Le commissariat d’arrondissement de Guinaw-rails a procédé à l’arrestation d’un homme se faisant passer pour un marabout et son complice. Ce duo d’escrocs aurait extorqué plus de 14 millions de F CFA à des individus cherchant à émigrer, en promettant l’obtention de visas pour les États-Unis et l’Italie.
A.Bâ, aspirant à émigrer aux États-Unis, est entré en contact avec A.L.Fall, se présentant comme le petit-fils de Mame Cheikh Ibra Fall, prétendant avoir déjà facilité le voyage de nombreuses personnes. A.L.Fall a promis à A.Bâ l’obtention d’un visa américain moyennant le paiement de 4,5 millions de F CFA. Après avoir encaissé une avance de 2 millions de F CFA, A.L.Fall a rompu tout contact avec sa victime.
A.Bâ, ne parvenant plus à contacter l’escroc, a organisé un rendez-vous avec lui, se faisant passer pour un autre candidat à l’émigration. A.L.Fall est tombé dans le piège et a été arrêté par la police. En garde à vue, il a avoué avoir escroqué A.Bâ et a révélé son mode opératoire, prétendant avoir agi en tant qu’intermédiaire.
A.L.Fall remettait à ses victimes un document d’engagement reconnaissant la réception de l’argent et s’engageant à délivrer le visa dans un délai convenu, promettant le remboursement en cas de non-délivrance. Le préjudice total est estimé à plus de 14 millions de F CFA par sept plaignants.
Un complice, Ibrahima.N, qui recevait une commission de 10% sur chaque somme encaissée, a été interpellé. Sous interrogatoire, il a prétendu être une victime, mais a été placé en garde à vue pour complicité.
A.L.Fall était déjà visé par des plaintes à la Division des investigations criminelles (Dic) et au commissariat de Ndamatou à Touba avant son arrestation.
Les deux individus ont été déférés pour escroquerie et complicité, portant sur une somme dépassant les 14 millions de F CFA. Cette affaire souligne les risques auxquels sont exposés les candidats à l’émigration et la nécessité de rester vigilant face à de potentielles escroqueries.
Suite à la déclaration du Conseil constitutionnel rendant irrecevable sa candidature à l’élection présidentielle du 25 février, Karim Wade, fils de l’ancien président sénégalais Abdoulaye Wade, annonce son intention de saisir les juridictions internationales pour défendre son droit à participer au scrutin.
Karim Wade, qui réside au Qatar depuis sa libération de prison en 2016, est le seul parmi les 21 candidats dont la candidature a été déclarée irrecevable par le Conseil constitutionnel. Le rejet est basé sur un recours déposé par un autre candidat contestant la véracité de la déclaration sur l’honneur de Wade concernant sa double nationalité, française et sénégalaise.
Karim Wade dénonce la décision du Conseil constitutionnel comme étant « scandaleuse » et une « atteinte flagrante à la démocratie ». Il conteste le fondement de la décision, affirmant avoir depuis longtemps renoncé à sa nationalité française et considérant que la décision viole son droit fondamental de participer à l’élection présidentielle.
Face à ce qu’il qualifie de « complot judiciaire », Karim Wade annonce son intention de saisir les juridictions internationales, dont la Cour de justice de la CEDEAO, pour contester la décision du Conseil constitutionnel. Il considère que cette démarche est nécessaire pour défendre ses droits et rétablir sa candidature.
La décision du Conseil constitutionnel et la réaction de Karim Wade ajoutent une dimension controversée à un contexte électoral déjà tendu. Avec plusieurs candidats écartés pour diverses raisons, dont des condamnations définitives, l’élection présidentielle au Sénégal s’annonce comme un moment clé avec une vingtaine de candidats en lice.
La contestation de Karim Wade devant les juridictions internationales promet de maintenir la tension autour de l’élection présidentielle sénégalaise. L’issue de cette démarche pourrait avoir des implications significatives sur le déroulement du scrutin et susciter un débat plus large sur les processus électoraux et la participation politique au Sénégal.
Le Maroc et la République démocratique du Congo (RDC) se sont quittés sur un match nul (1-1) lors de leur rencontre ce dimanche 21 janvier au stade Laurent Pokou de San Pedro lors de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024.
Contrairement à leur précédente rencontre face à la Tanzanie, le Maroc a ouvert le score rapidement avec un but d’Achraf Hakimi à la 6e minute, sur un corner tiré par Hakim Ziyech. Youssef En-Nesyri avait déjà mis la pression sur le portier congolais avec une tête puissante à la 2e minute.
La RDC, après avoir eu un nombre important d’occasions lors de leur match contre la Zambie, a connu des difficultés contre les Lions de l’Atlas. Ils ont raté une belle opportunité à la 33e minute après un corner de Kakuta dévié par Sélim Amallah et manqué par Chancel Mbemba.
La RDC aurait pu égaliser avec un penalty obtenu après une main de Sélim Amallah, mais Cédric Bakambu a manqué son tir en croisant trop sa frappe, qui a touché le poteau gauche à la 41e minute.
L’égalisation de la RDC est finalement survenue à la 77e minute, avec Silas Katompa Mvumpa marquant du plat du pied après un centre d’Elia Meschack. Dans les instants qui ont suivi, la RDC a failli prendre l’avantage, mais Samuel Moutoussamy n’a pas concrétisé (79e).
Cette égalisation laisse le Maroc en attente de sa qualification pour les huitièmes de finale, alors que la RDC cherche à se positionner favorablement dans le tournoi. Les deux équipes ont des ambitions différentes, le Maroc visant le titre, tandis que la RDC cherche à réaliser une performance notable.
Le match entre le Maroc et la RDC à la CAN 2024 a été marqué par des moments forts, avec le Maroc ouvrant le score rapidement et la RDC réussissant à égaliser en seconde période. Cette rencontre a ajouté de l’excitation au tournoi et a montré que la compétition est ouverte avec des équipes déterminées à atteindre les sommets.
Le bloc des soins obstétricaux néonatals d’urgence (SONU) du centre de santé de Goudiry a officiellement rouvert ses portes après neuf années de fermeture. Cette réouverture a été rendue possible grâce à un partenariat fructueux entre l’USAID Sénégal et le ministère de la Santé et de l’Action sociale, dans le cadre du projet USAID Owod.
La cérémonie de réouverture s’est déroulée le 27 décembre 2023, coïncidant avec la semaine de la mère et de l’enfant célébrée à Tambacounda et dans tout le Sénégal. Un protocole d’accord entre le ministère de la Santé et l’USAID a permis le recrutement et l’affectation d’un technicien en anesthésie, ainsi que l’équipement du bloc en matériel biomédical.
Cette initiative vise à répondre aux besoins de santé maternelle et néonatale dans la région. En réouvrant le bloc SONU, le centre de santé de Goudiry pourra offrir des services obstétricaux d’urgence, notamment des césariennes, assurant une couverture optimale pour les 12 200 personnes fréquentant le centre de santé.
Cette action conjointe entre l’USAID et le ministère de la Santé illustre l’importance des partenariats public-privé pour améliorer les services de santé, renforcer les infrastructures médicales et contribuer au bien-être des communautés locales. La réouverture du bloc SONU à Goudiry constitue un pas significatif vers l’amélioration des soins de santé maternelle et néonatale dans la région
Le Conseil constitutionnel du Sénégal a publié la liste définitive des 20 candidats retenus pour l’élection présidentielle prévue le 25 février. Parmi les candidats écartés figurent Ousmane Sonko, actuellement en prison et Karim Wade, fils de l’ex-président Abdoulaye Wade. La liste comprend des personnalités politiques telles que le Premier ministre Amadou Bâ, les anciens chefs de gouvernement Idrissa Seck et Mahammed Boun Abdallah Dionne, ainsi que deux femmes, Rose Wardini et Anta Babacar Ngom.
La décision du Conseil constitutionnel a été attendue avec impatience, et elle a confirmé l’élimination d’Ousmane Sonko en raison de sa condamnation récente et de l’inéligibilité qui en découle. Karim Wade a également été exclu en raison de sa double nationalité française et sénégalaise, selon le Conseil.
Le Conseil constitutionnel a jugé que la déclaration sur l’honneur de Karim Wade, affirmant qu’il avait exclusivement la nationalité sénégalaise, était inexacte au moment de son dépôt, en raison de la non-rétroactivité des effets du décret consacrant sa renonciation à la nationalité française.
L’élection présidentielle de 2024 est historique, car elle marque la première fois que le Sénégal voit autant de candidats en lice, soit 20 au total. Cela contraste avec la présidentielle de 2019 qui avait retenu cinq candidats. Parmi les candidats retenus, deux femmes participeront à cette élection, Rose Wardini, gynécologue et actrice de la société civile, et Anta Babacar Ngom, entrepreneure et ex-directrice de la SEDIMA.
La situation politique reste tendue à moins d’un mois et demi du scrutin, avec une incertitude quant à l’issue de l’élection qui se déroulera sans la participation du président sortant, Macky Sall, qui a décidé de ne pas se représenter. Le Premier ministre Amadou Bâ est le candidat du pouvoir choisi par Macky Sall.
Suite à la publication de la liste des candidats retenus par le Conseil constitutionnel pour l’élection présidentielle du 25 février prochain, Ousmane Sonko, leader de l’ex-Pastef actuellement en prison, a semblé indiquer son choix en modifiant la photo de couverture de sa page Facebook officielle.
Il est à noter que Diomaye Faye avait bénéficié des parrainages de 13 députés de Pastef et avait promis de se retirer si la candidature d’Ousmane Sonko était validée. Le choix final de Sonko pourrait avoir des répercussions importantes sur le paysage politique sénégalais dans les prochaines semaines.
Suite au rejet de sa candidature à l’élection présidentielle par le Conseil constitutionnel, Karim Wade, fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, a annoncé qu’il comptait saisir les juridictions internationales pour contester cette décision.
Le Conseil constitutionnel a déclaré irrecevable la candidature de Karim Wade en raison de sa double nationalité au moment de sa déclaration d’honneur datée du 22 décembre 2023. Karim Wade qualifie cette décision de « scandaleuse » et d' »atteinte flagrante à la démocratie ». Il estime que cette décision repose sur des « prétextes fallacieux » et constitue une violation de son « droit fondamental de participer à l’élection présidentielle du 25 février 2024 ».
Sur les réseaux sociaux, Karim Wade a affirmé qu’il participera « d’une manière ou d’une autre » au scrutin du 25 février. Il a également annoncé son intention de saisir les juridictions internationales, dont la Cour de justice de la CEDEAO, pour défendre son droit à la candidature.
Le Conseil constitutionnel a validé la liste définitive des candidats à l’élection présidentielle du 25 février 2024, dont Amadou Ba, candidat de la coalition Benno Bokk Yaakar (BBY) au Sénégal. Suite à cette validation, Amadou Ba a exprimé sa satisfaction et s’est tourné vers la préparation de la campagne électorale.
Amadou Ba, également Premier ministre du Sénégal, a salué la décision du Conseil constitutionnel, qu’il considère comme un tournant décisif dans le processus électoral du pays. Il a souligné la vitalité de la démocratie sénégalaise sous le contrôle d’institutions républicaines fortes et impartiales.
Le candidat de la coalition BBY a déclaré : « À partir d’aujourd’hui, notre attention est portée sur la préparation de la campagne électorale qui nous donnera l’occasion de partager avec nos compatriotes notre offre programmatique pour un Sénégal prospère dans l’unité, la stabilité et la paix. »
Amadou Ba a lancé un appel à toutes les Sénégalaises et tous les Sénégalais pour qu’ils contribuent à faire de l’élection présidentielle un moment fort de consolidation de la démocratie et du renforcement des institutions de la République.
Il a également exhorté les militants et sympathisants de la coalition BBY à une forte mobilisation et à un engagement sans faille pour assurer une victoire éclatante dès le premier tour, le soir du 25 février 2024.
Amadou Ba, en tant que candidat de la coalition BBY, se tourne vers la prochaine étape du processus électoral, prêt à partager son programme avec les électeurs et appelant à une mobilisation active en vue de remporter l’élection présidentielle.
Suite au rejet de la candidature de Karim Wade à l’élection présidentielle de 2024 par le Conseil constitutionnel, Mamadou Lamine Diallo, candidat à cette élection, a exprimé son mécontentement dans un tweet. Il a critiqué l’acharnement, selon lui, de Macky Sall, Amadou Ba et BBY (Benno Bokk Yakaar) contre Maître Abdoulaye Wade et sa famille.
Mamadou Lamine Diallo a exprimé son étonnement face à la décision du Conseil constitutionnel et a déclaré sur Twitter : « Franchement, il m’est difficile de comprendre l’acharnement de Macky Sall, de Amadou Ba et de BBY contre Maître Abdoulaye Wade et sa famille ». Il a souligné que Karim Wade a fait preuve de courage patriotique en renonçant à sa nationalité française, acquise de manière involontaire à sa naissance.
Mamadou Lamine Diallo a conclu son tweet en indiquant que « la lutte pour le renforcement de l’État de droit se poursuit ».
Le Conseil constitutionnel a rejeté la candidature de Karim Wade à l’élection présidentielle de 2024. Cette décision a suscité des réactions et des critiques de la part de certains acteurs politiques, dont Mamadou Lamine Diallo.
La réaction de Mamadou Lamine Diallo n’a pas été unanimement bien accueillie sur les réseaux sociaux, certains internautes exprimant leur désaccord avec sa position. La question de la candidature de Karim Wade et les divergences politiques continuent de susciter des débats passionnés au Sénégal.
Le Conseil constitutionnel du Sénégal a annoncé le rejet de la requête de l’opposant Ousmane Sonko pour participer à l’élection présidentielle de 2024, citant des motifs juridiques. Cette décision découle de la condamnation de Sonko à une peine d’emprisonnement de 6 mois avec sursis dans une affaire de diffamation l’opposant au ministre Mame Mbaye Kan Niang.
Les sept membres du Conseil constitutionnel ont précisé que, conformément à l’article L.125 du Code électoral, ils effectuent toutes les vérifications nécessaires pour s’assurer de la validité des candidatures. La condamnation d’Ousmane Sonko dans une affaire de diffamation le rend inéligible pendant 5 ans, en vertu de l’article L.30 du Code électoral. Ainsi, la requête d’Ousmane Sonko a été rejetée.
Le Conseil constitutionnel a également abordé l’absence de l’attestation confirmant le versement de la caution, un élément qui a conduit à l’irrecevabilité de la candidature de Sonko. Ils ont déclaré que cette absence était imputable à des défaillances de la Caisse des Dépôts et Consignations (Cdc), qui avait reçu le chèque certifié de Sonko mais avait refusé de lui remettre une attestation.
Le Conseil constitutionnel a souligné que, bien que le contrôle des parrainages soit une condition nécessaire pour la recevabilité des candidatures, il n’est pas suffisant en soi. Ils ont noté que le dossier de Sonko ne contenait pas toutes les pièces exigées par la loi, mais que cette lacune ne pouvait pas lui être reprochée, car elle était indépendante de sa volonté.
Ousmane Sonko avait introduit une requête après avoir été écarté de la course à la présidentielle au stade du parrainage. Cette décision du Conseil constitutionnel intervient dans un contexte politique tendu à l’approche des élections présidentielles prévues le 25 février 2024.
Dans un communiqué reçu à la rédaction la capitale sénégalaise accueille ce Dimanche, 21 janvier 2024 la présentation d’un nouveau modèle des arts martiaux – le système innovant de combat rapproché dénommé « Système du Triangle d’Or ou Golden Triangle Système »
Brèves informations sur le système :
Lors du développement initial du « Système Triangle d’Or », l’objectif principal était de minimiser le temps consacré à la maîtrise de la motricité appliquée, de créer des réflexes adaptés aux situations extrêmes, formant un modèle de comportement stable qui permet de supprimer les attaques de l’agresseur. dans les plus brefs délais et avec un minimum de pertes possibles pour le personnel militaire, les forces de l’ordre et divers groupes sociaux de la population.
La formation aux compétences militaires appliquées intégrées dans les tactiques de conduite de guerres hybrides locales nécessite de repousser les limites des connaissances et des compétences particulières liées aux réflexes naturels. Le système est une plate-forme innovante qui combine divers sports militaires appliqués, arts martiaux traditionnels, connaissances militaires en ingénierie et formation chimique, formation canine, formation en parachute et premiers secours sur le terrain.
Les méthodes développées du Système permettent de passer rapidement du travail en combat rapproché sans armes à l’utilisation de moyens spéciaux, d’armes blanches et d’armes à feu. La base de la méthodologie d’enseignement est l’expérience pratique acquise lors d’opérations militaires en Afghanistan, d’opérations antiterroristes dans le Caucase et en Syrie, ainsi que des programmes originaux et innovants des employés du Centre de recherche scientifique de l’Institut militaire de culture physique du ministère de la Défense de la Fédération de Russie.
Le conseil méthodologique du « Système du Triangle d’Or » comprend des instructeurs de niveau international dans divers types d’arts martiaux qui ont une expérience de service dans les forces armées de la Fédération de Russie, des unités des forces de l’ordre russes qui ont pris part aux hostilités, qui ont été décerné des prix départementaux et d’État, ainsi que des enseignants et des médecins titulaires de diplômes scientifiques et auteurs de techniques russes brevetées de santé et de réadaptation.
L’utilisation généralisée de la méthodologie de l’auteur vise à former les employés des forces de l’ordre, des organisations de sécurité privées et des jeunes.
La méthodologie du « Système du Triangle d’Or » est utilisée dans la préparation des participants aux compétitions dans les sports d’application militaire « Tir tactique de l’armée tous azimuts » et « Athlétisme pratique général ». Le premier sport a été enregistré par le ministère des Sports de la Fédération de Russie dans la quatrième section du Registre panrusse des sports – « Sports militaires et militaires » en mars 2021 et est en cours de développement par le ministère de la Défense de la Fédération de Russie. Fédération. Le deuxième sport est actuellement en cours d’accréditation et s’adresse à la population civile.
Le système du «Triangle d’Or» a été à juste titre très apprécié non seulement en Russie – le système a déjà reçu une réponse internationale au format international, en ouvrant des bureaux de représentation au Kirghizistan, en Ouzbékistan, à Chypre, aux Philippines, au Myanmar et au Japon.
Brèves informations sur le newsmaker :
Alexander Shlychkov – Pédagogue , spécialiste aux sciences des arts martiaux de Fédération de la Russie , président de l’Association européenne de boxe traditionnelle birmane (Lethwei), président de l’Organisation publique panrusse de culture physique et sportive pour le développement des arts martiaux en philippins , membre du présidium de la Fédération de tir tactique de l’armée de Russie, auteur du système de combat rapproché « Triangle d’Or » et d’un nouveau format de la discipline fitness Close combat studio, titulaire du cinquième dan en taekwondo (WT)
Organisateurs d’événements :
Système du Triangle d’Or au Sénégal Bureau de représentation de l’Association internationale des experts en sécurité « G3 » (Association « G3 »)
Titre: Expérience russe : le système innovant du Triangle d’Or arrive au Sénégal.
Plomb: Le 21 janvier, dans la capitale de la République du Sénégal, Dakar, aura lieu une présentation du système innovant de combat rapproché de dénommé « Golden Triangle System ».
Le nouveau format du Système combine harmonieusement l’utilisation d’espaces de lancer de couteaux et de pratique de tâches sportives et tactiques avec des simulateurs de tir, des espaces de fitness cyclique et fonctionnel, un tapis de lutte avec une « cage » improvisée pour les arts martiaux mixtes, des espaces d’entraînement à la frappe. techniques sur simulateurs, et bien plus encore.
Corps de libération : Dans le monde moderne, au cours de la vie quotidienne, une personne interagit inévitablement avec l’environnement, se retrouvant parfois dans des situations extrêmes. Dans des situations dangereuses et critiques, les personnes risquent de subir des blessures de gravité variable et sont également confrontées à des dangers qui constituent une menace directe pour leur vie et leur santé.
Les formes existantes de culture physique, y compris les sports militaires et militaires, ne peuvent pas résoudre complètement le problème de la préparation d’une personne à relever les défis de la société moderne. La raison principale est avant tout la disponibilité limitée de ces disciplines pour un large éventail de personnes. Compte tenu de ce facteur, il est urgent de faire émerger un système universel, un système accessible aux différentes couches de la population et aux différentes tranches d’âge. Les créateurs du « « Golden Triangle System », sous la direction du candidat en sciences pédagogiques, chef du Centre de formation spécial du DOSAAF de Russie Alexander Shlychkov, ont proposé la mise en œuvre d’un nouveau type universel d’activité compétitive – le concours multiple athlétique pratique. Le format original de fitness « Close Combat Studio », ouvert à Dakar, prend en compte l’intérêt des jeunes pour les nouvelles formes d’activité physique allié à la nécessité d’introduire un entraînement physique et appliqué universel, comme l’une des formes d’éducation physique pour tous. strates et groupes de population correspondant au niveau et à la variabilité des menaces directes et indirectes pour la santé et le bien-être humains. Les représentants de la presse invités auront l’occasion de recevoir de nombreuses informations de la part de professionnels sur des questions qui les intéressent.
Représentant officiel de l’Association Internationale des Experts en Sécurité « G3 » au Sénégal, instructeur certifié du « Système Triangle d’Or » maître Dadouda Fall
Le Conseil constitutionnel du Sénégal a publié sa liste définitive des candidats en vue de l’élection présidentielle prévue en 2024. L’annonce confirme la participation de Bassirou Diomaye Faye et Cheikh Tidiane Dieye, malgré des recours déposés à leur encontre. En revanche, les candidatures d’Ousmane Sonko, leader de l’ex-Pastef, et de Karim Wade, président de la coalition K24, ont été rejetées.
Mamadou Badio Camara, président du Conseil constitutionnel, a présenté les résultats après que lui et son équipe ont quitté les locaux du Conseil, mettant ainsi fin à une période d’incertitude entourant ces candidatures controversées. La décision de déclarer le dossier de Karim Wade irrecevable et de ne pas retenir la candidature d’Ousmane Sonko pourrait avoir des répercussions significatives sur le paysage politique sénégalais.
Parmi les 18 autres candidats dont les dossiers ont été retenus, on retrouve des personnalités bien connues telles que Boubacar Camara, Déthié Fall, Khalifa Ababacar Sall, Idrissa Seck, et d’autres. Cette liste diversifiée reflète la pluralité des acteurs politiques engagés dans la course à la présidence.
La non-inclusion d’Ousmane Sonko, figure majeure de l’opposition, et de Karim Wade, fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, pourrait intensifier les débats politiques dans les semaines à venir. Les partisans de ces deux leaders pourraient exprimer leur mécontentement, tandis que les autres candidats se préparent à une campagne électorale marquée par des enjeux cruciaux pour l’avenir du Sénégal.
Parmi les candidats retenus, des personnalités émergent comme des prétendants sérieux à la magistrature suprême. Les électeurs auront désormais l’opportunité de considérer un large éventail d’options lors du scrutin, chacune représentant des visions et des programmes différents pour le futur du pays.
La scène politique sénégalaise est désormais fixée, ouvrant la voie à une campagne présidentielle pleine de dynamisme, d’anticipations et d’enjeux pour la nation ouest-africaine. Les yeux seront rivés sur les candidats confirmés alors qu’ils cherchent à convaincre les électeurs et à façonner le destin politique du Sénégal pour les années à venir.
Les commerçants du marché Saint Maurs des Fossés de Boucotte, à Ziguinchor, ont tenu une conférence de presse le samedi 20 janvier 2024 pour dénoncer l’absence de mesures prises par la mairie suite à l’incendie dévastateur du 5 décembre 2023. Cette tragédie a plongé la moitié du marché dans l’obscurité, privant les commerçants d’électricité pendant plusieurs jours.
Serigne Kassé, secrétaire général du marché, explique la détérioration des conditions depuis l’incendie : « La moitié du marché est privée d’électricité depuis le 5 décembre dernier, et malgré nos appels à la commune de Ziguinchor, aucune action concrète n’a été entreprise. »
Face à cette inaction, les commerçants ont pris des initiatives personnelles, investissant un montant considérable pour rétablir l’électricité. Cependant, les travaux ont été entravés par des anomalies, laissant le marché dans une situation précaire.
« Nous nous sommes sacrifiés à hauteur d’un million trois cent soixante mille pour refaire l’électricité, qui a beaucoup d’anomalies sur nos travaux », déclare Serigne Kassé.
La situation est critique, avec des interruptions fréquentes dans l’alimentation électrique depuis l’incident. Certains commerçants, tels que ceux vendant des produits périssables comme la viande et le poisson, subissent d’importantes pertes.
« Des vendeurs de poulets, des vendeurs de viande, des vendeurs de poissons qui utilisent l’électricité 24 heures sur 24 voient tous leurs produits pourrir. Nous ne voulons pas que cela se reproduise, et nous appelons la commune à rétablir l’électricité rapidement », martèle Monsieur Kassé.
Malgré les démarches du délégué auprès de la mairie, aucune solution n’a été trouvée. Les commerçants, fatigués de cette situation, envisagent des actions plus drastiques si aucune mesure n’est prise.
« Ils nous avaient promis de faire les travaux le mardi dernier, mais rien. Un marché cinq jours sans électricité, c’est difficile. Si la mairie ne règle pas cette situation, nous passerons à la phase supérieure, c’est-à-dire que nous ne paierons pas les taxes », affirme Serigne Kassé.
Cette crise électrique met en péril les moyens de subsistance des commerçants du marché Saint Maurs des Fossés de Boucotte, les forçant à envisager des mesures de protestation radicales pour attirer l’attention sur leur détresse. La balle est maintenant dans le camp de la mairie de Ziguinchor pour résoudre cette crise et éviter des conséquences économiques dévastatrices pour la communauté locale.
La Journée de réflexion de l’Amicale des Administrateurs civils du Sénégal s’est tenue récemment sous la présidence d’Alioune Badara Diop, Secrétaire Général adjoint du gouvernement et représentant du Premier Ministre. La thématique centrale de cet événement était « La territorialisation des politiques publiques : quels leviers pour la mise en œuvre ? ». Diverses personnalités, dont le gouverneur de la région de Dakar et le président de l’association des anciens gouverneurs du Sénégal, ont participé à cette journée. Le président de l’Amicale, El Hadji Habib Kandji, a souligné l’importance de la territorialisation dans le contexte de l’Acte III de la décentralisation.
El Hadji Habib Kandji a exprimé la volonté de l’Amicale des Administrateurs civils de demeurer un lieu de réflexion sur les problématiques contemporaines liées à l’État et à l’Administration. Il a rappelé que la territorialisation des politiques publiques a été consacrée par l’État, en particulier au cours de la dernière décennie. L’Acte III de la décentralisation, en 2014, a approfondi ce processus en l’ancrant davantage dans la réalité des territoires, afin de favoriser leur développement endogène.
El Hadji Habib Kandji a souligné le rôle central des administrateurs civils dans la conception, la mise en œuvre, le contrôle, le suivi et l’évaluation des politiques publiques. Il a rappelé que la territorialisation consiste à adapter l’action de l’État aux spécificités de chaque territoire, en prenant en compte ses ressources et potentialités.
Alioune Badara Diop, représentant du Premier Ministre, a indiqué que depuis 2012, le gouvernement sénégalais a modifié sa démarche et son paradigme en matière de politique publique. La déconcentration et l’Acte III de la décentralisation ont été initiés pour mettre en œuvre la territorialisation des politiques publiques, rapprochant ainsi les services publics de la population. Il a souligné l’importance cruciale des administrateurs civils dans le bon fonctionnement de l’État, notant qu’ils occupent une place significative au sein de l’administration sénégalaise.
El Hadji Habib Kandji a conclu en soulignant l’importance des échanges entre les différents acteurs territoriaux, y compris les associations d’élus locaux, les corps de contrôle, la société civile et le secteur privé. Il a exprimé sa conviction que les réflexions issues de cette journée contribueront à la mise en œuvre de politiques publiques territorialisées, générant des impacts positifs pour les citoyens. Ces conclusions seront soumises au gouvernement pour favoriser une mise en œuvre plus efficace des politiques publiques au niveau territorial.
À quelques heures de la publication officielle de la liste des candidats pour les élections présidentielles de 2024 au Sénégal, le président de la coalition MLD (Mouvement pour la Libération de la Démocratie), Mamadou Lamine Diallo, a tenu une conférence de presse pour remercier les Sénégalais de leur soutien dans le processus de parrainage. L’occasion a également été saisie pour annoncer la nomination de l’honorable Théodore Cherif Monteil en tant que directeur de campagne de la coalition MLD tekki 2024.
Mamadou Lamine Diallo a exprimé sa confiance dans le fait que la coalition MLD sera inévitablement présente sur la liste définitive des candidats, saluant le soutien des citoyens, de la diaspora, des partenaires, et des multiples alliés qui ont permis de franchir les obstacles du parrainage. Il a ensuite annoncé la nomination de l’honorable Théodore Cherif Monteil au poste de directeur de campagne pour les élections présidentielles de 2024.
Dans son discours, Mamadou Lamine Diallo a souligné l’acceptation de cette responsabilité par Théodore Cherif Monteil avec modestie, humilité, et un esprit de sacrifice, mettant en avant la compréhension de l’enjeu patriotique et citoyen de l’alternative qu’ils représentent.
Le président de la coalition MLD tekki 2024 a évoqué quelques-uns des engagements de son programme, notamment la réconciliation des Sénégalais avec les institutions, des réformes profondes dans l’éducation, la santé, l’alimentation, la sécurité, et la création d’emplois.
Théodore Cherif Monteil a également pris la parole pour exprimer son honneur face à sa nomination en tant que directeur de campagne. Il a souligné la responsabilité qui accompagne cette fonction, consistant à coordonner l’ensemble des équipes au sein de la coalition pour assurer la victoire éclatante de Mamadou Lamine Diallo lors du scrutin.
Les deux leaders ont évoqué des mesures urgentes qui seront prises dès avril 2024 pour résoudre les problèmes immédiats des citoyens. Ils ont exprimé leur vision d’un Sénégal économiquement prospère d’ici 2040-2045, mettant en avant le potentiel de la jeunesse talentueuse du pays.
En conclusion, Mamadou Lamine Diallo a renouvelé ses remerciements au peuple sénégalais et a exprimé sa confiance en une victoire collective pour construire un avenir meilleur.
La cérémonie de vœux 2024 de l’Administration Pénitentiaire sénégalaise a été l’occasion pour le Colonel Abdoulaye Diagne de reconnaître les défis auxquels sont confrontés les agents, notamment l’insuffisance d’effectifs et la surcharge de travail. Dans son discours, le Directeur Général a également dévoilé ses ambitions pour l’amélioration des conditions de travail et la préparation à la réinsertion sociale des détenus.
Le Colonel Abdoulaye Diagne a souligné l’insuffisance des effectifs au sein de l’Administration Pénitentiaire. Pour remédier à cette situation, il a révélé qu’actuellement, 300 agents de tous grades suivent une formation à l’École Nationale d’Administration Pénitentiaire. Cette mesure vise à renforcer les ressources humaines et à mieux répondre aux exigences sécuritaires.
Le DG a effectué un examen rétrospectif des performances de l’année écoulée, saluant les résultats élogieux obtenus grâce à l’engagement de tous les acteurs. Il a souligné la maturation et la modernisation de l’institution, avec des progrès notables dans l’équipement du personnel et la création d’activités pour favoriser la réhabilitation des détenus.
Le Colonel Diagne a rappelé l’importance du respect des droits et de la dignité des détenus, les considérant comme des êtres humains dont la réinsertion sociale doit être au cœur des préoccupations. Il a appelé à la consolidation des acquis tout en soulignant l’importance de l’obligation de réserve et de loyauté envers la République pour le personnel pénitentiaire.
Le DG a encouragé le renforcement de la formation continue du personnel, notamment en collaborant avec la Direction des Ressources Humaines. Il a exprimé sa reconnaissance envers les anciens de l’Administration Pénitentiaire et a assuré de maintenir des relations fortes avec l’Association des Retraités.
Abdoulaye Diagne a conclu en reconnaissant que malgré les réussites, des défis subsistent. Il a appelé à la solidarité, la discipline, la rigueur, et le désintéressement pour aborder la mission de l’Administration Pénitentiaire comme un sacerdoce. Le DG a formulé des vœux de santé, paix, et réussite pour l’année 2024 à tous les membres du personnel, associant également leurs familles.
La cérémonie a également été l’occasion de remercier les partenaires publics et privés qui contribuent au succès de l’Administration Pénitentiaire dans ses missions de réinsertion sociale des détenus.
La validation technique du rapport de la RAC2023, couplée au partage du PAP3 du Plan Sénégal Émergent (PSE), a été l’occasion d’annoncer un engagement financier majeur en faveur de l’économie sociale, solidaire, et de la création d’emplois, avec une perspective ambitieuse pour 2035.
Le ministre de l’économie, du plan, et de la coopération, Doudou Ka, a déclaré lors de la rencontre au Radisson Blu de Dakar que le gouvernement s’engage à mobiliser plus de 1500 milliards de FCFA pour développer divers secteurs et résoudre la question de l’emploi des jeunes et des femmes d’ici 2035. Cet engagement financier vise à renforcer l’économie sociale et solidaire du Sénégal.
Doudou Ka a souligné que malgré les défis liés à la pandémie de Covid-19 et d’autres crises, les résultats obtenus en 2022 sont satisfaisants. Il a salué la qualité des propositions des acteurs tels que les partenaires au développement, la société civile, le secteur privé, et les collectivités territoriales. Le gouvernement prévoit d’optimiser les dépenses publiques, moderniser l’administration, et rationaliser les soutiens au secteur privé, en particulier aux PME/PMI.
Pour répondre à la problématique de l’emploi des jeunes, le gouvernement prévoit de mettre en œuvre le Programme PSE Jeunes, de poursuivre le programme Xeyu Ndaw Gni, d’étendre la formation professionnelle, et d’augmenter les lignes de financement. Des instruments tels que le FONSIS, le FONGIP, la BNDE, et la DER/FJ joueront un rôle clé dans cette stratégie.
Le secteur privé et la société civile ont appelé à renforcer la synergie des moyens d’action et à débloquer une ligne de financement, conformément aux recommandations du dernier conseil présidentiel sur la RAC du PSE. Ils ont également demandé un renforcement des capacités des acteurs de la société civile sur le PAP3. Le secteur privé souhaite l’opérationnalisation effective de la loi sur les PPP pour stimuler l’investissement privé.
Les partenaires au développement, représentés par Aminata Maiga, ont souligné l’importance de renforcer la paix, la stabilité, et la résilience face aux défis mondiaux. Ils encouragent le Sénégal à accorder une attention particulière aux enjeux sécuritaires transnationaux, à préserver la stabilité et la paix sociale, et à gérer la question climatique pour renforcer la résilience des populations.
L’annonce de plus de 1500 milliards de FCFA d’engagement financier, couplée aux initiatives en faveur de l’emploi des jeunes et de l’économie sociale, donne un élan significatif au développement économique du Sénégal. La collaboration entre le gouvernement, la société civile, le secteur privé, et les partenaires au développement reste cruciale pour atteindre les objectifs fixés dans le cadre du PSE d’ici 2035.
Une inquiétude momentanée a traversé les rangs des supporters sénégalais après que le sélectionneur de l’équipe nationale, Aliou Cissé, ait été victime d’un malaise suite à la victoire des Lions contre le Cameroun. Cependant, des nouvelles rassurantes émanent d’El Hadji Diouf, ancienne star du football sénégalais et coéquipier d’Aliou Cissé.
Après la victoire du Sénégal contre le Cameroun lors de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024, une ombre de préoccupation a assombri la célébration. Le sélectionneur, Aliou Cissé, a été victime d’un malaise nécessitant une hospitalisation. Des douleurs au ventre ont été signalées, créant une certaine appréhension parmi les supporters et les amateurs de football.
Cependant, El Hadji Diouf, qui a partagé le terrain avec Cissé et qui s’est entraîné avec les Lions, offre des nouvelles rassurantes sur l’état de santé de son ancien coéquipier. « On sait qu’il y a beaucoup de stress dans le football de haut niveau et ça se manifeste souvent par des douleurs au ventre. Aliou avait des maux de ventre avant et après le match. Mais il va mieux et il est avec l‘autre groupe de Lions qui est à l’hôtel, » a déclaré Diouf.
L’ancienne star du football sénégalais a souligné la nécessité de soins pour les joueurs, tout en indiquant que le coach, en plus de veiller sur sa santé, devrait discuter avec l’équipe pour tirer des enseignements du match contre le Cameroun. « Prions pour lui, » conclut El Hadji Diouf.
Ces événements mettent en lumière les défis et les pressions associés au football de haut niveau, soulignant que même les entraîneurs ne sont pas à l’abri des contraintes physiques et émotionnelles du sport qu’ils dirigent. La santé d’Aliou Cissé reste un point d’attention pour les supporters, mais les nouvelles positives apportent un soulagement bienvenu à l’aube d’autres défis à relever lors de la CAN 2024.
La phase de groupes de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024 approche de son dénouement, et les fans de football anticipent déjà des rencontres passionnantes. Le Sénégal, actuellement en tête du groupe D avec 6 points, pourrait rencontrer la Côte d’Ivoire en 1/8e de finale si les deux équipes maintiennent leur position respective dans leurs groupes.
Le Nigeria, avec 4 points, peut également terminer en tête du groupe D en cas de victoire contre la Guinée-Bissau, qui n’a pas encore remporté de points. Si la Côte d’Ivoire, avec 3 points, fait match nul avec la Guinée équatoriale, qui a également 3 points, le Nigeria serait assuré de la première place.
Suite au décès de Ndèye Fatou Kiné Diouf Diaga, Youssou Ndour présente ses condoléances à la famille Seck. Il partage la douleur à travers un post sur sa page Facebook.
»Diaga, Tu as été le premier public, 1re Fan et très grande contributrice de la carrière de celui que tu as tant aimé et protégé. Tu tires ta révérence, douce moitié de Thione, mais tu resteras à jamais dans nos prières. En ces moments douloureux, j’exprime toute ma tristesse en direction de tous ses enfants et à sa famille au premier rang duquel Wally à qui je présente mes sincères condoléances. » a réagi la star planétaire.
Le Ministre de Santé et de l’Action sociale, Dr Marie Khemesse NGOM NDIAYE, a présidé ce vendredi 19 janvier la cérémonie d’inauguration du Centre Africain de Résilience aux Epidémies (CARE) de l’Institut Pasteur de Dakar. Cet événement marque une étape significative dans l’engagement collectif visant à renforcer les capacités de réponse aux défis de santé publique, en particulier face aux épidémies susceptibles de menacer la stabilité des communautés.
Le CARE sera un centre de formation de premier plan, dédié à la formation continue du personnel médical, des professionnels de la santé publique et des intervenants d’urgence. Il proposera des programmes de formation avancés couvrant divers sujets tels que la surveillance épidémiologique, la gestion des crises sanitaires, les protocoles de quarantaine et les stratégies de communication et de réponse en temps de crise.
L’ouverture de cet édifice de renom représente un engagement fort envers l’amélioration des capacités de réponse aux épidémies en Afrique. Le CARE collaborera étroitement avec des organisations régionales et continentales telles que l’OMS-AFRO, l’Africa CDC et l’Organisation Ouest africaine de la Santé (OOAS).
L’un des premiers résultats de cette collaboration est la certification du CARE par l’Africa CDC en tant que Centre d’Excellence de Biosûreté & Biosécurité pour la Région de l’Afrique de l’Ouest. Cette certification témoigne de l’engagement envers des normes élevées de sécurité dans la recherche et la formation liées à la santé.
La santé est désormais une question mondiale, et le CARE de l’Institut Pasteur de Dakar jouera un rôle crucial dans la promotion de la coopération internationale pour relever les défis sanitaires.
Mme Maimouna Cissokho KHOUMA, Directrice générale de l’Agence Nationale de la Petite Enfance et de la Case des Tout-Petits (ANPECTP), a représenté le Sénégal au sein de la délégation officielle participant aux travaux du comité des droits de l’enfant à Genève, les 18 et 19 janvier 2024. Cette délégation était composée d’experts de la protection de l’enfance et d’autorités des ministères sectoriels.
Lors de cette rencontre internationale, Mme KHOUMA a brillamment pris la parole devant les membres du comité des Nations Unies pour le droit des enfants. Son intervention a été saluée pour sa pertinence et son engagement en faveur de la protection des enfants dans toutes ses dimensions.
Le Sénégal a été félicité et encouragé par le comité des droits de l’enfant pour les efforts considérables déployés en vue de la protection et du bien-être des enfants. Cette reconnaissance internationale souligne l’engagement soutenu du Sénégal envers la cause de l’enfance et la mise en œuvre des principes énoncés dans la Convention internationale des droits de l’enfant.
Mia Guissé, l’artiste chanteuse émérite, éblouit le monde avec son talent musical et sa passion pour le football, spécialement pour le joueur vedette Sadio Mané. Arborent fièrement le maillot N10 🇸🇳, ses photos captivantes reflètent l’union entre l’expression artistique et le fervent soutien à son héros sportif.
Dans un contexte électoral marqué par une rupture de confiance entre les acteurs politiques, le Collectif des organisations de la société civile (COSCE) au Sénégal a souligné l’importance d’une gestion transparente et équidistante de l’information. Cet appel a été lancé lors d’un atelier portant sur les « enjeux et défis de la gestion de l’information pour une élection présidentielle crédible, transparente et apaisée ». Le professeur Babacar Gaye, membre du COSCE, a insisté sur la nécessité d’une information transparente dans un contexte politique tendu. Il a souligné l’importance du rôle des médias et des journalistes dans la préservation de la stabilité et de la paix sociale. Selon lui, une mauvaise ou fausse information pourrait entraîner des troubles et des violences.
Le président de la Convention des jeunes reporters du Sénégal (CJRS), Migui Marame Ndiaye, a rappelé l’importance de la vérification des faits et a souligné que les journalistes doivent rester aux aguets pour assurer la crédibilité de l’information. Il a mis en avant la nécessité de sauvegarder les fondamentaux du métier, dont la vérification des faits. Alain Ayadokoun, directeur résident de la National Democratic Institute (NDI), a abordé les défis auxquels les médias sont confrontés, notamment la nécessité de fournir des informations vérifiées tout en préservant leur indépendance. Dans un appel à la responsabilité, le COSCE a encouragé les acteurs de la presse à faire preuve de transparence, de responsabilité et d’équidistance dans le traitement de l’information pendant la période électorale. Cette démarche vise à contribuer à des élections crédibles, transparentes et apaisées.
À l’approche de l’élection présidentielle prévue le 25 février, la Direction générale des élections (DGE) du Sénégal émet un rappel aux candidats retenus, conformément à l’article L.68 du code électoral. Selon cet article, chaque candidat est tenu de désigner un plénipotentiaire auprès de chaque autorité administrative compétente, et cette désignation doit être notifiée au préfet et/ou sous-préfet 33 jours avant la date du scrutin.
La date butoir pour la désignation du plénipotentiaire est fixée au lundi 22 janvier 2024. Il est impératif que chaque candidat respecte ce délai pour assurer une coordination efficace avec les autorités administratives compétentes et garantir le bon déroulement du processus électoral.
La DGE appelle ainsi tous les candidats retenus à prendre les mesures nécessaires pour s’acquitter de cette obligation dans les délais impartis. Cette mesure vise à renforcer la transparence, la coordination et l’efficacité dans la gestion du processus électoral.
Après la qualification du Sénégal lors de la CAN 2023, Sadio Mané, l’attaquant étoile de l’équipe nationale, partage ses réflexions sur le match, soulignant la détermination de l’équipe à gagner malgré les défis rencontrés.
Sadio Mané s’exprime sur la qualification en déclarant : « Match bi tarone na, mais khamone naniou dina niou gagné. Nous avons traversé des moments difficiles, mais nous avons réussi à gagner. »
Le joueur vedette évoque brièvement les défis rencontrés pendant le match, soulignant peut-être des moments cruciaux où l’équipe a dû faire preuve de résilience pour décrocher la victoire.
Sadio Mané met en avant la détermination collective de l’équipe à atteindre la victoire, montrant ainsi la solidarité et l’esprit d’équipe qui ont contribué à la qualification.
Dans sa déclaration, Sadio Mané n’oublie pas d’exprimer sa reconnaissance envers les supporters qui ont soutenu l’équipe tout au long de la compétition. Il souligne l’importance du soutien des fans dans les moments cruciaux.
La déclaration de Sadio Mané se termine probablement par une note positive, évoquant peut-être les aspirations de l’équipe pour les prochains défis de la compétition.
Les mots de Sadio Mané reflètent la ténacité de l’équipe sénégalaise dans sa quête de la victoire à la CAN 2023. Sa déclaration offre un aperçu de l’état d’esprit de l’équipe et renforce le lien entre les joueurs et les supporters, créant une ambiance positive pour la suite du tournoi.
Après le match de la CAN 2023, Lamine Camara, joueur clé de l’équipe sénégalaise, réagit à chaud et apaise les inquiétudes quant à sa blessure. Sa déclaration rassurante est accompagnée d’un « Alhamdoulilah Dara Dalouma », exprimant sa gratitude et sa confiance.
Lamine Camara, visiblement soulagé, déclare après le match : « Alhamdoulilah dara dalouma… Je tiens à rassurer tout le monde, ma blessure n’est pas grave. Merci pour vos prières et votre soutien. »
Le joueur sénégalais offre des assurances concernant sa blessure, écartant les craintes d’une grave blessure. Sa déclaration témoigne de sa reconnaissance envers les supporters et de sa confiance en une récupération rapide.
Lamine Camara exprime sa gratitude envers ceux qui ont prié pour sa récupération et soutenu l’équipe. Il souligne l’importance du soutien des supporters dans les moments difficiles et partage sa reconnaissance envers leur engagement.
En concluant ses propos, Lamine Camara projette une attitude positive pour les prochains défis à venir dans la compétition. Sa déclaration vise à apaiser les inquiétudes et à maintenir un esprit positif au sein de l’équipe.
La réaction de Lamine Camara après le match de la CAN 2023 reflète à la fois la satisfaction de la victoire et la volonté de rassurer les supporters concernant sa blessure. Son « Alhamdoulilah Dara Dalouma » transmet un message de gratitude et de confiance, renforçant le lien entre l’équipe et ses supporters.
Suite à la victoire décisive du Sénégal lors de la CAN 2023, Abou Diallo, un membre essentiel de l’équipe nationale, exprime sa joie et sa satisfaction d’être qualifié pour les prochaines étapes de la compétition.
Abou Diallo, manifestant son bonheur, partage ses émotions après la victoire, déclarant : « On a gagné, on est content d’être qualifié ce soir. C’est une étape cruciale pour nous et pour nos supporters qui nous ont soutenus avec tant de passion. »
Le joueur sénégalais exprime sa satisfaction d’avoir atteint la qualification, soulignant que c’est un moment de fierté pour toute l’équipe. Il met en avant l’importance de cette victoire dans le contexte de la CAN et l’impact positif qu’elle aura sur la suite de la compétition.
Abou Diallo rend hommage aux supporters qui ont joué un rôle crucial dans le parcours de l’équipe. Il exprime sa gratitude envers leur soutien constant et souligne que cette qualification est également une réussite pour eux.
En regardant vers l’avenir de la compétition, Abou Diallo affirme que l’équipe reste déterminée à donner le meilleur d’elle-même. Il souligne que chaque match à venir sera abordé avec la même intensité et le même désir de succès.
La déclaration d’Abou Diallo reflète la joie et la satisfaction de l’équipe sénégalaise après cette victoire cruciale. Elle renforce le sentiment de camaraderie et de détermination au sein de l’équipe, créant une ambiance positive pour la suite de la CAN 2023.
Suite à la victoire éclatante du Sénégal contre le Cameroun à la CAN 2023, Kalidou Koulibaly, défenseur clé de l’équipe sénégalaise, exprime sa joie et son enthousiasme quant à la qualification. Pour lui, cette réussite représente la réalisation d’un rêve pour tous les fervents supporters de l’équipe nationale.
Kalidou Koulibaly s’est exprimé avec émotion sur la qualification du Sénégal après la victoire contre le Cameroun. Il a partagé son ressenti sur cette étape cruciale de la compétition en déclarant : « C’est un rêve réalisé pour tous nos supporters. La victoire d’aujourd’hui est le résultat de l’effort collectif et de la détermination de chaque joueur sur le terrain. »
Le défenseur sénégalais a laissé transparaître sa joie et son enthousiasme face à cette réussite qui rapproche l’équipe des huitièmes de finale de la CAN 2023. Il a souligné l’importance de la victoire dans le contexte de la compétition et l’a présentée comme un moment historique pour les supporters qui ont soutenu l’équipe tout au long de son parcours.
Kalidou Koulibaly a exprimé sa gratitude envers les supporters, reconnaissant le rôle crucial qu’ils ont joué dans cette qualification. Il a salué leur fidélité et leur soutien indéfectible, soulignant que cette victoire était également la leur.
En évoquant l’avenir de l’équipe sénégalaise dans la compétition, Koulibaly a mentionné que l’équipe reste concentrée et déterminée à aller le plus loin possible. Il a souligné que chaque match à venir sera abordé avec le même engagement et la même volonté de réussir.
La déclaration de Kalidou Koulibaly reflète la fierté et la satisfaction des joueurs sénégalais après cette victoire importante. Elle renforce également le lien entre l’équipe et ses supporters, créant une ambiance positive pour la suite de la compétition.
Après la défaite de l’équipe camerounaise face au Sénégal lors de la rencontre à la CAN 2023, l’entraîneur des Lions indomptables, Rigobert Song, a admis la supériorité de l’équipe sénégalaise. Song a souligné le manque de maturité de son équipe et a reconnu que les Sénégalais étaient les meilleurs lors de ce match crucial.
Rigobert Song a déclaré que le Sénégal avait été la meilleure équipe sur le terrain, capable de concrétiser ses occasions contrairement à son équipe. Il a salué la performance des joueurs sénégalais, soulignant qu’ils ont su répondre de manière efficace aux défis du match.
L’entraîneur camerounais a analysé le début de la rencontre, notant que ses joueurs ont eu du mal à entrer dans le jeu au cours des vingt premières minutes. Il a attribué cela à un manque de concentration et a souligné que ces détails sont cruciaux au plus haut niveau du football. Rigobert Song a admis que son équipe a manqué de maturité dans ce contexte compétitif.
Rigobert Song a pris l’entière responsabilité de la défaite, affirmant qu’il assumait cette responsabilité. Il a souligné que ses joueurs ont donné le meilleur d’eux-mêmes et a refusé de mettre la défaite sur le compte de quelqu’un d’autre que lui-même.
Malgré cette défaite, Rigobert Song reste optimiste quant à la qualification du Cameroun pour les huitièmes de finale de la CAN 2023. Il a souligné l’importance du dernier match de la phase des poules et a affirmé que son équipe se qualifiera pour le prochain tour, considérant le prochain match comme une « finale ».
Les gouvernements du Sénégal et de la Mauritanie travaillent conjointement sur un mécanisme de partage équitable des profits découlant de l’exploitation des ressources pétrolières et gazières dans le champ Grand Tortue Ahmeyim (GTA). Le ministre sénégalais du Pétrole et des Énergies, Antoine Diome, a souligné l’importance de cet audit des coûts pétroliers pour assurer la transparence dans le partenariat avec British Petroleum.
Antoine Diome a informé lors d’un point de presse qu’un audit des coûts pétroliers est en cours pour examiner en détail les dépenses liées au partenariat avec British Petroleum dans le cadre du projet GTA. Ce processus vise à garantir la transparence et à répondre aux attentes des populations des deux pays concernés.
Le taux d’exécution du projet Grand Tortue Ahmeyim atteint actuellement 91%. Cependant, les ministres des deux pays reconnaissent le retard de vingt-huit mois dans la sortie prévue des premiers barils de pétrole du champ GTA cette année.
Antoine Diome souligne que les deux États ont la responsabilité de veiller au suivi rigoureux du projet et à la préservation des intérêts des populations. Les réunions entre les ministres et leurs collaborateurs ont permis d’évaluer l’impact global du retard et des augmentations de coûts annoncées.
Les ministres rappellent l’existence d’un mécanisme déjà mis en place entre la Mauritanie et le Sénégal pour le partage des revenus du champ GTA. Ce mécanisme devrait assurer une répartition équitable des bénéfices résultant de l’exploitation des ressources pétrolières et gazières communes.
L’accent mis sur la transparence à travers l’audit des coûts pétroliers démontre l’engagement des deux gouvernements à garantir un partage équitable des revenus du champ GTA. Cette collaboration renforcée vise à assurer que les bénéfices tirés de l’exploitation des ressources pétrolières et gazières profitent aux populations des deux nations.
Un accident survenu ce vendredi à Keur Boumi, près de Louga, a coûté la vie à une personne et a laissé quatre autres blessées. La voiture dans laquelle ils circulaient a dérapé avant de percuter violemment un arbre, révèle une source sécuritaire. Les victimes, originaires de Pire dans la région de Thiès, ont été impliquées dans cet incident tragique, dont la cause demeure inconnue pour l’instant.
Selon la source sécuritaire, le véhicule de petit modèle a mystérieusement quitté la route avant de s’écraser contre un arbre. Les circonstances exactes de l’accident restent à déterminer, laissant les autorités enquêter sur les raisons qui ont conduit à cette tragédie.
Tant le passager décédé que les blessés sont tous résidents de Pire, dans la région de Thiès à l’ouest du Sénégal. L’homme qui a perdu la vie avait 45 ans, et les blessés ont été évacués en urgence à l’hôpital Amadou-Sakhir-Mbaye de Louga par les sapeurs-pompiers.
L’accident a suscité une enquête des autorités compétentes pour comprendre les circonstances exactes et les éventuels facteurs contributifs à cet incident. Les résultats de l’enquête pourraient apporter des éclaircissements sur la cause du dérapage du véhicule et la collision ultérieure avec l’arbre.
Les sapeurs-pompiers ont rapidement réagi, évacuant les blessés vers l’hôpital le plus proche pour recevoir les soins nécessaires. L’état de santé des survivants reste à établir, mais leur évacuation rapide témoigne des efforts déployés pour assurer leur prise en charge médicale.
Cet accident tragique à Keur Boumi a laissé une communauté en deuil et souligne l’importance de la prudence sur les routes. Les autorités continueront d’enquêter pour comprendre les circonstances exactes de l’accident, dans l’espoir de prévenir de futurs incidents similaires.
Après la victoire impressionnante du Sénégal contre le Cameroun avec un score de 3-1, le sélectionneur national, Aliou Cissé, exprime sa satisfaction envers la performance de son équipe tout en soulignant la qualité du jeu. Malgré le succès, Cissé regrette le but encaissé sur un corner, soulignant la nécessité de rester humble alors que les Lions se qualifient pour les huitièmes de finale de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN).
Aliou Cissé se réjouit de la manière dont ses joueurs ont respecté les consignes et ont été réceptifs sur le terrain, qualifiant le match de « gros match ». La victoire confirme la qualification du Sénégal pour les huitièmes de finale avec six points, démontrant la solidité et la détermination de l’équipe nationale.
Malgré la performance globale positive, le sélectionneur exprime des regrets quant au but encaissé sur un corner. Cissé souligne l’importance de rester concentré et de travailler sur les aspects à améliorer, même dans la victoire.
Aliou Cissé explique que son équipe a été solide, ne laissant pas le Cameroun pénétrer leur bloc défensif. Il met en avant la stratégie de pression haute de son équipe, soulignant que le Sénégal ne se contente pas d’attendre mais cherche à imposer son jeu.
Bien que la qualification soit assurée, Aliou Cissé rappelle l’importance de rester humble et mentionne le prochain match contre la Guinée dans la phase des poules. Il tire des leçons des éditions précédentes de la CAN et souligne que la modestie est cruciale pour atteindre les objectifs fixés.
Le sélectionneur évoque le travail entrepris depuis 2015 et commente l’envie de gagner qui anime l’équipe sénégalaise. Il insiste sur l’importance de l’expérience et de la fidélité des millions de supporters sénégalais.
Cissé reconnaît que le Cameroun reste une grande équipe malgré la défaite. Il souligne que l’équipe camerounaise évolue avec de nouveaux profils de joueurs, et il encourage leur adaptation pour maintenir le statut du Cameroun parmi les meilleures équipes du continent.
La réaction positive d’Aliou Cissé après la victoire du Sénégal contre le Cameroun met en avant la qualité du jeu des Lions tout en soulignant la nécessité de rester concentré et humble pour atteindre les objectifs futurs dans la CAN 2023.
Dans une cérémonie officielle organisée à l’école Amadou Diagne Woré, Mme Khady Diop Mbodji, Secrétaire générale du Ministère de l’Éducation Nationale, a reçu un lot de 650 000 supports didactiques offerts par Son Excellence M. Michael Raynor, Ambassadeur des États-Unis au Sénégal. La remise de ce matériel didactique a eu lieu dans le cadre du programme de Renforcement de la Lecture Initiale Pour Tous (RELIT), financé par l’USAID.
Le programme RELIT vise à améliorer de manière durable les performances scolaires en mettant l’accent sur un enseignement-apprentissage de haute qualité. Ce projet innovant est mis en œuvre en partenariat avec le Ministère de l’Éducation Nationale, ARED (Agence de Recherche et de Développement) et RTI (Research Triangle Institute). L’objectif central de RELIT est d’optimiser les résultats éducatifs en favorisant un enseignement basé sur l’utilisation des langues nationales en complément du français, langue seconde.
LES PRINCIPAUX AXES DU PROGRAMME RELIT :**
1. Amélioration des Performances Scolaires : RELIT vise à renforcer la lecture initiale pour tous les élèves, favorisant ainsi une meilleure compréhension et maîtrise des compétences de base en lecture.
2. Langues Nationales : Le programme encourage l’utilisation des langues nationales en plus du français, favorisant ainsi une approche plus inclusive et adaptée à la diversité linguistique du Sénégal.
3. Formation des Enseignants : RELIT investit dans la formation continue des enseignants pour améliorer leurs compétences pédagogiques et promouvoir des méthodes d’enseignement efficaces.
4. Partenariat avec la Communauté Éducative : La collaboration avec les enseignants, les associations de parents d’élèves, les autorités municipales et d’autres acteurs de la communauté éducative est au cœur du programme.
La remise de ces 650 000 supports didactiques marque une étape significative dans la mise en œuvre de RELIT. Ces outils pédagogiques contribueront à enrichir l’environnement d’apprentissage des élèves et à renforcer les efforts visant à élever le niveau de l’éducation au Sénégal.
Le Tweet n’a pas tardé ! Le président de la République, Macky Sall a félicité les Lions pour leur victoire face aux Lions indomptables, qui leur assure le ticket de qualification pour les 8es de finale de la Can 2023 en terre des Éléphants.
Le Sénégal a brillamment validé sa place en huitièmes de finale de la Coupe d’Afrique des Nations en remportant une victoire décisive contre le Cameroun sur un score de 2-0. Cette deuxième victoire consécutive place les Lions de la Teranga en tête du groupe C, démontrant leur détermination à défendre leur couronne africaine.
Le match entre le Sénégal, champion d’Afrique en titre, et le Cameroun, détenteur de cinq titres, était l’un des moments les plus attendus de la phase de groupes. Ce duel entre les Lions de la Teranga et les Indomptables du Cameroun a suscité une grande attente, mettant en scène deux puissances du football africain.
L’ouverture du score a été orchestrée par Pape Matar Sarr et Ismaïla Sarr, avec ce dernier marquant après une déviation subtile de Pape Matar Sarr. Cette collaboration a permis aux Sénégalais de prendre l’avantage dès la 12e minute, montrant une maîtrise impressionnante du jeu.
La première mi-temps a été caractérisée par une domination totale des Sénégalais, laissant les Camerounais impuissants. Les Lions de la Teranga ont démontré une coordination exceptionnelle et une maîtrise tactique, laissant entrevoir leur ambition de défendre avec succès leur titre continental.
En tribunes, l’ancien international camerounais Samuel E’too a exprimé sa frustration face à l’impuissance de son équipe. Les Lions indomptables ont eu du mal à répondre à la maîtrise sénégalaise, et les supporters ont ressenti la déception tout au long du match.
La victoire du Sénégal place la pression sur le Cameroun pour la suite du tournoi, soulignant l’importance cruciale de leur prochain match contre la Gambie. Le Sénégal, quant à lui, consolide sa position de favori et renforce sa confiance avant les phases éliminatoires.
Cependant, une ombre plane sur la victoire sénégalaise avec la sortie de Lamine Camara en fin de match, suscitant des interrogations sur une possible blessure ou épuisement. Cette situation pourrait être un point d’attention dans les jours à venir.
La victoire convaincante du Sénégal contre le Cameroun souligne la détermination des Lions de la Teranga à marquer de leur empreinte la CAN 2024. La suite du tournoi promet des confrontations passionnantes, et le Sénégal se positionne comme un sérieux prétendant à la défense de son titre continental.
Le Sénégal fait logiquement le break. Dans l’axe, Sadio Mané décale Ismaïla Sarr sur la droite. Ce dernier centre fort à ras de terre vers Habid Diallo qui se jette pour pousser le ballon au fond.
Comme face à la Gambie, le Sénégal n’a pas pris du temps avant d’ouvrir le score. Pour le compte de la deuxième journée du groupe C face aux Lions Indomptables, les joueurs d’Aliou Cissé ont réussi à mener au score grâce à une réalisation d’Ismaila Sarr (1-0).
Sur un corner difficilement repoussé, le ballon arrive dans les pieds d’Ismaila Sarr qui contrôle, se retourne et frappe dans le petit filet gauche d’André Onana. Le Sénégal mène désormais au score (1-0).
On le disait, ça se rapprochait pour le Sénégal. Sur un corner, Onana boxe le ballon qui retombe à l’entrée de la surface. Pape Matar Sarr gagne son duel et le ballon revient dans les pieds d’Ismaïlia Sarr au point de pénalty. Le joueur marseillais se retourne et tente sa chance. C’est légèrement contré par Anguissa. Onana est pris à contre-pied.
La deuxième journée du Groupe C débutera lorsque le Cameroun, sous pression, se rendra au Sénégal dans un match qui promet de divertir les supporters au stade de Yamoussoukro. Le coup d’envoi est à 18h00 CET.
Les Lions Indomptables abordent le match contre le Sénégal après un match nul surprise lors de leur premier match de la CAN contre la Guinée , donc rien de moins que de remporter une victoire nuirait à leurs espoirs de qualification pour les huitièmes de finale. L’équipe de Rigobert Song occupe actuellement la deuxième place avec un point. .
De leur côté, les Lions de la Teranga ont remporté les trois points lors de leur premier match du tournoi après avoir remporté une victoire confortable contre la Gambie grâce à un doublé de Camara et un but de Gueye. Les hommes d’Aliou Cissé sont en tête du groupe C avec trois points, soit deux devant le Cameroun.
Compositions possibles pour le choc
Cameroun onze de départ possible : Onana (GK) ; Yongwa, Wooh, Moukoudi, Castelletto ; Anguissa, Kemen, Ntcham ; Koudou, Ekambi et Magri.
Onze de départ possible pour le Sénégal : Mendy (GK) ; Jakobs, Koulibaly, Niakhate, Diatta ; Gueye, A. Diallo, Camara ; Mané, H. Diallo et Sarr.
Le stade retient son souffle alors que le Sénégal se prépare à affronter le Cameroun dans un duel épique lors de la deuxième journée de la Coupe d’Afrique des Nations 2023. Le groupe C est en ébullition, et les Lions de la Téranga se tiennent prêts à défier les Lions Indomptables dans un affrontement qui promet d’être mémorable.
LE CONTEXTE : UN CHOC AU SOMMET
Les deux équipes entrent dans ce match après des débuts mitigés dans le tournoi. Le Sénégal a réussi à dominer les Scorpions de la Gambie par 3 buts à 0 lors de son premier match, tandis que le Cameroun a été tenu en échec par le Sily national de Guinée. Cela donne une dimension cruciale à ce face-à-face, car une victoire est essentielle pour consolider la position dans le groupe et viser une progression vers les étapes ultérieures de la compétition.
LES ENJEUX : PLUS QU’UN MATCH
Au-delà des trois points en jeu, ce match revêt une signification particulière. La rivalité historique entre le Sénégal et le Cameroun ajoute un piquant supplémentaire à cette rencontre. Les supporters des deux camps attendent avec impatience de voir leurs équipes nationales préférées briller sur la scène africaine.
LE SOUTIEN INFLEXIBLE DU PEUPLE
Les rues du Sénégal sont parées des couleurs nationales, et l’engouement pour cette rencontre est palpable. Le soutien indéfectible du peuple sénégalais se manifeste à travers des chants, des danses et des prières pour que les Lions de la Téranga rugissent plus fort que jamais sur le terrain.
LE POINT DE VUE DES EXPERTS
Les analystes sportifs du continent africain scrutent chaque détail tactique, chaque joueur clé, anticipant les moments décisifs qui pourraient façonner le cours du match. Les pronostics fusent, mais dans le football, tout est possible.
LE COUP D’ENVOI APPROCHE
À 17h00 GMT, les yeux du continent seront rivés sur le stade Charles Konan Banny de Yamoussoukro. Les joueurs sont prêts à écrire l’histoire, à créer des moments inoubliables pour leurs supporters et à défendre les couleurs de leur nation avec fierté.
Que le meilleur Lion gagne. Le monde retient son souffle pour ce duel de titans à la CAN 2023.
À la veille du choc tant attendu entre les Lions de la Téranga et la Côte d’Ivoire, le Docteur Cheikh Tidiane Dieye a réitéré sa ferveur et son soutien indéfectible à l’équipe nationale sénégalaise. Cette deuxième sortie du Docteur Dieye ne fait que renforcer l’aura d’enthousiasme et d’optimisme qui entoure la campagne de la CAN 2023.
Le Docteur Cheikh Tidiane Dieye a une fois de plus démontré sa capacité à insuffler de l’énergie et de la détermination à la nation sénégalaise, faisant de lui une voix incontournable dans le soutien à l’équipe nationale. La tanière des Lions résonnera certainement des rugissements de milliers de supporters ce soir, portant les espoirs du Sénégal vers une nouvelle victoire mémorable.
Le ministère de l’Éducation nationale du Sénégal, en partenariat avec la Banque mondiale, a récemment lancé le Projet d’Amélioration des Performances du Système Éducatif (PAPSE) avec des ambitions claires pour renforcer la qualité et l’équité dans l’éducation de base. Après les réussites du Projet d’Amélioration de la Qualité et de l’Équité dans l’Éducation de Base (PAQEEB), le PAPSE vise à consolider ces acquis et à relever de nouveaux défis.
D’une enveloppe globale de 57 milliards de francs CFA pour une durée de cinq ans, le PAPSE se positionne comme un levier essentiel pour bâtir un système éducatif performant au Sénégal. Le coordonnateur du PAPSE, Serigne Saliou NGOM, a souligné les défis majeurs auxquels le projet compte s’attaquer, notamment la formation, l’assistance technique, et l’équipement des responsables de l’éducation tant au niveau central que déconcentré.
L’objectif du PAPSE est mesuré à travers divers indicateurs tels que la participation des enseignants à des programmes d’encadrement et le nombre d’élèves bénéficiant d’interventions directes visant à améliorer leur apprentissage. Serigne Saliou NGOM a exprimé la détermination du projet à contribuer significativement à l’amélioration de ces indicateurs cruciaux.
La Directrice de Cabinet, Mme Khadidiatou Diallo, qui a présidé les travaux du comité de pilotage, a salué les efforts déployés au cours de la première année d’exécution du PAPSE. Elle a encouragé tous les acteurs et partenaires du projet à privilégier le dialogue de gestion et la concertation pour maximiser les résultats des activités entreprises.
Mme Khadidiatou Diallo a également souligné que l’avènement du PAPSE s’inscrit dans la continuité de la politique de l’État du Sénégal en faveur du développement du secteur de l’éducation et de la formation. Le projet vise notamment à promouvoir les Daara, à soutenir le développement de l’enseignement des sciences, de la technologie, et du numérique éducatif.
Le PAPSE a déjà élaboré son plan de travail annuel pour l’année 2024, comprenant des actions concrètes visant l’amélioration des compétences des enseignants et l’accompagnement des élèves. Serigne Saliou NGOM a conclu en exprimant la volonté du projet à collaborer avec les différentes parties prenantes pour instaurer un enseignement de qualité au Sénégal.
Le document souligne que l’article 821 du COCC concerne principalement les associations d’éducation et culturelles, mais que l’article 2 de la loi N 68-08 du 26 mars 1968, modifiant le COCC, étend cette restriction aux dirigeants de partis politiques dissous. Ces derniers sont limités à réaliser des actes nécessaires pour la liquidation du parti ou pour contester les décisions administratives ou judiciaires relatives à la dissolution.
Il est argumenté dans le document d’Amadou Ba que les dirigeants de partis dissous ne peuvent réaliser aucun acte en dehors de ces contextes spécifiques. Le document souligne également la gravité des faits ayant conduit à la dissolution de PASTEF, estimant qu’ils menacent l’ordre public, la démocratie et les fondements des institutions républicaines. Il est évoqué que de telles infractions devraient entraîner des conséquences selon l’article 81-2ème du Code Pénal, qui définit le complot en cas de résolution d’agir concertée entre deux ou plusieurs personnes.
Amadou Ba demande, sur la base de ces arguments et dispositions légales, l’invalidation de la candidature de Diomaye Faye à l’élection présidentielle. L’affaire sera désormais examinée par le Conseil constitutionnel dans le cadre du contentieux électoral en cours.
L’expérience de délocalisation et de relocalisation des populations impactées par l’exploitation minière dans la commune de Ngandiouf, département de Tivaouane, est saluée comme un « modèle » à suivre. Cette réussite a été soulignée lors d’une visite de travail dirigée par le préfet du département de Tivaouane, Mamadou Guèye, accompagné de chefs de service et du haut conseiller des collectivités territoriales, Abdoul Aziz Diop.
La commune de Ngandiouf a été le théâtre d’un processus de délocalisation géré de manière exemplaire, impliquant la société civile, en particulier l’antenne de la Coalition « Publiez ce que vous payez » à Thiès. Abdoul Aziz Diop, membre du Forum civil, a souligné l’importance de vulgariser et de dupliquer ce modèle dans d’autres zones minières où les populations sont réticentes à tout déplacement.
Les villages de Ngassama 1 et 2, ainsi que Bayakh Peul et Galbeut, ont été délocalisés depuis 2015 pour permettre les activités minières de la compagnie G-PHOS. Cette délocalisation, facilitée par la société civile, a été saluée comme un exemple de collaboration réussie entre les autorités, l’entreprise et les populations.
Gorgui Bâ, chef du village de Bayakh Peul, a exprimé sa gratitude pour les opportunités créées par le projet. Il a souligné l’importance du dialogue et de la collaboration entre les différentes parties, saluant l’administration, en particulier le préfet Mamadou Guèye et les sous-préfets des arrondissements de Niakhène et Mérina Dakhar, pour leur soutien.
Le maire de Ngandiouf, Ngouda Ciss, a souligné l’approche inclusive adoptée dans le projet, rompant avec les tensions souvent associées à de tels projets ailleurs. Il a également salué l’engagement financier de G-PHOS, dépassant les normes nationales d’indemnisation.
Moustapha Dieng, directeur général adjoint de G-PHOS, a annoncé des investissements de plus de 4 milliards de francs CFA, avec une projection de doubler cette somme dans les années à venir. Il a assuré que les engagements envers les populations déplacées seraient respectés, et les premiers produits marchands de G-PHOS devraient être disponibles sur le marché international d’ici octobre 2024.
Le préfet Mamadou Guèye a salué la détermination des différentes parties prenantes, soulignant que la conduite de ce projet jusqu’au terme n’a pas été facile. Il a souligné l’importance du dialogue, de la concertation et de la confiance mutuelle dans la réussite de ce modèle de délocalisation.
Abdoul Aziz Diop, représentant de la société civile, a souligné l’importance de prendre en compte la dimension anthropologique dans les projets miniers, soulignant que les populations sont attachées à leur terroir malgré les indemnités.
La délocalisation réussie à Ngandiouf est présentée comme un modèle de collaboration et de gestion des impacts sociaux des projets miniers. La concertation multipartite a été la clé de cette réussite, et il est recommandé d’appliquer des approches similaires dans d’autres zones minières du Sénégal.
Ce vendredi 19 janvier 2024, les Lions de la Téranga du Sénégal et les Lions Indomptables du Cameroun s’affronteront lors de la deuxième journée de la CAN 2023 au stade Charles Konan Banny de Yamoussoukro à 17 heures GMT. Les enjeux sont élevés, et l’historique des confrontations entre les deux équipes ajoute une tension supplémentaire à ce match crucial.
Les Lions de la Téranga ont bien débuté leur campagne en dominant les Scorpions de la Gambie par 3 buts à 0, montrant une forme convaincante. D’un autre côté, les Lions Indomptables ont été tenus en échec par le Sily national de Guinée lors de leur premier match.
Cette rencontre sera la 17e confrontation entre le Sénégal et le Cameroun, avec un historique de rencontres comprenant des matchs amicaux, des éliminatoires de la CAN, des phases finales de la CAN et des Jeux Olympiques. Les Lions Indomptables ont remporté sept fois, tandis que les Lions du Sénégal ont glané cinq succès, et quatre rencontres se sont soldées par un nul.
L’historique des matchs entre ces deux équipes remonte à soixante ans, marquant le début d’une rivalité intense. Le Sénégal a remporté la première confrontation aux Jeux de l’Amitié en 1963, et depuis lors, les deux équipes ont échangé des victoires et des nuls.
Le dernier affrontement entre le Sénégal et le Cameroun en octobre 2023 s’est soldé par une victoire sénégalaise avec un but marqué par Sadio Mané sur penalty.
Les Lions de la Téranga visent maintenant une deuxième victoire consécutive contre le Cameroun pour renforcer leur position dans la compétition. Avec l’historique de ces rencontres, on peut s’attendre à un match intense et imprévisible, plein de moments palpitants qui captiveront les amateurs de football en Afrique et au-delà.
Restez connectés pour vivre l’excitation de ce choc entre deux géants du football africain dans le cadre de la CAN 2023.
Guédiawaye, une commune paisible de la région de Dakar, se retrouve au cœur d’un scandale financier qui soulève des inquiétudes quant à la rigueur et à l’expérience de gestion du maire Ahmed Aïdara. L’affaire, impliquant un virement par erreur de 79 millions de francs CFA du Trésor public, met en lumière des failles dans la supervision et la transparence au sein de l’administration municipale.
Manque de Rigueur Administrative : La première faille apparente dans cette affaire est le manque de rigueur administrative. L’erreur dans le virement semble découler d’une confusion lors de l’appel d’offres pour la fourniture de fournitures scolaires. Le secrétaire en charge de cette tâche aurait dû exercer un contrôle plus strict pour éviter de telles erreurs, mettant ainsi en doute la compétence et la rigueur du personnel municipal.
Responsabilité du Comptable de la Mairie : Une gestion financière appropriée est cruciale pour toute administration municipale. Dans ce cas, la responsabilité du comptable de la mairie est remise en question. Un contrôle financier adéquat aurait dû être effectué pour garantir que les transactions sont conformes aux procédures établies. Le manque de supervision adéquate sur de telles opérations financières soulève des préoccupations sur la gestion des fonds publics.
Opacité et Manque de Transparence : Le mystère entourant le destinataire du virement de 79 millions de francs CFA et les circonstances qui ont conduit à cette erreur soulève des questions sur la transparence de l’administration municipale. Les citoyens de Guédiawaye méritent de savoir comment de telles erreurs peuvent se produire et qui est responsable de cette confusion financière.
Appels à la Reddition de Comptes : Face à ces révélations troublantes, la population de Guédiawaye appelle à une reddition de comptes. Le maire Ahmed Aïdara doit non seulement clarifier sa position dans cette affaire, mais aussi prendre des mesures immédiates pour renforcer les procédures administratives et financières au sein de la mairie. Le scandale financier à Guédiawaye souligne la nécessité urgente d’une gestion plus rigoureuse, transparente et responsable au sein de l’administration municipale. Les citoyens méritent une explication claire sur la manière dont de telles erreurs ont pu se produire et des mesures correctives immédiates doivent être prises pour restaurer la confiance dans la gestion des ressources publiques.
La CAN 2024 entre un peu plus dans le vif du sujet, vendredi, avec la suite de la 2e journée de la phase de groupes, avec au programme un Sénégal – Cameroun prometteur. Et un Cap-Vert – Mozambique qui pourrait rebattre le cartes du groupe B après le nul entre l’Égypte et le Ghana jeudi. Un résultat qui confirme que les favoris ne sont pas toujours à la fête dans cette Coupe d’Afrique des nations, à l’image de la Côte d’Ivoire, battue par le Nigeria.
L’affiche du jour
Duel de Lions ce samedi. Ceux de la Teranga ont rendez-vous avec ceux réputés indomptables. Pour ceux qui connaissent par cœur les surnoms, vous savez que l’on parle du choc du groupe C entre le Sénégal et le Cameroun.
Les Champions d’Afrique en titre pourront compter sur leur pépite, Lamine Camara, pour l’emporter. Le jeune milieu du FC Metz, issu de la filière Génération Foot, est le symbole d’une jeunesse qui renouvelle l’équipe pour continuer de dominer le continent.
Ce qu’il s’est passé hier
La Guinée équatoriale foudroie la Guinée-Bissau : grâce à un triplé de son capitaine Emilio Nsué, la Guinée équatoriale a largement disposé de la Guinée-Bissau (4-2) et entrevoit déjà les huitièmes de finale.
Le Nigeria se relance et refroidit la Côte d’Ivoire : dans le match le plus intense et relevé de la CAN jusque-là, le Nigeria est venu à bout de la Côte d’Ivoire (1-0) grâce à un penalty converti par son capitaine Ekong. Les Super Eagles sont relancés dans le groupe A, la Côte d’Ivoire connaît un premier couac.
L’ennui, puis le festival avec Égypte – Ghana : après une terne première mi-temps, le choc entre les Pharaons et les Black Stars s’est emballé (2-2). Encore une fois, les septuples champions d’Afrique se sont faits peur, menés par deux fois grâce à un doublé de Mohammed Kudus. Les Égyptiens restent en ballotage favorable dans cette CAN mais ont peut-être perdu Mohamed Salah (voir plus bas).
En bref
« T’es pas content ? Triplé de Nsue ! » : en inscrivant un triplé contre la Guinée-Bissau jeudi, Emilio Nsué est le premier joueur à réaliser cette performance depuis 2008. Et surtout le plus vieux joueur à réaliser cet exploit dans une phase finale de Coupe d’Afrique. Il est pour le moment le meilleur buteur de la compétition. Un objectif pour lui.
Djibeuneu, village au cœur de la commune de Niaguis, fait face à un litige foncier, suscitant des accusations envers la municipalité. Les populations victimes expriment leur mécontentement, et les porte-paroles, Madia Diop Sané du Mouvement Diop Sané et Bacary Badji, réagissent aux allégations. Découvrons leurs points de vue dans cette affaire délicate.
Madia Diop Sané, coordinateur du Mouvement Diop Sané, exprime son inquiétude face au litige foncier à Djibeuneu. Il souligne que les populations victimes pointent du doigt la municipalité pour son rôle présumé dans cette affaire. Selon lui, la transparence et la justice doivent prévaloir dans le règlement de ce litige, et il appelle à une enquête approfondie pour établir les faits. Madia Diop Sané insiste sur la nécessité d’une collaboration entre la municipalité et les citoyens pour résoudre ce différend foncier de manière équitable.
Bacary Badji, également porte-parole dans cette affaire, réagit en wolof pour partager le point de vue des populations de Djibeuneu. Il insiste sur le fait que la municipalité est mise en cause par les citoyens victimes de ce litige foncier. Dans sa réaction, Bacary Badji souligne l’importance d’une gestion transparente et équitable des questions foncières pour prévenir de tels litiges à l’avenir. Il appelle à une médiation rapide et efficace pour apaiser les tensions au sein de la communauté.
Les deux porte-paroles, Madia Diop Sané et Bacary Badji, partagent un appel commun à la résolution pacifique de ce litige foncier. Ils encouragent la coopération entre les parties impliquées, soulignant que la vérité doit être établie de manière impartiale. Les deux intervenants mettent l’accent sur l’importance de restaurer la confiance au sein de la communauté et de trouver des solutions durables pour éviter de futurs litiges fonciers.
Dans le cadre du programme « Nietti Elections » financé par le National Democratic Institute (NDI), quinze (15) relais citoyens ont été formés à Matam pour jouer un rôle crucial dans la sensibilisation sur le retrait des cartes d’électeur en préparation de l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024. Cette initiative vise à assurer une participation active des citoyens et à encourager une présence massive aux urnes.
Ousmane Ba, observateur à long terme (OLT) du programme dans la région de Matam, a souligné l’importance de cette formation des relais citoyens issus des trois départements de Matam, Kanel, et Ranérou. Ces relais auront pour mission principale de sensibiliser la population sur l’importance du retrait des cartes d’électeur en vue de l’élection présidentielle.
La campagne de sensibilisation débutera le 25 janvier et se poursuivra jusqu’à la veille de l’élection présidentielle, le 24 février. Les relais citoyens auront également pour responsabilité de cibler les primo-votants, les jeunes et les femmes, les encourageant à retirer leurs cartes pour garantir une participation massive.
Cette mobilisation citoyenne est cruciale dans le contexte des élections présidentielles, et elle démontre l’engagement de la société civile à jouer un rôle actif dans le renforcement de la démocratie au Sénégal. Alors que la date du scrutin approche, cette initiative contribuera à créer une conscience collective sur l’importance du processus électoral et à encourager la pleine participation des citoyens dans le choix de leur leader.
Dans une initiative visant à renforcer la participation citoyenne et à faciliter le processus électoral, le Collectif des organisations de la société civile pour les élections (COSCE) a récemment organisé une formation à Diourbel. Quinze « relais citoyens » ont été formés pour aider les électeurs de la région à retirer leurs cartes d’électeur en prévision des prochaines élections présidentielles prévues le 25 février 2024.
Le programme « Nietti Élections » du COSCE, qui s’étend sur trois ans, vise à contribuer à la consolidation de la gouvernance politique et démocratique au Sénégal. Cela inclut le renforcement du dialogue politique, le soutien à l’administration électorale et l’éducation civique des citoyens. La formation des relais citoyens à Diourbel s’inscrit dans le cadre de ce programme, avec pour objectif de garantir la transparence du processus électoral.
Ces relais citoyens, originaires des trois départements de la région de Diourbel, joueront un rôle crucial en incitant les électeurs à retirer leurs cartes d’électeur auprès des autorités administratives. Cette mobilisation vise à assurer la participation active des citoyens dans le processus démocratique.
Ibrahima Ngom, représentant du COSCE à Bambey, a souligné l’importance de cette initiative, expliquant que les relais citoyens seront sur le terrain du 25 janvier au 24 février 2024. Leur mission consistera à sensibiliser les électeurs sur l’importance du retrait de leur carte d’électeur, un élément essentiel pour exercer leur droit de vote lors des élections à venir.
À l’approche des élections présidentielles, cette mobilisation citoyenne revêt une signification particulière, d’autant plus que le président sortant ne se présente pas pour un nouveau mandat. La transparence du processus électoral et la participation active des citoyens sont des éléments clés pour renforcer la démocratie au Sénégal.
Alors que la commission de contrôle du Conseil constitutionnel prépare la publication de la liste des candidatures recevables le 20 janvier, cette mobilisation à Diourbel constitue un exemple concret de l’engagement de la société civile à jouer un rôle actif dans la promotion d’élections justes et transparentes.
Dans une tournure inattendue, Coline Fay, militante arrêtée aux côtés d’autres membres de Pastef le 17 novembre dernier, a été libérée et expulsée du Sénégal. Ce rebondissement a été effectué sans la moindre notification à ses avocats, soulevant des préoccupations quant à la transparence du processus.
Selon les informations relayées par Me Khoureïchy Ba, avocat de Coline Fay, la libération et l’expulsion de la militante ont été effectuées de manière discrète, à la « cloche de bois », sans que ses défenseurs ne soient informés au préalable. Cette absence de communication avec les avocats soulève des interrogations sur la légalité et la transparence de la décision.
Coline Fay avait été arrêtée aux côtés d’autres militants de Pastef devant la Cour suprême, lors du recours portant sur la radiation des listes électorales d’Ousmane Sonko. Cette arrestation initiale avait suscité des inquiétudes quant aux droits des militants politiques et à la liberté d’expression dans le pays.
Me Khoureïchy Ba, avocat de Coline Fay, a dénoncé l’expulsion de sa cliente sans préavis, soulignant le caractère secret de cette démarche. Il s’interroge sur les motivations derrière cette expulsion précipitée et sur la manière dont elle a été exécutée.
Cette récente évolution soulève des préoccupations quant au respect des procédures légales et des droits des individus. Les observateurs appellent à la transparence et à la clarification des circonstances entourant la libération et l’expulsion de Coline Fay.
L’affaire de Coline Fay prend une tournure controversée avec sa libération et son expulsion sans notification préalable à ses avocats. La nécessité d’une communication transparente et du respect des droits fondamentaux demeure au centre des débats, mettant en lumière les enjeux liés aux droits civils et politiques au Sénégal.
CAN 2023 : Cameroun vs Sénégal – Rigobert Song Promet une Performance Retrouvée À la veille du duel très attendu entre le Cameroun et le Sénégal à la CAN 2023, le sélectionneur camerounais, Rigobert Song, a exprimé sa confiance quant à une reprise du « sens de l’efficacité » de son équipe. Song a assuré que son équipe sera à la hauteur de sa réputation lors de ce face-à-face crucial entre les Lions, correspondant à la deuxième journée du groupe C de la compétition.
Retrouver le Sens de l’Efficacité
En conférence de presse à Yamoussoukro, Rigobert Song a souligné l’importance du match contre le Sénégal et a promis que l’équipe camerounaise montrerait une autre facette d’elle-même. Il a insisté sur le fait que l’équipe retrouvera son « sens de l’efficacité » et sera prête à se mesurer à la hauteur de son statut face aux Lions de la Teranga.
Corriger les Erreurs
Après un match d’ouverture qui s’est soldé par un match nul 1-1 contre la Guinée, Rigobert Song a admis que son équipe n’a plus droit à l’erreur. Il a assuré que des correctifs ont été apportés et qu’une tactique ajustée sera mise en place pour remporter les trois points contre le Sénégal.
Un Match Important
Le sélectionneur camerounais a souligné l’importance de ce deuxième match, le qualifiant de « finale » pour son équipe. Il a exprimé la détermination du Cameroun à tout faire pour obtenir les trois points et se replacer dans la compétition. Song a insisté sur la nécessité d’aborder le match avec l’état d’esprit de chercher la victoire.
Confiance Face à l’Équipe Sénégalaise
Rigobert Song a évoqué la génération talentueuse des footballeurs sénégalais, mais a affirmé que le Cameroun a toujours été au-dessus. Il a exprimé sa confiance envers son équipe et a assuré que le match contre le Sénégal serait l’occasion de confirmer cette supériorité.
Des Déclarations Confiantes
Georges-Kevin Nkoudou, ailier gauche du Cameroun, a également pris la parole pour partager son point de vue. Il a souligné que bien que le Sénégal soit considéré comme l’un des favoris, le Cameroun est une « grosse équipe » avec les atouts nécessaires pour mettre en difficulté leurs adversaires. Nkoudou a prédit un match difficile mais a assuré que le Cameroun avait les arguments pour rivaliser.
Alors que l’excitation monte à l’approche du choc entre le Cameroun et le Sénégal à la CAN 2023, les déclarations confiantes de Rigobert Song et de Georges-Kevin Nkoudou témoignent de la détermination de l’équipe camerounaise. Les fans de football africain peuvent s’attendre à un affrontement passionnant entre deux équipes déterminées à se démarquer dans ce groupe C compétitif de la compétition continentale.
À la veille du très attendu match entre le Sénégal et le Cameroun, Aliou Cissé, le sélectionneur des Lions de la Teranga, a insisté sur l’approche sereine et confiante de son équipe. Malgré des souvenirs douloureux face aux Lions Indomptables en Coupe d’Afrique des Nations (CAN), le technicien sénégalais aborde ce duel sans esprit revanchard, privilégiant la sérénité, l’humilité, et la confiance.
Une Première Victoire Motivante
Après une victoire convaincante de 3-0 contre la Gambie lors de la première journée, le Sénégal arrive avec une dose supplémentaire de motivation. Aliou Cissé souligne l’importance de cette victoire initiale, mais insiste sur la nécessité de rester concentrés pour affronter le Cameroun dans un match qui promet d’être disputé.
Une Approche Sereine et Humble
Aliou Cissé a déclaré en conférence de presse que son équipe aborderait le match avec « sérénité et humilité », écartant tout esprit de revanche. Les rencontres entre le Sénégal et le Cameroun ont toujours été serrées, mais Cissé préfère se concentrer sur l’envie de continuer sur la lancée positive plutôt que sur des sentiments de revanche.
Le Respect envers le Cameroun
Le sélectionneur souligne le fait que le Cameroun, malgré un match nul contre la Guinée, reste une équipe redoutable. Cissé rappelle la victoire amicale en octobre, mais insiste sur le contexte différent de la CAN. Il prévient contre l’euphorie et souligne le statut de « bête de compétition » du Cameroun, une équipe qui cherchera à redorer son blason lors de ce deuxième match.
Effectif Compétitif et Solidarité
Aliou Cissé se réjouit de la compétitivité de son effectif, où chaque joueur peut jouer un rôle majeur. Il souligne l’importance de la solidarité dans l’équipe, indiquant que peu importe qui est sur le terrain, l’objectif est la cohésion collective. Les rectifications apportées après le match contre la Gambie sont perçues comme des ajustements bénéfiques pour la suite de la compétition.
La Déclaration d’Idrissa Gana Gueye
Le milieu de terrain du Sénégal, Idrissa Gana Gueye, a également pris la parole, exprimant la détermination de l’équipe à défendre son pays. Il affirme que l’équipe est prête à jouer le match à 200% et adoptera une attitude sans compromis face à toute opposition. Alors que le Sénégal se prépare à affronter le Cameroun dans un match qui réveille des souvenirs de confrontations passées en CAN, l’approche sereine et confiante d’Aliou Cissé souligne la maturité de l’équipe sénégalaise. Dans ce duel où les enjeux sont élevés, les Lions de la Teranga chercheront à écrire une nouvelle page de leur histoire, sans porter le fardeau des revers antérieurs, mais avec l’objectif de marquer une victoire significative dans la CAN 2023.
En déplacement à Ziguinchor, le Directeur général de l’Office des forages ruraux (OFOR), Hamade Ndiaye, a dévoilé un plan d’envergure visant à mettre en place plus de dix-huit mille branchements sociaux et à construire 85 nouveaux forages à l’échelle nationale. Ce programme ambitieux, qui sera lancé en février prochain, s’inscrit dans le cadre du Programme d’Urgence de Développement Communautaire (PUDC).
L’annonce a été faite au cours d’une visite de travail qui a conduit le Directeur général à Boutoupa Camaracounda dans le département de Ziguinchor et à Loudia Wolof dans le département d’Oussouye. L’objectif de cette visite était de constater sur le terrain la densification des branchements sociaux réalisés par l’ONG ACRA dans quatorze sites.
Selon Hamade Ndiaye, l’ONG ACRA a accompli un travail extraordinaire en densifiant les branchements réseaux dans ces quatorze sites. Il a salué cet exemple et souligné que l’OFOR considère cela comme la deuxième mission de l’organisation, à savoir accompagner les acteurs du domaine de l’hydraulique.
Le Directeur général a rappelé les grands investissements réalisés par l’OFOR, tels que la construction du château d’eau, tout en notant que des moyens supplémentaires sont nécessaires pour étendre ces infrastructures et mettre en place des branchements sociaux. La visite avait pour but d’évaluer le travail accompli par ACRA sur le terrain.
Hamade Ndiaye a souligné l’impact positif de ces initiatives, mentionnant qu’environ dix mille branchements sociaux ont déjà été installés au Sénégal. Il a conclu en affirmant que cette démarche positive dans le secteur de l’hydraulique rurale influence directement la vie des populations en matière de santé publique et d’éducation.
La Brigade de recherches de Keur Massar mène une enquête sur des soupçons de scandale financier à la Ville de Guédiawaye. Les gendarmes se sont saisis de l’affaire, après avoir reçu un soit-transmis du parquet de Pikine-Guédiawaye.
Dans le cadre de leurs investigations, ils ont placé en garde-à-vue et déféré au parquet, l’entrepreneur Ibrahima Ndao. Ce dernier est sous bracelet électronique. Aussi, les enquêteurs ont entendu le maire de Guédiawaye, Ahmed Aïdara. D’après « Libération », qui révèle cette affaire dans son édition du jour, ce dernier est au cœur du dossier. Ibrahima Ndao affirme lui avoir remis d’importants montants en espèces.
Tout est parti d’un virement de 79 millions 986 mille francs Cfa du Trésor public, dans le compte de l’entrepreneur. C’était une erreur, selon l’édile guédiawayois, entendu par les enquêteurs. «Cette année, explique Ahmed Aïdara, repris par « Libération », nous avons lancé un appel d’offres pour la livraison de fournitures scolaires d’un montant de 79 millions 983 mille 300 francs Cfan que devait réaliser l’entreprise Comptoir commercial Dabakh. Étant donné que l’année dernière, on avait le même marché avec la société Sotrel, dont la personne morale est le sieur Ibrahima Ndao, le secrétaire général Babacar Gaye, qui établissait l’acte d’engagement, s’est trompé en laissant le numéro du compte de la société Sotrel, ce qui a fait que le Trésor public a viré l’argent dans son compte par erreur.»
Versements d’espèces, défaut de décharges
Ibrahima Ndao conteste cette version. «L’argent versé dans mon compte, est mon dû», défend l’entrepreneur face aux gendarmes, affirmant qu’il s’agit d’une partie des 135 millions 640 mille francs Cfa que lui devrait la Ville de Guédiawaye, en contrepartie de prestations réalisées à son profit entre 2022 et 2023.
Quid des prestations supposées ? Ibrahima Ndao cite, notamment, 654 lampadaires (71 940 000 FCfa), 500 poulets (2 millions), 6 tonnes de dattes (14 millions), 9 tonnes de sucre (9,9 millions), des travaux dans le bureau du maire (2 millions) et dans son domicile (9,5 millions). L’entrepreneur évoque aussi des remises d’espèces à Ahmet Aïdara (7 millions, 15 millions, 4 millions, 2,5 millions, 500 000, 10 millions à un de ses proches nommé Oumar Sy…).
« Libération » rapporte que l’édile de Guédiawaye a réfuté ces affirmations de Ndao. «Il ne m’a jamais rien donné, ni en main propre ni par intermédiaire, jure-t-il. Nous n’avons signé aucun marché avec lui cette année. (…) S’il pense qu’on lui doit de l’argent, il n’a qu’à nous montrer des preuves.»
Le journal renseigne qu’Ibrahima Ndao a confessé être incapable de produire des pièces en ce sens, indiquant que tout se faisait «sur la base de la confiance».
«Il n’y avait jamais d’écrit, insiste l’entrepreneur. Ce n’était que des marchés de gré à gré, en présence de témoins. C’est après avoir versé le premier acompte, qu’Oumar Sy m’a envoyé ces documents, donc je viens de savoir que la Ville avait monté un dossier fictif.»
Dans l’ambiance électrique précédant le choc entre le Sénégal et le Cameroun lors de la CAN 2023, Aliou Cissé, l’entraîneur de l’équipe nationale sénégalaise, a sévèrement recadré un journaliste des Lions Indomptables lors de sa conférence de presse pré-match.
Le journaliste en question avait posé des questions incisives et provocatrices, remettant en cause la préparation et la stratégie de l’équipe sénégalaise. Aliou Cissé, visiblement agacé, a immédiatement pris la parole pour rétablir l’ordre et rappeler l’importance du respect dans le cadre de la compétition sportive.
L’entraîneur a souligné le professionnalisme attendu des médias et a exprimé son mécontentement face aux insinuations négatives. Il a insisté sur le fait que l’esprit sportif et la camaraderie doivent primer, même dans l’intensité d’une compétition aussi prestigieuse que la CAN.
Cette confrontation au cours de la conférence de presse met en lumière les tensions préexistantes entre les équipes en lice et l’impact significatif que peuvent avoir les médias sur le climat d’un tournoi majeur. Aliou Cissé, par son recadrage ferme, a clairement affirmé sa position et celle de son équipe en faveur d’une approche concentrée et respectueuse, soulignant l’importance de l’éthique sportive avant le match crucial contre le Cameroun. Cette interaction promet d’ajouter une dimension supplémentaire à l’intensité de la confrontation à venir sur le terrain.
La Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor (DGCPT), en collaboration avec plusieurs partenaires, dont la Police et la Gendarmerie nationales, la Direction générale des Transports terrestres, l’Agence nationale de Sécurité routière (ANASER), et la société Diotali, a officiellement lancé une nouvelle application de paiement digital des amendes forfaitaires. La cérémonie s’est déroulée ce jeudi 18 janvier 2024, marquant une étape majeure dans la modernisation des procédures administratives.
Selon Cheikh tidiane Diop, directeur général de la DGCPT, ce projet s’inscrit dans le cadre du Plan Sénégal émergent et de la Stratégie Sénégal numérique 2025. L’objectif est de faciliter et sécuriser le paiement des contraventions, offrant aux usagers un gain de temps considérable. Cette initiative vise à créer une administration connectée au service du citoyen et des entreprises, mettant en avant la généralisation de la télédéclaration et du télépaiement des impôts et taxes.
Le projet, développé en collaboration avec les forces de l’ordre, permettra aux usagers de payer leurs amendes forfaitaires via des options telles que Orange Money, Wave, ou carte bancaire. Les avantages sont multiples, avec un paiement rapide sur place, la récupération immédiate des documents (permis de conduire, carte grise, assurance, etc.), une célérité dans le traitement et la collecte des fonds pour l’État, et une amélioration de l’efficacité et de la traçabilité des paiements.
Waldiodio Ndiaye, DG des Transports terrestres, souligne l’importance de cette digitalisation pour simplifier les procédures et faciliter la vie des usagers de la route. Mamadou Ndiaye, SG de l’Union des transporteurs du Sénégal, salue cette initiative qui permettra aux transporteurs de gagner du temps et d’éviter des tracas administratifs.
Le général Diop de la Gendarmerie nationale et M. Diagne, directeur adjoint de la police, saluent l’initiative et s’engagent à assurer la bonne réussite de ce projet, le jugeant innovant et rapide, offrant aux agents et aux transporteurs un gain de temps et une plus grande efficacité dans leur travail.
La phase test débutera dans la région de Dakar, avec des plans d’extension à l’ensemble du pays après cette période d’essai. La nouvelle plateforme marque ainsi une avancée significative dans la simplification des démarches administratives au Sénégal.
À la veille de son affrontement contre le Cameroun, le Sénégal est confronté à de nouveaux défis avec l’absence probable de certains de ses joueurs clés. La rencontre, prévue demain vendredi à 17 h au stade Charles Konan Banny de Yamoussoukro, pourrait se dérouler sans Youssouf Sabaly, Moussa Niakhaté, Abdallah Sima, et Cheikhou Kouyaté.
Youssouf Sabaly, déjà absent lors du premier match contre la Gambie, s’est entraîné à l’écart du groupe lors de la séance de veille de match. Le défenseur sénégalais Moussa Niakhaté, touché à une jambe lundi dernier, a été aperçu courant en boitillant avec le préparateur physique pendant les 15 minutes ouvertes au public.
Abdallah Sima, qui souffre au niveau des adducteurs, était absent à l’entraînement, comme annoncé par le sélectionneur Aliou Cissé en conférence de presse. La participation de ces joueurs cruciaux reste incertaine pour le match crucial contre les Lions indomptables.
En outre, Cheikhou Kouyaté, en deuil après la perte de son père, n’a pas encore rejoint le groupe. Sa présence dans le match reste également en suspens, ajoutant une dimension émotionnelle à un contexte sportif déjà tendu.
La pression est donc palpable dans le camp sénégalais, alors que l’équipe nationale se prépare à affronter un adversaire redoutable. Ces forfaits potentiels de joueurs clés soulèvent des interrogations sur la stratégie que le sélectionneur adoptera pour maintenir la cohésion de l’équipe face aux Lions indomptables du Cameroun.
La question de la nationalité est devenue un point central des débats houleux au Sénégal, notamment en raison des allégations de double nationalité visant le candidat à l’élection présidentielle, Karim Wade. Les contestations, soulevées par son adversaire Thierno Alassane Sall, mettent en lumière l’importance de la conformité à la Constitution, qui exige que tout candidat à la présidence soit exclusivement de nationalité sénégalaise. Pour comprendre l’évolution de cette problématique, il est nécessaire d’examiner l’évolution de la législation sénégalaise sur la nationalité.
Évolution de la Législation Sénégalaise sur la Nationalité
Depuis son adoption en 1961, la législation sénégalaise sur la nationalité a subi plusieurs modifications. Initialement basée sur le droit du sol, la législation a été ajustée en 1972 pour résoudre des problèmes liés aux coutumes des communautés libanaises. La réforme la plus récente, en 2013, a éliminé les discriminations liées au genre et a ajusté les critères d’attribution. Aujourd’hui, la nationalité sénégalaise peut être attribuée à des personnes nées au Sénégal de parents sénégalais, à celles dont l’un des parents est sénégalais, ainsi qu’aux personnes mineures non mariées dont le parent a acquis la nationalité sénégalaise par naturalisation.
Acquisition de la Nationalité Sénégalaise
Outre l’attribution automatique par le droit du sol, la législation sénégalaise prévoit deux moyens d’acquérir la nationalité : la naturalisation par décision administrative et l’acquisition par mariage. Les étrangers résidant au Sénégal pendant au moins 10 ans peuvent demander la naturalisation, ajoutant ainsi une dimension temporelle à ce processus.
Perte et Déchéance de la Nationalité Sénégalaise
Législation Française sur la Perte de la Nationalité
La question de la nationalité au Sénégal est complexe et suscite des débats passionnés, surtout en période électorale. Les dispositions légales visent à garantir une attribution équitable de la nationalité et à traiter les cas de double nationalité de manière appropriée. Alors que la campagne électorale se poursuit, une compréhension approfondie de ces aspects légaux est cruciale pour une évaluation juste des candidatures et pour assurer la transparence et la légitimité du processus démocratique.
La police du commissariat urbain de Mbacké a réussi à démanteler un réseau de trafic d’ecstasy, également connu sous le nom de « volet ». Deux individus ont été appréhendés en possession de 19 comprimés de cette drogue synthétique. Selon les informations, le duo approvisionnait des jeunes et des prostituées de la région.
Le démantèlement de ce réseau a été possible grâce à l’exploitation d’informations fournies sur un intense trafic d’ecstasy à proximité d’un restaurant réputé. Le commissaire Alioune Fall a immédiatement mobilisé ses équipes, qui ont procédé à une surveillance discrète à quelques mètres du lieu, situé non loin de l’héliport de Touba.
L’opération a abouti à l’interpellation de deux suspects circulant à moto dans la nuit du dimanche au lundi dernier. La fouille de la selle de la moto a conduit à la découverte de 19 comprimés d’ecstasy, confirmant ainsi les informations reçues.
Les deux individus, identifiés comme S.F.Khouma et C.Seck, résidant à Touba, ont été placés en garde à vue au commissariat urbain de Mbacké. Ils font face à des accusations d’association de malfaiteurs et d’offre ou cession de stupéfiants.
L’exploitation des téléphones portables des suspects a permis de confirmer leur statut de trafiquants notoires. Les enquêteurs ont constaté que S.F.Khouma et C.Seck recevaient régulièrement des commandes via l’application WhatsApp.
Il a également été révélé que la clientèle de ces trafiquants était principalement composée de jeunes et de femmes, dont des prostituées, selon des sources proches du dossier.
Suite à une enquête approfondie menée par la police de Mbacké, S.F.Khouma et C.Seck ont été déférés devant le tribunal de grande instance de Diourbel. L’affaire souligne une fois de plus les efforts continus des autorités pour lutter contre le trafic de drogue et ses conséquences sur la société.
Le projet « Feed the Future Sénégal Yiriwaa » a été officiellement lancé à Ziguinchor, porté par l’organisation Declic et financé par l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) à hauteur de trois millions de dollars (1 810 393 600 francs CFA) pour une durée de quatre ans. Lors de la cérémonie de lancement présidée par l’adjoint au gouverneur en charge des affaires administratives, Sidi Guissé Diongue, il a été souligné que ce projet vise à relever les défis liés à l’emploi et à l’insertion des jeunes.
Ce projet ambitieux ciblera initialement vingt-sept communes de la Casamance et impactera 50 collectivités territoriales d’ici 2027, selon les initiateurs. L’objectif principal est de promouvoir le leadership des jeunes, les dotant d’outils pour participer activement au développement de la région de Ziguinchor.
Déjà lancé en 2016 par l’organisation Declic, le projet « Feed the Future Sénégal Yiriwaa » vise à renforcer les capacités des jeunes, leur offrant un coaching pour développer leur confiance et relever les défis auxquels ils sont confrontés dans leurs communautés. La coordinatrice du projet, Aby Diallo, a souligné que l’objectif est de créer des structures où les jeunes peuvent être formés et coachés pour contribuer positivement au développement local.
Matten A Burton du bureau des croissances économiques à l’Usaid a également exprimé le soutien de l’agence américaine à ce projet, soulignant l’importance de créer des opportunités pour les jeunes de la Casamance. Le projet vise ainsi à favoriser l’intronisation des jeunes, la mobilisation et la participation active des jeunes et de la population dans le développement régional.
Ce mercredi, le Président Macky Sall a rendu hommage à trois tirailleurs au Palais présidentiel en les élevant à la dignité de commandeurs dans l’Ordre national du Lion. Cette distinction reconnaît et célèbre la contribution exceptionnelle de ces vétérans au service de la nation.
Bien que les noms des anciens combattants décorés n’aient pas été immédiatement communiqués, leur sacrifice et leur dévouement ont été mis en lumière par le chef de l’État qui les a cités en exemple pour toute la nation. Ces trois vétérans font partie de la cohorte des tirailleurs, et leur retour avait été célébré le 28 avril 2023.
L’élévation à la dignité de commandeurs dans l’Ordre national du Lion représente une reconnaissance officielle de l’engagement courageux de ces hommes au service du Sénégal. Le geste du Président Macky Sall souligne l’importance de préserver la mémoire et de montrer une gratitude nationale envers ceux qui ont contribué de manière significative à l’histoire et à la défense du pays.
Cette cérémonie honore non seulement les individus distingués, mais également l’héritage des tirailleurs et de tous les anciens combattants, soulignant l’importance de leur contribution à la construction et à la protection de la nation sénégalaise.
Après le match nul contre la Guinée, l’entraîneur du Cameroun, Rigobert Song, prévoit des changements dans son onze de départ pour affronter le Sénégal. Le gardien de Manchester United, André Onana, devrait retrouver sa place de titulaire, à moins d’une surprise majeure, après son arrivée tardive à la Coupe d’Afrique des Nations.
Selon des informations de Cameroon Info, Onana serait sur le point de reprendre sa position de gardien de but principal pour le crucial affrontement contre le Sénégal. Le retour du gardien expérimenté pourrait apporter une stabilité accrue à la défense camerounaise.
L’entraîneur Song envisage également des ajustements du côté de l’attaque, avec l’inclusion possible de Frank Magri, Georges Kevin Nkoudou, et Nicolas Moumi Ngam. Ces changements visent à renforcer le potentiel offensif de l’équipe camerounaise dans le prochain match.
La rencontre contre le Sénégal s’annonce décisive pour les deux équipes dans le cadre de la Coupe d’Afrique des Nations, et les ajustements tactiques de l’entraîneur Song reflètent une volonté de maximiser les chances de succès face à un adversaire redoutable. Les supporters attendent avec impatience de voir comment ces changements influeront sur les performances de l’équipe sur le terrain.
Le Dakarois Quotidien a récemment titré sur une controverse entourant l’identité de Karim Wade, un sujet qui a été ravivé par l’intervention de Thierno Alassane Sall. Cette controverse trouve ses racines dans un article publié par Libération le 24 avril 2014, et elle a pris un nouvel élan au cours de la semaine dernière.
Thierno Alassane Sall, une figure politique influente, a déposé un recours au Conseil Constitutionnel, invoquant l’article 28 de la constitution sénégalaise. Ce recours vise à clarifier la situation concernant la nationalité française de Karim Wade. La polémique s’est intensifiée avec les récentes déclarations de ce dernier. Dans une déclaration publique, Karim Wade a répondu aux accusations en dénonçant la polémique comme étant « stérile et dangereuse ». Il a qualifié les allégations de Thierno Alassane Sall de manœuvres visant à gagner en visibilité, suggérant également que ce dernier agit au nom du Premier ministre Amadou Ba, qu’il accuse de manœuvres déloyales. Karim Wade a présenté le décret du Ministre de l’Intérieur français, actant sa renonciation à la nationalité française, comme une preuve de sa constance. Il a également accusé la France d’ingérence dans les affaires sénégalaises. Ses déclarations soulèvent des questions sur la politique et les relations internationales entre les deux pays. Dans un ton incisif, Karim Wade a critiqué Amadou Ba, qualifiant son manque de témérité face à la confrontation de « désormais évident ». Il a appelé à la fin de ces « manœuvres déloyales » et a déclaré qu’il n’avait pas l’intention de déposer de recours devant le Conseil Constitutionnel, estimant que la décision devrait revenir au peuple sénégalais dans le cadre d’une élection présidentielle ouverte et inclusive. Cette polémique soulève des questions importantes sur la transparence et l’éthique en politique, ainsi que sur les relations diplomatiques entre le Sénégal et la France. Alors que les déclarations publiques se multiplient, l’opinion publique attend avec impatience des clarifications et des éclaircissements sur cette affaire complexe.
Selon un rapport récent de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP), le secteur postal a enregistré une diminution de 4 % de ses emplois en 2022, comptabilisant un total de 4 807 emplois, dont 3 329 permanents, 603 temporaires, et 875 prestataires. Cette tendance contraste avec l’année précédente, où une hausse de 8 % avait été observée malgré la pandémie mondiale.
L’Observatoire du secteur postal de l’ARTP a souligné que les investissements des opérateurs postaux ont atteint plus de 485 243 865 francs CFA en 2022, marquant une augmentation significative de 53,21 % par rapport à 2021. Bien que les emplois aient diminué, le chiffre d’affaires du secteur postal a continué de croître, passant de 13 milliards 403 millions 313 mille 100 francs CFA en 2020 à 17 milliards 145 millions 322 mille 597 en 2022.
Les revenus générés par les envois de colis nationaux de 2 à 20 kilogrammes ont connu une baisse de 14 % en 2022 par rapport à 2021, s’établissant à 380 935 281 francs CFA. En revanche, les envois internationaux ont enregistré une hausse significative de 87 %, passant de 1 milliard 618 millions 578 mille 634 francs CFA en 2021 à 2 milliards 33 millions 636 mille 434 en 2022.
Malgré ces fluctuations, le secteur postal maintient sa résilience face à la pandémie de Covid-19, avec un chiffre d’affaires en constante augmentation. Les experts soulignent que les indicateurs économiques du secteur, tels que le volume de courrier traité, les revenus générés, et la croissance annuelle, restent des éléments cruciaux pour évaluer son dynamisme et son adaptation aux avancées technologiques.
La ministre de la Femme et de la Protection des enfants, Fatou Diané, a réagi de manière catégorique aux récents cas de maltraitance des enfants survenus à la pouponnière Keur Yermandé et dans un daara à Jaxaay, dans le département de Keur Massar. Lors de sa visite dans le département, la ministre a dévoilé une série de mesures visant à lutter contre ces abus et à assurer la sécurité des enfants.
L’une des mesures phares annoncées par la ministre est le lancement d’un recensement national des daaras. Elle a souligné que la question de la petite enfance est une préoccupation nationale, et le recensement vise à évaluer la situation à l’échelle nationale pour élaborer des politiques plus efficaces.
Dans le même ordre d’idées, Fatou Diané a appelé les maires des six communes de Keur Massar à allouer des terrains pour la construction de structures dédiées aux tout-petits. Elle a souligné que l’espace aménagé est essentiel pour fournir des installations appropriées, contribuant ainsi à la protection des enfants.
La ministre a également évoqué la mise en place d’un dispositif d’alerte et de prise en charge en cas de violence ou de mauvaise gestion des daaras. Elle a insisté sur la nécessité de la participation active de la communauté dans la dénonciation des abus. Une enquête est actuellement en cours pour établir une cartographie des daaras, crèches et pouponnières, dans le but de mettre en œuvre des politiques plus claires et plus efficaces.
Fatou Diané a conclu en soulignant l’engagement de son département à sensibiliser et à prévenir de tels cas de maltraitance des enfants. Elle a assuré que des actions concrètes seront prises pour garantir la sécurité et le bien-être des enfants vulnérables au Sénégal.
À l’approche du match crucial entre le Sénégal et le Cameroun lors de la CAN 2023, un dilemme tactique suscite des débats animés parmi les supporters sénégalais. La question brûlante est de savoir qui devrait occuper l’aile droite de l’équipe nationale entre Ismaila Sarr et Illimane Ndiaye.
Les deux joueurs ont récemment fait preuve de leur potentiel lors du match contre la Gambie, où ils ont tous deux délivré des passes décisives. Cependant, un moment-clé du match a laissé certains fans indécis quant à la décision à prendre. Ismaila Sarr a raté une opportunité en face-à-face avec le gardien, alimentant ainsi le débat sur sa place de titulaire.
Ismaila Sarr, connu pour sa vitesse explosive et sa capacité à déstabiliser les défenses adverses, a longtemps été un élément clé de l’équipe nationale sénégalaise. Cependant, sa récente occasion manquée soulève des questions sur sa forme actuelle. Certains estiment que sa vitesse est un atout crucial, surtout face à une défense camerounaise réputée pour sa rapidité.
En revanche, Illimane Ndiaye a également démontré sa qualité en délivrant une passe décisive lors du dernier match. Sa précision dans le jeu et sa vision pour créer des occasions pourraient être des éléments clés contre le Cameroun. Certains supporters estiment que sa performance mérite une place de titulaire.
Le contexte de l’opposition face à une défense camerounaise solide et rapide est un facteur déterminant. Le sélectionneur de l’équipe nationale devra prendre une décision éclairée pour garantir une attaque dynamique et efficace. Choisir entre la vitesse d’Ismaila Sarr et la vision d’Illimane Ndiaye représente un défi stratégique important.
La réponse à ce dilemme sera révélée sur le terrain, mais en attendant, les discussions animées et les spéculations passionnées des supporters continueront de rythmer les jours précédant ce match crucial contre le Cameroun. Une chose est sûre, la tension monte à mesure que les fans attendent avec impatience la composition officielle de l’équipe pour ce face-à-face décisif.
CAN 2023 : Prévisions du onze probable du Sénégal pour le match contre le Cameroun Le choc entre le Sénégal et le Cameroun dans le cadre de la CAN 2023 suscite l’attente et l’excitation des fans de football. Alors que la confrontation approche à grands pas, de nombreuses spéculations émergent quant au onze de départ probable pour l’équipe sénégalaise. Voici une analyse du onze probable du Sénégal pour ce match crucial :
Formation tactique : 4-3-3
Gardien de but :
Eduard Mendy : Le gardien expérimenté devrait occuper la place entre les poteaux, apportant sa stabilité et son assurance à la défense sénégalaise.
Défense :
Jackobs (Arrière gauche) :** Solide en défense et actif dans les montées, il devrait occuper le flanc gauche.
Kalidou Koulibaly (Défenseur central) :** Incontournable en défense, il apporte son leadership et sa robustesse physique.
Niakhaté (Défenseur central) :** Associé à Koulibaly, il complète la paire centrale avec son sens du placement.
Krepin Diatta (Arrière droit) :** Un choix probable pour occuper le flanc droit de la défense.
Milieu de terrain :
Nampalis Mendy (Milieu défensif) :** Chargé de protéger la défense, il sera le pivot au milieu du terrain.
Pape Gueye (Milieu central) :** Jeune talent prometteur, il pourrait occuper une position clé au milieu.
Lamine Camara (Milieu offensif) :** Polyvalent, il peut contribuer tant défensivement qu’offensivement.
Attaque :
Sadio Mané (Ailier gauche) : Star incontestée de l’équipe, il apporte sa vitesse et sa finesse technique.
Nicolas Jackson (Avant-centre) :** En pleine forme, il pourrait être l’option en pointe pour le Sénégal.
Illimane Ndiaye (Ailier droit) :** Apportant sa puissance technique et son détermination, il pourrait occuper le flanc droit de l’attaque.
Cette composition est sujette à des ajustements en fonction de la stratégie adoptée par l’entraîneur et des considérations tactiques. Les fans attendent avec impatience cette confrontation cruciale qui déterminera la position du Sénégal dans le groupe.
Le 25 février prochain, le Sénégal ira aux urnes pour choisir un nouveau président de la République. D’ici là, RFI sillonne le pays pour voir comment cette élection se joue sur le terrain. Première étape : la ville de Fatick, sur les terres du président sortant Macky Sall, qui ne se représente pas. Dans ce fief de la majorité présidentielle, d’autres candidats espèrent pouvoir percer, qu’ils soient dissidents ou d’opposition.
C’est ici que l’actuel chef de l’État est né et qu’il a grandi. Fatick a été le point de départ de sa carrière politique. Fatick est son fief. L’hôtel de ville que Macky Sall a occupé en tant que maire de 2009 à 2012 trône au bout d’une longue avenue. Cette région de plus de 900 000 habitants a voté pour lui à 80% lors de la dernière élection présidentielle de 2019.
La région de Fatick est une région rurale qui vit principalement de la culture du mil, du niébé et de l’arachide, mais aussi de l’élevage. Du côté du département de Foundiougne et du delta du Sine Saloum, il y a aussi la pêche et le tourisme. Mais le taux de chômage reste très élevé – près de 30 %, face à l’absence d’usines.
Alors les habitants essaient de se débrouiller pour assurer la dépense quotidienne. Par exemple, Ahmed, un jeune de 22 ans rencontré à la gare routière, explique qu’il essaie de passer son permis pour devenir chauffeur. Mais cela coûte trop cher, beaucoup de jeunes préfèrent conduire une mototaxi.
Un atelier régional de deux jours s’est ouvert à Dakar, organisé par la Commission économique des Nations-Unies pour l’Afrique (CEA). L’objectif de cet atelier est de réfléchir et d’élaborer une stratégie visant à améliorer la gestion de la main-d’œuvre et des envois de fonds de la diaspora vers les pays africains. Cet événement s’inscrit dans le cadre du soutien de la CEA à la mise en œuvre du pacte mondial pour les migrations en Afrique.
Khaled Hussein, chef du bureau Afrique du nord de la CEA, a souligné l’importance des envois de fonds de la diaspora africaine, dont 90% sont destinés à des secteurs socio-économiques tels que la santé, l’éducation et la construction, des leviers essentiels pour les États africains.
L’atelier réunit 50 participants de six pays africains et vise à partager les expériences et les meilleures pratiques pour optimiser la contribution des migrants au développement de leurs pays d’origine. Les résultats attendus incluent une meilleure compréhension de l’importance de la contribution des migrants au développement, le renforcement de la coopération sud-sud, et une collaboration améliorée entre les parties impliquées dans les questions migratoires en Afrique.
Pape Malick Sakho, soudeur machiniste et entrepreneur, se démarque dans la fabrication de matériels agricoles à Tambacounda, offrant son expertise non seulement à la région, mais également à des pays voisins de la sous-région. Sa spécialité réside dans la conception de machines dédiées au traitement du mil, de l’arachide, du maïs, ainsi que des semoirs, répondant ainsi aux besoins des agriculteurs locaux.
Le machiniste souligne l’importance d’un bon service après-vente et propose même une formation aux utilisateurs pour garantir une utilisation optimale des machines. Les commandes affluent, car les clients préfèrent acheter localement pour faciliter l’approvisionnement en pièces de rechange en cas de besoin.
La diversité de la production de M. Sakho est remarquable, avec des machines telles que les décortiqueuses et les presses à huile, qui connaissent une forte demande. Les machines sont fabriquées sur mesure, répondant aux besoins spécifiques des agriculteurs.
Malgré les défis, notamment dans l’approvisionnement en matières premières et la concurrence étrangère, Pape Malick Sakho maintient une capacité de production appréciable, confectionnant jusqu’à cinq machines par semaine avec une équipe de sept personnes.
Sous l’égide de Son Excellence le Président Macky SALL, le Mémorial du Bateau Le Joola a été récemment inauguré, marquant ainsi un moment solennel et mémorable dans l’histoire du Sénégal. Ce musée, dédié à la mémoire des victimes du tragique naufrage du Joola, est bien plus qu’une simple commémoration ; c’est un lieu de recueillement, d’éducation et de sensibilisation citoyenne.
L’inauguration de ce mémorial revêt une signification profonde, rappelant la tragédie humaine qui a eu lieu le 26 septembre 2002. Le Joola, ferry surchargé, a sombré au large des côtes sénégalaises, entraînant la perte de milliers de vies. Ce mémorial sert non seulement de lieu de mémoire, mais aussi de rappel poignant des conséquences dévastatrices de cette catastrophe.
Le musée vise à sensibiliser les générations actuelles et futures sur les enjeux liés à la sécurité maritime, à l’importance des normes de transport, et à l’impact des tragédies sur les communautés. En tant que témoin historique, le Mémorial du Bateau Le Joola offre une perspective éducative, encourageant la réflexion sur la prévention des accidents maritimes et la protection des vies humaines.
Son Excellence le Président Macky SALL a exprimé à travers cette initiative son engagement envers la préservation de la mémoire collective et la promotion de la sécurité maritime. Le musée, intégré au patrimoine culturel sénégalais, incarne également un lieu de recueillement, où les familles des victimes et le public peuvent se recueillir et se souvenir.
Au-delà de la tragédie, le Mémorial du Bateau Le Joola symbolise l’importance de tirer des leçons des événements passés pour construire un avenir plus sûr. En faisant de ce lieu un point d’ancrage éducatif, le Sénégal s’efforce de transformer une tragédie en un héritage édifiant, rappelant que la sécurité maritime et le respect des normes sont des impératifs pour préserver la vie humaine.
Sur son compte Facebook officiel, Moussa Tine a partagé une déclaration importante annonçant que l’Honorable Hélène Tine, une députée respectée, a rejoint la coalition « Khalifa Président ». Cette nouvelle a suscité une grande réaction sur les médias sociaux, reflétant l’importance de cette adhésion dans le paysage politique sénégalais.
Dans sa publication, Moussa Tine a exprimé sa gratitude envers Hélène Tine pour son engagement en faveur d’une politique centrée sur le peuple et sa décision de soutenir Khalifa Sall dans sa quête présidentielle. Il a souligné l’importance de rassembler des leaders engagés pour apporter des changements positifs au Sénégal.
La déclaration sur Facebook a également mis en lumière les valeurs communes partagées par la coalition « Khalifa Président », notamment l’accent mis sur l’inclusion, la justice sociale et le progrès. Moussa Tine a appelé les citoyens sénégalais à se rallier autour de cette coalition pour construire un avenir meilleur.
Cette annonce sur les médias sociaux marque un moment significatif dans la préparation des élections présidentielles de cette année, démontrant l’importance croissante de la coalition « Khalifa Président » en attirant des personnalités politiques influentes et respectées comme Hélène Tine.
Lac de Guiers 2, chef de file de l’écurie Walo de Guédiawaye, est actuellement localisé en France, selon des informations relayées par une source proche du dossier. Convoqué par la police de Wakhinane Nimzatt dans le cadre d’une affaire présumée d’escroquerie au visa, le lutteur aurait répondu favorablement à sa convocation, tout en informant les autorités de sa présence à l’étranger. Il aurait promis de rentrer au Sénégal dès que possible.
Pendant ce temps, Salam, le présumé complice de Lac de Guiers 2 dans cette affaire, reste toujours introuvable. Depuis sa première audition par la police, où il aurait admis les faits qui lui sont reprochés, Salam aurait pris la fuite. Sa disparition complique l’avancée de l’enquête.
L’affaire a éclaté après qu’un tailleur du nom de A.S. a déposé plainte contre Lac de Guiers 2 et Salam pour escroquerie au visa. D’autres candidats malheureux ont également porté plainte contre le lutteur. Par ailleurs, Salam est également impliqué dans un autre dossier où il est poursuivi pour une somme de 200 millions de F CFA.
L’enquête sur cette affaire présumée d’association de malfaiteurs et d’escroquerie au visa est en cours, avec la collaboration de Lac de Guiers 2, bien qu’il soit actuellement hors du pays. Cependant, la situation de Salam, toujours en fuite, pose un défi pour faire progresser l’enquête.
Dans une récente déclaration, Karim Wade, candidat potentiel à la présidentielle sénégalaise, a répondu aux allégations entourant sa nationalité. Il a souligné que le décret émis par le Ministre de l’Intérieur français actant sa renonciation à la nationalité française est une preuve tangible de sa constance.
Wade a qualifié la polémique de stérile et dangereuse, accusant Thierno Alassane Sall d’alimenter cette controverse pour gagner en visibilité et agir au nom du Premier ministre Amadou Ba. Il a critiqué les manœuvres déloyales d’Amadou Ba et souligné son manque de témérité face à la confrontation.
Malgré des informations suggérant que d’autres candidats pourraient avoir acquis d’autres nationalités, Karim Wade a annoncé qu’il ne déposerait aucun recours devant le Conseil Constitutionnel. Il a fermement exprimé sa conviction selon laquelle seule la décision du peuple sénégalais devrait prévaloir dans une élection présidentielle ouverte et inclusive.
Cette déclaration intervient dans un contexte politique tendu alors que le Sénégal se prépare pour les élections présidentielles, mettant en lumière les enjeux entourant la citoyenneté des candidats. L’annonce de la renonciation de Wade à sa nationalité française vise à apaiser les préoccupations concernant son éligibilité et à mettre un terme à la controverse.
Le décret du Ministre de l'Intérieur français actant ma renonciation à la nationalité française est une preuve supplémentaire de ma constance. Cette polémique stérile et dangereuse alimentée par Thierno Alassane Sall pour gagner en visibilité et agissant pour le compte du très… pic.twitter.com/DLahPvXCNt
L’immixtion flagrante de la France dans notre processus électoral pour tenter de sauver la candidature de M. Karim Meissa Wade traduit une solidarité entre les tenants de la Françafrique et du néocolonialisme.
Comme par magie, Karim Wade exhibe un décret daté du 16 janvier 2024, par lequel le Gouvernement français le « libère de son allégeance à l’égard de la France », autrement dit lui retire la nationalité objet de controverses.
Plutôt que de le conforter, ce document le confond et l’enfonce.
En effet, il est aujourd’hui incontestable que :
– Lorsqu’il a officiellement présenté sa candidature en 2019, en accompagnant celle-ci d’une déclaration sur l’honneur affirmant qu’il était exclusivement de nationalité sénégalaise, il était pleinement conscient de perpétrer un acte de parjure. Ce seul fait constitue un motif suffisant pour le Conseil constitutionnel de l’écarter définitivement ;
– Il récidive dans sa compromission, en déposant, pour l’élection présidentielle de 2024, un dossier comprenant une nouvelle déclaration sur l’honneur contraire à la vérité. Karim Wade administre lui-même la preuve qu’à la date du 26 décembre 2023, à l’expiration des délais de dépôt de candidatures, son dossier était irrecevable, car il avait au moins deux nationalités.
En conséquence de ce qui précède, notamment que la perte de sa nationalité française n’est intervenue que le 16 janvier 2024, la contestation de la liste provisoire est fondée. Non seulement cette contestation est fondée, mais Karim Wade doit être retiré de la liste définitive pour deux autres motifs :
– D’une part, les délais de dépôt de dossiers de candidatures ayant été épuisés le 26 décembre, il ne saurait lui être autorisé de compléter son dossier le 16 janvier 2024, soit 3 semaines plus tard, à sa propre initiative.
– D’autre part, le décret du 16 janvier 2024 de l’État français ne pouvant avoir des effets rétroactifs, il demeure constant que Karim Wade a été retenu sur la liste provisoire sans remplir une exigence majeure découlant de la Constitution. S’il avait révélé au Conseil constitutionnel la réalité à cette date de sa double nationalité, comme l’exige la déclaration sur l’honneur, il n’aurait pas été retenu dans la liste provisoire.
La Françafrique doit mourir. Il est étonnant qu’une candidature repêchée par le dialogue national, une forfaiture à laquelle nous avions refusé de participer, soit secourue in extremis par la France. Nous allons faire barrage, face à cette fraternité triangulaire entre la France, le candidat du camp présidentiel Amadou Ba, et le soldat Karim Wade qui ne peut être sauvé que par des manigances flagrantes.
Pour toutes ces raisons, je demeure convaincu que le Conseil constitutionnel tâchera d’honorer ses missions, notamment celle de défendre notre Constitution.
Thierno Alassane Sall Candidat à l’élection présidentielle Président du parti République des Valeurs/Réewum Ngor
Ziguinchor, le 16 janvier 2024 – Les Enseignants Associés de l’Université Assane Seck de Ziguinchor ont déclenché un mouvement de grève de 72 heures renouvelables pour protester contre le non-paiement des arriérés de salaires correspondant au premier semestre de l’année universitaire 2022-2023.
Le collectif, qui avait déposé un préavis de grève au rectorat le 16 décembre 2023, affirme avoir averti à l’avance de la situation précaire. Ayant observé une période de trente jours après le dépôt du préavis, les enseignants ont pris la décision de déclencher une grève de 72 heures, laquelle est susceptible d’être renouvelée si leurs revendications ne sont pas satisfaites.
Dans une correspondance adressée au recteur le 22 décembre 2023, les Enseignants Associés de l’UASZ ont mentionné avoir déposé les fiches de déclarations des heures de vacations effectuées par l’ensemble des vacataires il y a plus d’un mois. Selon eux, la grève s’accompagnera d’une rétention des notes d’examen, et celles-ci ne seront levées qu’après le paiement total et effectif des vacations.
Cette action vise à attirer l’attention des autorités universitaires sur les difficultés financières rencontrées par les enseignants associés, mettant en lumière la nécessité urgente de résoudre la question des arriérés de salaires pour assurer le bon déroulement des activités académiques au sein de l’université.
En 2023, l’Aéroport International Blaise Diagne a accueilli un total de 2 942 594 passagers, marquant une progression notable de +11,91% par rapport à l’année précédente. Cette performance confirme la tendance positive du trafic de l’aéroport, qui suit une courbe ascendante depuis son ouverture le 7 décembre 2017.
Malgré les défis liés à la pandémie de Covid-19 entre 2020 et 2022, l’Aéroport Blaise Diagne a rapidement retrouvé son niveau de trafic d’avant la pandémie dès juin 2022. La croissance observée entre 2022 et 2023, avec une augmentation de près de 12%, est particulièrement remarquable, surtout dans un contexte où d’autres aéroports luttent pour retrouver leur trafic normal.
Les mouvements d’avions ont également connu une hausse de +6,93%, totalisant 28 587 mouvements enregistrés, retrouvant ainsi le niveau de 2019. En ce qui concerne le trafic cargo, l’AIBD a enregistré 38 612 tonnes de fret, affichant une augmentation significative de +11,88% par rapport à 2022.
Cette performance exceptionnelle est attribuée à l’intensification du réseau de l’Aéroport International Blaise Diagne, qui compte désormais une trentaine de compagnies aériennes opérant une cinquantaine de lignes aériennes à travers le monde. Ces résultats démontrent la robustesse et la résilience de l’aéroport face aux défis récents du secteur de l’aviation.
La journée du mardi 16 janvier 2024 restera gravée dans l’histoire de la région de Ziguinchor, marquée par une série d’inaugurations d’infrastructures publiques à caractère économique et social. Au cœur de ces cérémonies, le musée mémorial Le Joola, érigé en hommage aux victimes de cette tragédie maritime.
Le musée mémorial Le Joola revêt une importance particulière, symbolisant la mémoire collective de la douleur, de la tristesse et du deuil qui ont marqué la région il y a deux décennies. Le bateau Le Joola a chaviré au large du fleuve Gambie, causant la perte de plus de deux mille vies, dont mille quatre cents dans la région de Ziguinchor. La commune de Ziguinchor a elle-même enregistré neuf cent soixante-quatorze victimes.
Le Premier ministre, lors de la cérémonie d’inauguration, a souligné la nécessité de rendre hommage à ce drame en érigeant ce mémorial. Il a déclaré : « Le mémorial en souvenir du drame et des victimes sera une célébration de la vie, manifestant notre engagement permanent à dire plus jamais ça. Ce mémorial nous aidera à vivre dans la conscience de la nécessaire préservation des valeurs qui sauvent des peuples et encourage les actions pensées, ordonnées, rigoureusement évaluées au bénéfice de la communauté. »
Le Premier ministre a également souligné que le musée mémorial Le Joola devrait être un pas vers la paix définitive dans la belle région de Casamance. Il a rappelé l’importance de tirer les bonnes leçons de cette tragédie et de mettre en pratique ces enseignements pour mobiliser la communauté dans l’effort et la rigueur.
Cette inauguration marque un moment significatif dans l’histoire de Ziguinchor, rendant hommage aux victimes du passé tout en jetant les bases d’un avenir imprégné de paix et de souvenirs durables.
Dans un document relayé par plusieurs médias, des candidats recalés au parrainage auraient adressé une demande au Président Macky Sall, soulignant des « irrégularités » et sollicitant son intervention pour faciliter la reprise du contrôle du parrainage. Ousmane Sonko, actuellement détenu, aurait été mentionné comme l’un des signataires de cette lettre. Cependant, le parti politique Pastef, auquel Sonko est affilié, a publié un communiqué démentant toute implication de son leader dans cette démarche.
Selon le communiqué de Pastef, « le Président Ousmane Sonko tient à démentir toute implication dans cette initiative, dont il n’a jamais été informé ». Le parti souligne également que, à cette étape du processus, le président Macky Sall ne dispose d’aucune prérogative, car le Conseil constitutionnel est seul responsable du déroulement des opérations liées au parrainage.
Le communiqué conclut en invitant à ne pas associer le nom d’Ousmane Sonko à des initiatives auxquelles il n’a ni été consulté ni consenti. Cette clarification vise à dissiper toute confusion et à réaffirmer la position du leader de Pastef dans le processus électoral en cours.
Le Directeur Général de l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS), Mamadou Mamour Diallo, a entrepris une visite à Grand-Médine, Unité 19 des Parcelles Assainies, pour aborder les problèmes d’assainissement avec les résidents. Accompagné d’une délégation d’ingénieurs, il a prêté une oreille attentive aux préoccupations des habitants et a assuré la mise en œuvre de solutions concrètes.
La communauté a exprimé ses inquiétudes concernant les inondations persistantes et les défis liés à l’assainissement dans la région. Certains ont souligné les difficultés rencontrées au fil des ans malgré les tentatives précédentes d’amélioration. Le Directeur Général a salué l’engagement des résidents dans l’amélioration de leur environnement et a promis des solutions efficaces.
Mamadou Mamour Diallo a apaisé les préoccupations de la communauté en annonçant le début des travaux d’assainissement en février 2024. Ces travaux, prévus sur une période de trois mois, ont pour objectif de résoudre les problèmes d’inondations et de reflux d’eaux usées dans la région. Il a souligné que la commune des Parcelles Assainies reçoit chaque année une importante allocation dans le cadre du Programme Décennal de lutte contre les inondations (PDLI), et une partie de ces fonds sera utilisée pour résoudre les problèmes spécifiques soulevés par la population.
Le Directeur Général a également dévoilé un programme ambitieux qui couvrira les unités 1 à 26 des Parcelles Assainies, ainsi que des quartiers de Pikine, une partie de Guédiawaye et les Maristes. Ce programme, qui s’inscrit dans le cadre d’un Partenariat Public et Privé, illustre l’engagement continu des autorités à améliorer l’assainissement dans ces zones.
Les travaux annoncés font partie intégrante des initiatives du gouvernement sénégalais visant à résoudre les problèmes d’assainissement et à améliorer la qualité de vie des citoyens. La population locale peut désormais envisager un avenir plus sec et sécurisé grâce à ces interventions planifiées.
Dans un contexte politique tendu au Sénégal, Ngouda Mboup, défenseur des droits démocratiques et des libertés, a vivement réagi à l’ingérence présumée de la Caisse des Dépôts et Consignations dans le processus électoral. Selon lui, cette institution, en tant qu’administration en charge de la gestion des cautions, n’a aucune compétence pour juger de la validité d’une candidature à l’élection présidentielle.
Dans une déclaration vigoureuse, Ngouda Mboup a souligné que le Directeur Général de la Caisse des Dépôts et Consignations ne possède ni l’autorité ni la compétence pour interpréter le statut électoral d’un candidat. Il a qualifié cette intervention de la Caisse des Dépôts et Consignations d’empiètement injustifié sur les prérogatives de la juridiction constitutionnelle, pouvant être considéré comme une forfaiture en vertu de l’article 118 du Code pénal.
Ngouda Mboup a rappelé les exigences claires fixées par la Constitution sénégalaise et le Conseil constitutionnel pour garantir le respect de la liberté de candidature. Selon lui, en suivant la théorie de l’effet utile et en se basant sur la jurisprudence constante du Conseil constitutionnel, Ousmane Sonko, en tant que leader de l’opposition, doit être rétabli dans ses droits et inclus dans la liste définitive des candidats à l’élection présidentielle du 25 février 2024.
La déclaration conclut en affirmant la candidature légitime d’Ousmane Sonko à l’élection présidentielle, soulignant que le respect du droit garantira sa participation au scrutin de février 2024.
Les forces armées du Sénégal et de la Gambie ont officiellement établi un comité bipartite de défense visant à renforcer la lutte contre la criminalité transfrontalière. La convention a été signée à Ziguinchor, dans le sud du Sénégal, marquant un engagement conjoint à sécuriser et contrôler les espaces frontaliers de manière collaborative.
Le général de division Fulgence Ndour, sous-chef d’état-major des armées sénégalaises, a souligné que ce comité bipartite servira de cadre officiel pour discuter et prendre en compte toutes les menaces aux frontières communes. L’initiative découle de la volonté exprimée en août 2023 par les présidents Macky Sall du Sénégal et Adama Barrow de la Gambie, lors de la troisième session du Conseil présidentiel sénégalo-gambien à Banjul, de renforcer le dialogue sur toutes les questions d’intérêt commun.
Le séminaire bipartite de deux jours, qui s’est tenu à Ziguinchor, a permis une analyse approfondie de la situation sécuritaire aux frontières. Le consensus émergeant de la réunion souligne l’accord unanime sur la nécessité de sécuriser et de contrôler de manière commune ces espaces frontaliers.
Dans une démarche visant à renforcer l’indépendance pharmaceutique du Sénégal, la Société financière internationale (IFC), une filiale de la Banque mondiale, et Duopharm, une entreprise de distribution de médicaments, ont récemment signé un partenariat stratégique. L’objectif principal de cette collaboration est d’établir une unité de fabrication de médicaments au Sénégal, avec l’ambition de réduire les importations de médicaments à moins de 50 % d’ici 2035.
Le Directeur de Duopharm S.A, Dr Jules Kébé, a exprimé l’importance de ce partenariat pour les pharmaciens du pays, soulignant qu’il ouvre la voie vers la souveraineté pharmaceutique. Il a également souligné que répondre à la demande croissante de médicaments, due à l’augmentation de la démographie, nécessite une transition vers la production locale.
Jules Kébé a insisté sur la nécessité de collaborer avec des institutions internationales telles que l’IFC pour trouver des solutions durables à la question de la souveraineté pharmaceutique. Il a également souligné que la production locale de médicaments permettra de répondre de manière plus précise aux besoins de la population et des professionnels de la santé.
Dans le cadre de sa candidature à l’élection présidentielle, Amadou Ba, homme politique émérite, a récemment rencontré les acteurs économiques et les autorités de la région de Sédhiou. L’objectif de cette rencontre était de discuter des perspectives de développement économique et des programmes régionaux visant à stimuler la croissance et à créer des opportunités d’emploi.
Sédhiou, riche en potentiels économiques, est au cœur des préoccupations d’Amadou Ba, qui insiste sur l’importance des échanges francs et réalistes avec tous les acteurs locaux. La réussite des programmes régionaux, selon lui, dépend de la participation active et de la collaboration étroite avec la population locale.
La région de Sédhiou, à l’instar d’autres régions du Sénégal, est en train de bénéficier d’un programme accéléré de développement. Amadou Ba a souligné l’importance de doter rapidement la région en infrastructures essentielles telles que les routes, les écoles, les centres de santé, et de mettre en œuvre des projets économiques favorables à la création d’emplois.
Les secteurs économiques locaux sont au cœur des plans de développement, et Amadou Ba reconnaît le potentiel inexploité de la région. Des programmes sont en cours d’accélération pour exploiter pleinement ces secteurs, favorisant ainsi la croissance économique et la prospérité.
L’engagement envers le développement de Sédhiou reflète la vision d’Amadou Ba pour un Sénégal émergent et prospère. Il met en avant une approche inclusive et participative, où les aspirations et les besoins de la population locale sont pris en compte dans la formulation et la mise en œuvre des politiques et des programmes.
Amadou Ba a également évoqué la nécessité de renforcer les infrastructures éducatives et de santé, soulignant l’importance de l’accès à une éducation de qualité et à des services de santé adéquats pour le bien-être de la population.
La rencontre avec les acteurs économiques et les autorités de Sédhiou confirme l’engagement d’Amadou Ba envers le développement inclusif et durable du Sénégal. Sa candidature à l’élection présidentielle s’articule autour d’une vision ambitieuse visant à créer un avenir prospère pour toutes les régions du pays, en mettant l’accent sur la collaboration et la participation active de la population dans le processus de développement.
L’énergie palpable de l’enthousiasme et de l’espoir a envahi la 23e édition du Forum du Premier Emploi, lancée mardi à Dakar par le Mouvement des Entreprises du Sénégal (MEDS). Durant ces deux jours d’échanges intenses, jeunes diplômés et employeurs se sont rencontrés pour esquisser ensemble l’avenir professionnel du pays.
Le grand hôtel de Dakar a servi de cadre à cette rencontre cruciale, où des entreprises du secteur privé et public, partenaires du MEDS, ont joué le rôle d’acteurs clés dans le processus de recrutement. Des centaines de jeunes diplômés ont eu l’opportunité de se présenter, de mettre en avant leurs compétences et d’exprimer leurs aspirations professionnelles.
Parmi les participants, Dior Ngane, âgée de 30 ans, titulaire d’une licence en sciences de l’eau et de l’environnement ainsi que d’un master en hydraulique et assainissement, a attiré l’attention. Bien que déjà employée à la mairie de Ngaye Méckhé, elle aspire à un emploi plus enrichissant, espérant que le forum ouvrira de nouvelles portes pour sa carrière.
Le thème du forum, « Les opportunités d’emploi pour les jeunes dans le secteur industriel », résonne avec les ambitions des participants. Assane Diop, 23 ans, étudiant en génie informatique, envisage de poursuivre ses études tout en travaillant, démontrant la quête constante de perfectionnement. De même, Amar Diagne, fraîchement diplômé en mécatronique et administration économique et sociale, se montre ouvert à débuter par un stage dans le domaine industriel.
Si le nom du forum suggère une première recherche d’emploi, la diversité des participants dévoile des trajectoires variées. Pour ces jeunes professionnels, l’événement représente une opportunité de décrocher des postes plus alignés avec leurs aspirations, de bénéficier de nouvelles expériences et de contribuer au dynamisme du secteur industriel sénégalais.
Des personnalités influentes, dont Ousmane Mbaye, directeur général de Dangote Cement Senegal et président de la Chambre des mines du Sénégal, ont partagé leurs parcours inspirants. À travers leurs témoignages, ils ont encouragé les jeunes à s’engager dans des filières scientifiques, techniques et technologiques, soulignant l’importance de ces domaines dans le paysage économique actuel.
Au-delà d’une simple rencontre entre employeurs et employés potentiels, le Forum du Premier Emploi se présente comme une plateforme dynamique où se tissent des liens professionnels, des collaborations se dessinent, et où les rêves professionnels prennent forme. Cet événement reflète l’engagement collectif à façonner un avenir professionnel prospère pour la jeunesse sénégalaise et à stimuler la croissance économique du pays.
Ziguinchor a été le cadre d’une avancée significative en matière de coopération sécuritaire entre les forces armées gambiennes et sénégalaises, marquée par la signature d’un accord bipartite visant à contrer le grand banditisme le long de leurs frontières communes. Cette initiative découle du conseil présidentiel d’août 2023 et fait suite à la réunion entre les chefs d’état-major général des deux nations. Les discussions ont abouti à la création d’un comité tripartite de défense, officialisant ainsi le cadre de coopération.
Le général de division Fulgence Ndour, sous-chef d’état-major des armées françaises, a expliqué que le consensus dégagé lors des deux jours de partage à Ziguinchor soulignait l’importance de sécuriser conjointement les frontières pour contrôler les menaces, notamment le grand banditisme, le trafic de drogue et le trafic de bois.
Il a détaillé le plan opérationnel résultant de cet accord, comprenant des programmes élaborés conjointement et des opérations conjointes. Ces actions visent à renforcer la sécurité dans les zones militaires spécifiques, avec une attention particulière portée aux zones 3, 5, et 6.
Le général de division a exprimé sa satisfaction quant à la coopération exemplaire entre les deux délégations et a souligné que l’esprit de collaboration est essentiel pour contrer les diverses menaces aux frontières, garantissant ainsi la libre circulation des personnes et des biens, tout en promouvant le bien-être des populations.
L’objectif ultime de cet accord est de lutter contre les fléaux économiques et sociaux tels que le grand banditisme, créant ainsi un environnement propice au développement économique et à la prospérité des deux nations. L’accord prévoit des patrouilles conjointes régulières avec des objectifs opérationnels spécifiques pour assurer la sécurité et la stabilité dans la région.
Le Premier ministre Amadou Ba a présidé ce mardi 16 décembre à Ziguinchor l’inauguration du Mémorial Bateau Le Joola. Cet événement solennel, dédié à la mémoire des victimes de l’une des plus grandes catastrophes maritimes de l’histoire du Sénégal, a été marqué par des discours poignants et un appel à la responsabilité collective.
Amadou Ba, portant les salutations du Président Macky Sall, a souligné l’importance de ce mémorial en tant que « veilleur aux aguets » pour garantir que de tels drames ne se reproduisent plus. Il a rappelé l’impact dévastateur du naufrage du Bateau Le Joola le 26 septembre 2002, une tragédie qui a laissé une cicatrice profonde dans l’histoire du Sénégal.
Le Premier ministre a exprimé sa reconnaissance envers les associations des familles des victimes et des rescapés, soulignant leur rôle crucial dans la concrétisation de ce projet mémoriel. Il a également salué la contribution des autorités gambiennes et des acteurs locaux pour la réussite de ce mémorial, érigé avec une pensée inclusive.
Le Mémorial Bateau Le Joola a été décrit comme un lieu de recueillement et d’enseignement, soulignant la nécessité de tirer des leçons de cette tragédie pour promouvoir des comportements responsables. Amadou Ba a souligné que la mémoire ne vit que dans la paix, et ce musée de mémoire devrait contribuer à la paix définitive dans la région de Casamance.
Le discours du Premier ministre a également abordé les enjeux du développement de la Casamance, mettant en avant les vastes potentialités de la région pour devenir un pôle de richesse et de croissance. Il a insisté sur la nécessité d’une prospérité partagée pour garantir une paix durable, soulignant que Ziguinchor est une région stratégique avec des atouts tels que deux aéroports, dont un international, et un port.
En conclusion, Amadou Ba a rendu hommage à toutes les personnes ayant contribué à la réalisation de ce mémorial, affirmant qu’il sera « une école, un livre ouvert et un film d’anticipation, » servant de veilleur pour encourager des comportements toujours plus responsables.
L’inauguration du Mémorial Bateau Le Joola marque ainsi un moment significatif dans l’histoire du Sénégal, rappelant la nécessité de préserver la mémoire tout en promouvant des valeurs de solidarité, de cohésion et de responsabilité collective.
Le secrétaire général de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP), Yellamine Goumbala, a qualifié, mardi, de »remarquable », le bilan de cette structure étatique de contrôle ces dix dernières années (2014- 2024).
»L’ARTP a eu un bilan remarquable qui a permis de mettre notre pays au rang des nations qui ont réussi le virage du numérique, à travers des technologies comme la 3G, la 4G et maintenant la 5G », a dit Yellamine Goumbala.
Il présidait l’ouverture du 7-ème Forum de partage et d’échanges avec des professionnels des médias sur les secteurs régulés, qui se tient à Saly-Portudal (Mbour), à l’initiative de l’ARTP.
« Depuis 2001, pas moins de cinq textes ont modifié ses missions, élargi ses compétences et adapté ses modes de fonctionnement, jusqu’à la loi de 2018 portant Code des communications électroniques », a ajouté M. Goumbala.
Dans la période 2014, a-t-il poursuivi, »beaucoup de projets ont été coordonnés et déroulés par l’ARTP ».
Il a notamment cité la mise en place d’un centre de supervision du trafic des opérateurs et de la lutte contre la fraude, la participation aux travaux sur la TNT et l’attribution de fréquences pour le système de communication du Train Express Régional (TER).
Le responsable de l’ARTP a listé « l’encadrement des promotions par décision de l’ARTP » parmi les projets coordonnés et déroulés depuis 2014, de même que « le réaménagement des bandes de fréquences 2,6 GHz et 800 MHz pour disposer des ressources nécessaires à l’exploitation de la 4G par les opérateurs, et la mise en place du Free Roaming en Afrique de l’Ouest ».
Pour l’année 2023 , Yellamine Goumbala a souligné que « 10 nouvelles priorités ont été érigés en projets urgents », avant d’ajouter que « 95% des actions ont été réalisées dont l’extension successive du périmètre des licences de SONATEL et de Free à la technologie 5G , la mise en place du Roaming national, la certification de l’ARTP à la norme ISO 9001 / 2015″.
»Pour les 23 ans d’existence de l’ARTP, le directeur général a décliné 10 priorités pour l’Autorité en 2024 », a fait savoir le secrétaire général de la structure.
Le Dakarois Quotidien N°083 – du 17/01/24 🔴Ansoumana Sané, Maire de Sindian: Le nouvel homme fort de Bignona 🔴Journée Nationale de l’Équité: Le Président Macky Sall salue l’engagement d’Équité de Thérèse Faye Diouf
No comment ! L’émission Balance de Walf a été interrompue pour sa diffusion de ce mardi suite à des échanges houleux sur le plateau entre le responsable politique de la coalition BBY, Cheikh Gadiaga et les représentants des familles des détenus sur l’affaire Sonko.
La venue du Premier Ministre Amadou Ba dans le département de Bignona a été le catalyseur d’une compétition politique effervescente entre les leaders locaux. Cependant, il est indéniable que le jeune maire de Sindian, Ansoumana Sané, a captivé l’attention et remporté la palme de la mobilisation, éclipsant ainsi les autres responsables politiques de la région.
De Baila à Coubanao, en passant par Bignona, Ansoumana Sané a démontré sa capacité à fédérer des milliers de partisans, créant ainsi une ambiance chaleureuse pour accueillir dignement le Premier Ministre et candidat de la Coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) pour les élections présidentielles à venir en février.
Les cris enthousiastes des jeunes scandant « ANSOU OLOLI, » signifiant « ANSOU, C’EST NOTRE ANSOU, » ont résonné tout au long de l’événement, témoignant de l’engagement et du soutien massif dont bénéficie Ansoumana Sané parmi la jeunesse locale.
La mobilisation exceptionnelle orchestrée par le maire de Sindian a indéniablement placé ce dernier au centre des projecteurs politiques. Sa capacité à rallier une telle adhésion populaire reflète non seulement son charisme personnel, mais également sa connexion profonde avec la population locale.
Dans ce contexte électoral, Ansoumana Sané semble émerger comme un acteur politique influent, capable de mobiliser les citoyens au-delà des clivages traditionnels. Sa popularité croissante pourrait avoir un impact significatif sur le paysage politique local et potentiellement national.
La visite du Premier Ministre Amadou Ba a donc non seulement été l’occasion de discuter des enjeux politiques majeurs, mais elle a également mis en lumière l’émergence d’acteurs locaux dynamiques, à l’instar d’Ansoumana Sané, qui pourraient jouer un rôle déterminant dans les prochaines échéances électorales. La scène politique locale semble ainsi être en pleine effervescence, promettant des développements intéressants à l’approche des élections présidentielles.
À l’occasion de la Journée Nationale de l’Équité, le Président Macky Sall a exprimé ses félicitations à Thérèse Faye Diouf pour son engagement exemplaire en faveur de l’équité au sein de la nation sénégalaise. Dans un discours vibrant, le Président a dressé le profil d’un cadre modèle, soulignant les qualités nécessaires pour contribuer au développement équitable du pays.
Thérèse Faye Diouf, figure emblématique de l’équité sociale, a été saluée par le Président pour son dévouement envers la promotion de l’égalité des chances, de l’inclusion et de la justice. Le Président a souligné l’importance de tels leaders engagés qui œuvrent sans relâche pour créer un environnement où chaque citoyen a la possibilité de prospérer, indépendamment de ses origines.
Le discours présidentiel a mis en lumière les caractéristiques d’un bon cadre, mettant l’accent sur la compétence, l’intégrité et la vision. Le Président Macky Sall a souligné que les bons cadres sont ceux qui comprennent les enjeux de l’équité et qui travaillent de manière collaborative pour instaurer des politiques et des initiatives favorisant une société juste et équilibrée.
Le Président a également encouragé d’autres leaders et cadres du pays à suivre l’exemple de Thérèse Faye Diouf, en s’investissant activement dans la promotion de l’équité à tous les niveaux de la société. Il a appelé à une mobilisation collective pour faire progresser l’agenda de l’équité, soulignant que cela est essentiel pour le développement harmonieux et durable du Sénégal.
En conclusion, le Président Macky Sall a réaffirmé l’engagement du gouvernement en faveur de politiques visant à renforcer l’équité et à créer un environnement où chaque citoyen peut réaliser son potentiel. La Journée Nationale de l’Équité a ainsi été l’occasion de célébrer les réussites et de réaffirmer la détermination du Sénégal à construire un avenir équitable pour tous.