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Université Gaston Berger de Saint-Louis : La CESL durcit le ton face aux dysfonctionnements persistants

L’atmosphère est de plus en plus tendue sur le campus de l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis. Pour la énième fois, les étudiants, regroupés autour de la Coordination des Étudiants de Saint-Louis (CESL), haussent le ton contre ce qu’ils qualifient de « dysfonctionnements chroniques » dans leur cadre de vie et d’étude.

Dans un communiqué publié ce vendredi, la CESL a décrété 48 heures de cessation de toute activité pédagogique, accompagnées de 48 heures de journée sans ticket (JST). Deux mesures qualifiées de « renouvelables » si les autorités compétentes ne réagissent pas favorablement.

Des revendications claires, un ras-le-bol exprimé

Au cœur de la grogne étudiante figurent plusieurs doléances non résolues, dont :

Le non-démarrage des travaux de la plateforme du village O L’absence de progrès sur le chantier du chapiteau du restaurant N°2 L’inaccessibilité persistante au Wi-Fi sur le campus Une insécurité jugée grandissante dans les enceintes universitaires

Selon la CESL, ces problèmes, loin d’être nouveaux, sont devenus récurrents, affectant profondément la vie universitaire et les performances académiques des étudiants. « Nous ne pouvons plus continuer à étudier dans ces conditions indignes », martèle la coordination dans sa note.

Face à ce qu’elle qualifie de « silence institutionnel », la CESL affirme rester mobilisée et déterminée à défendre les droits des étudiants de l’UGB. Elle appelle les autorités universitaires et gouvernementales à une prise de responsabilité immédiate, faute de quoi le mouvement de protestation pourrait s’intensifier dans les jours à venir.


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