé les familles dans l’angoisse.

    Les autorités locales expriment leur inquiétude face à la recrudescence de l’émigration irrégulière et appellent à une action urgente pour endiguer ce phénomène. Le président du conseil régional de la jeunesse de Sédhiou souligne l’impératif de renforcer la lutte contre ce fléau, mettant en avant la nécessité d’une coopération étroite entre les autorités, la société civile et les communautés locales.

    La Première Dame Marième FAYE SALL, Marraine du Centre Hospitalier Régional de Fatick

    Le Centre Hospitalier Régional de Fatick porte désormais le nom de Mme Adja Marième FAYE SALL, Première Dame du Sénégal. Une marque de reconnaissance des populations et du Conseil d’administration de l’hôpital, pour ses nombreuses actions sociales.

    La cérémonie de dénomination a été présidée ce lundi 08 janvier par le Président de la République, Son Excellence Macky SALL, en présence du Premier ministre, des élus locaux, des autorités administratives, du personnel hospitalier et des autorités religieuses et coutumières.

    Dans son intervention, Dr Marie Khémesse NGOM NDIAYE, Ministre de la Santé et de l’Action sociale a magnifié les actions de la marraine. Une dame de cœur et de conviction, dont les actions quotidiennes sont orientées vers le mécénat et l’accompagnement social des groupes vulnérables mais surtout la prise en charge des frais médicaux de malades démunis ou qui ont besoin parfois d’une évacuation sanitaire.

    Rappelant la vision du Président Macky SALL consistant à assurer « Un Sénégal où tous les individus, tous les ménages et toutes les collectivités bénéficient d’un accès universel à des services de santé et d’action sociale de qualité sans aucune forme d’exclusion », Dr Marie Khémesse NGOM NDIAYE a ainsi évoqué le relèvement du plateau technique de l’hôpital.

    En vue de relever les capacités de prise en charge des services d’accueil des urgences, du bloc opératoire, de la réanimation, de la maternité et de la néonatologie, des équipements d’une valeur de 400 millions de FCFA ont été mis à la disposition du Centre Hospitalier Régional Adja Marième FAYE SALL. Et d’ici quelques semaines, il est prévu le démarrage des travaux de construction d’un centre de diagnostic et d’imagerie médicale.

    Grâce à ce centre, l’hôpital disposera d’un appareil d’angiographie qui va assurer la prise en charge complète des pathologies cardiaques, d’une IRM et d’un Service d’Accueil des Urgences aux normes.

    Et pour renforcer l’accessibilité financière, la subvention de l’hôpital sera portée à 450 Millions de F CFA, soit une augmentation de 150 millions de F CFA à compter de cette année 2024.

    Dans ce cadre, le plateau technique de la région de Fatick a aussi été renforcé.

    En effet, pour une meilleure prise en charge des urgences, 10 ambulances et 2 vedettes médicalisées ont été mises à la disposition de la région, en plus de la construction et de l’équipement du centre de santé de Passy, la réhabilitation, l’extension et le relèvement du plateau technique du centre de santé de Diofior.

    Aussi, les centres et postes de santé ont été renforcés en équipements complémentaires (appareil d’échographie, table opératoire, etc.).

    Pour rappel, la marraine Marième FAYE SALL, à travers sa Fondation « Servir le Sénégal », a toujours fait preuve d’empathie et de sociabilité sans commune mesure envers les personnes vulnérables.

    Entre autres missions, « Servir le Sénégal », depuis plus d’une décennie s’est attelée à 

    favoriser toutes les actions sociales en faveur des populations fragilisées et démunies et encourager les associations, les Organisations Non Gouvernementales ainsi que les initiatives privées au profit de ces communautés. A travers un soutien médical aux plus défavorisés, notamment en matière d’hygiène et de prévention, un renforcement des équipements des établissements hospitaliers ou sanitaires pour un meilleur accès aux soins, la Fondation visait également la promotion économique et sociale des Sénégalais et l’avènement d’un Sénégal de prospérité et de bien-être.

    Arrestation d’un agent de sécurité impliqué dans un trafic de drogue à Grand-Dakar

    Les autorités du commissariat de Grand-Dakar ont mis fin aux activités délictuelles d’un trafiquant de drogue de renom, révélant ainsi une connexion inattendue avec le monde de la sécurité. Un agent de sécurité a été appréhendé ce lundi en possession de 110 cornets de chanvre indien, marquant une étape significative dans la lutte contre le trafic de drogue dans la région.

    Selon des sources de Seneweb, le commissaire Adama Welé a dirigé l’opération qui a abouti à l’arrestation de l’agent de sécurité, identifié comme M. Niane. L’enquête a débuté après des informations indiquant qu’un trafiquant conditionnait sa marchandise illicite à Grand-Dakar, en vue de la fournir ultérieurement dans le quartier des HLM.

    Immédiatement alerté, le commissaire Welé a déployé une équipe de surveillance à Niarry Tally, scellant ainsi le sort du trafiquant présumé.

    L’opération s’est conclue par l’arrestation de l’agent de sécurité, M. Niane, en possession de 110 cornets de chanvre indien et de cinq billets de 1000 F CFA. Le suspect a été conduit au commissariat, où il est actuellement en garde à vue pour détention et trafic de chanvre indien.

    Cette arrestation soulève des questions sur les connexions potentielles entre le monde de la sécurité et les activités criminelles, mettant en évidence la nécessité d’une surveillance accrue et de mesures de sécurité renforcées au sein de certaines professions.

    Les autorités locales, sous la direction du commissaire Adama Welé, continuent leurs efforts pour démanteler les réseaux de trafic de drogue et assurer la sécurité des citoyens. Cette récente opération illustre l’engagement des forces de l’ordre à maintenir la justice et à lutter contre toutes les formes de criminalité dans la région de Grand-Dakar. Des développements supplémentaires sont attendus à mesure que l’enquête progresse.

    La Fiabilité du fichier électoral au Sénégal : Un sujet brûlant à l’approche des élections de Février 2024

    L’ancien député Théodore Chérif Monteuil a récemment pris la parole sur ce délicat sujet, affirmant que le fichier électoral sénégalais est fiable. Il a souligné qu’un audit a été effectué en 2021, dont les conclusions étaient claires quant à l’intégrité du fichier. Monteuil a également rappelé que la Commission électorale nationale autonome (CENA) a pour responsabilité de fournir le fichier aux candidats, et qu’il est déjà en possession de plusieurs compétiteurs.

    Malgré ces préoccupations, l’idée d’un report des élections ne trouve que peu de soutien, en raison de l’importance accordée à la date fixée par la constitution sénégalaise. La question de savoir qui bénéficierait d’un report reste en suspens.

    Le contrôle des parrainages, débutant aujourd’hui avec les 22 candidats déclarés admis au second tour devant le Conseil constitutionnel, pourrait offrir des éléments supplémentaires pour éclaircir cette situation complexe. Les prochaines semaines seront cruciales pour déterminer la voie à suivre et pour s’assurer que les élections présidentielles se déroulent dans un climat de confiance et d’équité. Les yeux restent rivés sur le processus électoral sénégalais, en quête de réponses et de solutions pour apaiser les tensions politiques actuelles.

    Par Aly Saleh

    CAN 2024 : Les Lions du Sénégal face aux défis de la compétition

    À une semaine du coup d’envoi de la 34e Coupe d’Afrique des Nations (CAN) en Côte d’Ivoire, l’équipe nationale du Sénégal, dirigée par le sélectionneur Aliou Cissé, se prépare à relever les défis de la compétition. Cependant, des obstacles se dressent sur leur chemin, notamment les récents forfaits de Boulaye Dia et Sény Dieng.

    Le coach a confirmé ces absences lors de la conférence de presse d’après-match, soulignant la tristesse de voir deux joueurs clés manquer la compétition malgré leur préparation. Cissé a également noté l’importance de présenter une équipe avec des joueurs à 100 % de leurs capacités pour maximiser les chances de succès.

    Le défi des remplacements : Bamba Dieng et Alfred Gomis appelés à la rescousse

    Avec les forfaits de Dia et Dieng, Aliou Cissé a pris la décision de les remplacer par Bamba Dieng et Alfred Gomis. Ces deux joueurs auront la lourde tâche de s’intégrer rapidement dans l’équipe et de contribuer positivement à la campagne sénégalaise à la CAN.

    Préparation intense et ajustements tactiques

    Malgré ces contretemps, l’équipe nationale du Sénégal maintient son cap avec une préparation intense. Les séances d’entraînement se concentrent sur l’amélioration de la coordination entre les nouveaux venus et les joueurs expérimentés, ainsi que sur la consolidation des stratégies tactiques pour affronter des adversaires redoutables.

    La quête d’un deuxième titre : le Sénégal en mode défense du trophée

    Le Sénégal entre dans cette CAN en tant que tenant du titre, après sa victoire mémorable en 2021. L’objectif est clair : défendre le trophée et ajouter une deuxième étoile au maillot des Lions. La compétition s’annonce féroce, avec des équipes affamées de succès, mais le Sénégal est prêt à relever le défi.

    La solidarité et la détermination en tant que clés du succès

    Malgré les obstacles, l’équipe nationale du Sénégal mise sur la solidarité, la détermination et le talent individuel pour briller lors de la compétition. Les supporters sénégalais restent derrière leurs Lions, prêts à les encourager tout au long du parcours.

    À une semaine du début de la CAN 2024, l’excitation monte, les enjeux sont élevés, et le Sénégal se prépare à entrer dans l’arène africaine avec la ferme intention de laisser une marque indélébile. Tous les yeux seront rivés sur les Lions, impatients de voir s’ils pourront répéter le succès de 2021 et inscrire leur nom une fois de plus dans l’histoire du football africain.

    Amical Sénégal-Niger (1-0) : Les Lions arrachent la victoire

    Les Lions du Sénégal ont remporté une victoire difficile face au Nema du Niger lors d’une rencontre amicale au stade Abdoulaye Wade. Le succès a été obtenu dans les dernières secondes du temps additionnel de la partie.

    Alors que le match semblait se diriger vers un match nul, Formose Mendy a saisi l’occasion sur un corner tiré par Lamine Camara pour tromper la défense nigérienne.

    Malgré une domination totale tout au long de la rencontre, les hommes d’Aliou Cissé ont eu du mal à percer le bloc défensif bien organisé par le coach du Niger. Les Lions ont également fait preuve d’un manque d’efficacité en attaque.

    Ces lacunes devront être corrigées par le coach avant le début de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) afin de défendre avec succès leur titre de champion.

    Sadio Mané célèbre son mariage avec Aicha Tamba : Un heureux chapitre dans la vie du Champion d’Afrique

    Le célèbre footballeur sénégalais, Sadio Mané, est actuellement aux anges après avoir célébré son mariage avec sa compagne Aicha Tamba. L’absence remarquée de Mané lors du match amical de l’équipe nationale du Sénégal contre le Niger trouve désormais son explication dans cette heureuse occasion. L’international sénégalais a préféré être aux côtés de sa nouvelle épouse pour ce moment spécial.

    Absence lors du Match Amical :

    La décision de Sadio Mané de manquer le match amical contre le Niger a suscité des interrogations parmi les fans et les observateurs du football sénégalais. La confirmation de son mariage explique désormais son absence sur le terrain, soulignant l’importance qu’il accorde à sa vie personnelle.

    Un Heureux Chapitre dans la Vie du Champion :

    Ce mariage marque un chapitre significatif dans la vie de Sadio Mané, qui a connu un immense succès sur les terrains de football à travers le monde. L’international sénégalais, reconnu pour son talent exceptionnel et son engagement social, partage désormais sa vie avec Aicha Tamba, créant ainsi un foyer rempli de bonheur.

    Réactions et Félicitations :

    Les réseaux sociaux ont été inondés de messages de félicitations à l’égard du couple. Les fans et les collègues footballeurs ont exprimé leurs vœux de bonheur et de prospérité pour Sadio Mané et Aicha Tamba. La célébration de ce mariage a également renforcé le statut de Mané en tant que personnalité influente et aimée au-delà du monde du football.

    Prochains Chapitres pour Sadio Mané :

    Alors que Sadio Mané entre dans ce nouveau chapitre de sa vie en tant que marié, les supporters anticipent avec enthousiasme les prochains développements tant sur le plan professionnel que personnel pour le champion d’Afrique. Les yeux seront certainement rivés sur les prochaines performances de Mané sur le terrain et sur les moments qu’il partagera avec son épouse Aicha Tamba.

    En fin de compte, cette union apporte une note de bonheur et de célébration à la vie de Sadio Mané, démontrant une fois de plus que le succès sur le terrain s’accompagne souvent de moments de joie et de bonheur dans la vie personnelle. Toutes nos félicitations à Sadio Mané et Aicha Tamba pour ce nouveau départ dans leur vie ensemble.

    Les défis de Aliou Cissé : Comment déverrouiller les blocs bas?

    L’équipe nationale du Sénégal, dirigée par Aliou Cissé, semble faire face à des difficultés récurrentes lors des matchs contre des adversaires pratiquant le bloc bas. Les résultats récents, marqués par des scores tels que 1-0 contre le Niger, 0-1 contre l’Algérie et des matchs nuls face au Togo, au Malawi, à la Guinée, et au Zimbabwe, soulèvent des questions quant à la stratégie adoptée face à ces équipes défensives. Dans cet article, nous explorerons les défis spécifiques auxquels Aliou Cissé est confronté et proposerons des conseils pour surmonter ces obstacles.

    La série de résultats mitigés du Sénégal contre des équipes pratiquant le bloc bas indique clairement une difficulté à percer ces défenses compactes. Les équipes adverses semblent réussir à neutraliser les attaques sénégalaises, créant ainsi des situations de matchs serrés et de faibles scores.

    Aliou Cissé pourrait envisager d’incorporer une plus grande variété dans le jeu offensif de l’équipe. La prévisibilité peut être exploitée par les équipes adverses pratiquant le bloc bas. En introduisant des schémas de jeu plus complexes, des combinaisons rapides et des mouvements imprévisibles, le Sénégal pourrait trouver des failles dans les défenses adverses.

    Face à des blocs compacts, les espaces sur les côtés peuvent être des zones clés à exploiter. Encourager les joueurs à utiliser les ailes, à effectuer des centres précis et à créer des situations de un contre un sur les côtés pourrait déstabiliser les défenses adverses.

    Un jeu en profondeur rapide peut surprendre les équipes adverses regroupées. Encourager les attaquants à exploiter l’espace derrière la défense adverse et à exercer un contre-pressing immédiat en cas de perte de balle peut perturber la structure défensive de l’adversaire.

    Introduire des joueurs créatifs capables de briser les défenses adverses est essentiel. Des joueurs dotés de dribbles habiles, de vision périphérique et de capacités à créer des occasions peuvent apporter une dimension nouvelle à l’attaque sénégalaise.

    Les équipes pratiquant le bloc bas sont souvent vulnérables sur les coups de pied arrêtés. Renforcer le travail sur les phases arrêtées, que ce soit sur les corners ou les coups francs, pourrait offrir des opportunités supplémentaires de marquer.

    Les défis actuels de l’équipe nationale du Sénégal face aux blocs bas nécessitent une réflexion tactique approfondie. Aliou Cissé devra peut-être ajuster sa stratégie et encourager son équipe à adopter des approches plus variées et créatives pour surmonter ces défenses compactes. Les conseils susmentionnés pourraient être des pistes pour améliorer les performances de l’équipe sénégalaise lors de ses prochains défis.

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